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+18 ‹ j'arrive brutalement comme un coup d'état › ft. teresa
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+18 ‹ j'arrive brutalement comme un coup d'état › ft. teresa | Sam 28 Jan - 11:20 Citer EditerSupprimer
C'était ses yeux qui parcouraient la marée humaine, c'était son corps qui bougeait au rythme de la musique, c'était sa bouche qui absorbait tout les liquides, c'était son être qui était en train de communier avec le reste de la populace, englouti dans la chaleur des corps, dans la musique trop forte qui faisait raisonner tout ses organes à l'intérieur de lui, dans le plaisir charnel de ces femmes et de ces hommes qui ne cessaient de bouger les uns contre les autres. Il était bien là, il se sentait comme à sa place. C'était peut être l'alcool qui courrait dans ses veines qui avait la parole en ce moment, qui lui dictait ce qu'il devait penser, qui lui dictait qu'il ne devait pas penser, qu'il devait simplement profiter de l'instant comme il le faisait à chaque fois. Il avait perdu ses amis depuis longtemps, comme à chaque fois. C'était une sorte de rituel. Ils y allaient tous ensemble, Se Yun payait généreusement quelques tournées, puis quelques verres à des inconnus, et plus l'alcool faisait son chemin dans son système, plus sa générosité atteignait des plafonds. Il ne comptait plus le nombre de personne qui avait pu profiter de sa charité, il ne se souvenait plus de leur visage, plus de leur nom, plus d'eux tout simplement. Il se glissa plus profond dans la foule, souhaitant se perdre un peu plus, et que peut être on ne le retrouve plus. La rumeur avait circulé, qu'un mec au bar payait ses coups rien qu'en lui demandant, et il n'avait pas envie de subir le harcèlement de plus de personnes dont il se fichait éperdument. Mais ce furent les femmes qui se collèrent à lui dans la plèbe, ces chiennes qui ne pensaient qu'au sexe mais qui n'étaient là que pour le servir. Il en jeta une première, puis une autre. Elles étaient moches, elles étaient donc inutiles. Et puis, une autre avait attiré son regard, pour une fois. Il la rejoignit, se glissant derrière elle pour poser ses mains sur ses hanches. Une belle brune, au cheveux longs, le visage innocent, mais belle quand même, comme la femme objet qu'il s'imagine, celle qu'on a accroché au bras pour la montrer, mais qu'une fois hors du regard du public on utilise, on jète puis on oublie. Il fit bouger un peu ses mains sur son corps, comme tâtant la marchandise, comme s'il était en train d'acheter un légume. Il se pencha un peu, glissant à son oreille, assez fort pour qu'elle puisse entendre ‹ salut › Peut être était-il plus judicieux de l'émécher un peu plus, ça serait plus facile, mais là entre les corps, il était bien, et n'avait pas vraiment envie de bouger.
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Re: +18 ‹ j'arrive brutalement comme un coup d'état › ft. teresa | Sam 4 Fév - 18:03 Citer EditerSupprimer
Pas de compagnie ce soir. Pas de raï qui tentait de reprendre contact. Pas de jaesun qui avait proposé une balade dans ses palais luxueux. Pas de liren qui effleurait son esprit embrumé d’un seul souffle contre sa peau. Teresa était en tête à tête avec les démons de son passé, avec celui qu’elle avait aimé qu’elle ne parvenait pas à oublier, avec celle qu’elle ne cessait de désirer sans jamais pouvoir se satisfaire, avec celui dont elle aimerait tomber amoureuse vite à défaut de tomber. Tomber encore. Les chutes sont toujours de plus en plus rudes et les remontées de plus en plus difficiles à effectuer. L’enivrement était un bon moyen d’oublier ; la musique qui déchirait ses tympans était un bon remède contre la solitude. La kazakhe n’avait rien avalé et elle s’était engloutie seulement deux verres corsés, pourtant la mélancolie ne cessait de la soûler comme cette absinthe interdite que l’on craint tant elle est forte. Teresa bouge sur la piste, lascive, belle, détruite. Une martyre au visage d’ange et au sourire toujours aussi ravageur : une façade. Quelques mecs au bar glissent leurs yeux coulants sur ses formes naturellement exaltantes et se permettent quelques commentaires grossiers seulement pour oublier que jamais ils ne pourront la posséder. La jeune femme choisit ses propres bourreaux. Deux mains vinrent