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+18 ‹ j'arrive brutalement comme un coup d'état › ft. teresa
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Re: +18 ‹ j'arrive brutalement comme un coup d'état › ft. teresa | Mar 14 Fév - 23:07 Citer EditerSupprimer
Il n'en avait rien à faire de l'avis du chauffeur, il se fichait de lui, il se fichait de tout ce qui n'était pas la jeune femme sur ses genoux. Il pouvait y avoir une tempête, des morts, la fin du monde qu'il continuerait sur sa lancée, ne s'arrêtant qu'une fois qu'elle serait partie, de préférence lorsqu'il aurait obtenu ce qu'il cherchait d'elle. Il mordait la peau, la massait à d'autres endroits. Il profitait du corps, des souffles échangés, et il l'espérait bientôt des soupirs et des gémissements. Il ne savait même plus combien de temps de trajet il avait avant d'arriver chez lui, mais s'en fichait tant qu'il conservait la chaleur du corps féminin. Il n'était pas du genre à embrasser, il ne le faisait pratiquement jamais, mais elle avait inicié le baiser, et il ne s'était pas sentis de lui refuser. Il se laissa faire, la laissant diriger pour cette fois, tout en sachant que, plus tard, il mènerait la danse et elle n'aurait pas son mot à dire. Elle ne savait pas dans quelle genre d'histoire elle s'était embarquée, et maintenant, elle n'avait plus le moyen de fuir. Il retint un sourire, et ils furent arrivé. Il fut un peu sonné de le réaliser, et ouvrit la portière en emportant la jeune femme à sa suite. Une première porte, un étage, une autre porte, il connaissait tellement le chemin qu'il n'y prêta pas attention. Ils arrivèrent, et sans même vérifié que la chambre était vide, il colla la jeune femme contre la porte, coinça ses bras et inicia à son tour un baiser enflammé qui lui fit perdre le souffle. Il taquina ses lèvres, joua avec sa langue, tout en parcourant chaque parcelle de son corps avec ses mains. Il avait envie de la déshabiller mais préférait en même temps prendre son temps. Il voulait l'embrasser mais en même temps baiser chaque partie de son corps. Il voulait la toucher mais à la fois la laisser désirer, attendre. Il était une suite de contradictions, et ne savait plus où donner de la tête. Il soupira, glissa ses lèvres contre sa joue, contre sa mâchoire, contre son cou, puis la prit dans ses bras pour la porter jusqu'au lit où il la jeta presque. Il n'avait plus vraiment besoin de la charmer, plus besoin de faire d'efforts, maintenant, elle semblait conquise. Il resta debout face à elle, un sourire aux lèvres. Par quoi allait-il commencer ? Il se positionna au dessus d'elle, et l'embrassa une nouvelle fois, comme si elle était devenue une sorte de drogue dont il ne pouvait pas se passer. Une nouvelle fois il en perdit le souffle, et se décala pour prendre l'air en embrassa ses omoplates, descendant jusqu'à atteindre le début de ses seins, bloqués par le bustier qu'elle portait. ‹ tu veux bien te déshabiller pour moi ? › ça avait l'air d'une demande, mais dans la tête du jeune homme, c'était plutôt un ordre.
