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jeu d'enfant pour les grands + 18 - Tereul
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jeu d'enfant pour les grands + 18 - Tereul | Ven 22 Juil - 0:56 Citer EditerSupprimer
Une soirée entre pote devant la télé et quelques bières, que demander de mieux ? Ma sœur était d’ailleurs partie pour la soirée, me laissant le champ libre. Paix et tranquillité. Juste Teresa et moi. Rien à voir avec mère Theresa. Ou en plus sexy, plus jeune et en plus dévergondée alors. La perfection incarnée. J’étais confortablement assis dans le fauteuil, les pieds étendus sur la table basse, une bière à la main, la télé ouverte sur un match de foot avec une magnifique femme à mes côtés. Je matais ma meilleure amie du coin de l’œil, fronçant les sourcils, quelque chose me tracassait visiblement. Une question existentielle même. On était bien là, tous les deux, et pourtant… « Teresa… Pourquoi on a jamais baisé ensemble ? » Je tournais mon visage entièrement vers elle, étant le plus sincère du monde. On n’allait pas se mentir, aucun de nous deux n’étaient des enfants de chœur. On aurait très bien pu se sauter l’un sur l’autre quand nos regards s’étaient croisé la première fois, mais à la place, je lui avais déblatérer ma vie comme si elle était mon psy. C’était bien l’unique fois où ca m’était arrivé avec quelqu’un et depuis, elle était devenue ma confidente, et bien plus encore. Si je devais être fidèle à quelqu’un, c’était bien elle. J’éteignis la télévision à l’aide de la télécommande avant d’à nouveau la regarder. « Sérieusement, ce n’est pas normal cela ! On devrait y remédier. » Lâchais-je sérieusement. Je bus une gorgé de ma bière avant de la déposer sur la table basse et d’attraper la jeune femme pour l’attirer à moi pour qu’elle s’installe sur mes jambes. Distraitement, je lui caressais les cuisses, ne quittant pas son regard du mien. « Ca tombe bien, ce match commençait à m’ennuyer. Tu connais un meilleur jeu pour nous distraire ? » Apres tout, j’étais prêt à tout essayer ce soir, je n’avais pas encore bu assez pour être saoul, je tenais plutôt bien l’alcool. J’étais tout à fait lucide dans ma proposition. Et j’avais une envie de nouveau, de distraction qui valait la peine, et Teresa était la meilleure dans le domaine, j’en étais certain…
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jeu d'enfant pour les grands - Tereul
Une soirée entre pote devant la télé et quelques bières, que demander de mieux ? Ma sœur était d’ailleurs partie pour la soirée, me laissant le champ libre. Paix et tranquillité. Juste Teresa et moi. Rien à voir avec mère Theresa. Ou en plus sexy, plus jeune et en plus dévergondée alors. La perfection incarnée. J’étais confortablement assis dans le fauteuil, les pieds étendus sur la table basse, une bière à la main, la télé ouverte sur un match de foot avec une magnifique femme à mes côtés. Je matais ma meilleure amie du coin de l’œil, fronçant les sourcils, quelque chose me tracassait visiblement. Une question existentielle même. On était bien là, tous les deux, et pourtant… « Teresa… Pourquoi on a jamais baisé ensemble ? » Je tournais mon visage entièrement vers elle, étant le plus sincère du monde. On n’allait pas se mentir, aucun de nous deux n’étaient des enfants de chœur. On aurait très bien pu se sauter l’un sur l’autre quand nos regards s’étaient croisé la première fois, mais à la place, je lui avais déblatérer ma vie comme si elle était