CACHE CACHE BY NIGHT

trouve moi à poiiiiil dans l'amphiiii

Devant l’université avec Zinzin, on attend comme des kings. J’me sens tout excité, j’ai du mal à rester en place. Ce jeu, c’est le game du siècle. Déjà que de base un cache-cache c’est cool mais putain un cache-cache dans l’université la nuit, bordel que c’est terrible ! J’ai prévenu tout ceux que je connaissais, même certain que je ne connaissais pas parce que rien ne m’arrête (en plus j’suis pas poisson, j’suis taureau, enfin j’crois (t’as compris, arrête/arête …). J’regarde tous ces fiers soldats arriver un à un et j’me sens fier comme une mouette qui pécho une frite sur la plage de Berck. J’tiens mon rôle, j’essaye de rester sérieux même si du Patrick Sebastien gueule à fond dans ma tête. « Chers compatriotes, bienvenue. » J’commence à faire des allers-retour sur la longueur juste pour le style. « Ce soir a lieu le premier cache-cache universitaire. Moi Jin parce que je porte un jean et lui Zinzin parce qu’il est zinzin. » J’tapote ma trempe pour signifier qu’il est fou dans le plus grand des calmes avant de poursuivre. « Sommes les grands organisateurs et ainsi, seront en charge de vous trouver dans ces lieux immenses. Des prix de plus en plus exceptionnels vous seront remis selon votre place dans le game.» Je m’arrête finalement la hauteur de mon coéquipier, face à eux. « Vous aurez 10 minutes pour vous cacher. Un SMS sera envoyé sur vos téléphones lorsqu’une personne sera trouvé. » J’frotte mon front, juste parce que ça me gratte avant de sourire. «  Veillez à garder les yeux partout, peut-être que les lieux peuvent être hanté. LE JEU COMMENCE MAINTENANT ALLEZ VOUS CACHER. »

by tris

(la dernière image à la fin du gif n'a rien a voir MAIS PTN JM TROP MDR)

Les systèmes de sécurités sont éteins grâce à un don généreux au gars de la sécu cependant gardez en tête que vous êtes en train de faire un cache-cache sans la moindre autorisation et que vous vous êtes littéralement introduits.

Fonctionnement : Dans votre premier post, vous vous trouverez une cachette que vous mentionnerez dans votre post. Au cours du jeu vous pourrez en changer parce que vous le désirez ou parce que votre personnage en sera peut-être obligé. :/
Jung Jin Kyung (dit Jin qui porte un jean) et Kim Jae Sun (dit Zinzin parce qu’il est zinzin) s’aventurerons dans l’université à votre recherche. Les actions importantes pouvant mettre à découvert votre personnage seront associées aux dés. (exemple si ton personnage est caché dans un casier : le gars est gilbert montagné, il n’a rien grillé / œil de lynx tête de tigre, dans le casier il n’y a pas que des livres ! )

Un cache géant dans l'université, ça va chier. Ah toi, t'es à fond, tu vas tous les trouver, tu vas niquer le game. T'es trop excité par cette idée et puis en plus organisé par ton fidèle camarade Jin, t'es serein alors que clairement, ça risque de mal finir. Devant l'université, tu te tiens droit comme un piquet alors que Jin commence son petit discours pépouze, cependant, tu finis par froncer les sourcils lorsqu'il se met à parler de ton surnom. « Pshhh » l'interpelles-tu de toute ta discrétion, c'est à dire inexistante. « En fait je ne sais pas d'où vient réellement ce surnom, mais j'étais hyperactif quand j'étais petit du coup j'étais un peu... » Tu marques une courte pause. « C'est pas important. » Tu vas encore partir dans un monologue si tu ne t'arrêtes pas. C'est vrai quoi, tu t'es fait à ce surnom mais t'es pas si Zinzin que ça (d'après toi). Tout ça parce que tu n'avais pas de balai dans le cul ? Bah ça vole bas. Bref ce surnom est presque sur ta carte d'identité maintenant, tu secoues la tête et laisses ton camarade finir son petit discours comme s'il annonçait quelque chose de supra giga important (c'est le cas). Ton sac sous le bras, t'es prêt à l'attaque et lorsque tout le monde commence à partir se cacher, tu t'approches de Jin. « Je crois que j'ai oublié mes chaussures de Clown, j'suis dégoûté, je vais voir si y'a pas un étudiant qui chausse du 56 pour lui voler ses pompes. » On sait jamais.

