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BAEKAN ♥ WE'RE HOME FREE BABY
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BAEKAN ♥ WE'RE HOME FREE BABY | Dim 16 Oct - 12:45
Assise sur le comptoir du bar elle regarde Kan avant de lâcher un petit rire. « T’as dit que tu me le donnerais le prochain … » dit-elle dans une moue enfantine et faussement triste. Ses jambes nouées autour des hanches du garçon elle tente de lui voler ce bout de sandwich qu’il s’amuse à manger devant elle. « Allez … rien qu’un bout s’te plait ! » rit-elle en tirant sur les bras du garçon qu’il s’évertue à garder en l’air pour éloigner son repas des lèvres de la douce. Elle tire un peu plus fort mais elle capitule en s’affaissant et croisant les bras pour marquer son abandon. « Ok, crevard de sandwich. » marmonne-t-elle en piquant une frite dans l’assiette à côté d’eux. Les voilà à se chamailler depuis quelques minutes pour un bout de sandwich et quelques frites. Il faut dire que Kan a proposé longuement à Bae de lui préparer un sandwich pour elle aussi ce qu’elle a refusé en assurant je n’ai pas faim j’en veux pas. Pourtant, dès l’instant où le garçon était revenu avec son assiette elle n’avait pas résisté à l’envie de lui en piquer un bout qu’il avait jalousement gardé pour lui. Leçon de vie pour certain, chieur pour d’autre. Elle s’était carrément assise devant lui, alors qu’il s’était tranquillement assis devant le comptoir, perché sur son tabouret avec surement l’espoir de pouvoir manger sans être dérangé. Mais comment pouvait-il espérer pouvoir être tranquille en vivant avec la jeune femme ? Elle s’était glissé sur le comptoir, poussant ses frites d’un côté pour pouvoir caler ses fesses pile devant le garçon. Elle avait laissé prendre ses jambes de chaque côté du garçon avec un petit air mutin et l’avait même un peu plus rapprochée d’elle en nouant ses cuisses sur les côtes du garçon. Pauvre homme à subir l’entêtement de sa douce. Elle mâchonne sa frite et ne bouge pourtant pas, bien décidé à avoir un bout de ce sandwich quoiqu’il en coute. « T’as dit que tu me le donnerais le prochain Kan … » répétait-elle sur le même ton enfantin et presque déçue en tentant à nouveau de lui piquer un bout. Mêlant son rire à une mine qu’elle essaye de rendre sérieuse, elle ne peut retenir un sourire en portant une nouvelle frite à ses lèvres.
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Assise sur le comptoir du bar elle regarde Kan avant de lâcher un petit rire. « T’as dit que tu me le donnerais le prochain … » dit-elle dans une moue enfantine et faussement triste. Ses jambes nouées autour des hanches du garçon elle tente de lui voler ce bout de sandwich qu’il s’amuse à manger devant elle. « Allez … rien qu’un bout s’te plait ! » rit-elle en tirant sur les bras du garçon qu’il s’évertue à garder en l’air pour éloigner son repas des lèvres de la douce. Elle tire un peu plus fort mais elle capitule en s’affaissant et croisant les bras pour marquer son abandon. « Ok, crevard de sandwich. » marmonne-t-elle en piquant une frite dans l’assiette à côté d’eux. Les voilà à se chamailler depuis quelques minutes pour un bout de sandwich et quelques frites. Il faut dire que Kan a proposé longuement à Bae de lui préparer un sandwich pour elle aussi ce qu’elle a refusé en assurant je n’ai pas faim j’en veux pas. Pourtant, dès l’instant où le garçon était revenu avec son assiette elle n’avait pas résisté à l’envie de lui en piquer un bout qu’il avait jalousement gardé pour lui. Leçon de vie pour certain, chieur pour d’autre. Elle s’était carrément assise devant lui, alors qu’il s’était tranquillement assis devant le comptoir, perché sur son tabouret avec surement l’espoir de pouvoir manger sans être dérangé. Mais comment pouvait-il espérer pouvoir être tranquille en vivant avec la jeune femme ? Elle s’était glissé sur le comptoir, poussant ses frites d’un côté pour pouvoir caler ses fesses pile devant le garçon. Elle avait laissé prendre ses jambes de chaque côté du garçon avec un petit air mutin et l’avait même un peu plus rapprochée d’elle en nouant ses cuisses sur les côtes du garçon. Pauvre homme à subir l’entêtement de sa douce. Elle mâchonne sa frite et ne bouge pourtant pas, bien décidé à avoir un bout de ce sandwich quoiqu’il en coute. « T’as dit que tu me le donnerais le prochain Kan … » répétait-elle sur le même ton enfantin et presque déçue en tentant à nouveau de lui piquer un bout. Mêlant son rire à une mine qu’elle essaye de rendre sérieuse, elle ne peut retenir un sourire en portant une nouvelle frite à ses lèvres.Invité
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Re: BAEKAN ♥ WE'RE HOME FREE BABY | Dim 16 Oct - 13:13