prendre possession de son corps, sans demander leur reste, sans attendre que la jeune femme ne souffle d’approbation. Elles étaient là, et traçaient leur chemin alors que teresa se laissa prêter au jeu des sens tant qu’on ne lui dit mot. Son dos s’appuya légèrement contre la silhouette plus grande qu’elle de quelques bons centimètres, et ses hanches roulèrent au rythme d’une musique qu’elle n’entendait même plus. « - salut. ». la perle d’orient agita sa crinière alors qu’elle se tournait vers celui qui avait pris possession de sa taille. C’était un garçon, peut-être un peu plus âgé qu’elle, le visage certain, les yeux cruels dégageant un charme qu’elle préférait à ces canons de beauté qui trainaient dans les rues commerçantes la journée pour se montrer. Elle laissa glisser ses mains jusqu’aux épaules du jeune homme, laissant le reste de son corps continuer de bouger machinalement sur le son des tambourins. Elle afficha un sourire lubrique avant de baisser le regard jusqu’à son cou sans répondre aussitôt à ses salutations. Ses ongles raclèrent la nuque de ce dom juan avant de finalement laisser échapper un « - hey. » essoufflé. Teresa continua de danser un petit moment avant de glisser « - je t’offre un verre ? » endormir le serpent était la meilleure technique pour ne pas se faire soi-même piégée. Seulement elle était trop naïve et égarée pour appliquer cette règle classique ce soir. Elle allait simplement laisser ses sens la guider.
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Re: +18 ‹ j'arrive brutalement comme un coup d'état › ft. teresa | Sam 4 Fév - 18:32 Citer EditerSupprimer
Il la voulait elle, et pas une autre. Elle n'avait pourtant rien de spécial. Il en avait vu des plus belles, des plus grandes, avec plus de formes et de charme, rien que dans cette salle il pouvait y en avoir des dizaines d'autres. Mais c'était quelque chose qui s'était ancré dans son esprit, une rengaine qui ne pouvait plus le quitter. Il y avait quelque chose qui en premier l'avait attiré, un petit quelque chose dont il voulait profiter. Il la voulait elle, et s'il ne pouvait pas l'avoir, il forcerait son destin. Il espérait ne pas avoir à en aller jusqu'à de tels extrêmes, elle avait l'air bête, après tout. Et assez ouverte, puisqu'elle ne le repoussa pas. Un sourire s'étira sur ses lèvres, c'était trop facile, ça lui donnait presque envie de trouver une autre femme qui lui résistera plus. Mais il était trop soûl, pour la lâcher, et trop soûl aussi pour arriver à distinguer si cette autre femme était belle ou si c'était simplement un effet de l'alcool. Il arrêta de réfléchir. Il sentait ses doigts sur sa nuque, son souffle contre sa peau. Elle était proche. Il glissa encore ses mains sur elle pour la rapprocher de lui, l'éloigner des autres. « hey. » Sa voix était agréable, il pencha la tête sur le côté pour mieux l'entendre. « je t’offre un verre ? » Il haussa un sourcil, amusé. Il était rare qu'on lui propose de lui payer un verre, c'était en général plutôt l'inverse, on lui demander d'en payer aux autres. Il fut agréablement surpris, mais aussi un peu sceptique. Il la fixa quelques secondes, avant de glisser son bras autour de la taille de la jeune femme pour l'emmener avec lui alors qu'il se frayait un chemin dans la foule. ‹ avec plaisir › il lui glissa à l'oreille, l'amenant au bar, lui trouvant un tabouret pour la laisser s'asseoir alors qu'il resta debout, accoudé contre la surface fraiche et collante du bar. Il n'était galant que lorsque cela lui servait, et il espérait bien finir dans le lit de la jeune femme. Il en profita pour mieux la regarder, se rinçant les yeux sur son corps, en appréciant les courbes qu'il avait pu tâter un peu plus tôt. C'était un bon choix, ou peut être était-ce l'alcool qui parlait, mais qu'en avait-il à faire, il serait parti avant même d'avoir récupérer ses esprits. ‹ tu peux me commander un rhum coca. › Il eut une pulsion de lui taper sur les fesses, mais il se retint, ayant peur que cela la frêne et la coupe dans son envie. Il se contenta de lui faire un sourire en coin. Il n'allait pas la convaincre qu'il allait payer. Elle voulait le faire, il la laisserait. ‹ Comment tu t'appelles ? › lui demanda-t-il tout de même, curieux. ‹ Moi c'est Se Yun › Il voulait qu'elle sache quel nom elle allait crier plus tard.
