La wonsungi reprenait petit à petit le dessus sur Liang. Avec d’aussi forts caractères, il était quasi impossible pour l’un, comme pour l’autre, de laisser l’autre avoir le dessus. Hara s’était laissé faire docilement assez longtemps et il était donc temps pour elle d’échanger les rôles. La jolie blonde l’avait alors forcé à quitter son cou pour retrouver ses lèvres, débutant ainsi un baiser rempli de fougue. Mais elle ne s’arrêta pas là. Non, Hara était plutôt du genre à rendre dingue son partenaire alors elle n’hésita pas une seconde et descendit lentement sa main vers son intimité déjà bien à l’étroit dans son jean, qu’elle sentait contre son bassin tandis que son autre main tenait toujours les cheveux du chinois. Cependant, la jeune femme dut le lâcher mais elle en profita pour regarder son torse à présent nu. Quand il se rapprocha de nouveau d’elle, Hara enroula ses jambes autour de ses hanches, ne voulant pas qu’il s’éloigne d’elle une nouvelle fois. Elle le laissa lui enlever sa chemise et son soutien-gorge qui semblaient le gêner énormément, ce qui la fit sourire. Rapidement, la wonsungi se retrouva contre le bureau et elle n’eut même pas le temps de se redresser un peu que Liang se collait à elle, capturant de nouveau ses lèvres. Hara passa ses bras dans son dos, ses doigts s’enfonçant dans sa peau. L’étudiante rompit cependant leur baiser, ses lèvres descendant le long de sa mâchoire pour déposer des baisers sur son cou puis sur son épaule avant de revenir vers les lèvres du jeune homme qu’elle effleura seulement, par pure provocation, son regard plongé dans le sien.

Un sourire en coin apparut sur le visage du chinois lorsqu’il sentit les jambes d’Hara s’enrouler autours de sa taille, la demoiselle n’avait pas trop apprécié que Liang s’éloigne l’espace de quelque seconde. Cela même si elle ne s’était pas gênée pour admirer son torse nu, il en avait fait de même avec sa poitrine. Le corps de la Wonsungi était exactement comme il l’avait imagé et le nombre de fois où il s’était surpris à fixer le corps de la demoiselle, en imaginant ce qui pouvait se cacher sous ses vêtements, on ne les comptait plus. Liang ne tarde pas à plaquer son élève des plus sexy contre le bureau, collant son torse nu contre le sien, il en mourrait d’envie. Mais Hara, même bloquer sous lui, ne lui laissa pas le loisir de faire ce qu’il voulait et lorsqu’elle rompit leur baiser, Liang grogna de mécontentement, il n’était pas d’accord, il voulait ses lèvres. Seulement, il ne put protester plus longtemps qu’un long soupir s’échappa de sa bouche lorsqu’il sentit les baisers d’Hara contre son cou, puis sa mâchoire. Liang cambra légèrement son cou en fermant les yeux, pour en profiter au maximum. Il rouvrit cependant les yeux en ne sentant qu’un simple effleurement contre ses lèvres, les yeux d’Hara étaient provoquant et la Wonsungi était très sexy comme ça. Sans prévenir, Liang attrapa la lèvre inférieure de la demoiselle entre ses dents, la mordillant légèrement, une lueur de provocation dans les yeux. Elle voulait jouer, elle allait être servie. L’une de ses mains se faufila discrètement vers le pantalon d’Hara et sans prévenir Liang commença à caresser lentement, mais avec force l’intimité d’Hara par-dessus son jean pour la faire languir. Il déposa des baisers le long du cou de la belle, mais il ne s’arrêta pas là, descendant encore plus bas, vers son sein qu’il embrassa avec douceur, pendant que sa main de libre caressait l’autre. Il voulait la rendre folle tout comme elle le rendait fou.

L’étudiante n’était vraiment pas du genre à se laisser faire et même dans une position qui ne lui laissait pas beaucoup de solutions, elle trouvait toujours le moyen pour, au moins, l’embêter un peu. Hara avait rompu leur baiser et Liang faisait déjà part de son mécontentement. Mais la wonsugi n’y prêta pas beaucoup d’attention, s’attaquant aussitôt à sa mâchoire et son cou qu’elle parsemait de baisers, continuant légèrement vers son épaule avant de revenir vers ses lèvres qu’elle frôla seulement. Elle aimait énormément le provoquer et son regard parlait pour elle. Elle voulait le faire craquer mais ce n’était pas pour maintenant, Liang en ayant décidé autrement. Il avait capturé sa lèvre inférieure entre ses dents et Hara ne cessait pas de le regarder droit dans les yeux, ses mains caressant toujours du bout des doigts son dos. Mais il avait, lui aussi, décidé de la faire craquer. Un gémissement de plaisir s’échappa de ses lèvres qu’elle mordit aussitôt. Elle ne devait pas craquer en première mais c’était plutôt mal partit pour elle. La wonsungi retenait ses gémissements mais son corps la trahissait. Elle se cambra sous les caresses de Liang et ses doigts s’enfoncèrent un peu plus dans la peau de son dos. La jolie blonde attrapa soudainement les cheveux du jeune homme pour ramener son visage vers le sien pendant qu’elle descendait l’autre. Elle faufila sa main entre le jean et le sous-vêtement de son professeur pour venir caresser son intimité, tandis que son autre main tenait toujours ses cheveux pour l’empêcher de descendre vers sa poitrine. Ses lèvres retrouvèrent rapidement le chemin vers celles du chinois.

