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1, 2, 3 Let's always be stupid [Feat. Nam Kyung]
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Re: Let's always be stupid [Feat. Nam Kyung] | Ven 14 Oct - 0:35
Plus j'écoute les paroles de mon meilleur ami, plus je me dis que les femmes ont tendance à être bien trop complexes. Je plains vraiment la gente masculine, ça ne doit pas être facile d'essayer de nous déchiffrer, puisque nous-mêmes, nous sommes compliquées entre nous et nous ne saisissons pas toujours tout. Je pense que si j'avais été un homme, j'aurai été homosexuel, juste à cause de la complexité des femmes et leur prise de tête en continue. Je le plains, comme je plains la plupart des hommes, concernant les femmes en tout cas. Je tente quand même de l'encourager, qu'il ne soit pas autant démoralisé pour une fille qu'il, finalement, ne connaît même pas. Sa présence dans sa vie n'est qu’éphémère, enfin, c'est ce que je me dis sur le moment, sans me douter une seule seconde que de un, je connais la fille en question et de deux, qu'elle va avoir un impact important dans sa vie. Mais pour le moment, cette fille ne semble pas être appréciée par Nam kyung, ce que je peux comprendre. Alors même que le film tourne la conversation dévie sur mon problème. C'est vrai qu'il pose la bonne question : est-ce que je déteste réellement cette personne ou non ? Mais dans mon esprit c'est aussi clair que l'eau de roche, je ne peux pas supporter cet homme. Le simple fait de le voir me met dans un état de lassitude et d'énervement. Je n'ai qu'une envie, c'est de me débarrasser de lui, définitivement. « Mais vraiment ! Tu sais que l'emprise de l'alcool fait faire des choses que l'on ne désire pas toujours ». Je lui pince fortement le bras alors qu'il ose dire que j'en avais probablement envie. Sérieusement ? Comment est-ce que je peux avoir envie d'un corps que je déteste ? « Puisque je te dis que l'alcool a juste fait quelques ravages. Je n'en avais réellement pas envie. C'est sûrement le dernier homme avec qui j'aurai couché », j'insiste sur les derniers mots, essayant de lui faire comprendre à quel point cette situation n'était pas de mon ressort. L'alcool et la prise de drogue ont eu le don de me donner quelques hallucinations. C'est tout. « Si tu me redis ça, une seule fois, je te promets de te ficeler à une chaise ». Je lui lance un regard provocateur, l'intimant de ne pas le répéter. Je hausse des sourcils, me rappelant brusquement le contact de sa chair contre la mienne. Ce n'était pas si désagréable que ça et même plutôt surprenant. Dans le bon sens. « ça va. Ce n'était pas si . . . fade ». J'esquisse un sourire, fière de cet adjectif. « Mais ça ne va plus jamais se renouveler. J'ai fait l'erreur une fois, je ne vais pas la refaire deux fois. A croire qu'on est destinés à faire des erreurs toi et moi. Faut juste se dire que ces personnes là sont juste de passage . . . et oublier ». Mais c'est plus facile à dire qu'à faire.
Plus j'écoute les paroles de mon meilleur ami, plus je me dis que les femmes ont tendance à être bien trop complexes. Je plains vraiment la gente masculine, ça ne doit pas être facile d'essayer de nous déchiffrer, puisque nous-mêmes, nous sommes compliquées entre nous et nous ne saisissons pas toujours tout. Je pense que si j'avais été un homme, j'aurai été homosexuel, juste à cause de la complexité des femmes et leur prise de tête en continue. Je le plains, comme je plains la plupart des hommes, concernant les femmes en tout cas. Je tente quand même de l'encourager, qu'il ne soit pas autant démoralisé pour une fille qu'il, finalement, ne connaît même pas. Sa présence dans sa vie n'est qu’éphémère, enfin, c'est ce que je me dis sur le moment, sans me douter une seule seconde que de un, je connais la fille en question et de deux, qu'elle va avoir un impact important dans sa vie. Mais pour le moment, cette fille ne semble pas être appréciée par Nam kyung, ce que je peux comprendre. Alors même que le film tourne la conversation dévie sur mon problème. C'est vrai qu'il pose la bonne question : est-ce que je déteste réellement cette personne ou non ? Mais dans mon esprit c'est aussi clair que l'eau de roche, je ne peux pas supporter cet homme. Le simple fait de le voir me met dans un état de lassitude et d'énervement. Je n'ai qu'une envie, c'est de me débarrasser de lui, définitivement. « Mais vraiment ! Tu sais que l'emprise de l'alcool fait faire des choses que l'on ne désire pas toujours ». Je lui pince fortement le bras alors qu'il ose dire que j'en avais probablement envie. Sérieusement ? Comment est-ce que je peux avoir envie d'un corps que je déteste ? « Puisque je te dis que l'alcool a juste fait quelques ravages. Je n'en avais réellement pas envie. C'est sûrement le dernier homme avec qui j'aurai couché », j'insiste sur les derniers mots, essayant de lui faire comprendre à quel point cette situation n'était pas de mon ressort. L'alcool et la prise de drogue ont eu le don de me donner quelques hallucinations. C'est tout. « Si tu me redis ça, une seule fois, je te promets de te ficeler à une chaise ». Je lui lance un regard provocateur, l'intimant de ne pas le répéter. Je hausse des sourcils, me rappelant brusquement le contact de sa chair contre la mienne. Ce n'était pas si désagréable que ça et même plutôt surprenant. Dans le bon sens. « ça va. Ce n'était pas si . . . fade ». J'esquisse un sourire, fière de cet adjectif. « Mais ça ne va plus jamais se renouveler. J'ai fait l'erreur une fois, je ne vais pas la refaire deux fois. A croire qu'on est destinés à faire des erreurs toi et moi. Faut juste se dire que ces personnes là sont juste de passage . . . et oublier ». Mais c'est plus facile à dire qu'à faire.
