Page 1 sur 5 • 1, 2, 3, 4, 5
Park Jae Sun ;; Bonjour, bienvenue D:
Invité
Invité
Park Jae Sun ;; Bonjour, bienvenue D: | Dim 13 Nov 2016 - 1:12 Citer EditerSupprimer
nom : Park prénom : Jae Sun âge : 23 ans date et lieu de naissance : 1er mai origines : narmol coréen nationalité : coréen cursus universitaire : 5e année de droit métier : baa, si être étudiant c'est plus un métier pour toi, je sais même pas pourquoi tu me parles.. orientation sexuelle : j'aime les pêches et les bananes okay... classe sociale : riche, niveau crésus code du règlement : Ok par iMked ,tu veux t'investir ? mouiiiii
Park Jae Sun
Canicule à la Saint Raoul, héritage qui raboule
INSTRESSABLE (★★★★✰) | MANIPULATEUR (★★★★★) | ATTENTIF ATOUT (★★★✰✰) | AUTORITAIRE (★★★★★) | ORDONNE (★★★★★) |
TROP ORDONNE (★★★★✰) | GENEREUX (★★★✰✰) | GROS PERVERS (★★★★★) | RICHE (★★★★★) | HYPOCRITE (★★★★★) |
Rumour has it... Avec ses grands airs de mannequin macho, Jae Sun serait en fait plutôt attirer par les gens de l'immeuble d'en face, qu'il préférerait manger des Mr Freeze que des moules marinières, qu'il préfererait manger des bananes plutôt que deux pamplemousses, enfin tu m'as compris... Survole l'avatar, petit coquin. | My character L'histoire de Jae a fait de lui ce qu'il est aujourd'hui. A la base, c'était un petit mec extrêmement gentil, assez débrouillard et plutôt suiveur, notamment de son frère Kwang Ho. Aujourd'hui, il a 23 ans, il est burné, il a des cicatrices sur le torse et des fesses bien musclées : en un mot, c'est un vrai homme, même s'il garde en lui l'enfant qu'il était, jadis... Le mot qui le définirait le mieux, c'est.... Hypocrisie. En effet, Jae Sun n'aime pas vraiment les conflits, c'est un pacifiste mais surtout quelqu'un de très fourbe qui est capable de lécher le cul de n'importe quel connard si ça lui vaudrais de rester en paix ou bien de bien se faire voir. C'est un politicien né qui sait mentir comme un arracheur de dents, qui sait te caresser dans le sens du poil pour entendre ce que tu veux entendre et du coup, pour qu'il obtienne ce qu'il voulait de toi. Tous les actes gentillets, sympathiques, attentionnés qu'il fait, ce sera toujours avec une idée derrière la tête. En vrai, il méprise la plupart des gens mais ça, tu ne le sauras jamais, héhé. Il a bien compris qu'il a besoin des autres pour avancer, à son plus grand désespoir, crois moi bien. Il est conscient de sa valeur et comme étant petit, Jae a souvent été rabaissé plus bas que terre, aujourd'hui, il se rince bien avec l'argent de la famille. Il est en effet très bling-bling , cupide même je dirais. L'argent, il se lave presque avec et est assez bobo et classe souvent les gens par la taille de leur porte-monnaie. En gros, il ne traîne pas avec les gens du peuple, c'est un connard de snob et il le sait bien. Il se fringue qu'en marque de luxe et adore étaler sa richesse même si par les mots, il reste très humble mais comme tu le sais, Jae est un hypocrite, héhé. Mais s'il y a quelque chose de bien en lui, c'est son côté protecteur, son épaule solide sur lequel tu peux te reposer. (et que se soit fake ou pas, tu ne peux pas le savoir de toute manière) Tu sais qu'il ne t'abandonnera pas dans les soucis et même si ça te vaudra une faveur à lui rendre, tu te sens vachement en confiance à ses côtés comme si rien ne pouvait t'atteindre et t'arriver. Jae sait cultiver cet aspect de sa personnalité puisqu'il saura être une oreille attentive pour toi et essayera de t'aider (bien qu'il cherchera toujours son intérêt quelque part héhé) Dans le privé, avec des gens soigneusement triés sur le volet, Jae s'enjaille, devient un gamin de 14 ans, ne cesse de dire les pires conneries. Il aime bien l'humour noir plutôt trash et en utilise beaucoup surtout lorsqu'il est gêné. En parlant de ça, il essaye de ne jamais montrer qu'il l'est même si les gens qui le connaisse bien sauront exactement à quel moment il l'est. Avec ses potes, Jae c'est le plus grand des connards. Disons que plus il est proche des gens, plus il devient un chien et adore leur faire des blagues de très mauvais goûts, des blagues bien dégueulasses. Comme on dit, « Tu parles de ta sexualité avec tes amis, mais tu parles de ton caca