Hideki Nonomi ►Mais je dormais pas, j'étais bourré !
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Hideki Nonomi ►Mais je dormais pas, j'étais bourré ! | Mar 7 Fév - 2:38 Citer EditerSupprimer
nom : Hideki prénom : Nonomi âge : 22 ans date et lieu de naissance : née le 1 Janvier 1995 à Tokyo, Japon. origines : japonaise. nationalité : Japonaise cursus universitaire : en anthropologie.. métier : Hôtesse. orientation sexuelle : Hétéroclasse sociale : moyenne code du règlement : Clochette tu veux t'investir ? Je crois que dans les mesures de circonstance, il évidant que d'avoir une étiquette attachée à ma personne ne m'intéresse guère. Il va en dire que les fraternités sont des plus charmeuses et séductrices, mais malgré leurs côtés hauts en couleur... je préfère de loin le côté excentrique d'une vie d'étudiante normale...Non ! Je blague ! Il serait idiot de m'arrêter à l'originalité d'une vie ordinaire ! J'aimerais bien voir un combat ! Venez combattre pour ma personne ! Crier ! Frapper ! Soyez comme une meute de loups combattant pour l'unique femelle fertile ! Sérieux! La fraternité qui gagnera aurait droit à une guimauve !
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« Sérieux ! Nonomi, tu ne peux pas être sérieuse deux secondes ! Tu crois réellement que je vais croire que ton père est un dieu du rock ? On ne vit pas dans une série d’ado ! »
« Tu n'es pas une reine ! Cesse donc d'être une drama queen !»
« Tu ne comprends pas ! Je ne suis pas ton serviteur ni ton esclave ! Donc, arrête de jouer les princesses et grandis un peu. »
Il y a dans ce monde des caractéristiques que nous avons bien dû mal comprendre et même de réagir à celle-ci. Nous avons été éduqués de différentes façons. Afin de faire face à ce qui va se présenter à nous. Bien que nos parents aient fondu en nous l’espoir, l’amour et la force, il y a toujours cette faiblesse constante. Leurs savoirs nous ont bien été transmis dans de nombreuses variations, mais est-ce suffisant ? Il faut avouer que l’avenir d’aujourd’hui sera créé par notre force à aimer et notre courage de faire avancer les choses. Mais, il faut avoir cette flamme pour y parvenir. Il nous faut une personne qui sache qui nous sommes et qui souhaite partager sa confiance et les encouragements qui feront avancer les choses. Il n’y a pas plus dur, mais grâce à ses personnes nos échecs deviennent un élément concret qui permet de faire bouger les choses. Il ne suffit pas d’un claquement de doigts pour arriver. Ce n’est que le travail qui le peut. C’est peut-être de cette façon aussi que je perçois ce monde. À mes yeux, cet univers est bien plus cupide. Les gens n’ont pas de compréhension et ne connaisse pas la vérité sur celle-ci. Il faut dire que je suis encore après l’étudier pour mieux la comprendre, mais le mot encore est un grand mot. Je dois dire que j’ai grandis autours de personnes plus farfelues une que autres. Je les remercie aujourd’hui ou pas…
J’ai grandis auprès d’eux. Je pouvais apercevoir leurs amours et la liaison invisible qui les reliaient. Le regard qui posais sur elle, son sourire qu’elle lui affichait prouvait que le mot amour n’était pas que fictif. Le fait qui nous délaissait auprès de notre mère prouvait qui avait confiance en elle. Il nous disait d’un baiser sur le front et un câlin, un au revoir banal. Il embarquait dans son autocar en nous quittant pour sa tournée. Je me souviens de verser mille et une larmes enfin de convaincre ma mère de partir avec lui. Moi qui voyais cet homme comme celui qui représentait l’homme idéal. Comment l’homme de ma vie qui me m’abandonnait encore et comme toujours pouvait-il le supporter ? Je me questionnais sans arrêt sur le sujet. Pourquoi s'éloignait-il de moi en me laissant auprès de ma mère qui était qu’une mère à mes yeux. Mon meilleure amie ne me voulait pas, mais appréciait son travail. Même-ci cela n’est pas vrai. Je me créais de fausses idées pour me convaincre du pire. Après tout, je ne voulais qu’une seule chose ! Délaisser mon frère qui était important à mes yeux et quitter cette femme folle de maquillage pour suivre un homme qui n’avait pas de fondement. Bien que cela soit amusant, mes nombreuses crises ont eu