un large sourire sur les lèvres, j'ai enfilé mon plus beau tee shirt superman, mon super jogging assorti, avant de partir du dortoir le plus rapidement possible. sur le chemin jusqu'à l'université, je réfléchis à un plan pour la soirée qui se profile. jin, mon poto, a organisé un cache cache géant ce soir, et je pouvais pas rater ça ! j'ai quand même pris des provisions dans mon sac à dos, genre de l'eau et des prince. on sait jamais, suffit que mon ventre gargouille et on me repère à dix kilomètres alors autant être prévoyant ! j'arrive assez vite devant l'entrée et rejoint le petit groupe, toujours ce sourire plaqué sur la face. j'écoute le discours de mon poto, j'ai trop envie de l'applaudir tellement l'idée est trop perf mais je me retiens, un peu. limite on dirait que je sautille sur place mais en vrai, je suis la joie de participer ! je réfléchis vite fait à l'endroit ou je pourrais aller me planquer, c'est important quand même. le game est lancé, je jette un coup d'oeil à la direction que prennent les autres, et me décide à me diriger vers les toilettes, pépouze. j'ai pas peur qu'on me trouve, j'vais être un vrai lynx ce soir, juré !

David bondissait sur place. Enfin, il bondissait encore plus que d'habitude. Yong lui avait proposé quelques minutes plus tôt un cache cache géant, dans la nuit de l'université, proposition qui avait réveillée en une fraction son âme d'enfant qui ne demandait que ça. Ainsi, après avoir hésité l'équivalent d'un dixième de seconde, il avait suivi son bro’ jusqu’au point de rendez-vous devant l’université. Il apprécia en amateur le discours des deux organisateurs. Il ne les connaissaient pas, mais ces quelques mots lui suffirent : ces gars étaient définitivement des génies. Il fallait au moins ça pour avoir une idée pareille.

Au signal du départ, le jeune renard attrapa la manche de Yong, et le tira derrière lui. Depuis qu’il avait survécu à cette sortie dans l’enclos des crocodiles, il se sentait presque pousser des ailes, et avait bien envie d’en profiter pour explorer la chambre froide. Connaissant son ami, il était certain que cette perspective lui plairait, d’autant plus de nuit.
Les deux renards arrivèrent ainsi rapidement en bas des escaliers du bâtiment de science, santé et sport pour se retrouver dans le sous-sol, manquant de se ramasser plus d’une fois sur les marches sombre –essayez de sauter à cloche pieds dans les escaliers, vous verrez c’est moins facile que ça en à l’air !-.
L’américain poussa la porte, et ne put retenir un léger sursaut en apercevant en face de lui  un drap blanc qui recouvrait un squelette souriant. Le rire du jeune homme résonna dans la salle vide, tandis que ce dernier se tournait vers son ami : « Hey, Yong ! Tu ... »
Sa voix se figea lorsqu’il compris que ça faisait dix minute qu’il tenait la manche de son propre gilet, noué autour de sa taille.
Et merde !

