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YUKYUN ♥ WHATS WRONG WITH YOUR FUCKING MIND
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Re: YUKYUN ♥ WHATS WRONG WITH YOUR FUCKING MIND | Dim 23 Oct - 12:56 Citer EditerSupprimer
I NEVER ASKED YOU TO LOVE ME
so don't break my heart.
« Toujours. » répétais-je dans un souffle doux alors qu’il m’enfilait ce casque sur la tête, j’étais inquiète pour lui et j’aurais préféré qu’il le garde pour lui mais je savais que tenter de négocier ou de le dissuader de me mettre ce casque sur la tête allait plus nous faire nous embrouiller qu’autre chose. Alors docilement je le laisse faire. Acquiesçant en levant le menton pour qu’il puisse le clipser sans pincer ma peau. S’il y a toute ta vie, alors mets le dans le coffre de la moto et arrête de t’excuser alors que tu n’as rien fait, tu me feras plaisir. Je baisse les yeux pour rapidement mettre mon sac dans le coffre de la moto, ne préférant rien ajouté pour ne pas gâcher cet équilibre fragile de bon entente entre nous. Je souris tendrement quand il embrasse le haut du casque. Voilà pourquoi je n’arrive pas à le quitter. Voilà pourquoi je reste avec lui malgré ces … ces peurs qui l’empêche d’être avec moi. je sais que dans le fond il tient à moi mais il y a ce je ne sais quoi qui l’empêche d’accepter ca … je peux pas lui en vouloir et je l’aime beaucoup trop pour accepter le quitter simplement comme ça … je saurais être patiente, et si des soirs comme ce soir, me font mal au cœur, il y a ces fins de soirées avec lui où je sais que finalement, il est à moi … Je monte rapidement sur la moto et passe mes bras autour de lui pour m’accrocher sans me faire prier. Je me serre contre lui, essayant de ne pas lui donner de coup avec le casque.
Le trajet me parait rapide et morne. On ne peut pas discuter sur une moto mais j’ai tendance à croire que même si nous avions été en voiture, le silence aurait été le même. Je regarde sans voir les rues défiler et fut surprise de son arrêt brusque qui me fait m’accrocher à lui plus encore. Je descends alors de l’engin et retire le casque alors que mes cheveux électriques volent un peu partout autour de moi. Je tente de les dresser sagement alors qu’il me rappelle de ne pas oublier mon sac. Le son de sa voix me fait un peu de peine, parce que je ne sais pas comment l’interprété. Il a l’air encore tellement … fâché ou contrarié ? Et … triste ? Je n’arrive pas à comprendre pour tout avouer. Mais sa main sur ma joue me rassure. J’acquiesce doucement avec un sourire doux et timide pour me saisir de mon sac que je glisse sur mon épaule. Je m’avance vers l’entrée avant de me tourner vers lui et de pencher le visage sur le côté. Il m’a l’air si lointain que j’ai mal au cœur. Je soupire et reviens vers lui pour l’embrasser soudainement. « Viens t’occuper de moi. » Parce que le sexe, n’est pas qu’un simple moment de sexe juste pour tirer son coup, c’est aussi le seul moment où on s’autorise à s’aimer sans avoir besoin de le dire … Je le tire par la nuque pour le forcer à lâcher prise. Je l’attire à moi et l’entraine vers l’entrée de son bâtiment sans lâcher ses lèvres. Et j’espèrais au fond de moi qu’il accepte. Qu’il accepte d’être amoureux de moi en silence pour cette nuit. Qu’on oublie cette altercation stupide, mes pleures et sa colère. Je voulais juste qu’on se retrouve comme on sait le faire quand il n’y a personne d’autres que nous. Et j’espérais qu’il avait à cœur de me retrouver … et de m’aimer à notre façon pour qu’on soit … qu’on soit juste ensemble pour cette nuit.
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Re: YUKYUN ♥ WHATS WRONG WITH YOUR FUCKING MIND | Sam 26 Nov - 19:59 Citer EditerSupprimer
WHATS WRONG WITH YOUR FUCKING MIND
Yeo Rahee & Cho Su Kyun
Je la regarde et je me sens à nouveau mal. La vague impression que la moindre de mes paroles la blesse est présente. Je la sens si fragile, si à fleur de peau, que cela me rend fou. Énervé contre moi meme, je me déteste quand elle est comme ça. Sans moi elle le serait pas, avec un autre elle serait pas si malheureuse. Mais dans le fond, quand je la vois parfois, je me dis qu’avec un autre elle ne serait pas plus heureuse non plus. Quelque chose m’empêche de la laisser. Un je ne sais quoi qui la ramène à moi et qui fait que nous ne nous lâchons pas depuis tout ce temps. Pourtant, cette colère s’estompe légèrement quand je sens qu’elle me serre si fortement, comme si elle me pardonnait de mes conneries. Et dieu sait qu’elle ne devrait pas, parce que maladroit comme je le suis, je finirais par la recommencer. Mais je tente de me tenir. Comme je ne l’ait jamais fait. Yuji, laisse moi du temps s’il te plaît.
En descendant de la moto, la tension est encore palpable. Mais je continue de penser, de me remémorer ce qu’il faut que je fasse. Loin d’etre doué en amour, c’est une chose difficile que d’apprendre à aimer. Et elle ne se rend pas compte de l’histoire que ça fait pour un mec comme moi. Et mes esprits s’échappent alors que je sens ses lèvres se glisser sur les miennes. Je suis absorbé par elle par sa beauté. Et parce qu’elle sait que je ne dit jamais non à elle, je la suis, quitte à la plaquer dans les escaliers contre une paroi et à l’embrasser franchement plus en profondeur. A cette heure-ci personne ne nous verra, personne descendra, ce sera juste nous deux. Je glisse ma main le long de sa jambe, m’amusant à la caresser comme si je redécouvrait ces sensations. Puis d’un geste habile, habitué, je glisse ses jambes autour de ma taille pour la porter jusqu’à mon appartement. Me dominant d’une tete au moins, son filet de cheveux cache nos visages alors qu’une main mal habile se glisse dans ma poche à la recherche des clés. Putain, j’ai l’impression de les chercher pendant une éternité. Alors que je finis par les trouver, la porte s’ouvre et je la pousse. En ces moments-là, j’ai l’impression que nous soucis sont loin comme s’ils s’étaient évaporés d’un seul geste. Je marche rapidement chez moi, alors que ma main s’est déjà frayé un chemin sous sa robe. Quand j’ai envie d’elle, j’en ai pas envie à moitié. Et je sais qu’elle me tient par ça au final et par des sentiments qu’elle ne sait pas s’ils existent vraiment au final. Si elle savait. Je la glisse lentement sur le canapé avant de lâcher dans un murmure. « Je reviens. » Je marche rapidement pour aller fermer la porte d’un coup de clé tout en détachant ma chemise. Je n’ai allumé aucune lumière, le noir éveille les sens à ce qu’il paraît. Je me glisse lentement d’une démarche félin au dessus d’elle, avant de revenir l’embrasser à pleine bouche comme si ma vie en dépendait. Ma main se glisse fermement sous sa robe pour revenir continuer mes caresses. Alors que je me perd complètement face à ce corps que j’adore découvrir et redécouvrir. Mes lèvres quittent un instant les siennes pour venir se loger dans son cour alors que je murmure.