comme effet de m’offrir une victoire. Une victoire victorieuse ! C’est avec le cœur serrer que ma mère du m’offrir une petite valise et me laisser avec son époux. Un choix bien critiqué ! Car, notre dame se lassait peu à peu de son mari. Voulant vivre une vie normale et ne plus vivre sous les cris d’admirateurs excentriques. Tandis que moi, je voulais le contraire. Je souhaitais voyager, je voulais vivre une vie trépidante, je souhaitais devenir une chanteuse rock en autre je ne voulais que marcher sur la même route que mon père. Cependant, ce que j’ai découvert me dégoutait. Il avait choisi de changer ! Il n’était plus le même depuis que notre mère a choisi de vivre par elle-même. Elle ne voulait pas divorcée, mais elle ne voulait plus de lui dans sa vie. Tristement, j’ai pu apercevoir peu à peu que mon père changeait. Un côté plus noir de sa personnalité. Moi qui étais à temps partiel à la maison et sur la route, semi à l’école et avec des livres pour l’éducation à la maison. Un peu idiot, mais bon. J’ai pris plusieurs années à réaliser que cet homme n’avait plus rien de bon. Sa voix qui se levait sur moi, sa négativité qui s’imprimait sur mes os, mes pleures qui ne lui parvenait pas à ses oreilles. C’était si pénible que le jour de mes douze ans, je m’assois avec ma mère et mes larmes descendirent sur mes joues. Je lui exprimais ma tristesse et la haine naissante qui montait envers lui. Je me souviens de lui avoir dit entre deux reniflements que mon père n’était plus rien pour moi. Il me prenait pour son employée et non sa princesse. Ma mère réalisait que sa fille avait besoin d’elle. Comprenant rapidement le pourquoi de mon caractère fort. Je n’étais plus aussi pur mentalement qu’elle le croyait. J’étais devenu un peu un garçon manqué, une fille cherchant le trouble, une demoiselle voulant faire sa place, mais qui n’y arriva simplement pas. Est-ce dur oui ! Grâce à Dieu, même-ci dieu est un mythe, ma tendre maman m’accueillait les bras ouverts.
Grâce à elle, je pouvais vivre de nouveau, mais avec un vide. Je voulais vivre auprès de ma famille, mais mon frère nous avait délaissés. Lui qui voulait une liberté et vivre par lui-même, il l’avait bien eux. C’était si choquant et blessant de savoir qui était partie loin de moi. Je ne pouvais pas le laisser faire sans rien dire. Chaque jour, je lui téléphonais en lui proférant des menaces sans oublier les photos menaçantes. Aussi têtue que je sois, je voulais gagner et qui revienne. Tout en sachant que la cause était perdue. Toutefois, mon frère acceptait de me voir. Il faut dire que l’amour fraternel revenait à la surface. Ce n’est pas pour cette raison que je visitais mon père les samedis et dimanches, mais pour me calmer de la mère qui était présente, mais pas trop.
Le vide qui se créa entre eux et moi. Je me créai ma propre personne. Je me suis mis en tête que les gens me cherchaient. Qu’ils voulaient me blesser et me détruire. Pour cette raison, j’ai pris de la route de la maltraitance. Je jouais les yandare. Sage comme une image, mais devenant aussi violente. Mon entrée au lycée fut frappante. Je manipulais les gens et deviens rapidement une mini princesse. Non la reine ! Au fond, je recherchais peut-être l’attention. Ce n’est donc pas étonnant de me voir changer de style radicalement et d’intégrer un petit groupe de malfrat. Profitant ainsi de ce que je projetais. Je choisis de profiter du bronzage, des perruques, du maquillage un peu trop intense. Je deviens une poupée vivante à l’allure exagérer. Provoquant les gens dans les rues et les enseignants devenant une petite garce qui jouait les bonnes filles de bonne famille à la maison. C’était assez amusant, car ma vie banale était devenue trépidante. Je faisais partie d’un groupe de yankee, je jouais dans un groupe de musique et je draguais, mais gardais fièrement ma petite cerise bien place. J’étais peut-être une fausse rebelle, mais il était important pour moi de garder ce qui m’était précieux. C’était dû à ma crise d’adolescence, mais elle était de des plus amusants. Je me vois au lycée riant des plus faibles que moi tandis qu’à la maison je jouais la douce demoiselle recherchant un peu d’amour. Bien amusant non ?