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Re: +18 ‹ j'arrive brutalement comme un coup d'état › ft. teresa | Dim 5 Fév - 18:01 Citer EditerSupprimer
La sobriété n’était visiblement pas de mise ce soir. La jeune femme baignait dans une ambiance feutrée qui avait le don d’agresser ses yeux et ses sens. Elle ne titubait alors pas à cause du trop-plein d’alcool qu’elle avait dans le sang, mais bien à cause de cet égarement dans son esprit qu’elle ne pouvait s’empêcher de répéter dans ses gestes. Pourtant, l’on semblait la maintenir depuis quelques minutes, en effet, des mains avaient trouvé leur place sur son buste serré dans un bustier satiné et aussi sombre que les cheveux relâchés de la demoiselle. Elle observa son inconnu, les paupières fatiguées mais affichant toujours cet air malicieux qui lui collait si bien. Teresa dévoila un instant de générosité avant de se hisser sur un tabouret près du bar, relâchant ses longues gambettes en soupirant d’aise tant elle était fatiguée de porter des talons. Elle fit d’ailleurs tomber ses chaussures au sol pour se retrouver pieds-nus, ne faisant même plus attention à celui qui venait de l’aborder, et pourtant, machinalement, elle se tourna vers un barman aux cheveux remplis de gel et glissa « - deux rhums cocas s’il vous plait. » la kazakhe n’avait pas le courage de réfléchir à ce qu’elle allait consommer, alors elle suivit l’instinct de son interlocuteur, sans même savoir si elle allait aimer. Quand on est dans les effluves de la fête, on est de suite moins compliqué en matière de consommation. Teresa cacha un bâillement derrière sa main légèrement manucurée avant de sourire au gosse en face « - enchanté seyun, je suis teresa. » elle le détailla alors de haut en bas avant d’étouffer un rire plaisantin, se penchant finalement vers lui pour qu’il puisse l’entendre : « - quels noms je dois donner à tes mains baladeuses alors ? » fit remarquer la ténébreuse avant de faire glisser un billet sur le bar, attrapant la boisson glacée pour la tendre au jeune homme. teresa posa ses lèvres pulpeuses sur les bords du verre avant d’en engloutir la moitié en deux gorgées comme s’il s’agissait simplement d’eau. « - mh. pas mauvais. » elle coula un regard envieux vers son voisin « - alors seyun. Tu es venu tout seul ? » questionna l’orientale avant de présumer que oui, et qu’il recherchait certainement une proie facile pour la nuit, d’où son vif intérêt pour une étrangère. « - tu t’es certainement dit que la pêche allait être bonne pour une fin de semaine. » ricana teresa avant de reboire une gorgée de son verre. Elle n’était en aucun cas en train de le juger ou de le critiquer, il lui arrivait de faire pareil, mais aucun garçon qu’elle faisait sortir d’ici ne tenait la route et n’osait aller jusqu’au bout avec elle ; peut-être qu’en réalité, elle faisait juste peur à voir.