« T’es.. belle.. meme dans le noir. » Et c’était vrai. C’était idiot de dire une phrase pareille sur le coupn je m’en rendit compte quelques instants après. Mais j’espérais juste qu’elle m’en voulait pas trop. Comme si je devais me racheter une conduite… J’suis paumé Yuji. Tu sais ?
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En descendant de la moto, la tension est encore palpable. Mais je continue de penser, de me remémorer ce qu’il faut que je fasse. Loin d’etre doué en amour, c’est une chose difficile que d’apprendre à aimer. Et elle ne se rend pas compte de l’histoire que ça fait pour un mec comme moi. Et mes esprits s’échappent alors que je sens ses lèvres se glisser sur les miennes. Je suis absorbé par elle par sa beauté. Et parce qu’elle sait que je ne dit jamais non à elle, je la suis, quitte à la plaquer dans les escaliers contre une paroi et à l’embrasser franchement plus en profondeur. A cette heure-ci personne ne nous verra, personne descendra, ce sera juste nous deux. Je glisse ma main le long de sa jambe, m’amusant à la caresser comme si je redécouvrait ces sensations. Puis d’un geste habile, habitué, je glisse ses jambes autour de ma taille pour la porter jusqu’à mon appartement. Me dominant d’une tete au moins, son filet de cheveux cache nos visages alors qu’une main mal habile se glisse dans ma poche à la recherche des clés. Putain, j’ai l’impression de les chercher pendant une éternité. Alors que je finis par les trouver, la porte s’ouvre et je la pousse. En ces moments-là, j’ai l’impression que nous soucis sont loin comme s’ils s’étaient évaporés d’un seul geste. Je marche rapidement chez moi, alors que ma main s’est déjà frayé un chemin sous sa robe. Quand j’ai envie d’elle, j’en ai pas envie à moitié. Et je sais qu’elle me tient par ça au final et par des sentiments qu’elle ne sait pas s’ils existent vraiment au final. Si elle savait. Je la glisse lentement sur le canapé avant de lâcher dans un murmure. « Je reviens. » Je marche rapidement pour aller fermer la porte d’un coup de clé tout en détachant ma chemise. Je n’ai allumé aucune lumière, le noir éveille les sens à ce qu’il paraît. Je me glisse lentement d’une démarche félin au dessus d’elle, avant de revenir l’embrasser à pleine bouche comme si ma vie en dépendait. Ma main se glisse fermement sous sa robe pour revenir continuer mes caresses. Alors que je me perd complètement face à ce corps que j’adore découvrir et redécouvrir. Mes lèvres quittent un instant les siennes pour venir se loger dans son cour alors que je murmure.
« T’es.. belle.. meme dans le noir. » Et c’était vrai. C’était idiot de dire une phrase pareille sur le coupn je m’en rendit compte quelques instants après. Mais j’espérais juste qu’elle m’en voulait pas trop. Comme si je devais me racheter une conduite… J’suis paumé Yuji. Tu sais ?
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Re: YUKYUN ♥ WHATS WRONG WITH YOUR FUCKING MIND | Mer 30 Nov - 23:21 Citer EditerSupprimer
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so don't break my heart.
Au final le sexe n’était que le ciment de notre relation. Je ne sais pas ce que nous étions, sûrement des amis à ses yeux et plus encore, mais le sexe était ce qui rapprochait quand l’impression de nous éloigner me pourrissait le cœur. Je ne voulais pas être étouffante, exigeante, intrusive, lourde … toutes ces adjectifs désobligeant et douloureux. Je voulais juste qu’il ne voit que moi. Qu’il ne remarque que moi. Qu’il ne touche que moi … Mais en croisant son regard, en glissant mes lèvres sur les siennes et en le laissant mener la danse de nos deux corps je sais que nous avions dépassés les limites, peu importe la façon dont l’amour se manifesterait. J’arrivais à me convaincre qu’il était déjà là, entre nous, à se faire une place maladroitement. Je soupire contre ses lèvres de plaisirs et d’impatience. Je ris doucement en tombant dans le canapé, grognant déjà de le voir repartir. Seules les quelques lumières de l’extérieure nous éclaire et c’est bien suffisant. Je pose mon regard sur lui en le voyant arriver vers moi. Cette simple vision aurait pu me donner envie de lui si je n’étais pas déjà totalement sous sa coupe. J’avais envie de lui, j’avais besoin de lui. Nous n’étions jamais plus proches que lorsque nous faisions l’amour. La passion laissait toujours place à des gémissements tendres. Je caresse son torse en griffant doucement sa peau alors qu’il reprend possession de mes lèvres comme si je lui avais beaucoup trop manqué en ses quelques secondes. Je soupire contre sa bouche, attrapant sa nuque entre mes doigts que j’enlace. Lui aussi m’a manqué. Son attention, sa chaleur. Dieu que je suis accroc à ce garçon. Est-ce si mal ? Je veux dire, de l’attendre depuis tellement d’année sans jamais avoir l’impression d’être sa copine ? J’étais sa Yuji après tout c’était peut-être mieux … c’était au moins un statut que personne d’autre ne pourrait avoir. J’avais une place si particulière que j’avais au moins la prétention d croire que j’étais beaucoup trop importante pour lui pour n’être qu’une simple amie. J’avais depuis longtemps dépassé le stade de la meilleure amie, sans jamais tomber dans le piège de la friendzone. J’étais sa Yuji putain, c’était tout ce que j’avais besoin de savoir …
Je gémis plus fort contre ses lèvres alors qu’il part à l’assaut de mon corps qu’il connait pourtant par cœur. Mais jamais il ne s’en lasse et c’était tellement agréable de le voir ainsi regarder mon corps. Je me sens si belle, si désiré et parfois même tant aimé. Je l’aide à retirer cette chemise avec l’envie pressante de sentir sa peau brûlante contre la mienne. Je tire sur ma robe avec autant d’empressement et soupire d’aise quand je sens sa peau se coller à la mienne. Je bois son souffle de mes lèvres désireuses et l’embrasse avec passion. Je n’ai pas envie de calmer le jeu ni le feu qui nous serre le ventre. M’enivrer de lui est ce que je préfère faire. Je souris contre ses lèvres avant de m’attaquer à son jean que je lui vire sauvagement. Mes gestes sont maladroits et brusques, pressés aussi et surement adorable. Il me connait bien à force. Je viens m’asseoir à califourchon sur lui et me redresse derrière ces rideaux de cheveux me donnant des allures de félines. Je viens frôler ses lèvres des miennes et écrase contre sa bouche mon souffle court et chaud. Je caresse sa joue tendrement, m’accordant un répit dans notre folie avant de faire glisser le long de mes épaules les bretelles de mon soutient gorge, juste pour le rendre un peu plus dingue quand je lui dévoile ma poitrine blanche et rebondi qu’il aime tant. Et j’en oublie la soirée, les larmes, le mascara qui coule et cette boule dans mon ventre. Il ne reste plus que lui …
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Re: YUKYUN ♥ WHATS WRONG WITH YOUR FUCKING MIND | Ven 2 Déc - 22:56 Citer EditerSupprimer
WHATS WRONG WITH YOUR FUCKING MIND
Yeo Rahee & Cho Su Kyun
J’avais l’impression de lui donner ne serait-ce qu’un peu de bonheur ainsi. Tout en priant du plus profond de mon coeur pour qu’elle oublie cette soirée. J’avais été ingrat, un véritable con pour dire correctement les choses. Dans le fond, j’étais plus maladroit que volontairement méchant, j’espérais qu’elle le savais. Alors je me rattrapais comme je le pouvais, avec ces choses que je maitrisais vraiment, cela différenciait véritablement notre relation du sexe. L’un était maitrisé menait directement à une fin dans l’extase, l’autre était incertain, perdu, on jouait un peu à cache cache avec nos sentiments sans dans le fond véritablement se les avouer. J’avais honte de penser que je pouvais etre si lache mais c’était plus fort que moi. Je n’arrivais pas à admettre ces choses qui se passaient en moi mais qui pourtant n’avaient rien de terrible. Macho dans l’âme, j’avais réellement du mal à admettre qu’elle pouvait avoir un tel pouvoir sur moi, qu’elle me maîtrisait aussi bien que je ne savais lui faire l’amour. C’était ça je crois bien le plus perturbant. Pourtant, je me déconcentrais pas de ma tache, c’était toujours ça quand on faisait l’amour. Je ne devais penser à rien d’autre qu’à elle ou plutot, cela se faisait naturellement.