Quelle que soit la cause de cette tournure d’évènement, je pris un choix crucial à la fin de mes études. Il était hors de questions que je choisis une autre fac que Yonsei. Le choix était fait et terminé ! Je n’allais pas changer aussi facilement d’avis. Je commençais mon harcèlement envers ma mère. La suppliant jour après jour de me laisser partir enfin de rejoindre le sol de la Corée du Sud. Je souhaitais que ma mère paye mes études ainsi je n’aurais aucune bourse, mais ce n’était pas la peine. Elle désirait que je m’habitue à vivre par moi-même surtout si je voulais vivre loin d’elle. Malgré ma mauvaise réputation, mes notes étaient dignes de la perfection. Je commençais à entreprendre les participations aux concours pour obtenir une bourse. J’étudiais plus profondément en ignorant le nouveau conjoint de ma mère. Elle qui était tombée sous le charme d’un homme dont le fils était un ami…si je peux dire ainsi. Je trouvais la situation hilarante, mais déplaisante. Je ne pouvais pas vivre dans cette atmosphère. Ma mère était toujours mariée à mon père et rien de plus. À mes yeux, elle le trompait et c’était flagrant. Oubliant ce côté de notre nouvelle vie, je ne pouvais oublier que j’avais enfin ma bourse ! Je quittais donc rapidement le Japon pour rentrer à Yonsei. Je ne pouvais plus attendre.
À mon arrivée, je trouvais un emploi dans un petit bar d’hôtesse et je pouvais payer mes dépenses. Ce n’était pas une des meilleures idées, mais elle me ramenait du pain sur la table. Ça n’allais aucunement avec ma personnalité, mais l’argent valait le coup. Je délaissais mon apparence monstrueuse pour devenir ordinaire. Une fille banale que personne n’allait pouvoir remarquer dans les couloirs, mais avec ma personnalité … on pourrait dire le contraire.
Hideki Nonomi
" Attendre sans le dire, c'est comme ne pas attendre du tout, espèce de tête de mule ! "
Sociable (★★★✰✰) | Cynique (★★★✰✰) | Charismatique (★★★✰✰) | Sarcastique (★★★✰✰) | Attentionnée (★★★✰✰) |
Rustre (★★★★✰) | Sensible (★★★✰✰) | Directe (★★★✰✰) | Ouverte (★★★✰✰) | Bavarde (★★★✰✰) |
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Rumour has it... Son apparence physique est importante. Elle ne sortirait jamais sans être maquillée ni même parfumer. ‘’Vrai ! Elle dépense des fortunes en vêtements, cosmétiques et accessoires.’’ Survole l'avatar, petit coquin. | My character Cette jeune princesse japonaise laisse sortir une personnalité bien ordinaire. Il y a chez elle une difficulté qui complique l’approche et la communication. Bien que Nonomi soit une femme aux traits stricts, sa maturité reste à déterminer. Sa jalousie de la vie est un de ses pires défauts, car bien qu’elle a la beauté et l’argent, il lui manque ce petit ‘,’je ne sais quoi ‘’. Étant la preuve vivante que la beauté n'a pas de réel sens . Aimant son apparence, elle ne se gêne pas pour le montrer, cette jeune demoiselle n’a aucune gêne. Étant une femme d’une nature terre-à-terre, ses paroles seront directes. Son franc-parler laisse les