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Re: +18 ‹ j'arrive brutalement comme un coup d'état › ft. teresa | Dim 5 Fév - 18:39 Citer EditerSupprimer
Et il jugeait sa voix, et son corps, il l'observait dans les moindres détails. Sa façon de bouger, de s'exprimer, de le regarder, il essayait de voir les défauts de manufacture, comme un produit qu'on allait acheter. Parce qu'avec les personnes, il n'y avait pas de service après vente, et il ne voulait pas repartir déçu. Il avait un truc pour les étrangères après tout. Il y avait dans les traits inconnus quelque chose d'envoûtant, de nouveau, et il réalisa que c'était peut être à cause de ça qu'il avait été attiré par elle en premier lieu. ‹ Teresa › Il prononça le prénom avec un sourire, le laissant rouler sur sa langue, tout en étant satisfait d'entendre le sien dans la bouche de la jeune femme. Teresa. Il ne savait pas s'il appréciait ce prénom, mais pour une nuit ça suffirait. Et ce n'était qu'un prénom, il n'allait jamais le retenir. Un sourire amusé s'étira sur ses lèvres alors qu'il l'écoutait simplement parler. Les mains baladeuses ? Toujours, il ne tenta pas de le nier, laissant simplement échapper un petit rire. Il attrapa le verre qu'elle lui tendait, ne prenant même pas le temps de la remercier avant d'en avaler une gorgée, le reposant ensuite dans un claquement contre le bar. ‹ Non, je suis venu avec des amis, mais je les ai perdu. › Perdu, non, il semblait qu'il les avait retrouvé. Il les voyait, au loin, et ils l'avaient vu, mais comprirent vite malgré leurs esprits embrumés qu'il ne fallait pas qu'ils viennent. Il avait de la compagnie. La jeune femme l'amusait, elle avait une bonne conversation. Elle semblait un peu effrontée, mais dans un bon sens, pour une fois. ‹ Pour l'instant, j'ai l'impression qu'elle l'est. › Il lui fit un petit clin d'œil, reprenant une gorgée du liquide ambré. ‹ Et toi ? Tu es seule ? Ou est ce qu'un de tes amis va venir m'incendier parce que je t'ai volé ? › Il n'avait pas envie de se retrouver avec un mec ou des filles en colère sur le dos simplement parce qu'il avait trouvé sa proie. Il en avait marre, des problèmes, des disputes, il voulait simplement du bon temps et espérait que la jeune femme était sur la même longueur d'onde. Au pire, il la forcerait, mais il n'avait pas envie de briser des vies aujourd'hui. Il s'approcha encore un peu d'elle, et glissa à son oreille. ‹ finis ton verre, je t'emmène danser. › Il voulait la sentir bouger sur son corps, évaluer ses compétences, voir sa souplesse et ce qu'elle était capable de faire. Il voulait sentir ses courbes et profiter un peu d'elle avant de l'inviter à aller plus loin. Il la prit dans ses bras, la soulevant presque pour la descendre de son tabouret, lui faisant une petite demonstration de sa force, et la guida tout près de lui sur la piste de danse, collant le dos de la jeune femme contre son torse et posant ses mains sur ses hanches. Comme il aimait tâter la marchandise, il lui laissait à peine le temps de dire un mot.
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Re: +18 ‹ j'arrive brutalement comme un coup d'état › ft. teresa | Lun 13 Fév - 18:20 Citer EditerSupprimer
Teresa avait été abordée de nombreuses fois lors de ses soirées un peu difficiles à fréquenter, elle n’avait pas peur des oiseaux de mauvais augure. Ces garçons qui vous approchaient avec leur démarche dépassée, leurs voix éraillées, trouvant n’importe quel prétexte pour vous aborder au risque de voir une main descendre le long d’un dos, ces mômes oui n’étaient pas dangereux. Ils ne tentaient jamais rien de plus une fois qu’on les avait rembarrés. Seyun était différent. Déjà dans son approche : assurée bien que quelque peu impolie mais ce ne fut pas quelque chose que relava la kazakhe. Elle avait plutôt porté son attention sur le fait qu’il était apparu comme ça, sans chercher à se justifier, déclarant simplement que oui, il cherchait de quoi faire passer le temps. La belle était avide de mots doux et de sensations mais elle savait pertinemment que l’homme devant lui ne pourrait pas combler ces deux attentes et pourtant. Pourtant elle avait laissé la porte de son jardin ouverte, prête à juger jusqu’où le cancre était prêt à aller pour la posséder. Elle n’avait pas envie de tendresse ce soir, simplement de désir. Teresa secoua légèrement la tête, suçotant le bord de son verre « - aucun garde du corps ou copine incendiaire ce soir non. » elle croisa les jambes, continuant de siroter sa mixture sans goût avant de se faire attraper par le jeune homme, posant ses pieds nus sur le sol duveteux de la boite de nuit, glissant une main dans la sienne en abandonnant totalement ses talons. Les deux démons reprirent finalement leur position initiale afin de retrouver cette proximité qu’ils avaient instaurée il y a quelques minutes. La brune fit rouler ses hanches généreuses d’avant en arrière, pour attiser une flamme qui demain ne sera plus que cendres, et laissa les phalanges de seyun palper son propre désir. Sa tête bascula légèrement vers l’arrière alors qu’elle n’entendit même plus la musique, seul le rythme imposé par le garçon comptait. Ce fut au bout de quelques instants seulement que la belle se tourna face au coréen, laissant ses bras caresser ses flancs d’une lassitude presque beaucoup trop sensuelle. « - si tu me marches sur les pieds tu vas le regretter. » son regard malicieux se planta dans celui du don juan, contrastant avec cet air avenant et faussement dur qu’il ne cessait de se donner. Il fallait qu’il la protège de l’entourage qui pourrait à tout instant nuire à leur cocon éphémère. Elle baissa la garde un instant et profita de sa propre hauteur pour faire glisser ses lèvres, encore humides du nectar, dans le cou dénudé de seyun.
