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you was my light in the shadow now let me enlighten you ft.aidan
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you was my light in the shadow now let me enlighten you ft.aidan | Dim 7 Aoû - 15:50 Citer EditerSupprimer
Apocalyptica
Path « you was my light in the shadow now let me enlighten you. » Li Wei passait la porte du QG avec une hâte incroyable. Un soupire de soulagement s’échappait de ses lèvres. Rentrer dans un lieu si familier, synonyme de confort et de détente lui faisait un bien fou. Pourtant, sa journée n’avait pas été si remplie que cela : pour une fois, sa journée de cours n’était suivie par aucun de ses jobs. Elle s’était faite un petit plaisir en posant sa journée afin de pouvoir prendre du temps pour elle. Cependant, un test pour le lendemain, prévenu à la dernière minute lui était tombé dessus et elle avait été forcée de réviser tout son temps libre à la bibliothèque. Ah disgrâce infâme ! Ce débarrassant de ses affaires sur le chemin de sa chambre, elle saluait ses compatriotes jeongals. Inconsciemment, la chinoise se mit à chercher Aidan des yeux. Il était arrivé il y a peu chez eux, pour son plus grand bonheur. Même si ils ne passaient plus autant de temps ensemble qu’avant, elle se plaisait toujours à ses côtés. Aidan est une des meilleures choses qui lui soit arrivée et il le restera peu importe les obstacles de la vie. Elle rentre dans la chambre et s’allonge immédiatement sur son lit. Il n’est pas là, elle espère qu’il va bien. Elle se rend bien compte qu’il a le moral dans les chaussettes ces derniers temps et que malgré la volonté pour l’aider, comprendre, dont elle fait preuve, elle ne peut rien. Elle ne peut rien parce qu’elle ne sait pas, elle ne comprend pas. Parfois il donne l’impression que c’est à peine si il arrive à comprendre lui-même …
La jeune femme se mit à bouger vivement la tête de gauche à droite pour se changer les idées. Il faut qu’elle arrête de se bouffer le cerveau avec tout ça. Après être restée quelques instants de plus allongée, elle se levait presque dans un bond pour se diriger vers son armoire. Le dilemme de toute une vie : qu’est ce qu’elle va porter demain ?
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La jeune femme se mit à bouger vivement la tête de gauche à droite pour se changer les idées. Il faut qu’elle arrête de se bouffer le cerveau avec tout ça. Après être restée quelques instants de plus allongée, elle se levait presque dans un bond pour se diriger vers son armoire. Le dilemme de toute une vie : qu’est ce qu’elle va porter demain ?
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Re: you was my light in the shadow now let me enlighten you ft.aidan | Jeu 11 Aoû - 0:48 Citer EditerSupprimer
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Path « you was my light in the shadow now let me enlighten you. » Les mains dans les poches, le cœur en fleurs (fanées), il recommençait. Encore, il changeait, il changeait en espérant que le changement pouvait lui donner les clés d’un avenir peut-être un peu meilleur, peut-être avec un peu plus d’espoir. Il aimait croire qu’en changeant, il trouverait enfin la bonne voie. Un nouveau tableau, une nouvelle chambre, une nouvelle vie. Peut-être. Il essayait, d’une certaine manière, d’effacer un peu son passé pour juste mieux avancer. Mais parce que rien ne pouvait réellement être oublié, ses nuits étaient bercées par des silences, fixant un plafond qu’il ne faisait qu’imaginer tantôt trop calmes, tantôt trop violentes. Il jonglait entre tourments et cauchemars, les images d’une soirée, d’un matin qu’il aurait voulu changer. Les traces qui s’étaient ancrées dans son esprit lui refaisaient souvent surface, son visage, ses cheveux, son corps. Il n’arrivait plus à bien se concentrer, il était dissipé. Il essayait de se persuader qu’il allait y arriver, tout en sachant que c’était peine perdue. Il avait conscience qu’une telle expérience ne pouvait le quitter, qu’il allait mourir avec la marque, la mort, de sa Belle au creux du cœur. Il y penserait, à tout jamais. Lui qui aurait voulu l’oublier, tout recommencer, pourquoi pas l’aimer. Ou refaire sa vie, construire, la détruire. Mais elle allait rester là, sa mort et sa haine comme une maladie incurable.