gens de glace, mais en aucun moment elles ne deviendront blessantes. Car, bien que son côté réservé soit présent, Nono est une femme au grand cœur. Son entourage ou sa famille passera les premiers. Depuis ses premiers amours (qui ne tient pas plus qu’un mois), la demoiselle a établi dans sa vie une pyramide qui n’est toujours pas passée à l’histoire. Vous savez monument historique ? Dans ce bâtiment égyptien imaginaire, on retrouve au sommet sa famille suivie de ses amis, son conjoint, ainsi de suite. Cet aspect peut paraitre invraisemblable, mais à tout moment elle vous répondra simplement ‘’ Bof, je n’ai pas besoin d’un copain ! Vous m’imaginez avec un mec ?’’. Bien quand en amour, elle ne soit pas la meilleure. Très conservatrice, l’amour est un sentiment secondaire chez elle. Nono de son surnom, crois que l’amour est un sentiment que deux bons amis ont entre eux. Ce sentiment est infecté par le désir sexuel et le besoin de l’avoir toujours près de nous. Bien qu’elle n’a jamais franchi cette étape. Il faut dire cette fausse diva est une femme très peu romantique préférant rester elle-même et ne pas jouer les innocentes. Préférant jouer les rebelles, les femmes dures et vulgaires qui dit ce qu’elle pense haut et fort. Son corps réagit avec la cellule s’étant développée en elle. La Japonaise sera chaleureuse, attachante, souriante, une petite joie de vive. Cependant la crainte de se faire tromper ou délaisser la submergera à la première chicane ou parole blessante. Des paroles blessantes qui feront sortir en elle une violence qu’on n’aurait jamais crûrent. Bagarreuse et fêtarde, l’alcool ne lui fait pas un bon mélange. Sa capacité à boire n’a pas de limite, mais sa patiente disparait peu à peu. Il faut dire qu’elle n’en a jamais réellement eu. Malgré ses défauts et qualités, cette frimousse reste quelqu’un ordinaire appréciant les dépenses monstrueuses dans les vêtements de luxe. À ses yeux l’apparence compte énormément. On ne la verra jamais au grand jamais sortir son maquillage ni vêtement griffer. Ce qui lui veut le second surnom de Dash Girl. Acheteuse compulsive, elle a même dû transformer une chambre d’invité en garde de robe ! (Chez ses parents.) Il faut dire que son apparence varie et le style vestimentaire aussi. Ce qui explique les nombreux morceaux de tissus. Certes, les tissus ne sont pas bons marcher, mais les centres d’entraînements non plus. Ne supportant pas d’avoir un surpoids, elle s’entraîne quarante-huit heures par semaine, commençant par un jogging à cinq heures le matin. Il faut dire que son alimentation est très stricte. Végétalienne, elle ne mange aucune viande ou substitue, mais elle dévore les friandises sucrées comme un loup devant un steak saignant. |
This is my story
citation de ton choix
« Sérieux ! Nonomi, tu ne peux pas être sérieuse deux secondes ! Tu crois réellement que je vais croire que ton père est un dieu du rock ? On ne vit pas dans une série d’ado ! »
« Tu n'es pas une reine ! Cesse donc d'être une drama queen !»