mon psy. C’était bien l’unique fois où ca m’était arrivé avec quelqu’un et depuis, elle était devenue ma confidente, et bien plus encore. Si je devais être fidèle à quelqu’un, c’était bien elle. J’éteignis la télévision à l’aide de la télécommande avant d’à nouveau la regarder. « Sérieusement, ce n’est pas normal cela ! On devrait y remédier. » Lâchais-je sérieusement. Je bus une gorgé de ma bière avant de la déposer sur la table basse et d’attraper la jeune femme pour l’attirer à moi pour qu’elle s’installe sur mes jambes. Distraitement, je lui caressais les cuisses, ne quittant pas son regard du mien. « Ca tombe bien, ce match commençait à m’ennuyer. Tu connais un meilleur jeu pour nous distraire ? » Apres tout, j’étais prêt à tout essayer ce soir, je n’avais pas encore bu assez pour être saoul, je tenais plutôt bien l’alcool. J’étais tout à fait lucide dans ma proposition. Et j’avais une envie de nouveau, de distraction qui valait la peine, et Teresa était la meilleure dans le domaine, j’en étais certain…
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Re: jeu d'enfant pour les grands + 18 - Tereul | Dim 31 Juil - 0:07 Citer EditerSupprimer
S'il y avait bien une chose que Teresa ne refuserait pour rien au monde, c'était bien une soirée tranquille aux côtés de son diabolique et séduisant meilleur ami. Les deux s'étaient connus de manière un peu hasardeuse mais avaient fini par s'emboiter à la perfection si bien que la jeune kazakhe parlait de naeul comme s'il était l'homme de sa vie. Alors oui, après une journée au travail à penser à tout et à n'importe quoi mais aussi et principalement à sa rencontre sombre avec raï, la jeune femme s'était faite belle pour aller venir s'affaler sur un canapé qui n'était pas le sien, une bière dans une main et l'autre occupée à tripoter la couverture. A la télévision : du football ce qui ne dérangeait nullement l'orientale, du moins jusqu'à ce que naeul l'étalon ne vienne interrompre le silence d'une question farouche qui fit presque cracher à la jeune femme là mousse de sa bière qu'elle était entrain d'avaler. Teresa le regarde alors, l'air plus amusé qu'étonné et vient essuyer ses lèvres du bout des doigts. Il était surprenant ce garçon mais il avait plutôt raison. Les grands yeux de la kazakhe vinrent s'ouvrir un peu plus alors qu'elle se retrouva elle ne sut comment, installer sur les genoux de son meilleur ami. " - c'est vrai...tu as raison. Et je suis de ton avis que l'on doit changer ça de suite. Pourquoi se priver mh ? " Teresa laissa sa chevelure ébène retomber sur ses épaules alors qu'elle se débarrassa de sa bière et de son haut sans aucune gêne : naeul l'avait déjà vu plus dénudée que ça mais jamais il n'avait goûté à son corps et à ses lèvres légèrement bombées par ses origines. La libraire vient alors lui offrir un ultime sourire avant de venir écraser ses lippes dorées contre celles de l'étudiant, d'abord de manière attife puis de façon plus prolongée. Son meilleur ami avait décidément une excellente saveur et, d'une bouffée de chaleur prononcée, la demoiselle se sentait d'attaque pour découvrir un peu plus de ses nombreux talents dont elle s'était passée jusque là. " - vient me chercher si tu veux en savoir plus. Mh ? " la jeune femme se redresse et revient sur le canapé, joueuse, elle aime quand les hommes savent ce qu'ils veulent et naeul ne fera pas exception. S'ils doivent s'amuser cette fois ci ce sera à deux et ensemble comme ils l'ont toujours fait.
