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we are awesome ft kazu le parrain
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we are awesome ft kazu le parrain | Dim 19 Juin - 2:59
Comme à chaque fois que Li Wei pointe son nez chez les Jeongals, elle était dans la cuisine. Il fallait croire que c’était devenu une véritable obsession, qu’elle passait sa vie dans cette pièce si lumineuse dans lequel elle s’amusait à créer mille mets et ces affirmations ne sont pas fausses. N’ayant jamais eu l’occasion de s’amuser avec les ingrédients au sein de sa prison dorée, elle avait commencé la cuisine arrivée en Corée et elle avait adorée ça. Alors elle testait un milliard de recette sur les autres membres de la fraternité, des exclusivités comme des choses plus traditionnelles. Si un jour ils venaient à tous devenir obèses, cela serait de la faute de Li Wei.
Mais cette fois-ci, la chinoise n’était pas aux fourneaux. Non, un livre de sociologie sous le nez, elle tentait difficilement de réviser. La musique qui résonnait dans le salon la déconcentrée un peu mais cela ne la dérangeait pas. Cela avait été beaucoup plus gênant lorsqu’elle était encore de l’autre côté avec quelques autres scorpions. Ils voulaient s’amuser, c’est normal qu’il fasse du bruit. Elle avait donc pris l’initiative d’elle-même de s’isoler dans la cuisine où régnait un léger silence mais pièce qui restait cependant connectée à sa voisine.
Li Wei commençait à en avoir assez, trop en tête. Les dernières phrases qu'elle avait lu faisant encore écho dans sa boîte crânienne. Pourquoi ciel a t-elle pris la sociologie? C'est une matière intéressante certes, mais il y a tellement de termes complexes, de définitions et de personnages à retenir qu'elle ne savait plus où donner de la tête. Mais elle persistait, parce que c'est comme cela qu'on lui avait appris. Elle persistait au risque de devenir complètement folle.
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Mais cette fois-ci, la chinoise n’était pas aux fourneaux. Non, un livre de sociologie sous le nez, elle tentait difficilement de réviser. La musique qui résonnait dans le salon la déconcentrée un peu mais cela ne la dérangeait pas. Cela avait été beaucoup plus gênant lorsqu’elle était encore de l’autre côté avec quelques autres scorpions. Ils voulaient s’amuser, c’est normal qu’il fasse du bruit. Elle avait donc pris l’initiative d’elle-même de s’isoler dans la cuisine où régnait un léger silence mais pièce qui restait cependant connectée à sa voisine.
Li Wei commençait à en avoir assez, trop en tête. Les dernières phrases qu'elle avait lu faisant encore écho dans sa boîte crânienne. Pourquoi ciel a t-elle pris la sociologie? C'est une matière intéressante certes, mais il y a tellement de termes complexes, de définitions et de personnages à retenir qu'elle ne savait plus où donner de la tête. Mais elle persistait, parce que c'est comme cela qu'on lui avait appris. Elle persistait au risque de devenir complètement folle.