Les gémissements étouffés de la belle Hara le faisaient sourire, c’était un son très agréable à ses oreilles.  Il sentait les doigts d’Hara s’enfoncer dans la peau de son dos au fur et à mesure de ses caresses. Liang dirigea sa bouche vers l’autre sein de Hara, déjà empoigné de sa main libre, toujours dans le but de jouer avec sa patience, il déposa des petits coups de langue sur le bout de son téton, il continua comme ça pendant un petit moment, accentuant par la même occasion ses caresses sur l’intimité de la blonde, allant un peu plus vite. Mais il craqua le premier, attrapant son sein entre ses lèvres, il mordilla doucement le bout de son sein, un sourire sur ses lèvres. Mais il dû arrêter bien vite lorsqu’on tira sur ses cheveux, ce qui lui fit lâcher un petit crie de douleur et de mécontentement. Hara voulait reprendre les rennes et elle réussissait à merveille. En l’espace de quelques secondes, Liang était passé de dominant à dominé. Il sentit la main d’Hara se faufiler jusqu’à son intimité, son boxer était devenu soudainement très gênant et il n’avait qu’une envie, le retirer. Seulement, la main d’Hara tenait toujours avec fermeté ses cheveux et lorsqu’elle posa ses lèvres sur les siennes, il ne put rien faire pour riposter, se laissant simplement aller. Gémissent pleinement contre les lèvres de la blonde, il ne se retenait pas, tant les caresses sur son intimité lui procurait du plaisir. Liang remonta légèrement sa main, stoppant ses caresses pour venir déboutonner le pantalon d’Hara et descendre la fermeture éclair afin d’avoir plus d’espace. Souriant contre les lèvres de la blonde qu’il embrassait avec fougue, il faufila sa main à l’intérieur du jean et de la culotte d’Hara, touchant son intimité du bout des doigts, il appuya légèrement sur le clitoris de la belle, commençant des mouvements de va et vient avec sa main tout en continuant de l’embrasser sauvagement, étouffant ses propres gémissement contre ses lèvres.

La wonsungi tentait tant bien que mal d’étouffer ses gémissements mais Liang savait réellement bien s’y prendre pour combler une femme, ce dont elle n’avait jamais douté. Ses doigts se resserraient de plus en plus contre le dos du jeune homme et l’étudiante enfonçait à présent ses ongles dans sa peau, se cambrant toujours sous les caresses expertes du chinois et ses jambes se resserrant elles aussi autour de sa prise. Mais il était hors de question pour Hara que Liang continue de dominer ainsi. Alors, elle l’obligea à laisser en paix sa poitrine en tirant plutôt sauvagement sur ses cheveux pour ramener son visage vers le sien et pouvoir l’embrasser, tandis que pendant ce temps, son autre main s’était faufilée entre le jean et le boxer de Liang pour caresser son intimité. L’étudiante continuait ses caresses jusqu’à ce qu’il glisse sa main dans sa culotte et touche directement son intimité. Hara fut stoppé par la surprise, décollant ses lèvres de celles de Liang, tandis qu’un gémissement, un peu plus fort que les précédents, s’échappait de sa bouche. Elle retira sa main du pantalon du jeune homme pour venir le déboutonner avec un peu de peine, ses gémissements devenant de plus en plus fréquents. Hara passa ses bras autour de lui, ses ongles glissant sur son dos en laissant une fine trace rouge. La jolie blonde était incapable de riposter et tout ce qu’elle désirait, là, tout de suite, c’était qu’il lui fasse l’amour comme jamais mais la wonsungi était bien trop fière pour lui faire une telle demande. Elle se contenta de l’embrasser, étouffant ses gémissements contre ses lèvres.