Et pourtant, l’air serein, il arpentait les couloirs avant de trouver le nouveau QG, avide de vouloir rencontrer les nouvelles personnes de son quotidien. Nouvelles, sans pour autant vraiment l’être. Il se retrouvait près des sources. Son salop de toujours et sa petite étoile qui ne l’avaient jamais vraiment quitté. Il pensait à une bouffée d’air frais, il voulait occuper ses pensées, non pas par une solitude comme il en avait l’habitude, mais par leurs sourires et leurs âmes. Il avait besoin d’eux, comme ils n’auraient jamais pu l’imaginer. Alors, nonchalamment, il s’installait, il parlait, il souriait, aussi sincèrement qu’il le pouvait. Quelque chose avait changé, peut-être dans son regard, mais il s’évertuait à ne pas y penser.
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Et pourtant, l’air serein, il arpentait les couloirs avant de trouver le nouveau QG, avide de vouloir rencontrer les nouvelles personnes de son quotidien. Nouvelles, sans pour autant vraiment l’être. Il se retrouvait près des sources. Son salop de toujours et sa petite étoile qui ne l’avaient jamais vraiment quitté. Il pensait à une bouffée d’air frais, il voulait occuper ses pensées, non pas par une solitude comme il en avait l’habitude, mais par leurs sourires et leurs âmes. Il avait besoin d’eux, comme ils n’auraient jamais pu l’imaginer. Alors, nonchalamment, il s’installait, il parlait, il souriait, aussi sincèrement qu’il le pouvait. Quelque chose avait changé, peut-être dans son regard, mais il s’évertuait à ne pas y penser.
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Re: you was my light in the shadow now let me enlighten you ft.aidan | Mer 24 Aoû - 14:56 Citer EditerSupprimer
Apocalyptica
Path « you was my light in the shadow now let me enlighten you. » Les portes grandes ouvertes face à elle, Li Wei restait là, debout les bras croisés sur sa poitrine l’air perplexe et réfléchi. Elle ne savait plus où donner de la tête. Robe, jupe, pantalon ? Noir, blanc, rouge, bleu ? D’ailleurs il fait quel temps demain ? Elle se dirige vers son lit et attrape son téléphone portable sans quitter son armoire du regard. Elle ne le détache seulement qu’après quelques longues secondes, l’air toujours aussi perdu, pour regarder les prévisions. C’est à ce moment là qu’elle crut entendre la voix d’Aidan dans la pièce principale, discutant avec les autres tout naturellement. Ses yeux viennent chercher son radio réveil : cela faisait une heure qu’elle était plantée là à chercher ce qu’elle allait porter. Elle n’est pourtant pas superficielle, du moins pas trop à son sens, mais elle apprécie tout de même être plutôt jolie, surtout lorsqu’elle sait qu’elle va croiser Min Guk. En son sens, il ne s’agit derrière cela qu’une volonté d’être présentable face à son « patron » mais il faudrait être stupide pour penser que cela n’est que pour cela : elle veut lui plaire.
Li Wei abandonne l’idée de préparer ses vêtements pour le lendemain et se décide à quitter sa chambre pour rejoindre les autres qui seront à coup sûr une meilleure compagnie que son meuble qui ne l’aide même pas à faire un choix. Si habituellement un sourire s’inscrit naturellement sur ses lèvres lorsqu’elle rejoint les autres Jeongals, ce dernier semblait davantage joyeux en remarquant Aidan. Elle était contente qu’il les ait rejoins, réellement et peu importe si leur relation avait changé. Il restera une des meilleures parties de lui, celui pour qui elle serait capable de tout. Alors c’est tout naturellement qu’elle vient s’installer à côté de lui avec un large sourire. Elle embrassait vivement sa joue pour le saluer – ayant déjà saluer les autres – avant de lui demander doucement. « Hey, tu as passé une bonne journée ? »
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Li Wei abandonne l’idée de préparer ses vêtements pour le lendemain et se décide à quitter sa chambre pour rejoindre les autres qui seront à coup sûr une meilleure compagnie que son meuble qui ne l’aide même pas à faire un choix. Si habituellement un sourire s’inscrit naturellement sur ses lèvres lorsqu’elle rejoint les autres Jeongals, ce dernier semblait davantage joyeux en remarquant Aidan. Elle était contente qu’il les ait rejoins, réellement et peu importe si leur relation avait changé. Il restera une des meilleures parties de lui, celui pour qui elle serait capable de tout. Alors c’est tout naturellement qu’elle vient s’installer à côté de lui avec un large sourire. Elle embrassait vivement sa joue pour le saluer – ayant déjà saluer les autres – avant de lui demander doucement. « Hey, tu as passé une bonne journée ? »
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Re: you was my light in the shadow now let me enlighten you ft.aidan | Lun 29 Aoû - 23:44 Citer EditerSupprimer
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Path « you was my light in the shadow now let me enlighten you. » C’étaient des nuits, assis sur le bord du lit, en silence, dans le noir. A moitié nu, il se retrouvait avec ses songes les plus noirs. C’étaient des nuits, assis sur le bord du lit, qu’il passait sans cesse, sans répit, comme si la vie se jouait de lui. Le jour, il réussissait à sourire, un peu, juste un peu pour se prouver à lui-même qu’il pouvait y arriver, qu’il arriverait à persuader tout le monde, et lui aussi, que tout s’arrangerait, qu’il y arriverait. Il suffisait de le vouloir, d’essayer, pour y arriver. Il souriait, il parlait, comme si tout était naturel. Et parce que, eux, devant lui, ne le connaissaient pas comme il avait pu être autrefois, comment pouvaient-ils seulement voir cette lueur assombrie au fond de ses pupilles ? La nuit, il se retrouvait face à lui-même, face à elle, à son visage livide qui le fixait, cette bouteille, cette baignoire, les vêtements au sol. Il retraçait chaque ligne, chaque seconde, juste pour se détruire, pour se conforter dans l’idée qu’il n’était pas celui que tout le monde pensait. Les coudes sur les genoux, les mains derrière la tête, presque recroquevillé, tentant de sortir ces images de son esprit. Il aurait voulu crier, partir, se jeter du haut d’une falaise puis il grognait, se relever, se maudissant d’avoir ce genre de pensées.