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Re: jeu d'enfant pour les grands + 18 - Tereul | Sam 13 Aoû - 19:27 Citer EditerSupprimer
C’était une femme sublime, au corps parfait qui faisait baver plus d’un homme à ses pieds. Et moi, je caressais ses hanches comme si de rien était, comme si j’en avais le droit, et eux, pas. Si ils en gagnaient l’autorisation avec un peu d’argent, mon accès personnel était gratuit. Enfin, je le supposais. Je n’avais jamais tenté d’aller bien loin avec ma meilleure amie. Certes, j’étais très tactile avec elle, et peut être qu’un ou deux baisers s’étaient perdu dans la foulée, mais je n’avais encore jamais eu les mains baladeuses pour gouter au plaisir qu’elle pouvait recelée. Mon sourire s’élargit, alors que je remontais mon regard pour croiser le sien dans sa position de dominance. J’avais était brute. Sans détour. Sans tact. Et elle ne s’était pas froissée comme la plupart l’aurait fait. Elle avait juste saisi la proposition au vol, embrayant sur le sujet pour le pousser un peu plus loin. « Je suis content que l’idée puisse te plaire. Il suffit maintenant de la mettre en pratique. » Sous-entendais-je, mes doigts passant déjà sous son haut pour caresser sa peau nue si douce au toucher. Elle ne me laissait pourtant pas plus en profiter. Elle se débarrassait déjà du surplus. J’éclatais d’un rire franc. « Tu sais, c’est pour ca que je t’aime. » Ni gène. Ni honte. Ni pudeur. Tout était permis. Sans limite quand on faisait la paire. Je me sentais simplement vivre quand elle était à mes côtés. Je savourais le baiser qu’elle m’offrait avec délice, en goutant chaque saveur. Je passais une main dans ses cheveux, m’y emmêlant les doigts pour l’empêcher de partir toute de suite. Ses lèvres étaient comme l’hydromel des dieux. Il suffisait d’une gorgée pour en être déjà accroc et enivré. Je comprenais maintenant, ces pauvres hommes qui se poussaient à sa porte pour redemander des rendez-vous avec la brune. Je froncais les sourcils, grognant presque de mécontentement quand elle s’éloignait de moi, me provoquant de venir la chercher. D’un regard carnassier, je me redressais sur un genou plier sur le canapé alors que l’autre tenait au sol, j’attrapais une de ses chevilles, la tirant sans ménagement vers moi, la glissant sous moi pour la faire prisonnière. Je ris doucement avant de remonter ses courbes et de me saisir de ses poignets que je maintenais par-dessus sa tête. « T’es sur de vouloir jouer à cela, teresa ? » Je susurais son prénom avec une telle lenteur que ca en était presque indécent. Je respirais son parfum avant de déposer mes lèvres dans son cou.
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C’était une femme sublime, au corps parfait qui faisait baver plus d’un homme à ses pieds. Et moi, je caressais ses hanches comme si de rien était, comme si j’en avais le droit, et eux, pas. Si ils en gagnaient l’autorisation avec un peu d’argent, mon accès personnel était gratuit. Enfin, je le supposais. Je n’avais jamais tenté d’aller bien loin avec ma meilleure amie. Certes, j’étais très tactile avec elle, et peut être qu’un ou deux baisers s’étaient perdu dans la foulée, mais je n’avais encore jamais eu les mains baladeuses pour gouter au plaisir qu’elle pouvait recelée. Mon sourire s’élargit, alors que je remontais mon regard pour croiser le sien dans sa position de dominance. J’avais était brute. Sans détour. Sans tact. Et elle ne s’était pas froissée comme la plupart l’aurait fait. Elle avait juste saisi la proposition au vol, embrayant sur le sujet pour le pousser un peu plus loin. « Je suis content que l’idée puisse te plaire. Il suffit maintenant de la mettre en pratique. » Sous-entendais-je, mes doigts passant déjà sous son haut pour caresser sa peau nue si douce au toucher. Elle ne me laissait pourtant pas plus en profiter. Elle se débarrassait déjà du surplus. J’éclatais d’un rire franc. « Tu sais, c’est pour ca que je t’aime. » Ni gène. Ni honte. Ni pudeur. Tout était permis. Sans limite quand on faisait la paire. Je me sentais simplement vivre quand elle était à mes côtés. Je savourais le baiser qu’elle m’offrait avec délice, en goutant chaque saveur. Je passais une main dans ses cheveux, m’y emmêlant les doigts pour l’empêcher de partir toute de suite. Ses lèvres étaient comme l’hydromel des dieux. Il suffisait d’une gorgée pour en être déjà accroc et enivré. Je comprenais maintenant, ces pauvres hommes qui se poussaient à sa porte pour redemander des rendez-vous avec la brune. Je froncais les sourcils, grognant presque de mécontentement quand elle s’éloignait de moi, me provoquant de venir la chercher. D’un regard carnassier, je me redressais sur un genou plier sur le canapé alors que l’autre tenait au sol, j’attrapais une de ses chevilles, la tirant sans ménagement vers moi, la glissant sous moi pour la faire prisonnière. Je ris doucement avant de remonter ses courbes et de me saisir de ses poignets que je maintenais par-dessus sa tête. « T’es sur de vouloir jouer à cela, teresa ? » Je susurais son prénom avec une telle lenteur que ca en était presque indécent. Je respirais son parfum avant de déposer mes lèvres dans son cou.
