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Hatano Yûji ▬ TILL THE SUNDOWN
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Hatano Yûji ▬ TILL THE SUNDOWN | Lun 8 Aoû - 20:57 Citer EditerSupprimer
nom : hatano. prénom : yûji. âge : 20 ans. date et lieu de naissance : 30 août 1995, osaka. origines : japonais. nationalité : japonais. cursus universitaire : error 404. Il prend des cours par correspondance. métier : idole, main dancer des EMPTY. orientation sexuelle : hétéro. classe sociale : pas mauvaise. code du règlement : hi. tu veux t'investir ? citizens please ♥ kimchi me fait de la peine à être le seul en violet, alors je vais rejoindre cet enfant et veiller à ce qu'il devienne pas trop bête ! c'est bô le violet en plus !!
Rêve. Désillusion. Utopie.
Sa naissance relève du miracle ou du fruit d'une aventure sans lendemain. De plusieurs aventures sans lendemain. Il n'aura été qu'un moyen de pression. Qu'un prétexte pour rester à ses côtés. Oui, aux côtés de cet homme dont il a bien plus en commun que le nom et le sang. Hatano Kôji, le nouveau joueur vedette de la nation. Il était aussi l'attaquant le plus prodigieux de sa génération.
C'est un peu triste à dire, mais quant Yûji est venu au monde, sa naissance a fait la Une des journaux. Et la nouvelle ne fut en rien une réjouissance. Au contraire, elle alimenta un peu plus les revues de la presse à scandale ! Hatano Kôji, un père ? Et jamais personne n'aura entendu parler de cette pâle inconnue. Évidemment, il avait bien fallu qu'elle le garde cet enfant, sinon comment serait-elle parvenue à le reconquérir ? Oui, ils étaient devenus une famille sur les papiers. Mais à aucun moment ils n'en avait été une. Pas une seule fois.
Enfant, on lui fit croire qu'il était de ces gosses tout à fait habituels, ayant été le fruit de deux âmes-sœurs qui s'aimaient éperdument. Sauf qu'il n'y avait pas le moindre amour entre eux... C'était à se demander s'ils n'étaient pas de parfaits étrangers. Et pourtant, le mariage eut lieu avant la fin de cette année 1995. Son père y avait été contraint. Il avait été obligé de l'accepter pour ne pas ruiner son image public. Obligé de le reconnaître et de s'unir auprès de cette femme afin de ne pas déshonorer sa famille. Clairement, Hatano Kôji ne se comporta jamais comme un père avec lui. C'était à la limite du possible… Quant à sa mère, l'histoire était tout autre. Quand bien même s'était-elle servie de cette grossesse afin de s'élever dans la société, elle ne manqua jamais à son rôle auprès de Yûji. Elle n'avait que ça à faire après tout. Maintenir sa ligne, son corps de rêve, resplendir devant les caméras et avoir l'air heureuse. C'était le prix à payer pour vivre aux côtés d'une star du ballon rond, et qui ne se gênait guère pour aller voir ailleurs. Mais quelle importance, puisqu'elle avait tout le confort dont elle avait toujours rêvé ?
Yûji avait six ans et il était insouciant. Il cherchait à attirer l'attention de son père. Il ne comprenait pas ce rejet constant lorsqu'il s'évertuait à l'approcher… Alors, il se mit en tête de devenir comme lui et faire sa fierté ! Ce qui fonctionna, bien étrangement. Ce fut leur seul point en commun. Le seul point d'encrage. Son père était devenu l’entraîneur de l'équipe d'Osaka. Parce qu'il commençait enfin à s'attacher à son fils, il voulu faire de lui le prochain Ronaldo. Mais les choses ne se passèrent pas comme prévu. Car à onze ans, Yûji supporta sa première défaite en tournois junior, ce qui marqua sa descente aux enfers. Oui, car la pression se révéla de plus en plus rude et impartiale. Et les encouragements devinrent peu à peu des injures. Au quotidien, il encaissa sans rien dire...