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Re: Let's always be stupid [Feat. Nam Kyung] | Sam 29 Oct - 13:34
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Mo Yeon ne me fera pas croire que l'alcool est le seul fautif dans cette histoire. Je veux bien admettre qu'il ait quelque peu - pour ne pas dire beaucoup - altéré sa façon de voir les choses et qu'il a parfois tendance à nous rendre un peu trop joyeux, à tel point que l'on puisse tomber dans les bras d'une personne que l'on déteste du plus profond du cœur. Mais je n'en démords pas... Si elle l'a fait, c'est que quelque part, au fond d'elle, elle en avait envie. Les choses ne se passent jamais sans raison et l'alcool n'en est pas une suffisante dans un cas comme celui-ci. Il n'a juste été qu'un déclencheur. Haussant alors les épaules, je m'exclame : « Je sais surtout qu'il nous fait faire des choses qu'on s'interdit de faire en temps normal mais qui, au fond, ne nous déplairaient pas tant que ça... » Ces paroles me valent d'ailleurs d'être pincé (et pas doucement parce que Momo elle n'y va jamais avec le dos de la cuillère quand elle fait quelque chose), ce qui m'arrache une grimace. Toutefois, cela ne m'arrête pas et, peu convaincu par les paroles de la jeune femme, je laisse échapper un « Si tu le dis... » quand elle me répète qu'elle déteste ce garçon et qu'il est le dernier mec sur cette planète avec lequel elle aurait voulu coucher. Si elle ne l'avait pas déjà fait... Je me retiens d'ailleurs de lui rappeler ce point et lève les yeux au ciel en l'entendant me menacer. Puis, finalement, un sourire en coin, un brin amusé, prend possession de mon visage quand elle m'avoue avoir trouvé que ce n'était pas "si fade" que ça, pour reprendre ses termes. Et bien... On progresse, pas vrai ? Taquin, je me permets d'ailleurs de lâcher un « Ne jamais dire jamais... » quand elle ne peut s'empêcher de rajouter un "mais" à la suite de son aveu, et ce, au risque d'une nouvelle fois me faire martyriser (à croire que j'ai des tendances masochistes), avant d'acquiescer à ses derniers mots. Passant ensuite mon bras autour de ses épaules, je la serre contre moi et la secoue légèrement, avant de dire : « Ahlalala ma pauvre Momo ! On a vraiment pas de chance, tous les deux ! » Tournant la tête vers elle, je lui adresse un sourire et finis par ajouter : « Peut-être qu'on devrait partir loin de tous ces idiots, toi et moi. Hein, qu'est-ce que tu en dis ? On pourrait vivre heureux... » Prenant un air exagérément sérieux, je m'amuse à énumérer les points positifs - ou pas - qu'une telle décision aurait sur nos vies : « Je nous vois bien dans une super maison de campagne. On aurait de supers bambins et on pourrait passer notre temps à converser avec Satan grâce à tes supers pouvoirs. Et, promis, tu auras droit à tout le super pop corn que tu veux ! » Je lui adresse un grand sourire et poursuis, moqueur : « Oh non, ne me remercie pas ! Faut bien entretenir ton gros cul, Madame Baikardashian ! » Est-ce que ça ne s'appelle pas signer son arrêt de mort, là, ce que je viens de faire à l'instant ?
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Re: Let's always be stupid [Feat. Nam Kyung] | Ven 4 Nov - 17:53
J'entrouvre quelques secondes ma bouche mais la referme immédiatement comprenant que cela ne sert à rien d'essayer de me défendre et de trouver une excuse quant à mes actions. Je ne pense pas avoir eu, une fois, envie du corps de Calvin, ni d'avoir eu envie de lui tout court, c'est juste arrivé, mes pulsions féminines prenant le dessus. Mais peut-être, et je dis bien peut-être, qu'il n'a pas si tort que ça. Il faut bien avoir un peu d'envie pour avoir une telle relation avec un individu, alors cela signifierait-il que j'ai eu envie de Calvin ? Au moins une fois ? C'est particulièrement perturbant et je préfère me dire le contraire au lieu d'affirmer de tels dires. Je sais que Nam Kyung ne me croit absolument pas et je pousse un long soupir après l'avoir pincé, « tu vas me faire réfléchir là-dessus maintenant » dis-je avec une petite grimace, posant totalement mon visage dans le lit, comme pour étouffer tout ça. Je chasse quand même rapidement ces quelques idées qui traversent mon esprit à l'heure actuelle pour ne pas m'attarder trop sur cette histoire qui me prend, malheureusement, la tête. Je me fais alors brusquement secouer par mon meilleur ami comme s'il souhaite me réveiller. « Yah ! » dis-je en faisant une grimace des plus horribles. Quelle violence ! Je rigole quand même lorsqu'il me précise que nous n'avons pas de chance en ce moment. C'est vrai que lui n'en a malheureusement pas eu avec cette femme qui est dans la fraternité, et moi, avec cet homme que je suis censée détester. Je m'étrangle presque lorsqu'il dit que l'on devrait partir tous les deux pour vivre ensemble. Je rigole doucement, imaginant une scène. Je m'arrête brusquement et regarde mon meilleur ami, un sourcil levé. C'était marrant jusqu'à ce qu'il parle de mon gros cul. « Ah ! Ah ! Ah ! », je prends son coussin et le lui balance, essayant de l'étouffer avec quelques secondes, « Voilà ce qu'il te dit mon gros cul ! ». Je m'éloigne ensuite et lui lance un regard noir, « de toute manière on ne peut pas fuir et être heureux ensemble, on risque plus de se taper sur le système et de se fuir l'un et l'autre. Tu t'imagines toi, vivre avec moi ? Aish . . . horrible ! Ça me donne des frissons tellement » dis-je en gesticulant soudainement comme prise par quelques soubresauts. Même si c'est mon meilleur ami et que je le connais bien, je doute pouvoir vivre en sa compagnie. Ça risque plus de nuire à notre relation qu'autre chose. « Des bébés MoNam, ça pousse à la destruction du pays, moi je te le dis ! », et encore je pèse mes mots. « Sois heureux avec une autre que moi s'il te plaît », je lui fais un grand sourire et lui tapote le haut du crâne, comme un enfant, « et j'espère être présente à ton mariage, sinon je jure de faire appel à Satan pour qu'il t'envoie un sortilège et que tu sois malheureux toute ta vie ».