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Re: +18 ‹ j'arrive brutalement comme un coup d'état › ft. teresa | Lun 13 Fév - 19:57 Citer EditerSupprimer
Elle était seule, c'était bon signe pour lui. Il laissa un sourire se former sur ses lèvres. Mais, n'était-elle pas un peu trop téméraire ? Sortir seule, une si belle femme, dans une boite... elle risquait d'avoir des problèmes. Il haussa les épaules pour lui-même. Qu'est ce qu'il en avait à faire, après tout, il ne la connaissait pas, et son avenir lui importait peu. Tout ce qu'il voulait, c'était tirer son coup, et vu ce qu'elle venait de lui dire, elle était sûrement là pour ça, elle aussi. Il la laissait danser contre lui, la laissant faire tout les mouvements alors qu'il restait presque stoic derrière elle. Bien sûr qu'il bougeait, il aurait l'air stupide, sinon, mais il bougeait peu pour sentir le talent de la jeune femme à bouger ses hanches comme si c'était la seule chose qu'elle était capable de faire. Il cajolait ses hanches, sa taille, plus haut encore, plus bas s'il pouvait, tout ce qui lui passait sous la main était bon à prendre. Elle se retourna, et il la colla encore plus contre lui. Il l'entendit parler, sentit ses lèvres sur son cou, et peu après les siennes se tordirent en un sourire carnassier. Il passa ses mains sous les fesses de la jeune femme pour la soulever et la fit attacher ses jambes autour de lui. ‹ il n'y a plus de problème comme ça. › Il était comme un primate un peu stupide. Il ne pensait qu'à montrer sa force sans prouver sa réflexion, mais il avouait parfois qu'il n'était pas le plus malin des gars. Il compensait, il avait raison. Il glissa à son tour sa tête au creux du cou de la jeune femme qui le dépassait légèrement maintenant. Il mordilla un peu la peau, alors que sa seule envie était de plonger sa tête un peu plus bas, entre ses seins. Il serra un peu plus ses doigts sur ses fesses, prétextant la repositionner pour les tater goulument, et continua d'embrasser et de mordiller la peau tendre de sa nuque. Il remonta ses lèvres tout doucement, allant effleurer sa mâchoire, bécoter le lobe. Il avait envie de ne l'avoir rien que pour lui, il pourrait tenter maintenant, ici, mais quand bien même l'exhibitionnisme n'était pas quelque chose qui le dérangeait, il n'était pas sûr qu'il en était de même pour la jeune femme. ‹ ça te dirait d'aller dans un endroit plus privé, teresa ? › Il s'éloigna un peu d'elle, cessant de respirer son parfum pour à nouveau sentir l'air confiné de la boite. Il lui sourit tout en haussant un sourcil. ‹ j'aimerais bien faire plus ample connaissance avec toi ›
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Re: +18 ‹ j'arrive brutalement comme un coup d'état › ft. teresa | Lun 13 Fév - 20:20 Citer EditerSupprimer
Elle était cette proie qui cherchait d’elle-même son assaillant. Elle était cette perle qui poussait sa coquille pour laisser les hommes estimer sa valeur. Elle en était réduite à suivre les tambourines pour tenter d’user du mieux qu’elle pouvait de son pouvoir de séduction. Teresa était douée, c’était aussi une jeune fille intelligente, elle savait qu’en faisant ça elle parviendrait à ses fins. Evidemment elle ne s’amusait pas tous les soirs à chasser. On pouvait dire alors que le charme du garçon avait opéré sur elle et plutôt bien il semblerait. Elle fait glisser ses pieds contre les siens avant de finalement s’accrocher à lui. les mains de seyun explorent une nouvelle zone de son corps, une zone que même les femmes parfois ne peuvent pas affronter. Teresa connait ses atouts, et sait encore mieux les mettre en valeur. Elle hocha la tête à sa remarque avant de se laisser porter