Puis il se retrouvait là, assis sur son tabouret, le sourire aux lèvres, le cœur en joie de nouvelles rencontres. Il tentait, il se voyait certainement plus expressif qu’il ne l’était vraiment mais il avait l’espoir. L’espoir que c’était vrai, qu’il ne l’inventait pas, que son bonheur illusoire pouvait redevenir réalité. Et cette voix familière le fit se retourner, coupant rapidement sa discussion pour qu’un réel sourire sincère se dessine sur son visage en voyant celui de son petit ange. De nature tactile d’une éducation de pays du monde, il posa une main sur sa cuisse, les yeux plissés dans un nouveau sourire un peu moins forcé. « Ca a été, je viens de débarquer, et toi ? » il avait tant de choses à lui dire, tant de choses qu’il aurait aimé lui raconter, tant de choses qu’il voulait lui cacher, juste pour la protéger. Mais ce qu’il ne pouvait pas lui masquer, c’était la joie qui l’envahissait lorsqu’elle était dans les parages.
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Puis il se retrouvait là, assis sur son tabouret, le sourire aux lèvres, le cœur en joie de nouvelles rencontres. Il tentait, il se voyait certainement plus expressif qu’il ne l’était vraiment mais il avait l’espoir. L’espoir que c’était vrai, qu’il ne l’inventait pas, que son bonheur illusoire pouvait redevenir réalité. Et cette voix familière le fit se retourner, coupant rapidement sa discussion pour qu’un réel sourire sincère se dessine sur son visage en voyant celui de son petit ange. De nature tactile d’une éducation de pays du monde, il posa une main sur sa cuisse, les yeux plissés dans un nouveau sourire un peu moins forcé. « Ca a été, je viens de débarquer, et toi ? » il avait tant de choses à lui dire, tant de choses qu’il aurait aimé lui raconter, tant de choses qu’il voulait lui cacher, juste pour la protéger. Mais ce qu’il ne pouvait pas lui masquer, c’était la joie qui l’envahissait lorsqu’elle était dans les parages.
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Re: you was my light in the shadow now let me enlighten you ft.aidan | Sam 3 Sep - 22:50 Citer EditerSupprimer
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Path « you was my light in the shadow now let me enlighten you. » LChez les Jeongals Li Wei se sentait bien. Elle se sentait libre, capable d’être elle-même sans être jugée le moindre du monde. Elle n’a de comptes à rendre personne, aucunes règles à respecter au sujet du QG (mis à part celles de savoir vivre évidemment), aucune reconnaissance quasi constante à avoir auprès du sponsor. Les scorpions ne sont pas un fraternité, ils sont bien au dessus de cela, ils sont une famille avec des membres aussi différents les uns que les autres. Ils n’ont pas à faire semblant de s’apprécier, il n’y a aucun faux semblant entre eux. Ils sont fous, ils sont sauvages, ils sont eux et c’est ce qu’elle aime le plus ici. Pour rien au monde elle ne songerai à les quitter. Alors elle espérait sincèrement que Aidan se sente aussi bien ici qu’elle. Il était arrivé il y a peu et jusqu’alors, il semblait s’y plaire. Cela la rassurait énormément et secrètement, elle espérait qu’il ne parte plus jamais.
