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sweetest morning (+) MIHYUN ♥
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sweetest morning (+) MIHYUN ♥ | Mar 22 Aoû - 22:44 Citer EditerSupprimer
SWEETEST MORNING
ft. mihyun ♥
Surprise babe, I'm here! Tenue
C’est l’heure du retour pour Mia. Après avoir passé un week-end prolongé loin de la capitale, l’étudiante a pris le chemin du retour accompagné des autres cheerleaders, ainsi que des joueurs de l’équipe des Doosan Bears. Oui, vous l’aurez compris, ce n’est pas pour rien si elle s’est retrouvée à Ulsan pendant 3 jours. C’était pour cause professionnelle, si l’on peut qualifier ça ainsi., et c’est aussi pour ça qu’elle a dû se passer de son nouvellement appelé petit-ami. Ça lui fait encore bizarre de se dire qu’ils ont enfin réussi à passer le cap, tous les deux. Elle a vraiment du mal à réaliser qu’ils forment un couple, quoique les quelques messages qu’ils ont pu échanger durant le week-end lui ont permis d’y prendre conscience. Elle languissait le retour, Mia. Elle avait attendu ça dès le moment où elle était arrivée à Ulsan, elle ne voulait qu’une chose, se glisser dans les bras de Taehyun et y passer des heures, à rien faire, de toute façon ça ne compte pas vraiment tant qu’elle est dans ses bras, elle veut bien ne rien faire pendant toute une journée. Assoupie contre la fenêtre du bus, elle laisse son corps bouger au rythme des mouvements sur la route, au lieu de la réveiller, ça la berce encore plus. Faut dire que ce matin, ils ont levé le camp très tôt pour être en fin de matinée sur Séoul, quelque chose comme 6h du matin, du coup, et vu la nuit courte qu’elle a passé, Mia n’a pas eu de mal à s’endormir histoire de rattraper un peu le sommeil qui lui manquait.
Sur 5 heures de trajet, Mia ne s’est réveillée qu’une fois, quand une de ses amies s’est installée à côté d’elle pour s’appuyer sur son bras et dormir avec elle, voilà. C’est la seule fois où elle a ouvert les yeux, réalisant qu’elle venait sûrement de dormir déjà 2 bonnes heures. Il n’y a qu’à jeter un oeil à cette troupe de sportifs pour voir que le week-end a été dur et pas vraiment reposant. Or, grâce à ces 5 heures de trajet, Mia a pu récupérer un peu de forces, et tant mieux: elle va en avoir besoin.
Il est pas loin de 11h quand le bus entre enfin dans la capitale sud-coréenne. Mia finit par se redresser, les yeux à moitié fermés, et commence d’abord par s’étirer, forçant sa copine à se redresser à son tour. Les bras levés, elle tire sur ses doigts et ses bras, puis se met à bailler un grand coup. Elle sent la main d’un des gars lui frotter le crâne amicalement, ce qui la fait se tourner aussitôt, surprise par le geste et aussi parce que ça la brusque un peu trop pour un réveil, ça. Et alors qu’elle arbore un regard inquisiteur, presque plaintif, le joueur, lui, se met à rire en voyant ses cheveux tout décoiffés sur son crâne, ses yeux gonflés et ses sourcils froncés. Mais pas de soucis, Mia a la solution à tout. Elle sort de son sac une brosse à cheveux pour rendre cette chevelure un peu plus présentable, puis attrape un paquet de lingettes démaquillante pour la passer sur ses yeux histoire d’hydrater tout ça. « T’as rancart ou quoi? » demande son amie, s’étirant à son tour, un sourire aux lèvres. Mia acquiesce silencieusement, toujours un peu endormie. « J’ai fait croire à Taehyun que je rentrais ce soir. » elle fait un dernier passage sur ses yeux puis met la lingette en boule entre ses doigts. « Du coup je vais aller lui faire une surprise, là… » le sourire sur les lèvres de son amie s’agrandit à vu d’oeil. « Trop mignon! » s’exclame alors la jeune femme, avant de retourner à sa place pour préparer ses affaires.
