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1, 2you was my light in the shadow now let me enlighten you ft.aidan
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Re: you was my light in the shadow now let me enlighten you ft.aidan | Jeu 30 Mar - 2:48 Citer EditerSupprimer
Apocalyptica
Path « you was my light in the shadow now let me enlighten you. » Un sourire dessiné sur les lèvres, c’est comme si il ne pouvait se défaire tant qu’il sera là. Une malédiction éternelle que Li Wei prenait avec plaisir et vivait depuis leur rencontre. Aidan, elle le suivrai jusqu’au bout du monde sans réfléchir une seule seconde. A aucun moment elle n’a regretté d’avoir tout plaqué pour le rejoindre, pour cette promesse, bien que cela n’a parfois pas été facile. Malgré les difficultés elle a retrouvé sa liberté, récupéré le contrôle de sa vie et quitté l’autoroute monotone pour les champs en fleurs. Et même si il n’a pas toujours été physiquement là, elle le savait toujours présent envers et contre tous. C’est à lui qu’elle doit son bonheur. Il est comme cette lueur magnifique, parfaite et aimante qui la guide sur la route de son bonheur quand bien même la route est sinueuse. Celle qui lui donne tout le courage du monde, tout l’amour et qui remplit son cœur. Il est simplement lui, son grand frère, son ange gardien, son Aidan.
Un léger rire s’échappe de ses lèvres tandis qu’elle se remémore ces moments passés ensemble en Chine. Que serait-elle devenue si il ne serait jamais entré dans sa vie ? Cette question traversa à peine son esprit qu’elle l’effaçait immédiatement. Elle ne voulait pas y penser, avec des Si on refait le monde. Très vite, la chinoise se rendait dans la cuisine. A la simple vue de l’environnement et imaginant le plat que le jeune homme allait lui préparer elle salivait par à avance. « Tout ce que voudra, je meurs de faim et je te fais confiance. » Pour une fois que ce n’est pas elle qui fait à manger aux Jeongals. « Tu veux que je t’aide ? » Demandait-elle en sautillant un peu jusqu’à lui, se mettant sur la pointe des pieds pour poser sa tête sur son épaule une fois qu’il fut immobilisé. « Je peux peut-être t’aider en goûtant les aliments aussi en allant, tu sais, goûteuse au cas où que ce soit empoisonné ? » Un large sourire s’étirait sur ses lèvres.
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Path
Un léger rire s’échappe de ses lèvres tandis qu’elle se remémore ces moments passés ensemble en Chine. Que serait-elle devenue si il ne serait jamais entré dans sa vie ? Cette question traversa à peine son esprit qu’elle l’effaçait immédiatement. Elle ne voulait pas y penser, avec des Si on refait le monde. Très vite, la chinoise se rendait dans la cuisine. A la simple vue de l’environnement et imaginant le plat que le jeune homme allait lui préparer elle salivait par à avance. « Tout ce que voudra, je meurs de faim et je te fais confiance. » Pour une fois que ce n’est pas elle qui fait à manger aux Jeongals. « Tu veux que je t’aide ? » Demandait-elle en sautillant un peu jusqu’à lui, se mettant sur la pointe des pieds pour poser sa tête sur son épaule une fois qu’il fut immobilisé. « Je peux peut-être t’aider en goûtant les aliments aussi en allant, tu sais, goûteuse au cas où que ce soit empoisonné ? » Un large sourire s’étirait sur ses lèvres.
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Re: you was my light in the shadow now let me enlighten you ft.aidan | Jeu 30 Mar - 11:53 Citer EditerSupprimer
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Path « you was my light in the shadow now let me enlighten you. » Un sourire vint se dessiner sur ses lèvres alors qu’il se mit à cuisiner, l’australien, un sourire amusé mais surtout sincère, et il vint approcher la spatule avec un peu de riz (qu’il avait mis à cuire) près de la bouche de Li Wei. « Empoissonné ou pas ? » d’un air totalement sérieux et professionnel, il mit ensuite à doucement rire à nouveau quand la jeune femme mangea le riz et vint s’occuper du bœuf qu’il avait trouvé dans la frigo des jeongals. Il était concentré, Aidan, il faisait ça bien, à émincer la viande puis la recouper en plus petits morceaux, à préparer la sauce et faire tremper le bœuf dedans. C’était un peu long mais il se donnait du mal, parce que ça lui occupait l’esprit, parce que c’était Li Wei.