Ma main se glissa instinctivement sur ses seins sous mes yeux, généreux et qui n’attendaient visiblement que mes caresses. J’étais trop empressé pour reculer, j’avais envie d’elle plus que jamais. Elle aurait pu le sentir ainsi installée à califourchon sur mon membre. Il était vif, aux aguets. Et bien vite, mes mains laissent place à mes lèvres qui se baladent avec rapidité sur ces objets de mon désir le plus profond. Yuji, c’est bien plus qu’une paire de seins. Et je le sais, dans le fond je sais qu’elle sait aussi. Elle sait que quand je l’embrasse à nouveau après m’être occupé si longuement de ses seins que c’est elle que j’affectionne. Que c’est elle que je désire. Alors mes doigts font glisser sa culotte, comme d’habitude, je ne perd pas de temps. Je sais qu’on en a déjà beaucoup perdu aujourd’hui à se disputer alors il ne faudrait pas en perdre davantage à désirer se réconcilier. Mon caleçon glisse lui aussi, habilement et je me retrouve complètement nu sous elle, me laissant chevaucher par cette tigresse que je ne trouve jamais aussi sublime que quand elle me désire. Je glisse mon membre, fièrement tendu en elle, je ne sais pas si elle prend toujours sa pilule, je ne sais pas si j’aurais du mettre un préservatif. En fait, j’suis encore trop paumé pour pouvoir réaliser que je l’aime vraiment. Un peu alcoolisé aussi. Mais surtout paumé. J’me dis qu’elle fera un jour le premier pas de me le dire, peut être que j’arriverais à parler. En attendant, je joue avec mon membre en elle en donnant quelques coups, prémices de la soirée torride que nous allons passer. Mes lèvres ne quittent plus les siennes, comme si elles étaient véritablement fixée tout comme ma langue qui se mele joyeusement à la sienne. Il faudrait un jour que l’on m’explique pourquoi tout n’est pas aussi facile que de s’aimer physiquement. Elle et moi, on sait parler le meme langage du sexe alors pourquoi on se complique la vie au niveau sentiment ? En fait chais pas. J’suis meme pas sur qu’elle ait la réponse aussi. Mais au vu de ma respiration difficile, je sais qu’elle sait qu’elle a le dessus. Qu’elle a déjà tout gagné.
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Ma main se glissa instinctivement sur ses seins sous mes yeux, généreux et qui n’attendaient visiblement que mes caresses. J’étais trop empressé pour reculer, j’avais envie d’elle plus que jamais. Elle aurait pu le sentir ainsi installée à califourchon sur mon membre. Il était vif, aux aguets. Et bien vite, mes mains laissent place à mes lèvres qui se baladent avec rapidité sur ces objets de mon désir le plus profond. Yuji, c’est bien plus qu’une paire de seins. Et je le sais, dans le fond je sais qu’elle sait aussi. Elle sait que quand je l’embrasse à nouveau après m’être occupé si longuement de ses seins que c’est elle que j’affectionne. Que c’est elle que je désire. Alors mes doigts font glisser sa culotte, comme d’habitude, je ne perd pas de temps. Je sais qu’on en a déjà beaucoup perdu aujourd’hui à se disputer alors il ne faudrait pas en perdre davantage à désirer se réconcilier. Mon caleçon glisse lui aussi, habilement et je me retrouve complètement nu sous elle, me laissant chevaucher par cette tigresse que je ne trouve jamais aussi sublime que quand elle me désire. Je glisse mon membre, fièrement tendu en elle, je ne sais pas si elle prend toujours sa pilule, je ne sais pas si j’aurais du mettre un préservatif. En fait, j’suis encore trop paumé pour pouvoir réaliser que je l’aime vraiment. Un peu alcoolisé aussi. Mais surtout paumé. J’me dis qu’elle fera un jour le premier pas de me le dire, peut être que j’arriverais à parler. En attendant, je joue avec mon membre en elle en donnant quelques coups, prémices de la soirée torride que nous allons passer. Mes lèvres ne quittent plus les siennes, comme si elles étaient véritablement fixée tout comme ma langue qui se mele joyeusement à la sienne. Il faudrait un jour que l’on m’explique pourquoi tout n’est pas aussi facile que de s’aimer physiquement. Elle et moi, on sait parler le meme langage du sexe alors pourquoi on se complique la vie au niveau sentiment ? En fait chais pas. J’suis meme pas sur qu’elle ait la réponse aussi. Mais au vu de ma respiration difficile, je sais qu’elle sait qu’elle a le dessus. Qu’elle a déjà tout gagné.