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Re: jeu d'enfant pour les grands + 18 - Tereul | Dim 14 Aoû - 13:17 Citer EditerSupprimer
Bien que cela fût prévisible depuis bien longtemps, teresa n’aurait jamais pensé que les choses, ce soir-là, pendraient cette tournure. Et ça n’était pas vraiment pour lui déplaire, elle qui adorait s’approprier les gens sans le concevoir. Pourtant, elle n’était que plus jalouse quand elle pensait au personnage de naeul, coureur de jupons, invétéré qui ne faisait jamais de pauses. Et, d’humeur plutôt joueuse ce soir, la jeune femme allait enfin lui faire comprendre à quel point cela la dérangeait de le savoir, papillonnant de corps en corps et butinant le plaisir partout où il pouvait le trouver. Alors, profitant des mains baladeuses de son meilleur ami, elle profite quelques secondes avant de se redresser pour revenir sur le canapé : elle n’allait certainement pas se contenter d’une chaise pour s’envoyer en l’air avec naeul. la brune ferma les yeux avant de rire sous la provocation du garçon qui semblait légèrement déconcerté de la voir partir. Mais elle voulait le rassurer, lui faire comprendre qu’elle ne le repoussera jamais réellement, juste, elle avait cette envie d’attiser au fond des autres, un désir qu’ils n’avaient jamais soupçonné avant. « - est-ce que tu vas me toucher comme tes autres multiples conquêtes ? » les doigts délicats de la kazakhe vinrent s’aventurer dans le cou de naeul pour lui faire doucement redresser la tête, plantant un regard à la fois sérieux et pervers dans le sien, le sourire aux lèvres. « - ou est-ce que je vais me sentir différente ? » menteuse non, mais possessive oui. Les jambes de la demoiselle vinrent bientôt emprisonner le corps du jeune coréen, au niveau du bassin, le faisant se rapprocher au possible d’elle alors qu’elle passait un doigt sur la lèvre du garçon. Elle était à la fois impatiente de continuer leur petit jeu qui avait pris si rapidement, mais voulait le faire languir pour lui montrer qu’elle n’était pas seulement une conquête de plus parmi d’autres. « - oui je veux jouer. » finit-elle finalement par dire, plus que certaine. Alors, à ses mots, elle se redressa légèrement pour laisser ses phalanges soulever le haut de naeul, griffant sans gêne sa peau de manière appuyée, sous des ongles longs et aiguisés avec soin. Elle pouvait déjà sentir avec délice, les frissons sous le passage de ses lames. Teresa jeta le tshirt du coréen avant de passer ses mains dans son dos. Elle aimait les corps secs et légèrement musclés, sans gonflettes, sans artifices, les peaux blanches, nus ou tatoués, mais elle adorait les os saillants : comme les clavicules apparentes de son meilleur qu’elle tentait d’examiner discrètement sous un rire toujours aussi joueur. « - à ton tour. »
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Re: jeu d'enfant pour les grands + 18 - Tereul | Dim 14 Aoû - 21:42 Citer EditerSupprimer