Le bus arrive finalement au stade. Aussitôt libérés, certains joueurs montent dans les mêmes voitures, les bienfaits du covoiturage, et Mia, elle, s’apprête à prendre le métro mais une fille de l’équipe vient lui proposer de la déposer, en voiture. Et forcément, ça, ça ne se refuse pas. D’autant plus que le temps qu’elle se rende chez Taehyun, les minutes passeraient, et il serait sûrement réveillé. Elle doute, déjà, qu’il soit encore endormi. M’enfin, elle va tenter. La brunette grimpe donc dans la voiture et indique à son amie où elle doit la déposer, et quand le groupe de filles approche donc du quartier où vit le danseur, Mia lui indique de se garer sur le bas côté le temps qu’elle puisse descendre. Des signes de la main rapides, des « aux revoirs » gentillets, et voilà que Mia se tourne vers l’entrée du bâtiment, levant la tête pour apercevoir les fenêtres de l’appartement de son bien-aimé. Un sourire aux lèvres, elle en déduit que les volets étant toujours fermés, il doit être encore en train de dormir.
Elle ne perd donc pas de temps pour entrer dans le bâtiment et prendre l’ascenseur. Le problème serait sûrement d’entrer dans l’appartement sans toquer, et du coup, Mia se dit forcément que sa surprise au réveil ne serait pas réalisable. Mais elle se retrouve bien surprise quand elle parvient à ouvrir la porte en posant simplement sa main sur la poignée. Tiens, ça avait dû rester ouvert toute la nuit, ou alors, quelqu’un est parti ce matin et a oublié de fermer derrière lui. Enfin, peu importe, quelle que soit la raison au final, Mia est bien arrangée. Elle pénètre très doucement dans l’appartement, la lumière du jour peine à y entrer, une preuve que l’appartement entier est encore endormi. Un sourire joyeux, Mia se tourne pour fermer doucement la porte d’entrée derrière son passage, puis une fois chose faite, se dirige à pas de loups vers la porte de la chambre de son amoureux. Elle pousse tout doucement la porte et, à travers le bâillement de la porte, peut alors voir ces cheveux noirs ébouriffés et ce visage endormi. Le visage paisible, presque vulénrable. Elle est amoureuse, vous l’ai-je déjà dit? Elle a ce sourire attendri qui se dessine sur ses lèvres aussitôt qu’elle voit le visage de Taehyun. Et il a l’air si innocent quand il dort, elle en craquerait. Toujours du plus discrètement possible, elle pose son sac par terre et redresse les manches de son crop-top, pour d’abord, glisser doucement sa main dans celle du jeune homme. Ce premier geste ne semble pas le réveiller, ça ne l’étonne pas vraiment. Elle sait que son copain a un sommeil de plomb, mais gare à celui qui parvient à le réveiller. Elle a un peu peur faut dire, de prendre un tel risque, mais elle ose espérer que parce qu’elle lui fait une surprise, ce réveil sera plutôt bien pris, et des plus agréables pour le danseur. De sa main libre, la gymnaste sort son téléphone et prend en photo leurs mains, liées, avec un sourire amusé aux lèvres, avant de le déposer sur la table de chevet, discrétos. Puis, voyant que le jeune homme ne se réveille toujours pas, elle finit par se pencher doucement vers lui, venant déposer ses douces lèvres pulpeuses sur la joue de Taehyun. Elle y dépose un doux baiser, puis décide de se dégager un peu, descendant alors vers son cou, qu’elle embrasse tendrement aussi. Ses longs cheveux raides tombant sur le lit et chatouillant le menton du jeune homme, elle vient, par un geste habile de la main, glisser une mèche derrière son oreille. Elle sourit, radieuse, puis replace son visage face à celui de son petit-ami. Il commence à se réveiller. Mia ne peut perdre ce sourire, c’est fini. Elle a retrouvé celui qu’elle aime, et à le voir cligner doucement des yeux, elle ne peut s’empêcher de sourire de plus belle, avant de venir à nouveau déposer des petits baisers entre sa joue, son menton et sa mâchoire. « Monsieur Gwak… » chuchote-t-elle. « ... C’est l’heure de se réveiller. » et elle achève sa course près de ses lèvres, frottant tendrement son nez contre le sien.
