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1, 2, 3BAEKAN ♥ WE'RE HOME FREE BABY
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Re: BAEKAN ♥ WE'RE HOME FREE BABY | Dim 15 Jan - 14:21
Elle hausse des épaules avec un petit sourire malicieux. « Ouais, tu fais ce que tu veux mais un truc beau quand même. » le prévient-elle en fronçant les sourcils l’air faussement menaçante. On n’y croit pas vraiment, elle est beaucoup trop douce dans son regard pour être réellement intimidante. Elle rit à ses mots avant d’acquiescer, après ça lui semble être une excellente idée. Elle frissonne déjà du bruit de la machine et de la légère douleur qu’elle va ressentir. Elle se montre déjà impatiente et se laisse tirer sur le garçon sans montrer de résistance. Elle éclate de rire à ses mots et le laisse la mordre avec une tendresse infime. Elle se blottit contre lui en entremêlant ses jambes avec un sourire doux. « Sans moi tu n’aurais rien pour te laver ! Tu devrais être reconnaissan…te. » Termine-t-elle en se moquant de lui dans un petit rire. Les yeux bleus de Kan sont comme un puit sans fond dans lequel elle aime se noyer. Une délicieuse sensation qui lui colle parfois quelques vertiges. Mais elle est bien accrochée entre ses bras. La simplicité de leur complicité lui fait tout oublier. Elle se sent à l’abri ainsi. Elle oublie la douleur, le cauchemar, la rage. Elle se redresse sur un coude, surprise. « T’es fou ?! Je ne sais pas dessiner et encore moins tracer une ligne droite … alors te tatouer … ca va être un carnage … » elle affiche une moue triste. « Je veux pas ruiner ta peau. » elle baisse son regard sur le torse moite de crème du garçon et passe sa paume chaude sur lui. Pourtant l’idée la séduit. Et qu’est-ce que ça peut faire que ce soit un peu raté, maladroit, mais fait avec envie, tendresse. Au moins ça sera à leur image. Elle vient poser sa joue sur son torse et ferme les yeux. Elle pousse un soupir d’aise avant de lui avouer, soudainement, sans trop savoir pourquoi elle avait besoin de le dire maintenant. « Je t’ai pas remercier … de m’avoir … porté … ramené à ma chambre … ce soir-là … » parce que quoiqu’on puisse dire elle n’avait pas oublié. « J’ai … j’pas d’souvenir précis de c’soir là … mais je me souviens avoir juste mal et froid … puis t’as été là. » elle pince ses lèvres et ferme ses yeux qui se remplissaient déjà de larmes. « J’avais envie que tu sois là tu sais. Après … » elle affiche une moue désolée pour les larmes qui coulaient sur ses joues et son regard qu’elle croisant. « J’avais envie que ce soit que toi. Je sais pas pourquoi. » Avoue-t-elle comme une enfant. « Alors … merci … d’avoir été là, un peu … beaucoup. » elle embrasse sa joue tendrement avant de coller son front à la tempe du garçon « Je sais que … enfin Yegi m’a dit que … t’étais furieux alors … je suis désolée de t’avoir … fâché … » dit-elle dans un souffle avec une innocence douloureuse. Ce n’est pas ta faute Bae. Pourtant, encore aujourd’hui elle s’en persuade parce que personne ne lui a dit ces mots.
