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go harry + you only live twice
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go harry + you only live twice | Dim 31 Juil - 6:57 Citer EditerSupprimer
nom : Go. ça surprend - rien ne laisse présager une association entre ce nom et les traits d'étrangère qu'elle arbore. le calcul est simple pourtant : c'est une métisse, kimchi de par son géniteur, fish&chips typé palestinien de par sa mère. prénom : Hae Ri, souvent abrégé en Harry par elle-même et par ses proches. du coup on s'attend un peu à voir une teub en choppant son surnom au vol dans une conversation et les filles sont déconfites quand, après avoir demandé à Kaz de les introduire, elles se retrouvent face à une paire de boobs perchés sur des talons vertigineux. Dans le plus grand secret, elle est aussi une hackeuse, un grey hat : Kasper de son pseudo. âge : 21 ans. date et lieu de naissance : 2 avril 95. origines : anglaises et coréennes. nationalité : same. cursus universitaire : bachelor, 4ème année de gestion. métier : des stages occasionnels dans la boîte dont son père est co directeur. parallèlement aux études cela dit, elle travaille depuis peu en tant que tutrice d'anglais dans l'institut privé du Professeur (hagwon coûteux offrant des cours supplémentaires et des formations extrascolaires, des écoliers aux universitaires). ses horaires sont gérables, puisqu'elle prend en charge un élève à la fois à des moments déterminés avec eux. de façon nettement plus occasionnelle enfin, elle a signé un contrat très flexible avec Vogue Korea et pose de temps à autres pour le magazine ; rien de très prenant, les séances étant plutôt distancées les unes des autres et n'exigeant qu'une chose : qu'elle prenne soin de son corps. ce qu'elle ne rechigne pas à faire anyway. orientation sexuelle : hétéro, bien que son goût pour les hoemances ambiguës sèment le doute sur ses préférences. classe sociale : ici. code du règlement : ariel (pardon je fais ma feignasse, flemme de c/c fqoifdofidu). tu veux t'investir ? yaaas, toujours !
Go Hae Ri
“Where should one use perfume?"
"Wherever one wants to be kissed.”
"Wherever one wants to be kissed.”
LOYALE (★★★★✰) | CALCULATRICE (★★★★★) | PASSIONNÉE (★★★★★) | MANIAQUE (★★★★★) | DYNAMIQUE (★★✰✰✰) |
COMPLEXE (★★★★✰) | CHARISMATIQUE (★★★★★) | REVANCHARDE (★★★★✰) | EXPRESSIVE (★★★★★) | GEEK (★★★★★) |
Rumour has it... Survole l'avatar, petit coquin Lux Aeterna. | My character |
This is my story
In order to be irreplaceable,
one must always be different
one must always be different
#001. "Il n'y aura pas de mélange dans cette famille." ; "Tu bousilles les chances de tes frères et sœurs de faire un bon mariage !" Ce sont les obstacles auxquels il s'est heurté, le père Go, quand il a eu l'audace de s'éprendre d'une étrangère. Sa famille s'était saignée aux quatre veines pour lui garantir une entrée dans une université anglaise réputée, et voilà de quelle façon il saluait leurs efforts : en crachant sur la race pure. Le désaccord véhément des parents, les regards de travers dans la rue, les ajummas crachant sur leur passage - le couple l'a subi un temps avant de prendre le large pour s'installer en Angleterre. C'est donc là-bas que leur marmaille a vu le jour.
#002. Pas très typée, Harry. Pratique. Elle n'a pas beaucoup subi les préjugés en occident - les chintok, hey la jaune ! et autres joyeusetés que se coltinaient les autres gosses d'origine asiatique. C'est pas parce qu'elle y a échappé qu'elle s'est sentie mieux dans sa peau, pourtant. Elle a eu un peu de mal à trouver sa place, et les remarques qui se voulaient taquineries laissaient un sale goût sur la langue. Alors elle s'est un peu retranchée sur elle-même. Kaz et la danse, les galas, c'était un peu tout ce qui l'intéressait, depuis petite. Et l'informatique, aussi, parce que ça impliquait des moments privilégiés avec Daddy : entre ses genoux et le clavier, à marteler énergiquement les lettres en l'entendant parler algorithmes et codes. A 6 ans elle a emballé ses peluches, ses chaussons, ses tutus et ses réticences vis-à-vis des autres, et elle les a embarqués avec elle dans l'avion, direction la Corée du Sud. La faute au père de Kaz, patron de Daddy, qui voulait étendre son business au pays du Matin Calme.
