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hideki noriko ××× here i am, fuck you like a hurricaine
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hideki noriko ××× here i am, fuck you like a hurricaine | Mar 16 Aoû 2016 - 21:45 Citer EditerSupprimer
nom : Hideki, like the best bogoss of the university (and the world), et like le dieu du j-rock (dis-moi pas qu’tu connais pas j’te dévisse la teuté). prénom : Noriko, mais appelle-moi Nono. âge : 21 ans ! majeure everywhere bitch !. date et lieu de naissance : 8 février 1995, Tokyyoooo . origines : Nipponne. nationalité : Nipponne too. cursus universitaire : 4ème année (astro)physique majeur, théologie mineure. métier : no need, on verra. orientation sexuelle : on s’en bat les steaks de l’enveloppe charnelle les enfants. Queer. classe sociale : RICHE !!! merci Secret Story. code du règlement : un pote extraterrestre à moi wesh. tu veux t'investir ? back to black
Pour sûr, tu te souviens forcément de moi. Soit parce que tu m’as connue, soit parce que tu m’as croisée, soit parce que tu as tout simplement maté Secret Story Korea l’année dernière. Et ça t’as peut-être agacé de voir une nipponne gagner d’ailleurs. Enfin bref. Par contre, ce que tu sais uniquement si tu me connais un minimum, c’est que j’ai disparu de la circulation pendant des mois. Tu veux savoir pourquoi ?
2015 Une année de pure folie. Je m’y étais pas attendue, honnêtement. J’ai détesté la Corée du Sud d’office. Après ma foi, c’était peut-être juste par principe, mais c’est clairement les gens que j’y ai rencontré qui y ont fait tout le taff. Mon bro’, Kouji, déjà le retrouver lui c’était le pied. On a presque eu une relation frère-sœur normale (pour des Hideki), enfin ! Sorties, soirées, engueulades et réconciliations, parfait quoi. C’était pour ça que j’étais venue, et c’est presque pour ça que je me suis pas enfuie au bout d’un mois. L’autre qui a bien fait le taff, il faut rendre à César ce qui est à César, c’est Jaxson. Une réminiscence de ma vie japonaise dans ce nouvel univers. Un pote, un sex-friend, maybe le type avec qui je me marierai quand on aura tous les deux la flemme de voler de lits en lits. Entre nous ça a toujours coulé de source, même si c’était l’amour vache. Et puis j’ai retrouvé Su Nah et Nora, deux potes de plus ou moins longue date. Mes meilleures amies féminines. Enfin même si la situation partait souvent en galipettes avec la belle Nanah. Nan, mais pire que ça je ne les ai pas que retrouvé, je me suis retrouvée dans la même fraternité que les deux miss ! Chez les pyobeoms. C’était sympa chez les roses. J’y ai même eu un copain qui a duré plus d’une nuit wahou !! Comme quoi c’est un bon Ji Hoon, je suis contente qu’il soit aussi proche de mon bro’, même si entre nous ça s’est un peu froissé quand j’ai quitté les roses. Oué j’ai quitté les roses ! Because je pouvais être dans la même frat’ que mon frère ptn !! enfin deux secondes, j’ai d’autres personnes dont je dois parler avant. Mmh… Keleaaaaaa, la gonz’ de mon frère. Une horrible garce qui peut crever la bouche ouverte. Enfin presque. Après notre participation à Secret Story, j’avoue que je l’apprécie plus. Peut-être que je l’aime bien maintenant que je ne l’ai pas vue depuis 6 mois. On verra bien ! A Secret Story