Il était dans la fleur de l'adolescence. Et pourtant, son père trouvait toujours le moyen de le rabaisser dans les moments les plus cruciaux. Il se démena alors plus qu'un autre à donner de son meilleur, alliant études et entraînements jusque tard au soir, parfois même juste pour éviter de croiser son paternel à la maison. Mais l'accident eut lieu durant une rencontre qui se voulait pourtant amicale… Oui, mais pas sur le terrain. Et les hostilités avaient commencé avant même que le match ne débute. Sauf qu'au bout de la première demi-heure, Yûji se mangea un tacle décisif qui l'immobilisa net en plein milieu du match. Il avait souffert comme jamais auparavant. Une douleur poignante et insoutenable. Il avait hurlé jusqu'à son lit d'hôpital... Et tout cela sous le nez des journalistes et de son père qui jura au scandale… Au bout du compte, Yûji se retrouva avec une importante fracture au tibia et du péroné qui eurent pour conséquence le port d'un plâtre durant plusieurs longs mois, ainsi qu'un moral rendu à zéro. Cet accident lui avait fait prendre conscience qu'il ne voulait plus jouer au foot. Non, il ne tenait réellement plus à le faire. Il abandonnait cette idée folle malgré l'acharnement et les attentes de son père. C'était fini. Il ne ferait plus le moindre sacrifice. En faisait-il pour le rendre heureux ? Pas depuis des années. Pas même depuis sa naissance…
C'est la séparation. Ses parents mettent enfin un terme à leur relation désastreuse au moment où il reprend l'entière possession de sa jambe. Il n'en portera pas de séquelles lourdes. Même si les médecins lui disent de faire attention, Yûji tient à rester actif et il poursuit ses entraînements matinaux pour réhabituer ses muscles et son corps tout entier. Il a lâché ses envies de carrière dans le football mais ne démord pas complètement, car ce sport l'a accompagné depuis son enfance. Suite au divorce, sa mère et lui se sont installés en Corée-du-Sud pour repartir d'un nouveau pied. Là avait été l'excuse officielle, mais en réalité, cette dernière s'était tout simplement trouvée un nouveau pigeon avec lequel faire sa vie… Et cette nouvelle relation n'eut aucun mal à se concrétiser - malgré leur passé médiatique et les motivations de cette dernière - son nouveau petit-ami ne sembla pas le prendre en rigueur. Mais peut-être n'était-il au courant de rien ? A ce moment-là, Yûji non plus ne savait pas encore tout. Sa mère était encore à ses yeux, la seule personne qui comptait vraiment et à laquelle il se raccrochait.
Même s'il ne parlait pas un traître mot coréen, il fit de son mieux pour s'intégrer rapidement dans ce nouveau lycée. Il parvint même à se faire de précieux amis grâce à son anglais scolaire et à sa bonne volonté. Ses amis lui montrèrent une toute autre façon de communiquer. Le langage universel par excellence : la danse. Ce fut alors le déclic. Une révélation. Une surprise pour tout le monde, mais surtout pour Yûji. Il ne se serait jamais naturellement cru doué dans ce domaine ! Et bien qu'il n'eut jamais pris un seul cours de sa vie, le japonais parvint en l'espace d'un mois à apprendre l'intégralité des chorégraphies sur lesquels travaillaient ses amis au club de danse. Qui plus est, il mémorisa les pas avec une facilité tellement déconcertante qu'il fut choisi pour représenter leur école – avec quelques autres des meilleurs éléments – à une compétition de danse inter-scolaires. C'est de cette façon qu'il fut repéré par un agent de la YG Entertainment, l'un des colosses de l'industrie musicale sud-coréenne.
Pour lui, ce n'était pas grand-chose. Au japon, la musique n'était pas aussi médiatique. Surtout pour lui, qui n'avait grandis que dans l'univers du sport. La K-pop en revanche, était en plein extension. C'était apparemment la chance de sa vie. Un véritable honneur. Alors toute sa classe se mobilisa pour l'encourager à accepter. Ce qu'il fit, sans pour autant savoir dans quoi il s'engageait.