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Re: we are awesome ft kazu le parrain | Sam 25 Juin - 13:24
Elle était loin l’époque où ce lieu était que très peu fréquenté. Je me souvenais encore quand la terrasse sur le toit n’accueillait que moi et moeko pour nos escapades nocturnes et nos discussions à n’en plus finir sur l’existence du monde ici bas. Ils étaient loin les moments de calme et de tranquillité. Depuis peu, les jéongals avaient connu une augmentation de ses membres fulgurante. Je pensais au début que ça me déplairait et que je perdrais mes repères si durement acquis, mais je me trompais. Toutes ces amés errantes qu’on avait recueillis, on se ressemblait tous au fond, même si on n’avait pas le même but. Et même, en très peu de temps, on avait tissé des liens uniques dans le genre. On était devenu une grande famille sans même s’en rendre compte. Et c’était pas pour me déplaire. Je me surprenais souvent à sourire et à me sentir à ma place au milieu de ces joyeux lurons, comme si ca l’avait toujours été. C’était donc naturellement que j’étais devenu le parrain d’une de nos nouvelles recrues. La petite Liwei. Une charmante créature qu’on aurait presque peur de briser. Le salon résonnait de la musique dont les filles avaient augmenté le volume pour jouer les danseuses improvisées au milieu de la table basse. Une bande de tarés je vous dis. Bien que le spectacle fût des plus divertissants, je me levais de mon siège, allumant une clope au passage, laissant un nuage de nicotine dans mon sillage. J’avais repéré ma noire préférée se diriger vers la cuisine, et rien que de la voir entrer dans cette pièce, me mettait déjà l’eau à la bouche, surtout quand on était au courant de ses talents culinaires. Avant qu’elle n’arrive, cette cuisine restait souvent inoccupée, et n’était pas utilisé à sa juste valeur. Aujourd’hui, ca avait bien changé. Je salivais déjà rien qu’à penser à ses mini-burgers. Aaaah la viande rouge et moi, une grande histoire d’amour ! J’arrivais à pas de loup, m’apercevant qu’elle avait le nez dans un bouquin. Je passais derrière elle, jetant un coup d’œil à peine discret par-dessus son épaule, un peu déçu de voir un livre de sociologie. Faisant la moue, je me décidais à lui faire part de ma présence. « Ce n’est pas une recette de cuisine, ca ! Moi qui pensais que tu nous prépares un de ces plats dont tu as le secret. »
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Re: we are awesome ft kazu le parrain | Lun 27 Juin - 0:37
Affalée sur la table de la cuisine, la jeune femme s’entêtait à répéter dans sa tête chaque définition. Plus les minutes passaient, plus elle sentait le mal de crâne venir, ce sentiment de lassitude la prendre comme pour l’écraser entre ses doigts et cette terrible envie d’attraper le livre pour le balancer. Toute personne censée aurait sûrement clos naturellement le livre pour remettre ces révisions à plus tard mais Li Wei doit être tout sauf censée. Après tout, elle ne sait pas étudier d’une autre manière : elle a toujours fait ainsi, se forcer, se forcer, se forcer. A force, cela en est devenu un automatisme. Elle entend encore la voix de son père gronder lorsqu’elle se met à reporter son attention trop longtemps sur une mouche ou encore un objet alors par automatisme, elle replonge dans son livre.
Elle se surprit elle-même à repenser à ses parents. Pour la première fois, elle vient à se demander si ils regrettent son départ, que feraient-ils si elle venait à revenir, changeraient-ils leur comportement ? Elle n’a pas le temps de réfléchir davantage à cette question que la voix de Kazuya la fit sursauter. « Tu m’as fait peur ! » S’exclamait-elle en riant en lui donnant une petite tape sur l’épaule. Elle tournait les yeux vers ce livre qu’elle n’avait que trop vu pour y tourner une page. « Eh non, pas de recette … » Elle terminait cette phrase par un soupir de désespoir, déjà blasée à l’idée de commencer une nouvelle lecture. Mais, qui l’oblige à continuer ? Son père n’est physiquement pas là pour la corriger, sa voix n’est que fictive et puis, n’a-t-elle pas quitter la Chine pour se délivrer de cette emprise constante sur sa vie ? N’est ce pas stupide de répéter ce schéma en Corée, endroit où elle a décidé de changer de vie. Décidée, elle fermait son livre pour se tourner vers son parrain avec un sourire. « Tu veux que je te prépare quoi ? »