« T’as dit que tu me le donnerais le prochain … » un petit rire (et un p'tit sourire en coin) 'échappe des lèvres du garçon alors qu'il lève les yeux aux ciel en répondant encore une fois « le prochain. » kan recule un peu le dos pour rendre un peu plus inaccessible son bien en regardant bo bae avec malice. « Ok, crevard de sandwich. » Kan baisse enfin le bras pour croquer dans son sandwich, se tordant quand même un peu le corps pour croquer le plus loin possible de bae, pas qu'elle ai la mauvaise idée de le lui prendre. Il la torture, il la provoque, il en rigole, elle qui sert un peu les cuisses autour de lui. ce contact, présent, toujours nécessaire, vitale, qui les tiens ensemble, qui les tiens en vie. « fait la gueule je m'en fou. » qu'il ajoute, la bouche pleine en retenant un rire, penchant la tête vers l'arrière pour pas s'étouffer et avaler en même temps. « T’as dit que tu me le donnerais le prochain Kan … » et lui, du tac au tac répond en rigolant, pointant son assiette de frite du menton « mais arrête de bouffer mes frites aussi là, dalleuse! » kan tend la main pour en attraper une et la manger, son sandwich bien loin de la portée de bae, la provoquant du regard. « puis j'ai quoi en échange d'ailleurs? » qu'il lance en haussant les épaules, ramenant le graal devant lui en posant ses coudes sur les cuisses de bae, croquant dedans avec plaisir et ajouter en exagérant bien « c'est le meilleur sandwich de l'univers putain, tu rates un truc là! trop dommage que. t'ai. dit. non. » chaque fin de phrase bien accentué pour ajouter du drama à la scène, kan fini par redresser un peu son dos, lever le nez et tendre le sandwich à bae d'une façon assez solennelle. Avant de le reprendre juste au moment ou elle aurait pu mettre la main dessus, et rire comme un connard « raté! »
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« T’as dit que tu me le donnerais le prochain … » un petit rire (et un p'tit sourire en coin) 'échappe des lèvres du garçon alors qu'il lève les yeux aux ciel en répondant encore une fois « le prochain. » kan recule un peu le dos pour rendre un peu plus inaccessible son bien en regardant bo bae avec malice. « Ok, crevard de sandwich. » Kan baisse enfin le bras pour croquer dans son sandwich, se tordant quand même un peu le corps pour croquer le plus loin possible de bae, pas qu'elle ai la mauvaise idée de le lui prendre. Il la torture, il la provoque, il en rigole, elle qui sert un peu les cuisses autour de lui. ce contact, présent, toujours nécessaire, vitale, qui les tiens ensemble, qui les tiens en vie. « fait la gueule je m'en fou. » qu'il ajoute, la bouche pleine en retenant un rire, penchant la tête vers l'arrière pour pas s'étouffer et avaler en même temps. « T’as dit que tu me le donnerais le prochain Kan … » et lui, du tac au tac répond en rigolant, pointant son assiette de frite du menton « mais arrête de bouffer mes frites aussi là, dalleuse! » kan tend la main pour en attraper une et la manger, son sandwich bien loin de la portée de bae, la provoquant du regard. « puis j'ai quoi en échange d'ailleurs? » qu'il lance en haussant les épaules, ramenant le graal devant lui en posant ses coudes sur les cuisses de bae, croquant dedans avec plaisir et ajouter en exagérant bien « c'est le meilleur sandwich de l'univers putain, tu rates un truc là! trop dommage que. t'ai. dit. non. » chaque fin de phrase bien accentué pour ajouter du drama à la scène, kan fini par redresser un peu son dos, lever le nez et tendre le sandwich à bae d'une façon assez solennelle. Avant de le reprendre juste au moment ou elle aurait pu mettre la main dessus, et rire comme un connard « raté! »Invité
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Re: BAEKAN ♥ WE'RE HOME FREE BABY | Dim 16 Oct - 13:29
Il la saoule. Genre vraiment. Elle va lui faire bouffer son sandwich qu’il va rien comprendre. Pourtant, c’est un rire qui s’échappe de ses lèvres quand elle croise son regard et qu’il la cherche, encore et toujours. C’est vrai qu’elle a dit non, et elle le regrette mais pas autant que lui s’il ne lui donne pas un bout de sandwich. « Mais juste un petit bout ! » couine-t-elle en tentant une attaque rapide, pas assez pour contrer le jeune homme. « Kan ! » grogne-t-elle avant d’éclater de rire. « J’ai vraiment faim » chouine-t-elle. Et elle espérait vraiment que cette offrande qu’il lui faisait marquerait la fin de leur chamaillerie, c’était mal connaitre le garçon qui récupère son met bien trop vite pour que Bae puisse mordre dedans. Elle pousse un râle en lui assurant « Je vais me venger ! » elle attrape une poignée de frite qu’elle engloutit la bouche pleine et du sel pleins les lèvres. Elle hausse les sourcils l’air de dire ché avant de se mettre à rire, obligée de pencher la tête en arrière pour ne pas tout recracher et s’étouffer. Surtout s’étouffer en fait. Elle lui pince les joues et l’embête en lui tournant le visage de droite à gauche l’empêchant de pouvoir croquer dans son sandwich. Et ça, Bae, ça la fait beaucoup rire, s’amusant à lui faire rater sa cible alors que le sandwich s’approche et s’éloigne des lèvres du garçon. « Un croc ! Juste un croc allez ! » S’excite-t-elle légèrement en sautillant sur place. Elle rit à nouveau avant d’attraper soudainement le visage de Kan entre ses paumes alors qu’il mordait dans son sandwich. Elle se penche rapidement vers elle lui, comme si elle allait l’embrasser, mais se jette sur cette autre moitié de sandwich qu’elle croc maladroitement. En priant pour qu’il ne se recule pas trop précipitamment ou c’était les quatre fers en l’air qu’on allait les retrouver. Ainsi penchée Bae n’avait aucun équilibre, et pas assez d’abdos pour s’empêcher de tomber. Elle plante son regard dans celui de Kan en plantant ses dents dans le graal et lui fait un clin d’œil amusée.