Elle lui sourit comme au début, comme si il n’était jamais parti, comme si ils ne s’étaient jamais quitté. Aidan est cette force positive qui a le don de la faire sourire, se rendre heureuse par sa simple présence. En son sens, Aidan est merveilleux. Alors quand il déposait sa main sur sa cuisse en lui offrant un rictus, elle se sentait davantage remplie de joie. « Une journée de cours qui m’a littéralement tuée. » Elle se met à rire légèrement avant de rajouter en haussant les épaules. « Mais ça va, c’est bientôt la paye alors ça ne peut que aller. » Son sourire s’étend sincèrement davantage alors qu’elle image déjà son compte en banque remplie, pour peu de temps il faut l’avouer, mais quand même. « Tu voudras qu’on se fasse livrer des pizzas un de ses quatre pour fêter ton arriver chez les jeon ? » Demandait-elle avec des yeux remplis d’espoir comme si il s’agissait de l’idée du siècle. Cela l’était pour elle, dès que son ami fait partie de celle-ci s’en est une.
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Elle lui sourit comme au début, comme si il n’était jamais parti, comme si ils ne s’étaient jamais quitté. Aidan est cette force positive qui a le don de la faire sourire, se rendre heureuse par sa simple présence. En son sens, Aidan est merveilleux. Alors quand il déposait sa main sur sa cuisse en lui offrant un rictus, elle se sentait davantage remplie de joie. « Une journée de cours qui m’a littéralement tuée. » Elle se met à rire légèrement avant de rajouter en haussant les épaules. « Mais ça va, c’est bientôt la paye alors ça ne peut que aller. » Son sourire s’étend sincèrement davantage alors qu’elle image déjà son compte en banque remplie, pour peu de temps il faut l’avouer, mais quand même. « Tu voudras qu’on se fasse livrer des pizzas un de ses quatre pour fêter ton arriver chez les jeon ? » Demandait-elle avec des yeux remplis d’espoir comme si il s’agissait de l’idée du siècle. Cela l’était pour elle, dès que son ami fait partie de celle-ci s’en est une.
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Re: you was my light in the shadow now let me enlighten you ft.aidan | Jeu 8 Sep - 1:33 Citer EditerSupprimer
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Path « you was my light in the shadow now let me enlighten you. » Aidan cherchait un peu de paix, un peu de renouveau. Un besoin de faire face tout aussi puissant que celui d’oublier, de ne plus y penser. Et le changement s’était imposé à lui comme une évidence, de changer, de partir, de se reconstruire, parce qu’il avait essayé, essayé de se frayer un chemin là où tous les autres avaient réussi. Ca l’avait amusé de faire le gamin à chercher l’animosité chez les jaunes, chez les bleus, chez les roses, puis à fricoter avec ledit ennemi, rejoindre son frère, rejoindre ce qui n’était pas de son sang mais de son cœur. Aidan cherchait juste à trouver sa place, la vraie. Longtemps, il avait été heureux, juste comme il était, juste comme il vivait, à partir sans revenir, à fouiller les recoins du monde, à caresser les tissus de chaque pays de la planète. Il avait marché sur tellement de terres différentes en si peu de temps de vie. Quinze années consacrées à découvrir, à vivre seul, sans éducation menée par un fil sociétal, menée par une baguette et une organisation structurée. Non, Aidan, il s’est élevé tout seul, dans les rues, dans les coins, avec les gens, seul, avec ce couple bancal qui lui servait de famille. Il avait pesé le pour et le contre, se forgeant une opinion, un sens de la vie autre que ses amis éphémères. Alors il avait cherché sa place là où il n’était pas censé l’avoir puis les problèmes, les émotions, et tout prenait le dessus. C’était nouveau, c’était intense, lui qui avait toujours vécu au jour le jour, sans attache, sans prise de tête. Il avait cherché à trouver une sorte d’équilibre à son quotidien et peut-être, pensait-il, qu’il pouvait la trouver ici, en tant que scorpion.
Rempli d’admiration pour ce visage qu’il aurait voulu chérir jusqu’à son dernier souffle, il était fier de cette enfant devenue jeune femme et responsable. « J’comprends gongzhu, tu es courageuse. » C’était ce bonheur simple qui l’envahissait avec un seul sourire de sa part, c’était ce bonheur simple de la surnommer princesse dans sa langue d’origine. Et tant de souvenirs, tant de choses vécues à deux, là-bas. « Tu sais que je peux pas dire non à une telle proposition ! » Un clin d’œil, un sourire. « Et dis-moi, tout se passe bien ? La fac, les amis, personne t’embête ? Sinon je viens et je leur casse les bras, mh ? » Aidan oubliait, il oubliait à travers la chaleur de ses yeux félins l’air glacial de cette fameuse nuit. Pendant un instant, il oubliait, ébouriffa d’un geste fraternel et attendrissant les cheveux de Liwei et souriait sincèrement.