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Elle se surprit elle-même à repenser à ses parents. Pour la première fois, elle vient à se demander si ils regrettent son départ, que feraient-ils si elle venait à revenir, changeraient-ils leur comportement ? Elle n’a pas le temps de réfléchir davantage à cette question que la voix de Kazuya la fit sursauter. « Tu m’as fait peur ! » S’exclamait-elle en riant en lui donnant une petite tape sur l’épaule. Elle tournait les yeux vers ce livre qu’elle n’avait que trop vu pour y tourner une page. « Eh non, pas de recette … » Elle terminait cette phrase par un soupir de désespoir, déjà blasée à l’idée de commencer une nouvelle lecture. Mais, qui l’oblige à continuer ? Son père n’est physiquement pas là pour la corriger, sa voix n’est que fictive et puis, n’a-t-elle pas quitter la Chine pour se délivrer de cette emprise constante sur sa vie ? N’est ce pas stupide de répéter ce schéma en Corée, endroit où elle a décidé de changer de vie. Décidée, elle fermait son livre pour se tourner vers son parrain avec un sourire. « Tu veux que je te prépare quoi ? »
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Re: we are awesome ft kazu le parrain | Mar 2 Aoû - 2:21
Je souris, fier malgré moi d’avoir réussi de la surprendre sans même l’avoir cherché. J’étais comme un gamin un peu sournois, un sourire au coin des lèvres, juste quand un adulte venait de découvrir ce qu’il avait fait et s’émerveillait face à cet exploit qui n’en était pas vraiment un. Je ne bougeais pas d’un pouce alors qu’elle me donnait une petite tape sur l’épaule, trop bien ancré sur mes jambes. En la voyait si désespérer face aux pages de son livres d’études, j’étais tenté de lui arracher des mes et de lui envoyer loin pour la voir sourire, ne serait-ce qu’une seconde ou deux. Et quand elle ferma le livre, c’est ce que je finis par faire. J’attrapais le bouquin et le lançait en direction du salon où on entendait un gros boum. Les autres qui s’y trouvaient encore devaient à peine se demander ce qu’il se passait. Apres tout, ce n’était pas la première fois que j’envoyais valdinguer des livres. Un nouveau sourire étirait mes lèvres, plus fier que jamais, je m’avançais vers elle, prenant appuient sur le coin de la table en y posant mes fesses. Quand elle me demandait enfin ce que je voulais qu’elle me prépare, mes yeux se mirent à pétiller tel un gamin face à son cadeau de Noel en avance. « Tes mini burgers !!! » m’enjouais-je à la limite de sauter sur place. Les burgers d’Eli végétariens, étaient à tomber, mais je tuerais pour avoir de la viande rouge sous la dent. « Je peux t’aider à faire quelque chose ? » même si j’étais un piètre cuisinier, en tant que parrain, je devais être aux petits soins avec ma filleule. J’avançais déjà vers la cuisine, la poussant à se déplacer plus vite, devenant presque impatient. J’ouvris le premier tiroir et en sortis le premier ustensile qui me tombait sous la main : une louche. « T’auras besoin de cela ? J’en fais quoi ? »
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Re: we are awesome ft kazu le parrain | Dim 7 Aoû - 17:39
Li Wei se sentait à la fois faible d’abandonner, mais d’un autre sens tellement libérée. Après tout, la frustration de faire quelque chose qu’elle ne souhaite pas n’est pas une bonne chose non plus. Elle a beau avoir une bonne mémoire, si elle n’enregistre pas les informations correctement, elle ne retiendra rien de bon. Il lui valait mieux d’arrêter et reprendre plus tard … peut-être. La jeune femme rit en voyant son parrain jeter littéralement le livre comme la chose insignifiante que cet objet est. Elle le regarde s’avancer vers elle et sourit de plus belle face à son engouement tandis qu’il lui demandait des mini burgers. « Si tu veux ! » Déclare t-elle en riant et ce de plus belle lorsqu’il la forçait à avancer plus vite. Depuis quand ne s’est-il pas nourrit dit donc ? La jeune femme commençait à sortir les steaks hachés du congélateur et tournait la tête pour regarder ce qu’il lui présentait. … Une louche … Elle restait là à le regarder d’un air curieux avant de se mettre à rire. « Non pas tellement. Cherche la pince pour retourner la viande, un couteau et une poêle ? Ne te blesse pas hein !!! » Elle ponctue sa phrase par un rire en ouvrant le saint Graal, le grand, le magnifique : frigidaire. Elle y sortait des tomates, de la salade et toutes les sauces possibles et imaginables. « Ne suis-je donc pas la meilleure filleul que tu ais jamais eu ? » Demandait-elle avec un sourire immense en levant les yeux vers la grande personne qu’il est.