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Il la saoule. Genre vraiment. Elle va lui faire bouffer son sandwich qu’il va rien comprendre. Pourtant, c’est un rire qui s’échappe de ses lèvres quand elle croise son regard et qu’il la cherche, encore et toujours. C’est vrai qu’elle a dit non, et elle le regrette mais pas autant que lui s’il ne lui donne pas un bout de sandwich. « Mais juste un petit bout ! » couine-t-elle en tentant une attaque rapide, pas assez pour contrer le jeune homme. « Kan ! » grogne-t-elle avant d’éclater de rire. « J’ai vraiment faim » chouine-t-elle. Et elle espérait vraiment que cette offrande qu’il lui faisait marquerait la fin de leur chamaillerie, c’était mal connaitre le garçon qui récupère son met bien trop vite pour que Bae puisse mordre dedans. Elle pousse un râle en lui assurant « Je vais me venger ! » elle attrape une poignée de frite qu’elle engloutit la bouche pleine et du sel pleins les lèvres. Elle hausse les sourcils l’air de dire ché avant de se mettre à rire, obligée de pencher la tête en arrière pour ne pas tout recracher et s’étouffer. Surtout s’étouffer en fait. Elle lui pince les joues et l’embête en lui tournant le visage de droite à gauche l’empêchant de pouvoir croquer dans son sandwich. Et ça, Bae, ça la fait beaucoup rire, s’amusant à lui faire rater sa cible alors que le sandwich s’approche et s’éloigne des lèvres du garçon. « Un croc ! Juste un croc allez ! » S’excite-t-elle légèrement en sautillant sur place. Elle rit à nouveau avant d’attraper soudainement le visage de Kan entre ses paumes alors qu’il mordait dans son sandwich. Elle se penche rapidement vers elle lui, comme si elle allait l’embrasser, mais se jette sur cette autre moitié de sandwich qu’elle croc maladroitement. En priant pour qu’il ne se recule pas trop précipitamment ou c’était les quatre fers en l’air qu’on allait les retrouver. Ainsi penchée Bae n’avait aucun équilibre, et pas assez d’abdos pour s’empêcher de tomber. Elle plante son regard dans celui de Kan en plantant ses dents dans le graal et lui fait un clin d’œil amusée.Invité
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Re: BAEKAN ♥ WE'RE HOME FREE BABY | Dim 16 Oct - 14:13
« Mais juste un petit bout! » C'est comme si bo bae avait tendance à oublier que kan était beaucoup plus vif qu'avant, plus réactif, plus joueur aussi. Il avait retrouvé de la vie. Alors il recule sa main avec vivacité en éclatant de rire « mais va chier putain! » kan est déséquilibré, assez pour devoir tenir son sandwich d'une main, et se rattraper aux hanches de bae pour pas se casser la gueule de son tabouret en riant. Et elle crois qu'avec son cinéma elle va réussir à le lui prendre ? Kan à de l'entraînement, c'est pas la première fois qu'elle lui fait le coup, que ce soit la nourriture ou quelque chose d'autre. Il sourit en coin et fait encore une fois non de la tête en levant les yeux aux ciels. « Je vais me venger ! » « j'ai hâte de voir ça. » mais en la voyant se goinfrer comme ça, kan laisse échapper un rire qui se rapproche aussi un peu du ricanement, et il profite du fait que bo bae soit occupée à s'étouffer pour prendre quelques frites et les manger. Tranquillité ? Longtemps que ce mot à plus de sens, depuis qu'ils habitent ensemble. Et ses doigts fins sur les joues de kan, c'est comme le rendre dingue petit à petit. Il émet des petits sons de frustrations en essayant de manger. « mais putain!» Il rigole et en même temps, ça l'gonfle, un peu, autant que bae à envie de manger sa part. « hé t'es vraiment relou! » Et au moment ou il arrive à croquer dans son sandwich, il sens le poids de bae appuyer sur lui alors qu'elle plante ses dents dans l'autre bout de son sandwich. Kan ouvre de grand yeux et à même un mouvement de recule et est obligé de poser un pied par terre pour pas se casser complement la gueule avec elle. Le garçon recule la bouche avec son bout de sandwich qu'il mâche en ne quittant pas bae du regard, regard qui en dit long sur tout ce qu'il va lui faire pour se venger si elle continue. Il la repousse de sa main libre en appuyant sur son épaule pour la faire se rassoir correctement sur le comptoir alors qu'il renifle avec dédain, faussement vexé. « sale chieuse!» Kan détourne les yeux du visage de la belle, mâchonnant son bout en fixant le mur l'air de rien, surtout pour oublier la vision de bae penchée sur lui, proche, à portée de doigt et de caresse. Ce genre de pensée hantait kan de plus en plus et le rendait dingue, elle qui se la jouait inaccessible. Il tourne à nouveau le regard vers elle et montre derrière le comptoir du menton, demandant en râlant « tu veux pas me servir un verre d'eau histoire d'être utile si déjà tu bouffes mon sandwich ?» qu'il lâche avec un joli sourire provocant.
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« Mais juste un petit bout! » C'est comme si bo bae avait tendance à oublier que kan était beaucoup plus vif qu'avant, plus réactif, plus joueur aussi. Il avait retrouvé de la vie. Alors il recule sa main avec vivacité en éclatant de rire « mais va chier putain! » kan est déséquilibré, assez pour devoir tenir son sandwich d'une main, et se rattraper aux hanches de bae pour pas se casser la gueule de son tabouret en riant. Et elle crois qu'avec son cinéma elle va réussir à le lui prendre ? Kan à de l'entraînement, c'est pas la première fois qu'elle lui fait le coup, que ce soit la nourriture ou quelque chose d'autre. Il sourit en coin et fait encore une fois non de la tête en levant les yeux aux ciels. « Je vais me venger ! » « j'ai hâte de voir ça. » mais en la voyant se goinfrer comme ça, kan laisse échapper un rire qui se rapproche aussi un peu du ricanement, et il profite du fait que bo bae soit occupée à s'étouffer pour prendre quelques frites et les manger. Tranquillité ? Longtemps que ce mot à plus de sens, depuis qu'ils habitent ensemble. Et ses doigts fins sur les joues de kan, c'est comme le rendre dingue petit à petit. Il émet des petits sons de frustrations en essayant de manger. « mais putain!» Il rigole et en