Cache-cache party… Allez savoir pourquoi, dit comme ça, ses mots résonnaient dans ma tête avec une consonance coquine. Faudrait qu’on s’organise ça dans le dortoir des gumiho un soir. Tous en sous-vêtements, les garçons attrapent les filles – et tout ce qui s’en suit, évidemment. Bon là, n’était pas le thème de la soirée, dommage, néanmoins s’infiltrer dans les bâtiments de la Yonsei pour une partie de cache-cache géant ça pouvait être grave fun ! Promis, j’en profiterai pas pour faire des conneries – je vais essayer, parfois, l’instinct ça ne se contrôle pas. Et qui sait ce sur quoi on peut tomber ? Croiserai-je à nouveau la route d’un plancton nu comme un vers ? Bon là, sans la piscine ça deviendrait vraiment étrange. Bref ! Après avoir eu vent de cette grandiose idée – bordel, c’est sûr que je vais faire des conneries, je me sens trop grisé –. Oh mais oui ! Je veux aller uriner dans les bureaux de l’administration ou du secrétariat ! Eh, j’uis pas chien ! (puisqu’un renard), je vais bien étaler le PQ partout pour absorber !  En plus de cela, je suis venu avec mon acolyte super complice… David ? Je tournais la tête, cherchant partout autour de moi dans l’obscurité. Depuis que le top départ du jeu nocturne avait été donné nous étions partis comme des missiles à tête chercheuse, mais apparemment, on a oublié de se chercher nous-même. À QUEL MOMENT ON S’ÉTAIT PERDU L’UN L’AUTRE EN CHEMIN ??? Ok ! Bon, j’allais devoir aller le chercher ! En plus de mener à bien mes intentions, mais par quoi commencer ? Le bro ou le pipi ? Bah, si on est à deux à vider notre vessie, ça serait plus amusant. Le Bro’ d’abord ! Enfin, là maintenant, tout de suite, je devrais peut-être commencer par ma propre peau avant de me faire attraper ! Une plante décorative ! Parfait ! Je me planquai derrière et tel un artiste que je n’étais pas, je me mis dans le mood : je suis un arbre. La technique imparable du caméléon !

t’avais eu vent de cette partie de cache cache parce que t’avais entendu des gumi en parler. tu connais pas forcément les gens qui se rassemblent autour de toi, mais t’as quand même envie d’y participer. ça t’évitera de te prendre la tête parce que tu n’arrives pas à dormir. et puis merde quoi, t’as envie de t’amuser un peu aussi. tu poses ton regard sur les organisateurs et tu souris par rapport à leur surnoms. sérieusement, ils auraient pu trouver mieux. mais bon, ils ont déjà organisé cette immense partie, tu vas pas trop en demander. pendant qu’ils expliquent les règles, tu regardes autour de toi et tu remarques une tête connue dans le lot, un pyo comme toi. tu fronces les sourcils en observant evan. pourquoi faut-il qu’il soit là ? tu pousses un soupir. toi qui voulait être loin des problèmes de ton meilleur ami, tu te retrouves à faire une partie de cache cache avec le mec qu’il aime. t’as pas le temps de t’énerver un peu plus, que le top départ est lancé. c’est alors la cohue, tout le monde part dans tous les sens et toi tu restes planté là au milieu comme un con, réfléchissant au meilleur endroit pour aller te cacher. tu pourrais presque retourner dans ta chambre et te foutre dans ton lit, personne ne viendrait te chercher là. mais ce ne serait pas marrant. après quelques secondes d’intense réflexion, tu te mets en marche regardant autour de toi s’il n’y a pas un lieu qui pourrait te plaire. tu pourrais monter dans un arbre, aller te cacher dans une salle de cours, dans un garage ou tout simplement avec le mec de la sécurité. tu finis par te mettre à courir pour te rendre dans le gymnase. tu as décidé de te cacher dans la réserve. tu entres dans le bâtiment, allume la lampe de ton téléphone et rentre dans la réserve. tu cherches les tapis pour venir te mettre derrière. tu vérifies que de là où tu es tu ne peux pas être vu et tu attends qu’on vienne te chercher. t’auras même peut être le temps de faire une petite sieste si jamais ça prend trop de temps.

