Page 1 sur 2 • 1, 2
Black Swan ft Olympe
Invité
Invité
Black Swan ft Olympe | Jeu 7 Juil - 19:01 Citer EditerSupprimer
black swan
Feat Olympe
Tenue ♡ lundi. midi. habituellement jun est le genre d'homme à manger dans sa chambre; en bon nerd caché derrière son pc. généralement il ne suit aucun horaire lorsqu'il s'agit de ses repas; il grignote à n'importe quelle heure du jour et de la nuit du moment qu'il a faim; et en soit il remercie fortement la boxe thaï pour les kilos qu'il ne prend guère grâce à ce sport. jun est difficile lorsqu'il s'agit de s'alimenter; le poissons, les fruits de mer; la viande bien trop rouge ou les légumes trop cuit lui donnent la nausée avant même qu'il n'ai eu à les ingérer; un regard; une odeur et le voici dénué de toute envie de s'alimenter. c'est bien là la raison pour laquelle il évite soigneusement de manger au restaurant universaire en plus du brouhaha incessant qui y reigne. un lieu où se mêlent bien trop d'odeurs et de sons pour qu'il ne puisse réellement y apprécier un repas. mais voilà. à force de toujours rejeter les invitations de ses colocataires à se joindre à eux entre deux cours pour déjeuner, le jeune étudiant finit par être à court d'excuses et dieu sait à quel point il déteste mentir.c'est donc pour cela qu'il se retrouve à tenir entre ses deux mains un plateau; avançant lentement au fur et à mesure que les élèves choisissent leur plat. il est crispé, sans aucun doute parcequ'il bloque sa respiration, n'inspirant par la bouche que lorsqu'il se sent virer au rouge. l'odeur est plus intense au buffet; il en a déjà fait l'expérience, et le plat à base de poissons indiqué au menu n'hésitera pas une seule seconde à lui faire rendre les dernier cheetos ingérés. entrée: kimchi ; plat : steack/frite ; dessert ; yaourt sans sucre. rien de bien appétissant mais il s'est assuré que le steack soit bien cuit; très cuit de sorte à ne guère avoir à subir le goût du sang. s'avançant délicatement; il s'autorise enfin à reprendre sa respiration en arrivant à la hauteur de la cuisinère chargée d'encaisser les repas et à qui il tend sa carte étudiant préalablement rechargé. " merci. " se contente t-il d'adresser à celle-ci après avoir effectué le paiment, pénétrant à l'intérieur du réfectoire; sachant d'hors et déjà que ses colocataires le suivrait lorsqu'ils auraientt finis à leur tour de payer.
bondé. tout ce qu'il détestait. les rires; les conversations bien trop bruyantes, l'odeur des différents plats proposés se mélangeant les unes aux autres et les regards curieux de certains élèves qui se posaient sur lui. désinteressé; son regard se déplace de table en table à la recherche d'un table qui serait libre ou du moins partiellement libre et ne tarde pas longtemps à en repérer une. une table partiellement libre et dont une partie est occupée par une touffe de cheveux qui ne lui est guère méconnaissable et qui lui redonnait immédiatement sa bonne humeur. un sourire légèrement mesquin dessinnait sur ses lèvres; il se dirigeait donc d'un pas assuré vers la table en question; y posant son plateau avant de ne tourner la tête vers la jeune demoiselle. " puis je m'asseoir ici ? " la questionnait-il avant de ne tirer la chaise adjacente à la demoiselle tout en rajoutant d'un air soudainement sur sarcastique. " en fait non; je ne te demande pas ton avis et je m'assoie tiens. " Olympe, olympe, olympe. toi; meilleure amie de la maladroite miyeon; toi le vilain petit canard si difficilement suportable mais dont la persécution rendait extrêmement jouisible le cotoiement. " t'as fouillé dans la garde robe de ta grand mère ? " son regard posé sur la demoiselle il arque un sourcil avant de se concentrer sur son assiette de kimchi; planta sa fourchette dans le légume qu'il vient ensuite glisser entre ses lèvres; mâchouillant légèrement. jun aimait avoir ses têtes; ses personnes qu'il aimait atrocement embêter. il ne choisissait jamais des personnes trop faibles; cela n'était aucunement intéressant si on ne lui répondait guère et son but n'était pas de persécuter pas au sens propre du moins. " je paris que tu as mangé du poisson; enfin j'espère que c'est le cas sinon tu sens pas la rose bella. " il plisse légèrement le nez, un faux air de dégoût dessiné sur son visage. finalement ce n'était pas une si mauvaise idée que ça de venir à la cafétéria right ?
bondé. tout ce qu'il détestait. les rires; les conversations bien trop bruyantes, l'odeur des différents plats proposés se mélangeant les unes aux autres et les regards curieux de certains élèves qui se posaient sur lui. désinteressé; son regard se déplace de table en table à la recherche d'un table qui serait libre ou du moins partiellement libre et ne tarde pas longtemps à en repérer une. une table partiellement libre et dont une partie est occupée par une touffe de cheveux qui ne lui est guère méconnaissable et qui lui redonnait immédiatement sa bonne humeur. un sourire légèrement mesquin dessinnait sur ses lèvres; il se dirigeait donc d'un pas assuré vers la table en question; y posant son plateau avant de ne tourner la tête vers la jeune demoiselle. " puis je m'asseoir ici ? " la questionnait-il avant de ne tirer la chaise adjacente à la demoiselle tout en rajoutant d'un air soudainement sur sarcastique. " en fait non; je ne te demande pas ton avis et je m'assoie tiens. " Olympe, olympe, olympe. toi; meilleure amie de la maladroite miyeon; toi le vilain petit canard si difficilement suportable mais dont la persécution rendait extrêmement jouisible le cotoiement. " t'as fouillé dans la garde robe de ta grand mère ? " son regard posé sur la demoiselle il arque un sourcil avant de se concentrer sur son assiette de kimchi; planta sa fourchette dans le légume qu'il vient ensuite glisser entre ses lèvres; mâchouillant légèrement. jun aimait avoir ses têtes; ses personnes qu'il aimait atrocement embêter. il ne choisissait jamais des personnes trop faibles; cela n'était aucunement intéressant si on ne lui répondait guère et son but n'était pas de persécuter pas au sens propre du moins. " je paris que tu as mangé du poisson; enfin j'espère que c'est le cas sinon tu sens pas la rose bella. " il plisse légèrement le nez, un faux air de dégoût dessiné sur son visage. finalement ce n'était pas une si mauvaise idée que ça de venir à la cafétéria right ?
Invité
Invité
Re: Black Swan ft Olympe | Ven 8 Juil - 9:25 Citer EditerSupprimer
black swan
Feat babo-Seo Jun
Les effluves des divers repas qui se présentent face à moi me font quelque peu chavirer le cœur, enivrant mes narines de leurs douces mélodies. Mon corps se sent apaisé, serein, face à de telles senteurs. Mon ventre cesse alors, subitement, de crier famine pour soupirer d'aise, il sait que dans quelques secondes il va recevoir son dû tant désiré. Pourtant les choix qui se trouvent devant moi ne sont pas si exquis que ça, et manquent même cruellement de couleurs, ou même d'épices, mais malgré tout, j'apprécie la vue de ces aliments et surtout j'apprécie leurs odeurs. Je ne suis franchement pas compliquée lorsqu'il s'agit de nourriture et le moindre petit bol, même de riz, a le don de me combler, pour le plus grand plaisir de ces dames, qui nous servent avec un entrain incroyable, ironiquement parlant. Sauf bien sûr lorsque mon visage apparaît dans leur champ de vision, elles en deviennent beaucoup plus agréables. Il faut dire que je dois certainement être la seule à me lécher les babines à la vue de ces repas de cantine, si peu coûteuses et si peu alléchantes pour la majorité des étudiants. Tandis que moi, je leur remercie à chaque fois qu'elles posent une louche de nourriture dans mon assiette, avec un sourire émerveillé, me servant parfois même plus que la norme. Elles savent, par habitude, que j'aime la nourriture ici et que je ne m'en plains jamais. Je suis tellement une perle rare que j'ai, forcément, droit à quelques suppléments ou quelques surprises qu'elles conservent à l'abri des regards indiscrets, juste pour moi. Je n'y peux rien si la vie m'a faite ainsi, aimée par les cantinières. Enfin qu'importe, après avoir reçu ma commande, avec un donuts en guise de dessert, pour mes beaux yeux, je m'installe rapidement sur la seule table actuellement libre, me faufilant subtilement au travers de la foule qui s’ameute progressivement. Il y a toujours une foule incroyable dans ce restaurant universitaire, à croire que les étudiants préfèrent manger des repas de ce type que de manger tous les jours des sandwichs, ce que je peux comprendre, à force, on en fait une overdose. Quoique je doute un jour être lassée de poulets frits ou encore de takoyakis. J'aime tellement ça que je pourrai en prendre tous les jours, mais j'apprécie la diversification, aussi. Enfin qu'importe, la nourriture c'est la vie.