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Re: we are awesome ft kazu le parrain | Lun 10 Oct - 2:04
Je souris instantanément alors que la jeune femme acceptait mon caprice de l’instant. Je la suivais déjà dans la cuisine, l’incitant à accélérer pour entamer la préparation de ces délicieux mini-burgers. J’entendais déjà mon ventre gargouillé et ma bouche salivée rien qu’à la pensée du gout savoureux de sa cuisine. Cherchant à l’aider, j’avais sorti la première chose qui m’était tombé sous la main, convaincu qu’elle en aurait besoin. En entendant son rire retentir, je devais bien me rendre à l’évidence que ca ne lui servirait à rien. Je n’étais qu’un piètre cuisiner. On avait bien essayé de m’apprendre, mais la cuisine avait failli prendre feu. Je hochais la tête face aux instructions qu’elle me donnait, prenant très au sérieux ma nouvelle mission. Je retournais l’entièreté de deux tiroirs avant de trouver enfin à ce qui ressemblait à une pince à viande et à un grand couteau de cuisine. Je les déposais délicatement sur le plan de travail à coté de Lili. « Je fais bien attention, maman, t’as vu ? » La taquinais-je avant de partir à la conquête d’une poêle. A quatre pattes sur le carrelage de la cuisine, la tête dans l’armoire, j’enquêtais sur le dernier point demandé quand je l’entendis se lancer des fleurs. « La seule et l’unique. » répliquais-je, ma voix en partie étouffer par l’acoustique du bois. Je n’allais tout de même pas la contre dire d’entrée de jeu, je risquais de me faire retirer mes burgers avant même d’y gouter. Je n’étais pas si idiot. « EUREKA ! » hurlais-je en sortant la poêle, me cognant la tête. « Aish ! » grognais-je tout en me frottant le haut du crane tout en me redressant et lui tendant ma trouvaille. « Je pense que tout y est cette fois, et que je ne me suis pas trompé. » J’étais loin d’être un idiot, j’étais même en un génie en ce qui concernait mon domaine d’étude, mais en ce qui concernait la cuisine, c’était plus qu’un casse-tête pour moi. Heureusement que ma filleul était là …
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Re: we are awesome ft kazu le parrain | Lun 10 Oct - 15:20
Kaz est adorable. Tellement attentif, si mignon et surtout, il l’écoute lorsqu’elle a besoin de raconter sa vie. Elle se sent toujours très fière d’affirmer qu’il est son parrain, celui qui la prit sous son aile lorsqu’elle est arrivée comme un cheveu sur la soupe chez les Jeongals. Elle estime qu’elle lui doit beaucoup au sujet de son intégration et de ce fait, il lui semble impensable de lui refuser quoique ce soit, bien qu’elle lui fasse la cuisine avec un plaisir immense et sans fin. Alors volontier, elle s’était laissée guider vers les fourneaux pour lui, connaissant mieux que personne son amour pour les mini-burgers.
Après l’avoir fait rire avec cette louche qu’il lui avait tendu l’air fier, elle rit à nouveau quand il vient à lui déposer tout ce qu’elle lui avait demandé - du premier coup - en l’appelant maman au passage. “Je suis si fière de toi ! “ Ricanait-elle en partant à la recherche des ingrédients frais pour cette fameuse recette. Elle pose le tout sur la table et prend un air réfléchie, se tapotant le menton en regardant les étagères, alors qu’elle se demandait où elle avait bien pu mettre les mini-pains. Elle sursauta légèrement en l’entendant se cogner mais ne put s’empêcher de pouffer de rire. Mais quelle banane celui-là ! Elle prend la poële qui lui tend avec un sourire jusqu’aux oreilles et passe sa main dans ses cheveux comme pour passer la douleur. “ Mais ne serais-tu pas un grand chef à le devenir ? ” Elle rit un peu avant de lui montrer du doigt, sur la pointe des pieds, un meuble qui lui est trop difficilement accessible de par sa taille “réduite. “ Tu peux regarder si les pains sont dedans? Je suis trop petite … “ Déclarait-elle avec une moue d’enfant, triste de constater qu’elle ne grandira plus et qu’elle ne touchera jamais sans l’aide de quelqu’un ou d’un objet, ce meuble si haut.