j’avais eu l’occasion de me rapprocher de la belle Reeva, dont j’ai appris le décès. Eurk. Parlons d’autres choses. Des autres best de la Yonsei ! Moeko, déesse vivante mais chut faut pas lui dire que je la vénère. Je vénère personne moi officiellement. Enfin c’était surtout une très bonne amie chez les Jeongals, une fille comme moi, qui pense autrement et qui se sent seule parfois. Chusu ! Faut pas que je l’oublie lui ! Un taré. Mais un taré dans le bon sens tu vois. Le genre qui parle plus que moi. Je l’adore ce type. Même s’il me gavait vite parfois j’avoue. Et puis Li Wei, l’autre folle des Jeongals, mon binôme de connerie. Je me souviens d’une ballade en quad épique avec elle, pendant le voyage à Las Vegas de la fraternité. Mad Max le retour. D’ailleurs j’ai couché avec une amie à elle, Byeol, sans le savoir, que c’était sa meilleure amie. Enfin bref, c’était drôle. Et Sora, la belle Sora, chanteuse et styliste au Nymphéa, le bar burlesque où je maquillais et coiffais les filles. Je n’ai jamais réussi à coucher avec elle au final. Dommage. Enfin, c’était surtout son talent qui me fascinait chez elle au fond. Et puis voilà… Il y avait Kazuya aussi. Le retour du beau brun ténébreux. J’en ai été autant ravie qu’inquiète. Mon frère, mon amour, et ma Némésis. Les choses ont tournées exactement comme elles le devaient, mais pas forcément comme je le voulais. Enfin peut-être que si. Mais ce baiser ne fit que brouiller d’avantage notre relation. J’en suis même venue à me faire du mal, physiquement, à cause de cette histoire de merde. Merci Su Nah pour le coup de main d’ailleurs. La gerbe et le sang, ça pue grave mélangé. Honnêtement, ça a été l’amorce de l’idée de mon départ. Mais pas le moteur pour autant. Enfin ça, ça vient. Aller, le meilleur et le pire pour la fin… LE GROUPE ! Les Voodoos Childs. Ça me donne autant envie de sourire que de pleurer que de repenser à cette histoire, alors en vrai je m’en abstiens d’y penser un maximum. Mais je pense quand même à In Ha, le chanteur, qui s’avéra être un amour virtuel d’adolescence. Mais surtout un des meilleurs types du monde. De ceux pour qui je pouvais sortir griffes, dents et poings pour le protéger. Comme pour Miharu, notre guitariste. Et mon meilleur ami. Plus en quelque sorte, même si je ne l’ai jamais aimé avec un grand A. Une sorte d’âme sœur. Il était presque autant le centre de mon univers que l’est mon frère. Et puis voilà. Tout s’est brusquement arrêter. L’épée de Damoclès qu’il promenait depuis sa naissance a fini par tomber. Je ne me souviens plus trop de ce qui s’est passé entre sa mort et mon arrivée à Amsterdam. C’était comme ce jour-là avec Sunah, mais sur une semaine. Des phases de catatonies et des phases d’hystérie, des larmes, de la gerbe et de l’alcool. Des absences et des blackouts. Alors, dans un bref instant de ce qu’on pourrait appeler « lucidité » je me suis cassée. En fait, je me tâtais pour sauter par la fenêtre. Du 5ème, je ne devrais pas trop me rater. Et puis j’ai vu un avion. Alors j’ai changé d’idée. J’ai pris mes tunes, un cuir, et j’ai pris le premier vol sur lequel j’ai pu m’enregistrer. Au pif. Oué voilà, j’me suis cassée. Loin. Et je ne l’ai dit qu’à Kouji, et seulement à lui, mais qu’après avoir quitté le ciel asiatique. J’ai fuis.