même temps, ça l'gonfle, un peu, autant que bae à envie de manger sa part. « hé t'es vraiment relou! » Et au moment ou il arrive à croquer dans son sandwich, il sens le poids de bae appuyer sur lui alors qu'elle plante ses dents dans l'autre bout de son sandwich. Kan ouvre de grand yeux et à même un mouvement de recule et est obligé de poser un pied par terre pour pas se casser complement la gueule avec elle. Le garçon recule la bouche avec son bout de sandwich qu'il mâche en ne quittant pas bae du regard, regard qui en dit long sur tout ce qu'il va lui faire pour se venger si elle continue. Il la repousse de sa main libre en appuyant sur son épaule pour la faire se rassoir correctement sur le comptoir alors qu'il renifle avec dédain, faussement vexé. « sale chieuse!» Kan détourne les yeux du visage de la belle, mâchonnant son bout en fixant le mur l'air de rien, surtout pour oublier la vision de bae penchée sur lui, proche, à portée de doigt et de caresse. Ce genre de pensée hantait kan de plus en plus et le rendait dingue, elle qui se la jouait inaccessible. Il tourne à nouveau le regard vers elle et montre derrière le comptoir du menton, demandant en râlant « tu veux pas me servir un verre d'eau histoire d'être utile si déjà tu bouffes mon sandwich ?» qu'il lâche avec un joli sourire provocant. Invité
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Re: BAEKAN ♥ WE'RE HOME FREE BABY | Dim 16 Oct - 14:30
Elle trébuche légèrement sur lui en riant doucement, croisant ce regard qui la clou sur place. Elle devrait pourtant s’y être habituée depuis e temps mais c’était toujours aussi agréable que déroutant de voir Kan la regarder ainsi. Elle se redresse en rougissant, ne sachant si Kan se détourne parc qu’il boude vraiment ou si c’est parce qu’il est aussi gênée qu’elle ? La vérité c’est que Kan a juste beaucoup trop de respect pour Bae pour franchir ces limites qu’elle ne cesse de repousser. Si ça avait été un autre homme elle était persuadé qu’il aurait déjà pris ce qu’il voulait d’elle. Parce que Bae ne se rend pas compte qu’elle laisse ses propres envies flirter avec Kan, qu’elle se laisse aller jusqu’à un point de non-retour avant de simplement murmurer un non puis de se détourner. Parce qu’elle n’ose pas flancher, parce qu’elle aurait trop peur de le voir disparaitre sans ça … elle mâche alors ce bout de sandwich et pique une dernière frite avant de sourire à sa remarque. Ouais c’est peut-être plus judicieux un peu de distance entre eux. Elle soulève ses jambes et pivote en se faisant glisser de l’autre côté du bar. Elle tombe sur ses deux pieds en cachant la rougeur de ses joues et attrape deux verres pour leur servir de l’eau qu’elle remplit généreusement avant de le tendre vers Kan. « Je te laisse tranquille » souffle-t-elle en mordillant sa lèvre avec un sourire doux. Elle pique une dernière frite avant de boire son verre d’eau et de contourner le comptoir pour aller s’allonger sur le canapé du Kurss. Elle pose ses chaussons en forme de licorne sur les accoudoirs et glisse un coussin sous sa tête. Elle est fatiguée. Elle dort mal la nuit. Encore en proie à des cauchemars elle dort peu. Elle revoit cet homme et elle n’arrive pas à se débarrasser de son odeur nauséabonde qui persiste encore. Elle se demande d’ailleurs si Kan a fait quelque chose pour … lui. « Kan … » appelle-t-elle doucement avant de rouler sur le ventre pour pouvoir le regarder et lever son regard vers elle. « Tu veux bien venir manger ici ? » dit-elle désolée de toujours se coller à lui. Ils sont pourtant dans la même pièce mais ce n’est pas assez pour elle. Elle se glisse sur les genoux et s’assoit sur ses talons en faisant de la place pour Kan. Place qu’elle frotte pour s’assurer qu’il n’y est pas de poussières et tasse le coussin pour rendre le canapé confortable. En somme elle fait tout pour rendre ce bout de canapé assez attirant pour qu’il vienne s’y blottir. Ainsi elle pourra venir se blottir contre lui. Elle lui jette un regard gêné et désolé en tenant son coussin à elle entre ses bras. « Et je te promets de pas te piquer ta bouffe » murmure-t-elle avec un petit sourire amusé.
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Elle trébuche légèrement sur lui en riant doucement, croisant ce regard qui la clou sur place. Elle devrait pourtant s’y être habituée depuis e temps mais c’était toujours aussi agréable que déroutant de voir Kan la regarder ainsi. Elle se redresse en rougissant, ne sachant si Kan se détourne parc qu’il boude vraiment ou si c’est parce qu’il est aussi gênée qu’elle ? La vérité c’est que Kan a juste beaucoup trop de respect pour Bae pour franchir ces limites qu’elle ne cesse de repousser. Si ça avait été un autre homme elle était persuadé qu’il aurait déjà pris ce qu’il voulait d’elle. Parce que Bae ne se rend pas compte qu’elle laisse ses propres envies flirter avec Kan, qu’elle se laisse aller jusqu’à un point de non-retour avant de simplement murmurer un non puis de se détourner. Parce qu’elle n’ose pas flancher, parce qu’elle aurait trop peur de le voir disparaitre sans ça … elle mâche alors ce bout de sandwich et pique une dernière frite avant de sourire à sa remarque. Ouais c’est peut-être plus judicieux un peu de distance entre eux. Elle soulève ses jambes et pivote en se faisant glisser de l’autre côté du bar. Elle tombe sur ses deux pieds en cachant la rougeur de ses joues et attrape deux verres pour leur servir de l’eau qu’elle remplit généreusement avant de le tendre vers Kan. « Je te laisse tranquille » souffle-t-elle en mordillant sa lèvre avec un sourire doux. Elle pique une dernière frite avant de boire son verre d’eau et de contourner le comptoir pour aller s’allonger sur le canapé du Kurss. Elle pose ses chaussons en forme de licorne sur les accoudoirs et glisse un coussin sous sa tête. Elle est fatiguée. Elle dort mal la nuit. Encore en proie à des cauchemars elle dort peu. Elle revoit cet homme et elle n’arrive pas à se débarrasser de son odeur nauséabonde qui persiste encore. Elle se demande d’ailleurs si Kan a fait quelque chose pour … lui. « Kan … » appelle-t-elle doucement avant de rouler sur le ventre pour pouvoir le regarder et lever son regard vers elle. « Tu veux bien venir manger ici ? » dit-elle désolée de toujours se coller à lui. Ils sont pourtant dans la même pièce mais ce n’est pas assez pour elle. Elle se glisse sur les genoux et s’assoit sur ses talons en faisant de la place pour Kan. Place qu’elle frotte pour s’assurer qu’il n’y est pas de poussières et tasse le coussin pour rendre le canapé confortable. En somme elle fait tout pour rendre ce bout de canapé assez attirant pour qu’il vienne s’y blottir. Ainsi elle pourra venir se blottir contre lui. Elle lui jette un regard gêné et désolé en tenant son coussin à elle entre ses bras. « Et je te promets de pas te piquer ta bouffe » murmure-t-elle avec un petit sourire amusé.Invité