Seize ans. Il n'avait que seize et on le comptait parmi les nouveaux prodiges de la célèbre agence. Même si cela ne faisait qu'un an qu'il avait débuté son training, on lui promettait déjà une carrière prometteuse, et ce, malgré ses nombreuses lacunes. Il n'était pas dupe. Et on ne lui avait rien caché. Jamais on ne ferait de lui un chanteur. La place qu'il occuperait était celui de danseur principal au sein d'un groupe. C'était ainsi que ça fonctionnait. Chaque membre se voyait gratifié d'un rôle bien spécifique. Et il n'aurait rien d'autre à faire que de danser et sourire à la caméra. Bien sûr, ça il avait toujours su faire ! Avoir l'air aimable et heureux… Il espérait cependant ne pas avoir à jouer un rôle. Cela avait suffit de quant il se pavanait auprès de son père. Pour autant, il s’entraîna dur pour améliorer son coréen et sa faculté à chanter. Il savait qu'on lui attribuerait que peu de lignes, mais il tenait à montrer ce qu'il pouvait faire. Sa voix qui plus est, n'était pas si désagréable à entendre. Et à la YG, Yûji eut le bonheur de rencontrer d'autres japonais, tout comme lui, avec lesquels il tissa naturellement des liens d'amitiés.
Les journées étaient longues et épuisantes. Mais Yûji possédait cette endurance et ce talent inexpliqué qui fascinait son entourage dès lors qu'il se mettait à danser. C'était comme si rien ni personne ne pouvait l'arrêter. Il était toujours le premier à s’entraîner et le dernier à quitter la salle. « Till the sundown » c'est ainsi qu'on le surnommait. Ou TTS. Des initiales qui allaient devenir son nom de scène.
Il s'en est passé du chemin. Il a ri. Il a pleuré. Il s'est inquiété. Et il a répété cette phrase un nombre incalculable de fois sans jamais bafouiller. « Yosha ! Je suis TTS, le main dancer des EMPTY. Yoroshiku ! » Et il ne défaillait jamais à la tâche. Son arme secrète, il le dégainait sans scrupule avec une joie de vivre inconsidéré. Parce que oui, il était fier de se tenir auprès d'eux. Il n'avait jamais été aussi heureux que depuis qu'il avait débuté. L'amour de ses fans et de ses band mates faisaient de lui un homme serein. Un homme bien dans ses baskets, et ne sachant pas toujours garder sa langue dans sa poche. « Ah.. oui aussi… Je suis le plus beau sourire du groupe. Mais ça, vous l'avez déjà remarqué ! » Et il avait toujours ce petit smile si éblouissant qui excusait la moindre de ses initiatives. S'il se le permettait de temps à autre c'était bien parce que ce n'était jamais méchant. Il n'était pas un poids pour les autres. Il était sûrement indispensable à sa manière, de part son optimiste et sa force de volonté. Il ne reculait jamais devant rien et puisait tout son courage auprès de ses amis qui étaient devenu sa seconde famille… Si ce n'est la véritable. Oui, ils étaient comme des frères. Et il était absolument capable de tout pour eux. Yûji avait pleuré au départ de Akira. Et il avait hurlé encore plus fort lorsqu'il était revenu ! Des larmes de joies et une immense délivrance. Parce que les EMPTY c'était une aventure à six ! L'instant précis où les destins s'entremêlent.