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Rempli d’admiration pour ce visage qu’il aurait voulu chérir jusqu’à son dernier souffle, il était fier de cette enfant devenue jeune femme et responsable. « J’comprends gongzhu, tu es courageuse. » C’était ce bonheur simple qui l’envahissait avec un seul sourire de sa part, c’était ce bonheur simple de la surnommer princesse dans sa langue d’origine. Et tant de souvenirs, tant de choses vécues à deux, là-bas. « Tu sais que je peux pas dire non à une telle proposition ! » Un clin d’œil, un sourire. « Et dis-moi, tout se passe bien ? La fac, les amis, personne t’embête ? Sinon je viens et je leur casse les bras, mh ? » Aidan oubliait, il oubliait à travers la chaleur de ses yeux félins l’air glacial de cette fameuse nuit. Pendant un instant, il oubliait, ébouriffa d’un geste fraternel et attendrissant les cheveux de Liwei et souriait sincèrement.
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Re: you was my light in the shadow now let me enlighten you ft.aidan | Jeu 15 Sep - 23:26 Citer EditerSupprimer
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Path « you was my light in the shadow now let me enlighten you. » Aidan est de ces personnes pour qui Li Wei pourrait tout donner, absolument tout. Un bras, une jambe, un milliard de won, sa vie entière et tout cela sans la moindre hésitation. Il a toujours été là pour elle, dans les bons moments comme dans les pires. Aujourd’hui encore il lui arrive se ressentir encore la joie qui la parcoure lorsqu’elle le voyait du haut de ses quinze ans mais aussi la tristesse qui s’est abattue sur elle quand il est parti. Alors le retrouver, l’avoir auprès d’elle ainsi lui fait un bien fou. Elle a l’impression de pouvoir le garder jalousement, uniquement et seulement pour elle. Après tout, c’est chacun son tours !
Un sourire immense s’installait sur son visage à l’entente du surnom qu’il lui donnait et elle ne pouvait s’empêcher de se répéter intérieurement à quel point il est merveilleux. « Je m’inspire de toi. » Répliquait-elle en riant doucement, tellement fière qu’il la trouve courageuse. C’est vrai qu’il en faut pour fuir sa famille, son pays natale à peine la majortié passée. Mais cela en valait la peine, elle savait qu’il n’y aurait que du bon et puis, c’était pour lui. Elle rit à nouveau quand il acquiesçait sa proposition de pizza et pile à ce moment là, son ventre se mettait à gargouiller. « Pardon. » Affichait-elle avec une moue adorable et innocente qu’elle ne contrôle jamais. La jeune chinoise râle gentiment lorsqu’il vient lui ébouriffer les cheveux après lui avoir demandé si tout allait bien à l’université. « Mais arrête donc ! » Se défendait-elle en lui faisait deux trois chatouilles en guise d’arme de destruction massive. Elle rit et remet ses cheveux en place. « Personne ne m’embête, ils ont tous peur de toi. » Son rire se fait à nouveau entendre avant qu’elle ne poursuive plus sérieusement. « Non vraiment, j’ai aucun problème à part une stupide rumeur comme quoi je serai une meuf blindée qui se fait passer pour une « pauvre » pour une émission télé. Les gens sont tarés ici non ? Je suis bien coiffée ?» Demandait-elle en se tournant vers lui, plus préoccupée par sa coiffure que par cette rumeur à vrai dire.
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Un sourire immense s’installait sur son visage à l’entente du surnom qu’il lui donnait et elle ne pouvait s’empêcher de se répéter intérieurement à quel point il est merveilleux. « Je m’inspire de toi. » Répliquait-elle en riant doucement, tellement fière qu’il la trouve courageuse. C’est vrai qu’il en faut pour fuir sa famille, son pays natale à peine la majortié passée. Mais cela en valait la peine, elle savait qu’il n’y aurait que du bon et puis, c’était pour lui. Elle rit à nouveau quand il acquiesçait sa proposition de pizza et pile à ce moment là, son ventre se mettait à gargouiller. « Pardon. » Affichait-elle avec une moue adorable et innocente qu’elle ne contrôle jamais. La jeune chinoise râle gentiment lorsqu’il vient lui ébouriffer les cheveux après lui avoir demandé si tout allait bien à l’université. « Mais arrête donc ! » Se défendait-elle en lui faisait deux trois chatouilles en guise d’arme de destruction massive. Elle rit et remet ses cheveux en place. « Personne ne m’embête, ils ont tous peur de toi. » Son rire se fait à nouveau entendre avant qu’elle ne poursuive plus sérieusement. « Non vraiment, j’ai aucun problème à part une stupide rumeur comme quoi je serai une meuf blindée qui se fait passer pour une « pauvre » pour une émission télé. Les gens sont tarés ici non ? Je suis bien coiffée ?» Demandait-elle en se tournant vers lui, plus préoccupée par sa coiffure que par cette rumeur à vrai dire.