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Re: YUKYUN ♥ WHATS WRONG WITH YOUR FUCKING MIND | Sam 3 Déc - 0:20 Citer EditerSupprimer
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Je l’aime. Aujourd’hui, hier, demain, je sais que je l’aime et que personne ne saurait n’être à la hauteur pour rivaliser avec lui. Aucun homme sur cette terre ne serait capable de m’attirer autant que Kyun, de me faire rire autant que Kyun, de me plaire autant que Kyun … parce que dans notre intimité, quand il se montre un peu plus à l’aise, qu’il se laisse aller, je suis la femme la plus heureuse. Parce qu’il n’a pas l’air de voir à quel point je suis bien avec lui. Qu’importe ce qu’il peut me donner, ça sera toujours mieux que ce que je peux trouver ailleurs … je n’ai pas besoin de grands choses de plus que ce qu’il ne m’offre aujourd’hui. J’accepte ses limites, j’accepte qu’il soit … ainsi, mais entre deux soupires, entre deux baisers, quand il se jette sur mes lèvres avec cette impression de lui avoir manqué, je sens que je ne suis pas que Rahee. Et c’est pour cette seconde, cette seconde qu’il m’offre encore ce soir, que je vis. Je souffle à la chaleur de ses lèvres se perdre sur la pulpe de mes seins. C’est délicat, rempli de désir, doux et fougueux. Un savant mélange que mon prince charmant sait doser avec une perfection délicieuse. Je passe une main dans ses cheveux en frissonnant. « Kyun… » Gémissais-je avec une grimace où se confondait le plaisir et la douleur. Deux sensations qu’il ne cessait de m’infliger aux fils des jours mais j’avais appris à m’en accoutumer et à le vivre bien. Je me redresse en laissant ma tête tomber légèrement en arrière, ses lèvres sur ma poitrine son si expertes qu’il me rend dingue. J’ai tellement envie de lui que lorsqu’il vient chercher mes lèvres à nouveau je gémis avant de répondre à son baiser avec empressement.
Quand il soulève son bassin pour nous débarrasser de nos sous-vêtements encombrant je l’aide pour lui faciliter la tâche. Ce n’est qu’un grognement de satisfaction que je pousse quand je le sens se glisser en moi sans mal. Bien sûr qu’il sait à quel point il m’excite et je n’ai d’ailleurs plus honte des réactions de mon corps face à ce bien être qu’il me procure. Et je crois que mon homme aime me sentir aussi humide quand il s’occupe de moi. Ce n’est que la preuve évidente du plaisir qu’il m’arrache et de l’envie que j’aie de lui … rapidement je me mets à bouger dans un rythme sensuel et lent en plantant mon regard dans le sien. Parce que je veux pouvoir voir à quel point il m’appartient, à quel point il est à moi … je tire doucement sur ses cheveux en lui penchant la tête en arrière et le toise presque avec fierté. Cet homme dont le souffle se coupe est le mien, qu’importe ses affirmations, moi je peux le voir, moi je peux le sentir … Il est à moi. Je viens d’un coup embrasser ses lèvres pour tuer un gémissement quand je le sens buter en moi. Oh oui, cet homme sait comment me faire crier de plaisir. Je soulève mon bassin pour onduler comme il aime, parce qu’après tant de temps entre ses bras j’ai fini par savoir par cœur ce qu’il aimait, sans jamais nous lasser, sans jamais nous dégoûter. Je ris contre ses lèvres en gémissant un peu plus fort malgré moi.
C’est quand nous ne faisons plus qu’un que je réalise à quel point on est fait l’un pour l’autre. Y a aucune fille qui ne pourra rivaliser avec moi, je le sais, quand bien même je doute la plus part du temps, là, à cet instant je me sens si forte, si belle, si femme – sa femme – que j’en oublie tout le reste. Je me cambre et me penche en arrière pour lui offrir mon corps non sans bouger mon bassin que je frotte contre son pubis avec cet air coquin auquel il ne résiste jamais. La luxure est un art qu’on a fini par apprivoiser avec Su Kyun et sans jamais tomber dans le vulgaire, on savait repousser les limites du désir et des jeux. Je me moquais bien que ses amis m’appellent Rahee Minaj, ou que mes courbes trop généreuses pour une coréenne en fasse marrer plus d’un, moi je savais que mon corps rendait Su Kyun totalement dingue et que je l’avais sous mon jouc à la simple vu de celui-ci. J’avais le contrôle si ce n’est – pour l’instant – que sur son corps je savais que son cœur serait définitivement mien un jour ou l’autre. « Plus fort bébé » soufflais-je dans un râle de plaisir qui s’échappe de mes lèvres.
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Re: YUKYUN ♥ WHATS WRONG WITH YOUR FUCKING MIND | Dim 8 Jan - 19:24 Citer EditerSupprimer
WHATS WRONG WITH YOUR FUCKING MIND
Yeo Rahee & Cho Su Kyun
Elle sait à quel point elle peut me plaire quand je la voit si fougueuse, si désireuse de coucher avec moi dans le fond. Et cela se voyait tant physiquement que mentalement. Parce que je savais que je ne pouvais lui cacher mon sourire satisfait de ce qu’il était en train de se passer. Mon sourire de petit con, auquel bien entendu, elle ne résistait jamais bien longtemps. Et c’est ce même petit con qui s’agitait en elle, avec douceur et violence à la fois, avec amour caché et pleinement exprimé. Un parfait mélange de contradictions qui nous représentait bien au final. On s’aimait autant qu’on se détestait, et on se le cachait autant qu’on le pouvait tout en sachant pertinemment ce que chacun de nous deux ressentait. Je retiens un râle puissant en la sentant remuer ainsi du bassin. Elle me connaît par cœur, comme si cela faisait des dizaines d’années que nous couchions ensemble. Au final, cela fait 4 années. Mais ces 4 années m’ont marqué au fer rouge. Comme si c’était la période qui m’avait, changé, complètement. Depuis que j’avais Yuji dans ma vie, je n’avais plus couché avec personne d’autre, je n’avais quasiment plus flirté. Je dit bien quasiment plus. Parce que mon éternel coté séducteur reprenait lascivement le dessus parfois. A mon grand regret. Mais jamais je n’avais agit d’une quelconque manière qui puisse lui coûter ou lui faire de la peine.
« Putain… Yuji… », marmonnais-je près de son oreille d’une voix grave, suave. J’prenais clairement mon pied. Fallait pas chercher plus loin. L’écoutant à chaque instant, je pris le contre coup de lui donner de puissant coups rapides pour qu’elle puisse le prendre autant que moi. A entendre ses gémissements, je savais que c’était déjà le cas. Parce que Yuji, c’était jamais le genre à simuler du moins avec moi. Sans me vanter, j’étais devenu un expert en la matière quand il s’agissait de savoir si une femme simulait ou non. Et ça n’avait jamais été le cas. Mon bassin s’agita de manière si rapide que mon souffle se faisait trop court pour que je puisse le reprendre et je du me résigner à donner des coups plus profonds mais également plus lents.
Mon regard se posa sur le sien comme pour lui montrer qu’avant d’etre une histoire de sexe pur, notre histoire était une histoire d’amour. D’un homme volage et d’une fille un petit peu amoureuse, ou plutot d’un homme méfiant et d’une femme éternellement blessée. C’était le coeur de l’histoire. Cette face de l’histoire que j’avais toujours préféré cacher. Parce que je détestais la faire souffrir mais ma maladresse parlait trop souvent pour moi. Et que parfois je me demande pourquoi elle est là. A souffrir pour une histoire qu’elle pourrait rêver mille fois mieux avec un autre. Je le sais. Mais j’ai jamais pu la laisser partir tout ce temps. Il y aurait bien des fois où j’aurais du mais ma vie sans Yuji serait le néant total. Ou bien des histoires de cul sans fin. Sans lien, sans amour, avec de la haine à la fin de chaque coucherie.
