Page 3 sur 3 • 1, 2, 3
+18 ‹ j'arrive brutalement comme un coup d'état › ft. teresa
Invité
Invité
Re: +18 ‹ j'arrive brutalement comme un coup d'état › ft. teresa | Sam 18 Mar - 18:08 Citer EditerSupprimer
Il gardait ses mains sur les hanches de la jeune femme, la tenant presque immobile sous lui pour se laisser aller à son propre plaisir. Il la sentait néanmoins bouger sous elle, et il appréciait le fait qu’elle ne se laissait pas simplement faire comme une poupée de chiffon, qu’elle bougeait un peu pour qu’il n’ait pas l’impression de simplement baiser un objet. Il bougeait lentement en elle, mordillant un peu de la peau qui se trouvait sous ses yeux, soupirant quelques fois de plaisir, avant de commencer petit à petit à accélérer. Il bougeait son bassin dans un rythme que lui seul avait en tête, que lui seul connaissait et lui seul pouvait maîtriser. Il se sentait fort dans ces moments, dominant. Il avait l’impression d’avoir plus de contrôle sur sa vie, d’être l’homme, le vrai, celui qui méprise les femmes et qui se sert d’elle, qui les baise parce qu’il considérait que de toute façon elles n’étaient bonnes qu’à ça. Il soupira, accéléra à nouveau pour se laisser emporter, oubliant presque le monde qui se trouvait tout autour de lui, ne pensant qu’à son plaisir et au corps de la jeune femme qui bougeait sous lui. Il glissa ses mains plus en avant, la forçant à se redresser pour coller son dos contre son torse. Une nouvelle fois ses dents virent mordiller la chaire de son cou, ses mains vinrent masser toute la chaire qu’elles pouvaient atteindre. Il voulait la sentir se resserrer de plaisir autour de lui, il voulait l’entendre, il voulait la voir, il voulait la sentir, il voulait qu’elle lui offre toutes les marques de plaisir pour se sentir plus fort, plus capable, meilleur. Et il accéléra encore. Il avait un rythme si rapide qu’il n’arrivait même plus à réfléchir, il ne le voulait plus. Il se laissait emporter dans un monde de plaisir où il n’existait que son corps et celui qu’il pénétrait, où il n’entendait que des gémissements et des soupirs et des râles. Il ne pouvait plus accélérer, il était au max. Il se sentait s’essouffler peu à peu, et perdait le contrôle de ses actes. Il avait chaud, tout était chaud, puis il laissa ses doigts voguer un peu sur la peau de la jeune femme, venant se loger contre son sexe qu’il vint titiller.
Invité
Invité
Re: +18 ‹ j'arrive brutalement comme un coup d'état › ft. teresa | Mar 28 Mar - 13:35 Citer EditerSupprimer
Elle ne le suppliait pas. du moins pas par les mots. Ses gestes traduisaient nettement le plaisir et le désir qu’elle éprouve à ce moment-là. Son corps brûlait de plus en plus, ses doigts agrippaient tout ce qu’elle pouvait atteindre, serrant des draps qui manquaient de se déchirer sous ses soins tant elle se tortillait sous ce corps délicieusement intrusif. Teresa était actuellement sous le joug de ce garçon qui resterait un inconnu. Mais elle ne pouvait s’empêcher, malgré son détachement, de se dire que quelque chose, à ce moment précis, était en train de les lier. Ce n’était pas aussi profond et puissant qu’avec naeul ou raï. Mais c’était assez fort pour ne pas qu’on puisse le détruire. Elle se redressa subitement sur les genoux, sous les soins de ce seyun. Heurtant son buste alors qu’une de ses mains vint s’accrocher sans douceur à sa nuque pour maintenir un peu plus son équilibre contre lui. elle recherchait encore plus de chaleur, plus de baisers, plus de touchers. Elle était servie. Ses sens se décuplaient au même rythme qu’il la touchait, insistant, conquérant et surtout curieux. Une des mains de la belle glissa contre celle du jeune homme, accompagnant les gestes qu’il avait entrepris quelques secondes plus tôt entre ses cuisses. Teresa le guidait, geignait quand il atteignait le jackpot, et finalement elle le lâcha brusquement, serrant son intimité entre son membre, se laissant aller à un point de non-retour qui était prêt à lui donner le coup de grâce. Mais la kazakhe était une femme qui ne s’avouait pas vaincue, elle continuait de chercher son prédateur, l’attirant petit à petit dans un piège, ses ongles se plantant dans sa cuisse qui ne cessait de s’agiter. Il y aura deux vainqueurs dans cette bataille de la luxure. Deux conquérants qui se domptaient ensemble, cherchant dans leur être, le trésor qui les ferait céder.