nari courrait à travers les couloirs comme si sa vie en dépendait, comme si un fantôme ou un esprit vengeur la pourchassait pour lui arracher la peau. elle haletait, et ses pas raisonnaient si fort contre le sol qu'elle était certaine que rien qu'à l'ouïe on pouvait deviner le chemin qu'elle avait emprunté. il y avait certaines choses que nari ne prenait pas à la légère, et c'était bien ce cache cache, parce que en plus de son envie plus que certaine de gagner, elle avait quelques projets secrets (surtout lorsqu'elle entendit le mot hanté) qu'elle ne tenait pas à révéler. il lui fallait une cachette quand même, une bonne, la meilleure sûrement, bien qu'elle craignait un peu de ne jamais être trouvée (elle avait entendu des histoires d'enfants morts parce qu'ils n'avaient jamais été trouvé). elle ouvrit une première porte, cria lorsqu'elle aperçu une statue, croyant que c'était une vraie personne (et c'était le cas... cachée sous tout cet argile). elle caressa le pauvre visage de cet être emprisonné à jamais, espérant qu'il n'avait pas été recouvert de son vivant, avant de faire quelques pas en arrière. elle sortit rapidement, ouvrit la porte d'une nouvelle salle, cette fois avec plus de précaution, et vit, droit devant elle, un grand bureau... c'était l'endroit idéal. son téléphone en main pour éclairer son chemin, elle se glissa derrière le bureau, et en ouvrit le placard, blindé... elle paniqua, et décida de simplement se cacher derrière la porte, caressant un de ses tatouages dans l'espoir que le sortilège qui lui était attaché la rende invisible.

légère, amusée. le regard espiègle, une esquisse de sourire. on pourrait presque croire qu'elle vole, ses pieds touchant à peine le sol. ce soir, bagheera retombe en enfance. elle replonge dans ses jeux de gamins avec baeju. elle sent sa présence et revit, le temps d'un instant. elle se revoit quelques années auparavant, dans un ancien immeuble abandonné, jouant à cache cache avec bae. les souvenirs de cette dernière année se sont échappés pour un moment, la laissant replonger dans ce bonheur dont elle se rappelle à peine. ses jambes la guide naturellement vers l'université, ses oreilles la font écouter attentivement les organisateurs de ce jeu géant. cet esprit enfantin qui reprend place le temps d'une soirée. sa tête se balance parfois comme un vieux mécanisme, et une fois que tout le monde s'échappe, bagheera s'enfuit à son tour, un rire s'échappant de ses lèvres. elle hésite un instant, puis fini par s'aventurer dans un endroit qu'elle connait à peine, la bachotte. ses yeux vagabondent sur les murs qui défilent, tandis qu'elle continue d'avancer, comme sûre d'elle. émerveillée par les détails dévoilés par l'obscurité, elle prend le temps d'arriver jusqu'à la cafétéria, observe encore un instant autour d'elle, avant de trouver un coin ou se cacher, silencieusement.

Une fois le départ lancé, c’est non sans un sourire que Jin Kyung active le minuteur de son téléphone portable franchement pourri : écran brisé, fissure sur toute son intégralité … Preuve vivante ou plutôt survivante de ces nombreuses mésaventures aussi farfelue les unes que les autres. Ah ça oui, il en aura à compter des choses à ses petits enfants (si le destin est assez con pour lui en donner) parce que des conneries, il en a faite ! Enfin, là n’est pas l’exclamation, ils ont des trucs à faire putain ! Il les regarde tous se barrer comme des ouistitis ivres avant de se tourner vers Jae Won qui lui apprend une terrible nouvelle … l’oublie de ses chaussures de Clown. « Peut-être que à la piscine y’a des palmes ? Ou dans un casier ? Faut qu'tu pris le Dieu des grands pieds ! » Ouais Jin il en a vraiment là dedans et il a même pas saigné du nez pour avoir trop réfléchit ! Il trottine, on ne sait pas vraiment pourquoi il le fait mais il le fait, pour aller chercher à son tour son sac parmi les SUPERBES CADEAUX A GAGNER afin de s’apprêter comme il se doit. Son déguisement à lui ? Celui d’un nain. Et oui madame, qui à part un génie aurait pu penser à ça hein ? Bon qu’on se le dise, un nain de fortune. Le projet ? Une barbe de père noel, un chapeau pointu, une chemise, un jean et une hâche en mousse. Le secret ? Se déplacer sur les genoux, nouer ses chaussures à ses derniers et en cas de fatigue, prétendre être le père noël en repos qui sait pas mettre des pompes mais qui sait faire des pompes. PAS BÊTE LA LEVRETTE ! Le type se change dans aucune gêne devant son pote parce que de toute façon il montre son boa devant une caméra alors que faire d’un simple caleçon noir ? Il s’apprête soigneusement avant de se mettre à genoux à distance quand même, n’allait pas vous imaginez des choses. « Alors, t'en dit quoi? Moi j'trouve ça trop fab, j'pourrai être le nain porno ou le nain coquin t'sais que j'ai tourné un film avec blanche neige? Enfin blanche cul du coup, d'ailleurs t'as vingt pourcent de réduction avec le code BillyJin c'est offert par la maison NEVER FORGET BOYYYY. » De toute façon dans le noir le plus complet, on voit pas grand-chose. Au même moment, l’alarme du minuteur retentit. IT’S TIMEEEEEEEEEEEEEEEEEEE. Pis il commence à avancer sur ses genoux, tel un imbécile heureux.