Je m’ôte ces idées de la tête pour venir simplement l’embrasser. Je me convint pas que c’est ma copine, je le sais. Ayant repris ma vigueur, je la saisis rapidement par le bassin pour venir à nouveau donner des coups en elle, en poussant un râle. Elle aime ça, autant que moi. Je le sens. Et j’en profite, et j’accélère. Jusqu’à ne plus tenir, jusqu’à être au bord de jouir. Mon corps aime beaucoup trop cela. Et je me retiens et je continue. Mes lèvres sont toujours contre les siennes fixement. Je ris finement contre ses dernières en l’entendant. Cette complicité. C’est presque incroyable. Parce que je n’ai vraiment jamais connu d’autres filles avec qui j’étais autant en symbiose qu’avec elle. Et mon corps en réclame encore comme s’il s’agissait d’une douce friandise. Yuji est belle. Yuji me plaît. Je sais, que beaucoup ne comprennent pas pourquoi j’aime son corps. Mais je n’ai jamais été un adorateur des planches à pain qui servent de mannequins. J’ai toujours adoré les femmes avec de jolies formes. Ses seins, ses fesses. Ses jolies joues, ses fossettes. J’aime Yuji en entier.
Je continue, jusqu’au coup de grace. Je sais que ce n’est pas le dernier de la soirée. C’est pas le premier aussi. Nymphomanes, nous ? Absolument pas. On prend du plaisir, simplement. En s’aimant.
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« Putain… Yuji… », marmonnais-je près de son oreille d’une voix grave, suave. J’prenais clairement mon pied. Fallait pas chercher plus loin. L’écoutant à chaque instant, je pris le contre coup de lui donner de puissant coups rapides pour qu’elle puisse le prendre autant que moi. A entendre ses gémissements, je savais que c’était déjà le cas. Parce que Yuji, c’était jamais le genre à simuler du moins avec moi. Sans me vanter, j’étais devenu un expert en la matière quand il s’agissait de savoir si une femme simulait ou non. Et ça n’avait jamais été le cas. Mon bassin s’agita de manière si rapide que mon souffle se faisait trop court pour que je puisse le reprendre et je du me résigner à donner des coups plus profonds mais également plus lents.
Mon regard se posa sur le sien comme pour lui montrer qu’avant d’etre une histoire de sexe pur, notre histoire était une histoire d’amour. D’un homme volage et d’une fille un petit peu amoureuse, ou plutot d’un homme méfiant et d’une femme éternellement blessée. C’était le coeur de l’histoire. Cette face de l’histoire que j’avais toujours préféré cacher. Parce que je détestais la faire souffrir mais ma maladresse parlait trop souvent pour moi. Et que parfois je me demande pourquoi elle est là. A souffrir pour une histoire qu’elle pourrait rêver mille fois mieux avec un autre. Je le sais. Mais j’ai jamais pu la laisser partir tout ce temps. Il y aurait bien des fois où j’aurais du mais ma vie sans Yuji serait le néant total. Ou bien des histoires de cul sans fin. Sans lien, sans amour, avec de la haine à la fin de chaque coucherie.
Je m’ôte ces idées de la tête pour venir simplement l’embrasser. Je me convint pas que c’est ma copine, je le sais. Ayant repris ma vigueur, je la saisis rapidement par le bassin pour venir à nouveau donner des coups en elle, en poussant un râle. Elle aime ça, autant que moi. Je le sens. Et j’en profite, et j’accélère. Jusqu’à ne plus tenir, jusqu’à être au bord de jouir. Mon corps aime beaucoup trop cela. Et je me retiens et je continue. Mes lèvres sont toujours contre les siennes fixement. Je ris finement contre ses dernières en l’entendant. Cette complicité. C’est presque incroyable. Parce que je n’ai vraiment jamais connu d’autres filles avec qui j’étais autant en symbiose qu’avec elle. Et mon corps en réclame encore comme s’il s’agissait d’une douce friandise. Yuji est belle. Yuji me plaît. Je sais, que beaucoup ne comprennent pas pourquoi j’aime son corps. Mais je n’ai jamais été un adorateur des planches à pain qui servent de mannequins. J’ai toujours adoré les femmes avec de jolies formes. Ses seins, ses fesses. Ses jolies joues, ses fossettes. J’aime Yuji en entier.
Je continue, jusqu’au coup de grace. Je sais que ce n’est pas le dernier de la soirée. C’est pas le premier aussi. Nymphomanes, nous ? Absolument pas. On prend du plaisir, simplement. En s’aimant.
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Re: YUKYUN ♥ WHATS WRONG WITH YOUR FUCKING MIND | Mar 31 Jan - 21:27 Citer EditerSupprimer
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Pourquoi rester ? Pourquoi continuer ? Personne ne comprenait vraiment pour je continuais de laisser des occasions à Su Kyun de me briser le cœur. Il n’était pas de ces salauds qui jouent ouvertement avec les filles, ni même de ceux qui le font avec un sourire angélique à cacher leur réelles intentions. A vrai dire, il était plus que claire. Il ne voulait pas sortir avec moi mais il tenait à moi. Il ne voulait pas faire de moi sa petite amie et quand bien même il scandait que je pouvais aller voir d’autres mecs il n’en restait pas moins qu’il m’empêchait de partir. Et il savait ce qu’il faisait. Ou alors peut-être qu’il n’en avait pas conscience mais ses réactions parlaient pour lui. J’étais là, à lui, et c’était tout ce que je voulais voir. Le reste … ouais peut-être que dans le fond ce n’était qu’un plus futile qui n’était pas bon à voir … Je préférais ne voir que l’important, à savoir, l’instant présent, quand il me faisait l’amour et qu’il me cherchait. Qu’il ne voulait que moi. Quel homme clamerait haut et fort ne pas vouloir d’une femme mais lui courir après pour sécher ses larmes et lui faire l’amour pour la rassurer ? Traitez moi de rêveuse ou d’idiote si vous le voulez, mais je parierais tout ce que j’ai de plus cher que Su Kyun n’est pas ce qu’il prétend être … il est bien plus, tellement plus que … Tellement plus que … Mes gémissements se font de plus en plus fort et je n’arrive plus à penser. Finalement il arrive à ne me faire voir que lui, et je le dévore des yeux en geignant. Je mords mes lèvres comme pour retenir mes cries. Comme si finalement tout ça ne regardait que nous. Cet instant de pur plaisir. Je lâche un rire tant c’est délicieux. La sensation chaude de le sentir venir en moi m’arrache un faible râle rauque et ces derniers coups de bassin m’achèvent à la jouissance à mon tour.