à tes meilleurs amis ». Franchement, y'a pas phrase plus proche de la réalité. Si Jae commence à t'insulter pour t'interpeller, sois heureux car tu as été accepté dans son clan, connard. Il a un problème avec l'ordre... C'est clair et net. Il est limite psychorigide et ne supporte pas qu'on touche à ses affaires persos. Est-ce que lui s'amuser à farfouiller dans ton anus ? Non, alors reste à ta place. La métaphore est un peu forte mais quand on s'immisce dans son intimité comme ça, quand on rentre dans sa chambre par exemple, il se sent vraiment comme violé. C'est pour cela qu'il n'invite quasiment jamais personne chez lui. Son frère ne fait pas exception. Mais ce petit bâtard à tendance à s'en foutre et touche à tout... Alors forcément, Jae lui tombe souvent dessus et le fouette, lui gueule beaucoup dessus. Tiens d'ailleurs, est-ce que Jae est violent comme mec ? Non, pas vraiment... Il ne veut pas que les gens lambdas puissent voir le côté sombre de sa personnalité. Il y a bien un black Jae, mais il faut vraiment le chercher pour le trouver. Il préfère l'éloquence à la baston, c'est clair. Par contre, il ne supporte pas qu'on lui marche dessus, qu'on lui manque de respect et qu'on lui donne des conseils pour gérer sa propre vie. Là-dessus, Jae à une grosse gueule et saura faire preuve de mauvaise foi pour protéger son honneur, mais il ira rarement se bagarrer comme un chiffonnier. C'est bon que pour les paysans, ça. A part ça, il faut savoir que Jae est l'homme d'une seule femme, ou d'un seul homme. Il est pas du genre à niquer à droite à gauche sans arrêt, ça ne l’intéresse pas. Il est fidèle et compagnie mais il a du mal avec le romantisme. Il sait séduire les gens mais ne sait pas être romantique. C'est un gros bourrin de ce côté là, personne n'est parfait, tu me diras ! |
This is my story
Je suis sexy, je m'aime, je me ferais volontiers l'amour
« Tiens, le Jae Sun ne finira pas par être une menace pour son frère Kwang Ho ? Tu sais rapport à la succession du clan … ? J'ai peur que ça éclate un jour avec cette histoire et nous, hop, au chômage technique... »
Lorsque je suis né mon frère jumeau et moi, des tas de commérages de ce genre s'étaient déversés au sein du clan. Peut-être devrais-je préciser que par clan, j'entends clan mafieux, un véritable gang et pas des moindres, vu que c'était le plus puissant de toute la Corée. Notre famille était connue dans le milieu comme celle qui avait la main mise sur tous les business souterrains et à l'étranger nous étions aussi reconnu. Voilà, tu places un peu mieux le contexte, hein ? Donc, au lieu de n'avoir qu'un seul successeur, on se retrouvait avec une paire de jumeaux et pour la majorité des gens, ça ne présageait rien de bon. Il fallait que le deuxième, moi, s'efface, qu'il ne fasse pas chier, qu'il reste dans son coin en silence. J'étais un peu le Monsieur, ce frère tapette de Louis XIV, qui ne devait jamais penser à être une menace pour son frère Kwangho, le successeur de tout le business.
Alors dans notre enfance, la différence je la sentais bien sûr, mais tout enfant que j'étais je ne me rendais pas bien compte de ce qu'il se tramait et l'amour fraternel pour mon aîné était bien là. Complètement fusionnels, on était inséparables même si les autres qui nous entouraient, comme nos tuteurs ou notre chien de grand-père, s'entêtaient à nous séparer. On ne devait pas avoir la même éducation, on devait tout faire pour me castrer, histoire que plus tard je n'aurai pas les couilles de défier mon frère. Mission accomplie puisque en grandissant je n'avais aucune prétention vis-à-vis de lui et je savais où était ma place. Ça m'allait, tout ça était trop de pression pour moi et puis surtout, le vieux papy me faisait trop flipper. Parce que tu vois, petits, on n'était pas des enfants de chœurs et des bêtises on en faisait beaucoup. Mais pour une raison obscure, c'était toujours Kwang Ho qu'on grondait, qu'on punissait, qu'on frappait même. Même si parfois je voulais le sauver d'une énième séance de correction, on m'ignorait presque. A force, j'en venais à penser que j'étais devenu complètement invisible et j'en étais arrivé à vouloir droit à ma fessée à moi... Ça fait pitié, hein ?