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Après l’avoir fait rire avec cette louche qu’il lui avait tendu l’air fier, elle rit à nouveau quand il vient à lui déposer tout ce qu’elle lui avait demandé - du premier coup - en l’appelant maman au passage. “Je suis si fière de toi ! “ Ricanait-elle en partant à la recherche des ingrédients frais pour cette fameuse recette. Elle pose le tout sur la table et prend un air réfléchie, se tapotant le menton en regardant les étagères, alors qu’elle se demandait où elle avait bien pu mettre les mini-pains. Elle sursauta légèrement en l’entendant se cogner mais ne put s’empêcher de pouffer de rire. Mais quelle banane celui-là ! Elle prend la poële qui lui tend avec un sourire jusqu’aux oreilles et passe sa main dans ses cheveux comme pour passer la douleur. “ Mais ne serais-tu pas un grand chef à le devenir ? ” Elle rit un peu avant de lui montrer du doigt, sur la pointe des pieds, un meuble qui lui est trop difficilement accessible de par sa taille “réduite. “ Tu peux regarder si les pains sont dedans? Je suis trop petite … “ Déclarait-elle avec une moue d’enfant, triste de constater qu’elle ne grandira plus et qu’elle ne touchera jamais sans l’aide de quelqu’un ou d’un objet, ce meuble si haut.
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Re: we are awesome ft kazu le parrain | Ven 6 Jan - 23:33
On ne pouvait trouver plus adorable que Li Wei. Une jeune femme pour qui j’avais eu un coup de foudre amical à son entrée même de la fraternité. Et mon instinct ne s’était pas trompé, surtout quand il s’agissait de mon estomac. Cette petite avait un don pour la cuisine, c’était inimaginable. En un rien de temps, elle m’avait déjà redu accroc à ses petits plats, et surtout à ses mini-burgers. Je tuerais pour un mon steak saignant. Quand j’avais débarqué à la planque, je n’étais pas certain de l’y trouver, mais par chance, elle était là. Il me suffisait que je lui sorte mes yeux de chiens battus pour qu’elle me fasse à bouffer pour qu’elle craque. En même temps, je ferais n’importe quoi pour qu’elle accepte. Ne répétez pas cela à CheaNah. Rien que pour le fait que je puisse penser qu’il y ait meilleure cuisinière qu’elle sur cette terre, elle serait capable de me foutre un cadenas sur le frigo. Mon cauchemar !
Quand je revins vers elle avec tout ce qu’elle me demandait, et une blessure de guerre en prime, je souriais en coin, un brin de fierté dans le regard. Je fermais les yeux alors que ses doigts s’entremêlaient à mes cheveux. Un geste qu’elle ne savait pas encore, mais qui m’apaisait et me rendait docile. Mon talon d’Achille en quelque sorte. Je me surpris à penser qu’elle avait l’air plus mature quand elle souriant, ce qui lui donnait ce charme qui n’était que bien à elle. Je tournais la tete sur le côté pour lui donner un meilleur angle. Si j’avais pu ronronner, je l’aurais fait. Je grognais un peu de frustration quand elle arrêtait son geste, me résignant à ouvrir les yeux, et à sourire devant une telle mignonnerie. Je passais derrière elle pour accéder au meuble qu’elle me montrait. « Tu n’as pas assez mangé de ta bonne soupe quand tu étais petite ? » la taquinais-je alors que je me pressais un peu contre elle pour atteindre mon objectif. Ne me rendant en aucun cas compte que mon geste pouvait être mal interprété. Voyant mon saint-graal, je les attrapais aisément, avant de me reculer un peu et de les lui donner. « Les voilà, chef ! ».