J'entrouvre quelques secondes ma bouche mais la referme immédiatement comprenant que cela ne sert à rien d'essayer de me défendre et de trouver une excuse quant à mes actions. Je ne pense pas avoir eu, une fois, envie du corps de Calvin, ni d'avoir eu envie de lui tout court, c'est juste arrivé, mes pulsions féminines prenant le dessus. Mais peut-être, et je dis bien peut-être, qu'il n'a pas si tort que ça. Il faut bien avoir un peu d'envie pour avoir une telle relation avec un individu, alors cela signifierait-il que j'ai eu envie de Calvin ? Au moins une fois ? C'est particulièrement perturbant et je préfère me dire le contraire au lieu d'affirmer de tels dires. Je sais que Nam Kyung ne me croit absolument pas et je pousse un long soupir après l'avoir pincé, « tu vas me faire réfléchir là-dessus maintenant » dis-je avec une petite grimace, posant totalement mon visage dans le lit, comme pour étouffer tout ça. Je chasse quand même rapidement ces quelques idées qui traversent mon esprit à l'heure actuelle pour ne pas m'attarder trop sur cette histoire qui me prend, malheureusement, la tête. Je me fais alors brusquement secouer par mon meilleur ami comme s'il souhaite me réveiller. « Yah ! » dis-je en faisant une grimace des plus horribles. Quelle violence ! Je rigole quand même lorsqu'il me précise que nous n'avons pas de chance en ce moment. C'est vrai que lui n'en a malheureusement pas eu avec cette femme qui est dans la fraternité, et moi, avec cet homme que je suis censée détester. Je m'étrangle presque lorsqu'il dit que l'on devrait partir tous les deux pour vivre ensemble. Je rigole doucement, imaginant une scène. Je m'arrête brusquement et regarde mon meilleur ami, un sourcil levé. C'était marrant jusqu'à ce qu'il parle de mon gros cul. « Ah ! Ah ! Ah ! », je prends son coussin et le lui balance, essayant de l'étouffer avec quelques secondes, « Voilà ce qu'il te dit mon gros cul ! ». Je m'éloigne ensuite et lui lance un regard noir, « de toute manière on ne peut pas fuir et être heureux ensemble, on risque plus de se taper sur le système et de se fuir l'un et l'autre. Tu t'imagines toi, vivre avec moi ? Aish . . . horrible ! Ça me donne des frissons tellement » dis-je en gesticulant soudainement comme prise par quelques soubresauts. Même si c'est mon meilleur ami et que je le connais bien, je doute pouvoir vivre en sa compagnie. Ça risque plus de nuire à notre relation qu'autre chose. « Des bébés MoNam, ça pousse à la destruction du pays, moi je te le dis ! », et encore je pèse mes mots. « Sois heureux avec une autre que moi s'il te plaît », je lui fais un grand sourire et lui tapote le haut du crâne, comme un enfant, « et j'espère être présente à ton mariage, sinon je jure de faire appel à Satan pour qu'il t'envoie un sortilège et que tu sois malheureux toute ta vie ».
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Re: Let's always be stupid [Feat. Nam Kyung] | Lun 28 Nov - 1:03
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Momo, elle a le sang chaud. Du moins, d’aussi loin que je m’en souvienne, ça a toujours été le cas (comprenez donc par là, depuis que nous nous connaissons). Du coup, lorsque je me risque une nouvelle fois à la provoquer sur son derrière, je sais que les représailles ne tarderont pas à arriver. C’est toujours comme ça avec elle… C’est plutôt facile de la faire réagir. En tout cas, ça l’a toujours été pour moi. Après, je ne sais pas si c’est aussi le cas avec tout le monde mais mademoiselle Baikardashian est du genre légèrement impulsive sur les bords. C’est pourquoi, lorsque je la vois s’emparer de ce coussin pour tenter de m’étouffer, je ne suis pas étonné. C’est une folle. Tout le monde le sait depuis le temps. Une envoyée de Satan… Pourtant, tout ce que je trouve à faire alors que la jeune femme plaque le coussin sur mon visage, c’est rire. Rire comme un con parce que ça me fait marrer de la voir dans un tel état. Parce que ça me fait marrer de la pousser à bout. De toute façon, ça a toujours été comme ça entre nous... On se taquine, on se chamaille et on se balance des vacheries à longueur de temps. C’est pourquoi, aux paroles de ma meilleure amie, je ne peux m’empêcher de lâcher un rire. En effet. Si l’on devait vivre ensemble, ça tournerait certainement très vite au cauchemar. Que dis-je ? A l’apocalypse… « Ouais, t’as raison… Maintenant que j’y pense, ça me fait froid dans le dos, à moi aussi… » Mauvaise idée, donc. « Je préfère encore vivre seul jusqu’à la fin de mes jours… » Et j’suis des plus sérieux, hein… D’ailleurs, je plains réellement l’homme qui passera sa vie avec ma meilleure amie. Il lui faudra beaucoup de courage et de patience… Ainsi qu’une bonne dose de folie, ça ne fait aucun doute, parce que pour souhaiter épouser Mo Yeon, il faut vraiment être fou… Quoique… De nos jours, rien que le fait de penser se marier un jour, relève de la folie… Les gens sont devenus tellement hypocrites et le mariage ne signifie plus grand-chose, aujourd'hui. Il n’y a qu’à voir comment la grande majorité d’entre eux finissent, de par le monde… Fronçant donc les sourcils, je repousse la main de Mo Yeon, alors que celle-ci s’amuse à me tapoter la tête, et m’exclame : « Alors, tu peux l’appeler tout de suite, ton bon vieux copain Satan, parce que ce n’est pas demain la veille que tu seras invitée à mon mariage ! » J’hausse ensuite les épaules, et rajoute : « Franchement… Tu me crois suffisamment stupide pour accepter de me laisser entraîner dans la dernière forme d’esclavage légale qui existe ? » Parce que oui, croyez-le ou non, le mariage est une forme d’esclavage. Ça vous lie à vie à une personne (tout du moins dans notre pays où le divorce est assez mal vu) et en plus ça vous impose de nombreuses obligations envers cette même personne qui, bien souvent, dans notre époque actuelle, s’avère ne pas être la bonne... Je ne suis pour autant pas contre la mariage, n'allez pas croire une telle chose. Mais le jour où je me marierais, ce sera réellement une date à marquer d'une pierre blanche...