« Tu ne comprends pas ! Je ne suis pas ton serviteur ni ton esclave ! Donc, arrête de jouer les princesses et grandis un peu. »
Il y a dans ce monde des caractéristiques que nous avons bien dû mal comprendre et même de réagir à celle-ci. Nous avons été éduqués de différentes façons. Afin de faire face à ce qui va se présenter à nous. Bien que nos parents aient fondu en nous l’espoir, l’amour et la force, il y a toujours cette faiblesse constante. Leurs savoirs nous ont bien été transmis dans de nombreuses variations, mais est-ce suffisant ? Il faut avouer que l’avenir d’aujourd’hui sera créé par notre force à aimer et notre courage de faire avancer les choses. Mais, il faut avoir cette flamme pour y parvenir. Il nous faut une personne qui sache qui nous sommes et qui souhaite partager sa confiance et les encouragements qui feront avancer les choses. Il n’y a pas plus dur, mais grâce à ses personnes nos échecs deviennent un élément concret qui permet de faire bouger les choses. Il ne suffit pas d’un claquement de doigts pour arriver. Ce n’est que le travail qui le peut. C’est peut-être de cette façon aussi que je perçois ce monde. À mes yeux, cet univers est bien plus cupide. Les gens n’ont pas de compréhension et ne connaisse pas la vérité sur celle-ci. Il faut dire que je suis encore après l’étudier pour mieux la comprendre, mais le mot encore est un grand mot. Je dois dire que j’ai grandis autours de personnes plus farfelues une que autres. Je les remercie aujourd’hui ou pas…
J’ai grandis auprès d’eux. Je pouvais apercevoir leurs amours et la liaison invisible qui les reliaient. Le regard qui posais sur elle, son sourire qu’elle lui affichait prouvait que le mot amour n’était pas que fictif. Le fait qui nous délaissait auprès de notre mère prouvait qui avait confiance en elle. Il nous disait d’un baiser sur le front et un câlin, un au revoir banal. Il embarquait dans son autocar en nous quittant pour sa tournée. Je me souviens de verser mille et une larmes enfin de convaincre ma mère de partir avec lui. Moi qui voyais cet homme comme celui qui représentait l’homme idéal. Comment l’homme de ma vie qui me m’abandonnait encore et comme toujours pouvait-il le supporter ? Je me questionnais sans arrêt sur le sujet. Pourquoi s'éloignait-il de moi en me laissant auprès de ma mère qui était qu’une mère à mes yeux. Mon meilleure amie ne me voulait pas, mais appréciait son travail. Même-ci cela n’est pas vrai. Je me créais de fausses idées pour me convaincre du pire. Après tout, je ne voulais qu’une seule chose ! Délaisser mon frère qui était important à mes yeux et quitter cette femme folle de maquillage pour suivre un homme qui n’avait pas de fondement. Bien que cela soit amusant, mes nombreuses crises ont eu comme effet de m’offrir une victoire. Une victoire victorieuse ! C’est avec le cœur serrer que ma mère du m’offrir une petite valise et me laisser avec son époux. Un choix bien critiqué ! Car, notre dame se lassait peu à peu de son mari. Voulant vivre une vie normale et ne plus vivre sous les cris d’admirateurs excentriques. Tandis que moi, je voulais le contraire. Je souhaitais voyager, je voulais vivre une vie trépidante, je souhaitais devenir une chanteuse rock en autre je ne voulais que marcher sur la même route que mon père. Cependant, ce que j’ai découvert me dégoutait. Il avait choisi de changer ! Il n’était plus le même depuis que notre mère a choisi de vivre par elle-même. Elle ne voulait pas divorcée, mais elle ne voulait plus de lui dans sa vie. Tristement, j’ai pu apercevoir peu à peu que mon père changeait. Un côté plus noir de sa personnalité. Moi qui étais à temps partiel à la maison et sur la route, semi à l’école et avec des livres pour l’éducation à la maison. Un peu idiot, mais bon. J’ai pris plusieurs années à réaliser que cet homme n’avait plus rien de bon. Sa voix qui se levait sur moi, sa négativité qui s’imprimait sur mes os, mes pleures qui ne lui parvenait pas à ses oreilles. C’était si pénible que le jour de mes douze ans, je m’assois avec ma mère et mes larmes descendirent sur mes joues. Je lui exprimais ma tristesse et la haine naissante qui montait envers lui. Je me souviens de lui avoir dit entre deux reniflements que mon père n’était plus rien pour moi. Il me prenait pour son employée et non sa princesse. Ma mère réalisait que sa fille avait besoin d’elle. Comprenant rapidement le pourquoi de mon caractère fort. Je n’étais plus aussi pur mentalement qu’elle le croyait. J’étais devenu un peu un garçon manqué, une fille cherchant le trouble, une demoiselle voulant faire sa place, mais qui n’y arriva simplement pas. Est-ce dur oui ! Grâce à Dieu, même-ci dieu est un mythe, ma tendre maman m’accueillait les bras ouverts.