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Re: +18 ‹ j'arrive brutalement comme un coup d'état › ft. teresa | Mer 15 Fév - 18:42 Citer EditerSupprimer
Elle semblait l’avoir ensorcelé ce bâtard de la rue. Il ne se détachait désormais plus de ses lèvres, jusqu’à en oublier où était le chemin de leur palais de quelques m². teresa sentait déjà ses sens la perdre à force de se décupler sans s’arrêter. C’était trop bon, tout était trop bon ; ce garçon ne paraissait pas vraiment savoir s’y prendre avec les jeunes filles en général mais visiblement il maniait parfaitement l’art de les rendre folles, du moins c’était ce que la kazakhe ressentait à ce moment précis. Elle se laissait faire, toucher, embrasser, légèrement malmener par des mains puissantes à la façon d’une poupée de chiffon dont les cheveux ne cessaient de retomber sur sa chute de reins. Les deux compétiteurs étaient enfin parvenus à entrer dans cette fichue chambre qui s’était faite rapidement désirer dans la boite. Teresa sentit alors son corps s’embraser lorsque son dos atteignit le lit sans la moindre douceur. Elle dévisagea son hôte un instant avant de revenir fondre sur ses lèvres aussi prédatrices que tout le reste. Il savait jouer. Elle risquait de perdre, mais peu importait. La libraire logea une main au-dessus de la nuque du prodige tandis qu’il s’aventurait un peu plus bas que sa gorge avant de rire sous le chatouillement qu’elle ressentait. « - tu veux bien te déshabiller pour moi ? » seyun n’aurait pas à s’y reprendre pour convaincre sa future victime qui se redressa aussitôt pour se placer devant lui, lui tournant habilement le dos. Teresa glissa une main dans son propre dos, le sourire malin aux lèvres, alors qu’elle s’empara du bout de sa fermeture éclair pour la faire couler vers le bas sans bruit. Son bustier se sépara aussitôt en deux alors que sa poitrine retomba doucement sur le début de ses côtes. La brune ramena ses cheveux sur ses deux lunes alors qu’elle se tourna vers le coréen pour qu’il puisse apprécier la fausse subtilité d’un spectacle enivrant. Il ne lui restait plus que son short et ses collants qu’elle retira rapidement, déchirant d’ailleurs ces derniers mais peu importait, ils étaient déjà détruits lorsqu’elle avait abandonné ses chaussures près du bar pour être plus confortable. Il ne lui restait plus qu’un vêtement, qu’elle ne prendrait certainement pas la peine de retirer, surtout quand on avait un garçon comme seyun devant soi. La panthère fit deux pas vers le jeune homme avant de lever le sourcil gauche « - tu n’as qu’à enlever le reste. » ordonna la belle d’une voix suave alors qu’elle se pencha vers le principal intéressé, glissant un doigt sous son menton pour lui faire regarder autre part que vers ses courbes « - avec les dents. » ; elle savait que pour lui, ça n’allait certainement pas poser de problème, mais c’était une sorte de défi qu’elle venait de lui lancer.
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Re: +18 ‹ j'arrive brutalement comme un coup d'état › ft. teresa | Mer 15 Fév - 20:45 Citer EditerSupprimer
C'était si facile que ça en était presque effrayant, c'était si facile qu'il se demanda un instant s'il n'était pas tombé dans un piège. Peut être était-elle une putain qui demanderait son argent à la fin, peut être avait-elle une maladie qu'elle rêvait de transmettre au reste de la planète, parce qu'à peine eut il finis de prononcer ses mots qu'elle s'exécuta. Il s'attendait à quelques protestations, ou tout du moins un petit regard désapprobateur ou quoique ce soit d'autre, mais rien. Il l'observa juste, un peu médusé, commencer à retirer ses vêtements. Il vit en premier sa poitrine qu'il admira avec joie, ses mains mourant d'envie de les caller dans ses paumes, puis elle s'attaqua au reste de ses vêtements, dévoilant la peau de ses jambes. Elle était casi nue, face à lui, et un sentiment de puissance le submergea lorsqu'il réalisa que lui, portait toujours la totalité de ses vêtements. Il aimait ça, il aimait cette différence qu'il y avait entre lui et ces femmes, entre lui et ces chiennes. Et un sourire étira ses lèvres. Sourire qui s'agrandit encore plus lorsqu'elle lui ordonna de finir le travail. ‹ tu n'as pas à me donner d'ordre › il glissa, mais plus pour la forme que pour réellement la réprimander, puisque seulement quelques secondes après, il se pencha au dessus d'elle pour commencer sa besogne. Il n'alla cependant pas tout de suite droit au but. Il déposa d'abord un premier baiser sur le ventre de la jeune femme, descendant lentement en papillonnant sur la peau, jusqu'à atteindre la lisière du vêtement qu'il attrapa entre ses dents, fit semblant de l'emporter avec lui pour le faire glisser le long de ses jambes, avant de le lâcher. Il baissa un peu plus la tête, continua ses légers baiser de plus en plus bas, glissant ses mains sur ses cuisses avant de les placer à l'intérieur de celles-ci, les écartant légèrement. Il déposa ses lèvres sur son sexe à travers le tissus, si légèrement que lui même en sentit à peine le contact. Recommença une fois, puis une autre avec un peu plus de pression, avant de remonter pour réellement exécuter l'ordre qu'il avait reçu. Il attrapa le tissus, et souleva les hanches de la jeune femme de ses deux mains avant de descendre, descendre, encore et encore jusqu'à le retirer entièrement. Il remonta alors en embrassant chaque parcelle qui passait sous ses yeux, sous ses lèvres, ses mains suivant le chemin jusqu'à se retrouver à nouveau en face à face avec la belle brune.