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Re: Let's always be stupid [Feat. Nam Kyung] | Jeu 1 Déc - 18:52
Je ne veux pas tuer mon meilleur ami, ce n'est pas mon but principal ou mon but tout court, je veux juste me venger de ses paroles. Rien de bien méchant. De toute manière, il le sait puisqu'il se met à rire au lieu de se défendre, à croire que c'est un jeu pour lui. Heureusement qu'il le prend ainsi, sachant les quelques rumeurs sur moi on pourrait penser que j'essaie de le tuer pour l'amener jusqu'à Satan. Pathétique. J'ai du mal à concevoir que certaines personnes aient de telles pensées, mais ils pensent ce qu'ils désirent, je n'en ai que faire. Je me calme et fais ensuite référence au fait de vivre ensemble. Ce qui n'est pas imaginable. Tous les deux, on risque de finir dans un asile pour fous à cette allure-là. « Au moins on est d'accord sur ça ! Ça me rassure », comme quoi, il est possible de penser la même chose. Même si je sais pertinemment que c'est le cas sur plusieurs sujets. J'ouvre légèrement, plus en grand, ma bouche, prenant un air offusqué. « Tu n'oserais pas quand même ? Dis moi que tu n'oserais pas ? ». Je cligne plusieurs fois des yeux, même si je sais que la réponse est négative, malgré le fait qu'il ose dire le contraire. Il va toujours contredire de toute façon. Je hausse ensuite des épaules alors qu'il précise qu'il n'est pas assez stupide pour se marier et esquisse un sourire lorsqu'il parle d'esclavagiste. C'est ainsi qu'il voit le mariage, comme une situation relevant de l'esclavagiste ? Il a une vision quelque peu sombre, mais en même temps, je suis totalement d'accord avec lui. Je ne compte pas me marier, puisque de toute manière je ne crois pas aux mariages. De nos jours les personnes s'aiment, puis se séparent et trouvent d'autres personnes, jusqu'à n'en plus finir. Il n'y a plus de mariage qui tienne. En tout cas, pas comme dans le passé car il y a plus de difficultés au sein des couples et c'est bien pour cette raison que je crois peu aussi à la notion de couple. Pour moi, c'est impossible de rester longtemps avec une autre personne, parce que je ne crois simplement pas en l'amour. Ou du moins, je n'y crois plus. Je considère juste cela comme une manière pour l'homme de ne pas être seul, pendant très longtemps, un moyen de compenser un manque affectif, rien de plus. « Tu as tellement raison. Le mariage c'est se créer sa propre prison . . . de nos jours plus personne ne tient en couple. On s'attache, on décide de vivre avec, puis on se sépare et on recommence. Le mariage n'a plus la même notion qu'avant », et de toute manière, je n'ai pas une bonne expérience du mariage et surtout pas du couple. « Et puis tu sais, je doute pouvoir me mettre en couple un jour . . . sur une longue période. Je n'y crois pas. On profite juste de la personne un temps, pour ne pas se sentir seul et puis on s'épuise et voilà. Autant ne pas se mettre en couple pour ressentir le besoin de se mettre avec une autre personne après. Tu ne penses pas ? ».
Je ne veux pas tuer mon meilleur ami, ce n'est pas mon but principal ou mon but tout court, je veux juste me venger de ses paroles. Rien de bien méchant. De toute manière, il le sait puisqu'il se met à rire au lieu de se défendre, à croire que c'est un jeu pour lui. Heureusement qu'il le prend ainsi, sachant les quelques rumeurs sur moi on pourrait penser que j'essaie de le tuer pour l'amener jusqu'à Satan. Pathétique. J'ai du mal à concevoir que certaines personnes aient de telles pensées, mais ils pensent ce qu'ils désirent, je n'en ai que faire. Je me calme et fais ensuite référence au fait de vivre ensemble. Ce qui n'est pas imaginable. Tous les deux, on risque de finir dans un asile pour fous à cette allure-là. « Au moins on est d'accord sur ça ! Ça me rassure », comme quoi, il est possible de penser la même chose. Même si je sais pertinemment que c'est le cas sur plusieurs sujets. J'ouvre légèrement, plus en grand, ma bouche, prenant un air offusqué. « Tu n'oserais pas quand même ? Dis moi que tu n'oserais pas ? ». Je cligne plusieurs fois des yeux, même si je sais que la réponse est négative, malgré le fait qu'il ose dire le contraire. Il va toujours contredire de toute façon. Je hausse ensuite des épaules alors qu'il précise qu'il n'est pas assez stupide pour se marier et esquisse un sourire lorsqu'il parle d'esclavagiste. C'est ainsi qu'il voit le mariage, comme une situation relevant de l'esclavagiste ? Il a une vision quelque peu sombre, mais en même temps, je suis totalement d'accord avec lui. Je ne compte pas me marier, puisque de toute manière je ne crois pas aux mariages. De nos jours les personnes s'aiment, puis se séparent et trouvent d'autres personnes, jusqu'à n'en plus finir. Il n'y a plus de mariage qui tienne. En tout cas, pas comme dans le passé car il y a plus de difficultés au sein des couples et c'est bien pour cette raison que je crois peu aussi à la notion de couple. Pour moi, c'est impossible de rester longtemps avec une autre personne, parce que je ne crois simplement pas en l'amour. Ou du moins, je n'y crois plus. Je considère juste cela comme une manière pour l'homme de ne pas être seul, pendant très longtemps, un moyen de compenser un manque affectif, rien de plus. « Tu as tellement raison. Le mariage c'est se créer sa propre prison . . . de nos jours plus personne ne tient en couple. On s'attache, on décide de vivre avec, puis on se sépare et on recommence. Le mariage n'a plus la même notion qu'avant », et de toute manière, je n'ai pas une bonne expérience du mariage et surtout pas du couple. « Et puis tu sais, je doute pouvoir me mettre en couple un jour . . . sur une longue période. Je n'y crois pas. On profite juste de la personne un temps, pour ne pas se sentir seul et puis on s'épuise et voilà. Autant ne pas se mettre en couple pour ressentir le besoin de se mettre avec une autre personne après. Tu ne penses pas ? ».