Juillet 2016 Mes maigres bras, couverts de nouveaux tatouages, enroulés autour des siens immaculés, je fixe mon téléphone, l’air triste. Elle sourit doucement, et me caresse les cheveux, attendant patiemment que je me décide à lui traduire le sms qui me mine tant. Je reste encore immobile, profitant dans la chaleur qu’elle dégage pour me réconforter. Mes yeux glissent vers les eaux grises de l’Amstel. Je soupire. - Mon frère va se marier. Enfin sa copine va faire en sorte que. Et elle m’invite. Je m’exprime dans un néerlandais encore perturbé par des accents japonais et coréens, mais ma grammaire, pour l’attention que j’y prête, est quasi impeccable. Elle, elle ne dit rien, elle attend, comme d’habitude. C’est un truc magique chez elle, cette façon de te faire parler sans rien faire, sans rien demander. Tu sais que vu la taille de son cœur, peu importe la chute que tu t’apprêtes à faire, il sera toujours apte à te rattraper. Alors je me lève et vais appuyer mes fesses contre la rambarde de la péniche qui nous sert d’habitation. De sanctuaire. Je perds sa chaleur, et malgré l’intensité du soleil de juillet, je frissonne. Je la regarde, et elle en fait de même, toujours la même tendresse sur le visage. Elle m’écoute. Toujours. - Je veux pas y retourner. Je lâche ça brutalement, le visage fermé. Alors elle me demande pourquoi. Mes traits se crispent un peu. J’ai envie de me taire. Ou d’hurler. Au choix. Je détourne le regard, le fixe sur l’eau acier, pose mes avant-bras sur le garde-corps. Je sais qu’elle me regarde, et qu’elle m’écoute. Alors bon, je parle. - J’ai peur que ça recommence. Une fois ça m’a suffi. Il me manque tellement tu sais… Et puis quoi… je me suis cassée comme une voleuse. C’est un délit de fuite émotionnelle. Je les ai tous laissé tomber. Surtout In Ha. C’est la honte en fait. J’vais rester là. Je suis bien là. Weed & Red Light District, it seems like to heaven to me. Enfin, même sans ça, je suis mieux ici que là-bas. Elle me fait remarquer que je suis quand même là dans le cadre de mes études, et qu’il n’a jamais été convenu que je reste indéfiniment aux Pays-Bas. Jusqu’à leur fin d’année scolaire en fait. Jusqu’à la « rentrée » d’été en Corée. Je pouffe tristement. J’omettais volontairement ce détail depuis des mois. Depuis que j’avais arrangé cet « échange culturel » avec la Yonsei en fait. - Avec les tunes que j’ai, je peux vivre dans une villa avec gens de maison et sans bosser jusqu’à la fin de mes jours en Afrique. Ou en Amérique du Sud. J’vais faire ça plutôt je crois. Je reverse la tête en arrière et ferme les yeux. J’écoute l’eau heurter la coque de la péniche, le vent, les musique qu’il porte jusqu’à nous, les sonnettes des vélos, les bruits de la ville, et j’attends un signe de l’univers. Du tissu murmure derrière moi et l’instant d’après je sens ses bras m’entourer. Elle garde le silence un instant et puis me demande si j’aime mon frère. Je me retourne brusquement, plus qu’étonnée par sa question. Vexée. Choquée. Blessée. J’ai presque envie de lui en coller une. Et puis son regard ferme mon bec protestataire. Je n’avais pas compris la question. Alors je lui réponds. Oui. Je l’aime plus que moi-même. Elle hausse alors les épaules d’un air entendu, et me caresse la joue avant de se faufiler à l’intérieur du bateau. Sa voix s’élève à nouveau. Sushi ou kebab ? SUSHIS ESPECE DE NAZE ! D’où tu me fais bouffer des kebabs ! Je saute à la suite de l’empoisonneuse, histoire de lui régler son compte, un grand sourire enfantin étalé sur la face. En vrai je kiff les kebabs. Mais les kebabs, c’est comme ma belle-sœur, je les aime pas par principe. Dès ce moment, le décompte pour mon retour en Corée s’active officiellement. Et j’allais profiter pleinement de mes derniers jours d’été et de vacances à Amsterdam, mon nouveau paradis. Avec mon nouvel ange. Et tous ces nouveaux trucs dans ma vie que j’adore, comme cette péniche bancale qui m’a faite vomir pendant des jours avant que je ne m’y habitue. Tous ces trucs, ces habitudes, cette langue, ces gens, ces paysages. Tout cela aussi allait disparaitre. Au final, c’est aussi pour ça que je ne veux pas partir. Que je ne veux plus bouger et vivre dans un monde en suspens. Je ne veux plus que les gens disparaissent.
lisez l'histoire bande de bitches !
enfin ceux avec qui j'avais des liens, les autres z'êtes pas obligés (j'y parle pas de vous )
enfin ceux avec qui j'avais des liens, les autres z'êtes pas obligés (j'y parle pas de vous )
Hideki Noriko
did you miss me suckers?