Que fallait-il faire pour que quelqu'un me remarque, hein ? Tuer Kwangho ? …. Même lorsqu'on se battait tous les deux, c'était lui et encore lui qu'on venait choper. Plus le temps passait, plus j'avais des sentiments mitigés vis-à-vis de lui. Je l'aimais de tout mon cœur, je pouvais littéralement crever pour lui, mais il me gonflait énormément et m'exaspérait trop souvent par ses caprices. Mais on m'avait appris à le laisser faire et finalement, je m'en accommodait, pas le choix de toute façon.
Hors contexte familial, j'étais assez nul à l'école et j'avais pas mal de cours du soir parce que je m’intéressais bien plus à jouer au foot avec les copains. De toute manière, personne ne se souciait de mes notes, de mes absences, des mots des profs dans le carnet. Plus tard, je pouvais devenir balayeur de rue ou même caissier que ça n'avait pas la moindre importance pour personne.
Le drame de notre vie : l'accident de nos parents, nous avions 11 ans. Cette époque était des plus traumatisante pour moi qui se voyait déjà perdre les 3 personnes les plus importantes. La perte de nos parents étaient déjà une épreuve insoutenable mais voir Kwangho dans ce lit d’hôpital, inconscient est une image que je n'oublierais jamais. Chaque jour je me levais avec l'angoisse, avec ce mauvais pressentiment que c'était fini, que je ne le reverrais plus jamais sourire... A partir de ce jour, le revoir dans un lit d’hôpital est alors devenue une véritable angoisse pour moi, une phobie même, comme si désormais, il était devenu bien plus fragile que moi. Du haut de mes 11 ans, je venais tous les jours rendre visite à son corps inanimé jusqu'à ce qu'il se réveille. Il n'était plus le même, normal vous me diriez.
C'est avec le grand-père qu'on devait vivre à présent. La discipline y était reine et il ne fallait pas chahuter, pas rire, rien. Déjà que de base, ce vieux me faisait très peur, vivre avec lui s'était avéré être l'enfer sur Terre. Bordel, mais il ne peut pas se détendre, péter un coup, se rouler un joint ?
Il y avait aussi Rahel, cette petite que ce vieux babouin avait adopté. Je l'aimais bien, elle était devenue très naturellement la 3e pièce essentielle à notre puzzle familiale. Même si intérieurement, je m'étais toujours demandé pourquoi un aussi vieux connard aurait voulu adopter une petite fille... J'avouerais que l'idée qu'il vienne la visiter le soir dans sa chambre m'avait traversé l'esprit mais bref..
Là-bas, heureusement que moi, j'avais toute la liberté que je voulais -tant que c'est en dehors de la maison du vieux papy- et c'est d'ailleurs étonnant que ce ne soit pas moi qui ait mal tourné. Quoique moi, je n'utilisais pas cette liberté pour me shooter à l'héro ou à m'enivrer sur un trottoir comme un clodo, ou aller perdre mon pucelage avec une tapin. Nan, moi je sortais souvent avec mes potes et me créait des délires d'étudiants normaux, genre s'acheter des fringues Balmain ou changer sa Rolex en une autre Rolex. Des trucs normaux quoi.
A 14 ans, on décida pour moi que la Corée ce n'était plus fait pour moi et on m'envoya étudier en France, à Paris. C'était une décision des plus arbitraires et je n'avais pas compris le pourquoi du comment. Qu'est-ce que j'allais bien foutre en France, chez ces mangeurs de grenouilles et d'escargots ?! Quoique c'est là bas que je pourrais violer les magasins Dior, Vuitton et compagnie.
Je devais quitter mon frère qui s'était renfermer de plus en plus face à l'éducation cruelle du papy et c'était la chose la plus difficile à faire au monde. J'avais l'impression de laisser mon chaton inoffensif devant la tanière d'un vieux lion affamé...