DARKEST TIME FADE AWAY FROM US
AND IT BRIGHTS OUR DREAMS
Elle hausse des épaules avec un petit sourire malicieux. « Ouais, tu fais ce que tu veux mais un truc beau quand même. » le prévient-elle en fronçant les sourcils l’air faussement menaçante. On n’y croit pas vraiment, elle est beaucoup trop douce dans son regard pour être réellement intimidante. Elle rit à ses mots avant d’acquiescer, après ça lui semble être une excellente idée. Elle frissonne déjà du bruit de la machine et de la légère douleur qu’elle va ressentir. Elle se montre déjà impatiente et se laisse tirer sur le garçon sans montrer de résistance. Elle éclate de rire à ses mots et le laisse la mordre avec une tendresse infime. Elle se blottit contre lui en entremêlant ses jambes avec un sourire doux. « Sans moi tu n’aurais rien pour te laver ! Tu devrais être reconnaissan…te. » Termine-t-elle en se moquant de lui dans un petit rire. Les yeux bleus de Kan sont comme un puit sans fond dans lequel elle aime se noyer. Une délicieuse sensation qui lui colle parfois quelques vertiges. Mais elle est bien accrochée entre ses bras. La simplicité de leur complicité lui fait tout oublier. Elle se sent à l’abri ainsi. Elle oublie la douleur, le cauchemar, la rage. Elle se redresse sur un coude, surprise. « T’es fou ?! Je ne sais pas dessiner et encore moins tracer une ligne droite … alors te tatouer … ca va être un carnage … » elle affiche une moue triste. « Je veux pas ruiner ta peau. » elle baisse son regard sur le torse moite de crème du garçon et passe sa paume chaude sur lui. Pourtant l’idée la séduit. Et qu’est-ce que ça peut faire que ce soit un peu raté, maladroit, mais fait avec envie, tendresse. Au moins ça sera à leur image. Elle vient poser sa joue sur son torse et ferme les yeux. Elle pousse un soupir d’aise avant de lui avouer, soudainement, sans trop savoir pourquoi elle avait besoin de le dire maintenant. « Je t’ai pas remercier … de m’avoir … porté … ramené à ma chambre … ce soir-là … » parce que quoiqu’on puisse dire elle n’avait pas oublié. « J’ai … j’pas d’souvenir précis de c’soir là … mais je me souviens avoir juste mal et froid … puis t’as été là. » elle pince ses lèvres et ferme ses yeux qui se remplissaient déjà de larmes. « J’avais envie que tu sois là tu sais. Après … » elle affiche une moue désolée pour les larmes qui coulaient sur ses joues et son regard qu’elle croisant. « J’avais envie que ce soit que toi. Je sais pas pourquoi. » Avoue-t-elle comme une enfant. « Alors … merci … d’avoir été là, un peu … beaucoup. » elle embrasse sa joue tendrement avant de coller son front à la tempe du garçon « Je sais que … enfin Yegi m’a dit que … t’étais furieux alors … je suis désolée de t’avoir … fâché … » dit-elle dans un souffle avec une innocence douloureuse. Ce n’est pas ta faute Bae. Pourtant, encore aujourd’hui elle s’en persuade parce que personne ne lui a dit ces mots. Invité
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Re: BAEKAN ♥ WE'RE HOME FREE BABY | Dim 5 Mar - 18:40
Ils sont enfants et ils sont beaux, dans toute cette maladresse destructrice qui les caractérise. ils jouent et sont doux pourtant ils brûlent de l'intérieur. de l'autre et d'eux-même, rongés par leur démons. ils sont pareils, fou d'un autre fantôme, d'un amour indéfini.
l'avoir contre lui le rend plus doux, plus apaisé. c'est si contrasté de ce qu'il est parfois, si malsain et dangereusement énervé. là ou c'est compliqué, c'est qu'il sait très bien qu'elle est le seul remède au feu qu'elle-même à allumé dans son coeur. il la couve du regard autant qu'il la dévore, il la protège autant qu'il lui fait du mal. A-t'elle réellement trouver un peu refuge chez lui ? le garçon ferme les yeux en rigolant avant de tousser un peu, cassant sa voix rauque. « arrête, t'cherches la merde. » qu'il dit en cachant son visage contre elle, elle qui se plaint de pas savoir dessiner, qu'elle va le rater. Il soupire contre sa peau mais prend même pas la peine de répliquer parce qu'il sait qu'elle le fera quand même, elle aura pas l'choix de toute façon, et puis elle va trop aimer le voir serrer des dents, avoir sa peau rien que pour elle, à sa merci.