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Re: BAEKAN ♥ WE'RE HOME FREE BABY | Dim 16 Oct - 15:04
Elle bouge, elle se déplace juste et kan fixe à nouveau ses yeux sur elle, sur ses formes, sur l'ondulation de ses cheveux quand elle saute du comptoir, sur ses hanches qui se dessinent légèrement sous ses habits, sur son petit sourire et sa peau, sur tout ce qui la constitue. Il à jamais fait trop attention aux autres, kan, réellement, physiquement, mais bo bae... il en connait chaque geste habituel, chaque sourire différent, chaque démarche suivant ses humeurs. Il l'observe, la regarde. L'entend, aussi. Il sourit en coin en prenant le verre d'eau qu'elle lui tend, lâchant même un petit « m'rci» en mâchonnant le bout de sandwich qu'il avait dans la bouche. Et cette façon qu'elle à de mordiller sa lèvre, et cette façon qu'elle à de sourire. Kan retiens un soupire en fixant les lèvres de la jeune fille avant de détourner les yeux en soupirant tout doucement, buvant une gorgée en relevant des yeux faussement innocent vers elle alors qu'elle s'en va vers le canapé. Kan tourne sur le tabouret pour la suivre des yeux en arquant un sourcil, jouant le gars in-intéressé au possible. Et elle ne le voit plus alors les flammes dans son regard se rallument quand il la regarde se coucher, quand il détaille avec plaisir les quelques bouts de peau qu'elle laisse entrevoir. Kan s'en cache plus, elle le sait. Et quand elle l'appelle encore, quand elle lui demande encore d'être plus près, kan détourne la tête en laissant échapper un petit rire, secouant doucement la tête de gauche à droite en regardant son assiette de frite bientôt vide, posant le reste de sandwich dedans, mange une frite en ne répondant rien, jusqu'à ce que la voix clair de bae ne résonne doucement dans le kurss à nouveau. Kan tourne à nouveau la tête vers elle avec un petit sourire en coin et soupire doucement, se lève de son tabouret en prenant son verre et son assiette et traîne des pieds jusqu'au canapé en la couvant du regard, malgré la malice dans ses yeux. Il laisse échapper un « chieuse.» en se calant dans le canapé en souriant en coin, tournant la tête vers elle, d'abord en ne bougeant pas, puis lève à nouveau les yeux aux ciels en souriant plus franchement, posant son verre sur la table basse et ouvrant les bras pour l'inviter à venir plus pret, un p'tit sourire en coin, malice, coquin, scotché sur le visage. Et encore plus important, il lui tend l'assiette en l'encourageant à prendre le reste de sandwich, l'air résigné. « te fait pas prier!»
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Elle bouge, elle se déplace juste et kan fixe à nouveau ses yeux sur elle, sur ses formes, sur l'ondulation de ses cheveux quand elle saute du comptoir, sur ses hanches qui se dessinent légèrement sous ses habits, sur son petit sourire et sa peau, sur tout ce qui la constitue. Il à jamais fait trop attention aux autres, kan, réellement, physiquement, mais bo bae... il en connait chaque geste habituel, chaque sourire différent, chaque démarche suivant ses humeurs. Il l'observe, la regarde. L'entend, aussi. Il sourit en coin en prenant le verre d'eau qu'elle lui tend, lâchant même un petit « m'rci» en mâchonnant le bout de sandwich qu'il avait dans la bouche. Et cette façon qu'elle à de mordiller sa lèvre, et cette façon qu'elle à de sourire. Kan retiens un soupire en fixant les lèvres de la jeune fille avant de détourner les yeux en soupirant tout doucement, buvant une gorgée en relevant des yeux faussement innocent vers elle alors qu'elle s'en va vers le canapé. Kan tourne sur le tabouret pour la suivre des yeux en arquant un sourcil, jouant le gars in-intéressé au possible. Et elle ne le voit plus alors les flammes dans son regard se rallument quand il la regarde se coucher, quand il détaille avec plaisir les quelques bouts de peau qu'elle laisse entrevoir. Kan s'en cache plus, elle le sait. Et quand elle l'appelle encore, quand elle lui demande encore d'être plus près, kan détourne la tête en laissant échapper un petit rire, secouant doucement la tête de gauche à droite en regardant son assiette de frite bientôt vide, posant le reste de sandwich dedans, mange une frite en ne répondant rien, jusqu'à ce que la voix clair de bae ne résonne doucement dans le kurss à nouveau. Kan tourne à nouveau la tête vers elle avec un petit sourire en coin et soupire doucement, se lève de son tabouret en prenant son verre et son assiette et traîne des pieds jusqu'au canapé en la couvant du regard, malgré la malice dans ses yeux. Il laisse échapper un « chieuse.» en se calant dans le canapé en souriant en coin, tournant la tête vers elle, d'abord en ne bougeant pas, puis lève à nouveau les yeux aux ciels en souriant plus franchement, posant son verre sur la table basse et ouvrant les bras pour l'inviter à venir plus pret, un p'tit sourire en coin, malice, coquin, scotché sur le visage. Et encore plus important, il lui tend l'assiette en l'encourageant à prendre le reste de sandwich, l'air résigné. « te fait pas prier!» Invité
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Re: BAEKAN ♥ WE'RE HOME FREE BABY | Dim 16 Oct - 15:21