#003. Là-bas, cuisante déconvenue. Concurrence rude, marché saturé, méfiance des consommateurs vis-à-vis de cette nouvelle marque inconnue au bataillon. Pourquoi se fournir en Hayward quand Samsung est représenté à deux pas ? Un ou deux ans dans le rouge, puis chute totale, rapatriement des salariés ayant fait le déplacement ; affaire enterrée. Il est resté les Hayward des les Go, ultimes vétérans de cette débâcle, fauchés jusqu'à l'os surtout. Et puis un peu par hasard, ils se sont renfloués. L'histoire, Harry l'a entendue raconter des milliers de fois : la mère célibataire de la porte d'à côté qui craint d'accompagner son fils à une rencontre avec son professeur et d'être prise de haut par ce dernier, Daddy Go qui se propose sur un coup de tête pour l'accompagner en se faisant passer pour le père de l'enfant moyennant paiement, Mummy Go qui hurle le soir à s'en rompre les cordes vocales. Harry, elle a bien cru que sa famille était foutue ce soir-là. Sa mère l'a même poussée à préparer ses bagages, arguant qu'elles rentreraient en Angleterre à deux et se débrouilleraient bien mieux sans ce mâle ingrat dans les pattes. Et pendant que la petite larmoyait, Daddy a défendu sa cause. Il a dit qu'il tenait un truc, débattu des heures, passé des coups de fils. Quelques années plus tard, le résultat est évident : Hayward & Go, désormais co-directeurs d'une agence de location de personne, ont réussi à percer dans leur domaine inédit et à s'amasser un petit pactole, avec quantité d'employés à leur charge. Ils ne sont pas Crésus, ok, mais la vie est financièrement sucrée. C'est bon, ça.
#004. En Corée aussi, c'était rude parfois. Discrimination négative, positive, railleries ("T'es vraiment blonde de partout, jusqu'aux poils pubiens ? J'te crois pas, montre voir !", les regards insistants, les "C'que t'es belle", seulement voués à assouvir un fantasme, les élans de colère quand elle disait non). Et l'école, un enfer. Esprit de compétition, pression, ambitions, les maîtres mots du quotidien. 15h de cours, 5 de sommeil, les angoisses ; mais dans tout ça, son oxygène : la danse. Elle voulait devenir ballerine, Harry, être sacrée étoile. Les entraînements ajoutés au reste étaient tellement ardus qu'elle en finissait par somnoler sur son pupitre, décrocher, prendre du retard, avant que Kaz ne la briefe pour lui faire combler le gouffre à l'approche des exams. C'était pesant et d'abord, elle a sorti les crocs, gueulé, avant qu'on ne lui apprenne qu'ici, on encaisse de préférence sans trop faire de vagues.
#005. Encaisser, elle l'a fait pendant un temps. Jusqu'à une audition de danse dont elle était considérée comme favorite, du haut de ses 14 ans - titre qui lui a valu la fureur des autres concurrentes. Au moment d'enfiler ses pointes, elle a eu la désagréable surprise de sentir des pins lui traverser les orteils et la plante du pied et durant sa prestation, ses joues se sont trempées de larmes muettes tandis que le chausson se teintait de carmin. Résultat : des notes moyennes ressenties comme un échec personnel ; Harry a fini en pls sous sa couette et ce soir-là, comme souvent, seul Kaz a pu a pousser à déverrouiller la porte de sa chambre. Elle ne sait pas exactement ce qu'il a fait après avoir passé des heures à la bercer maladroitement en la laissant déverser toutes les larmes de son corps et jurer qu'elle ne danserait plus jamais, le pied bandé et douloureux ; ou du moins, elle prétend ne pas savoir qu'il a hacké le système pour rayer la jeune femme responsable de ce gâchis, des listes de l'audition. ça ne l'a pas empêchée de raccrocher ses rêves de carrière, déjà épuisée par ce milieu, mais elle a ressenti une satisfaction certaine dans le fait de savoir que son meilleur ami continuait dans l'ombre de pourrir la vie à son ancienne rivale. Comme quoi, le Karma a un prénom.