OPEN HANDED (★★★★★) | FLIGHTY ASS (★★★★✰) | MASTER MIND (★★★★✰) | DRAMA QUEEN (★★✰✰✰) | WILD & FREE (★★★★★) |
EASY TO BLAST (★★★✰✰) | TEDDY BEAR (★★★★★) | DREADFUL SPEECH (★★★✰✰) | GOLDEN GIRL (★★★✰✰) | LOCKED HEART (★★★★✰) |
Rumour has it...
Survole l'avatar, petit coquin. | My character
Mais plus douce, ou pas. Cela dépend du sujet. J’ai toujours été assez pudique émotionnellement, mais là c’est pire qu’avant, excepté vis-à-vis de quelques rares personnes. Enfin vis-à-vis d’Elle en fait. Tous les autres, y compris mon frère, il faut que je les revoie, en vrai. Que je le redécouvre et inversement. Bref, du coup je peux vite devenir hardcore si tu pousses sur le chemin des confessions sentimentales. Paradoxalement je suis aussi devenue plus méchante qu’avant. Mais c’est juste parce que avant j’avais peur de rien. Maintenant j’ai peur de perdre les gens que j’aime. En fait c’est pour ça que je me suis cassée. Ah et devine quoi !! Je dessine ! Oué c’est nouveau ça vient de sortir et alors ?! C’est Elle ça aussi. Mais mec, je DESSINE stp ! J’vais enfin pouvoir me dessiner des tatouages moins moches. Ou pas en fait. |
This is my story
citation de ton choix
- "the beginning of the end - CLICK:
1995 Je suis née. Hé hé. Faut bien un début, hein. Je suis la deuxième Hideki, mais je suis née quand même 7 ans après mon frangin. Ça fait beaucoup. Des fois j’ai l’impression d’avoir deux pères. Enfin non. Vu le caractère de mon père, j’ai plus souvent l’impression d’avoir deux frères. Deux vieux frères. Anyway.
1996-2000 Mes quatre premières années furent des plus atypiques. Grandir dans un bus de tournée de rockeur, ce n’est franchement pas commun. Mais c’est plutôt cool. Enfin du très très peu que je me souvienne. D’autant plus qu’étant la seule petite fille, j’étais forcément la coqueluche ou la mascotte (as you want) du groupe. Et j’étais déjà absolument pourrie gâtée. Plus que plus tard.
2000-2011 Tout cela se termina brusquement avec le divorce de mes parents. Bien trop petite pour choisir, je quittais la joyeuse bande (dont mon grand frère) avec ma mère, pour retourner à une vie plus… lambda. Quoiqu’elle ne l’était toujours pas vraiment. Même si elle était bien plus « sérieuse » o « austère » que mon père, ma mère était aussi plutôt allumée dans son genre. Nous aurions vécus aux USA à l’époque, je me serais retrouvée dans tous les concours de mini-miss si vous voyez le genre. Je n’avais pas trop d’avis sur la question à l’époque. Cela ne me dérangeait pas vraiment. Maintenant je trouve ça complétement dingue, mais je n’en ai pas vraiment souffert. C’est plus mon entourage qui en souffre maintenant, de mes côtés petite garce. Enfin bref, je me retrouvai dans une vraie école, et dans une vie plus normale. Plus chiante aussi, il faut se le dire. Arrivée à 12 ans, je choisi de passer plus de temps avec mon père, sans vivre pour autant avec lui, puisque j’avais mes propres attaches, mes propres amis, sur Tokyo. Mais je passai la plupart de mes vacances (et même non-vacances parfois) avec le groupe, y apprenant la basse, la batterie, et y réapprenant à vivre de façon plus rock’n roll.