Elle le regarde faire, son sourire, son regard, son attitude détaché. Elle le sait, elle s’en convainc, elle doit le saouler à agir ainsi avec lui. Elle le réclame sans cesse, comme une enfant qui ne saurait pas jouer seule. Elle veut son attention, sa présence, elle veut qu’il soit là, pour elle, avec elle. Elle veut beaucoup Bae, surtout quand ça concerne Kan. Il est sa faiblesse et sa force. Elle sait qu’elle tient encore debout aujourd’hui parce qu’il est là, sans cesse, sur son skate, sur ses pieds, parce qu’il est là sur ce canapé, parce qu’il est là et qu’il lui tend ce bout de sandwich. Parce qu’il là et qu’elle le veut encore, et encore plus. Elle renifle et mordille sa lèvre gênée d’être ainsi avec lui en ce moment. Elle s’en veut encore de l’avoir engueulé hier matin parce qu’il était sorti sans lui dire. Parce qu’elle panique sans lui. Parce qu’elle panique seule au Kurss. Parce qu’elle va partout où il va. Et Kan devra encore supporter la présence de la blonde le temps qu’elle se remette doucement du traumatisme qu’elle a vécu. Elle a toujours refusé d’en parler, parce que mettre des mots sur ses souvenirs c’était revivre cet enfer à nouveau. Alors quand Kan ouvre ses bras d’un air résigné mais tendre elle se jette contre lui sans attendre. Elle sourit en laissant échapper un soupir de soulagement. Elle ne se sent bien que lorsqu’il est là … Elle se blottit contre lui et prends ce sandwich qu’elle se met à manger sans se faire prier. Elle découpe des morceaux qu’elle porte aux lèvres de Kan pour lui donner. « Il est bon ton sandwich. » murmure-t-elle en calant son dos contre le torse de Kan, blottit contre lui. « T’as vérifié le verrou de la porte de derrière ? » demande-t-elle d’une voix douce comme tous les jours. Et tous les jours elle sait que Kan va lui dire que oui, mais elle a besoin de l’entendre encore. D’entendre que oui, Kan, en qui elle a entièrement confiance, s’est assuré que le verrou est bien fermé et que l’écrou est bien enclenché. Comme une obsession discrète qu’elle calme avec une simple question. Elle grignote quelques frites en prenant une main de Kan pour la poser sur son ventre. Ça aussi c’était nouveau et constant. Le contact. Toujours. De Kan sur elle. C’était bien le seul homme que Bae approchait. Tous les clients du Kurss l’effraie. Elle ne les touche plus, ne les approche que pour les servir mais s’en éloigne aussi. Et quand il n’y a que des tables d’hommes elle envoie Ran Gi servir à sa place. Pourtant son visage de poupée n’affiche aucune frayeur. Elle se contente de sourire et de nourrir Kan avec des bouts de sandwich qu’elle découpe « Hé ! Tu mordilles mes doigts ! » se plaint-elle de sa voix fluette cassée par un rire.
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Elle le regarde faire, son sourire, son regard, son attitude détaché. Elle le sait, elle s’en convainc, elle doit le saouler à agir ainsi avec lui. Elle le réclame sans cesse, comme une enfant qui ne saurait pas jouer seule. Elle veut son attention, sa présence, elle veut qu’il soit là, pour elle, avec elle. Elle veut beaucoup Bae, surtout quand ça concerne Kan. Il est sa faiblesse et sa force. Elle sait qu’elle tient encore debout aujourd’hui parce qu’il est là, sans cesse, sur son skate, sur ses pieds, parce qu’il est là sur ce canapé, parce qu’il est là et qu’il lui tend ce bout de sandwich. Parce qu’il là et qu’elle le veut encore, et encore plus. Elle renifle et mordille sa lèvre gênée d’être ainsi avec lui en ce moment. Elle s’en veut encore de l’avoir engueulé hier matin parce qu’il était sorti sans lui dire. Parce qu’elle panique sans lui. Parce qu’elle panique seule au Kurss. Parce qu’elle va partout où il va. Et Kan devra encore supporter la présence de la blonde le temps qu’elle se remette doucement du traumatisme qu’elle a vécu. Elle a toujours refusé d’en parler, parce que mettre des mots sur ses souvenirs c’était revivre cet enfer à nouveau. Alors quand Kan ouvre ses bras d’un air résigné mais tendre elle se jette contre lui sans attendre. Elle sourit en laissant échapper un soupir de soulagement. Elle ne se sent bien que lorsqu’il est là … Elle se blottit contre lui et prends ce sandwich qu’elle se met à manger sans se faire prier. Elle découpe des morceaux qu’elle porte aux lèvres de Kan pour lui donner. « Il est bon ton sandwich. » murmure-t-elle en calant son dos contre le torse de Kan, blottit contre lui. « T’as vérifié le verrou de la porte de derrière ? » demande-t-elle d’une voix douce comme tous les jours. Et tous les jours elle sait que Kan va lui dire que oui, mais elle a besoin de l’entendre encore. D’entendre que oui, Kan, en qui elle a entièrement confiance, s’est assuré que le verrou est bien fermé et que l’écrou est bien enclenché. Comme une obsession discrète qu’elle calme avec une simple question. Elle grignote quelques frites en prenant une main de Kan pour la poser sur son ventre. Ça aussi c’était nouveau et constant. Le contact. Toujours. De Kan sur elle. C’était bien le seul homme que Bae approchait. Tous les clients du Kurss l’effraie. Elle ne les touche plus, ne les approche que pour les servir mais s’en éloigne aussi. Et quand il n’y a que des tables d’hommes elle envoie Ran Gi servir à sa place. Pourtant son visage de poupée n’affiche aucune frayeur. Elle se contente de sourire et de nourrir Kan avec des bouts de sandwich qu’elle découpe « Hé ! Tu mordilles mes doigts ! » se plaint-elle de sa voix fluette cassée par un rire.Invité
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Re: BAEKAN ♥ WE'RE HOME FREE BABY | Dim 16 Oct - 16:35