Installée sur une table, je plonge la tête dans mon assiette, jouissant de chaque petite bouchée, remplissant mes joues de nourriture, ne me souciant pas des regards étranges des autres autour de moi. Je ne me rends même pas compte qu'il y a un périmètre de protection entre les autres et moi, je suis bien trop concentrée sur mon repas pour me préoccuper de choses si futiles. Mâchant joyeusement les frites, je m'étrangle presque quand, en relevant mon visage, je tombe nez à nez avec cet idiot de Seo Jun. Je manque un hoquet, ne m'attendant pas à le voir de sitôt et ici. Je fronce des sourcils, ne semblant absolument pas ravie de le voir à mes côtés. J'étais si bien seule, pourquoi a t-il fallu qu'il se ramène, il y a d'autres places libres. Je lui lance un regard assassin quand, de nouveau, il ose critiquer ma tenue vestimentaire, manquant de goût selon lui. Certes je ne suis pas à la pointe de la mode mais je me sens bien ainsi, et ça, personne ne pourra y changer quoique ce soit. Ce qui me déplaît le plus ce n'est pas tant sa critique, j'en suis habituée, mais c'est le fait qu'il ose intégrer ma grand-mère, qui n'a rien à faire là-dedans. Il ne sait même pas à quoi elle ressemble, ni comment elle se revêtit, alors au lieu de critiquer, il ferait mieux de se taire. Et bien sûr, Monsieur se doit de surenchérir, ne me laissant pas le temps de contester, la bouche bien trop pleine, en se risquant à dire que je pue. Intérieurement je fulmine. C'est donc dans un mouvement grossier que je lui crache le reste de mes frites, encore présent dans ma bouche, au visage. « Oh pardon, j'ai pas fait exprès » dis-je avec un sourire au coin, mesquin, « je t'ai pris pour une poubelle, tu pardonneras ma négligence, je suis légèrement bigleuse ». Je grince des dents, lui lançant un regard noir, faisant une grimace des plus horribles. Je sais parfaitement bien que je viens tout juste de gâcher de la nourriture et cela me fait sincèrement mal au cœur, mais la tentation m'a poussé à agir de la sorte, ne regrettant absolument pas. Je prends un mouchoir, plein de mayonnaise, et fais mine d’essuyer son visage avec, pour l’enduire de cette douce sauce. Je suis certaine que grâce à moi il va avoir une peau douce et nette. « Et d'entre nous deux c'est toi qui pues. Si tu te plains tant que ça, pourquoi t'es venu t'asseoir sur la même table que moi, tu peux encore faire demi tour tu sais, j'ai pas besoin d'un babo comme toi, je préfère être seule que mal accompagnée », tout en exprimant de telles paroles, je pointe une de mes baguettes dans sa direction prête à l'attaquer.
La guerre va t'elle exploser de nouveau entre lui et moi ? Telle est la question . . .
Installée sur une table, je plonge la tête dans mon assiette, jouissant de chaque petite bouchée, remplissant mes joues de nourriture, ne me souciant pas des regards étranges des autres autour de moi. Je ne me rends même pas compte qu'il y a un périmètre de protection entre les autres et moi, je suis bien trop concentrée sur mon repas pour me préoccuper de choses si futiles. Mâchant joyeusement les frites, je m'étrangle presque quand, en relevant mon visage, je tombe nez à nez avec cet idiot de Seo Jun. Je manque un hoquet, ne m'attendant pas à le voir de sitôt et ici. Je fronce des sourcils, ne semblant absolument pas ravie de le voir à mes côtés. J'étais si bien seule, pourquoi a t-il fallu qu'il se ramène, il y a d'autres places libres. Je lui lance un regard assassin quand, de nouveau, il ose critiquer ma tenue vestimentaire, manquant de goût selon lui. Certes je ne suis pas à la pointe de la mode mais je me sens bien ainsi, et ça, personne ne pourra y changer quoique ce soit. Ce qui me déplaît le plus ce n'est pas tant sa critique, j'en suis habituée, mais c'est le fait qu'il ose intégrer ma grand-mère, qui n'a rien à faire là-dedans. Il ne sait même pas à quoi elle ressemble, ni comment elle se revêtit, alors au lieu de critiquer, il ferait mieux de se taire. Et bien sûr, Monsieur se doit de surenchérir, ne me laissant pas le temps de contester, la bouche bien trop pleine, en se risquant à dire que je pue. Intérieurement je fulmine. C'est donc dans un mouvement grossier que je lui crache le reste de mes frites, encore présent dans ma bouche, au visage. « Oh pardon, j'ai pas fait exprès » dis-je avec un sourire au coin, mesquin, « je t'ai pris pour une poubelle, tu pardonneras ma négligence, je suis légèrement bigleuse ». Je grince des dents, lui lançant un regard noir, faisant une grimace des plus horribles. Je sais parfaitement bien que je viens tout juste de gâcher de la nourriture et cela me fait sincèrement mal au cœur, mais la tentation m'a poussé à agir de la sorte, ne regrettant absolument pas. Je prends un mouchoir, plein de mayonnaise, et fais mine d’essuyer son visage avec, pour l’enduire de cette douce sauce. Je suis certaine que grâce à moi il va avoir une peau douce et nette. « Et d'entre nous deux c'est toi qui pues. Si tu te plains tant que ça, pourquoi t'es venu t'asseoir sur la même table que moi, tu peux encore faire demi tour tu sais, j'ai pas besoin d'un babo comme toi, je préfère être seule que mal accompagnée », tout en exprimant de telles paroles, je pointe une de mes baguettes dans sa direction prête à l'attaquer.
La guerre va t'elle exploser de nouveau entre lui et moi ? Telle est la question . . .
Invité
Invité
Re: Black Swan ft Olympe | Mar 19 Juil - 14:36 Citer EditerSupprimer
black swan
Feat Olympe
Tenue ♡ " Le malheur du regret est dans l'impossibilité du retour au passé. " on ne mélange guère les torchons avec les serviettes; citation que jun oublait que trop souvent; partant souvent du principe qu'il se devait de se sociabiliser coûte que coûte et ce même si autrui était relativement différent de lui. parcequ'il cherchait réellement à faire des efforts; à mettre fin à cette discrimination dont il avait longtemps fait preuve envers les personnes qui lui semblaient bien trop simples d'esprit pour qu'il ne prenne la peine de les fréquenter. certes il n'était pas tellement doué pour se sociabiliser pour ne pas dire qu'il était sacrément maladroit. Sarcastique et tenant parfois des propos relativement blessant; jun ne trouvait dans ce comportement que l'unique moyen d'accoster autrui; telle une carapace derrière laquelle il se permettait d'enfouir sa timidité et son côté introverti. mais cela ne plaisait malheureusement pas à tout le monde; et il en faisait parfois les frais. tout comme c'était à présent le cas. il s'était montré arrogant voir irrespectueux; ça il aurait aisément su l'admettre. une insulte aurait été belle et bien méritée; une claque surement exagérée lorsque l'on prenait en compte la nature de son sarcasme soit purement verbal. des frites mêlées à de la salive et préalablement mâchée ? il refoule difficilement la nausée qui tente de s'emparer de son être; les yeux fermés; le coeur tambourinant dans sa poitrine; témoignant non pas d'un état d'excitation intense mais bel et bien d'un état de colère immense. son cerveau fulmine; cherchant en vain la manière adéquate de répondre à cette pseudo agression qui dépasse; aux yeux du jeune homme; l'entendement.et si seulement il n'y avait eu que cela. si seulement elle avait eu la bonté d'esprit de s'en arrêter là; l'intelligence de prendre ses cliques et ses claques et de le laisser se démêler entre frites et salive.