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Re: +18 ‹ j'arrive brutalement comme un coup d'état › ft. teresa | Jeu 16 Fév - 13:44 Citer EditerSupprimer
Le jeu qui s’installait entre eux, plaisait de plus en plus à la jeune femme, qui commençait à prendre goût aux caresses de son partenaire. Il la faisait languir, tout en appuyant sur l’objet même de son désir. Il était un homme d’action et non de parole, contrairement à ces orateurs romantiques incapables de prendre une seule initiative. Teresa aimait ça. Elle avait toujours fréquenté des garçons qui n’étaient pas vraiment expressifs sur le plan moral, mais qui montraient leur attachement, leur colère, leur envie par les actes. Elle le laissait faire, les yeux fermés, restant cependant assez attentive à ses gestes ou aux décisions que le jeune homme allait prendre. Elle laissa ses bras retomber le long de son corps alors que son premier contact la fit frémir, laissant basculer sa tête légèrement vers l’arrière pour afficher un sourire bien plus que satisfait. Seyun était doué pour attiser sa flamme, et ce fut, bientôt, complètement nue que la brune termina. Elle fit un léger tour sur elle-même avant de remonter sur les cuisses de son amant pour lui en dérober les lèvres, dans un rire discret « - tu aimes la marchandise ? » plaisanta teresa en employant volontairement un vocabulaire quelque peu dégradant à son égard. Ça n’avait pas vraiment d’importance ce que les gens pouvaient dire ou penser d’elle ; la kazakhe connaissait parfaitement sa juste valeur. Elle posa une main sur le torse du coréen pour le faire basculer vers l’arrière, le surplombant de son léger désir de pouvoir alors que ses cheveux vinrent chatouiller le cou du mâle dominant, glissant subtilement. « - tu veux voir comment les eurasiennes savent accueillir ? » proposa la ténébreuse alors que ses doigts entrèrent en contact avec la peau de lait du bridé, s’invitant alors sous son haut pour le soulever jusqu’à la naissance de son cou. Elle redressa légèrement la tête pour l’examiner longuement, l’air plutôt agréablement surprise. pas mal du tout ça. Une carrure, de la peau à laquelle s’accrocher, des muscles pour la soulever bien plus haut qu’elle n’osait l’imaginer. Alors la méduse laissa glisser ses lèvres contre le torse de seyun, baladant ses pulpeuses tout le long de son buste, comme si elle cherchait à retarder le moment décisif où elle laisserait sa prudence de côté, pour laisser place complètement à la luxure qui enivrait déjà la pièce ainsi que ses sens. ses doigts, quant à eux, coururent tout le long de ses flancs, d’une hâte prévisible pour venir défaire son pantalon sans mal, toujours occupée à bécoter son torse.