✻✻✻
C’est l’heure du retour pour Mia. Après avoir passé un week-end prolongé loin de la capitale, l’étudiante a pris le chemin du retour accompagné des autres cheerleaders, ainsi que des joueurs de l’équipe des Doosan Bears. Oui, vous l’aurez compris, ce n’est pas pour rien si elle s’est retrouvée à Ulsan pendant 3 jours. C’était pour cause professionnelle, si l’on peut qualifier ça ainsi., et c’est aussi pour ça qu’elle a dû se passer de son nouvellement appelé petit-ami. Ça lui fait encore bizarre de se dire qu’ils ont enfin réussi à passer le cap, tous les deux. Elle a vraiment du mal à réaliser qu’ils forment un couple, quoique les quelques messages qu’ils ont pu échanger durant le week-end lui ont permis d’y prendre conscience. Elle languissait le retour, Mia. Elle avait attendu ça dès le moment où elle était arrivée à Ulsan, elle ne voulait qu’une chose, se glisser dans les bras de Taehyun et y passer des heures, à rien faire, de toute façon ça ne compte pas vraiment tant qu’elle est dans ses bras, elle veut bien ne rien faire pendant toute une journée. Assoupie contre la fenêtre du bus, elle laisse son corps bouger au rythme des mouvements sur la route, au lieu de la réveiller, ça la berce encore plus. Faut dire que ce matin, ils ont levé le camp très tôt pour être en fin de matinée sur Séoul, quelque chose comme 6h du matin, du coup, et vu la nuit courte qu’elle a passé, Mia n’a pas eu de mal à s’endormir histoire de rattraper un peu le sommeil qui lui manquait.
Sur 5 heures de trajet, Mia ne s’est réveillée qu’une fois, quand une de ses amies s’est installée à côté d’elle pour s’appuyer sur son bras et dormir avec elle, voilà. C’est la seule fois où elle a ouvert les yeux, réalisant qu’elle venait sûrement de dormir déjà 2 bonnes heures. Il n’y a qu’à jeter un oeil à cette troupe de sportifs pour voir que le week-end a été dur et pas vraiment reposant. Or, grâce à ces 5 heures de trajet, Mia a pu récupérer un peu de forces, et tant mieux: elle va en avoir besoin.
Il est pas loin de 11h quand le bus entre enfin dans la capitale sud-coréenne. Mia finit par se redresser, les yeux à moitié fermés, et commence d’abord par s’étirer, forçant sa copine à se redresser à son tour. Les bras levés, elle tire sur ses doigts et ses bras, puis se met à bailler un grand coup. Elle sent la main d’un des gars lui frotter le crâne amicalement, ce qui la fait se tourner aussitôt, surprise par le geste et aussi parce que ça la brusque un peu trop pour un réveil, ça. Et alors qu’elle arbore un regard inquisiteur, presque plaintif, le joueur, lui, se met à rire en voyant ses cheveux tout décoiffés sur son crâne, ses yeux gonflés et ses sourcils froncés. Mais pas de soucis, Mia a la solution à tout. Elle sort de son sac une brosse à cheveux pour rendre cette chevelure un peu plus présentable, puis attrape un paquet de lingettes démaquillante pour la passer sur ses yeux histoire d’hydrater tout ça. « T’as rancart ou quoi? » demande son amie, s’étirant à son tour, un sourire aux lèvres. Mia acquiesce silencieusement, toujours un peu endormie. « J’ai fait croire à Taehyun que je rentrais ce soir. » elle fait un dernier passage sur ses yeux puis met la lingette en boule entre ses doigts. « Du coup je vais aller lui faire une surprise, là… » le sourire sur les lèvres de son amie s’agrandit à vu d’oeil. « Trop mignon! » s’exclame alors la jeune femme, avant de retourner à sa place pour préparer ses affaires.