J’avais toujours était un coureur de jupon au plus grand détriment de ma sœur jumelle qui tentait de me résonner, me disant que ca finirait par se retourner sur moi. Mais à quoi bon se focaliser que sur une jeune fleur fraiche à cueillir alors qu’un fruit défendu bien plus juteux pointait son nez juste à côté ? Même si il arrivait dans de rares cas que je revienne vers une même femme comme pour revenir chercher ma dose quotidienne d’amphétamine, j’aimais butiné à gauche et à droite pour découvrir de nouvelles saveurs. J’étais un drogué toujours à la recherche de nouvelles expériences qui me défoncerait de plus en plus fort jusqu’à me retourner le cerveau au point que la dose précédente me parait bien fade face à la nouvelle. Sans doute que ceci expliquait cela. J’étais un homme à femmes, mais étais-je un homme d’une seule femme ? J’en doutais fort. Je n’arrivais pas à me poser, trouvant la proposition insuffisante. Je ne me suis pourtant jamais caché, que ce soit sur mes attentions ou mes aventures. Je ne suis pas fidèle. Je ne suis pas un chiot qu’on garde en laisse. Je suis pas un mec qui se laisse priver de sa liberté par une femme au quand bien même je tienne à elle. La femme qui parviendrait à une telle extrémité n’est pas encore née. Alors qu’elle fut ma surprise en constatant un tel attachement de Teresa sur la façon dont je pouvais bien la prendre. Je la laissais diriger mon visage qui se relevait vers elle doucement, un sourcil amusé élevé. « C’est si important pour toi ? » lâchais-je sur le ton de la taquinerie faisant référence à l’autre partie que cachait la librairie qu’elle tenait. Pourtant, son regard mi sérieux me fit tiquer, me faisant comprendre que ca n’avait rien d’une plaisanterie et qu’elle pensait bel et bien ce qu’elle me disait. « Je pensais pas que c’était le cas… » Murmurais-je un brin décontenancer. Si avec une autre je me fichais bien de ce qu’elle pensait ou de ses états d’âme, avec teresa, c’était diffèrent. Elle était l’une des rares à qui je tenais vraiment et tenait un rôle bien plus important qu’une simple capote jetable. Oh, les femmes dans ma vie devaient se battre pour acquérir de l’importance pour un homme tel que moi, qui voyait en la gente féminine que le procréation. Je fronçais les sourcils, réfléchissant sous ses caresses taquines. Je la laissais enlever mon haut alors que mon esprit était distrait, cherchant une solution pour qu’elle se sente différente des autres, unique à mes yeux. Je lui devais bien ca pour tout ce qu’elle avait fait pour moi. je fermais les yeux, frissonnant de plaisir sous les marques de griffes qu’elle laissait sur ma peau. Et sa voix si suave qui murmurait au creux de mon oreille, n’arrangeant pas les choses. « Teresa, comment veux-tu que je me concentre si tu joues ainsi … » j’essayais de garder la tête froide pour ne pas lui sauter dessus immédiatement. Puis, ce fut l’illumination. Je passais un de mes bras nus derrière sa taille pour la maintenir fermement contre moi, et me redressait d’un coup, la portant avec facilité. « J’ai trouvé ! » m’enjouais-je avec un large sourire sur les lèvres alors que je prenais déjà la direction de ma destination. J’ouvris une porte d’un coup de pied qui s’ouvrit sur ma chambre. Aucune fille n’en avait encore franchit le pas de la porte. Ahreum gardait l’œil ouvert pour que cette limite ne soit pas franchie. Mais la demoiselle que je tenais au creux de mes bras était bien différente, et je comptais bien profiter de son absence pour tenir une autre promesse. Je vins la déposer sur les draps de mon lit déjà en pagaille, un genou poser sur le bord du lit, je la surplombais. « alors ? l’idée d’etre la première et la seule à avoir franchi cette porte te plait ? » demandais-je avec un brin de malice dans ma voix, alors que mes mains entreprenait déjà de déboutonner son jeans qui me paraissait bien peu utile dans cette situation.