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Re: Let's always be stupid [Feat. Nam Kyung] | Dim 2 Avr - 17:31
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Devant l'air faussement offusqué que prend ma meilleure amie, je suis obligé de rire. Moi, oser préférer vivre seul qu'avec elle ? « Bien sûr que oui... Qu'est-ce que tu crois ?! » Je la regarde, moqueur, et ajoute, en haussant faiblement les épaules : « On m'a toujours dit qu'il valait mieux vivre seul que mal accompagné alors... » Non pas que ma meilleure amie soit de mauvaise compagnie. Ce serait exagéré d'affirmer une telle chose. Puis, je ne serais certainement pas là, si je le pensais réellement. Mais... La supporter en tant qu'amie me suffit déjà bien assez. Je laisse à quelqu'un d'autre le plaisir de pouvoir vivre avec cette sauvage. Car sauvage, elle est, la demoiselle. Et si je n'en ai pas forcément donné l'impression, quand celle-ci a attenté à ma vie, il y a à peine quelques minutes, je ne veux pas prendre le risque de me faire étouffer à coup d'oreiller, pendant mon sommeil... Je ne suis pas assez fou ou inconscient pour ça. Tout comme je ne le suis pas assez pour m'engager avec quelqu'un. D'ailleurs, c'est vers ce sujet qu'est le mariage que finit par s'orienter notre conversation. Et, à en croire les dires de ma meilleure amie, je ne suis pas le seul à ne plus croire (pour peu que cela ait déjà été le cas un jour) en ce dernier. Faut dire que je n'ai pas forcément eu affaire aux meilleurs ambassadeurs de l’amour ou de la vie à deux. En effet. Mes parents ont rompu lorsque, du jour au lendemain, et alors que je n'avais que 5 ans, mon père a décidé de se barrer de la maison sans rien dire. Quant à ma mère, on ne peut pas vraiment affirmer qu’elle eut été un exemple de stabilité relationnelle, cette dernière ayant changé de partenaire comme de chemise, durant les deux années suivants sa rupture avec mon père. Courtes années après lesquelles elle a finalement décidé de m’abandonner, préférant nettement la compagnie de ses prétendants à celle de son fils. Mais passons… Chassant ces quelques pensées pas forcément des plus réjouissantes, j’écoute la jeune femme m’exposer son point de vue et il semblerait que l’on soit à peu près sur la même longueur d’ondes, pour le coup. « T’as pas tort… » A quelques détails près, tout du moins, car si je suis d’accord avec elle lorsqu’elle dit qu’aujourd’hui les couples qui durent se font de plus en plus rares, je le suis un peu moins quand elle conclue finalement que se mettre en couple n’est pas forcément une bonne chose, voire même une perte de temps, si c’est pour au final vouloir changer de partenaire ensuite. « Par contre, je ne pense pas que vouloir se mettre en couple soit forcément quelque chose d’inutile. Ce n’est pas parce qu’à termes tu finis par rompre pour te caser avec quelqu’un d’autre, que tout ce que tu as vécu durant le laps de temps où tu étais en couple, n’était pas bon à prendre… » En fait, la notion de couple ne me dérange absolument pas. C’est vraiment celle de l’engagement et du mariage, qui me rebute plus qu’autre chose… « Puis, j’suis sûr que tu dis ça, maintenant, mais on verra quand ça te tombera dessus sans crier gare ! » A ce moment-là, Madame « l’anti-couple » regrettera certainement ses dires. D’ailleurs, après cette petite conversation on ne peut plus empreinte de sérieux, je suis presque forcé de reprendre mes bonnes vieilles habitudes, à savoir faire chier ma meilleure amie... Et alors qu’une moue taquine prend possession de mon visage, je finis par ajouter sur un ton rempli de malice : « D’ailleurs, qui sait ?! Ce sera peut-être ta fameuse erreur d’un soir, le premier… Celui-là même que t’es censée détester… » Appuyant bien sur le « censé » que j’accompagne de guillemets exécutés avec les doigts (parce qu’il semblerait, en effet, que je ne veuille décidément pas la croire quand elle me dit vouer une certaine haine à ce garçon dans le lit duquel elle a fini), je laisse échapper un rire… « Au fait, tu m’as pas dit qui c’était ! Il est à la Yonsei ? Si ça se trouve, je le connais… »
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Re: Let's always be stupid [Feat. Nam Kyung] | Jeu 6 Avr - 19:19
J'esquisse un bref sourire, haussant finalement des épaules, l'air de consentir aux propos du jeune homme. Je m'enfonce légèrement dans le coussin, « tu n'as pas tort, j'abats les armes pour cette fois-ci ». Je ne peux finalement pas contredire ses dires. Il est préférable de vivre seul que de vivre mal accompagné et je sais pertinemment que je ne suis pas d'une très bonne compagnie, du moins pour un temps indéfini. Je lève ceci dit l'un de mes doigts, comme pour intervenir sur quelque chose d'essentiel, avant de réellement abandonner. « Mais d'une manière indirecte, je te le rappelle, tu vis actuellement en ma compagnie, on cohabite ensemble », je me redresse rapidement, un sourire sarcastique sur les lèvres. Ce n'est pas la même chose, c'est vrai. Il y a tellement de personnes dans cette fraternité qu'il est difficile d'être en permanence ensemble et puis ce n'est pas comme si nous étions que deux. C'est plus élargi que ça et parfois, à mon grand regret. Le sujet dérive alors sur le mariage, thème parfois sensible voir tabou. Pourtant, dans la société coréenne, c'est quelque chose de commun encore, que deux personnes qui s'aiment finissent par se marier, sans pouvoir se lâcher, à cause de la pression sociale et pas toujours parce qu'il y a encore de l'amour, mais les générations changent et les mentalités aussi. Je ne veux absolument pas me marier. De toute manière, dans ma tête, je ne vais jamais trouver un individu apte à me supporter ou même un individu vers qui je vais pouvoir me lâcher complètement, faire pleinement confiance. Ça n'existe pas. Du moins, pas dans mon monde actuel. Nam Kyung est quand même plus positif que moi concernant la mise en couple. Je fronce légèrement des sourcils me demandant quelle relation amoureuse a été bonne pour moi. Aucune. Enfin la seule que je considère comme réelle, n'a été que déchirure et poison. Rien de bien agréable. Et puis les autres, ce ne sont que des passagers, sans grande utilité. Peut-être comblent-ils juste un manque d'affection, un besoin d'être liée sans l'être à une autre personne ? Je ne sais pas et je n'ai pas envie de le savoir. Je pousse un faux rire. « Tu as peut-être raison, pour certaines personnes les relations apportent quelque chose, ne sont pas si inutiles que ça, mais pour le moment ce n'est pas mon cas et je te rassure, je doute changer un jour ma pensée. Jamais ». Paraît qu'il ne faut jamais dire jamais ?! Paraît oui. Mon visage prend brusquement un air de dégoût lorsque mon meilleur ami ose évoquer l'idée que ce coup d'un soir peut peut-être être celui qui va me faire changer d'avis. Je lui donne un brusque coup à l'épaule, « ahahah ! T'as la blague aujourd'hui Nam Kyung ». Cette idée est totalement ridicule et je doute que cela puisse se faire, même dans un univers alternatif. « Je le déteste vraiment Monsieur qui ne me croit pas ». Je suis juste pas crédible aujourd'hui. Mais demain, ça ira mieux. « Oh tu le connais très certainement. C'est le boulet de service que personne ne peut rater. Attends . . . il s'appelle comment encore ? ». Je pose ma main contre mon menton, faisant mine de chercher. Faut dire que j'ai pris l'habitude de l'appeler ducon aussi. « Calvin ! Tu connais ? Et la tienne ? Celle que tu as sauvé, je suppose que tu ne connais pas son identité ? ».