C'est devenu plus naturel que jamais, ce contact entre eux, nécessaire. A peine bo bae touche ses bras que kan referme son emprise sur elle, sa main libre venant glisser dans ses cheveux long avec douceur alors qu'il caresse sa tête du pouce, et dans un réflexe particulièrement agréable, embrasse le haut de sa tête avant de sourire en inspirant doucement. Qui serait assez fou pour se plaindre du contact d'une telle femme contre lui ? Et qui serait assez aveugle pour comprendre leur besoin, leur envie de se toucher, t'être ensemble, de se comprendre ? Kan, depuis cette nuit là, est encore plus présent et derrière ses airs blasé, il fait deux fois plus attention à elle. Si avant son regard ne la quittait que rarement quand il était dans la même pièce qu'elle, ils sont maintenant rivés sur elle, protecteurs, possessifs. Et Kan ne met les pieds à la jungle que si bae est bien entourée, que si elle se sent confiante; Et pas qu'elle lui dise de sa voix fluette et de son sourire-mensonge que ça va, mais seulement quand il le sens, quand il en est persuadé. Et kan à bien changer, tout ses proches le diront, mais il s'en moque. La seule voix qui compte est dans le creux de ses bras. « oui.» dit-il simplement. Il est fermé et tant que j'serais la personne viendra te faire chier. Et lui qui allait prendre quelques frites se fait gentiment nourrir alors ça l'fait rigoler, il prend la première bouchée, sagement, puis la pousse un peu pour en demander une deuxième mais referme ses dents sur ses doigts en rigolant. Ils ont changés, ils sont devenus plus grands mais aussi plus enfants. Paradoxalement stable. Il rigole mais répond rien, il rigole et se contente d'attraper ses doigts avant qu'elle reporte son attention vers la nourriture, les porte à ses lèvres pour les embrasser en la regardant avec un air semi-blasé « c'est bon t'as plus mal là? » il rigole doucement, laisse retomber son dos au fond du canapé et soupire doucement, se décale un peu pour mieux s'installer et force bo bae à faire de même, l'attirant à lui avec possessivité. « on fait quoi c'soir, on ouvre ? » parce qu'on peut aussi rester là, rien qu'toi et moi.
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C'est devenu plus naturel que jamais, ce contact entre eux, nécessaire. A peine bo bae touche ses bras que kan referme son emprise sur elle, sa main libre venant glisser dans ses cheveux long avec douceur alors qu'il caresse sa tête du pouce, et dans un réflexe particulièrement agréable, embrasse le haut de sa tête avant de sourire en inspirant doucement. Qui serait assez fou pour se plaindre du contact d'une telle femme contre lui ? Et qui serait assez aveugle pour comprendre leur besoin, leur envie de se toucher, t'être ensemble, de se comprendre ? Kan, depuis cette nuit là, est encore plus présent et derrière ses airs blasé, il fait deux fois plus attention à elle. Si avant son regard ne la quittait que rarement quand il était dans la même pièce qu'elle, ils sont maintenant rivés sur elle, protecteurs, possessifs. Et Kan ne met les pieds à la jungle que si bae est bien entourée, que si elle se sent confiante; Et pas qu'elle lui dise de sa voix fluette et de son sourire-mensonge que ça va, mais seulement quand il le sens, quand il en est persuadé. Et kan à bien changer, tout ses proches le diront, mais il s'en moque. La seule voix qui compte est dans le creux de ses bras. « oui.» dit-il simplement. Il est fermé et tant que j'serais la personne viendra te faire chier. Et lui qui allait prendre quelques frites se fait gentiment nourrir alors ça l'fait rigoler, il prend la première bouchée, sagement, puis la pousse un peu pour en demander une deuxième mais referme ses dents sur ses doigts en rigolant. Ils ont changés, ils sont devenus plus grands mais aussi plus enfants. Paradoxalement stable. Il rigole mais répond rien, il rigole et se contente d'attraper ses doigts avant qu'elle reporte son attention vers la nourriture, les porte à ses lèvres pour les embrasser en la regardant avec un air semi-blasé « c'est bon t'as plus mal là? » il rigole doucement, laisse retomber son dos au fond du canapé et soupire doucement, se décale un peu pour mieux s'installer et force bo bae à faire de même, l'attirant à lui avec possessivité. « on fait quoi c'soir, on ouvre ? » parce qu'on peut aussi rester là, rien qu'toi et moi. Invité
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Re: BAEKAN ♥ WE'RE HOME FREE BABY | Dim 16 Oct - 16:49
« J’en sais rien » murmure-t-elle en repoussant l’assiette sur la table. Elle sourit et se mordille la lèvre, fixant ses doigts qu’il avait embrassés. Elle retrouve doucement le sourire quand il est là, parce que c’est plus facile de sourire dans un cocon de sérénité qu’en étant seul. Le Kurss habité de Kan lui avait manqué, comme si le garçon donnait une nouvelle vie à ces murs. Comme s’il savait comme rendre ce lieu un peu plus … vivant. Parce qu’il vivait maintenant Kan. Bae l’avait bien vu dans son regard, et il mourrait plus. Et elle ne le gardait plus, possessive, dans ses bras de peur de le voir mourir loin d’elle. C’était encore bancal mais il vivait. Il était là, et il était fort et ça, Bae, elle aimait beaucoup trop ça. Elle redresse son visage vers elle et regarde son air si juvénile en caressant ses traits doucement. Il était beau Kan et elle avait toujours su trouvé une certaine perfection à ses traits occidentaux. Il était d’ailleurs l’étranger le plus coréen qu’elle connaisse. Elle glisse ses doigts à ses lèvres, réclamant silencieusement de nouveau baiser magique. Cette pensée la fit sourire tristement « Tu te rends compte si la vie pouvait se guérir avec de simple bisou magique … on serait tous heureux je crois. » murmurait-elle amusé mais un sourire triste aux lèvres. Elle vient enfouir son visage dans le creux de son cou pour en respirer son parfum et murmure doucement « J’ai pas envie d’ouvrir … » de toute façon ils peuvent se le permettre. Et Bae n’a pas envie, si Bae n’a pas envie, elle sait que Kan ne le fera pas. Ce n’est pas tant une princesse dont les désirs sont des ordres, mais il sait à quel moment l’écouter. Ça serait la forcer ce soir et ça … elle n’est pas encore capable de le supporter. Bae se blottit contre lui un peu plus et pianote une mélodie incertaine sur le torse du garçon du bout de ses doigts rongés. « Kan … ? » murmure-t-elle tout bas en gardant ses yeux appuyés contre le cou du garçon. « Si je pars tu serais triste ? » avec ce besoin un peu trop pressant de l’entendre dire oui, avec ce besoin un peu trop égoîste de lui faire parler de ce qu’il ne dit jamais.
