Bang Iseul ; les dingues et les paumés jouent avec leurs valises.
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Bang Iseul ; les dingues et les paumés jouent avec leurs valises. | Mar 22 Nov - 20:38 Citer EditerSupprimer
nom : bang. prénom : iseul. âge : vingt-cinq ans. date et lieu de naissance : vingt avril quatre-vintgt-onze, busan. origines : coréennes. nationalité : coréenne. cursus universitaire : première année de doctorat en chimie. métier : kan lui donne l'équivalant d'un salaire chaque mois. orientation sexuelle : hétérosexuelle. classe sociale : moyenne. code du règlement : ok par iMked tu veux t'investir ? oui
Bang Iseul
SI PARTIR C'EST MOURIR UN PEU, J'AI PASSÉ MA VIE À M'EN ALLER
patiente (★★★✰✰) | opportuniste (★★✰✰✰) | discrète (★★★★★) | méfiante (★★★★✰) | débrouillarde (★★★★★) |
solitaire (★★★★✰) | libre (★★✰✰✰) | menteuse (★★★✰✰) | sensible (★★★★✰) | observatrice (★★★★★) |
Rumour has it... Iseul, ça parle pas vraiment d'elle, elle passe inaperçue et évite les gens ; mais comme tout le monde à Yonsei, y a quand même deux-trois bruits qui courent sur elle Survole l'avatar, petit coquin. | My character Tu n'as jamais beaucoup parlé. Toi, t'as toujours préféré pleurer dans ton coin plutôt qu'aller demander de l'aide à qui que ce soit. Trop pudique, trop timide, tu marches constamment de ton allure effacée, le regard rivé sur le sol ; tu n'aimes pas les gens. Tu les as trop observé, les a trop compris - et ils te donnent envie de vomir, tous ces éternels insatisfaits qui possèdent le monde. Ils font monter la rage dans tes veines, ces idiots consommateurs creusant chaque jour l'écart entre riches et pauvres ; et ils te font frémir, ces monstres protagonistes de tes cauchemars d'enfant. Parfois, t'aimerais refaire le passé, revenir en arrière et ne pas comprendre tout ce que tu as appris. Peut-être alors qu'acheter une nouvelle veste te remplirait de joie, peut-être qu'un film au cinéma te ferait te sentir complète - mais tu n'y arrives pas, tu ne tires aucun bénéfice des divertissements proposés par notre société. Et tu as peur ; peur de la différence, peur de la mise à l'écart, peur d'être marginale - pourtant tu l'es si bien. Cheveux décoiffés, vêtements désaccordés, tu te désintéresses de ton apparence, tu te désintéresses des idioties qu'on nous balance en priorité. En quête éternelle du bonheur disparu, l'espoir te fait tenir debout, te motive et t'emplie de force. Tu es forte, Iseul, tellement forte - mais tu te vois si faible. Tu as peur, constamment. Peur des autres, peur de toi, peur de l'avenir. Une terreur qui te complète et est tienne depuis trop d'années - une tyrannie qui, cependant, a fait de toi une femme méfiante et analyste qu'on ne trompe pas. Tu es maligne, Iseul. Tu observes, comprends et acceptes ce dont tu es témoin. Tu ne te voiles pas la face, avançant sans peines grâce à tes armes aiguisées ; mais tu manipules, Iseul. Sans vouloir à mal, tu es menteuse, ta personne toute entière n'est qu'illusion pour tromper les aventuriers téméraires qui s'oseraient à chercher à te connaître. Tu ne veux pas être connue, tu ne veux pas être entourée - tu veux être en sécurité et tu y arrives, avec brio, en semblant être la femme la plus banale qui soit. Détentrice d'un masque lisse, tu n'es personne, tu ne parles que de pluie et de beau temps ; et suite à de nombreux calculs minutieux, tu tâches de paraître creuse et inintéressante. Ton nom ne résonne ainsi dans aucun couloir, tu es invisible et enfin, tu te sens bien. Tu n'attises ni haines, ni convoitises - tu peux être toi sans jugements, sans avoir à répondre à de quelconques attentes. Tu es libre et tu as travaillé si dur pour ça. Oui, tu es libre, tu es toi, mais tu es cachée derrière cette façade