2011-2013 Et puis ce fut le drame ! La crise d’ado ! Un peu tardive d’ailleurs. A 16 ans, mes parents pensaient être passés entre les gouttes tu sais. Et vlam ! Dans les dents. Cheveux décolorés, rajouts colorés, peau agressée aux UVs, maquillage blanc, faux ongles, vêtements flashy, et les inoubliables guêtres en moumoute, à mes heures perdues, j’étais devenue une gyaru. Je trainais sur Harajuku et les bas-fonds de Tokyo avec une bande fort peu recommandable. C’est à cette époque que je me fis mes premiers tatouages. Cette période commença sans réelle raison, sans doute juste un rejet de tout, du départ de mon frère, de « l’absence de mon père », des lubies de ma mère, bref, j’avais juste envie de les faire chier moi aussi. Il n’y avait pas de raison que ce soit à sens unique. Et tout ça continua deux ans parce que… parce que je m’y sentais bien dans ce monde en fait. Si les gyaru sont maintenant plus un mouvement de mode, que les bandes de voyous de l’époque, nous faisions partis des durs, des vrais. Que des personnalités fortes (bruyantes) et vraies, donc au final, la bande était devenue ma nouvelle famille.
2013-2015 Mais tout ça se termina brusquement. Le jour où j’ai réalisé qu’après le lycée, je pourrais intégrer l’université où s’était lâchement tiré mon frère. Du coup je me suis mise à bosser (j’ai arrêté les UVs) et je me suis bâtie un joli petit dossier, en tout cas côté notes, parce que les appréciations ce n’étaient pas trop ça. Tout ça, plus une petite crise bien sentie à la Nono, et ma mère me laissa m’envoler pour la Corée du Sud. Où je faillis faire demi-tour en arrivant d’ailleurs. Tout me parut bien fade tout à coup. Mais bon, je voulais retrouver mon frère, alors je fis quand même ma première année à Yonseï. J’y découvris finalement pleins de personnalité hautes en couleurs, et ma nouvelle famille.
Pour sûr, tu te souviens forcément de moi. Soit parce que tu m’as connue, soit parce que tu m’as croisée, soit parce que tu as tout simplement maté Secret Story Korea l’année dernière. Et ça t’as peut-être agacé de voir une nipponne gagner d’ailleurs. Enfin bref. Par contre, ce que tu sais uniquement si tu me connais un minimum, c’est que j’ai disparu de la circulation pendant des mois. Tu veux savoir pourquoi ?
2015 Une année de pure folie. Je m’y étais pas attendue, honnêtement. J’ai détesté la Corée du Sud d’office. Après ma foi, c’était peut-être juste par principe, mais c’est clairement les gens que j’y ai rencontré qui y ont fait tout le taff. Mon bro’, Kouji, déjà le retrouver lui c’était le pied. On a presque eu une relation frère-sœur normale (pour des Hideki), enfin ! Sorties, soirées, engueulades et réconciliations, parfait quoi. C’était pour ça que j’étais venue, et c’est presque pour ça que je me suis pas enfuie au bout d’un mois. L’autre qui a bien fait le taff, il faut rendre à César ce qui est à César, c’est Jaxson. Une réminiscence de ma vie japonaise dans ce nouvel univers. Un pote, un sex-friend, maybe le type avec qui je me marierai quand on aura tous les deux la flemme de voler de lits en lits. Entre nous ça a toujours coulé de source, même si c’était l’amour vache. Et puis j’ai retrouvé Su Nah et Nora, deux potes de plus ou moins longue date. Mes meilleures amies féminines. Enfin même si la situation partait souvent en galipettes avec la belle Nanah. Nan, mais pire que ça je ne les ai pas que retrouvé, je me suis retrouvée dans la même fraternité que les deux miss ! Chez les pyobeoms. C’était sympa chez les roses. J’y ai même eu un copain qui a duré plus d’une nuit wahou !! Comme quoi c’est un bon Ji Hoon, je suis contente qu’il soit aussi proche de mon bro’, même si entre nous ça s’est un peu froissé quand j’ai quitté les roses. Oué