mais non; il fallait croire que cette femme aimait se la jouer dans l'extrême; amplifiant un peu plus les conséquences qu'auraient ses actes. le tissus moite imbibé de mayonnaise vient délicatement s'écraser sur son visage, y tartinant voluptueusement le contenu de celui-ci. crispé; silencieux, les yeux fermés et le souffle coupé; il tente de maîtriser sa colère; de prendre sur lui et de relativiser. il les sent déjà; tout ses regards posés sur lui, il les entend; ses murmures surpris et souvent moqueurs puis ça lui revient en mémoire; comme si les années n'avaient guère passées. tête d'ampoule; tête de gland; glandus; intello; puceau .... il dégluttit douloureusement. les paroles de la jeune femme semblent soudainement inaudible. il se moque bien de ce qu'elle pourrait bien vouloir déblatérer. il a appris au fil des années qu'il est préférable de répondre aux imbéciles par le silence et aux cons par la patience. que la colère ne saurait qu'enchanter la demoiselle et offrir aux autres élèves le spectacle qu'ils attendaient impatiemment.
il s'essuie les yeux à l'aide d'une serviette; posant son regard sur la jeune femme; inexpressif. l'odeur de la mayonnaise lui donne la nausée mais il n'en laisse rien paraître. les sourcils froncés et sans un mot; il s'empare des baguettes de la jeune femme qu'il pose délicatement sur son plateau. aussi idiote soit-elle il ne s'aurait tolérer qu'elle lui plante une baguette dans l'oeil. puis il se relève, quittant ainsi sa chaise; debout face à la jeune femme. baissant la tête vers celle-ci; il affiche un léger sourire sadique; sa main droite se posant derrière la nuque de la jeune étudiante avant de ne murmurer à son égard. " je pardonne très difficilement olympe. " puis sans rajouter un mot; le voici qui vient coller son visage à celui de la demoiselle; se frottant à celle-ci; son nez s'écrasant contre le sien; tartinant la mayonnaise et le reste de frites mâchés sur le visage de son assaillante. le ridicule ne tue pas; paraît-il. disons que jun préfère encore être ridicule à deux et entraîner la jeune femme dans sa chute. se décollant de celle-ci; il fait mine de réfléchir avant de porter son index à sa propre joue pour en décoller un morceau de frite. " ce serait dommage de gaspiller. " la frite entre son index et son pouce le voici qui l'insère de force entre les douces lèvres de la demoiselle. gentille fifille. il n'aurait jamais imaginé aller aussi loin; mais si lui utilisait généralement la parole pour "emmerder" autrui; elle; était aller beaucoup trop loin dans ses actes. s'éloignant de la jeune femme; il décale de deux places son plateau avant de ne s'asseoir; plongeant sa main dans son sac pour en sortir un paquet de lingettes et un tube de désinfectant. jun avait toujours ue une obsession extrême pour son hygiène; chose que la jeune femme avait clairement baffoué. une lingette en main; le voici qui s'essuie le visage avant de s'emparer d'une seconde puis d'une troisième. il déteste l'odeur de la mayonnaise tout comme sa consistance et c'est donc au bout d'une cinquième lingette qu'il s'arrête; déposant une poire de désinfectant dans la paume de sa main droite avant de ne venir frotter celle-ci à sa main gauche. un coup d'oeil à son plateau lui suffit pour comprendre qu'il ne mangera guère celui-ci; des morceaux mâchés de frites ayant été propulsés à droite et à gauche de son repas; rendant celui-ci non comestible. une grimace dégoûté sur le visage; c'est d'un geste nonchalant qu'il propulse le paquet de lingettes vers la jeune femme. " paix. " prononce t-il de sa voix grave sans pour autant lui adresser le moindre regard. il ne tient pas à ce qu'elle aille plus loin; ne serait-ce que pour elle même. qu'elle se respecte un minimum.
mais non; il fallait croire que cette femme aimait se la jouer dans l'extrême; amplifiant un peu plus les conséquences qu'auraient ses actes. le tissus moite imbibé de mayonnaise vient délicatement s'écraser sur son visage, y tartinant voluptueusement le contenu de celui-ci. crispé; silencieux, les yeux fermés et le souffle coupé; il tente de maîtriser sa colère; de prendre sur lui et de relativiser. il les sent déjà; tout ses regards posés sur lui, il les entend; ses murmures surpris et souvent moqueurs puis ça lui revient en mémoire; comme si les années n'avaient guère passées. tête d'ampoule; tête de gland; glandus; intello; puceau .... il dégluttit douloureusement. les paroles de la jeune femme semblent soudainement inaudible. il se moque bien de ce qu'elle pourrait bien vouloir déblatérer. il a appris au fil des années qu'il est préférable de répondre aux imbéciles par le silence et aux cons par la patience. que la colère ne saurait qu'enchanter la demoiselle et offrir aux autres élèves le spectacle qu'ils attendaient impatiemment.
il s'essuie les yeux à l'aide d'une serviette; posant son regard sur la jeune femme; inexpressif. l'odeur de la mayonnaise lui donne la nausée mais il n'en laisse rien paraître. les sourcils froncés et sans un mot; il s'empare des baguettes de la jeune femme qu'il pose délicatement sur son plateau. aussi idiote soit-elle il ne s'aurait tolérer qu'elle lui plante une baguette dans l'oeil. puis il se relève, quittant ainsi sa chaise; debout face à la jeune femme. baissant la tête vers celle-ci; il affiche un léger sourire sadique; sa main droite se posant derrière la nuque de la jeune étudiante avant de ne murmurer à son égard. " je pardonne très difficilement olympe. " puis sans rajouter un mot; le voici qui vient coller son visage à celui de la demoiselle; se frottant à celle-ci; son nez s'écrasant contre le sien; tartinant la mayonnaise et le reste de frites mâchés sur le visage de son assaillante. le ridicule ne tue pas; paraît-il. disons que jun préfère encore être ridicule à deux et entraîner la jeune femme dans sa chute. se décollant de celle-ci; il fait mine de réfléchir avant de porter son index à sa propre joue pour en décoller un morceau de frite. " ce serait dommage de gaspiller. " la frite entre son index et son pouce le voici qui l'insère de force entre les douces lèvres de la demoiselle. gentille fifille. il n'aurait jamais imaginé aller aussi loin; mais si lui utilisait généralement la parole pour "emmerder" autrui; elle; était aller beaucoup trop loin dans ses actes. s'éloignant de la jeune femme; il décale de deux places son plateau avant de ne s'asseoir; plongeant sa main dans son sac pour en sortir un paquet de lingettes et un tube de désinfectant. jun avait toujours ue une obsession extrême pour son hygiène; chose que la jeune femme avait clairement baffoué. une lingette en main; le voici qui s'essuie le visage avant de s'emparer d'une seconde puis d'une troisième. il déteste l'odeur de la mayonnaise tout comme sa consistance et c'est donc au bout d'une cinquième lingette qu'il s'arrête; déposant une poire de désinfectant dans la paume de sa main droite avant de ne venir frotter celle-ci à sa main gauche. un coup d'oeil à son plateau lui suffit pour comprendre qu'il ne mangera guère celui-ci; des morceaux mâchés de frites ayant été propulsés à droite et à gauche de son repas; rendant celui-ci non comestible. une grimace dégoûté sur le visage; c'est d'un geste nonchalant qu'il propulse le paquet de lingettes vers la jeune femme. " paix. " prononce t-il de sa voix grave sans pour autant lui adresser le moindre regard. il ne tient pas à ce qu'elle aille plus loin; ne serait-ce que pour elle même. qu'elle se respecte un minimum.