Invité
Invité
Re: +18 ‹ j'arrive brutalement comme un coup d'état › ft. teresa | Mer 29 Mar - 20:11 Citer EditerSupprimer
Il était persuadé que même s’il le voulait, il ne pourrait plus arrêter le rythme effréné de ses hanches. Il était devenu incontrôlable, et il devait avouer que cela ne lui déplaisait pas tant que ça. Il aimait cette perte de contrôle liée au plaisir. Il aimait sentir la chaleur dans son ventre, la sensation serrée autour de son membre, les goutes des sueurs qui perlaient sur sa peau, et ce corps au belles courbes collés contre le siens. Il aimait la moiteur de leur échange, il aimait aussi les bruits, les claquements, les gémissements qui en découlait. Il aurait aimé que cela dure des heures, que ça ne s’arrête jamais, qu’il puisse pour toujours avoir, collé contre lui, un corps chaud où y trouver son plaisir. Mais il savait aussi que toute chose avait une fin, et son souffle court, ainsi que la tension qu’il ressentait dans son bas-ventre lui indiquaient que cela n’allait plus durer longtemps. Il ferma ses yeux, fort, et agrippa entre ses doigts la chair tendre de la jeune femme. Il aimait ces moments-là où il perdait tout contrôle. Il se sentait plus fort, plus grand, plus apte, comme s’il était le roi du monde et qu’il pouvait avoir le pouvoir sur tout, paradoxalement. Puis, il se laissa aller, il jouit, et après avoir encore continué ses mouvements quelques instants, espérant, même si ce n’était pas sa priorité, emporter la jeune femme avec lui dans sa jouissance, il se détendit, s’éloignant d’elle après un dernier baiser sur l’épaule pour ensuite se laisser tomber sur son lit, reprenant avec difficulté son souffle qu’il avait sûrement dû retenir. Il ouvrit ses yeux pour observer Teresa, l’attirant vers lui pour la prendre entre ses bras – il avait cette fichue manie de bien trop aimer le contact humain après le sexe – tout en souhaitant qu’elle ne reste pas trop longtemps. Il glissa ses mains sur son corps, profitant encore un peu de la douceur de sa peau. Il l’aura sûrement oublié le lendemain.
Invité
Invité
Re: +18 ‹ j'arrive brutalement comme un coup d'état › ft. teresa | Dim 16 Avr - 15:03 Citer EditerSupprimer
Elle pouvait encore sentir son haleine alcoolisée taper contre ses sens aussi violemment qu’il le faisait un peu plus bas. Il avait accéléré le rythme de manière soudaine, comme s’il savait qu’il allait bientôt venir et qu’il avait peur que la jeune femme le dévore tout cru. Teresa n’était jamais rassasiée, jamais totalement épuisée et c’était ce qui faisait d’elle une conquête unique. Elle pouvait remettre ça plusieurs fois de suite mais elle ne le ferait pas. il n’y avait que les privilégiés qui avaient déjà entamer ce genre de marathon. Alors elle posa ses mains brunes sur le haut du dos du coréen, comme pour lui intimer de ne pas lâcher prise. Pas tout de suite. Pas maintenant. Parce qu’elle se sentit brusquement transportée. Seyun sonna cependant la fin de la bataille dans un dernier coup de rein. Elle put sentir l’entière chaleur de son corps en elle encore quelques secondes avant qu’il ne vienne s’écrouler à ses côtés. La kazakhe ne bougea pas encore. Tentant de reprendre des esprits bien trop embrumés. Elle ne pouvait pas fermer les yeux, la tourmente lui montant à la tête. Elle fixa le plafond blanc sali avant de se tourner vers son voisin, ses cheveux noirs s’étalant contre lui dans un mouvement si souple qu’on aurait pu penser qu’il était calculé. Elle ne savait pas à ce moment présent si elle devait partir ou non. d’un côté elle attendait un signe, de l’autre elle se convainquait dans sa tête qu’elle faisait ce qu’elle voulait. Teresa releva le visage au bout de quelques minutes d’étreinte, entamant son rituel post sexe, filant dans les toilettes pour tenter d’avoir les idées claires. Elle s’installa sur la cuvette et frotta son visage : elle avait beaucoup trop bu. La brune ne tarda pas à revenir dans la chambre, inspectant son requin toujours installé fièrement. Elle devait se faire une raison. Dans quelques instants ils ne seront plus que quelques souvenirs agréables qui rythmeront les ennuis du quotidien. La libraire commença donc à s’habiller, enfilant ses collants avant de constater qu’elle n’avait plus de chaussures. La gêne put se lire sur son visage mais elle ne fit rien remarquer pour autant. Quand teresa eut attrapé son semblant de veste, elle se tourna vers l’asiatique en soufflant un bonne nuit.
Contenu sponsorisé
Page 3 sur 3 • 1, 2, 3