j’ai quitté les roses ! Because je pouvais être dans la même frat’ que mon frère ptn !! enfin deux secondes, j’ai d’autres personnes dont je dois parler avant. Mmh… Keleaaaaaa, la gonz’ de mon frère. Une horrible garce qui peut crever la bouche ouverte. Enfin presque. Après notre participation à Secret Story, j’avoue que je l’apprécie plus. Peut-être que je l’aime bien maintenant que je ne l’ai pas vue depuis 6 mois. On verra bien ! A Secret Story j’avais eu l’occasion de me rapprocher de la belle Reeva, dont j’ai appris le décès. Eurk. Parlons d’autres choses. Des autres best de la Yonsei ! Moeko, déesse vivante mais chut faut pas lui dire que je la vénère. Je vénère personne moi officiellement. Enfin c’était surtout une très bonne amie chez les Jeongals, une fille comme moi, qui pense autrement et qui se sent seule parfois. Chusu ! Faut pas que je l’oublie lui ! Un taré. Mais un taré dans le bon sens tu vois. Le genre qui parle plus que moi. Je l’adore ce type. Même s’il me gavait vite parfois j’avoue. Et puis Li Wei, l’autre folle des Jeongals, mon binôme de connerie. Je me souviens d’une ballade en quad épique avec elle, pendant le voyage à Las Vegas de la fraternité. Mad Max le retour. D’ailleurs j’ai couché avec une amie à elle, Byeol, sans le savoir, que c’était sa meilleure amie. Enfin bref, c’était drôle. Et Sora, la belle Sora, chanteuse et styliste au Nymphéa, le bar burlesque où je maquillais et coiffais les filles. Je n’ai jamais réussi à coucher avec elle au final. Dommage. Enfin, c’était surtout son talent qui me fascinait chez elle au fond. Et puis voilà… Il y avait Kazuya aussi. Le retour du beau brun ténébreux. J’en ai été autant ravie qu’inquiète. Mon frère, mon amour, et ma Némésis. Les choses ont tournées exactement comme elles le devaient, mais pas forcément comme je le voulais. Enfin peut-être que si. Mais ce baiser ne fit que brouiller d’avantage notre relation. J’en suis même venue à me faire du mal, physiquement, à cause de cette histoire de merde. Merci Su Nah pour le coup de main d’ailleurs. La gerbe et le sang, ça pue grave mélangé. Honnêtement, ça a été l’amorce de l’idée de mon départ. Mais pas le moteur pour autant. Enfin ça, ça vient. Aller, le meilleur et le pire pour la fin… LE GROUPE ! Les Voodoos Childs. Ça me donne autant envie de sourire que de pleurer que de repenser à cette histoire, alors en vrai je m’en abstiens d’y penser un maximum. Mais je pense quand même à In Ha, le chanteur, qui s’avéra être un amour virtuel d’adolescence. Mais surtout un des meilleurs types du monde. De ceux pour qui je pouvais sortir griffes, dents et poings pour le protéger. Comme pour Miharu, notre guitariste. Et mon meilleur ami. Plus en quelque sorte, même si je ne l’ai jamais aimé avec un grand A. Une sorte d’âme sœur. Il était presque autant le centre de mon univers que l’est mon frère. Et puis voilà. Tout s’est brusquement arrêter. L’épée de Damoclès qu’il promenait depuis sa naissance a fini par tomber. Je ne me souviens plus trop de ce qui s’est passé entre sa mort et mon arrivée à Amsterdam. C’était comme ce jour-là avec Sunah, mais sur une semaine. Des phases de catatonies et des phases d’hystérie, des larmes, de la gerbe et de l’alcool. Des absences et des blackouts. Alors, dans un bref instant de ce qu’on pourrait appeler « lucidité » je me suis cassée. En fait, je me tâtais pour sauter par la fenêtre. Du 5ème, je ne devrais pas trop me rater. Et puis j’ai vu un avion. Alors j’ai changé d’idée. J’ai pris mes tunes, un cuir, et j’ai pris le premier vol sur lequel j’ai pu m’enregistrer. Au pif. Oué voilà, j’me suis cassée. Loin. Et je ne l’ai dit qu’à Kouji, et seulement à lui, mais qu’après avoir quitté le ciel asiatique. J’ai fuis.