« ça m’fait du bien de passer du temps avec toi. » Aidan, il était pas très expressif, Aidan, lui, il parlait pas beaucoup de ce qu’il ressentait dans le fond, parce qu’il agissait plus souvent qu’il ne parlait. Mais parfois, renfermé dans sa bulle, calfeutré dans ce qu’il appelait son égoïsme, à s’isoler, à ne pas montrer, il arrivait à dire, à exprimer un peu ce qu’il ressentait sur le moment. « ça m’vide un peu la tête, ça fait remonter les souvenirs d’avant, les toits, les sorties secrètes. Au fond, ça me manque un peu parfois, j’ai l’impression que c’était… un peu plus simple, y avait que nous, y avait rien autour, c’était… plus simple ; » il ne s’entendait même plus parler, Aidan, jusqu’à se demander s’il venait vraiment de dire tout ça ou s’il l’avait juste pensé, mais parce que ça le libérait un peu, de lui parler, de lui faire comprendre, il arrêtait de se poser des questions. Il avait besoin qu’elle le sache, Lili, à quel point elle était importante à ses yeux, à quel point il aimait être avec elle, à quel point elle lui faisait du bien, même s’il était distant, parfois, même s’il parlait pas souvent de tout ça.
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« ça m’fait du bien de passer du temps avec toi. » Aidan, il était pas très expressif, Aidan, lui, il parlait pas beaucoup de ce qu’il ressentait dans le fond, parce qu’il agissait plus souvent qu’il ne parlait. Mais parfois, renfermé dans sa bulle, calfeutré dans ce qu’il appelait son égoïsme, à s’isoler, à ne pas montrer, il arrivait à dire, à exprimer un peu ce qu’il ressentait sur le moment. « ça m’vide un peu la tête, ça fait remonter les souvenirs d’avant, les toits, les sorties secrètes. Au fond, ça me manque un peu parfois, j’ai l’impression que c’était… un peu plus simple, y avait que nous, y avait rien autour, c’était… plus simple ; » il ne s’entendait même plus parler, Aidan, jusqu’à se demander s’il venait vraiment de dire tout ça ou s’il l’avait juste pensé, mais parce que ça le libérait un peu, de lui parler, de lui faire comprendre, il arrêtait de se poser des questions. Il avait besoin qu’elle le sache, Lili, à quel point elle était importante à ses yeux, à quel point il aimait être avec elle, à quel point elle lui faisait du bien, même s’il était distant, parfois, même s’il parlait pas souvent de tout ça.
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Re: you was my light in the shadow now let me enlighten you ft.aidan | Jeu 27 Avr - 15:59 Citer EditerSupprimer
Apocalyptica
Path « you was my light in the shadow now let me enlighten you. » Le riz en bouche, Li Wei en mangea un peu, une mine faussement concentrée inscrite sur le visage comme si elle l’analysait méticuleusement. « Non chef ! » Répondit-elle avant d’avaler sa bouchée, quittant son air sérieux tellement pas crédible avant de se mettre à rire. Elle se tournait, le laissant faire aisément pour aller s’asseoir sur un des plans de travail qu’il n’occupait pas pour le regarder faire. Aidan faisait vraiment ça bien, il était vraiment très attentif ce qui eut le don de la faire sourire. Li Wei adorait passer du temps avec Aidan. Il avait ce don de la faire sourire en un clin d’œil, de l’apaiser, de lui offrir un bonheur inconditionnel par sa simple présence qui lui était rassurante. Alors lorsqu’il lui dit qu’il aimait lui aussi être avec elle et qu’il faisait remonter de nombreux souvenirs, Li Wei était vraiment touchée. Elle aussi, elle souvenait de tous ces moments passés ensembles et partage un peu le sentiment qu’il exprimait à son tour. « A moi aussi ça me manque. » En Chine ils n’étaient que eux deux, eux deux face aux étoiles, des rêves pleins la tête. Eux deux contre le monde entier. Il lui manquait à elle aussi, cette époque lui manquait. Bien sûr qu’elle pourrait le garder juste pour elle, le coller comme une glue ou s’enchaîner à lui mais elle n’est pas assez égoïste (bien que assez folle). Quoi qu’il en soit, ce n’est pas parce qu’ils se voyaient un peu moins aujourd’hui qu’elle ne l’aimait pas autant. Cette fréquence n’est pas importante comparé à l’amour qu’elle lui porte. Aucune n’est plus importante que son amour. La jeune femme laisse un sourire déborder de ses lèvres. « On devrait repasser des moments comme ça. Sans prévenir, juste toi et moi sur un toit au clair de lune en laissant derrière nous nos problèmes et tous les autres parce qu’il n’y a que nous qui comptons. » Bien sûr cela ne serait jamais tout à fait pareil. Elle n’avait plus quinze ans, ils n’étaient pas en Chine mais cela n’est que secondaire. Elle sait qu’ils peuvent retrouver ne serait-ce qu’une once de ce sentiment. Et juste pour cette once elle le fera. Quitte à devoir faire du rappel contre l’immeuble juste pour passer par la fenêtre, à l’enlever à ses amis et à lui confisquer son portable parce que cela en vaut la peine.
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