Invité
Invité
Re: Black Swan ft Olympe | Sam 23 Juil - 0:13 Citer EditerSupprimer
black swan
Feat babo-Seo Jun
La honte n'est pas un mot inscrit dans mon dictionnaire et surtout pas lorsqu'il est en lien avec le ridicule. Pour moi, il n'y a aucune raison d'être embarrassé par ses actes, ou encore par ses paroles. Chacun a le droit d'agir librement, de parler librement, sans pour autant être soumis à la pression sociétale. C'est bien pour cette raison que moi, Olympe, je suis une personne considérée comme sans gêne par les autres, ridicule aux yeux d'autrui, pourtant j'agis juste de manière naturelle, mais parfois bien trop naturelle pour les autres. Il y a peut être des règles, des normes, qu'il est préférable de respecter, des manières d'être avec les autres qui émanent d'une éducation bien cadrée, mais ce n'est pas pour autant que je dois m'empêcher d'être tel que je suis. Je ne vais pas changer pour autrui, à cause d'autrui, je suis comme je suis, que ça plaise ou non, que l'on me déteste ou non. C'est bien pour cette raison que j'ose, sans aucune restriction, postillonner sur le visage de mon voisin de table, attirant, sans le vouloir, l'attention des autres présents dans la salle. Je sens leurs regards insistants et dégoûtés, me jugeant de la tête aux pieds mais je ne m'en soucis absolument pas, préférant concentrer mon regard sur mon voisin, un sourire espiègle sur les lèvres et des yeux joueurs. Il est préférable de ne jamais m'importuner, surtout pas lors d'un repas, c'est un acte qui est proscrit, qui peut être dangereux pour tout individu. Seo Jun le sait pourtant, à force de me côtoyer, il devait se douter que j'allais riposter et pas de la manière la plus délicate qui soit. Pourtant, je pressens une certaine surprise de sa part, ne s'attendant sûrement pas à un tel comportement de ma part, manquant cruellement de délicatesse, mais je ressens aussi une certaine irritation. Il fulmine, je le sais, et cela me fait sourire. Je sais que je suis allée trop loin, que je n'aurai pas dû répondre aussi vite et de manière si intense, mais il n'a pas choisi le bon jour pour venir m'enquiquiner. Je croise mes bras, le toisant du regard, attendant une quelconque répartie de sa part. Je lâche un petit rire sarcastique quand il croit me faire peur en précisant qu'il ne pardonne pas. Et bien je l'attends, qu'il . . .
Ma pensée s'arrête de suite quand il ose frotter son visage au mien, me faisant froncer les sourcils, prenant un air dégoûté. Je finis par être à mon tour tartinée de mayonnaise et de frites mâchées, me gommant le visage. L'odeur nauséabonde de la mayonnaise séchée et tournée parvient jusqu'à mes narines, m'en donnant presque la nausée. Un haut le cœur vient me tirailler le corps, me sentant brusquement mal. En règle général, je n'aurai pas eu une réaction si excessive, riant même de cette action quelque peu surprenante et j'aurai sûrement joué de ce rapprochement, mais quand il s'agit de Seo Jun, ma réaction peut être quelque peu différente, et peut s'amplifier. Bien sûr, il ne s'arrête pas là et enfonce un morceau de frite mâché dans le creux de ma bouche, me poussant à l'avaler. Fort heureusement c'est un morceau déjà prémâché par moi et non pas par lui. J'ai toutefois l'impression d'être gavée comme une oie, trouvant cela peut agréable. Je grince des dents quand enfin il cesse ses actes, s'installant quelques chaises plus bas, préférant sûrement s'éloigner d'une folle furieuse comme moi. Mon sang ne fait qu'un tour, bouillonnant intérieurement. « Seo . . . Jun . . . », je grommelle, l'insultant intérieurement de tous les noms possibles et inimaginables. J'écarte les bras essayant de trouver une solution pour nettoyer toute cette sottise. Je lance un regard à mon partenaire et manque d'explorer de rire quand je le vois prendre des lingettes pour s'essuyer le visage, semblant si précieux. Il est sérieux avec ses lingettes et son tube de désinfectant ? Je ne peux m'empêcher de rester quelque peu interloquée, scrutant chacun de ses gestes, riant de tant de manies. « Seo Jun, ou le mec sensible de peau » dis-je pour moi-même, doucement, faisant en sorte qu'il n'entende pas distinctement mes paroles. Je détourne mon regard et sursaute en voyant apparaître son paquet de lingettes à mes côtés. Il est sérieux? Une mouche l'a forcément piqué pour qu'il décide de m'offrir ses lingettes en guise de nettoyage et pour faire, soi-disant, la paix. Dois-je me méfier de ce geste trop amical ? J'hésite quelques secondes, suspicieuse jusqu'au bout. Je repousse délicatement ses lingettes et me contente de prendre un mouchoir. « Non merci ça ira ». La paix est bien trop rapide à mon goût. Non pas que j'ai le désir de continuer à jouer à ce jeu quelque peu énervant, mais Seo Jun baisse les armes trop vite. C'est suspect.
Je regarde son plateau, lui, son plateau, et finis par m'approcher de lui, m’asseyant de nouveau face à lui. « Allez fais pas la gueule Mr-Le-Précieux, c'est pas un peu de frites et de la mayonnaise qui vont nuire à ta beau parfaite, en plus l'oeuf c'est très bon pour la peau, je te jure que grâce à moi tu vas avoir une peau douce et pas granuleuse ». Je ne sais même pas pourquoi je tente de me justifier ou de, subtilement, me faire pardonner pour mes actes. « A force de bouder tu vas devenir tout rider, décoince ce visage » dis-je en me penchant brusquement vers lui et en tirant sur ses joues pour essayer de dessiner un sourire.
Ma pensée s'arrête de suite quand il ose frotter son visage au mien, me faisant froncer les sourcils, prenant un air dégoûté. Je finis par être à mon tour tartinée de mayonnaise et de frites mâchées, me gommant le visage. L'odeur nauséabonde de la mayonnaise séchée et tournée parvient jusqu'à mes narines, m'en donnant presque la nausée. Un haut le cœur vient me tirailler le corps, me sentant brusquement mal. En règle général, je n'aurai pas eu une réaction si excessive, riant même de cette action quelque peu surprenante et j'aurai sûrement joué de ce rapprochement, mais quand il s'agit de Seo Jun, ma réaction peut être quelque peu différente, et peut s'amplifier. Bien sûr, il ne s'arrête pas là et enfonce un morceau de frite mâché dans le creux de ma bouche, me poussant à l'avaler. Fort heureusement c'est un morceau déjà prémâché par moi et non pas par lui. J'ai toutefois l'impression d'être gavée comme une oie, trouvant cela peut agréable. Je grince des dents quand enfin il cesse ses actes, s'installant quelques chaises plus bas, préférant sûrement s'éloigner d'une folle furieuse comme moi. Mon sang ne fait qu'un tour, bouillonnant intérieurement. « Seo . . . Jun . . . », je grommelle, l'insultant intérieurement de tous les noms possibles et inimaginables. J'écarte les bras essayant de trouver une solution pour nettoyer toute cette sottise. Je lance un regard à mon partenaire et manque d'explorer de rire quand je le vois prendre des lingettes pour s'essuyer le visage, semblant si précieux. Il est sérieux avec ses lingettes et son tube de désinfectant ? Je ne peux m'empêcher de rester quelque peu interloquée, scrutant chacun de ses gestes, riant de tant de manies. « Seo Jun, ou le mec sensible de peau » dis-je pour moi-même, doucement, faisant en sorte qu'il n'entende pas distinctement mes paroles. Je détourne mon regard et sursaute en voyant apparaître son paquet de lingettes à mes côtés. Il est sérieux? Une mouche l'a forcément piqué pour qu'il décide de m'offrir ses lingettes en guise de nettoyage et pour faire, soi-disant, la paix. Dois-je me méfier de ce geste trop amical ? J'hésite quelques secondes, suspicieuse jusqu'au bout. Je repousse délicatement ses lingettes et me contente de prendre un mouchoir. « Non merci ça ira ». La paix est bien trop rapide à mon goût. Non pas que j'ai le désir de continuer à jouer à ce jeu quelque peu énervant, mais Seo Jun baisse les armes trop vite. C'est suspect.