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Re: +18 ‹ j'arrive brutalement comme un coup d'état › ft. teresa | Sam 18 Fév - 14:34 Citer EditerSupprimer
Il regardait ce corps dénudé face à lui, son esprit se vidant de toutes ses pensées pour simplement se concentrer sur ce qu'il aimerait lui faire, déboutonnant en même temps sa chemise d'un geste machinal. Elle n'était plus une femme à ses yeux, elle n'était plus qu'un objet pour son plaisir, un objet à utiliser, à plier à son gré jusqu'à ce qu'il puisse en obtenir ce qu'il veut. Il s'en fichait, d'elle, elle était simplement agréable à l'œil, peut être agréable à écouter puisqu'elle ne semblait pas s'accorder beaucoup d'importance comme toutes les autres idiotes qui se prennent pour des princesses alors qu'elles ne sont rien à part un chewing-gum collé à sa chaussure. Elle était son objet de plaisir, désormais, et bien qu'il allait s'efforcer de lui faire partager un peu de sa propre jouissance, elle n'était qu'un coup d'un soir, un mouchoir dans lequel se vider pour ensuite jeter. Il la laissait l'embrasser, il la laissait le toucher, s'installer sur lui alors que par automatisme il posait ses mains sur son corps. La marchandise, le mot sortit de sa bouche, et elle avait compris exactement ce qu'elle était. Il sourit, s'avança un peu vers elle pour murmurer contre ses lèvres un simple : ‹ oui. › Puis il tomba en arrière, rebondissant légèrement sur la surface molle du matelas, gardant son sourire comme ancré sur ses lèvres. Elle prenait les devants, il aimait bien ça. ‹ montre moi, j'ai hâte de voir › Mais elle ne fit rien. Il haussa un sourcil, intrigué, et l'observa à son tour. Elle était en train de le jauger, il le voyait dans son regard, mais il était de toute façon trop tard pour elle s'il n'était pas à son goût. Maintenant qu'elle était là, qu'elle veuille continuer ou non, elle y serait contrainte. Puis il sentit ses lèvres sur son corps. Ah. Il était à son goût. Il attendit, et réalisa que l'accueil des eurasiennes tardait à venir, et, finalement, décida de prendre les choses en main. Il glissa ses mains le long des cotes de la jeune femme, parcoururent sa taille pour arriver sur ses hanches. Il ne s'attarda pas, et alla attraper ses fesses pour la pousser contre lui, collant un peu plus le deux corps. Il glissa sa tête dans le cou de Teresa, mordilla un peu la chaire avant de souffler dessus un air froid. Il attaquait chaque recoin, alternant les baiser, les morsures légères ou moins légères, massant les deux globes de chaire. Puis il glissa ses mains le long de ces jambes fines, et la força à se redresser. Il la fit s'asseoir à califourchon sur son torse, et sentit son sexe contre son ventre. Et, tout en restant allongé, profita de sa vue alors qu'il faisait remonter une main curieuse pour attraper un sein.
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Re: +18 ‹ j'arrive brutalement comme un coup d'état › ft. teresa | Mer 22 Fév - 17:06 Citer EditerSupprimer
La chaleur qui envahissait son corps à ce moment-là, aurait pu faire partir la pièce en fumée tant la sensation était grisante. Elle restait là, à l’embrasser, découvrant alors un corps, celui d’un atypique étudiant mais d’un typique macho. Ce contraste l’amusait, mais là maintenant, la belle se fichait pas mal de savoir ce qu’il représentait en terme de valeurs humaines. Elle se laissait tripoter comme un pantin, mais la jeune femme ne s’en rendait pas tellement compte, elle n’avait pas le temps pour les compliments ou le romantisme, et de toute façon, elle en était désabusée. Elle se laissa entrainer un peu plus haut sous les ordres muets du garçon, poussant un léger grognement de surprise ; ce n’était pas ce qu’elle attendait, ni ce qu’elle voulait faire. Tant pis. Teresa se redressa lentement, rabattant d’un coup de menton ses cheveux sur le côté avant d’arquer un sourcil, appuyant ses mains contre le torse de seyun, elle souleva doucement le bassin, passant alors une main sur son pantalon pour le lui baisser, tirant sur cette ceinture impossible avant de finalement