par une autre danse qui avait le don de mettre ses sens en éveil. La brune savourait là, en hauteur, les traitements nocifs et pourtant si agréables de son bourreau sans véritablement se rendre compte qu’elle était en train de faillir entre ses bras forts. Teresa glissa son buste contre le sien, entrouvrant ses lèvres garnies, alors que sa poitrine faisait son chemin contre un torse qu’elle s’amusait à écraser d’un air intéressé. Finalement, seyun avait toute son intention. Un endroit plus tranquille oui. Pour faire plus ample connaissance non. la tornade allait simplement lui accorder ce qu’il était venu chercher, laissant planer alors une future part de mystère : elle pourrait être qu’à lui pour l’éternité s’il était aussi joueur qu’il semblait le prétendre. Sa main nacrée se glissa dans son cou dans lequel elle enfonça un ongle avant de souffler brûlante « - emmène-moi dans ton palais Odin… » glissa la belle dans une expression enivrante, laissant alors ses pieds retrouver le sol pendant qu’elle tâtait ses propres poches pour vérifier qu’elle avait encore tout. Teresa jeta un œil au lion derrière elle avant de se mettre à avancer dans la foule, rapidement et coulant contre les corps humides qui continuaient de se déhancher. On eut dit qu’elle cherchait à fuir un destin qu’elle voulait voir venir un peu plus vite, et pourtant, le félin était en train de tester facilement la volonté de ce Cortez de mettre la main sur un trésor qui pourrait causer sa perte. Finalement, l’air de l’extérieur caressa violemment le cou de la libraire alors que ses pieds frottaient le trottoir dans quelques frissons dus au froid ; elle attendit le mauvais garçon avant de lever légèrement le menton à son arrivée « - allons chez toi. » proposa la harpie dans une lueur insolente.
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Re: +18 ‹ j'arrive brutalement comme un coup d'état › ft. teresa | Mar 14 Fév - 10:12 Citer EditerSupprimer
Il aimait les belles femmes. Il aimait leurs courbes, leur douceur, leur forme, leur beauté aussi, mais souvent, il se disait qu'elles n'étaient bonnes qu'à ça. Les mots qui sortaient de leur bouche étaient ceux d'une hystérique, leurs paroles n'avaient souvent aucun sens, et elles n'apportaient rien à part le plaisir des corps et des yeux. Il sentait ses courbes contre son corps, il sentait la chaleur, il sentait la douceur, il sentait aussi la chaire sous ses mains, il n'avait envie qu'elle ne parte de ses bras sous aucun prétexte. Il baissait les yeux et il voyait une paire de seins, il les levait et voyait des beaux yeux et une bouche pulpeuse qu'il imaginait déjà autour de son membre. Il voyait des cheveux longs auxquels s'agripper, il sentait des fesses douces qu'il pourrait sentir frapper contre son bassin. Mais bien vite il dû quitter sa rêverie lorsqu'elle lui parla et qu'elle le quitta pour retrouver le sol. Il avoua, rien qu'à lui-même, qu'il n'avait pas compris ce qu'elle venait de dire, mais peut-être avait-elle dit quelque chose qui n’avait, en fait, aucun sens. Ce n’était qu’une femme, après tout. L’air frais de la boite, bien que remplie de monde, reprit contact avec sa peau, et il réprima un frisson. Il la vit partir plus loin, le quitter, mais il n’allait pas la laisser s’échapper aussi facilement. Elle se glissa à travers la foule, et il en fit de même, avec beaucoup moins d’élégance. Il poussait tous ceux qui se trouvaient en travers de son chemin sans un regard en arrière, comme hypnotisé par les hanches d’une femme. Il la vit franchir les portes menant à l’extérieur, et envoya un rapide message à ses amis pour les prévenir qu’ils devraient se débrouiller seul pour rentrer, et passa