Je regarde son plateau, lui, son plateau, et finis par m'approcher de lui, m’asseyant de nouveau face à lui. « Allez fais pas la gueule Mr-Le-Précieux, c'est pas un peu de frites et de la mayonnaise qui vont nuire à ta beau parfaite, en plus l'oeuf c'est très bon pour la peau, je te jure que grâce à moi tu vas avoir une peau douce et pas granuleuse ». Je ne sais même pas pourquoi je tente de me justifier ou de, subtilement, me faire pardonner pour mes actes. « A force de bouder tu vas devenir tout rider, décoince ce visage » dis-je en me penchant brusquement vers lui et en tirant sur ses joues pour essayer de dessiner un sourire.
Invité
Invité
Re: Black Swan ft Olympe | Dim 7 Aoû - 0:15 Citer EditerSupprimer
black swan
Feat Olympe
Tenue ♡ le regard d'autrui a toujours été l'une des plus grosse phobie du jeune étudiant quand bien même il avait appris au fur et à mesure des années à en faire abstraction, il avait encore beaucoup de mal à faire face à ce regard. ce regard que vous pouvez sentir sur vous; ce regard plein de mépris; un regard parfois même écoeuré, dégoûté et emplis de pitié. un regard très souvent accompagné de murmures; ces murmures moqueurs, les mêmes qu'il pouvait entendre il y a de cela une dizaine d'année. c'était l'un des problèmes principal de l'être humain : une nécessitée constante de se mêler de ce qui ne les regardait guère. un second problème étant : cette incapacité à ne guère se soucier du regard, de l'opinion d'autrui. il travaillait dessus; il apprenait lentement mais surement à avoir confiance en lui comme il avait pu l'apprendre en découvrant qu'être intelligent n'était guère une honte mais une fierté. mais se faire barbouiller le visage de mayonnaise par une gamine; était-ce possible une fierté ? il en doute énormément. il ne fallait pas être né de la dernière pluie pour trouver la situation ridicule; même lui aurait eu pitié de lui-même si il avait été un acteur extérieur à l'intéraction.
si tu n'en veux pas, n'en prend pas alors. lâche t'il quelque peu froidement tout en tendant le bras pour récupérer son paquet de lingettes. en plus d'être idiote elle était têtue comme une mule; le genre de femme qui lui faisait litéralement perdre la tête. chiffonnant l'un des tissus usagés; il soupire rageant intérieurement au souvenir de ce repas gâché; dire qu'il n'avait fait qu'essayer de se sociabiliser un peu, certes sa technique n'était probablement pas la meilleure mais c'était l'intention qui comptait non ? qui t'a dis de t'asseoir là ? lâche t-il en voyant la jeune olympe venir s'asseoir en face de lui, un regard dubitatif se posant sur elle. en plus d'être débile et têtue voici qu'elle était du genre persévérante. arquant un sourcil; il l'écoute, une expression ennuyée dessinée sur son visage. encore du charabia digne de la demoiselle; rien qui ne l'intéressait réellement encore moins de la part d'une femme qui avait précédemment refusé de faire la paix en acceptant son paquet de tissus, lui gamin ?
tu fous quoi là ? couine t-il douloureusement lorsqu'elle s'empare de ses joues; les pinçant de sorte à dessiner sur son visage un sourire des plus forcé. d'un geste de la main il repousse ses deux mains de la demoiselle, un sourire mélangeant ironie et sarcasme se dessinant sur son visage.peau parfaite; peur de me voir devenir ridé. tu fais quoi là; t'essaies de me faire passer un message ? non parce que si c'est comme ça que tu déclares ta flamme; c'est râté. haussant les sourcils; il reporte son attention sur son plateau; s'emparant de son yaourt dont il retire l'opercule avant de ne s'emparer de sa cuillère qu'il essuie d'abord à l'aide de sa serviette avant de ne la plonger dans le yaourt puis de la glisse entre ses lèvres. elle s'attend à quoi ? qu'il lui fasse la conversation ou bien ? par contre arrête de me fixer comme ça tu vas finir par me mettre mal à l'aise. puis sincérement t'es pas vraiment mon genre de meuf; tu sens un peu trop mauvais et on peut pas dire que la mayo est arrangé la chose. levant les yeux en direction de la jeune étudiante, il plisse les yeux plongeant de nouveau la cuillère dans le yaourt avant de ne la diriger vers la jeune femme. c'est ça que tu veux ? la béquer ? promis tu n'auras pas à te la jouer gorge profonde cette fois-ci lui lançant un léger clin d'oeil faisant référence à la frite qu'il lui avait enfoncé précédemment dans la bouche, il remue la cuillère sous son nez; un sourire narquois desinné sur les lèvres. bah quoi; c'était elle qui continuait à le chercher non ?
si tu n'en veux pas, n'en prend pas alors. lâche t'il quelque peu froidement tout en tendant le bras pour récupérer son paquet de lingettes. en plus d'être idiote elle était têtue comme une mule; le genre de femme qui lui faisait litéralement perdre la tête. chiffonnant l'un des tissus usagés; il soupire rageant intérieurement au souvenir de ce repas gâché; dire qu'il n'avait fait qu'essayer de se sociabiliser un peu, certes sa technique n'était probablement pas la meilleure mais c'était l'intention qui comptait non ? qui t'a dis de t'asseoir là ? lâche t-il en voyant la jeune olympe venir s'asseoir en face de lui, un regard dubitatif se posant sur elle. en plus d'être débile et têtue voici qu'elle était du genre persévérante. arquant un sourcil; il l'écoute, une expression ennuyée dessinée sur son visage. encore du charabia digne de la demoiselle; rien qui ne l'intéressait réellement encore moins de la part d'une femme qui avait précédemment refusé de faire la paix en acceptant son paquet de tissus, lui gamin ?
tu fous quoi là ? couine t-il douloureusement lorsqu'elle s'empare de ses joues; les pinçant de sorte à dessiner sur son visage un sourire des plus forcé. d'un geste de la main il repousse ses deux mains de la demoiselle, un sourire mélangeant ironie et sarcasme se dessinant sur son visage.peau parfaite; peur de me voir devenir ridé. tu fais quoi là; t'essaies de me faire passer un message ? non parce que si c'est comme ça que tu déclares ta flamme; c'est râté. haussant les sourcils; il reporte son attention sur son plateau; s'emparant de son yaourt dont il retire l'opercule avant de ne s'emparer de sa cuillère qu'il essuie d'abord à l'aide de sa serviette avant de ne la plonger dans le yaourt puis de la glisse entre ses lèvres. elle s'attend à quoi ? qu'il lui fasse la conversation ou bien ? par contre arrête de me fixer comme ça tu vas finir par me mettre mal à l'aise. puis sincérement t'es pas vraiment mon genre de meuf; tu sens un peu trop mauvais et on peut pas dire que la mayo est arrangé la chose. levant les yeux en direction de la jeune étudiante, il plisse les yeux plongeant de nouveau la cuillère dans le yaourt avant de ne la diriger vers la jeune femme. c'est ça que tu veux ? la béquer ? promis tu n'auras pas à te la jouer gorge profonde cette fois-ci lui lançant un léger clin d'oeil faisant référence à la frite qu'il lui avait enfoncé précédemment dans la bouche, il remue la cuillère sous son nez; un sourire narquois desinné sur les lèvres. bah quoi; c'était elle qui continuait à le chercher non ?