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Quand je revins vers elle avec tout ce qu’elle me demandait, et une blessure de guerre en prime, je souriais en coin, un brin de fierté dans le regard. Je fermais les yeux alors que ses doigts s’entremêlaient à mes cheveux. Un geste qu’elle ne savait pas encore, mais qui m’apaisait et me rendait docile. Mon talon d’Achille en quelque sorte. Je me surpris à penser qu’elle avait l’air plus mature quand elle souriant, ce qui lui donnait ce charme qui n’était que bien à elle. Je tournais la tete sur le côté pour lui donner un meilleur angle. Si j’avais pu ronronner, je l’aurais fait. Je grognais un peu de frustration quand elle arrêtait son geste, me résignant à ouvrir les yeux, et à sourire devant une telle mignonnerie. Je passais derrière elle pour accéder au meuble qu’elle me montrait. « Tu n’as pas assez mangé de ta bonne soupe quand tu étais petite ? » la taquinais-je alors que je me pressais un peu contre elle pour atteindre mon objectif. Ne me rendant en aucun cas compte que mon geste pouvait être mal interprété. Voyant mon saint-graal, je les attrapais aisément, avant de me reculer un peu et de les lui donner. « Les voilà, chef ! ».
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Re: we are awesome ft kazu le parrain | Sam 7 Jan - 0:03
Qu’aurait-elle pu faire d’autres que de céder face à ses grands yeux la suppliant à part se mettre aux fourneaux ? Même si à ce moment-là elle n’était pas bien concentrée, cela aurait fonctionné dans le cas contraire. En réalité, Li Wei avait prit les jeongals à cœur. Ils ressemblaient un peu à une famille, celle qu’elle n’avait jamais eu, celle dont elle avait toujours rêvée. Bien loin de l’autorité rigoureuse qui eut rythmée son enfance, ils lui offraient toute la liberté qu’elle avait ratée démontrant parfaitement que ce n’est pas parce que nous sommes aussi libre que l’air que notre vie dégringolera complètement. Si elle n’avait pas su trouver sa place avec les pyobeoms, elle se sentait comme chez elle plus que jamais chez les scorpions. Pour rien au monde elle ne regrette son choix.
Un rire s’échappait de ses lèvres lorsque Kazuya se cognait maladroitement la tête. Dans un signe affectueux presque devenu un réflexe depuis qu’elle est la nourrice de Min Yul, elle frottait doucement sa main sur sa tête en une caresse. Geste que le jeune homme semblait appréciait puisqu’elle le vit fermer les yeux, présentant davantage sa tête pour qu’elle puisse lui caresser davantage. Elle s’appliquait plus qu’elle ne l’avait prévu mais tout de même contrainte de s’arrête au bout d’un moment. Les minis-burgers n’allaient pas se faire tout seul !
Face à la lourde réalité de sa petite taille et de ce meuble bien trop haut, elle réclamait l’aide de son parrain avec une mine boudeuse. Tel le superhéros qu’il est depuis son arrivée, il passait derrière elle pour lui venir en aide. « Pourtant si … les soupes de mon enfance étaient peut-être contrefaite, après tout la Chine est bien connue pour ça. » Ricanait-elle en levant la tête pour le regarder faire. A aucun moment elle ne trouvait son geste déplacé ou dérangeant. Il ne faisait de rien à part lui donner les pains de burgers après tout. Elle récupérait les petits pains qu’il lui donnait. Elle posait ces derniers sur le plan de travail en lui indiquant. « Tu peux les couper en deux si tu veux pendant que je coupe et fait cuire les steaks ? » Lui proposait-elle sans trop lui laisser le choix puisqu’elle lui tendait déjà un couteau. Elle mit la viande à décongeler au micro-onde avant de se tourner vers Kazuya non pas pour vérifier son travail, mais pour discuter. « Qu’est ce qui se passe de nouveau dans la vie de mon merveilleux parrain ? » Demandait-elle en affichant un large sourire.
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Un rire s’échappait de ses lèvres lorsque Kazuya se cognait maladroitement la tête. Dans un signe affectueux presque devenu un réflexe depuis qu’elle est la nourrice de Min Yul, elle frottait doucement sa main sur sa tête en une caresse. Geste que le jeune homme semblait appréciait puisqu’elle le vit fermer les yeux, présentant davantage sa tête pour qu’elle puisse lui caresser davantage. Elle s’appliquait plus qu’elle ne l’avait prévu mais tout de même contrainte de s’arrête au bout d’un moment. Les minis-burgers n’allaient pas se faire tout seul !