Le bus arrive finalement au stade. Aussitôt libérés, certains joueurs montent dans les mêmes voitures, les bienfaits du covoiturage, et Mia, elle, s’apprête à prendre le métro mais une fille de l’équipe vient lui proposer de la déposer, en voiture. Et forcément, ça, ça ne se refuse pas. D’autant plus que le temps qu’elle se rende chez Taehyun, les minutes passeraient, et il serait sûrement réveillé. Elle doute, déjà, qu’il soit encore endormi. M’enfin, elle va tenter. La brunette grimpe donc dans la voiture et indique à son amie où elle doit la déposer, et quand le groupe de filles approche donc du quartier où vit le danseur, Mia lui indique de se garer sur le bas côté le temps qu’elle puisse descendre. Des signes de la main rapides, des « aux revoirs » gentillets, et voilà que Mia se tourne vers l’entrée du bâtiment, levant la tête pour apercevoir les fenêtres de l’appartement de son bien-aimé. Un sourire aux lèvres, elle en déduit que les volets étant toujours fermés, il doit être encore en train de dormir.
Elle ne perd donc pas de temps pour entrer dans le bâtiment et prendre l’ascenseur. Le problème serait sûrement d’entrer dans l’appartement sans toquer, et du coup, Mia se dit forcément que sa surprise au réveil ne serait pas réalisable. Mais elle se retrouve bien surprise quand elle parvient à ouvrir la porte en posant simplement sa main sur la poignée. Tiens, ça avait dû rester ouvert toute la nuit, ou alors, quelqu’un est parti ce matin et a oublié de fermer derrière lui. Enfin, peu importe, quelle que soit la raison au final, Mia est bien arrangée. Elle pénètre très doucement dans l’appartement, la lumière du jour peine à y entrer, une preuve que l’appartement entier est encore endormi. Un sourire joyeux, Mia se tourne pour fermer doucement la porte d’entrée derrière son passage, puis une fois chose faite, se dirige à pas de loups vers la porte de la chambre de son amoureux. Elle pousse tout doucement la porte et, à travers le bâillement de la porte, peut alors voir ces cheveux noirs ébouriffés et ce visage endormi. Le visage paisible, presque vulénrable. Elle est amoureuse, vous l’ai-je déjà dit? Elle a ce sourire attendri qui se dessine sur ses lèvres aussitôt qu’elle voit le visage de Taehyun. Et il a l’air si innocent quand il dort, elle en craquerait. Toujours du plus discrètement possible, elle pose son sac par terre et redresse les manches de son crop-top, pour d’abord, glisser doucement sa main dans celle du jeune homme. Ce premier geste ne semble pas le réveiller, ça ne l’étonne pas vraiment. Elle sait que son copain a un sommeil de plomb, mais gare à celui qui parvient à le réveiller. Elle a un peu peur faut dire, de prendre un tel risque, mais elle ose espérer que parce qu’elle lui fait une surprise, ce réveil sera plutôt bien pris, et des plus agréables pour le danseur. De sa main libre, la gymnaste sort son téléphone et prend en photo leurs mains, liées, avec un sourire amusé aux lèvres, avant de le déposer sur la table de chevet, discrétos. Puis, voyant que le jeune homme ne se réveille toujours pas, elle finit par se pencher doucement vers lui, venant déposer ses douces lèvres pulpeuses sur la joue de Taehyun. Elle y dépose un doux baiser, puis décide de se dégager un peu, descendant alors vers son cou, qu’elle embrasse tendrement aussi. Ses longs cheveux raides tombant sur le lit et chatouillant le menton du jeune homme, elle vient, par un geste habile de la main, glisser une mèche derrière son oreille. Elle sourit, radieuse, puis replace son visage face à celui de son petit-ami. Il commence à se réveiller. Mia ne peut perdre ce sourire, c’est fini. Elle a retrouvé celui qu’elle aime, et à le voir cligner doucement des yeux, elle ne peut s’empêcher de sourire de plus belle, avant de venir à nouveau déposer des petits baisers entre sa joue, son menton et sa mâchoire. « Monsieur Gwak… » chuchote-t-elle. « ... C’est l’heure de se réveiller. » et elle achève sa course près de ses lèvres, frottant tendrement son nez contre le sien.
CODES LITTLE WOLF.