Le jour du départ, je m'étais juré de ne pas pleurer, que j'étais un bonhomme et qu'un homme ça ne pleure pas mais bordel, la douleur dépassait tout ce dont j'avais imaginé..
Me voilà partis à des milliers de kilomètres de mon pays natal pour un pays dont je ne connaissais rien à part que les Daft Punk et David Ghetta viennent de là-bas... Je n'avais comme interlocuteur coréen que ma tutrice, cette nounou qui m'avait quasiment élevé. Installé au pied de la Tour Eiffel, je devais me faire à cette nouvelle vie et surtout à l'absence du frangin. Je m'inquiétais beaucoup pour lui, certain qu'il ne survivrait pas sans moi, mais il y avait tellement de nouveautés dans ma vie que je n'avais plus trop loisir à penser à lui. Au début, j'étais au bord de la dépression certain que je ne me ferais jamais à cette vie parisienne. J'en venais à détester la France, les français, ses trottoirs pleins de cacas de chiens, son métro insalubre, son rock tout pourri et compagnie... Je ne savais pas ce que je foutais ici, je me sentais comme en prison mais en n'ayant aucune perspective de retour.
Je me disais que j'avais une vie de merde, depuis ma naissance, moi cette brebis qu'on sacrifiait toujours, j'étais le connard qu'on écarte de tout, j'avais ce genre de pensée.
Mais petit à petit, je me faisais de nouveaux amis et j'apprenais à me faire à cette vie, pas le choix de toute manière.
J'étais dans une classe composée d'élèves étrangers et comme en Corée, je ne me défonçais pas dans mes études. Je n'étais pas trop occupé à jouer au foot comme avant, mais un peu trop occupé à faire le petit coréen perdu, qui ne sait pas parler français afin de draguer ces petites françaises, en feignant l'étranger faible et solitaire. Et le pire c'était que cette technique toute pourrie fonctionnait à merveille. A 14 ans, j'étais devenu un homme avec une parisienne, cte classe sérieux.
C'est en France que j'ai appris ce qu'était le romantisme à la française et faut dire que même aujourd'hui, ça me sert encore beaucoup. C'est là-bas aussi que j'appris à devenir très indépendant, à me démerder tout seul. Je me suis forgé le caractère, appris à défendre mon beefsteak (à ne pas hésiter à se battre pour la copine du moment en gros ), à ne pas me faire marcher sur les pieds. Petit à petit, moi qui vivait dans l'ombre constante de mon frère, j'avais enfin l'impression de ne vivre que pour moi et cette sensation était vraiment kiffante même si lui et tout ce qu'il était continuait de me manquer énormément. J'aimais ma liberté et je ne l'échangerais pas, même pour 1 million de dollars. Mais à force de se croire trop libre, trop au-dessus du lot, on s'attire les foudres des autres simples mortels et forcément, un jour ça casse.
Une bagarre à l'école avait éclaté, et on s'était battu comme des chiens avec ce connard qui s'était permis de draguer ma copine. Une histoire complètement bête qui m'avait valu le renvoi immédiat. J'étais de retour en Corée après 4 ans et, c'est à l’hôpital que se sont fait les retrouvailles avec mon jumeau... Ma pire crainte s'était réalisée. Que s'était-il passé durant mon absence bon sang ?! Que lui était-il arrivé ? Ce n'est que bien plus tard que j'appris que c'était le papy qui avait fait ça à ce grand gaillard. A partir de là, j'ai décidé que je ne devais plus le laisser livré à lui même. On me dit aussi qu'il était à la tête d'un gang, ché pas quoi, qu'il se droguait, qu'il vivait une vie de débauché... Je ne comprenais rien à rien. Mais que lui était-il arrivé, merde ? Chef de gang ou quoi, j'en avais rien à foutre, je devais ramener mon frère à la raison. Je devais le travailler psychologiquement, y aller droit au but même si ça en lui plaît pas. J'avais même obtenu de lui qu'il aille consulter régulièrement un psy ce qui était un exploit en soit. Même moi, je n'y croyais pas pour tout dire.
Mais ce vieux qui ne veut pas casser la pipe qui nous sert de grand-père était contre ma présence à ses côtés, persuadé que je ne faisais que le rendre plus faible que jamais. En gros, je faisais de lui une tapette, puisque je suis moi-même une tapette selon lui... Donc, encore une fois, on m'exilait, me forçant à faire mon service militaire anticipé, laissant encore Kwangho livré à lui-même... Je pressentais que quelque chose allait arriver, mais lorsqu'on a une dizaine d'hommes de main du vieux qui me poussent gentiment vers la sortie, on se casse sans faire de bruit.