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Re: you was my light in the shadow now let me enlighten you ft.aidan | Lun 24 Oct - 3:34 Citer EditerSupprimer
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Path « you was my light in the shadow now let me enlighten you. » Certaines personnes sont destinées à passer dans nos vies, à simplement les effleurer pour juste être oubliées. D’autres sont destinées à rester ancrées, pour une durée indéterminée. Ancrées souvent pour longtemps, qu’elles soient là ou non, qu’elle soient restées ou parties. Parfois, elles restent jusqu’à marquer l’âme de leur passage. Et puis quelques-unes, dites pour être oubliées et qui, finalement, restent à jamais. Toutes ces personnes, au fond, se ressemblent un peu. On s’attache parfois, sans savoir pourquoi mais souvent, on apprend, on grandit. Toutes ces personnes, nous donnent nos expériences de vie.
Li Wei était de celles destinées à ne pas survivre, un joli passage éphémère, qui laissait la trace de beaux souvenirs de l’empire du milieu. C’était beau, c’était léger, c’était doux et frais. Juste quelques mois à partager son enfer, à la faire sortir secrètement par la fenêtre, à s’enfuir pour mieux conquérir le monde à deux. Puis, ça a continué, ils ont fait des projets, ils ont rêvé à deux d’un avenir un peu plus beau, plus idéaliste, parfois fantaisiste. Ils rêvaient et vivaient main dans la main, comme si rien ne pouvait les arrêter. Alors, ça s’est ancré, au fil des jours, des mois. Li Wei a marqué son passage d’étoiles un peu fleuries, remplies d’air frais, d’air pur, de son sourire malicieux qui illuminait un peu plus sa vie. L’australien avait toujours vu l’espoir et la détermination dans ses yeux, il avait toujours cru en elle, jusqu’à ce qu’elle ne quitte plus sa vie, même séparés par des milliers de kilomètres.
Aidan leva les yeux au ciel, n’ayant jamais cru être l’exemple parfait, n’ayant jamais cru être un bon exemple, tout court. Pourtant, un sourire amusé jouait sur ses lèvres car, au fond, il avait toujours pris son rôle de grand-frère à cœur (malgré lui). Mais comment ne pouvait-il pas être fier devant la femme qu’elle était devenue ? Il se mit alors de nouveau à rire à sa remarque avant de se pencher vers elle, comme pour lui murmurer à l’oreille. « Heureusement. » Les yeux plissés comme une menace, le pacifiste dans l’âme était prêt à réellement se servir de ses poings pour défendre ceux qui lui sont chers. « Oh… qui ne l’est pas franchement ? » qu’il lui répondit alors, comme une fatalité. Il fallait juste comprendre que ce n’était certainement pas bien important, toutes ces rumeurs d’étudiants-gamins qui ne pouvaient s’empêcher d’inviter un peu tout et n’importe quoi pour occuper leur vie. Un rire lui échappa de nouveau et son sourire attendrit ne le quittait plus. « Bien sûr Li Wei, tu es magnifique. » Un peu moqueur mais surtout sincère, la jeune femme était bien l’une des seules à savoir recevoir les vrais compliments de l’australien. « Dis, tu veux que je te fasse à mange ? » Sans transition, la détresse de l’estomac de la chinoise ne lui avait pas échappé et il ne voulait pas que sa protégée meurt de faim sous ses yeux.
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Li Wei était de celles destinées à ne pas survivre, un joli passage éphémère, qui laissait la trace de beaux souvenirs de l’empire du milieu. C’était beau, c’était léger, c’était doux et frais. Juste quelques mois à partager son enfer, à la faire sortir secrètement par la fenêtre, à s’enfuir pour mieux conquérir le monde à deux. Puis, ça a continué, ils ont fait des projets, ils ont rêvé à deux d’un avenir un peu plus beau, plus idéaliste, parfois fantaisiste. Ils rêvaient et vivaient main dans la main, comme si rien ne pouvait les arrêter. Alors, ça s’est ancré, au fil des jours, des mois. Li Wei a marqué son passage d’étoiles un peu fleuries, remplies d’air frais, d’air pur, de son sourire malicieux qui illuminait un peu plus sa vie. L’australien avait toujours vu l’espoir et la détermination dans ses yeux, il avait toujours cru en elle, jusqu’à ce qu’elle ne quitte plus sa vie, même séparés par des milliers de kilomètres.