hatano yûji
Till the sundown
AFFECTUEUX (★★★★✰) | SPORTIF (★★★★★) | DEMONSTRATIF (★★★★✰) | TAQUIN (★★★✰✰) | COMPÉTITIF (★★★★✰) |
FOUGUEUX (★★★★✰) | LOYAL (★★★✰✰) | IMPATIENT (★★✰✰✰) | OPPORTUNISTE (★★★✰✰) | RANCUNIER (★★★★✰) |
Rumour has it... son père, un ancien footballeur professionnel et entraîneur reconnu a bien failli faire de lui une star du ballon rond (v: mais ça c'était avant.) Survole l'avatar, petit coquin. | My character Yûji ? C'est la force tranquille. C'est le gars qui paraît légèrement en retrait à première vue. Mais à ne pas s'y méprendre, car il n'est pas aussi pacifiste qu'il n'en a l'air ! Il sait toujours parfaitement bien s'entourer et en cas de conflit, il préfère laisser ses amis gérer au risque de mal s'exprimer. En autre à cause de son coréen un peu trop direct, selon certains dires. Mais on le lui pardonne toujours parce qu'il est japonais ! Douce excuse. Qui plus est, il est bien difficile de le détester car extrêmement respectueux des gens et de ses band mates… Sauf quant il se décide à les emmerder, bien sûr ! Après tout, s'il occupe la place de danseur principal, c'est bien parce qu'il adore bouger ! Son calme apparent n'est qu'une façade en société, car il se force plutôt à canaliser son énergie. S'il n'est pas quelqu'un d'extrêmement bavard, il tient difficilement en place et ne supporte pas rester de statique trop longtemps ! Il est du genre à s'ennuyer vite. Très vite ! A la base, il était un sportif et il en garde toujours les séquelles. Autant dire qu'il est le premier levé pour sa séance de footing tôt le matin ! Il a besoin de ça pour bien débuter sa journée. Et une bonne dose de réconfort aussi. Ce mec quant il n'a pas son quota affectif requis, il irait carrément jusqu'à se balader dans la rue avec une pancarte free-hug entre les bras ! Puis son arme secrète, c'est bien son sourire. Son grand et communicatif sourire ! Figurez-vous qu'il a toujours ce petit smile en coin qui vous hérisse le poil parce qu'on ne sait jamais s'il est réellement sérieux ou s'il plaisante ! A ne pas croire, c'est un grand taquin. Il a un petit côté fourbe et mesquin qu'il ne cherche pas particulièrement à cacher. Pour en revenir à son smile, le sourire forcé est peut-être celui qui est le plus à mourir de rire ! Lorsque ça arrive, il donne toujours l'impression d'être au bout de sa vie !! C'est bien le genre de chose qui le fatigue très vite; devoir faire semblant. Ou jouer un rôle. Puis il évidemment il peut se montrer charmeur quant il doit plaire aux demoiselles ou juste pour se faire pardonner des autres, en option ! Pour faire les 400 coups il n'est jamais le dernier à lever la main ! Surtout quant il s'agit des conneries à Kimchi... Par moment c'est à se demander s'il est juste stupide ou casse-cou. Les deux probablement ! Mais Yûji n'est pas réellement du genre à réfléchir avant d'agir. Il se laisse plutôt guider par ses instincts. Quant il aime quelque chose ou quelqu'un ça se voit. Quant il n'aime pas, c'est d'autant plus flagrant ! |
This is my story
the story so far
- 1995 -
Rêve. Désillusion. Utopie.
Sa naissance relève du miracle ou du fruit d'une aventure sans lendemain. De plusieurs aventures sans lendemain. Il n'aura été qu'un moyen de pression. Qu'un prétexte pour rester à ses côtés. Oui, aux côtés de cet homme dont il a bien plus en commun que le nom et le sang. Hatano Kôji, le nouveau joueur vedette de la nation. Il était aussi l'attaquant le plus prodigieux de sa génération.
C'est un peu triste à dire, mais quant Yûji est venu au monde, sa naissance a fait la Une des journaux. Et la nouvelle ne fut en rien une réjouissance. Au contraire, elle alimenta un peu plus les revues de la presse à scandale ! Hatano Kôji, un père ? Et jamais personne n'aura entendu parler de cette pâle inconnue. Évidemment, il avait bien fallu qu'elle le garde cet enfant, sinon comment serait-elle parvenue à le reconquérir ? Oui, ils étaient devenus une famille sur les papiers. Mais à aucun moment ils n'en avait été une. Pas une seule fois.