Mais voilà, pour la seconde fois maintenant, je suis de nouveau de retour. Non, monsieur ! On ne m'enterrera pas si facilement. On m'écarte, je rumine, puis je reviens encore plus fort MOUAHAHAHA.
Nous, on ne perd pas notre temps dans un gang. Nous avons un clan à diriger... Je dis nous, mais je parle de lui, bien sûr, huhu. Parce qu'entendons nous, Kwang Ho est devenu dépendant de moi, je suis son pilier et j'aime ça. J'aime être celui qui dirige l'acteur principal de notre pièce de théâtre. Mais, plus le temps passe, plus je m'inquiète pour ma marionnette qui ne cesse de se mettre en danger. S'il continue comme ça, il finira bientôt coucher à terre à admirer les étoiles pour toujours... Tout ce qu'il fait m'inquiète, ça m'énerve, mais je ne lui en dirais rien... Mais ce qui m'énerve le plus, c'est que toute mon histoire ne parle que de lui....
Lorsque je suis né mon frère jumeau et moi, des tas de commérages de ce genre s'étaient déversés au sein du clan. Peut-être devrais-je préciser que par clan, j'entends clan mafieux, un véritable gang et pas des moindres, vu que c'était le plus puissant de toute la Corée. Notre famille était connue dans le milieu comme celle qui avait la main mise sur tous les business souterrains et à l'étranger nous étions aussi reconnu. Voilà, tu places un peu mieux le contexte, hein ? Donc, au lieu de n'avoir qu'un seul successeur, on se retrouvait avec une paire de jumeaux et pour la majorité des gens, ça ne présageait rien de bon. Il fallait que le deuxième, moi, s'efface, qu'il ne fasse pas chier, qu'il reste dans son coin en silence. J'étais un peu le Monsieur, ce frère tapette de Louis XIV, qui ne devait jamais penser à être une menace pour son frère Kwangho, le successeur de tout le business.
Alors dans notre enfance, la différence je la sentais bien sûr, mais tout enfant que j'étais je ne me rendais pas bien compte de ce qu'il se tramait et l'amour fraternel pour mon aîné était bien là. Complètement fusionnels, on était inséparables même si les autres qui nous entouraient, comme nos tuteurs ou notre chien de grand-père, s'entêtaient à nous séparer. On ne devait pas avoir la même éducation, on devait tout faire pour me castrer, histoire que plus tard je n'aurai pas les couilles de défier mon frère. Mission accomplie puisque en grandissant je n'avais aucune prétention vis-à-vis de lui et je savais où était ma place. Ça m'allait, tout ça était trop de pression pour moi et puis surtout, le vieux papy me faisait trop flipper. Parce que tu vois, petits, on n'était pas des enfants de chœurs et des bêtises on en faisait beaucoup. Mais pour une raison obscure, c'était toujours Kwang Ho qu'on grondait, qu'on punissait, qu'on frappait même. Même si parfois je voulais le sauver d'une énième séance de correction, on m'ignorait presque. A force, j'en venais à penser que j'étais devenu complètement invisible et j'en étais arrivé à vouloir droit à ma fessée à moi... Ça fait pitié, hein ?
Que fallait-il faire pour que quelqu'un me remarque, hein ? Tuer Kwangho ? …. Même lorsqu'on se battait tous les deux, c'était lui et encore lui qu'on venait choper. Plus le temps passait, plus j'avais des sentiments mitigés vis-à-vis de lui. Je l'aimais de tout mon cœur, je pouvais littéralement crever pour lui, mais il me gonflait énormément et m'exaspérait trop souvent par ses caprices. Mais on m'avait appris à le laisser faire et finalement, je m'en accommodait, pas le choix de toute façon.
Hors contexte familial, j'étais assez nul à l'école et j'avais pas mal de cours du soir parce que je m’intéressais bien plus à jouer au foot avec les copains. De toute manière, personne ne se souciait de mes notes, de mes absences, des mots des profs dans le carnet. Plus tard, je pouvais devenir balayeur de rue ou même caissier que ça n'avait pas la moindre importance pour personne.