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« J’en sais rien » murmure-t-elle en repoussant l’assiette sur la table. Elle sourit et se mordille la lèvre, fixant ses doigts qu’il avait embrassés. Elle retrouve doucement le sourire quand il est là, parce que c’est plus facile de sourire dans un cocon de sérénité qu’en étant seul. Le Kurss habité de Kan lui avait manqué, comme si le garçon donnait une nouvelle vie à ces murs. Comme s’il savait comme rendre ce lieu un peu plus … vivant. Parce qu’il vivait maintenant Kan. Bae l’avait bien vu dans son regard, et il mourrait plus. Et elle ne le gardait plus, possessive, dans ses bras de peur de le voir mourir loin d’elle. C’était encore bancal mais il vivait. Il était là, et il était fort et ça, Bae, elle aimait beaucoup trop ça. Elle redresse son visage vers elle et regarde son air si juvénile en caressant ses traits doucement. Il était beau Kan et elle avait toujours su trouvé une certaine perfection à ses traits occidentaux. Il était d’ailleurs l’étranger le plus coréen qu’elle connaisse. Elle glisse ses doigts à ses lèvres, réclamant silencieusement de nouveau baiser magique. Cette pensée la fit sourire tristement « Tu te rends compte si la vie pouvait se guérir avec de simple bisou magique … on serait tous heureux je crois. » murmurait-elle amusé mais un sourire triste aux lèvres. Elle vient enfouir son visage dans le creux de son cou pour en respirer son parfum et murmure doucement « J’ai pas envie d’ouvrir … » de toute façon ils peuvent se le permettre. Et Bae n’a pas envie, si Bae n’a pas envie, elle sait que Kan ne le fera pas. Ce n’est pas tant une princesse dont les désirs sont des ordres, mais il sait à quel moment l’écouter. Ça serait la forcer ce soir et ça … elle n’est pas encore capable de le supporter. Bae se blottit contre lui un peu plus et pianote une mélodie incertaine sur le torse du garçon du bout de ses doigts rongés. « Kan … ? » murmure-t-elle tout bas en gardant ses yeux appuyés contre le cou du garçon. « Si je pars tu serais triste ? » avec ce besoin un peu trop pressant de l’entendre dire oui, avec ce besoin un peu trop égoîste de lui faire parler de ce qu’il ne dit jamais.Invité
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Re: BAEKAN ♥ WE'RE HOME FREE BABY | Dim 16 Oct - 17:42
CEs deux-la ne sont pas encore tout à fait adulte, et plus tout à fait des enfants, et ensemble ils trouvent cet équilibre à demi naïf, à demi trop adulte. « c'pas grave.» qu'il ajoute simplement avec un sourire. Et les doigts qui glissent sur ses lèvres le font sourire mais il ne les embrasse pas, se contente d'aimer le contact, la sensation de ses doigts sur ses lèvres. Et son regard et sa peau et son sourire et tout le reste. Ses peurs. Il lui sourit, de ce sourire incontestablement significatif de kan. Et il l'écoute parler sans intervenir, se contente de réfléchir à ses mots et à sourire en baissant son regard sur le visage de bae, caressant doucement la peau de son cou et le lobe de son oreille, puis ses épaules. « on ouvre pas alors. » Il insistera pas, il prendra simplement soin d'elle si elle veux qu'il reste là toute la soirée. Kan inspire doucement et dégage une mèche de cheveux de bae pour pouvoir mieux l'observer alors qu'elle prononce son prénom de sa petite voix, celle qui rend kan dingue, qui aimerait l'entendre tout l'temps. des fois, kan pète vraiment des plombs, parce qu'elle à ce pouvoir sur elle, insupportable et enivrant à la fois. La question semble complètement idiote à kan, parce qu'il sait qu'elle à déjà la réponse, lui, enchainé à elle. Mais il sourit doucement, ferme les yeux et ressert son étreinte un peu sur son corps. « oui. j'pensais que ça faisait un moment que j'le cachait plus. » silence, puis murmure au creux de son oreille. « t'as promis de toute façon. t'as pas le droit de partir. »
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CEs deux-la ne sont pas encore tout à fait adulte, et plus tout à fait des enfants, et ensemble ils trouvent cet équilibre à demi naïf, à demi trop adulte. « c'pas grave.» qu'il ajoute simplement avec un sourire. Et les doigts qui glissent sur ses lèvres le font sourire mais il ne les embrasse pas, se contente d'aimer le contact, la sensation de ses doigts sur ses lèvres. Et son regard et sa peau et son sourire et tout le reste. Ses peurs. Il lui sourit, de ce sourire incontestablement significatif de kan. Et il l'écoute parler sans intervenir, se contente de réfléchir à ses mots et à sourire en baissant son regard sur le visage de bae, caressant doucement la peau de son cou et le lobe de son oreille, puis ses épaules. « on ouvre pas alors. » Il insistera pas, il prendra simplement soin d'elle si elle veux qu'il reste là toute la soirée. Kan inspire doucement et dégage une mèche de cheveux de bae pour pouvoir mieux l'observer alors qu'elle prononce son prénom de sa petite voix, celle qui rend kan dingue, qui aimerait l'entendre tout l'temps. des fois, kan pète vraiment des plombs, parce qu'elle à ce pouvoir sur elle, insupportable et enivrant à la fois. La question semble complètement idiote à kan, parce qu'il sait qu'elle à déjà la réponse, lui, enchainé à elle. Mais il sourit doucement, ferme les yeux et ressert son étreinte un peu sur son corps. « oui. j'pensais que ça faisait un moment que j'le cachait plus. » silence, puis murmure au creux de son oreille. « t'as promis de toute façon. t'as pas le droit de partir. »Contenu sponsorisé
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