Son corps s’effondre sur le mien et je l’accueil avec plaisir. J’embrasse son épaule en griffant doucement sa nuque. Je reprends mon souffle alors qu’il a principalement fait tous les efforts. Je souris de sentir son corps brûlant contre le mien. Je passe la paume de mes deux mains dans le creux de son dos en entremêlant nos jambes. J’avais juste besoin de ce temps de pause, de flottement, de ce temps qui me faisait cruellement prendre conscience que je n’étais pas qu’une meuf à baiser et que j’étais dans ses bras comme je pouvais l’être dans sa vie. Cachée mais aimée. Je me blottis contre lui en laissant une de mes mains retomber mollement sur le sol. Perdue dans mes pensées je ne réalise pas le silence qui nous enveloppe. Pour moi, dans ma tête c’est bruyant, pourtant je n’ai pas envie de partager ça avec lui. Pas maintenant. Je lève les yeux vers la fenêtre et me demande combien de dispute de ce genre nous aurions encore ? Plus les jours passaient et plus je tombais terriblement et profondément amoureuse de lui. J’aimerais qu’il puisse me croire quand je lui dirais que j’avais vraiment, de toutes mes forces, lutter pour ne pas succomber à l’amour entre ses bras. Mais c’était presque ridicule en voyant à quel point aujourd’hui j’étais amoureuse de lui. Pourtant je ne lui demandais rien, mais il savait, je ne sais à quel moment, il savait que je l’aimais. Je pousse un léger soupire d’aise en bougeant mon bassin pour trouver une position plus confortable pour mon corps légèrement ankylosé. Puis doucement je me relève, après m’être rendue compte que nous restions restés un long moment enlacé en silence. J’inverse les rôles en venant m’allonger sur son torse que j’embrasse tendrement au passage. Puis d’un sourire complice je relève mon regard brillant vers lui et souffle « J’ai la dalle … pâte ? » mon sourire gourmand remonte des baisers tendres sur sa peau et termine sur ses lèvres « Et si t’es assez sage je te mangerais aussi ! » je ris en lui volant un nouveau baiser et me redresse rapidement, nue sans gêne, pour aller faire à manger dans cette cuisine qu’il pouvait voir de son canapé. C’était d’ailleurs peut être pour cette raison que lui lançais des regards coquins avec quelques postures et attitudes suggestives en faisant à manger. Toujours lui donner faim …
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Re: YUKYUN ♥ WHATS WRONG WITH YOUR FUCKING MIND | Mer 22 Fév - 21:08 Citer EditerSupprimer
WHATS WRONG WITH YOUR FUCKING MIND
Yeo Rahee & Cho Su Kyun
Elle est incroyable. Et je le pensais réellement. Je la regardais de loin encore sous le coup de l’effort. Je la matais pas mais je voyais bien qu’à travers ses gestes, elle traduisait de la détresse. La détresse d’une femme amoureuse qui essaie de faire tout ce qu’elle a en son pouvoir pour conserver l’attention d’un mec qui la cache. Moi entre autre. Je souris finement en me demandant comment elle parvient à ne pas me détester avec tout ce qu’elle subit. A sa place, je me serais déjà foutu une tarte. « Ouais, pâte ça me va. », dis-je d’une voix qui se voulait grave en me laissant glisser à nouveau sur le canapé en baillant. De toute façon, je faisais entièrement confiance à ses talents de cuisinière. Yuji, elle sait faire à bouffer pas comme toutes ses filles bonnes à écarter les jambes et à se la jouer princesse d’une nuit pour avoir tout ce qu’elle désire. Elle, elle sait s’occuper de moi, elle sait ce que j’aime et elle s’intéresse réellement à moi. Pas seulement pour les coups que je pourrais mettre, mais aussi pour ce que je peux penser, les problèmes que je peux avoir. TOUT. Yuji est ma mère de substitution, ma meilleure amie, mon amante, ma petite amie, tout. Le seul problème avec moi, c’est que la parole et les ouvertures de cœur plus cucul qu’un samedi après midi devant les feux de l’amour, ça a jamais été trop mon truc. Et je sais que pourtant parfois, elle aimerais juste ça. Juste cette simplicité de pouvoir dire ce que l’on ressent sans devoir éviter à tout prix la chose pour se cacher. Il faut bien se le dire, Yuji n’est pas devenue ainsi par hasard : je l’y ai poussée. Je le sais. Mais j’suis trop fier, comme à ma grande habitude. Je récupère mon caleçon qui jonchait le sol un peu crade, je l’avoue avant de l’enfiler bien rapidement. Je suis un véritable gamin parfois, pensais-je.
Je m’avance vers la cuisine et je passe dans le frigo pour récupérer une bouteille d’eau dont je bois la moitié du contenu. Assoiffé tu dis ? L’amour, ça t’épuise. Mais bon, aujourd’hui, je suis réellement dans un très bon jour. Je glisse mes mains sur ses hanches pour venir embrasser son épaule alors que je la vois s’agiter pour essayer de me séduire. Elle me plaît ouais mais ça elle sait. Ce qu’elle sait sûrement pas c’est que moi aussi je sais m’occuper d’elle quand il le faut. Je quitte son épaules quelques minutes, suffisamment de temps pour me glisser dans la salle de bain pour récupérer un peignoir. Il fait bon dans la cuisine, certes, mais nue ainsi déjà elle m’aguiche et c’est pas bon pour ma testostérone qui monte en flèche au fur et à mesure que je l’effleure. Et d’autre part, elle risque d’attraper froid. Et ce serait idiot qu’elle tombe malade pour me séduire. Je revins quelques minutes après en venant glisser le peignoir sur ses épaules, suffisamment lentement que j’ai l’impression de la surprendre. Oups, et moi qui voulait être discret. Quel idiot.
« C’est pour pas que t’ai froid, ce serait bête de tomber malade alors que les jours commencent à devenir meilleur ». Je l’avoue, je suis gêné d’être aussi attentionné. Je n’ai absolument pas l’habitude de m’occuper de quelqu’un en dehors de ma famille et de moi même n’en parlons même pas. Ma gêne finit par prendre le dessus et je finis par me décider à mettre la table. J’ouvre le placard pour en sortir deux assiettes et des couverts. Je dépose la bouteille que j’avais portée à mes lèvres au centre et des verres pour chacun de nous. Oh tiens, un repas en amoureux, pensais-je, enfin un repas quoi. Ouais, un repas. Je gratte ma tête en la regardant. En réalité, je suis en train de songer à ce que je pourrais répondre si un jour l’on venait à me demander ce que je trouvais comme défauts à cette fille. J’avais bien du mal à en trouver, c’était plus que certain. Mon regard la scrute. Moche ? Jamais. Yuji, c’est la féminité incarnée au naturel. J’adore. Grosse ? Quoi grosse ? N’importe quoi. Elle a des formes et j’adore tellement ça que ça me fait bander. C’est dire à quel point je peux aimer son corps. Bête ? Si elle arrive si bien à se cacher derrière son prétendu masque de femme forte, c’est qu’elle est loin d’être idiote. Naïve ? Légèrement de croire que je suis peut etre l’homme qu’il lui faut, ou alors c’est simplement qu’elle a encore des crottes dans les yeux qu’elle n’a pas enlevé, mais en tout les cas, j’essaie de faire tout pour. Cela ne signifie pas pour autant que j’y parvient sans encombres. Solitaire ? Yuji est limite plus connue que Michael Jackson dans mon entourage. Alors bon. Et puis merde, je sais pas moi. Elle est comme elle est.