Le drame de notre vie : l'accident de nos parents, nous avions 11 ans. Cette époque était des plus traumatisante pour moi qui se voyait déjà perdre les 3 personnes les plus importantes. La perte de nos parents étaient déjà une épreuve insoutenable mais voir Kwangho dans ce lit d’hôpital, inconscient est une image que je n'oublierais jamais. Chaque jour je me levais avec l'angoisse, avec ce mauvais pressentiment que c'était fini, que je ne le reverrais plus jamais sourire... A partir de ce jour, le revoir dans un lit d’hôpital est alors devenue une véritable angoisse pour moi, une phobie même, comme si désormais, il était devenu bien plus fragile que moi. Du haut de mes 11 ans, je venais tous les jours rendre visite à son corps inanimé jusqu'à ce qu'il se réveille. Il n'était plus le même, normal vous me diriez.
C'est avec le grand-père qu'on devait vivre à présent. La discipline y était reine et il ne fallait pas chahuter, pas rire, rien. Déjà que de base, ce vieux me faisait très peur, vivre avec lui s'était avéré être l'enfer sur Terre. Bordel, mais il ne peut pas se détendre, péter un coup, se rouler un joint ?
Il y avait aussi Rahel, cette petite que ce vieux babouin avait adopté. Je l'aimais bien, elle était devenue très naturellement la 3e pièce essentielle à notre puzzle familiale. Même si intérieurement, je m'étais toujours demandé pourquoi un aussi vieux connard aurait voulu adopter une petite fille... J'avouerais que l'idée qu'il vienne la visiter le soir dans sa chambre m'avait traversé l'esprit mais bref..
Là-bas, heureusement que moi, j'avais toute la liberté que je voulais -tant que c'est en dehors de la maison du vieux papy- et c'est d'ailleurs étonnant que ce ne soit pas moi qui ait mal tourné. Quoique moi, je n'utilisais pas cette liberté pour me shooter à l'héro ou à m'enivrer sur un trottoir comme un clodo, ou aller perdre mon pucelage avec une tapin. Nan, moi je sortais souvent avec mes potes et me créait des délires d'étudiants normaux, genre s'acheter des fringues Balmain ou changer sa Rolex en une autre Rolex. Des trucs normaux quoi.
A 14 ans, on décida pour moi que la Corée ce n'était plus fait pour moi et on m'envoya étudier en France, à Paris. C'était une décision des plus arbitraires et je n'avais pas compris le pourquoi du comment. Qu'est-ce que j'allais bien foutre en France, chez ces mangeurs de grenouilles et d'escargots ?! Quoique c'est là bas que je pourrais violer les magasins Dior, Vuitton et compagnie.
Je devais quitter mon frère qui s'était renfermer de plus en plus face à l'éducation cruelle du papy et c'était la chose la plus difficile à faire au monde. J'avais l'impression de laisser mon chaton inoffensif devant la tanière d'un vieux lion affamé...
Le jour du départ, je m'étais juré de ne pas pleurer, que j'étais un bonhomme et qu'un homme ça ne pleure pas mais bordel, la douleur dépassait tout ce dont j'avais imaginé..
Me voilà partis à des milliers de kilomètres de mon pays natal pour un pays dont je ne connaissais rien à part que les Daft Punk et David Ghetta viennent de là-bas... Je n'avais comme interlocuteur coréen que ma tutrice, cette nounou qui m'avait quasiment élevé. Installé au pied de la Tour Eiffel, je devais me faire à cette nouvelle vie et surtout à l'absence du frangin. Je m'inquiétais beaucoup pour lui, certain qu'il ne survivrait pas sans moi, mais il y avait tellement de nouveautés dans ma vie que je n'avais plus trop loisir à penser à lui. Au début, j'étais au bord de la dépression certain que je ne me ferais jamais à cette vie parisienne. J'en venais à détester la France, les français, ses trottoirs pleins de cacas de chiens, son métro insalubre, son rock tout pourri et compagnie... Je ne savais pas ce que je foutais ici, je me sentais comme en prison mais en n'ayant aucune perspective de retour.
Je me disais que j'avais une vie de merde, depuis ma naissance, moi cette brebis qu'on sacrifiait toujours, j'étais le connard qu'on écarte de tout, j'avais ce genre de pensée.
Mais petit à petit, je me faisais de nouveaux amis et j'apprenais à me faire à cette vie, pas le choix de toute manière.