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Re: sweetest morning (+) MIHYUN ♥ | Jeu 24 Aoû - 18:48 Citer EditerSupprimer
SWEETEST MORNING
ft. mihyun ♥
Surprise babe, I'm here!
Tu as retrouvé le sommeil. Tu avais le sommeil agité ces derniers temps, tu as même passé certaines nuits blanches, puis d'autres nuits où tu ne faisais que te réveiller. Ton esprit était bien trop encombré, tu n'étais pas tranquille, elle hantait tes pensées même lorsque tu dormais, tu rêvais d'elle, et lorsque ce n'était pas le cas, on pouvait être certain qu'un détail te reliait aussitôt à Mia. Elle était partout, absolument partout, même ces derniers jours où elle se tenait loin de toi, elle était là. Tu ressentais sa présence mais surtout, tu ressentais son manque. Alors depuis ce jeudi soir où tu as sauté le pas, venant lui déclarer ta flamme le jour de son anniversaire, tout a rapidement suivi. Tu as retrouvé l'appétit mais pas que, le sommeil aussi. Tu es plus serein, on peut dire qu'à présent, tu dors sur tes deux oreilles... Bien qu'elle te manque cruellement Mia, ce n'est qu'une question de quelques jours et heureusement. Tu es plutôt patient comme garçon, ce n'est pas réellement un souci, surtout maintenant que tout se passe pour le mieux entre vous... C'est juste qu'elle te manque. C'est drôle mais tu n'as jamais réellement su te passer d'elle et ce, depuis votre rencontre, tu n'as pas dû le remarquer tout de suite mais c'était bel et bien le cas. Oh oui, tu mets du temps à te rendre compte de certaines choses... C'est peut-être aussi pour ça que tu dors mieux, maintenant. En plus d'avoir récupéré Mia, tu ne te prends plus la tête, tu ne te cherches plus d'excuse ni d'explication à quoi que ce soit : tu acceptes la vérité, pour être enfin épanoui à ses côtés.
Ta dernière soirée s'est passée plutôt tranquillement, Chae Nah n'est pas là, elle est chez une amie... Et Hyo, il n'est pas à l'appartement non plus. Ça faisait bien longtemps que tu n'avais pas passé une soirée tout seul à ton appartement, si, au début... Avant de recueillir Hyo depuis l'incident avec ton père, et puis Chae Nah ensuite. Étrangement, tu savais que ça allait se dérouler de cette manière, tu te connais assez pour savoir que ta famille passe bien avant ton indépendance. Ce n'est pas si grave, mais des soirées seul ne te font pas de mal, bien au contraire... Toi qui est plutôt solitaire comme garçon. Tu n'as rien fait de spécial pourtant, tu t'es juste planté devant la télévision pendant quelques heures, tu as également échangé quelques messages avec Mia. Elle rentre demain, la nuit pourrait se montrer trop longue mais fort heureusement, tu es bien trop fatigué pour ça... Tu risques de vite tomber dans les bras de Morphée, et au réveil demain matin, il sera déjà temps pour toi d'aller la chercher comme elle te l'avait demandé. Tu retires ton t-shirt que tu balances sur une chaise, passant une main dans tes cheveux, tu ne peux t'empêcher de bailler. Alors tu te laisses finalement tomber, tes fesses sur le lit. Tu risques de t'endormir encore plus vite que tu ne le pensais...