découvrir son boxer et bientôt sa peau même. elle était tendue de plaisir, gorgée d’une chaleur qui appartiendrait bientôt à la kazakhe. Elle baissa légèrement les yeux, avant de reporter son intention sur le visage du coréen. Puis enfin, elle laissa son corps retomber contre le sien, laissant ainsi son intimité rentrer en contact primaire avec le sexe du garçon. Elle retint un soupire d’aise prématuré et commença à bouger son bassin dans des gestes circulaires, cherchant à découvrir un peu plus de ses envies par le simple toucher ; un toucher secret voire tabou qu’elle se permit alors de mettre en œuvre. Teresa était brûlante toujours, et humide. C’est alors qu’elle offrit un sourire à son compagnon avant de murmurer « - comment tu préfères les posséder tes proies … ? » non, elle ne lui offrirait pas ce plaisir de choisir dans quelle position il se sentait le plus à l’aise, simplement, bien qu’elle ne se considérait pas comme sous leur joug, la brune aimait laisser les hommes la consumer pour avoir elle-même ce plaisir de les finir, de les achever, d’un coup de bassin gracieux, qui les faisait toujours retomber sur le matelas, arpentant alors une mine de conquérant sans savoir que le terrain dominé était le leur, et non celui de la dame qui les a trompés. Teresa appuya un peu plus sur son bassin, exerçant alors une pression délicieuse pour le faire céder cet homme qui se dressait près d’elle.
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Re: +18 ‹ j'arrive brutalement comme un coup d'état › ft. teresa | Jeu 23 Fév - 19:23 Citer EditerSupprimer
Ses mains et ses yeux étaient posés sur le corps de la jeune femme dont il ne semblait pas se lasser. Il la regardait bouger, il la sentait aussi. Il sentait son sexe se frotter contre son torse avant qu’elle ne se soulève pour le déshabiller. Il se laissa faire avec un léger sourire orgueilleux, appréciant le fait de n’avoir rien à faire, et de juste être allongé à admirer un spectacle dont il pouvait profiter, au final, quand il le voudrait. Il frissonna en sentant l’air frais sur sa peau, puis son corps se tendit lorsque leurs deux sexes entrèrent en contact. Il laissa un râle léger s’échapper de ses lèvres avant de venir les prendre entre ses dents, levant un peu la tête et baissant les yeux pour admirer là où leurs deux corps étaient joints. Il avait du mal à maintenir ses hanches immobiles, et se permit à quelques instants de les soulever pour rentrer pour en contact avec le corps de la belle brune. Comment il aimait ses proies ? Il ne savait pas quoi lui répondre. Il les aimait nues, chaudes et soumises, et la jeune femme semblait déjà être les trois à la fois. Il se contenta de lui sourire, n’essayant pas de se perdre avec des mots, il n’était pas doué avec eux, et préféra laisser ses mains et son corps communiquer ses pensées. Il l’attrapa par les hanches, l’appuya contre lui tout en imprimant quelques mouvements de son bassin, avant de la faire tomber sur le lit pour venir s’allonger au-dessus d’elle. Il ne sut pas pourquoi, mais il vint l’embrasser une nouvelle fois, capturant une de ses lèvres entre ses dents avant de venir caresser sa langue de la sienne. Il s’arrêta après un léger baiser sur ses lèvres, avant d’en faire papillonner sur sa mâchoire, sa nuque et de s’arrêter pour grignoter un bout de sein. Ses mains n’étaient pas en reste. Elles lui caressaient l’intérieur des jambes, partant du genou pour remonter dangereusement sans pour autant venir trop près de son sexe. Il voulait être partout à la fois, qu’elle le ressente sur chaque recoin de sa peau, sans lui offrir un plaisir qui la ferait frémir. Pour l’instant. Il continua son manège, dévorant centimètre par centimètre la peau douce, ses mains remontant de plus en plus. Puis enfin elles entrèrent en contact avec son sexe. Il le caressa du bout des doigts, se frayant un chemin entre les lèvres pour ensuite glisser en elle. IL commença à le bouger, en profitant pour retourner l’embrasser et la distraire une seconde pour en ajouter un deuxième, les bougeant en un rythme lent.