Face à la lourde réalité de sa petite taille et de ce meuble bien trop haut, elle réclamait l’aide de son parrain avec une mine boudeuse. Tel le superhéros qu’il est depuis son arrivée, il passait derrière elle pour lui venir en aide. « Pourtant si … les soupes de mon enfance étaient peut-être contrefaite, après tout la Chine est bien connue pour ça. » Ricanait-elle en levant la tête pour le regarder faire. A aucun moment elle ne trouvait son geste déplacé ou dérangeant. Il ne faisait de rien à part lui donner les pains de burgers après tout. Elle récupérait les petits pains qu’il lui donnait. Elle posait ces derniers sur le plan de travail en lui indiquant. « Tu peux les couper en deux si tu veux pendant que je coupe et fait cuire les steaks ? » Lui proposait-elle sans trop lui laisser le choix puisqu’elle lui tendait déjà un couteau. Elle mit la viande à décongeler au micro-onde avant de se tourner vers Kazuya non pas pour vérifier son travail, mais pour discuter. « Qu’est ce qui se passe de nouveau dans la vie de mon merveilleux parrain ? » Demandait-elle en affichant un large sourire.
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Re: we are awesome ft kazu le parrain | Sam 17 Juin - 16:12
« La chine est une experte dans ce domaine. » boudais-je soudainement en l’écoutant parler des contrefaçons. Je fis la grimace en repensant à ma calendre de moto qui avait explosé en morceaux alors qu’elle avait à peine reçu un petit choc. Je m’étais laissé berner par le vendeur. Néanmoins, je devais lui accorder le fait qu’il est doué dans cette matière, car rare étaient-ceux qui était parvenu cet exploit. « C’est donc la faute des chinois si tu as une petite taille. » ajoutais-je tout en tirant la langue de manière contrarié. Je lui déposais les petits pains au creux de sa main avant de me remettre sur le côté. « Bien chef ! » Une fois n’était pas coutume qu’une femme puisse me donner des ordres. Cependant, j’étais pire qu’un éléphant dans un magasin de porcelaine quand il s’agissait de la cuisine, et puis, j’étais celui qui avait réclamé des mini-burgers. Je devais mettre la main à la pâte. J’attrapais ensuite un couteau dans une main, et un pain dans l’autre, entreprenant de le couper en deux au-dessus d’une plaque à découper. Je haussais les épaules quand elle me demandant ce qu’il y avait de neuf dans ma vie. Un léger sourire se dessinait aux coins de mes lèvres alors que je me perdais dans les souvenirs nostalgiques. « Je suppose que l’on peut dire que ca va un peu mieux ? » ma dépression de ces dernières semaines, ce n’était un secret pour personne. Bien que pour ceux qui ne me connaissaient pas très bien, j’avais juste une humeur plus maussade que d’habitude. Et puis même, si j’avais essayé de le cacher à Liwei, cela n’avait pas duré longtemps. Cette fille est pire que Chaenah quand elle a décidé de s’immiscer dans votre vie, au point de pas lâcher l’affaire tant qu’elle n’a pas obtenue ce qu’elle voulait. Pire que des sangsues ! Elles m’avaient eu à l’usure. Au fond, elles avaient bien fait, c’était un peu grace à elles que je me sentais mieux. « Ah ! Il y a cette meuf aux cheveux roses qui passe son temps à me faire chier ces derniers temps. Et je te parle même pas de ma tête en apprenant que c’était ma nouvelle colloc. » Crachais-je soudainement énervé. Elle me sortait par les trous de nez, et je ne m’autorisais pas à la regarder telle une femme… car elle lui ressemblait trop à mon gout … elle me rappelait des souvenirs douloureux, et j’étais un peu beaucoup rancunier comme mec… du coup, elle subissait à sa place. Le couteau s’abattit d’une traite dans le pain, le tranchant nettement en deux. « Il t’en faut combien ? » Je fronçais les sourcils. Ca m’énervait d’avantage que cette nana puisse avoir un tel effet sur moi.
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