Grâce à elle, je pouvais vivre de nouveau, mais avec un vide. Je voulais vivre auprès de ma famille, mais mon frère nous avait délaissés. Lui qui voulait une liberté et vivre par lui-même, il l’avait bien eux. C’était si choquant et blessant de savoir qui était partie loin de moi. Je ne pouvais pas le laisser faire sans rien dire. Chaque jour, je lui téléphonais en lui proférant des menaces sans oublier les photos menaçantes. Aussi têtue que je sois, je voulais gagner et qui revienne. Tout en sachant que la cause était perdue. Toutefois, mon frère acceptait de me voir. Il faut dire que l’amour fraternel revenait à la surface. Ce n’est pas pour cette raison que je visitais mon père les samedis et dimanches, mais pour me calmer de la mère qui était présente, mais pas trop.
Le vide qui se créa entre eux et moi. Je me créai ma propre personne. Je me suis mis en tête que les gens me cherchaient. Qu’ils voulaient me blesser et me détruire. Pour cette raison, j’ai pris de la route de la maltraitance. Je jouais les yandare. Sage comme une image, mais devenant aussi violente. Mon entrée au lycée fut frappante. Je manipulais les gens et deviens rapidement une mini princesse. Non la reine ! Au fond, je recherchais peut-être l’attention. Ce n’est donc pas étonnant de me voir changer de style radicalement et d’intégrer un petit groupe de malfrat. Profitant ainsi de ce que je projetais. Je choisis de profiter du bronzage, des perruques, du maquillage un peu trop intense. Je deviens une poupée vivante à l’allure exagérer. Provoquant les gens dans les rues et les enseignants devenant une petite garce qui jouait les bonnes filles de bonne famille à la maison. C’était assez amusant, car ma vie banale était devenue trépidante. Je faisais partie d’un groupe de yankee, je jouais dans un groupe de musique et je draguais, mais gardais fièrement ma petite cerise bien place. J’étais peut-être une fausse rebelle, mais il était important pour moi de garder ce qui m’était précieux. C’était dû à ma crise d’adolescence, mais elle était de des plus amusants. Je me vois au lycée riant des plus faibles que moi tandis qu’à la maison je jouais la douce demoiselle recherchant un peu d’amour. Bien amusant non ?
Quelle que soit la cause de cette tournure d’évènement, je pris un choix crucial à la fin de mes études. Il était hors de questions que je choisis une autre fac que Yonsei. Le choix était fait et terminé ! Je n’allais pas changer aussi facilement d’avis. Je commençais mon harcèlement envers ma mère. La suppliant jour après jour de me laisser partir enfin de rejoindre le sol de la Corée du Sud. Je souhaitais que ma mère paye mes études ainsi je n’aurais aucune bourse, mais ce n’était pas la peine. Elle désirait que je m’habitue à vivre par moi-même surtout si je voulais vivre loin d’elle. Malgré ma mauvaise réputation, mes notes étaient dignes de la perfection. Je commençais à entreprendre les participations aux concours pour obtenir une bourse. J’étudiais plus profondément en ignorant le nouveau conjoint de ma mère. Elle qui était tombée sous le charme d’un homme dont le fils était un ami…si je peux dire ainsi. Je trouvais la situation hilarante, mais déplaisante. Je ne pouvais pas vivre dans cette atmosphère. Ma mère était toujours mariée à mon père et rien de plus. À mes yeux, elle le trompait et c’était flagrant. Oubliant ce côté de notre nouvelle vie, je ne pouvais oublier que j’avais enfin ma bourse ! Je quittais donc rapidement le Japon pour rentrer à Yonsei. Je ne pouvais plus attendre.
À mon arrivée, je trouvais un emploi dans un petit bar d’hôtesse et je pouvais payer mes dépenses. Ce n’était pas une des meilleures idées, mais elle me ramenait du pain sur la table. Ça n’allais aucunement avec ma personnalité, mais l’argent valait le coup. Je délaissais mon apparence monstrueuse pour devenir ordinaire. Une fille banale que personne n’allait pouvoir remarquer dans les couloirs, mais avec ma personnalité … on pourrait dire le contraire.
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Je suis...