#006. ça a quand même laissé un sacré vide, mine de rien. Et elle a dû faire son deuil, Harry, se trouver un nouveau but. Elle a opté pour le plus simple : gestion, dans le but de travailler plus tard dans la boîte cogérée par Daddy et uncle Hayward. Manquait tout de même la passion... Et ça, elle ne l'a retrouvé que plus tard : lorsque son meilleur ami a partiellement perdu la motricité de sa main des suites d'un accident. Lassée de le voir geindre et errer comme une âme en peine, elle s'est dévouée pour lui prêter ses phalanges le temps qu'il se rétablisse. C'était comme renouer avec un vieux passe-temps, quelque part - la complexité des codes et les systèmes cryptés, crackés, l'adrénaline, la crainte de se faire prendre. Elle s'est prise au jeu, s'y est mise à son tour. C'est plusieurs mois et frasques plus tard qu'ils se sont effectivement fait chopper. Pas par les autorités, mais par un curieux bonhomme qui surveillait Kaz de loin depuis longtemps ; une sorte de Robin des Bois de la toile, de Charles Xavier du monde réel - raison pour laquelle elle le surnomme, sarcastiquement, Professeur X. Il rassemble des jeunes talentueux abusant de leurs dons à mauvais escient et les pousse à les développer à de meilleures fin. TURN, c'est un peu un Suicide Squad : des vilains rassemblés pour une bonne cause.
#007. Il est sacrément envahissant, le Professeur. Il attribue par messages codés des missions, épargne les ennuis à ses protégés - ça, ce sont les bons côtés. Il a l'air de tout savoir - ça c'est le mauvais côté. Parce que quand ses recrues rechutent ou lui déplaisent d'une manière ou d'une autre, il leur inflige une punition, subtilement. En les inscrivant "bénévolement" pour une tâche peu ragoûtante par exemple, ou en leur collant des heures de travail. C'est la raison pour laquelle Harry bosse actuellement à l'institut privé dont il est à la tête. Cela dit, son poste là-bas est une bonne couverture : quand elle ne s'occupe pas d'un élève, elle est posée derrière un ordinateur, avec un bon alibis en poche en cas de pépin.
#008. L'admission à l'université a marqué une amélioration singulière dans sa vie sociale. C'était un peu une "consécration", alors la pression est moins intense, d'une part. Et puis dans l'ensemble, les étudiants qu'elle côtoie sont plus ouverts d'esprit que la plupart des gens qui l'ont vue grandir. A défaut de consacrer tout son temps libre à la danse, elle a pu découvrir le plaisir des sorties arrosées de soju, des karaoke, des jimjilbang, des stands de rue et de la bouffe grasse, des petits copains, des amitiés prometteuses qui donnent la force d'encaisser les coups durs ; le confort des compagnies propres sur elles et le frissons des mauvaises fréquentations, les shootings photo, les premières pages de magazines.
#002. Pas très typée, Harry. Pratique. Elle n'a pas beaucoup subi les préjugés en occident - les chintok, hey la jaune ! et autres joyeusetés que se coltinaient les autres gosses d'origine asiatique. C'est pas parce qu'elle y a échappé qu'elle s'est sentie mieux dans sa peau, pourtant. Elle a eu un peu de mal à trouver sa place, et les remarques qui se voulaient taquineries laissaient un sale goût sur la langue. Alors elle s'est un peu retranchée sur elle-même. Kaz et la danse, les galas, c'était un peu tout ce qui l'intéressait, depuis petite. Et l'informatique, aussi, parce que ça impliquait des moments privilégiés avec Daddy : entre ses genoux et le clavier, à marteler énergiquement les lettres en l'entendant parler algorithmes et codes. A 6 ans elle a emballé ses peluches, ses chaussons, ses tutus et ses réticences vis-à-vis des autres, et elle les a embarqués avec elle dans l'avion, direction la Corée du Sud. La faute au père de Kaz, patron de Daddy, qui voulait étendre son business au pays du Matin Calme.
#003. Là-bas, cuisante déconvenue. Concurrence rude, marché saturé, méfiance des consommateurs vis-à-vis de cette nouvelle marque inconnue au bataillon. Pourquoi se fournir en Hayward quand Samsung est représenté à deux pas ? Un ou deux ans dans le rouge, puis chute totale, rapatriement des salariés ayant fait le déplacement ; affaire enterrée. Il est resté les Hayward des les Go, ultimes vétérans de cette débâcle, fauchés jusqu'à l'os surtout. Et puis un peu par hasard, ils se sont renfloués. L'histoire, Harry l'a entendue raconter des milliers de fois : la mère célibataire de la porte d'à côté qui craint d'accompagner son fils à une rencontre avec son professeur et d'être prise de haut par ce dernier, Daddy Go qui se propose sur un coup de tête pour l'accompagner en se faisant passer pour le père de l'enfant moyennant paiement, Mummy Go qui hurle le soir à s'en rompre les cordes vocales. Harry, elle a bien cru que sa famille était foutue ce soir-là. Sa mère l'a même poussée à préparer ses bagages, arguant qu'elles rentreraient en Angleterre à deux et se débrouilleraient bien mieux sans ce mâle ingrat dans les pattes. Et pendant que la petite larmoyait, Daddy a défendu sa cause. Il a dit qu'il tenait un truc, débattu des heures, passé des coups de fils. Quelques années plus tard, le résultat est évident : Hayward & Go, désormais co-directeurs d'une agence de location de personne, ont réussi à percer dans leur domaine inédit et à s'amasser un petit pactole, avec quantité d'employés à leur charge. Ils ne sont pas Crésus, ok, mais la vie est financièrement sucrée. C'est bon, ça.