J'étais dans une classe composée d'élèves étrangers et comme en Corée, je ne me défonçais pas dans mes études. Je n'étais pas trop occupé à jouer au foot comme avant, mais un peu trop occupé à faire le petit coréen perdu, qui ne sait pas parler français afin de draguer ces petites françaises, en feignant l'étranger faible et solitaire. Et le pire c'était que cette technique toute pourrie fonctionnait à merveille. A 14 ans, j'étais devenu un homme avec une parisienne, cte classe sérieux.
C'est en France que j'ai appris ce qu'était le romantisme à la française et faut dire que même aujourd'hui, ça me sert encore beaucoup. C'est là-bas aussi que j'appris à devenir très indépendant, à me démerder tout seul. Je me suis forgé le caractère, appris à défendre mon beefsteak (à ne pas hésiter à se battre pour la copine du moment en gros ), à ne pas me faire marcher sur les pieds. Petit à petit, moi qui vivait dans l'ombre constante de mon frère, j'avais enfin l'impression de ne vivre que pour moi et cette sensation était vraiment kiffante même si lui et tout ce qu'il était continuait de me manquer énormément. J'aimais ma liberté et je ne l'échangerais pas, même pour 1 million de dollars. Mais à force de se croire trop libre, trop au-dessus du lot, on s'attire les foudres des autres simples mortels et forcément, un jour ça casse.
Une bagarre à l'école avait éclaté, et on s'était battu comme des chiens avec ce connard qui s'était permis de draguer ma copine. Une histoire complètement bête qui m'avait valu le renvoi immédiat. J'étais de retour en Corée après 4 ans et, c'est à l’hôpital que se sont fait les retrouvailles avec mon jumeau... Ma pire crainte s'était réalisée. Que s'était-il passé durant mon absence bon sang ?! Que lui était-il arrivé ? Ce n'est que bien plus tard que j'appris que c'était le papy qui avait fait ça à ce grand gaillard. A partir de là, j'ai décidé que je ne devais plus le laisser livré à lui même. On me dit aussi qu'il était à la tête d'un gang, ché pas quoi, qu'il se droguait, qu'il vivait une vie de débauché... Je ne comprenais rien à rien. Mais que lui était-il arrivé, merde ? Chef de gang ou quoi, j'en avais rien à foutre, je devais ramener mon frère à la raison. Je devais le travailler psychologiquement, y aller droit au but même si ça en lui plaît pas. J'avais même obtenu de lui qu'il aille consulter régulièrement un psy ce qui était un exploit en soit. Même moi, je n'y croyais pas pour tout dire.
Mais ce vieux qui ne veut pas casser la pipe qui nous sert de grand-père était contre ma présence à ses côtés, persuadé que je ne faisais que le rendre plus faible que jamais. En gros, je faisais de lui une tapette, puisque je suis moi-même une tapette selon lui... Donc, encore une fois, on m'exilait, me forçant à faire mon service militaire anticipé, laissant encore Kwangho livré à lui-même... Je pressentais que quelque chose allait arriver, mais lorsqu'on a une dizaine d'hommes de main du vieux qui me poussent gentiment vers la sortie, on se casse sans faire de bruit.
Mais voilà, pour la seconde fois maintenant, je suis de nouveau de retour. Non, monsieur ! On ne m'enterrera pas si facilement. On m'écarte, je rumine, puis je reviens encore plus fort MOUAHAHAHA.
Nous, on ne perd pas notre temps dans un gang. Nous avons un clan à diriger... Je dis nous, mais je parle de lui, bien sûr, huhu. Parce qu'entendons nous, Kwang Ho est devenu dépendant de moi, je suis son pilier et j'aime ça. J'aime être celui qui dirige l'acteur principal de notre pièce de théâtre. Mais, plus le temps passe, plus je m'inquiète pour ma marionnette qui ne cesse de se mettre en danger. S'il continue comme ça, il finira bientôt coucher à terre à admirer les étoiles pour toujours... Tout ce qu'il fait m'inquiète, ça m'énerve, mais je ne lui en dirais rien... Mais ce qui m'énerve le plus, c'est que toute mon histoire ne parle que de lui....
About me
Je suis...