Enfant, on lui fit croire qu'il était de ces gosses tout à fait habituels, ayant été le fruit de deux âmes-sœurs qui s'aimaient éperdument. Sauf qu'il n'y avait pas le moindre amour entre eux... C'était à se demander s'ils n'étaient pas de parfaits étrangers. Et pourtant, le mariage eut lieu avant la fin de cette année 1995. Son père y avait été contraint. Il avait été obligé de l'accepter pour ne pas ruiner son image public. Obligé de le reconnaître et de s'unir auprès de cette femme afin de ne pas déshonorer sa famille. Clairement, Hatano Kôji ne se comporta jamais comme un père avec lui. C'était à la limite du possible… Quant à sa mère, l'histoire était tout autre. Quand bien même s'était-elle servie de cette grossesse afin de s'élever dans la société, elle ne manqua jamais à son rôle auprès de Yûji. Elle n'avait que ça à faire après tout. Maintenir sa ligne, son corps de rêve, resplendir devant les caméras et avoir l'air heureuse. C'était le prix à payer pour vivre aux côtés d'une star du ballon rond, et qui ne se gênait guère pour aller voir ailleurs. Mais quelle importance, puisqu'elle avait tout le confort dont elle avait toujours rêvé ?
- 2001 à 2006 -
Yûji avait six ans et il était insouciant. Il cherchait à attirer l'attention de son père. Il ne comprenait pas ce rejet constant lorsqu'il s'évertuait à l'approcher… Alors, il se mit en tête de devenir comme lui et faire sa fierté ! Ce qui fonctionna, bien étrangement. Ce fut leur seul point en commun. Le seul point d'encrage. Son père était devenu l’entraîneur de l'équipe d'Osaka. Parce qu'il commençait enfin à s'attacher à son fils, il voulu faire de lui le prochain Ronaldo. Mais les choses ne se passèrent pas comme prévu. Car à onze ans, Yûji supporta sa première défaite en tournois junior, ce qui marqua sa descente aux enfers. Oui, car la pression se révéla de plus en plus rude et impartiale. Et les encouragements devinrent peu à peu des injures. Au quotidien, il encaissa sans rien dire...
- 2009 -
Il était dans la fleur de l'adolescence. Et pourtant, son père trouvait toujours le moyen de le rabaisser dans les moments les plus cruciaux. Il se démena alors plus qu'un autre à donner de son meilleur, alliant études et entraînements jusque tard au soir, parfois même juste pour éviter de croiser son paternel à la maison. Mais l'accident eut lieu durant une rencontre qui se voulait pourtant amicale… Oui, mais pas sur le terrain. Et les hostilités avaient commencé avant même que le match ne débute. Sauf qu'au bout de la première demi-heure, Yûji se mangea un tacle décisif qui l'immobilisa net en plein milieu du match. Il avait souffert comme jamais auparavant. Une douleur poignante et insoutenable. Il avait hurlé jusqu'à son lit d'hôpital... Et tout cela sous le nez des journalistes et de son père qui jura au scandale… Au bout du compte, Yûji se retrouva avec une importante fracture au tibia et du péroné qui eurent pour conséquence le port d'un plâtre durant plusieurs longs mois, ainsi qu'un moral rendu à zéro. Cet accident lui avait fait prendre conscience qu'il ne voulait plus jouer au foot. Non, il ne tenait réellement plus à le faire. Il abandonnait cette idée folle malgré l'acharnement et les attentes de son père. C'était fini. Il ne ferait plus le moindre sacrifice. En faisait-il pour le rendre heureux ? Pas depuis des années. Pas même depuis sa naissance…
- 2010 -
C'est la séparation. Ses parents mettent enfin un terme à leur relation désastreuse au moment où il reprend l'entière possession de sa jambe. Il n'en portera pas de séquelles lourdes. Même si les médecins lui disent de faire attention, Yûji tient à rester actif et il poursuit ses entraînements matinaux pour réhabituer ses muscles et son corps tout entier. Il a lâché ses envies de carrière dans le football mais ne démord pas complètement, car ce sport l'a accompagné depuis son enfance. Suite au divorce, sa mère et lui se sont installés en Corée-du-Sud pour repartir d'un nouveau pied. Là avait été l'excuse officielle, mais en réalité, cette dernière s'était tout simplement trouvée un nouveau pigeon avec lequel faire sa vie… Et cette nouvelle relation n'eut aucun mal à se concrétiser - malgré leur passé médiatique et les motivations de cette dernière - son nouveau petit-ami ne sembla pas le prendre en rigueur. Mais peut-être n'était-il au courant de rien ? A ce moment-là, Yûji non plus ne savait pas encore tout. Sa mère était encore à ses yeux, la seule personne qui comptait vraiment et à laquelle il se raccrochait.