Invité
Invité
Re: Black Swan ft Olympe | Jeu 1 Sep - 19:17 Citer EditerSupprimer
black swan
Feat babo-Seo Jun
Je lui fais une grimace des plus marquantes quand il me précise que je n'ai pas qu'à prendre sa serviette, si gracieusement, donnée. C'est juste que je me méfie un peu trop de ce soudain geste vers moi alors qu'il vient tout juste de me goinfrer comme une oie, d'une frite. Il y a de quoi être sur ses gardes. Bien sûr, je n'en attends pas moins de lui quand en m’asseyant à ses côtés il me fait front, me répondant de manière si virulente. « Quoi ? J'ai besoin de ton autorisation maintenant pour m'installer à tes côtés, je peux m'asseoir où je veux, c'est quand même pas écrit espace privé de Seo Jun » dis-je en secouant mon visage d'un air désespéré. Il a trop tendance à croire qu'il a un espace rien qu'à lui alors qu'ici, c'est l'université et qu'il n'y a aucune place attitrée. Je tente alors de décoincer son visage si crispé, forçant le passage jusqu'au sourire, ce qui ne semble pas lui plaire. Je lui fais un grand sourire, rempli d'innocence, « ben . . . je te dessine un sourire, quelle question ! Je t'assure qu'avec ça, ton visage est légèrement, mais très légèrement, plus illuminé ». Il est vrai que Seo Jun a tendance à avoir le visage plissé en ma présence, enfin quand il me voit sous Olympe, puisque le soir, c'est une toute autre histoire. C'est un Seo Jun plus joyeux et intimidé qui se trouve à mes côtés, lorsque la nuit tombe et que la fête bat son plein. Je fais néanmoins un mouvement de recul, les yeux écarquillés, la bouche grande ouverte lorsqu'il ose insinuer quelque chose que je ne peux imaginer, même pas une seule seconde. Je porte la main sur mon cœur, l'air pétrifié. Moi ? Intéressée par lui ? J'ai bien envie de rire. Jamais, ô grand jamais, une telle stupidité ne peut arriver. C'est improbable, impossible, inimaginable, impensable, im . . . bref, utopique. Je me mets alors à rire, fort, me tordant de rire sur ma chaise, les larmes arrivant jusqu'à mes pupilles. Je ris deux fois plus quand il ajoute une couche supplémentaire lorsqu'il me fait croire que je ne suis pas son style. Si seulement . . . . si seulement il savait la vérité, si seulement il savait qui se cache derrière ce visage mal coiffé, ce corps mal vêtu, il en serait bouche bée. C'est sûr et certain. Je m'arrête soudainement de rire, fixant sérieusement le visage de Seo Jun. « Tes certain Seo Jun ? Je ne suis vraiment, vraiment pas ton genre ? Tu peux l'assurer avec conviction ». Je m'approche alors de la table et pose mon visage entre mes mains, prenant un air subitement mignon, clignant plusieurs fois des yeux. Je me redresse quelques secondes après, croisant mes bras. « Ah . . . si tu savais Seo Jun . . . Mais ne t'en fais pas, je n'aime que les hommes beaux et intéressants, tu ne fais partie d'aucune catégorie ». Quoique à dire vrai, il est dans les deux catégories, mais je ne peux lui avouer, pas maintenant. Il faut dire qu'il a un beau visage, plutôt attrayant, et malgré ses railleries, il me fait rire. Je préfère même ce Seo Jun là que le Seo Jun du soir, si lourd et peu drôle. « Et j'aime mon odeur corporelle, moi je trouve que je sens divinement bon, et puis autant avoir un parfum original que banal », je balance légèrement mes cheveux, prenant un air faussement fier.
Je fronce des sourcils, quand il me propose sa cuillère remplie de yaourt, comme on le ferait à un bébé. Comment ça gorge profonde? C'est censé insinuer quoi cette phrase ? Non pas que j'ai l'esprit quelque peu détourné mais dit de cette façon il faut avouer que c'est perturbant. J'ouvre en grand ma bouche en faisant des bruits étranges, « ayors yi vois mwa george ». C'est que c'est difficile de parler la bouche ouverte. Sans même attendre une seconde de plus, j'attrape à pleine bouche sa cuillère, me léchant par la suite les lèvres, presque heureuse d'avoir savouré son yaourt. « Alors elle est comment ma gorge ? Profonde ou pas profonde ? Tu veux peut être l'explorer ? C'est que j'ai bien l'impression que toi aussi, depuis tout à l'heure, tu me fais des sous entendus ».
Je fronce des sourcils, quand il me propose sa cuillère remplie de yaourt, comme on le ferait à un bébé. Comment ça gorge profonde? C'est censé insinuer quoi cette phrase ? Non pas que j'ai l'esprit quelque peu détourné mais dit de cette façon il faut avouer que c'est perturbant. J'ouvre en grand ma bouche en faisant des bruits étranges, « ayors yi vois mwa george ». C'est que c'est difficile de parler la bouche ouverte. Sans même attendre une seconde de plus, j'attrape à pleine bouche sa cuillère, me léchant par la suite les lèvres, presque heureuse d'avoir savouré son yaourt. « Alors elle est comment ma gorge ? Profonde ou pas profonde ? Tu veux peut être l'explorer ? C'est que j'ai bien l'impression que toi aussi, depuis tout à l'heure, tu me fais des sous entendus ».
Invité
Invité
Re: Black Swan ft Olympe | Lun 26 Sep - 10:30 Citer EditerSupprimer
black swan
Feat Olympe
Tenue ♡ cela ne lui ressemblait pas réellement de rentrer aussi facilement dans le jeu enfantile d'une jeune femme. en général, il se contentait de passer son chemin, les enfantillages l'agaçant bien plus qu'ils ne l'amusaient. pourtant il prenait un réel plaisir à se disputer avec la jeune étudiante, un tel plaisir qu'il venait à n'en plus contrôler les sourires qui se dessinnaient sur son visage. et ce, d'un naturel affligeant. olympe était loin d'être vilaine, très loin d'être vilaine, mais son caractère avait le don d'évincer toutes pensées malsaines qu'aurait pu avoir seojun. elle l'agaçait bien trop à le titiller sans cesse, et ce jeu du chat et de la souris lui bouffer tellement d'énergie qu'il venait presqu'à en oublier qu'elle était une femme et lui un homme. comme si cela avait réellement de l'importance de toute manière.
il se retient de ne pas pincer ses joues lorsqu'elle pose son visage entre ses mains, adoptant une mimique de petite fillette qui se veut mignonne. après ce qu'elle vient de lui faire subir qu'elle ne s'attende plus à rien de gentil de la part du jeune homme; le simple fait de repenser à la mayonnaise lui provoquant des relans de nausées. cuillère en main et sourcils arqués, il pince dans les lèvres lorsqu'elle offre à son regard médusée l'intérieure de sa bouche et de sa gorge, gémissant comme si l'on venait de l'étriper. il relâche d'ailleurs automatiquement la cuillère lorsqu'elle encercle celle-ci de ses lèvres, une mine de dégoût se dessinnant sur son visage, tandis qu'il pousse son yaourt presque finis du bout de l'index. " t'es encore plus chelou que ce que je pensais, et ce en plus d'être sacrément répugnante. " il plisse le nez tout en remuant la tête, se laissant retomber contre le dossier de sa chaise, bras croisés contre son torse.