à son tour les portes. L’air froid le frappa de plein fouet, et il dut se retenir de passer ses bras autour de son corps pour garder un peu de sa propre chaleur. Les derniers mots qu’elles prononça lui firent l’effet d’un feu. Il n’hésita pas une seconde, colla la jeune femme contre lui pour ne pas qu’elle prenne trop froid, et appela un taxi, n’adressant à Teresa rien d’autre qu’un sourire carnassier. Il se glissa dans le taxi qui arriva bien trop lentement à son goût, donna son adresse, et fit glisser la jeune femme à sa suite, la collant contre son corps alors qu’il glissa immédiatement une main sur une cuisse qu’il caressa. Il avait hâte d’arriver chez lui, mais rien ne lui interdisait d’en profiter ici. Se fichant bien de l’avis du chauffeur, il attrapa la belle brune et l’installa sur ses genoux, glissant sa tête au creux de son cou. Plus besoin de paroles. Ils savaient ce qu’il allait se passer.
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Re: +18 ‹ j'arrive brutalement comme un coup d'état › ft. teresa | Mar 14 Fév - 15:05 Citer EditerSupprimer
Les deux monstres étaient maintenant dehors, la succube à peine frigorifiée précédée de ce minotaure qui voulait faire d’elle, la prisonnière de son labyrinthe. Elle le suivit finalement, dans ce taxi, affichant un sourire discret quand elle vit l’homme donner son adresse au chauffeur. Il n’aura donc pas ce privilège de quitter le lit de la belle avant l’aube, mais c’était bien l’inverse qui allait se produire. Elle se prenait déjà au futur jeu de la fuite alors qu’ils ne s’étaient pas encore liés tous les deux. La kazakhe glissa son dos contre le flanc droit de seyun alors que ce dernier, un peu plus entreprenant choisit soudain d’opter pour une position beaucoup plus révélatrice. Les hommes sont fous. Fous d’elle, même si l’étendue de leur démence est parfois faible. Peu importait. Teresa le laissa faire, glissant alors à califourchon sur le mâle, les mains toujours éprises de l’épaisseur de ses épaules témoignant d’une virilité qui était assez rare ici en Corée. Heureusement pour la belle, elle avait eu la chance de tomber sur des hommes qui montraient une certaine vigueur dans leur caractère. Pour seyun tout était inversé. Il était grand, robuste, mais n’était qu’un gamin qui voulait prendre son pied. Elle laissa alors l’étalon découvrir son cou alors que la brune fit tomber une de ses bretelles, attrapant soudainement le menton de son voisin pour effleurer son bout du nez. Il était brûlant, et continuer de bouillir en lui c’était certain. Le taxi finit par les réprimander une première fois, mais aucun d’eux n’en tenu compte puisque le renard continuait de tâter ses courbes et qu’elle, d’un esprit plus traditionnel, engagea un baiser enragé contre les lèvres vulgaires de seyun. Ses dents conquirent sa bouche tandis que sa langue força l’entrée de l’asiatique pour aller embêter sa jumelle. Sa salive était amer, salée avec un léger goût de feu. Lorsque la nymphe fut à bout de souffle, elle se redressa, faisant courir ses doigts contre sa bouche légèrement rougie. Il était délicieux à dévorer, mais elle savait dans son esprit qu’elle ne s’arrêterait certainement pas là. Les hommes ont des points sensibles et d’autres qu’ils semblent encore ignorer, teresa les trouveraient tous. La voiture s’arrêta soudainement, lâchant les deux prédateurs dans la jungle d’une ville aussi animée la nuit que le jour. Ils étaient arrivés : devant des dortoirs : pas étonnant étant donné que seyun avait une dégaine d’étudiant. La jasmine regarda autour d’elle, avant de finalement poursuivre le garçon jusque dans son nid.
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