J'esquisse un bref sourire, haussant finalement des épaules, l'air de consentir aux propos du jeune homme. Je m'enfonce légèrement dans le coussin, « tu n'as pas tort, j'abats les armes pour cette fois-ci ». Je ne peux finalement pas contredire ses dires. Il est préférable de vivre seul que de vivre mal accompagné et je sais pertinemment que je ne suis pas d'une très bonne compagnie, du moins pour un temps indéfini. Je lève ceci dit l'un de mes doigts, comme pour intervenir sur quelque chose d'essentiel, avant de réellement abandonner. « Mais d'une manière indirecte, je te le rappelle, tu vis actuellement en ma compagnie, on cohabite ensemble », je me redresse rapidement, un sourire sarcastique sur les lèvres. Ce n'est pas la même chose, c'est vrai. Il y a tellement de personnes dans cette fraternité qu'il est difficile d'être en permanence ensemble et puis ce n'est pas comme si nous étions que deux. C'est plus élargi que ça et parfois, à mon grand regret. Le sujet dérive alors sur le mariage, thème parfois sensible voir tabou. Pourtant, dans la société coréenne, c'est quelque chose de commun encore, que deux personnes qui s'aiment finissent par se marier, sans pouvoir se lâcher, à cause de la pression sociale et pas toujours parce qu'il y a encore de l'amour, mais les générations changent et les mentalités aussi. Je ne veux absolument pas me marier. De toute manière, dans ma tête, je ne vais jamais trouver un individu apte à me supporter ou même un individu vers qui je vais pouvoir me lâcher complètement, faire pleinement confiance. Ça n'existe pas. Du moins, pas dans mon monde actuel. Nam Kyung est quand même plus positif que moi concernant la mise en couple. Je fronce légèrement des sourcils me demandant quelle relation amoureuse a été bonne pour moi. Aucune. Enfin la seule que je considère comme réelle, n'a été que déchirure et poison. Rien de bien agréable. Et puis les autres, ce ne sont que des passagers, sans grande utilité. Peut-être comblent-ils juste un manque d'affection, un besoin d'être liée sans l'être à une autre personne ? Je ne sais pas et je n'ai pas envie de le savoir. Je pousse un faux rire. « Tu as peut-être raison, pour certaines personnes les relations apportent quelque chose, ne sont pas si inutiles que ça, mais pour le moment ce n'est pas mon cas et je te rassure, je doute changer un jour ma pensée. Jamais ». Paraît qu'il ne faut jamais dire jamais ?! Paraît oui. Mon visage prend brusquement un air de dégoût lorsque mon meilleur ami ose évoquer l'idée que ce coup d'un soir peut peut-être être celui qui va me faire changer d'avis. Je lui donne un brusque coup à l'épaule, « ahahah ! T'as la blague aujourd'hui Nam Kyung ». Cette idée est totalement ridicule et je doute que cela puisse se faire, même dans un univers alternatif. « Je le déteste vraiment Monsieur qui ne me croit pas ». Je suis juste pas crédible aujourd'hui. Mais demain, ça ira mieux. « Oh tu le connais très certainement. C'est le boulet de service que personne ne peut rater. Attends . . . il s'appelle comment encore ? ». Je pose ma main contre mon menton, faisant mine de chercher. Faut dire que j'ai pris l'habitude de l'appeler ducon aussi. « Calvin ! Tu connais ? Et la tienne ? Celle que tu as sauvé, je suppose que tu ne connais pas son identité ? ».
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Re: Let's always be stupid [Feat. Nam Kyung] | Sam 30 Sep - 15:31
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Let's always be stupid
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Mo Yeon a raison. D'une certaine manière, nous sommes colocataires puisque vivant sous le même toit. Toutefois, haussant faiblement les épaules, une expression faussement innocente sur le visage, je lui indique la porte d'un léger mouvement de la tête et finis par m'exclamer : « M'enfin... Si l'envie me prend, je peux toujours te virer de ma chambre à coup de pied dans le derrière et fermer la porte à double tours ! » Arborant ensuite un sourire des plus taquins, j'agite légèrement mon pied et ajoute : « Tiens d'ailleurs je sens que ça me démange ! » Bon, ok, je plaisante. Pour l'instant, ça va... Elle ne me saoule pas trop encore. Puis, la conversation devient beaucoup trop marrante pour que je veuille la jeter tout de suite. Enfin, marrante... Ça dépend dans quel sens et ça dépend pour qui... Voir Mo Yeon tenter de se justifier, de se trouver des excuses quant à une possible relation future me fait bien rire, je l'avoue. Mais pas sur que ce soit son cas... Pourtant, ça ne m'empêche pas de la taquiner encore un peu et alors que la demoiselle semble être un peu trop sure d'elle, je finis par dire : « Reviens me voir dans quelques années et on en reparlera ! » Parce que c'est bien beau de jouer les rebelles au coeur de pierre en mode "personne n'arrivera jamais à me faire tomber amoureuse" mais moi je sais que ma meilleure amie possède un grand coeur capable d'aimer, malgré les apparences et les airs qu'elle tente de se donner. Elle ne serait pas ma meilleure amie sinon... Et qu'on se le dise, c'est souvent quand on s'y attend le moins et parfois même avec les personnes dont on se serait jamais douté que ça nous tombe dessus. C'est pourquoi, me frottant l'épaule après qu'elle m'ait gentiment administrer un coup, je prends un air tout ce qu'il y a de plus sérieux et m'exclame : « Mais je plaisante pas, Momo ! Je suis sérieux ! Tu ne sais pas ce que te réserve la vie. » Bon ok... Vu tout le bien qu'elle semble penser de ce mec, ça risque d'être difficile. Mais pas impossible, cependant. Après tout, ils ont déjà couché ensemble et même si Momo continue de se justifier en avançant la thèse de l'alcool, elle ne peut pas nier le fait qu'il y a au moins de l'attirance physique dans tout ça. « Toute façon, t'es