si subtilement faite sur-mesure. L'invisibilité te fait du bien autant qu'elle te détruit car, Iseul, tu te sens si seule. Et ça te manque, parfois, de recevoir un semblant de considération ; mais tu en es persuadée, un jour, tu obtiendras cette plénitude tant attendue. Tu n'es que bonté et optimisme, et tu attends. Tu es la fille qui attend, depuis des années, un signe du destin ou de ce seigneur auquel tu adresses tes prières. Jamais tu ne perds espoir, mais rien ne semble venir et tu es toujours là, à lutter pour éviter les innombrables difficultés. Et, peu à peu, tu réalises y être habituée. La douleur, la peine, l'angoisse et l'incompréhension - tu es l'esclave de ces ressentis incontrôlables. Et plus tu as mal, plus tu t'isoles, plus tu en souffres - prolongeant la boucle infernale. |
This is my story
JE LAISSE MA PLACE AUX NOUVEAUX NÉS SUR LE MARCHÉ DES MORTS VIVANTS
L'odeur médicamenteuse, le froid métallique, l'angoisse transcendante ; ton corps se crispe, ta transpiration dégouline de ton front, et tu dors. Encore. Tu restes endormie malgré la douleur omniprésente de ce cauchemar quotidien et bien trop détaillé à ton goût - mais tu en as désormais l'habitude, s'agissant toujours du même. Toujours l'identique illusion d'y être. Les murs bétonnés, les gamins déglingués, rien n'a bougé et tu sembles de retour dans le corps de tes huit ans. Pourquoi cette époque là ? Tu te le demandes, même endormie, ne sachant pas en quoi elle fut pire que les autres - là-bas, chaque semaine était semblable à celle précédente. Et c'est peut-être là tout le sadisme de ton subconscient fatiguée : te faire revivre une banale journée en enfer.
Les larmes dévalent à présent sur tes joues, tandis que tu te réveilles en sursaut, ta respiration saccadée. Tu y étais, encore. Tu pouvais les voir, les sentir et, de peu, tu aurais pu toucher leurs visages. Et ça t'a terrifié. Après toutes ces années, la peur s'empare encore de toi dès lors que ton esprit ose divaguer parmi les décombres de ta mémoire - et ça te fait mal. Tu souffres de ne toujours pas être capable d'avoir la force nécessaire afin d'oublier ou pardonner, mais tu n'y peux rien. La haine afflue toujours dans ton corps, le dégoût te prend encore l'estomac et des envies de violence te démangent les mains bien plus que dans le passé. Tu n'as pas assouvie ton besoin de vengeance et malgré la bonté dont tu voudrais faire preuve, tu n'y arrives pas : tu voudrais exterminer chacune de ces personnes qui, selon toi, ont détruit l'innocence que tu pouvais posséder enfant.
Et tu te plonges dans la mélancolie, te remémores la rue, les monstres faits de chair et de sang, la cupidité et la luxure. Tu te revois détruite, luttant pour la survie de ton âme - et tu ressens le travail, la fatigue et la peur. Cette peur qui revient constamment, qui ne te lâche pas d'une semelle et semble s'être confortablement installée dans ton esprit. Tu voudrais la bannir, lui faire comprendre qu'elle n'est plus la bienvenue ; mais, soudain, ta chambre te paraît si sombre. Et cette garce t'enveloppe à nouveau toute entière, te protégeant de Morphée. Alors, petit train-train habituel ; un peu d'herbe, une feuille et, comme chaque soir, un petit joint qui peut-être te permettra de dormir à plus de quatre heures du matin. Ton seul vice, ta dernière habitude de la rue - tu ne peux pas t'en passer, pas maintenant. Tu as beau offrir l'image d'une femme sans démons, tu brûles de l'intérieur, cris depuis tes entrailles ; mais personne ne t'entend et tu t'en es accommodée. Comme on dit, la vie est rarement facile pour les gens bien. Et tu espères être devenue quelqu'un de bien, toi qui auras passé ta vie à essayer de ne pas finir comme ceux t'empêchant aujourd'hui de fermer les yeux.