Wa-HOO
La vérité, jai pas de pseudo donc, j'ai mis ça mais je me sens pas du tout associé à ce pseudo
Je vais rien dire sur moi, tu vas penser que je suis froide, associable et tout, mais la vérité, j'ai vraiment rien à dire puis tout le monde s'en fout, moi la première héhéhé je suis sympa c'est déjà ça
bon bisous,
Je me connecte tous les jours mais pas forcément pour poster hhhéhé
Je vais rien dire sur moi, tu vas penser que je suis froide, associable et tout, mais la vérité, j'ai vraiment rien à dire puis tout le monde s'en fout, moi la première héhéhé je suis sympa c'est déjà ça
bon bisous,
Je me connecte tous les jours mais pas forcément pour poster hhhéhé
PV pris
- Code:
[url=http://www.shaketheworld.net/u1032][b]▲[/b][/url][url=http://www.shaketheworld.net/t5430-choi-seung-hyeon-park-jae-sun]▼[/url] <taken><upper>CHOI SEUNG HYUN ( TOP, BIG BANG)</upper></taken> ✎ <lower>park jae sun</lower>
Supprimez le code inutile
Invité
Invité
Re: Park Jae Sun ;; Bonjour, bienvenue D: | Dim 13 Nov 2016 - 1:13 Citer EditerSupprimer
BB
C TROP BIEN T LA
JE SUIS EN JOIE
MON VAGIN TRANSPIRE LE BONHEUR
Du love
C TROP BIEN T LA
JE SUIS EN JOIE
MON VAGIN TRANSPIRE LE BONHEUR
Du love
Invité
Invité
Re: Park Jae Sun ;; Bonjour, bienvenue D: | Dim 13 Nov 2016 - 1:16 Citer EditerSupprimer
OMG mais j'étais tellement pas préparé à voir ce mot en V
XDDDDDD
MERCI EN TOUT CAS MA FUTURE AMOUREUSE
XDDDDDD
MERCI EN TOUT CAS MA FUTURE AMOUREUSE
Invité
Invité
Re: Park Jae Sun ;; Bonjour, bienvenue D: | Dim 13 Nov 2016 - 1:16 Citer EditerSupprimer
OH YEAH pas mal le retour du jumeau
Bienvenue parmi nous, bon courage pour ta fiche
Bienvenue parmi nous, bon courage pour ta fiche
Invité
Invité
Re: Park Jae Sun ;; Bonjour, bienvenue D: | Dim 13 Nov 2016 - 1:22 Citer EditerSupprimer
woahhaha le jumeau TOP !!
bienvenue à toi ♥ et have fun avec ce personnage, j'avais déjà lu le scénario et il est so cool t'as bien fait de le prendre
bienvenue à toi ♥ et have fun avec ce personnage, j'avais déjà lu le scénario et il est so cool t'as bien fait de le prendre
Invité
Invité
Re: Park Jae Sun ;; Bonjour, bienvenue D: | Dim 13 Nov 2016 - 1:26 Citer EditerSupprimer
Bienvenue parmi nous
Si tu as la moindre question, n'hésite surtout pas
Si tu as la moindre question, n'hésite surtout pas
Invité
Invité
Re: Park Jae Sun ;; Bonjour, bienvenue D: | Dim 13 Nov 2016 - 1:27 Citer EditerSupprimer
Bienvenue parmi nous
TOP on ne s'en lasse pas
Bon courage pour ta fiche, très bon choix de scénario
Su tu as une question, n'hésite pas
TOP on ne s'en lasse pas
Bon courage pour ta fiche, très bon choix de scénario
Su tu as une question, n'hésite pas
Invité
Invité
Re: Park Jae Sun ;; Bonjour, bienvenue D: | Dim 13 Nov 2016 - 1:37 Citer EditerSupprimer
TOP IL EST TELLEMENT CANON
bienvenue parmi nous j'espere que tu te plairas ici et courage pour ta fiche
bienvenue parmi nous j'espere que tu te plairas ici et courage pour ta fiche
Invité
Invité
Re: Park Jae Sun ;; Bonjour, bienvenue D: | Dim 13 Nov 2016 - 1:45 Citer EditerSupprimer
Je suis pas sur le bon compte pour dire ce que j'allais dire mais en attendant :
BIENVENUUUUUUUUE !
Bon courage pour ta fiche !
BIENVENUUUUUUUUE !
Bon courage pour ta fiche !
Invité
Invité
Re: Park Jae Sun ;; Bonjour, bienvenue D: | Dim 13 Nov 2016 - 2:03 Citer EditerSupprimer
mais merci les amis !
Mais allez au lit, voyons >.<
Mais allez au lit, voyons >.<
Contenu sponsorisé
Page 1 sur 5 • 1, 2, 3, 4, 5