#004. En Corée aussi, c'était rude parfois. Discrimination négative, positive, railleries ("T'es vraiment blonde de partout, jusqu'aux poils pubiens ? J'te crois pas, montre voir !", les regards insistants, les "C'que t'es belle", seulement voués à assouvir un fantasme, les élans de colère quand elle disait non). Et l'école, un enfer. Esprit de compétition, pression, ambitions, les maîtres mots du quotidien. 15h de cours, 5 de sommeil, les angoisses ; mais dans tout ça, son oxygène : la danse. Elle voulait devenir ballerine, Harry, être sacrée étoile. Les entraînements ajoutés au reste étaient tellement ardus qu'elle en finissait par somnoler sur son pupitre, décrocher, prendre du retard, avant que Kaz ne la briefe pour lui faire combler le gouffre à l'approche des exams. C'était pesant et d'abord, elle a sorti les crocs, gueulé, avant qu'on ne lui apprenne qu'ici, on encaisse de préférence sans trop faire de vagues.
#005. Encaisser, elle l'a fait pendant un temps. Jusqu'à une audition de danse dont elle était considérée comme favorite, du haut de ses 14 ans - titre qui lui a valu la fureur des autres concurrentes. Au moment d'enfiler ses pointes, elle a eu la désagréable surprise de sentir des pins lui traverser les orteils et la plante du pied et durant sa prestation, ses joues se sont trempées de larmes muettes tandis que le chausson se teintait de carmin. Résultat : des notes moyennes ressenties comme un échec personnel ; Harry a fini en pls sous sa couette et ce soir-là, comme souvent, seul Kaz a pu a pousser à déverrouiller la porte de sa chambre. Elle ne sait pas exactement ce qu'il a fait après avoir passé des heures à la bercer maladroitement en la laissant déverser toutes les larmes de son corps et jurer qu'elle ne danserait plus jamais, le pied bandé et douloureux ; ou du moins, elle prétend ne pas savoir qu'il a hacké le système pour rayer la jeune femme responsable de ce gâchis, des listes de l'audition. ça ne l'a pas empêchée de raccrocher ses rêves de carrière, déjà épuisée par ce milieu, mais elle a ressenti une satisfaction certaine dans le fait de savoir que son meilleur ami continuait dans l'ombre de pourrir la vie à son ancienne rivale. Comme quoi, le Karma a un prénom.
#006. ça a quand même laissé un sacré vide, mine de rien. Et elle a dû faire son deuil, Harry, se trouver un nouveau but. Elle a opté pour le plus simple : gestion, dans le but de travailler plus tard dans la boîte cogérée par Daddy et uncle Hayward. Manquait tout de même la passion... Et ça, elle ne l'a retrouvé que plus tard : lorsque son meilleur ami a partiellement perdu la motricité de sa main des suites d'un accident. Lassée de le voir geindre et errer comme une âme en peine, elle s'est dévouée pour lui prêter ses phalanges le temps qu'il se rétablisse. C'était comme renouer avec un vieux passe-temps, quelque part - la complexité des codes et les systèmes cryptés, crackés, l'adrénaline, la crainte de se faire prendre. Elle s'est prise au jeu, s'y est mise à son tour. C'est plusieurs mois et frasques plus tard qu'ils se sont effectivement fait chopper. Pas par les autorités, mais par un curieux bonhomme qui surveillait Kaz de loin depuis longtemps ; une sorte de Robin des Bois de la toile, de Charles Xavier du monde réel - raison pour laquelle elle le surnomme, sarcastiquement, Professeur X. Il rassemble des jeunes talentueux abusant de leurs dons à mauvais escient et les pousse à les développer à de meilleures fin. TURN, c'est un peu un Suicide Squad : des vilains rassemblés pour une bonne cause.