Des pleurs, un chat qui se lève dû au bruit, tu comprends que Miah elle-aussi s'est réveillée et, instantanément, tu te rends dans sa chambre afin de la prendre dans tes bras. Ton propre coeur se calme alors, tes épaules se détendent et tu la berces, un sourire emplie d'affection sur le visage. Cette gamine a changé ta vie et tu ne regrettes pas une seconde d'avoir accepté de rendre ce petit service. Tu l'aimes, ou alors aimes-tu l'illusion qu'on dépende de toi. Dans tous les cas, garder cette enfant a généré en toi un instinct maternel que tu ne soupçonnais pas - et tu te mets à rêver famille, à rêver maison, jardin et potager. Et ça te fait peur, comme à chaque fois que l'éventualité du bonheur t'effleures. Tu le veux et le repousses, tu l'espères et l'ignores, tu t'y accroches et le fuis. Éternel jeu malsain, tu te bats contre l'existence et elle se bat contre toi.
à savoir ;
elle est née sous X à busan+ elle n'a jamais connu ses parents + elle a donc grandi dans un orphelinat + elle ne fut jamais adoptée + son enfance aura été un vrai calvaire dont elle ne parle jamais + à douze ans, elle fugue et se retrouve dans la rue + dès lors, grâce aux bonnes personnes, elle échappe à de nombreux évènements qui l'auraient très certainement traumatisée + elle découvre un monde de souffrance et se met à rêver d'une vie simple et modeste + elle travaille d'arrache-pied afin de devenir, peut-être, une personne sans problèmes + petits boulots sur petits boulots, elle génère peu à peu le complexe de n'avoir jamais étudié + elle entreprend alors, en plus de son job, des cours du soir afin de rattraper le niveau national + et si le fonctionnement de notre société l'agace au plus haut point, elle comprend qu'elle n'aura pas d'autre choix que participer à ce jeu si populaire de l'esclave moderne + mais ses choix ne sont réellement déterminés que par les opportunités qu'elle reçoit + et elle suit Kan, unique repaire dans sa vie, partout où il va.
Les larmes dévalent à présent sur tes joues, tandis que tu te réveilles en sursaut, ta respiration saccadée. Tu y étais, encore. Tu pouvais les voir, les sentir et, de peu, tu aurais pu toucher leurs visages. Et ça t'a terrifié. Après toutes ces années, la peur s'empare encore de toi dès lors que ton esprit ose divaguer parmi les décombres de ta mémoire - et ça te fait mal. Tu souffres de ne toujours pas être capable d'avoir la force nécessaire afin d'oublier ou pardonner, mais tu n'y peux rien. La haine afflue toujours dans ton corps, le dégoût te prend encore l'estomac et des envies de violence te démangent les mains bien plus que dans le passé. Tu n'as pas assouvie ton besoin de vengeance et malgré la bonté dont tu voudrais faire preuve, tu n'y arrives pas : tu voudrais exterminer chacune de ces personnes qui, selon toi, ont détruit l'innocence que tu pouvais posséder enfant.
Et tu te plonges dans la mélancolie, te remémores la rue, les monstres faits de chair et de sang, la cupidité et la luxure. Tu te revois détruite, luttant pour la survie de ton âme - et tu ressens le travail, la fatigue et la peur. Cette peur qui revient constamment, qui ne te lâche pas d'une semelle et semble s'être confortablement installée dans ton esprit. Tu voudrais la bannir, lui faire comprendre qu'elle n'est plus la bienvenue ; mais, soudain, ta chambre te paraît si sombre. Et cette garce t'enveloppe à nouveau toute entière, te protégeant de Morphée. Alors, petit train-train habituel ; un peu d'herbe, une feuille et, comme chaque soir, un petit joint qui peut-être te permettra de dormir à plus de quatre heures du matin. Ton seul vice, ta dernière habitude de la rue - tu ne peux pas t'en passer, pas maintenant. Tu as beau offrir l'image d'une femme sans démons, tu brûles de l'intérieur, cris depuis tes entrailles ; mais personne ne t'entend et tu t'en es accommodée. Comme on dit, la vie est rarement facile pour les gens bien. Et tu espères être devenue quelqu'un de bien, toi qui auras passé ta vie à essayer de ne pas finir comme ceux t'empêchant aujourd'hui de fermer les yeux.