Aidan leva les yeux au ciel, n’ayant jamais cru être l’exemple parfait, n’ayant jamais cru être un bon exemple, tout court. Pourtant, un sourire amusé jouait sur ses lèvres car, au fond, il avait toujours pris son rôle de grand-frère à cœur (malgré lui). Mais comment ne pouvait-il pas être fier devant la femme qu’elle était devenue ? Il se mit alors de nouveau à rire à sa remarque avant de se pencher vers elle, comme pour lui murmurer à l’oreille. « Heureusement. » Les yeux plissés comme une menace, le pacifiste dans l’âme était prêt à réellement se servir de ses poings pour défendre ceux qui lui sont chers. « Oh… qui ne l’est pas franchement ? » qu’il lui répondit alors, comme une fatalité. Il fallait juste comprendre que ce n’était certainement pas bien important, toutes ces rumeurs d’étudiants-gamins qui ne pouvaient s’empêcher d’inviter un peu tout et n’importe quoi pour occuper leur vie. Un rire lui échappa de nouveau et son sourire attendrit ne le quittait plus. « Bien sûr Li Wei, tu es magnifique. » Un peu moqueur mais surtout sincère, la jeune femme était bien l’une des seules à savoir recevoir les vrais compliments de l’australien. « Dis, tu veux que je te fasse à mange ? » Sans transition, la détresse de l’estomac de la chinoise ne lui avait pas échappé et il ne voulait pas que sa protégée meurt de faim sous ses yeux.
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Re: you was my light in the shadow now let me enlighten you ft.aidan | Ven 9 Déc - 12:53 Citer EditerSupprimer
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Path « you was my light in the shadow now let me enlighten you. » Quand Aidan était là, c’est un peu comme si plus personne n’existait autour d’eux. Elle restait obnubilée par lui, buvant ses paroles et son sourire comme depuis le premier jour. Il lui vendait du rêve, il lui avait vendu la liberté et lui avait permis de la prendre à pleines mains. Grâce à lui, elle avait fait le choix de partir pour une vie plus heureuse, plus folle et largement moins ennuyeuse. Elle avait brisé ses chaînes dorées pour s’envoler rejoindre celui qu’elle considère aujourd’hui comme son grand frère, une des personnes les plus importantes de sa vie. Et peu importe si aujourd’hui elle vivait dans la crainte que ses parents la retrouvent, elle ne regrettait en rien ce choix et se sentait plus heureuse qu’elle ne l’avait jamais été.
Un sourire naissait sur ses lèvres lorsqu’il vient lui glisser ce mot à l’oreille, comme à chaque fois qu’il ouvre la bouche après tout. Ensuite, il venait à lui demander si tout se passait bien après un geste qu’elle prenait comme de l’affection. Elle lui expliquait alors qu’en somme tout allait bien, mis à part une stupide rumeur comme quoi elle serait une actrice pour une émission de téléréalité. Au début, cette stupide rumeur avait le don de l’agacer, de l’énerver un peu mais aujourd’hui elle se moquait bien de leurs mots, de leurs regards et des chuchotements sur son passage. Les gens allaient finir par se lasser, surtout que rien ne fonde cette dernière. Ce n’est pas comme si elle avait débarqué avec des fringues hors de prix et un compte en banque blindé. Elle n’avait presque rien gardé de son ancienne vie et aujourd’hui bien moins qu’hier pour ne pas dire que le trois quart de ce qu’elle avait amené avait fini par prendre refuge dans une poubelle. La seule chose aujourd’hui qui mettait du temps à disparaître était son accent, la seule bribe de son passé.
« Moi je ne le suis pas. » Déclarait-elle avec une fausse mine surprise avant de se mettre à rire. C’était totalement faux. Il n’avait qu’à la voir avec Byeol pour savoir que ses mots ne sont que mensonges. Elle continue de se recoiffer, attend que Aidan valide sa coiffure avant de sourire à nouveau. Elle n’eut pas le temps de trouver quoi répondre qu’il lui proposait de lui faire à manger. « Pour de vrai ? » Demandait-elle avec de grands yeux émerveillés et surtout des plus affamé. « Allé viens avant que tu ne changes d’avis ou que je fasse un malaise ! » Déclarait-elle exagérant clairement avec son malaise, en se levant soudainement pour se diriger vers la cuisine.