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J’avais toujours était un coureur de jupon au plus grand détriment de ma sœur jumelle qui tentait de me résonner, me disant que ca finirait par se retourner sur moi. Mais à quoi bon se focaliser que sur une jeune fleur fraiche à cueillir alors qu’un fruit défendu bien plus juteux pointait son nez juste à côté ? Même si il arrivait dans de rares cas que je revienne vers une même femme comme pour revenir chercher ma dose quotidienne d’amphétamine, j’aimais butiné à gauche et à droite pour découvrir de nouvelles saveurs. J’étais un drogué toujours à la recherche de nouvelles expériences qui me défoncerait de plus en plus fort jusqu’à me retourner le cerveau au point que la dose précédente me parait bien fade face à la nouvelle. Sans doute que ceci expliquait cela. J’étais un homme à femmes, mais étais-je un homme d’une seule femme ? J’en doutais fort. Je n’arrivais pas à me poser, trouvant la proposition insuffisante. Je ne me suis pourtant jamais caché, que ce soit sur mes attentions ou mes aventures. Je ne suis pas fidèle. Je ne suis pas un chiot qu’on garde en laisse. Je suis pas un mec qui se laisse priver de sa liberté par une femme au quand bien même je tienne à elle. La femme qui parviendrait à une telle extrémité n’est pas encore née. Alors qu’elle fut ma surprise en constatant un tel attachement de Teresa sur la façon dont je pouvais bien la prendre. Je la laissais diriger mon visage qui se relevait vers elle doucement, un sourcil amusé élevé. « C’est si important pour toi ? » lâchais-je sur le ton de la taquinerie faisant référence à l’autre partie que cachait la librairie qu’elle tenait. Pourtant, son regard mi sérieux me fit tiquer, me faisant comprendre que ca n’avait rien d’une plaisanterie et qu’elle pensait bel et bien ce qu’elle me disait. « Je pensais pas que c’était le cas… » Murmurais-je un brin décontenancer. Si avec une autre je me fichais bien de ce qu’elle pensait ou de ses états d’âme, avec teresa, c’était diffèrent. Elle était l’une des rares à qui je tenais vraiment et tenait un rôle bien plus important qu’une simple capote jetable. Oh, les femmes dans ma vie devaient se battre pour acquérir de l’importance pour un homme tel que moi, qui voyait en la gente féminine que le procréation. Je fronçais les sourcils, réfléchissant sous ses caresses taquines. Je la laissais enlever mon haut alors que mon esprit était distrait, cherchant une solution pour qu’elle se sente différente des autres, unique à mes yeux. Je lui devais bien ca pour tout ce qu’elle avait fait pour moi. je fermais les yeux, frissonnant de plaisir sous les marques de griffes qu’elle laissait sur ma peau. Et sa voix si suave qui murmurait au creux de mon oreille, n’arrangeant pas les choses. « Teresa, comment veux-tu que je me concentre si tu joues ainsi … » j’essayais de garder la tête froide pour ne pas lui sauter dessus immédiatement. Puis, ce fut l’illumination. Je passais un de mes bras nus derrière sa taille pour la maintenir fermement contre moi, et me redressait d’un coup, la portant avec facilité. « J’ai trouvé ! » m’enjouais-je avec un large sourire sur les lèvres alors que je prenais déjà la direction de ma destination. J’ouvris une porte d’un coup de pied qui s’ouvrit sur ma chambre. Aucune fille n’en avait encore franchit le pas de la porte. Ahreum gardait l’œil ouvert pour que cette limite ne soit pas franchie. Mais la demoiselle que je tenais au creux de mes bras était bien différente, et je comptais bien profiter de son absence pour tenir une autre promesse. Je vins la déposer sur les draps de mon lit déjà en pagaille, un genou poser sur le bord du lit, je la surplombais. « alors ? l’idée d’etre la première et la seule à avoir franchi cette porte te plait ? » demandais-je avec un brin de malice dans ma voix, alors que mes mains entreprenait déjà de déboutonner son jeans qui me paraissait bien peu utile dans cette situation.