Ma planque était parfaitement idéalement parfaite ! Je n’en doutais pas une seule seconde. De toute façon, souvent la meilleure cachette se trouvait juste sous le nez du chasseur. Si je croisais l’un des deux, je ferais la statue et j’étais certain que ça passerait crème ! Mais plus que penser à ma propre peau, je devais me concentrer pour retrouver mon pote David. Puisque j’étais déjà dans le mood de l’arbre, autant approfondir ma communion avec la nature – non, je ne suis pas plus adepte des plantes vertes que des barrettes. Afin d’entrer en communication par la pensée avec mon Bro, je devais tenter de faire comme Grand-Mère Feuillage, mais sans m’effeuiller ! Quoi que la technique du petit poucet avec les fringues pourraient le mettre sur ma piste ? Mais les deux autres aussi… Dilemme. ET PUIS POURQUOI BORDEL, JE METTAIS À CONSTAMMENT PENSER DISNEY DEPUIS QUELQUES TEMPS ??? Bon, bref, inspiration, concentration, je pinçais une feuille de la plante entre mes doigts pour créer un pont entre mon esprit et les éléments. J’entamai ma tentative de connexion avec David… Minute… C’est quoi ça ? Pourquoi je vois la route qui défile comme si j’étais en… en moto ????
« AAAAAAAAAAAAAAAH »
BORDEL DE PHOQUE ! POURQUOI JE SUIS ENTRÉ EN CONNEXION AVEC NARU ???
« NON, NON ET NON ! C’EST PAS MON FRÈRE ! JE REFUSE ! NÉ LE MÊME JOUR QUE DALLE, Y A RIEN ENTRE NOUS ! »
Je beuglais comme Hortense et Chaenah lorsqu’elles faisaient un concours à qui avait le plus de poumons (dans ces cas-là, c’était le moment de se tirer discretos si on voulait pas avoir à prononcer le vainqueur) En parlant de discrétion, réflexe de fuite face à l’effroi, j’étais sorti de ma cachette pour débouler dans le couloir, lorsqu’au bout de celui-ci, dans la lueur des rayons lunaires, j’aperçus l’ombre d’une silhouette difforme se dessinant sur le mur. C’était quoi ce truc ? Un monstre nain au loin, genre fantôme-mort vivant à qui on a coupé les jambes ou le concierge nain qui se venge la nuit des étudiants qui sèment le trouble et font des traces sur le sol laborieusement récuré. Paraitrait qu’en fait, il a perdu l’usage de la moitié basses de ses jambes à force d’être à genoux pour pomper le dirlo…euh frotter le lino ! Mon pauvre David ! Je ne pouvais le laisser seul dans cet endroit où rodait une telle créature. Je pris mes jambes à mon cou dans la direction opposée :
« DAVID ! T’ES OÙ ? NON ! ME LE DIT PAS, J’ARRIVE ! »
Activation du Bluetooth gumiho, à l’instinct, les renards toujours repèrent leurs congénères !