Deilenaar
Je m’inscris sur mon premier forum asiatique de ma vie ! Je délaisse tranquillement l’univers occidental pour rejoindre l’univers asiatique. Je suis tombée sur ce magnifique forum par un Top site ou root site peu importe. Je le trouve tout simplement magnifique ! Je dois dire que les règlements m’ont charmé et même bluffer ! J’en suis tombé en amour. Même ci, j’ai cherché le code plusieurs fois. J’espère avoir le bon d’ailleurs. Bon ! Qui je suis ? Peu importe. Je suis une petite Québécoise voyageant sur le navire de Jack pour venir atterrir sur la terre. J’ai peut-être plus de quatre cents ans, ou juste vingt-trois. Si je suis une fille ou un mec, je peux soulever mon chandail … mais il me restera toujours un morceau de vêtement sous ce morceau de tissu. Désolé ! Puis vous savez… à quatre cents ans on se lave les sous de bras seulement aux deux moins ! Bon je devrais dire qu’aujourd’hui… je le fais une fois par jour… ou pas ! Vous voulez vérifier ? Je ne vous laisserais pas mourir ! N’ayez crainte !
Célébrité prise
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Supprimez le code inutile ♥
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Re: Hideki Nonomi ►Mais je dormais pas, j'étais bourré ! | Mar 7 Fév - 7:17 Citer EditerSupprimer
bon choix de pv
bienvenue et courage pour ta fiche
bienvenue et courage pour ta fiche
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Re: Hideki Nonomi ►Mais je dormais pas, j'étais bourré ! | Mar 7 Fév - 8:42 Citer EditerSupprimer
NONOMI OMG JE SUIS CHOQUANCE MON TOUT PETIT BÉBÉ SŒUR ALIEN QUI A TELLEMENT GRANDIS omg merci merci merci de tenter mon pv ça me fait trop le plaisir et sayo t'arrives au sel moment ou j'ai pas de wifi pour déménagement j'arrive te harceler TRÈS VITE ma boîte mp est ouverte si tu veux
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Re: Hideki Nonomi ►Mais je dormais pas, j'étais bourré ! | Mar 7 Fév - 9:08 Citer EditerSupprimer
BIENVENUE à toi bon choix de pv si je me trompepas
have fun
have fun
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Re: Hideki Nonomi ►Mais je dormais pas, j'étais bourré ! | Mar 7 Fév - 9:23 Citer EditerSupprimer
OMG LA SISTER EST LA COMMENT C'EST ARCHI PARFAIT ÇA ♡♡♡♡♡♡♡
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Re: Hideki Nonomi ►Mais je dormais pas, j'étais bourré ! | Mar 7 Fév - 9:25 Citer EditerSupprimer
Dat pv **
très bon choix de vava vu que c'est sayooooooo
bienvenuuuue mon chat ♡
très bon choix de vava vu que c'est sayooooooo
bienvenuuuue mon chat ♡
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Re: Hideki Nonomi ►Mais je dormais pas, j'étais bourré ! | Mar 7 Fév - 9:56 Citer EditerSupprimer
bienvenue parmi nous
Invité
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Re: Hideki Nonomi ►Mais je dormais pas, j'étais bourré ! | Mar 7 Fév - 10:05 Citer EditerSupprimer
Bienvenuuuuuuuuue
Bon choix de pv, tu fais une heureuse
Bon courage pour ta fiche et have fun !
Bon choix de pv, tu fais une heureuse
Bon courage pour ta fiche et have fun !
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Re: Hideki Nonomi ►Mais je dormais pas, j'étais bourré ! | Mar 7 Fév - 11:34 Citer EditerSupprimer
Excellent choix de pv
Bienvenue par ici et courage pour ta fiche
Bienvenue par ici et courage pour ta fiche
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Re: Hideki Nonomi ►Mais je dormais pas, j'étais bourré ! | Mar 7 Fév - 12:04 Citer EditerSupprimer
POUSSEZ VOUS ¨MARCHE SUR LES TETES* *et saute sur Nono*
COUCOU MA LUCIOLE Olalah je suis trop content que tu aies pris ce pv super ton demi frere stp
PUIS SAYO T AURAIS PAS PU MIEUX CHOISIR OMG bienvenue parmi nous
COUCOU MA LUCIOLE Olalah je suis trop content que tu aies pris ce pv super ton demi frere stp
PUIS SAYO T AURAIS PAS PU MIEUX CHOISIR OMG bienvenue parmi nous
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