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Re: jeu d'enfant pour les grands + 18 - Tereul | Mer 17 Aoû - 12:39 Citer EditerSupprimer
Pour dire vrai, la jeune femme ne savait pas vraiment comment justifier sa question. en effet, elle devait bien être la seule fille qui n’était pas amoureuse de naeul et pourtant son interrogation faisait tout comme. Elle eut soudain peur, face au regard perdu de son ami, que ce dernier en fut presque stoppé voire dégoûté. Il était vrai qu’elle était un peu cruelle de poser cette question alors qu’elle avait commencé à le chauffer juste avant. teresa poussa un soupir avant d’abandonner sa quête de savoir. Naeul ne changera pas, il sera toujours ce don juan qui ne s’épuisera jamais de courir après toutes les paires de seins possibles et inimaginables. Mais après tout, elle l’aimait comme ça non ? la kazakhe lui offrit un sourire sans répondre à ses questions. Elle voulait lui faire comprendre que le sujet était clos et qu’elle n’allait pas l’embêter avec ça plus longtemps. Cependant, elle ne s’attendit pas à se sentir soulevée si vite, si bien qu’elle poussa un petit cri de surprise, les mains solidement tenues aux épaules du coréen sans avoir le temps de lui demander ce qu’il était en train de faire. Non, à vrai dire, à ce moment précis, elle se trouvait enchantée de voir à quel point elle pouvait se sentir légère dans ses bras. Une jambe s’enroula autour de lui sans vraiment connaitre leur prochaine destination. Puis elle sentit un matelas et toucha des draps : un lit ? un lit, donc, sa chambre ? teresa se mit à sourire de plus belle tandis qu’elle releva son visage pour examiner la pièce de fond en comble en un coup d’œil. Quel effort ! naeul ne laissait accès à sa chambre à personne et c’était une première pour l’orientale de se trouver posée sur ses plis. Elle en montra son agréable surprise par un baiser offert au garçon qui était bientôt occupée à la ôter de ses vêtements le plus rapidement possible. « - d’accord. J’admets. Tu as gagné ton ticket. » la belle brune se mit à rire tandis que ses jambes se repliaient pour laisser son jean filer entre les gestes pressés du coréen. Cependant, la jeune femme n’avait pas oublié la partie, et le round qui était en train de se jouer sous son nez. d’un geste adroit, elle vint rouler sur le garçon pour se glisser tel une anguille, sur son corps blanchâtre. Elle était maintenant simplement vêtue de ses sous-vêtements qu’elle avait, pour une fois, pensé à accorder. L’occasion était trop belle pour oublier quoique ce soit, bien que tout ceci ne fût pas prévu. La chevelure diabolique de teresa tombant sur le côté de son épaule alors qu’elle commençait à embrasser tout le corps de son nouvel amant, ami, les mains impatientes et chapardeuses lui volant sa pudeur au fur et à mesure qu’elle baissait ce pantalon serré, grognant parfois et abandonnant finalement la lutte quand ce dernier fut arrivé au niveau de ses chevilles. C’était amplement suffisant après tout. Teresa se redressa légèrement, le ventre légèrement tiraillée entre l’appréhension et l’impatience de sentir un corps si familier devenir pourtant si intime. Elle laissa alors sa peau se coller à la sienne, la poitrine écrasée contre un torse et le bassin solidement attachée à celui de naeul : sensation nouvelle et différente.
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Re: jeu d'enfant pour les grands + 18 - Tereul | Ven 16 Sep - 10:41 Citer EditerSupprimer
Elle resta muette face à mes interrogations. Avais-je fais quelque chose qui l’avait froissée ? Etant donné qu’elle n’insista pas, je compris que non, et continuais comme bon me semblait. Je la portais telle une princesse vers ce château qui était en temps normal fermé à double tour et ouvert qu’à quelques rares personnes qui se comptaient sur les doigts d’une main. Je souris en l’entendant pousser un cri de surprise. C’était qu’elle était mignonne quand elle perdant cette façade si assurante qu’elle arborait la plupart du temps. La voir démunie me ferait presque craquer. A peine l’avais-je déjà posé sur le lit que j’entreprenais déjà à enlever tout ce surplus de vêtement qui me gênait. Je relevais mon regard vers elle, m’arrêtait quelques secondes pour l’observer, elle et son sourire ravageur, alors qu’elle admettait que j’avais gagné mon ticket pour aller plus loin. Elle reconnaissait l’effort que je venais de faire. A vrai dire, si c’était elle qui était dans ma chambre, ca me dérangeait bien moins que je le laissais croire. En