puis bae lui dit, pleins de choses et rien à la fois, pourtant à travers ses faux-mots il entend tout. il sait de quoi elle parle, il comprend tout. Il se tait, il écoute, mais il s'énerve intérieurement qu'elle puisse penser que c'est sa faute. Alors kan relève le regard, froid glace et pourtant beaucoup trop chaud et imprévisible. Il était furieux ce soir là. Il à taper dans un mur trop fort ce soir là. Mais n'as pas que taper dans un mur, il à aussi chercher et chercher le fautif. Ou du moins, il à mis tout ses sbires sur le coup, lui enchaîné à sa bae, incapable de la laisser. Kan plonge son regard dans celui de bae, la force à se redresser un peu, passe ses deux pouces froids sur les joues de sa belle pour essuyer ses larmes. « c'est pas.. - il tousse - c'est pas d'ta faute, bo bae. » il caresse ses joues avec peut-être un peu trop de force, tenant trop précieusement le plus pur des diamants. « c'est pas d'ta faute du tout, ok ? c'est ce connard qui mérite de mourir, c'est lui, ce fils de chien. c'est pas d'ta faute. » il est pas doux kan, il sait pas faire, mais il à tellement, tellement envie d'lui détruire la gueule, de lui faire subir ce qu'il à fait. Il serre la mâchoire, refuse de laisser monter la colère. Alors il ferme doucement les yeux, inspire, la regarde à nouveau. « j'te tatoue? » sourire. courage. force à deux, à nous.
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Ils sont enfants et ils sont beaux, dans toute cette maladresse destructrice qui les caractérise. ils jouent et sont doux pourtant ils brûlent de l'intérieur. de l'autre et d'eux-même, rongés par leur démons. ils sont pareils, fou d'un autre fantôme, d'un amour indéfini. l'avoir contre lui le rend plus doux, plus apaisé. c'est si contrasté de ce qu'il est parfois, si malsain et dangereusement énervé. là ou c'est compliqué, c'est qu'il sait très bien qu'elle est le seul remède au feu qu'elle-même à allumé dans son coeur. il la couve du regard autant qu'il la dévore, il la protège autant qu'il lui fait du mal. A-t'elle réellement trouver un peu refuge chez lui ? le garçon ferme les yeux en rigolant avant de tousser un peu, cassant sa voix rauque. « arrête, t'cherches la merde. » qu'il dit en cachant son visage contre elle, elle qui se plaint de pas savoir dessiner, qu'elle va le rater. Il soupire contre sa peau mais prend même pas la peine de répliquer parce qu'il sait qu'elle le fera quand même, elle aura pas l'choix de toute façon, et puis elle va trop aimer le voir serrer des dents, avoir sa peau rien que pour elle, à sa merci.
puis bae lui dit, pleins de choses et rien à la fois, pourtant à travers ses faux-mots il entend tout. il sait de quoi elle parle, il comprend tout. Il se tait, il écoute, mais il s'énerve intérieurement qu'elle puisse penser que c'est sa faute. Alors kan relève le regard, froid glace et pourtant beaucoup trop chaud et imprévisible. Il était furieux ce soir là. Il à taper dans un mur trop fort ce soir là. Mais n'as pas que taper dans un mur, il à aussi chercher et chercher le fautif. Ou du moins, il à mis tout ses sbires sur le coup, lui enchaîné à sa bae, incapable de la laisser. Kan plonge son regard dans celui de bae, la force à se redresser un peu, passe ses deux pouces froids sur les joues de sa belle pour essuyer ses larmes. « c'est pas.. - il tousse - c'est pas d'ta faute, bo bae. » il caresse ses joues avec peut-être un peu trop de force, tenant trop précieusement le plus pur des diamants. « c'est pas d'ta faute du tout, ok ? c'est ce connard qui mérite de mourir, c'est lui, ce fils de chien. c'est pas d'ta faute. » il est pas doux kan, il sait pas faire, mais il à tellement, tellement envie d'lui détruire la gueule, de lui faire subir ce qu'il à fait. Il serre la mâchoire, refuse de laisser monter la colère. Alors il ferme doucement les yeux, inspire, la regarde à nouveau. « j'te tatoue? » sourire. courage. force à deux, à nous.
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