butée. Je sais que je n'arriverais pas à te convaincre, là, maintenant mais retiens juste bien ça, Momo... Il n'y a qu'un pas entre l'amour et la haine, et ça marche aussi dans l'autre sens. » Esquissant un sourire en coin, je la gratifie d'un clin d'oeil et poursuis : « Tu verras, un jour, tu reviendras me voir pour me dire que j'avais raison ! » Parce que j'ai toujours raison... Ou pas. Mais on va faire comme si, hein... M'enfin, en tout cas, je l'avoue, je suis quand même curieux de savoir qui met ma Momo dans tous ses états et si je ne peux retenir un rire lorsqu'elle tente de faire croire que ce mec est tellement sans importance qu'elle en a même oublié son prénom, je fronce légèrement les sourcils quand elle finit par me donner son identité. Plongeant ensuite ma main dans les popcorns, j'en prends une poignée et les porte à ma bouche, avant d'hocher la tête négativement. « Non, connais pas ! » En même temps, c'est ma première année à la Yonsei et cela ne fait que quelques mois que je parcours le campus alors bon... « Mais c'est pas grave, tu me le présenteras, pas vrai ? » Une nouvelle fois, je laisse échapper un rire, amusé et moqueur, mais finis par dévisager légèrement ma meilleure amie, lorsqu'elle me demande quelques infos concernant cette fameuse Sango que j'ai eu la bonne idée de sauver des griffes de quelques cons. « Je te l'ai déjà dit... La seule chose que je sais d'elle c'est qu'elle est chez les Sango ! Je ne sais rien de plus la concernant, si ce n'est qu'elle traîne dans des endroits un peu louches. M'enfin, en même temps, ça m'étonne pas... Elle m'a tout l'air d'être l'une de ces gosses de riches qui se la jouent rebelles, en mode "j'fume un bédo parce que je sais que ça va pas plaire à papa le PDG de la grande entreprise du coin" ! » Je laisse échapper un faible rire, à la fois amusé mais également un brin contrarié, et pioche de nouveau dans les popcorns. « Quoique... Je crois quelle m'a dit son prénom, aussi, mais je m'en rappelle plus... » De nouveau, j'hausse les épaules, quelque peu je m'en foutiste, et finis par ajouter : « C'était un truc comme Lily, Ivy ou Cindy... Quelque chose dans ces eaux là, quoi ! Ça te parle ? »
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Re: Let's always be stupid [Feat. Nam Kyung] | Jeu 5 Oct - 19:00
Je fais mine de reculer, fixant intensément son pied, retroussant légèrement mon nez. « Tu n’as pas intérêt à me toucher avec ton pied. Tu risques de le regretter sinon » dis-je en essayant d’être menaçante, même si ce n’est pas toujours mon fort. Heureusement pour lui qu’il ne fait que plaisanter et puis de toute manière je sais pertinemment que si j’étais réellement encombrante il m’aurait déjà viré de sa chambre depuis quelques minutes déjà. Il aime juste bien me provoquer de temps en temps, rien de bien méchant. La conversation dévie de sa route initiale, me faisant hausser des épaules, un sourire douteux sur les lèvres. Je ne veux pas lui dire que je suis certaine que mon destin va rester le même, ou du moins que je vais rester la même. Je ne vois pas pour quelle raison je changerai ma manière de pensée, il faudrait très certainement un miracle ou quelques rebondissements importants dans ma vie pour me changer, même un peu. Néanmoins je sais qu’il a peut-être raison sur le fait que je ne sais pas ce que la vie me réserve, pas concernant Calvin car je sais pertinemment qu’entre lui et moi il n’y aura que de la taquinerie et rien de plus, mais dans ma vie quotidienne. J’ai bien retrouvé mon frère alors que tout pensait à croire que je n’allais jamais pouvoir le revoir. La vie est faite de surprises, bonnes comme mauvaises, et je ne peux malheureusement pas toujours la contrôler. « Peut-être bien que oui, peut-être bien que non. Je ne sais peut-être pas tout sur ce que me réserve la vie mais il y a certaines choses dont je suis certaine », comme le fait que ma relation avec cet homme ne changera jamais. Je finis donc par lui avouer l’identité de ce dit-homme et fort heureusement il ne le connait pas. Je pense que j’aurais été mal à l’aise si cela avait été le cas et surtout s’il avait été un bon ami à lui. « Ahaha ! Bien sûr que je te le présenterai, quand il sera 6 pieds sous terre ». Je n’ai aucune envie meurtrière, il ne faut surtout pas le croire, ou peut-être un peu. Et puis, je ne vois pas pourquoi je présenterai un homme inutile à mon meilleur ami. Le jour où je présenterai réellement un homme à Nam Kyung les poules auront des dents. Il va donc devoir patienter. Je ne peux m’empêcher de rire lorsqu’il évoque la fameuse fille qu’il a tenté de sauver, imaginant totalement le genre de fille qu’elle peut être. Pourtant je n’ai pas l’impression d’en avoir vu une dans la fraternité telle qu’il la décrit en tout cas. Je prends à mon tour un peu de pop-corn amusée par les remarques de mon meilleur ami. « Tu ne sembles vraiment pas l’apprécier, la pauvre. Je suis sûre que tu la diabolises plus qu’elle ne l’est vraiment », mais en même temps j’aurai fait la même chose si j’avais été à sa place. Je manque toutefois de m’étrangler quand il évoque quelques prénoms et surtout lorsqu’il prononce le prénom Iv. « QUOI ? », je ne peux m’empêcher de pousser un petit cri, espérant ne pas avoir raison. « Attends . . . attends », je prends rapidement mon téléphone et lui sors alors une photo de mon amie Ivy, croisant les doigts pour que ça ne soit pas elle, « ne me dis pas que c’est cette fille-là ? Rassure-moi ! ». Non parce que si c’est le cas ce n’est absolument pas le genre de fille qu’il m’a décrit . . . quoique ça ne m’étonnerait pas de sa part qu’elle ait refusé son aide. Ça serait tout de même drôle de savoir que c’est elle dont il parle. La vie est faite de coïncidences toutes aussi surprenantes les unes des autres . . .