Juillet 2016 Mes maigres bras, couverts de nouveaux tatouages, enroulés autour des siens immaculés, je fixe mon téléphone, l’air triste. Elle sourit doucement, et me caresse les cheveux, attendant patiemment que je me décide à lui traduire le sms qui me mine tant. Je reste encore immobile, profitant dans la chaleur qu’elle dégage pour me réconforter. Mes yeux glissent vers les eaux grises de l’Amstel. Je soupire. - Mon frère va se marier. Enfin sa copine va faire en sorte que. Et elle m’invite. Je m’exprime dans un néerlandais encore perturbé par des accents japonais et coréens, mais ma grammaire, pour l’attention que j’y prête, est quasi impeccable. Elle, elle ne dit rien, elle attend, comme d’habitude. C’est un truc magique chez elle, cette façon de te faire parler sans rien faire, sans rien demander. Tu sais que vu la taille de son cœur, peu importe la chute que tu t’apprêtes à faire, il sera toujours apte à te rattraper. Alors je me lève et vais appuyer mes fesses contre la rambarde de la péniche qui nous sert d’habitation. De sanctuaire. Je perds sa chaleur, et malgré l’intensité du soleil de juillet, je frissonne. Je la regarde, et elle en fait de même, toujours la même tendresse sur le visage. Elle m’écoute. Toujours. - Je veux pas y retourner. Je lâche ça brutalement, le visage fermé. Alors elle me demande pourquoi. Mes traits se crispent un peu. J’ai envie de me taire. Ou d’hurler. Au choix. Je détourne le regard, le fixe sur l’eau acier, pose mes avant-bras sur le garde-corps. Je sais qu’elle me regarde, et qu’elle m’écoute. Alors bon, je parle. - J’ai peur que ça recommence. Une fois ça m’a suffi. Il me manque tellement tu sais… Et puis quoi… je me suis cassée comme une voleuse. C’est un délit de fuite émotionnelle. Je les ai tous laissé tomber. Surtout In Ha. C’est la honte en fait. J’vais rester là. Je suis bien là. Weed & Red Light District, it seems like to heaven to me. Enfin, même sans ça, je suis mieux ici que là-bas. Elle me fait remarquer que je suis quand même là dans le cadre de mes études, et qu’il n’a jamais été convenu que je reste indéfiniment aux Pays-Bas. Jusqu’à leur fin d’année scolaire en fait. Jusqu’à la « rentrée » d’été en Corée. Je pouffe tristement. J’omettais volontairement ce détail depuis des mois. Depuis que j’avais arrangé cet « échange culturel » avec la Yonsei en fait. - Avec les tunes que j’ai, je peux vivre dans une villa avec gens de maison et sans bosser jusqu’à la fin de mes jours en Afrique. Ou en Amérique du Sud. J’vais faire ça plutôt je crois. Je reverse la tête en arrière et ferme les yeux. J’écoute l’eau heurter la coque de la péniche, le vent, les musique qu’il porte jusqu’à nous, les sonnettes des vélos, les bruits de la ville, et j’attends un signe de l’univers. Du tissu murmure derrière moi et l’instant d’après je sens ses bras m’entourer. Elle garde le silence un instant et puis me demande si j’aime mon frère. Je me retourne brusquement, plus qu’étonnée par sa question. Vexée. Choquée. Blessée. J’ai presque envie de lui en coller une. Et puis son regard ferme mon bec protestataire. Je n’avais pas compris la question. Alors je lui réponds. Oui. Je l’aime plus que moi-même. Elle hausse alors les épaules d’un air entendu, et me caresse la joue avant de se faufiler à l’intérieur du bateau. Sa voix s’élève à nouveau. Sushi ou kebab ? SUSHIS ESPECE DE NAZE ! D’où tu me fais bouffer des kebabs ! Je saute à la suite de l’empoisonneuse, histoire de lui régler son compte, un grand sourire enfantin étalé sur la face. En vrai je kiff les kebabs. Mais les kebabs, c’est comme ma belle-sœur, je les aime pas par principe. Dès ce moment, le décompte pour mon retour en Corée s’active officiellement. Et j’allais profiter pleinement de mes derniers jours d’été et de vacances à Amsterdam, mon nouveau paradis. Avec mon nouvel ange. Et tous ces nouveaux trucs dans ma vie que j’adore, comme cette péniche bancale qui m’a faite vomir pendant des jours avant que je ne m’y habitue. Tous ces trucs, ces habitudes, cette langue, ces gens, ces paysages. Tout cela aussi allait disparaitre. Au final, c’est aussi pour ça que je ne veux pas partir. Que je ne veux plus bouger et vivre dans un monde en suspens. Je ne veux plus que les gens disparaissent.