Entre Hara et lui, c’était un jeu perpétuelle pour savoir qui dominait l’autre et en ce moment, c’est avec une certaine fierté non dissimulé que Liang tait repassé de dominé à dominant en l’espace de quelques secondes. Il connaissait très bien le corps des femmes et ce qui leur plaisait en général, mais il n’avait pas pour habitude de se soucier du bien être de ses partenaires en temps normal. Avec Hara, c’était différent, Liang voulait à tout prix que ce qui était entrain de se passer entre eux reste bien ancré dans la mémoire de la blonde comme un merveilleux souvenir. Quelque chose de si marquant, qu’elle n’aurait qu’une envie, celle de recommencer. Alors Liang s’appliquait à lui procurer le plus de plaisir possible et à sa plus grande surprise, il appréciait. Liang aimait l’entendre gémir sous ses caresses, preuve même qu’elle ne lui était pas du tout indifférente et c’est ce qui le motivait à continuer. Il sourit en sentant les ongles d’Hara griffer son dos, la blonde était une véritable tigresse quand elle n’avait plus aucun contrôle sur la situation. Ses lèvres contre les siennes, Liang l’embrassait avec fougue jusqu’à ce que l’air lui manque, il recula alors légèrement son visage, un sourire coquin sur le visage. Il retira alors ses mains de l’intimité d’Hara, afin de venir agripper son jean de chaque côté de ses hanches, il tira avec force pour le faire descendre, soulevant légèrement les fesses de la belle pour arriver à ses fins. Il retira les baskets d’Hara et se débarrassa enfin de ce jean des plus gênants en le laissant tomber au sol, à son tour, il retira ses propres chaussures sans pour autant se débarrasser de son jean et il s’approcha à nouveau d’elle en posant ses genoux à terre pour s’accroupir devant elle. Liang descendit légèrement la culotte de la blonde et il alla déposer ses lèvres sur l’intimité d’Hara qu’il couvrit de baiser, laissant sa langue se mêler à la danse, il voulait la rendre encore un peu plus folle de lui.

L’étudiante n’avait plus aucun contrôle sur la situation et Liang pouvait bien faire ce qu’il voulait d’elle. Elle se contentait de l’embrasser, étouffant ses gémissements contre ses lèvres, et de griffer son dos tellement le plaisir devenait de plus en plus grand. Quand les lèvres du chinois quittèrent les siennes, la wonsungi ouvrit aussitôt les yeux pour plonger son regard dans le sien, un sourire se dessinant au fur et à mesure sur son visage. Sa respiration était légèrement saccadée et son rythme cardiaque avait largement augmenté, ainsi que sa température corporelle. Elle mourrait de chaud et elle était pourtant peu vêtue. Il ne lui restait que son jean mais le jeune homme s’en débarrassa rapidement avant de s’attaquer de nouveau à son intimité. Il avait décidé de la rendre dingue et le pire dans tout ça, c’est qu’il y arrivait. La wonsungi n’avait plus le dessus depuis un moment déjà et se laissait complètement faire, le plaisir grandissant encore et encore, mais ça ne la dérangeait presque plus. L’avantage d’être une femme, c’était qu’elle pouvait avoir plusieurs orgasmes à la suite et le premier n’allait pas tarder à arriver, surtout s'il continuait dans cette lancée. La jolie blonde profitait. C'était bien la première fois qu'un homme lui procurait autant de plaisir et elle allait s'en souvenir toute sa vie. Ses gémissements étaient de plus en plus fréquents et sans prévenir, l’étudiante attrapa brusquement les cheveux de Liang, les martyrisant, tandis que tout son corps se cambrait et se contractait à la fois. « Oh bon sang ! » Lâcha-t-elle. Elle se redressa presque complètement, ne pouvant s’empêcher de jouir, avant de retomber doucement contre le bureau, toute la tension de son corps s’étant dissipée. La wonsungi lâcha les cheveux de Liang, fermant les yeux un instant pour profiter de ce moment de bien-être. Jamais elle n'avait eu un tel orgasme.