Même s'il ne parlait pas un traître mot coréen, il fit de son mieux pour s'intégrer rapidement dans ce nouveau lycée. Il parvint même à se faire de précieux amis grâce à son anglais scolaire et à sa bonne volonté. Ses amis lui montrèrent une toute autre façon de communiquer. Le langage universel par excellence : la danse. Ce fut alors le déclic. Une révélation. Une surprise pour tout le monde, mais surtout pour Yûji. Il ne se serait jamais naturellement cru doué dans ce domaine ! Et bien qu'il n'eut jamais pris un seul cours de sa vie, le japonais parvint en l'espace d'un mois à apprendre l'intégralité des chorégraphies sur lesquels travaillaient ses amis au club de danse. Qui plus est, il mémorisa les pas avec une facilité tellement déconcertante qu'il fut choisi pour représenter leur école – avec quelques autres des meilleurs éléments – à une compétition de danse inter-scolaires. C'est de cette façon qu'il fut repéré par un agent de la YG Entertainment, l'un des colosses de l'industrie musicale sud-coréenne.
Pour lui, ce n'était pas grand-chose. Au japon, la musique n'était pas aussi médiatique. Surtout pour lui, qui n'avait grandis que dans l'univers du sport. La K-pop en revanche, était en plein extension. C'était apparemment la chance de sa vie. Un véritable honneur. Alors toute sa classe se mobilisa pour l'encourager à accepter. Ce qu'il fit, sans pour autant savoir dans quoi il s'engageait.
- 2011 -
Seize ans. Il n'avait que seize et on le comptait parmi les nouveaux prodiges de la célèbre agence. Même si cela ne faisait qu'un an qu'il avait débuté son training, on lui promettait déjà une carrière prometteuse, et ce, malgré ses nombreuses lacunes. Il n'était pas dupe. Et on ne lui avait rien caché. Jamais on ne ferait de lui un chanteur. La place qu'il occuperait était celui de danseur principal au sein d'un groupe. C'était ainsi que ça fonctionnait. Chaque membre se voyait gratifié d'un rôle bien spécifique. Et il n'aurait rien d'autre à faire que de danser et sourire à la caméra. Bien sûr, ça il avait toujours su faire ! Avoir l'air aimable et heureux… Il espérait cependant ne pas avoir à jouer un rôle. Cela avait suffit de quant il se pavanait auprès de son père. Pour autant, il s’entraîna dur pour améliorer son coréen et sa faculté à chanter. Il savait qu'on lui attribuerait que peu de lignes, mais il tenait à montrer ce qu'il pouvait faire. Sa voix qui plus est, n'était pas si désagréable à entendre. Et à la YG, Yûji eut le bonheur de rencontrer d'autres japonais, tout comme lui, avec lesquels il tissa naturellement des liens d'amitiés.
Les journées étaient longues et épuisantes. Mais Yûji possédait cette endurance et ce talent inexpliqué qui fascinait son entourage dès lors qu'il se mettait à danser. C'était comme si rien ni personne ne pouvait l'arrêter. Il était toujours le premier à s’entraîner et le dernier à quitter la salle. « Till the sundown » c'est ainsi qu'on le surnommait. Ou TTS. Des initiales qui allaient devenir son nom de scène.