Je fais mine de reculer, fixant intensément son pied, retroussant légèrement mon nez. « Tu n’as pas intérêt à me toucher avec ton pied. Tu risques de le regretter sinon » dis-je en essayant d’être menaçante, même si ce n’est pas toujours mon fort. Heureusement pour lui qu’il ne fait que plaisanter et puis de toute manière je sais pertinemment que si j’étais réellement encombrante il m’aurait déjà viré de sa chambre depuis quelques minutes déjà. Il aime juste bien me provoquer de temps en temps, rien de bien méchant. La conversation dévie de sa route initiale, me faisant hausser des épaules, un sourire douteux sur les lèvres. Je ne veux pas lui dire que je suis certaine que mon destin va rester le même, ou du moins que je vais rester la même. Je ne vois pas pour quelle raison je changerai ma manière de pensée, il faudrait très certainement un miracle ou quelques rebondissements importants dans ma vie pour me changer, même un peu. Néanmoins je sais qu’il a peut-être raison sur le fait que je ne sais pas ce que la vie me réserve, pas concernant Calvin car je sais pertinemment qu’entre lui et moi il n’y aura que de la taquinerie et rien de plus, mais dans ma vie quotidienne. J’ai bien retrouvé mon frère alors que tout pensait à croire que je n’allais jamais pouvoir le revoir. La vie est faite de surprises, bonnes comme mauvaises, et je ne peux malheureusement pas toujours la contrôler. « Peut-être bien que oui, peut-être bien que non. Je ne sais peut-être pas tout sur ce que me réserve la vie mais il y a certaines choses dont je suis certaine », comme le fait que ma relation avec cet homme ne changera jamais. Je finis donc par lui avouer l’identité de ce dit-homme et fort heureusement il ne le connait pas. Je pense que j’aurais été mal à l’aise si cela avait été le cas et surtout s’il avait été un bon ami à lui. « Ahaha ! Bien sûr que je te le présenterai, quand il sera 6 pieds sous terre ». Je n’ai aucune envie meurtrière, il ne faut surtout pas le croire, ou peut-être un peu. Et puis, je ne vois pas pourquoi je présenterai un homme inutile à mon meilleur ami. Le jour où je présenterai réellement un homme à Nam Kyung les poules auront des dents. Il va donc devoir patienter. Je ne peux m’empêcher de rire lorsqu’il évoque la fameuse fille qu’il a tenté de sauver, imaginant totalement le genre de fille qu’elle peut être. Pourtant je n’ai pas l’impression d’en avoir vu une dans la fraternité telle qu’il la décrit en tout cas. Je prends à mon tour un peu de pop-corn amusée par les remarques de mon meilleur ami. « Tu ne sembles vraiment pas l’apprécier, la pauvre. Je suis sûre que tu la diabolises plus qu’elle ne l’est vraiment », mais en même temps j’aurai fait la même chose si j’avais été à sa place. Je manque toutefois de m’étrangler quand il évoque quelques prénoms et surtout lorsqu’il prononce le prénom Iv. « QUOI ? », je ne peux m’empêcher de pousser un petit cri, espérant ne pas avoir raison. « Attends . . . attends », je prends rapidement mon téléphone et lui sors alors une photo de mon amie Ivy, croisant les doigts pour que ça ne soit pas elle, « ne me dis pas que c’est cette fille-là ? Rassure-moi ! ». Non parce que si c’est le cas ce n’est absolument pas le genre de fille qu’il m’a décrit . . . quoique ça ne m’étonnerait pas de sa part qu’elle ait refusé son aide. Ça serait tout de même drôle de savoir que c’est elle dont il parle. La vie est faite de coïncidences toutes aussi surprenantes les unes des autres . . .
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Re: Let's always be stupid [Feat. Nam Kyung] | Ven 1 Déc - 23:45
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Et voilà... Fallait s'y attendre. Des menaces, encore et toujours... Pourtant, je sais très bien que ma meilleure amie ici présente ne ferait pas de mal à une mouche. Elle en est incapable... Car sous ses airs de jeune femme toujours en colère se cache une crème. Un vrai p'tit marshmallow tout doux... Alors pourquoi tenter de faire croire le contraire ? Ça, c'est THE question à un million de wons. D'ailleurs, la voir tenter de me prouver par a + b que jamais, ô grand jamais, elle ne pourrait tomber sur la perle rare, celui qui fera battre son petit coeur tout mou à la chamade, me fait particulièrement rire aussi. Elle essaye tellement de faire croire aux autres qu'elle est incapable d'aimer que je crois qu'elle a fini par s'en convaincre elle-même. Mais moi, je sais... Je la connais suffisamment pour savoir qu'elle n'est pas ce coeur de pierre dénué de tout sentiment et que la probabilité qu'elle tombe amoureuse un jour est plus grande qu'elle le croit. Alors, certes... Ce n'est peut-être pas de ce mec avec qui elle a couché qu'elle tombera in love. Mais oui... Je suis sur qu'un homme, en ce bas monde, saura faire battre son coeur, un jour. Me contentant donc d'hausser les épaules, je finis tout simplement par lâcher : « Tu parles... On ne peut jamais être sur de rien, dans la vie. Encore moins, concernant ce genre de chose... Mais si ça te fait plaisir de le penser, continue de te voiler la face, bff d'amour ! » Ébouriffant légèrement les cheveux de Mo Yeon, dans un geste taquin mais également affectif, cette dernière me révèle finalement l'identité de celui avec lequel elle s'est laissée aller aux désirs de la chair et un rire s'échappe de ma bouche à sa réponse, après que je lui ai demandé de me le présenter. « Le pauvre... Voilà que tu cherches à l'enterrer, maintenant... » Je ne sais pas ce qu'il lui a fait pour qu'elle s'acharne autant sur sa personne mais, à l'entendre, c'est comme s'il s'agissait de quelque chose d'abominable. Mais est-ce vraiment à lui qu'elle en veut ? Ou se pourrait-il que Madame culpabilise de s'être laissée aller dans ses bras et ne trouve rien d'autre que de lui rejeter la faute dessus ? Mystère et boule de gomme. En tout cas, en ce qui me concerne, je suis sûr et certain que ce que je reproche à cette nana que j'ai rencontré l'autre soir est tout à fait légitime. « Je pourrais te retourner tes paroles... Mais non, je suis certain de ne pas la diaboliser. C'est pas mon genre de juger une personne si rapidement. Toi même tu le sais. Tu m'connais... Mais elle, franchement... » Laissant ma phrase en suspend, c'est finalement à mon tour de subir un interrogatoire sur ma mauvaise rencontre et, alors que je lui dévoile son identité, non sans mal, la réaction de ma meilleure amie ne manque pas de me surprendre. « Quoi "quoi" ? » La jugeant quelque peu du regard alors qu'elle sort son portable, je fixe l'écran de ce dernier et là... J'avoue que pendant un court instant, j'ai comme un bug en voyant que oui... La nana que je vois en photos sur son phone est bien la nana que j'ai rencontré l'autre soir. « Et toi ne me dis pas que t'es pote avec elle ?! » Sauf que si, c'est le cas, faut croire... Car je vois mal Mo Yeon prendre des photos avec n'importe qui... « J'y crois pas... » Une mine des plus blasées, je laisse échapper un soupir. Le monde est petit. Beaucoup trop petit... « Sérieux... Si je n'en faisais pas partie, je serais presque tenter de te dire d'apprendre à mieux choisir tes potes... » Oui, j'avoue, pour le coup j'suis pas cool. Ce qui ne me ressemble pas, d'ailleurs. Mais c'est le choc... Ça passera sûrement. Peut-être... « T'es consciente que ta pote, elle a presque failli m'arracher la tête alors que je ne faisais que l'aider ?! » Et maintenant qu'elle sait que c'est une de ses potes, je m'attends clairement à entendre des "mais non, elle est sympa" ou des "si tu la connaissais, tu ne dirais pas qu'elle est méchante". Sauf que si, je le dis... Sa pote est pas cool. Et elle m'a pas du tout donné envie d'apprendre à la connaître, c'est certain... « Sérieux... J'crois que je vais vraiment aller m'exiler loin d'ici... » Ouais, voilà, j'vais partir loin... Très loin...
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