#007. Il est sacrément envahissant, le Professeur. Il attribue par messages codés des missions, épargne les ennuis à ses protégés - ça, ce sont les bons côtés. Il a l'air de tout savoir - ça c'est le mauvais côté. Parce que quand ses recrues rechutent ou lui déplaisent d'une manière ou d'une autre, il leur inflige une punition, subtilement. En les inscrivant "bénévolement" pour une tâche peu ragoûtante par exemple, ou en leur collant des heures de travail. C'est la raison pour laquelle Harry bosse actuellement à l'institut privé dont il est à la tête. Cela dit, son poste là-bas est une bonne couverture : quand elle ne s'occupe pas d'un élève, elle est posée derrière un ordinateur, avec un bon alibis en poche en cas de pépin.
#008. L'admission à l'université a marqué une amélioration singulière dans sa vie sociale. C'était un peu une "consécration", alors la pression est moins intense, d'une part. Et puis dans l'ensemble, les étudiants qu'elle côtoie sont plus ouverts d'esprit que la plupart des gens qui l'ont vue grandir. A défaut de consacrer tout son temps libre à la danse, elle a pu découvrir le plaisir des sorties arrosées de soju, des karaoke, des jimjilbang, des stands de rue et de la bouffe grasse, des petits copains, des amitiés prometteuses qui donnent la force d'encaisser les coups durs ; le confort des compagnies propres sur elles et le frissons des mauvaises fréquentations, les shootings photo, les premières pages de magazines.
About me
Je suis...
heresy.
couscous tacheté de 24 ans jsp quand c'est arrivé pk la vie pk la mort ptn, embrigadé par un ananas fourbe, voilà sinon en vrai je m'appelle Lydie et là tout de suite je rame ma race sur une tablette pour vous rejoindre donc si cette fiche est pourrie... j'ai une excuse :hansa:
Célébrité prise
- Code:
[url=http://www.shaketheworld.net/u906][b]▲[/b][/url]▼ <taken><upper>HADID JELENA (GIGI)</upper></taken> ✎ <lower>go hae ri</lower>
Supprimez le code inutile
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Re: go harry + you only live twice | Dim 31 Juil - 10:25 Citer EditerSupprimer
ce pseudo me dit quelque chose je crois
bienvenuuuuue ma jolie, ça fait plaisir de te voir ici
j'ai hâte de voir ce que tu nous prépares (c'est pas avec les infos inscrites sur ta fiche qui vont beaucoup m'aider )
bienvenuuuuue ma jolie, ça fait plaisir de te voir ici
j'ai hâte de voir ce que tu nous prépares (c'est pas avec les infos inscrites sur ta fiche qui vont beaucoup m'aider )
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Re: go harry + you only live twice | Dim 31 Juil - 10:58 Citer EditerSupprimer
Bienvenue ici ! Elle est pas mal ta Haeri Courage pour ta fiche !
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Re: go harry + you only live twice | Dim 31 Juil - 13:04 Citer EditerSupprimer
qu'est-ce qu'elle est mignonne
bienvenue et bonne chance pour ta fiche sweetie !
bienvenue et bonne chance pour ta fiche sweetie !