revanche, aucune étrangère ne passait le pas de cette porte. Je ne dis rien, un simple sourire satisfait aux coins des lèvres, je lui retirais son jeans avec empressement. J’avais déjà en tête la délicieuse torture que j’allais lui infliger, mais sans attendre mon accord, elle chamboula mes plans, me faisant rouler avec elle pour inverser les rôles. Je ris en la voyant se débattre avec mon propre jeans, je tentais de lui donner un coup de main avant de décider qu’elle la laisser galérer. Elle était si belle avec cet air concentré tirant ses traits. Quand je sentis mon paquet débarrasser de sa prison de tissus dur, je me sentais comme libérer. Je devenais à l’étroit la dedans. Je la laissais s’allonger sur moi, sentant sa peau contre la mienne pour la première fois. Son visage à quelques centimètres du mien, je remis une mèche de ses cheveux qui me chatouillait le nez derrière une de ses oreilles, délicatement, prenant le temps de la détailler comme je ne l’avais encore jamais fait. Mon autre main caressait son dos, descendant vers ses fesses rebondies sur laquelle je donnais une petite claque pour la faire rougir, mais surtout pour lire cet air surpris sur son visage que je trouvais si malicieux. Puis, j’attrapais sa joue du bout des doigts pour lui voler un chaste baiser. Je profitais de la diversion pour détacher son soutien-gorge, libérant ses deux beautés à l’air frais que je sentais s’écraser sur mon torse sous son poids. « Relèves toi, je veux les voir. » murmurais-je sur un ton à la fois doux et autoritaire. Pour un fois que je pouvais voir sa poitrine sans passer pour un pervers, je comptais bien en profiter et ne pas en prendre une miette.
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Elle resta muette face à mes interrogations. Avais-je fais quelque chose qui l’avait froissée ? Etant donné qu’elle n’insista pas, je compris que non, et continuais comme bon me semblait. Je la portais telle une princesse vers ce château qui était en temps normal fermé à double tour et ouvert qu’à quelques rares personnes qui se comptaient sur les doigts d’une main. Je souris en l’entendant pousser un cri de surprise. C’était qu’elle était mignonne quand elle perdant cette façade si assurante qu’elle arborait la plupart du temps. La voir démunie me ferait presque craquer. A peine l’avais-je déjà posé sur le lit que j’entreprenais déjà à enlever tout ce surplus de vêtement qui me gênait. Je relevais mon regard vers elle, m’arrêtait quelques secondes pour l’observer, elle et son sourire ravageur, alors qu’elle admettait que j’avais gagné mon ticket pour aller plus loin. Elle reconnaissait l’effort que je venais de faire. A vrai dire, si c’était elle qui était dans ma chambre, ca me dérangeait bien moins que je le laissais croire. En revanche, aucune étrangère ne passait le pas de cette porte. Je ne dis rien, un simple sourire satisfait aux coins des lèvres, je lui retirais son jeans avec empressement. J’avais déjà en tête la délicieuse torture que j’allais lui infliger, mais sans attendre mon accord, elle chamboula mes plans, me faisant rouler avec elle pour inverser les rôles. Je ris en la voyant se débattre avec mon propre jeans, je tentais de lui donner un coup de main avant de décider qu’elle la laisser galérer. Elle était si belle avec cet air concentré tirant ses traits. Quand je sentis mon paquet débarrasser de sa prison de tissus dur, je me sentais comme libérer. Je devenais à l’étroit la dedans. Je la laissais s’allonger sur moi, sentant sa peau contre la mienne pour la première fois. Son visage à quelques centimètres du mien, je remis une mèche de ses cheveux qui me chatouillait le nez derrière une de ses oreilles, délicatement, prenant le temps de la détailler comme je ne l’avais encore jamais fait. Mon autre main caressait son dos, descendant vers ses fesses rebondies sur laquelle je donnais une petite claque pour la faire rougir, mais surtout pour lire cet air surpris sur son visage que je trouvais si malicieux. Puis, j’attrapais sa joue du bout des doigts pour lui voler un chaste baiser. Je profitais de la diversion pour détacher son soutien-gorge, libérant ses deux beautés à l’air frais que je sentais s’écraser sur mon torse sous son poids. « Relèves toi, je veux les voir. » murmurais-je sur un ton à la fois doux et autoritaire. Pour un fois que je pouvais voir sa poitrine sans passer pour un pervers, je comptais bien en profiter et ne pas en prendre une miette.
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