Les mains habiles de Liang caressaient avec tendresse les cuisses de la belle pendant que sa bouche et sa langue était occupées avec l’intimité d’Hara. Il prenait son temps pour lui procurer du plaisir.. Il n’avait pas pour habitude d’être si doué et si préoccupé du plaisir de sa partenaire, mais Hara c’était différent. Le chinois voulait qu’elle se souvienne de cet instant à chaque fois qu’elle poserait les yeux sur lui et qu’elle se surprenne même à en fantasmer lorsqu’elle serait seule. Ses mains baladeuses se faufilait le long de ses cuisses, les soulevant légèrement pour caresser le bout de ses fesses, avant de les remonter plus haut sur son ventre, pour finir par les redescendre vers l’inimité de la blonde. Hara se laissait totalement faire, ce qui en soit était une petite victoire pour Liang. Les gémissements de sa partenaire ne faisaient que l’exciter un peu plus et il accélérait la cadence de ses caresses pour lui faire atteindre le point culminant de son plaisir. Ce qui ne tarda pas à arriver, il fut d’abord déstabilisé lorsqu’elle tira sur ses cheveux, mais les spasmes de son corps lui indiquaient que la demoiselle était au bord de la jouissance extrême et il continua. Un sourire apparut sur ses lèvres, bien occupé, lorsqu’il l’entendit jurer et jouir. Lorsque la demoiselle eu son orgasme et qu’elle retomba sur le bureau, Liang cessa de torturer son intimité, sachant cette zone désormais sensible. A la place, il se redressa et il se mit à admirer le magnifique corps d’Hara qui lui faisait terriblement envie, étendu de cette façon. Liang se mit à embrasser la cuisse de la jeune femme, remontant lentement vers son ventre, puis sa poitrine et son cou qu’il couvrit de baiser pendant que ses mains caressait avec tendresse le reste de son corps. « Ton corps est délicieux » souffla-t-il à son oreille, venant mordre légèrement son cou. Liang en voulait plus, comme d’habitude et il ne faisait que commencer avec elle. Il voulait prendre son temps, que ce moment dur au maximum. Collant son front contre le sien, il plongea ses yeux dans les siens, l’envie, mais aussi la douceur pouvait se lire dans son visage. Liang déposa ses lèvres contre les siennes.

La wonsungi savait parfaitement que ce qu’ils étaient en train de faire actuellement était interdit, mais c’était ce qui rendait la chose encore plus excitante. Elle n’avait jamais eu froid aux yeux et ce n’était pas aujourd’hui que cela allait changer. Dès qu’il l’avait embrassé, Ha Ra, en toute connaissance de la suite, n’avait pas hésité à continuer, ayant tout aussi envie que lui. La jolie blonde venait d’atteindre l’orgasme et retomba contre le bureau avec douceur, laissant s’échapper de ses lèvres un soupir d’aise et fermant les yeux un instant pour profiter de ce moment de bien-être total. L’étudiante ouvrit lentement les yeux, soulevant légèrement sa tête pour pouvoir poser son regard sur Liang qui parsemait son corps de baisers. Un sourire étira doucement ses lèvres et Ha Ra reposa sa tête contre le bureau, se laissant docilement faire, une nouvelle fois encore. « Le tien n’est pas mal non plus. » Le taquina-t-elle, un sourire malicieux accroché aux lèvres, son regard ne quittant pas celui de Liang. La wonsungi fit glisser ses mains de ses pectoraux jusqu’au bas de son ventre, lentement, avant de les remonter tout aussi lentement et en prenant le temps de tracer le contour de ses abdominaux. Ha Ra décolla ses lèvres de celles du chinois, se mordant la lèvre inférieure tout en continuant de le regarder droit dans les yeux. Elle le força à se redresser, collant son corps bouillant au sien, pour retrouver une position qui était plus avantageuse pour elle. La wonsungi passa ses bras dans son dos, le caressant du bout des doigts, tandis que ses lèvres déposaient une multitude de baisers sur son cou, déviant légèrement vers son épaule. Elle retrouva rapidement le chemin vers ses lèvres qu’elle captura, pendant que ses mains descendaient le pantalon de Liang.

Liang couvrait de baisers le corps pulpeux et parfait d’Hara, jamais il n’avait eu autant d’attirance pour le corps d’une femme, mais celui d’Hara était particulièrement beau à voir et agréable à toucher. La blonde réagissait à ses caresses et il aimait l’entendre gémir comme elle le faisait. Liang remonta lentement ses baisers vers les lèvres d’Hara, plongeant son regard dans le sien avant de l’embrasser avec tendresse. Depuis le début, il ne se souciait que du bien être de la blonde et à ce qu’il avait entendu, Hara n’était pas prête d’oublier cette partie de jambe en l’air de si tôt. Mais Ha Ra avait décidé de ne plus se laisser faire et après l’orgasme qu’il lui avait fait vivre, c’était compréhensible. Si jusqu’ici la blonde avait été docile, Liang savait aussi qu’en temps normal, elle n’était pas comme ça. Il se redressa sans broncher, un sourire coquin ne voulait pas quitter ses lèvres, grognant légèrement à l’oreille de la demoiselle lorsqu’elle colla son corps contre le sien, il aimait la sentir nue contre lui, c’était tout à fait excitant. Liang attrapa le visage de Hara entre ses mains pour l’embrasser avec fougue, sa langue jouant avec sa jumelle, d’un mouvement de jambe, il s’en débarrassa de son pantalon en le faisant voler, il n’en pouvait plus d’être le seul habillé. Il descendait lentement ses mains le long de ses hanches avant de venir caresser les fesses de la blonde sans arrêter de l’embrasser, son bassin essayait désespérément de se coller au sien, montrant son excitation qu’il n’arrivait plus à contenir. « Hara, enlève moi ça… » la supplia-t-il en parlant de son boxer.