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Je m’avance vers la cuisine et je passe dans le frigo pour récupérer une bouteille d’eau dont je bois la moitié du contenu. Assoiffé tu dis ? L’amour, ça t’épuise. Mais bon, aujourd’hui, je suis réellement dans un très bon jour. Je glisse mes mains sur ses hanches pour venir embrasser son épaule alors que je la vois s’agiter pour essayer de me séduire. Elle me plaît ouais mais ça elle sait. Ce qu’elle sait sûrement pas c’est que moi aussi je sais m’occuper d’elle quand il le faut. Je quitte son épaules quelques minutes, suffisamment de temps pour me glisser dans la salle de bain pour récupérer un peignoir. Il fait bon dans la cuisine, certes, mais nue ainsi déjà elle m’aguiche et c’est pas bon pour ma testostérone qui monte en flèche au fur et à mesure que je l’effleure. Et d’autre part, elle risque d’attraper froid. Et ce serait idiot qu’elle tombe malade pour me séduire. Je revins quelques minutes après en venant glisser le peignoir sur ses épaules, suffisamment lentement que j’ai l’impression de la surprendre. Oups, et moi qui voulait être discret. Quel idiot.
« C’est pour pas que t’ai froid, ce serait bête de tomber malade alors que les jours commencent à devenir meilleur ». Je l’avoue, je suis gêné d’être aussi attentionné. Je n’ai absolument pas l’habitude de m’occuper de quelqu’un en dehors de ma famille et de moi même n’en parlons même pas. Ma gêne finit par prendre le dessus et je finis par me décider à mettre la table. J’ouvre le placard pour en sortir deux assiettes et des couverts. Je dépose la bouteille que j’avais portée à mes lèvres au centre et des verres pour chacun de nous. Oh tiens, un repas en amoureux, pensais-je, enfin un repas quoi. Ouais, un repas. Je gratte ma tête en la regardant. En réalité, je suis en train de songer à ce que je pourrais répondre si un jour l’on venait à me demander ce que je trouvais comme défauts à cette fille. J’avais bien du mal à en trouver, c’était plus que certain. Mon regard la scrute. Moche ? Jamais. Yuji, c’est la féminité incarnée au naturel. J’adore. Grosse ? Quoi grosse ? N’importe quoi. Elle a des formes et j’adore tellement ça que ça me fait bander. C’est dire à quel point je peux aimer son corps. Bête ? Si elle arrive si bien à se cacher derrière son prétendu masque de femme forte, c’est qu’elle est loin d’être idiote. Naïve ? Légèrement de croire que je suis peut etre l’homme qu’il lui faut, ou alors c’est simplement qu’elle a encore des crottes dans les yeux qu’elle n’a pas enlevé, mais en tout les cas, j’essaie de faire tout pour. Cela ne signifie pas pour autant que j’y parvient sans encombres. Solitaire ? Yuji est limite plus connue que Michael Jackson dans mon entourage. Alors bon. Et puis merde, je sais pas moi. Elle est comme elle est.
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Re: YUKYUN ♥ WHATS WRONG WITH YOUR FUCKING MIND | Mer 19 Juil - 18:56 Citer EditerSupprimer
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Surprise de son geste, je mordille ma lèvre et lève le visage vers lui. Je n’ose rien dire de peur de casser l’effort qu’il fait. Et si je le faisais remarquer ? Ça pourrait tout gâcher. Je rougis légèrement avant de me cacher derrière mes cheveux. Ce qui peut être une petite attention anodine est en réalité un grand pas pour Su Kyun. J’essayais vraiment de ne pas me faire de film, de ne pas m’accrocher à ces détails et pourtant … Je le voyais changer, je le voyais devenir un peu plus attentionné avec moi, venir me chercher au boulot, me raccompagner chez moi, me demander de rester chez lui pour la nuit, puis deux nuits … Il était à la fois présent et tellement … tendre ? J’avais peur de lui en parler, peur qu’il le réalise, peur que ça le fasse fuir … J’avais l’impression, dans notre relation, qu’on avançait d’un pas pour en reculer de dix … J’avais si peur de le brusquer et de gâcher tous les efforts que nous avions fait depuis qu’on se connaissait … Encore ce soir il m’avait prouvé qu’il n’était pas prêt. Qu’il ne pouvait pas l’être, pas comme ça, pas maintenant. Pas aux yeux des autres surtout, et j’en souffrais, au fond de moi, j’en souffrais de le voir ainsi … de le voir si attentionné en privée mais si distant en public ; j’avais fini par m’y habituer, me dire que ce n’était rien, que ça viendrait, que c’était normal après tout … Il était juste pudique, discret, et tant qu’il me le témoignait à un moment donné ou un autre ça irait … Mais j’avais du mal, au fond de moi, à le voir me repousser aussi vivement dès qu’on nous regardait … J’avais cette éternelle étiquette de la meilleure amie, celle qu’on e peut pas aimer. Alors pourquoi avec lui, quand nous étions nus dans cette cuisine, j’avais l’impression d’être … à lui.
Je serre doucement la ceinture du peignoir en me perdant dans ces questions. Je finis par me tourner vers lui avec un petit sourire en voyant la table. Je m’avance vers lui et me glisse contre lui en écrasant ma joue sur son torse. Je souris en fermant les yeux. Dehors la pluie s’est mise à battre les carreaux. Bercés je me mets à bouger doucement, comme pour lancer un slow langoureux où la musique résonnerait dans nos têtes. Je caresse son dos doucement avant de relever le visage vers lui. je sonde son regard, sans chercher à comprendre, ni à découvrir ce qu’il pensait … mais je me contente juste de le fixer, de mes yeux sombres et amoureux malgré moi. Le pan de mon peignoir s’ouvre légèrement alors que je me glisse sur la pointe des pieds pour venir l’embrasser. Je glisse d’abord ma langue doucement sur sa lèvre inférieure avant de la tirer avec mes dents. Je souris en croisant son regard à nouveau et laisse échapper un petit rire. Continuant d’osciller de gauche à droite langoureusement, je me tourne dos à lui pour me caler entre ses bras et pose sa main sur mon ventre. Je l’enlace à la nuque en levant mes bras au-dessus de ma tête et ferme les yeux en soupirant d’aise. « J’ai envie de partir d’ici .. ; quelques jours, quelques semaines … d’aller au bout du monde. Rien qu’une fois. » Murmurais je en glissant une main sur ses avant-bras noués sur mon ventre. « Viens avec moi … » soufflais-je tout bas. J’avais envie qu’on se perde dans notre bulle. Qu’il n’y ait que nous … rien que lui et moi, moi et lui. Et si nous faisions face à un bataillon de personnes inconnues, peut-être qu’il serait plus enclin à se montrer … lui-même ? Enfin le Su Kyun qu’il est quand nous sommes ne privées … n’était-ce pas trop lui demander ? Je retins un faible soupire, tournant la tête légèrement vers lui pour venir lui embrasser le menton.