Encore plongé dans ce sommeil profond, un sommeil apaisant, paisible comme rarement. Tu sens ces douces lèvres se déposer sur ta joue, mais de loin, très loin, tu ne te sors pas encore de ton sommeil, tellement qu'au final, tu crois rêver. Ton nez se plisse quelque peu et doucement, tu viens afficher un sourire discret. Et tu sens cette fois, ces baisers dans ton cou, tu viens même pivoter légèrement ta tête comme pour pouvoir lui donner un meilleur accès, toi qui ne te rend même pas compte de ce qu'il se passe. Un rêve? Sans doute, oui, mais ses cheveux venant chatouiller doucement ton menton te plonge cette fois dans cet état de semi-conscience, alors tes yeux se plissent davantage comme s'ils avaient peur d'être attaqués par la lumière du jour alors que tu peines à te réveiller, à atterrir. Ton corps commence doucement à gigoter tant tu te réveilles grâce à ses douces caresses de ses lèvres contre ta peau. Et tu fronces les sourcils, comme si ce geste pouvait aider tes pupilles à ne pas être agressées par la lumière du jour qui se fait, pourtant, très peu présente grâce aux volets fermés. Et une fois chose faite, tu ouvres doucement les yeux, avec difficultés. Et tu l'aperçois, Mia, son sourire très vite rejoint par des baisers qu'elle dépose sur ton menton, sur ta joue également. « Monsieur Gwak… » chuchote t-elle, doucement. Toi qui déteste être réveillé, à croire qu'elle sait exactement ce qu'il faut faire pour te réveiller de la meilleure des manières. « ... C’est l’heure de se réveiller. » termine t-elle alors que tu sens encore ta tête dans les nuages, tu peines à garder les yeux ouverts mais ta motivation à observer ce sourire est bien plus forte que tout le reste. Alors tu viens étirer tes bras, dans une moue fatiguée et de ta même voix brisé par la fatigue, tu prends enfin la parole. « Mia? » Un sourire discret mais sincère vient prendre place sur tes lèvres. Oui, Mia? Qu'est-ce qu'elle fait ici? Oh pour être une surprise, c'en est une merveilleuse mais tu ne devais pas aller la chercher? Oh... Non. À cette pensée, tes yeux s'écarquillent, tu parviens étrangement à te réveiller plus rapidement encore. « J'me suis pas réveillé. » constates-tu, paniquant sur le moment, tellement que ta main vient attraper le premier téléphone sur la table de chevet: celui de Mia, dans le but de regarder l'heure. Il est tôt, très tôt. Tu ne devais pas te lever à cette heure-ci... Tu comprends alors, après un court instant dû à ton état second encore fatigué, qu'elle t'a certainement voulu faire une surprise, une grosse surprise.
Tu reposes alors rapidement le téléphone sur la table de chevet,tournant ton visage vers elle, tes lèvres frôlant les siennes, un sourire plus soulagé prend désormais possession de tes lèvres. « T'es rentrée... » constates-tu à nouveau, et sans perdre de temps, tu viens te redresser légèrement. Ton corps restant allongé, tes épaules appuyées sur le dossier du lit. Tu viens lui attraper le bras, ta seconde main entourant sa taille dénudée l'amenant à venir s'installer sur toi. Tu viens même vous couvrir de la couverture tous les deux. Sans perdre une seconde de plus, tes doigts viennent attraper le bas de son top pour la coller à toi, non sans raison, puisque tu viens aussitôt prendre possession de ses lèvres. Un baiser fougueux, un baiser que tu attendais depuis des jours maintenant, elles t'ont tellement manqués ses lèvres... Tu viens d'ailleurs lui souffler entre deux baisers un « Tu m'as manqué... » Désormais libéré de cette absence, de ce manque insupportable et on peut entendre le soulagement dans ta voix, mais aussi, à ton doux sourire se dessinant sur tes lèvres encore collées aux siennes. Quelques secondes avant que tes baisers dévient sur sa mâchoire, lui demandant cette fois, dans un souffle « Ç'a été le trajet? » Et tu reprends tes baisers, jamais rassasié, tes lèvres en contact avec l'objet de tous tes désirs, de ta dépendance.