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Un sourire naissait sur ses lèvres lorsqu’il vient lui glisser ce mot à l’oreille, comme à chaque fois qu’il ouvre la bouche après tout. Ensuite, il venait à lui demander si tout se passait bien après un geste qu’elle prenait comme de l’affection. Elle lui expliquait alors qu’en somme tout allait bien, mis à part une stupide rumeur comme quoi elle serait une actrice pour une émission de téléréalité. Au début, cette stupide rumeur avait le don de l’agacer, de l’énerver un peu mais aujourd’hui elle se moquait bien de leurs mots, de leurs regards et des chuchotements sur son passage. Les gens allaient finir par se lasser, surtout que rien ne fonde cette dernière. Ce n’est pas comme si elle avait débarqué avec des fringues hors de prix et un compte en banque blindé. Elle n’avait presque rien gardé de son ancienne vie et aujourd’hui bien moins qu’hier pour ne pas dire que le trois quart de ce qu’elle avait amené avait fini par prendre refuge dans une poubelle. La seule chose aujourd’hui qui mettait du temps à disparaître était son accent, la seule bribe de son passé.
« Moi je ne le suis pas. » Déclarait-elle avec une fausse mine surprise avant de se mettre à rire. C’était totalement faux. Il n’avait qu’à la voir avec Byeol pour savoir que ses mots ne sont que mensonges. Elle continue de se recoiffer, attend que Aidan valide sa coiffure avant de sourire à nouveau. Elle n’eut pas le temps de trouver quoi répondre qu’il lui proposait de lui faire à manger. « Pour de vrai ? » Demandait-elle avec de grands yeux émerveillés et surtout des plus affamé. « Allé viens avant que tu ne changes d’avis ou que je fasse un malaise ! » Déclarait-elle exagérant clairement avec son malaise, en se levant soudainement pour se diriger vers la cuisine.
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Re: you was my light in the shadow now let me enlighten you ft.aidan | Ven 3 Mar - 17:52 Citer EditerSupprimer
Apocalyptica
Path « you was my light in the shadow now let me enlighten you. » La voix qui résonnait incessamment dans son esprit depuis quelques semaines avait finalement fini par se taire, l’image de son visage, beau, parfois ravagé, parfois fou, avait quitté ses pensées. Liwei semblait être une thérapie parfaite malgré elle, car son sourire se reflétait dans celui d’Aidan, ce même sourire qu’il avait eu tant de mal à redessiner sur ses lèvres. Ces derniers temps, il ressemblait davantage à une grimace forcée qu’à un réel sourire. Mais avec la chinoise, c’était beaucoup plus simple, beaucoup plus simple de rire, de sourire, de parler ; de vivre. L’australien s’était toujours senti lui-même avec elle, pas besoin de faire semblant, pas besoin d’être quelqu’un d’autre. La demoiselle devenue jeune femme réconfortait son cœur, lui rappelait que tout n’était pas fini, qu’il y avait encore de quoi se battre, de quoi se relever. Il avait besoin de son sourire pour s’en sortir, il avait besoin qu’elle soit là pour lui rappeler que malgré la peur, la tristesse et le deuil, il y avait l’espoir et l’amour. Elle méritait qu’il se batte et qu’il ne laisse pas tomber, il avait toutes les raisons autour de lui pour en pas se laisser entraîner par la démence, lui aussi.
Alors Aidan, il souriait, il riait, l’espoir naissait peu à peu en lui à la vue de ce minois amour-enfant. Juste un instant, il oubliait le mal qui lui creusait la poitrine, le poids qui l’oppressait et tourmentait ses nuits. Juste un instant, il respirait un peu mieux, comme une mémoire sélective, il avait décidé de ne garder que le bon pour ne pas sombrer, pour remonter un peu. « Tu sais, j’ai pas tout oublié de la Chine. » un clin d’œil complice, il savait de quoi Liwei était capable lorsqu’elle s’y mettait et cette idée le fit doucement rire. Et il se leva à son tour pour se rendre à la cuisine et fouiller dans la frigo « Bibimbap, ça te tente ? » non loin d’être un piètre cuisinier, Aidan n’attendit pas de réelle réponse et sortit tous les ingrédients pour montrer tous ses talents.
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Alors Aidan, il souriait, il riait, l’espoir naissait peu à peu en lui à la vue de ce minois amour-enfant. Juste un instant, il oubliait le mal qui lui creusait la poitrine, le poids qui l’oppressait et tourmentait ses nuits. Juste un instant, il respirait un peu mieux, comme une mémoire sélective, il avait décidé de ne garder que le bon pour ne pas sombrer, pour remonter un peu. « Tu sais, j’ai pas tout oublié de la Chine. » un clin d’œil complice, il savait de quoi Liwei était capable lorsqu’elle s’y mettait et cette idée le fit doucement rire. Et il se leva à son tour pour se rendre à la cuisine et fouiller dans la frigo « Bibimbap, ça te tente ? » non loin d’être un piètre cuisinier, Aidan n’attendit pas de réelle réponse et sortit tous les ingrédients pour montrer tous ses talents.
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