- 2012 à maintenant -
Il s'en est passé du chemin. Il a ri. Il a pleuré. Il s'est inquiété. Et il a répété cette phrase un nombre incalculable de fois sans jamais bafouiller. « Yosha ! Je suis TTS, le main dancer des EMPTY. Yoroshiku ! » Et il ne défaillait jamais à la tâche. Son arme secrète, il le dégainait sans scrupule avec une joie de vivre inconsidéré. Parce que oui, il était fier de se tenir auprès d'eux. Il n'avait jamais été aussi heureux que depuis qu'il avait débuté. L'amour de ses fans et de ses band mates faisaient de lui un homme serein. Un homme bien dans ses baskets, et ne sachant pas toujours garder sa langue dans sa poche. « Ah.. oui aussi… Je suis le plus beau sourire du groupe. Mais ça, vous l'avez déjà remarqué ! » Et il avait toujours ce petit smile si éblouissant qui excusait la moindre de ses initiatives. S'il se le permettait de temps à autre c'était bien parce que ce n'était jamais méchant. Il n'était pas un poids pour les autres. Il était sûrement indispensable à sa manière, de part son optimiste et sa force de volonté. Il ne reculait jamais devant rien et puisait tout son courage auprès de ses amis qui étaient devenu sa seconde famille… Si ce n'est la véritable. Oui, ils étaient comme des frères. Et il était absolument capable de tout pour eux. Yûji avait pleuré au départ de Akira. Et il avait hurlé encore plus fort lorsqu'il était revenu ! Des larmes de joies et une immense délivrance. Parce que les EMPTY c'était une aventure à six ! L'instant précis où les destins s'entremêlent.
About me
Je suis...
Savadi
Je reviens ♥ Je suis motivée de ouf et je suis un HOMME (a)
Célébrité prise
- Code:
[url=http://www.shaketheworld.net/u936][b]▲[/b][/url]▼ <taken><upper>NAKAMOTO YUTA (NCT)</upper></taken> ✎ <lower>hatano yûji</lower>
Supprimez le code inutile ♥
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Re: Hatano Yûji ▬ TILL THE SUNDOWN | Lun 8 Aoû - 21:01 Citer EditerSupprimer
J'avais tellement envie de le jouer. J'ai hésité longtemps avant de faire un mec plus vieux pour mon 6ème compte. Il est trop beau ce petit bébé. Rebienvenue chez toi du coup =)
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Re: Hatano Yûji ▬ TILL THE SUNDOWN | Lun 8 Aoû - 21:44 Citer EditerSupprimer
omg savadi de retour et avec un si beau jeune homme; tu m'vends du rêve princesse
dommage qu'encore une fois je ne joue pas de fille, c'est blasant ;o;
m'en fous j'vais finir par tc une meuf vous verrez tous !
en tout cas j'veux du lien avec ton bg; parceque j'ai toujours pas de liens avec toi sur stw
bon courage pour ta fiche ma belle
dommage qu'encore une fois je ne joue pas de fille, c'est blasant ;o;
m'en fous j'vais finir par tc une meuf vous verrez tous !