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charlie
I’M BACK BITCH ! :emo :
Enfin j’étais déjà back, mais là c’est avec the only one Nono kouwa ! :emo :
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PV pris
- Code:
[url=http://URL DU PROFIL][b]▲[/b][/url][url=http://URLDELAFICHEPV]▼[/url] <taken><upper>ERIKO NAKAO</upper></taken> ✎ <lower>hideki noriko</lower>
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Re: hideki noriko ××× here i am, fuck you like a hurricaine | Mar 16 Aoû 2016 - 21:53 Citer EditerSupprimer
Toi par ici ? Mais que de souvenir
Welcome back
Welcome back
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Re: hideki noriko ××× here i am, fuck you like a hurricaine | Mar 16 Aoû 2016 - 21:54 Citer EditerSupprimer
mais elle le fait expres de pas prevenir les gens ho
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Re: hideki noriko ××× here i am, fuck you like a hurricaine | Mar 16 Aoû 2016 - 21:55 Citer EditerSupprimer
OH YEAH NORIKO
Faudra reprendre notre lien alors hein dis dis
Recoucou par ici et courage pour ta fiche
Faudra reprendre notre lien alors hein dis dis
Recoucou par ici et courage pour ta fiche
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Re: hideki noriko ××× here i am, fuck you like a hurricaine | Mar 16 Aoû 2016 - 21:56 Citer EditerSupprimer
*pousse tout le monde* HE TU PREVIENS PAS TON DEMI FRANGIN QUE TU POSTES ? MALOTRUE
*Serre fort sa soeur en lui ebourrifant les cheveux
*Serre fort sa soeur en lui ebourrifant les cheveux
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Re: hideki noriko ××× here i am, fuck you like a hurricaine | Mar 16 Aoû 2016 - 22:02 Citer EditerSupprimer
EXACTEMENT JE FAIS EXPRES WESH !!!
tkt sunah j'ai RIEN oublié
avec plaiiiiisir hoonie
toi chut là avec ton malabarje parle de ta meuf
:blink: :blink: :blink: :blink:
tkt sunah j'ai RIEN oublié
avec plaiiiiisir hoonie
toi chut là avec ton malabar
:blink: :blink: :blink: :blink:
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Re: hideki noriko ××× here i am, fuck you like a hurricaine | Mar 16 Aoû 2016 - 22:06 Citer EditerSupprimer
J'aime ton personnage! Il à l'air intéressant!
Bienvenue et fighting pour ta fiche!
Bienvenue et fighting pour ta fiche!
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Re: hideki noriko ××× here i am, fuck you like a hurricaine | Mar 16 Aoû 2016 - 22:06 Citer EditerSupprimer
YAAAAAAAAAAH CHARLIE PUTIN DE MERDE !!!
(ceci est de l'affection, voui voui )
Tu reviens ? Définitivement ? Elle te manquait hein la miss, la bassiste des enfers, avoue Putin, c'est la bonne nouvelle de la soirée, j'suis contente de te revoir reprendre ce rôle et revenir sur le fow Toujours le swaaaag la Noriko ~
Fiiighting pour la suite ma belle
(ceci est de l'affection, voui voui )
Tu reviens ? Définitivement ? Elle te manquait hein la miss, la bassiste des enfers, avoue Putin, c'est la bonne nouvelle de la soirée, j'suis contente de te revoir reprendre ce rôle et revenir sur le fow Toujours le swaaaag la Noriko ~
Fiiighting pour la suite ma belle
Invité
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Re: hideki noriko ××× here i am, fuck you like a hurricaine | Mar 16 Aoû 2016 - 22:30 Citer EditerSupprimer
sankyu Tae Young !!
INHAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA
wesh i'm back !!
azy toi non plus t'as pas lut la story sinon tu pleurerai ta maman
oué j'ai envie que tu pleures! niark niark /pan
INHAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA
wesh i'm back !!
azy toi non plus t'as pas lut la story sinon tu pleurerai ta maman
Invité
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Re: hideki noriko ××× here i am, fuck you like a hurricaine | Mar 16 Aoû 2016 - 22:48 Citer EditerSupprimer
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