Des pleurs, un chat qui se lève dû au bruit, tu comprends que Miah elle-aussi s'est réveillée et, instantanément, tu te rends dans sa chambre afin de la prendre dans tes bras. Ton propre coeur se calme alors, tes épaules se détendent et tu la berces, un sourire emplie d'affection sur le visage. Cette gamine a changé ta vie et tu ne regrettes pas une seconde d'avoir accepté de rendre ce petit service. Tu l'aimes, ou alors aimes-tu l'illusion qu'on dépende de toi. Dans tous les cas, garder cette enfant a généré en toi un instinct maternel que tu ne soupçonnais pas - et tu te mets à rêver famille, à rêver maison, jardin et potager. Et ça te fait peur, comme à chaque fois que l'éventualité du bonheur t'effleures. Tu le veux et le repousses, tu l'espères et l'ignores, tu t'y accroches et le fuis. Éternel jeu malsain, tu te bats contre l'existence et elle se bat contre toi.
à savoir ;
elle est née sous X à busan
About me
Je suis...
Ton Pseudo
Salut Bon, bah j'ai pas vraiment de pseudo, à vrai dire ça va faire deux ou trois ans que j'ai pas rp, donc je me replonge petit à petit dans le bain et j'y ai pas encore réfléchi :bago: Sinon, j'ai vingt-et-un ans - polala, j'avais l'habitude d'écrire moins de dix-huit ans, le coup de vieux de fou - et je me suis laissée tenter par ce pv, qui est franchement bien foutu
PV pris
- Code:
[url=http://http://www.shaketheworld.net/u1046][b]▲[/b][/url][url=http://www.shaketheworld.net/t7743-byun-jung-ha-iseul]▼[/url] <taken><upper>KIM IRENE </upper></taken> ✎ <lower>pseudo membre</lower>
Supprimez le code inutile
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Re: Bang Iseul ; les dingues et les paumés jouent avec leurs valises. | Mar 22 Nov - 20:50 Citer EditerSupprimer
bjr la dinguerie, la beauté la princesse quoi
je sais plus ou me mettre
bonjour
je sais plus ou me mettre
bonjour
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Re: Bang Iseul ; les dingues et les paumés jouent avec leurs valises. | Mar 22 Nov - 20:51 Citer EditerSupprimer
je dp parce que j'ai pas déposé assez de love
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Re: Bang Iseul ; les dingues et les paumés jouent avec leurs valises. | Mar 22 Nov - 20:57 Citer EditerSupprimer
Bienvenue à toi
Excellent choix de pv, j'aurai un lien à te proposer
Bon courage pour ta fiche, have fun surtout
Bienvenue à toi
Excellent choix de pv, j'aurai un lien à te proposer
Bon courage pour ta fiche, have fun surtout
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Re: Bang Iseul ; les dingues et les paumés jouent avec leurs valises. | Mar 22 Nov - 20:58 Citer EditerSupprimer
salut t'es canon
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Re: Bang Iseul ; les dingues et les paumés jouent avec leurs valises. | Mar 22 Nov - 21:06 Citer EditerSupprimer
kan ; hey j'aime que tu dp comme ça
ji hoon ; merci je passerai sur ta fiche de lien quand j'aurai fini ma fiche du coup
yeon ju ; salut, et toi donc
ji hoon ; merci je passerai sur ta fiche de lien quand j'aurai fini ma fiche du coup
yeon ju ; salut, et toi donc
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Re: Bang Iseul ; les dingues et les paumés jouent avec leurs valises. | Mar 22 Nov - 21:40 Citer EditerSupprimer
Bienvenuuuuuuuuuuuuue
Bon courage pour ta fiche et have fun !
Bon courage pour ta fiche et have fun !
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Re: Bang Iseul ; les dingues et les paumés jouent avec leurs valises. | Mar 22 Nov - 22:47 Citer EditerSupprimer
Merciiii
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Re: Bang Iseul ; les dingues et les paumés jouent avec leurs valises. | Mar 22 Nov - 23:16 Citer EditerSupprimer
Pouahaha ça va le coup de vieux?
Rebienvenue dans le monde du rpg alors !!! J'adore ton choix de demoiselle, elle dégage un truc de fou...
Rebienvenue dans le monde du rpg alors !!! J'adore ton choix de demoiselle, elle dégage un truc de fou...
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Re: Bang Iseul ; les dingues et les paumés jouent avec leurs valises. | Mer 23 Nov - 0:43 Citer EditerSupprimer
BIENVENUE ou re !
tu fais un heureux en la prenant
HAVE FUN
tu fais un heureux en la prenant
HAVE FUN
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