en tout cas j'veux du lien avec ton bg; parceque j'ai toujours pas de liens avec toi sur stw
bon courage pour ta fiche ma belle
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Re: Hatano Yûji ▬ TILL THE SUNDOWN | Lun 8 Aoû - 22:23 Citer EditerSupprimer
SAVADI CHERIE
Recoucou par ici, excellent choix d'avatar
Bon courage pour ta fiche
Recoucou par ici, excellent choix d'avatar
Bon courage pour ta fiche
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Re: Hatano Yûji ▬ TILL THE SUNDOWN | Lun 8 Aoû - 22:51 Citer EditerSupprimer
re petit soleil
faut que je lise ta fiche mais c'est trop cool d'avoir prit le dernier (je crois?) empty
faut que je lise ta fiche mais c'est trop cool d'avoir prit le dernier (je crois?) empty
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Re: Hatano Yûji ▬ TILL THE SUNDOWN | Lun 8 Aoû - 23:02 Citer EditerSupprimer
Ilhoon ; rooh j'te comprends tellement j'ai de la chance alors !! Mais oui il est magnifique ce bébé (a) pas autant que jaehyun mais zheozqjrziqrjeir ! Merci t'es perf :blink:
Leader ; Oui édite édite mais surtout AIME-MOI
Caden ; michi avec SUGA WHAT ?!!! comme si je pouvais passer à côté de mon bias des bts sérieux tu me vends du rêve !! C'est pour qui que c'est blasant hein ? En fait vous êtes tous perfect j'hallucine michi on l'aura notre lien parce que toi et moi c'est obligé pas vrai ?
Jihoon : tragie de mon kokoro
prépare-toi à ce que je te harcèle d'un lien parce que cette fois tu n'y échapperas pas **
du love sur ta bouille d'ange
Meilua ; Reeee sauveuse de moi
& oui c'est exact ! Le groupe est enfin au complet
plein de love à toi aussi
Leader ; Oui édite édite mais surtout AIME-MOI
Caden ; michi avec SUGA WHAT ?!!! comme si je pouvais passer à côté de mon bias des bts sérieux tu me vends du rêve !! C'est pour qui que c'est blasant hein ? En fait vous êtes tous perfect j'hallucine michi on l'aura notre lien parce que toi et moi c'est obligé pas vrai ?
Jihoon : tragie de mon kokoro
prépare-toi à ce que je te harcèle d'un lien parce que cette fois tu n'y échapperas pas **
du love sur ta bouille d'ange
Meilua ; Reeee sauveuse de moi
& oui c'est exact ! Le groupe est enfin au complet
plein de love à toi aussi
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Re: Hatano Yûji ▬ TILL THE SUNDOWN | Lun 8 Aoû - 23:42 Citer EditerSupprimer
aaaaaaaaaaah en fait tu voulais revenir avec un homme c'est de ça dont tu parlais, bon alors j'espère pouvoir réavoir un lien avec toi, de toute manière, je viendrai en réclamer un avec Olympe, c'est obligé, surtout si tu es le dernier membre de EMPTY
en tout cas REBIENVENUE savadi et HAVE FUN avec ce personnage
en tout cas REBIENVENUE savadi et HAVE FUN avec ce personnage
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Re: Hatano Yûji ▬ TILL THE SUNDOWN | Lun 8 Aoû - 23:43 Citer EditerSupprimer
YUUUUUUUUUUUUJIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII
T'ES BEAU T'ES SWAG T'ES COOL (et t'es pas plus grand que moi, hyung est content )
SOIS GENTIL HEIN ON A ASSEZ DE RELOUS DANS LE GROUPE TMTC :((((
Je suis trop la joie que notre TTS soit enfin là ptn
#HOMOSEXUALEMPTY
T'ES BEAU T'ES SWAG T'ES COOL (et t'es pas plus grand que moi, hyung est content )
SOIS GENTIL HEIN ON A ASSEZ DE RELOUS DANS LE GROUPE TMTC :((((
Je suis trop la joie que notre TTS soit enfin là ptn
#HOMOSEXUALEMPTY
Invité
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Re: Hatano Yûji ▬ TILL THE SUNDOWN | Mar 9 Aoû - 11:33 Citer EditerSupprimer
YUTAAAAAAAAAAAA
/me est dcd
ET SAVADIIIIIIIII j'suis trop contente que tu sois déjà de retour par contre dasom va me manquer et du coup en dédommagement je réclame un lien avec ton gars ok ? :bago: bon courage pour ta fiche et tout
/me est dcd
ET SAVADIIIIIIIII j'suis trop contente que tu sois déjà de retour par contre dasom va me manquer et du coup en dédommagement je réclame un lien avec ton gars ok ? :bago: bon courage pour ta fiche et tout
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