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Re: +18 ‹ j'arrive brutalement comme un coup d'état › ft. teresa | Dim 12 Mar - 17:01 Citer EditerSupprimer
Sa peau se réchauffait au fur et à mesure qu’elle constatait les délicieux dégâts futurs sur son être. Elle affichait des sourires voluptueux, agitait, lascive, sa tête sur le côté. Enormément de petits indices silencieux qui traduisaient son bien être ; les effluves de l’alcool l’aidaient, décuplaient son plaisir, la faisaient planter ses griffes sur la nuque crémeuse de l’asiatique. Il fallait dire que le garçon aidait beaucoup à son désir ; il connaissait les femmes, il savait où toucher, où embrasser, quelles initiatives prendre. Teresa se retrouva alors couchée sur le dos, une jambe se soulevant avec souplesse pour se laisser guider à la sensualité. Elle était la métaphore de la luxure en personne à ce moment-là. Ses longs cheveux sombres s’étalaient sur l’oreiller tandis qu’elle avait choisi de fermer les yeux. Elle voulait être surprise, piégée par cet homme qui semblait autant aimer les femmes qu’il les méprisait. La kazakhe fut premièrement étonnée par le baiser qu’elle reçut, bloquant le visage de l’homme en le maintenant par le cou, pressant férocement sa peau comme si elle voulait l’étouffer. Teresa finit par le lâcher de sa seule volonté, levant les bras pour les glisser au-dessus de sa tête, laissant alors le champ libre à seyun pour entreprendre n’importe quelle conquête. La brune aimait qu’on la touche, qu’on la regarde, et l’asiatique en face d’elle, ne semblait pas se faire prier pour assouvir son appétit comme si elle n’était pas là. Aucun d’eux n’était vraiment présent il fallait dire ; ils étaient plutôt deux corps qui cherchaient à s’enchainer l’un à l’autre pour un temps. La première pénétration fut plutôt douce, la peau halée de la jeune femme était assez accueillante pour ne sentir que le chatouillement des phalanges de seyun. L’orientale afficha un sourire quelque peu lubrique avant de se laisser guider dans ces préliminaires délicieux ; soulevant de temps à autre le buste, et parfois son bassin dans des impulsions sauvages. Ses paupières étaient toujours closes sous le plaisir, ses ongles cependant, griffaient la courbure entre le dos et la naissance des fesses du garçon ; zone que teresa aimait par-dessus tout. Bientôt, la jeune femme eut envie de plus. Elle avait envie de passer à l’acte. De sentir cette vraie connexion entre les deux adultes, de constater la rage ou peut-être la haine de ce misogyne en elle, l’accueillir, la comprendre sans vraiment réfléchir ; juste aimer ce qu’il avait à lui offrir, aimer la fureur de coups ou au contraire leur extrême profondeur ; peu importait après tout. Il fallait que ce soit lui ce soir, lui et personne d’autre.