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Re: go harry + you only live twice | Dim 31 Juil - 13:37 Citer EditerSupprimer
:miam:
J'EDITE, VERNBERIT
J'EDITE, VERNBERIT
- Spoiler:
- non mais t'as trop cru
- Spoiler:
- téma comme je suis seksi
avoue jte fais de l'effet gueuse- Spoiler:
- parce que toi tu me fais de l'effet quand jte vois ici
- Spoiler:
- TU TE RENDS COMPTES MON HERESY ICI parce que moi je m'en rends pas compte, c'est les étoiles dans mes yeux, les papillons dans mon ventre (merde, c'est ce que ressent draco quand il est constipé tu crois ?) et les tamtams dans mon kokoro tellement clique ici. D'HABITUDE C'EST TOI QUI M’ÉCRIS-IH-IH-IH DES PAVES MAIS POUR UNE FOIS C'EST MON TOUR ALORS JE VAIS ESSAYER DE PAS ME FOIRER-EH-EH-EH (jme la joue faudel yakoi). bon, je sais pas par quoi commencer, alors que ça fait déjà un bon pavé, mais je me creuse la teuté sans trouver une introduction digne de son nom alors je vais juste te laisser patauger dans ces mots parce que ça fait pas de bobo et maintenant je vais aller me faire un cacao. dude, t'es au courant que ça fait 7/8 ans qu'on se connait ? like for real ? on était si jeunes et fraîches, maintenant on est vieilles et rêches, pk la vie, pk la mort, pq le couscous tacheté est vivant et que c'est le plus mieux de la vie et de la terre et du ciel et de l'enfer. JE ME SENS POÉTIQUE, J'AI LES MOTS TROP EXOTIQUES MAIS JE SAIS QUE C'EST TON DEDANS QUI EST TROP MAGIQUE (toi aussi tu te sens un peu comme draco ? fais gaffe, c'est ptet la constipation. oh btw je t'ai déjà dit mon mot favori ? c'est 'constipé' parce qu'en verlan ça donne 'stipécon' et si tu prononces stipécon lentement ça fait 'ce type est con' ahah okay je sors im weird now bye). on va faire un duo d'enfer (comme d'hab wesh pk j'aime autant rp avec toi jpp c'est nul la vie on fait de ces putains de bons plans ensemble que c'est pas noRMAL NAHDINE JTM (SUR CES DERNIÈRES PARENTHÈSES JE POSE MON POINT FINAL ET JE RIME AVEC ANAL (NO SHAME)))
- Spoiler:
- Spoiler:
- tkt c'est fini
- Spoiler:
- ou pas
- Spoiler:
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Re: go harry + you only live twice | Dim 31 Juil - 13:44 Citer EditerSupprimer
Hello Hello ! ~
ça c'est du beau métissage Il me tarde de voir ce que va donner ton personnage en tout cas
Fiiighting pour la suite !
ça c'est du beau métissage Il me tarde de voir ce que va donner ton personnage en tout cas
Fiiighting pour la suite !
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Re: go harry + you only live twice | Dim 31 Juil - 21:00 Citer EditerSupprimer
heresy coucou p'tit coeur, omg j'ai hâte de voir ce que vous allez nous faire comme conneries toutes les deux re-bienvenue chez toi finalement hein
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Re: go harry + you only live twice | Dim 31 Juil - 23:15 Citer EditerSupprimer
Ooooh bon retour parmi nous heresy
Bon courage pour cette nouvelle fiche, du love sur toi
Bon courage pour cette nouvelle fiche, du love sur toi
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Re: go harry + you only live twice | Lun 1 Aoû - 0:54 Citer EditerSupprimer
suah + cc bôté bien ou bien ? ok là tout de suite je gagatise devant vos sign à Jin et toi parce que je vais pouvoir recommencer à shipper le jinah comme au bon vieux teeeemps, i like it moi aussi j'ai hâte de voir c'que je nous prépare, c'est pas encore tout à fait clair dans ma tête là j'avoue
ami + et elle est belle comme un arc-en-ciel ta Ami
seojun + merciiii
moubarak + wesh vieille croûte il est où mon edit (jte table qd même pck t'es beune, et puis Tom te va bien au teint dis donc )
inha + métissage dilué genre thaaanksalot, j'espère que la suite te plaira alors
oignon + (oui t'as changé je saiiis) (un jour je m'y ferai :bago: ) han y'a mon palpitant qui joue du tamtam, toi en kiko c'est vile, ça joue avec mes feels et ouais, à force de tourner autour et de côtoyer l'autre ananas j'pouvais que craquer
jihoon + oooh préz', fidèle au poste, c'est trop cool de te retrouver ici merciii et besos sur ta face de bg, t'es toujours aussi canon en jr
ami + et elle est belle comme un arc-en-ciel ta Ami
seojun + merciiii
moubarak + wesh vieille croûte il est où mon edit (jte table qd même pck t'es beune, et puis Tom te va bien au teint dis donc )
inha + métissage dilué genre thaaanksalot, j'espère que la suite te plaira alors
oignon + (oui t'as changé je saiiis) (un jour je m'y ferai :bago: ) han y'a mon palpitant qui joue du tamtam, toi en kiko c'est vile, ça joue avec mes feels et ouais, à force de tourner autour et de côtoyer l'autre ananas j'pouvais que craquer
jihoon + oooh préz', fidèle au poste, c'est trop cool de te retrouver ici merciii et besos sur ta face de bg, t'es toujours aussi canon en jr
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Re: go harry + you only live twice | Lun 1 Aoû - 9:57 Citer EditerSupprimer
tu peux continuer à m'appeler oignon si tu veux, t'es une privilégiée :tentate:
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