" profonde " il tapote du bout des doigts sur la table, remontant son regard vers le sien tout en se lapant la lèvre inférieure. " tu dois en faire plus d'un heureux " il hausse les sourcils, une sourire taquin sur les lèvres avant de continuer. " après profonde ou pas, si t'es pas douée ça doit pas être fameux. pour ce qui est des sous-entendus disons que c'est ainsi que tu perçois mes mots, mais tu me sembles relativement ouverte pour quelqu'un qui ne peut pas me blairer. au fond avoues le olympe; tu rêves que je viennes te rejoindre dans ton dortoir, couvert de mayonnaise. " il lâche un léger grognement fêlin avant de n'éclater de rire, tapant légèrement du point sur la table. comme si il pouvait être sérieux ne serait-ce qu'une seconde. la seule manière pour seojun d'explorer la gorge d'olympe serait probablement qu'elle soit une cyborg, ce qui éveillerait ainsi son intérêt pour la demoiselle. " ça doit être tes hormones qui te jouent des tours olympe; ne te fais pas trop d'idées ok ? " il lui tire une énième fois la langue avant de ne passer une main dans ses cheveux blonds décolorés, le regard naviguant à travers le réfectoire, les élèves semblant s'être rapidement désintéressés d'eux.
il se retient de ne pas pincer ses joues lorsqu'elle pose son visage entre ses mains, adoptant une mimique de petite fillette qui se veut mignonne. après ce qu'elle vient de lui faire subir qu'elle ne s'attende plus à rien de gentil de la part du jeune homme; le simple fait de repenser à la mayonnaise lui provoquant des relans de nausées. cuillère en main et sourcils arqués, il pince dans les lèvres lorsqu'elle offre à son regard médusée l'intérieure de sa bouche et de sa gorge, gémissant comme si l'on venait de l'étriper. il relâche d'ailleurs automatiquement la cuillère lorsqu'elle encercle celle-ci de ses lèvres, une mine de dégoût se dessinnant sur son visage, tandis qu'il pousse son yaourt presque finis du bout de l'index. " t'es encore plus chelou que ce que je pensais, et ce en plus d'être sacrément répugnante. " il plisse le nez tout en remuant la tête, se laissant retomber contre le dossier de sa chaise, bras croisés contre son torse.
" profonde " il tapote du bout des doigts sur la table, remontant son regard vers le sien tout en se lapant la lèvre inférieure. " tu dois en faire plus d'un heureux " il hausse les sourcils, une sourire taquin sur les lèvres avant de continuer. " après profonde ou pas, si t'es pas douée ça doit pas être fameux. pour ce qui est des sous-entendus disons que c'est ainsi que tu perçois mes mots, mais tu me sembles relativement ouverte pour quelqu'un qui ne peut pas me blairer. au fond avoues le olympe; tu rêves que je viennes te rejoindre dans ton dortoir, couvert de mayonnaise. " il lâche un léger grognement fêlin avant de n'éclater de rire, tapant légèrement du point sur la table. comme si il pouvait être sérieux ne serait-ce qu'une seconde. la seule manière pour seojun d'explorer la gorge d'olympe serait probablement qu'elle soit une cyborg, ce qui éveillerait ainsi son intérêt pour la demoiselle. " ça doit être tes hormones qui te jouent des tours olympe; ne te fais pas trop d'idées ok ? " il lui tire une énième fois la langue avant de ne passer une main dans ses cheveux blonds décolorés, le regard naviguant à travers le réfectoire, les élèves semblant s'être rapidement désintéressés d'eux.
Invité
Invité
Re: Black Swan ft Olympe | Lun 3 Oct - 19:09 Citer EditerSupprimer
black swan
Feat babo-Seo Jun
Ma tentative d'être un tantinet mignonne ne semble pas faire de l'effet à mon vis-à-vis, celui-ci semblant rester tout aussi acerbe que précédemment. Décidément, cet homme est tout aussi figé qu'un masque de Halloween, rien ne semble le toucher, pas même mon visage enfantin à cet instant précis. Je me redresse alors, déçue d'échouer autant et si rapidement. Si seulement il était au courant, si seulement il savait, je pense qu'il tournerait plusieurs fois sa langue dans sa bouche, se taisant à tout jamais. Mais, malheureusement, je ne peux rien lui dire, pas encore. J'attends le moment opportun pour lui mettre le coup de grâce, quand il va s'y attendre le moins. Je ris d'avance. Juste à imaginer son visage qui se décompense, je jubile, intérieurement. Mais pour le moment, je me contente de hausser des épaules lorsque après avoir pris sa cuillère de yaourt il ose me critiquer en disant de moi que je suis bizarre et répugnante. « Faudrait savoir ce que tu veux, tu me présentes ta cuillère sur un plateau d'argent, en voulant me la donner et après tu te plains que je la prenne. T'as pas qu'à me la montrer comme ça aussi » dis-je en tirant légèrement la langue. S'il croit pouvoir me blesser en usant de tels termes, il se trompe, lourdement. J'ai l'habitude d'être critiquée de cette façon et je le prends désormais très bien. J'assume que je suis quelque peu étrange comme fille et aussi parfois répugnante pour les autres, parce que je suis juste trop moi, trop naturelle. C'est devenu un défaut d'être soi-même.
J'avoue faire une petite allusion lorsque je parle de gorge profonde, mais c'est uniquement parce qu'il m'a cherché et ce n'est pas du tout parce que j'ai des pensées perverties. Il me provoque en permanence je ne peux donc pas faire autrement que répondre à ses incitations. « Tu ne crois pas si bien dire », j'arque un sourcil, prenant un air presque coquin. En vérité, et pour tout dire, malgré mes nombreuses folies le soir, je ne suis pas non plus de ces filles qui se permettent de draguer tous les hommes de la soirée, pour finir la nuit avec eux, le temps de quelques heures. Je me fais juste généralement draguer et puis, c'est tout. Je m'amuse un peu sans aller bien loin, sans être trop aguicheuse non plus. Ce n'est pas dans ma personnalité. Je m'étouffe presque lorsqu'il ose dire que j'ai de l'intérêt pour lui et que si je dis de tels propos c'est uniquement parce que je rêve de l'avoir. La blague du jour. C'est plutôt lui qui a tendance à me désirer, le soir. « T'es loin de tout savoir mon petit et t'as jamais rien expérimenté avec moi alors avant de faire la moindre critique . . . », je me tais quelques secondes, réalisant alors que je vais presque dans son sens. Je chasse ces quelques propos d'un geste de la main, « oublie ! C'est toi qui me veux dans ton lit, avoue. Mais j'ai le regret de t'annoncer que tu ne m'intéresses absolument pas. Ne pleure pas trop, tu trouveras bien d'autres bras dans lesquels tu pourras te consoler ». Je fronce des sourcils et me redresse légèrement sur ma chaise, celle-ci devenant un peu inconfortable. « Tu te ramollis depuis quelques temps je trouve. Tes répliques sont redondantes, faut que tu changes de registre ». J'attrape en même temps son yaourt pour finir le peu de reste, « ta mère ne t'a jamais appris à tout finir ? ».
J'avoue faire une petite allusion lorsque je parle de gorge profonde, mais c'est uniquement parce qu'il m'a cherché et ce n'est pas du tout parce que j'ai des pensées perverties. Il me provoque en permanence je ne peux donc pas faire autrement que répondre à ses incitations. « Tu ne crois pas si bien dire », j'arque un sourcil, prenant un air presque coquin. En vérité, et pour tout dire, malgré mes nombreuses folies le soir, je ne suis pas non plus de ces filles qui se permettent de draguer tous les hommes de la soirée, pour finir la nuit avec eux, le temps de quelques heures. Je me fais juste généralement draguer et puis, c'est tout. Je m'amuse un peu sans aller bien loin, sans être trop aguicheuse non plus. Ce n'est pas dans ma personnalité. Je m'étouffe presque lorsqu'il ose dire que j'ai de l'intérêt pour lui et que si je dis de tels propos c'est uniquement parce que je rêve de l'avoir. La blague du jour. C'est plutôt lui qui a tendance à me désirer, le soir. « T'es loin de tout savoir mon petit et t'as jamais rien expérimenté avec moi alors avant de faire la moindre critique . . . », je me tais quelques secondes, réalisant alors que je vais presque dans son sens. Je chasse ces quelques propos d'un geste de la main, « oublie ! C'est toi qui me veux dans ton lit, avoue. Mais j'ai le regret de t'annoncer que tu ne m'intéresses absolument pas. Ne pleure pas trop, tu trouveras bien d'autres bras dans lesquels tu pourras te consoler ». Je fronce des sourcils et me redresse légèrement sur ma chaise, celle-ci devenant un peu inconfortable. « Tu te ramollis depuis quelques temps je trouve. Tes répliques sont redondantes, faut que tu changes de registre ». J'attrape en même temps son yaourt pour finir le peu de reste, « ta mère ne t'a jamais appris à tout finir ? ».