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Re: +18 ‹ j'arrive brutalement comme un coup d'état › ft. teresa | Mar 14 Mar - 11:24 Citer EditerSupprimer
Il continuait son doux manège sans en faire plus. Il n’insistait pas, il ne changeait pas son rythme, il ne changeait rien du tout à part l’endroit où ses baisers atterrissaient. Il avait occupé les lèvres un instant, et se décalait peu à peu plus bas, embrassant le coin de ses lèvres, sa mâchoire pour ensuite s’attarder un moment sur son cou. Il goutait la peau, sentait son parfum, il faisait bien trop durer les choses. Il glissa sur les clavicules, les effleurant seulement avant d’encore une fois retourner sur un sein. C’était sûrement sa partie préférée sur le corps d’une femme. Il aimait les voir immobiles, il aimait les voir bouger, il aimait les voir nus, et les voir habillés, il aimait les sentir entre ses doigts ou sous ses lèvres, il ne semblait jamais s’en lasser. Il l’observa un instant. Elle gardait ses yeux fermés, il avait senti ses ongles sur sa peau mais il n’arrivait pas suffisamment à voir le plaisir qu’elle pouvait ressentir dans ses gestes, dans son attitude. Il voulait la faire réagir, la faire ressentir, et lui aussi voulait toutes ces choses-là pour lui. Il s’arrêta un moment, s’éloigna d’elle pour observer son corps, et, sans même la prévenir ne serait-ce que par un mot ou par un geste, il la retourna, écartant ensuite les cuisses de la jeune femme pour se glisser entre elles. Elle n’avait plus son mot à dire, maintenant, de toute façon, même si elle tentait, il ne l’écouterait plus. Ils étaient arrivés à un stade où il n’y avait plus que le côté animal des choses, les pulsions et les envies, et rien d’autre. C’était à peine s’il réfléchissait tant la chaleur de son corps lui donnait envie de se fondre en elle. Il passa ses mains sur son dos, le caressant, parfois laissant ses ongles la griffer doucement, avant de venir attraper ses hanches pour les soulever légèrement. Il se pencha au-dessus d’elle, vint mordre son cou avant de venir se glisser en elle, s’arrêtant seulement lorsqu’il ne put plus avancer. Il ferma ses yeux, et mordit ses lèvres après avoir laissé échapper un soupir de plaisir. Il lui demanda tout de même « ça va ? », pour la forme, n’écoutant même pas la réponse avant de commencer à bouger lentement. C’était son plaisir à lui avant tout, il changea un peu la dynamique.
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Re: +18 ‹ j'arrive brutalement comme un coup d'état › ft. teresa | Jeu 16 Mar - 14:48 Citer EditerSupprimer
Teresa se cambrait, glissait avec une certaine douceur sur les draps, elle se prélassait, devinait les touchers, les odeurs, la chaleur dans son corps, et celle que dégageait l’homme qui était au-dessus d’elle. c’était à la fois attirant, à la fois effrayant de se donner à cet inconnu, mais peu importait, elle ne savait pas vraiment pourquoi, mais elle s’était sentie attirée vers lui, peu importe ce que seyun pouvait prétendre être ou non. elle souleva ses hanches avant de sentir son buste et ses cuisses appuyés contre le matelas, le menton presque dissimulée sous la literie. L’homme l’avait maniée, retournée et maintenant il allait la consumer. Teresa obéissait, sentait des mains insistantes, un baiser posé sur sa nuque et ses hanches se soulevèrent pour chercher cette nouvelle proximité. et comme automatique, ses mouvements naturels devenaient ceux attendus par le garçon derrière elle. son contact la fit aussitôt frémir, ses cheveux dégageaient son cou alors qu’elle serrait les draps fades du lit entre ses ongles pointus. La kazakhe eut à peine la force de répondre à la question futile du coréen, se contentant alors d’un geignement approbateur en guise de « oui » ; attendant à tout instant le moment où il allait s’arrêter et commencer à marquer son territoire définitivement. La brune cambra soudainement son dos quand elle sentit le contact se former, le bassin de don juan remuer doucement, sachant pertinemment que tous deux, n’allaient pas se contenter de cette lenteur. Mais c’était agréable, et surprenant de constater que l’asiatique prenait son temps pour savourer cette nouvelle peau qu’il avait eu si facilement. Elle laissa alors, petit à petit, le diable s’emparer de son corps qui se déhanchait légèrement sous le sien. Teresa aimait aussi prendre les choses en main, et ses courbes lui permettaient facilement de combler les hommes. Elle releva brusquement la tête avant de faire bouger son bassin, tantôt s’avançant, tantôt se reculant, tantôt coulant de manière circulaire pour que l’homme se laisse porter par la souplesse de ses mouvements ; comme s’il n’avait plus rien à faire : elle se mouvait comme une anguille pour lui.
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