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Re: YUKYUN ♥ WHATS WRONG WITH YOUR FUCKING MIND | Sam 23 Sep - 19:54 Citer EditerSupprimer
WHATS WRONG WITH YOUR FUCKING MIND
Yeo Rahee & Cho Su Kyun
Je suis surpris par ses paroles. Ah ça, je devais bien avouer que je ne m’attendais pas à ce qu’elle veuille aller à l’autre bout du monde avec moi. Cela représentait un réel dilemme au fond de moi : soit j’acceptais et dans ce cas je lâchais le garage pour un moment et je lui avouais au passage que moi aussi je ne désirais qu’une chose c’est d’être avec elle, soit je disais encore une énième fois non et je prenais réellement le risque de la perdre et cette fois, je pensais que ce serais irrécupérable. « Tu penses réellement ce que tu dis Yuji ? Fin genre sérieusement ou tu blagues ? », soufflais en me mettant face à elle. « Tu sais que j’ai le garage et tout et que si je pars, je ne pars pas longtemps... ». Et voilà. Le Sukyun qui dit non et qui a peur. La lopette est de retour. Pourtant, pour une fois, je tente de me rattraper en bégayant légèrement « je ne suis pas…pas du tout contre hein. » Le bon compromis. A la fois, je dis oui, et à la fois je dis non. Je la regarde en me raclant la gorge sous la gêne que m’occasionne cette situation de bégaiement.
Je détourne le regard avant de venir passer la tête dans le frigo pour récupérer à boire. Je trouve une bouteille d’eau que j’ouvre et que je porte rapidement à mes lèvres. J’ai en réalité bien trop peur que dans son regard elle me dise « bah alors Su Kyun on a perdu son assurance. ? » Je n’étais tellement pas prêt à l’admettre comme le caractère de gros con que je pouvais avoir parfois. « Tu veux quelque chose ? A boire ? », dis en refermant le frigo tout en évitant toujours soigneusement son regard pour aller chercher mon téléphone. Je pianote comme à mon habitude sur internet pour savoir ce qu’il se passait dans la vie de mes potes. La soirée avec Yuji avait l’air de faire parler tout comme les photos que je vis apparaitre. Bien entendu, j’allais encore m’énerver. Parce que le photographe la prenait toujours dans des positions suggestives. Ou du moins, ce n’était pas elle qui la faisait mais le photographe faisait en sorte que le moment choisi le soit. Et ça avait le don de me rendre complètement malade. Mon visage devait s’être un peu transformé et mes sourcils s’abaissaient pour se froncer. Putain de merde. On voyait presque ses seins. Et c’est dans ce genre de moments que j’avais envie d’aller la voir pour lui dire de s’habiller, de pas montrer son corps comme elle le faisait. Mais là encore, je continuais d’avoir tout faux. Parce que si je me comportais pas comme un connard elle n’aurait pas besoin d’avoir tout le temps besoin d’être hyper sexy pour me séduire et elle serait pas en photo de couverture de n’importe quel connard avec des commentaires hyper déplacés en dessous. Je fis craquer mes poings pour me détendre avec de prendre une cigarette dans mon paquet. Fallait que je me calme, sérieusement. Et que j’arrête de péter des plombs pour des photos.
« T’y va souvent à la soirée de Key, t’sais le mec blindé qui fait des soirées sur ses bateaux là ? », soufflais-je en revenant l’observer. J’avais avec fureur envie de rajouter sans pourtant le faire « t’sais le connard qui prend des pouffiasses pour venir danser sur sa barre de pole dance... ». Mais pourtant je fis semblant de demander cela complètement innocemment histoire qu’elle ne se sente pas agressée. Elle en avait probablement marre qu’on se prenne la tête comme deux adolescents en début de flirt. Mais j’étais quasiment sûr que si un psychiatre me détectait pas une jalousie paranoïaque, alors dans ce cas, ce n’était pas un bon médecin. Mais bon fallait dire que j’avais une belle fille à mes côtés.
C’était forcément le risque à prendre que des connards lui tournent autour comme des chihuahua autour d’un steak.
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Je détourne le regard avant de venir passer la tête dans le frigo pour récupérer à boire. Je trouve une bouteille d’eau que j’ouvre et que je porte rapidement à mes lèvres. J’ai en réalité bien trop peur que dans son regard elle me dise « bah alors Su Kyun on a perdu son assurance. ? » Je n’étais tellement pas prêt à l’admettre comme le caractère de gros con que je pouvais avoir parfois. « Tu veux quelque chose ? A boire ? », dis en refermant le frigo tout en évitant toujours soigneusement son regard pour aller chercher mon téléphone. Je pianote comme à mon habitude sur internet pour savoir ce qu’il se passait dans la vie de mes potes. La soirée avec Yuji avait l’air de faire parler tout comme les photos que je vis apparaitre. Bien entendu, j’allais encore m’énerver. Parce que le photographe la prenait toujours dans des positions suggestives. Ou du moins, ce n’était pas elle qui la faisait mais le photographe faisait en sorte que le moment choisi le soit. Et ça avait le don de me rendre complètement malade. Mon visage devait s’être un peu transformé et mes sourcils s’abaissaient pour se froncer. Putain de merde. On voyait presque ses seins. Et c’est dans ce genre de moments que j’avais envie d’aller la voir pour lui dire de s’habiller, de pas montrer son corps comme elle le faisait. Mais là encore, je continuais d’avoir tout faux. Parce que si je me comportais pas comme un connard elle n’aurait pas besoin d’avoir tout le temps besoin d’être hyper sexy pour me séduire et elle serait pas en photo de couverture de n’importe quel connard avec des commentaires hyper déplacés en dessous. Je fis craquer mes poings pour me détendre avec de prendre une cigarette dans mon paquet. Fallait que je me calme, sérieusement. Et que j’arrête de péter des plombs pour des photos.
« T’y va souvent à la soirée de Key, t’sais le mec blindé qui fait des soirées sur ses bateaux là ? », soufflais-je en revenant l’observer. J’avais avec fureur envie de rajouter sans pourtant le faire « t’sais le connard qui prend des pouffiasses pour venir danser sur sa barre de pole dance... ». Mais pourtant je fis semblant de demander cela complètement innocemment histoire qu’elle ne se sente pas agressée. Elle en avait probablement marre qu’on se prenne la tête comme deux adolescents en début de flirt. Mais j’étais quasiment sûr que si un psychiatre me détectait pas une jalousie paranoïaque, alors dans ce cas, ce n’était pas un bon médecin. Mais bon fallait dire que j’avais une belle fille à mes côtés.
C’était forcément le risque à prendre que des connards lui tournent autour comme des chihuahua autour d’un steak.
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