Invité
Invité
Re: Black Swan ft Olympe | Sam 12 Nov - 16:22 Citer EditerSupprimer
black swan
Feat Olympe
Tenue ♡ Pinçant les lèvres, il l’écoute silencieusement, haussant les sourcils dans une expression moqueuse. C’est fou cette détermination qu’elle avait, constamment obsédée à l’idée d’avoir le dernier mot, de pouvoir lui affliger le coup de grâce. Et c’est ce qu’il trouvait le plus drôle et le plus agaçant à la fois, parce qu’il était pour tout dire le même. Il ne pouvait s’empêcher d’avoir le dernier mot et de renchérir constamment dans l’optique bien entendu de rabaisser la demoiselle. Posant ses coudes sur la table, il vient délicatement nicher son menton dans la paume de ses mains tout en fixant la jeune femme. Il n’avait en effet jamais expérimenté avec la jeune femme et le fait qu’elle le lui fasse remarquer lui arracha un énorme sourire, ignorant la suite de ses paroles, bien trop satisfait qu’elle ne soit tombée dans son piège. « Pas encore expérimenté. Mais il n’est jamais trop tard Olympe. Cela ne te va pas de faire la jeune femme désintéressée, après tout nous avons déjà partagé un baiser indirect pourquoi ne pas partager plus. » il hausse les sourcils tout en posant son regard sur la cuillère à café qu’elle avait précédemment insérer entre ses lèvres, oubliant probablement que celle-ci avait aussi était inséré entre ses propres lèvres quelque minutes auparavant. Il la regarde ce sourire étendant toujours ses lèvres, il pourrait aller loin pour faire enfin faiblir la jeune sango. Lui qui n’aimait guère jouer à ce genre de jeux infantiles, y prenait bien trop de plaisir lorsqu’il s’agissait d’elle. « Ma mère ne m’a pas appris grand-chose. Je veux bien que tu sois ma maîtresse, et que tu m’apprennes tout ce que tu sais Olympe. » Il sourit en coin tout en rabaissant ses bras, s’adossant nonchalamment contre la chaise, son regard naviguant entre le yaourt et la jeune étudiante. Ses dents se referment sur sa lèvre inférieure tandis qu’il reste silencieux, son regard intensément posé sur sa camarade. Certains pourraient aisément le prendre pour un homme lunatique, contradictoire et légèrement masochiste et cela ne saurait être réellement faux, il prenait réellement un plaisir fou dans le fait d’être agacé puis d’agacer la jeune asiatique. « Je comprends mieux pourquoi tu n’as toujours pas de mec, sérieux tu t’es vu manger ? » Il cherchait le moindre détail susceptible de pouvoir lui permettre de se moquer de la jeune femme, quand bien même cela n’était guère justifié. Il ne pouvait juste clairement pas en rester là, le désir était bien trop fort pour qu’elle ne quitte le réfectoire sans qu’il n’ait pu assouvir celui-ci. « Tu sais ya rien d’honteux à assumer son attirance pour quelqu’un, après tout j’suis pas si mal que ça » Il se la jouait faux prétentieux, un sourire fier dessiné sur ses lèvres, tandis qu’il tâtait ses pectoraux de manière ironique. Seojun n’avait pas la prétention de se qualifier de bel homme, et savait parfaitement qu’il y avait bien plus attirant que lui mais se la jouer faux prétentieux était amusant, ce qui l’était encore plus restait les réactions d’Olympe.
Invité
Invité
Re: Black Swan ft Olympe | Ven 2 Déc - 11:42 Citer EditerSupprimer
black swan
Feat babo-Seo Jun
Je fronce quelques secondes mes sourcils, passant de lui à la cuillère qu'il désigne comme étant l'objet du baiser indirect. Il est sérieux ou alors il tente de me déstabiliser en pensant que je vais réagir à une telle remarque en rougissant violemment ? Malheureusement il n'est pas tombé sur la bonne personne. Des baisers indirects, comme il les appelle, j'en ai fait un grand nombre et je doute être perturbée par ce système de baiser, s'il considère que c'est le cas. Pour moi, c'est tout sauf un baiser indirect. « Aigo ! Mais tu es de quel temps mon pauvre Seo Jun ! Les baisers indirects c'est pour les enfants, ou pour celles qui croient en ce type de baiser, qui ont l'espoir que cela signifie quelque chose. Malheureusement pour toi, pour moi, ce n'est pas le cas. J'en ai fait des baisers indirectes », le nombre de fois où j'ai volé le verre de quelqu'un ou la cuillère de quelqu'un, je n'ai jamais pensé à un tel détail. C'est peut-être pour cette raison que j'attrape des microbes, « par contre, j'avoue que j'aurai mieux fait de prendre une cuillère propre, celle-ci étant peut-être bien trop salie », par lui. Je m'étouffe presque alors qu'il me fait clairement des sous-entendus. C'est quoi cette blague ?! Il est sérieux à dire de telles bêtises ? Est-ce qu'il croit réellement que moi, Olympe, je vais lui enseigner ce qui aurait dû être de son éducation ? Néanmoins pour une raison qui m'est inconnue, je me sens compatissante, relevant surtout le fait que sa mère ne lui a rien enseigné, alors qu'une mère est cruciale. Je réalise à quel point je ne le connais pas et qu'il doit y avoir certainement quelques souffrances en lui. Je me surprends à ressentir une certaine affection pour lui, désireuse de lui prendre dans mes bras, parce que je sais ce que ça fait que d'être sans mère, même si je ne sais pas sa situation. La mienne est morte. « Je suis désolée », je dis cela rapidement, murmurant de façon inaudible et reprends immédiatement ensuite, l'air détaché, « yah ! T'as qu'à demander à quelqu'un d'autre de t'enseigner tout ça. J'ai pas de temps à perdre avec toi ». Je suis certaine qu'il existe des femmes désireuses d'en apprendre un peu plus sur lui, sauf moi.
Je passe une main sur mes lèvres, pour essuyer le reste de nourriture et hausse des épaules alors qu'il ose me dire que c'est pour cette raison que je n'ai pas de copains. J'en ai eu, malgré ce qu'il semble croire et qu'importe si ma façon d'être déplaît. Je suis comme je suis et je ne veux pas changer pour autrui. Jamais. Je m'étouffe presque avec ma bouteille d'eau que je viens de prendre quand il insiste sur le fait que je suis intéressée par lui et que j'en ai le droit. Je tousse quelques secondes pour reprendre ma respiration. « Tu sais . . . y'a rien de honteux à assumer son attirance pour quelqu'un, après tout, je suis naturellement belle et simple » dis-je en répétant les termes qu'il a employé. Je fais mine de balancer mes cheveux en un geste de main et prends des poses ridicules comme si j'étais entourée de photographes, lâchant quelques baisers de main par-ci, par-là. Je reprends un peu de sérieux et le fixe, « je crois que je suis vraiment ton genre ». Je lui fais un petit clin d'oeil.
Je passe une main sur mes lèvres, pour essuyer le reste de nourriture et hausse des épaules alors qu'il ose me dire que c'est pour cette raison que je n'ai pas de copains. J'en ai eu, malgré ce qu'il semble croire et qu'importe si ma façon d'être déplaît. Je suis comme je suis et je ne veux pas changer pour autrui. Jamais. Je m'étouffe presque avec ma bouteille d'eau que je viens de prendre quand il insiste sur le fait que je suis intéressée par lui et que j'en ai le droit. Je tousse quelques secondes pour reprendre ma respiration. « Tu sais . . . y'a rien de honteux à assumer son attirance pour quelqu'un, après tout, je suis naturellement belle et simple » dis-je en répétant les termes qu'il a employé. Je fais mine de balancer mes cheveux en un geste de main et prends des poses ridicules comme si j'étais entourée de photographes, lâchant quelques baisers de main par-ci, par-là. Je reprends un peu de sérieux et le fixe, « je crois que je suis vraiment ton genre ». Je lui fais un petit clin d'oeil.
Contenu sponsorisé
Page 1 sur 2 • 1, 2