✻✻✻
Tu as retrouvé le sommeil. Tu avais le sommeil agité ces derniers temps, tu as même passé certaines nuits blanches, puis d'autres nuits où tu ne faisais que te réveiller. Ton esprit était bien trop encombré, tu n'étais pas tranquille, elle hantait tes pensées même lorsque tu dormais, tu rêvais d'elle, et lorsque ce n'était pas le cas, on pouvait être certain qu'un détail te reliait aussitôt à Mia. Elle était partout, absolument partout, même ces derniers jours où elle se tenait loin de toi, elle était là. Tu ressentais sa présence mais surtout, tu ressentais son manque. Alors depuis ce jeudi soir où tu as sauté le pas, venant lui déclarer ta flamme le jour de son anniversaire, tout a rapidement suivi. Tu as retrouvé l'appétit mais pas que, le sommeil aussi. Tu es plus serein, on peut dire qu'à présent, tu dors sur tes deux oreilles... Bien qu'elle te manque cruellement Mia, ce n'est qu'une question de quelques jours et heureusement. Tu es plutôt patient comme garçon, ce n'est pas réellement un souci, surtout maintenant que tout se passe pour le mieux entre vous... C'est juste qu'elle te manque. C'est drôle mais tu n'as jamais réellement su te passer d'elle et ce, depuis votre rencontre, tu n'as pas dû le remarquer tout de suite mais c'était bel et bien le cas. Oh oui, tu mets du temps à te rendre compte de certaines choses... C'est peut-être aussi pour ça que tu dors mieux, maintenant. En plus d'avoir récupéré Mia, tu ne te prends plus la tête, tu ne te cherches plus d'excuse ni d'explication à quoi que ce soit : tu acceptes la vérité, pour être enfin épanoui à ses côtés.
Ta dernière soirée s'est passée plutôt tranquillement, Chae Nah n'est pas là, elle est chez une amie... Et Hyo, il n'est pas à l'appartement non plus. Ça faisait bien longtemps que tu n'avais pas passé une soirée tout seul à ton appartement, si, au début... Avant de recueillir Hyo depuis l'incident avec ton père, et puis Chae Nah ensuite. Étrangement, tu savais que ça allait se dérouler de cette manière, tu te connais assez pour savoir que ta famille passe bien avant ton indépendance. Ce n'est pas si grave, mais des soirées seul ne te font pas de mal, bien au contraire... Toi qui est plutôt solitaire comme garçon. Tu n'as rien fait de spécial pourtant, tu t'es juste planté devant la télévision pendant quelques heures, tu as également échangé quelques messages avec Mia. Elle rentre demain, la nuit pourrait se montrer trop longue mais fort heureusement, tu es bien trop fatigué pour ça... Tu risques de vite tomber dans les bras de Morphée, et au réveil demain matin, il sera déjà temps pour toi d'aller la chercher comme elle te l'avait demandé. Tu retires ton t-shirt que tu balances sur une chaise, passant une main dans tes cheveux, tu ne peux t'empêcher de bailler. Alors tu te laisses finalement tomber, tes fesses sur le lit. Tu risques de t'endormir encore plus vite que tu ne le pensais...
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Encore plongé dans ce sommeil profond, un sommeil apaisant, paisible comme rarement. Tu sens ces douces lèvres se déposer sur ta joue, mais de loin, très loin, tu ne te sors pas encore de ton sommeil, tellement qu'au final, tu crois rêver. Ton nez se plisse quelque peu et doucement, tu viens afficher un sourire discret. Et tu sens cette fois, ces baisers dans ton cou, tu viens même pivoter légèrement ta tête comme pour pouvoir lui donner un meilleur accès, toi qui ne te rend même pas compte de ce qu'il se passe. Un rêve? Sans doute, oui, mais ses cheveux venant chatouiller doucement ton menton te plonge cette fois dans cet état de semi-conscience, alors tes yeux se plissent davantage comme s'ils avaient peur d'être attaqués par la lumière du jour alors que tu peines à te réveiller, à atterrir. Ton corps commence doucement à gigoter tant tu te réveilles grâce à ses douces caresses de ses lèvres contre ta peau. Et tu fronces les sourcils, comme si ce geste pouvait aider tes pupilles à ne pas être agressées par la lumière du jour qui se fait, pourtant, très peu présente grâce aux volets fermés. Et une fois chose faite, tu ouvres doucement les yeux, avec difficultés. Et tu l'aperçois, Mia, son sourire très vite rejoint par des baisers qu'elle dépose sur ton menton, sur ta joue également. « Monsieur Gwak… » chuchote t-elle, doucement. Toi qui déteste être réveillé, à croire qu'elle sait exactement ce qu'il faut faire pour te réveiller de la meilleure des manières. « ... C’est l’heure de se réveiller. » termine t-elle alors que tu sens encore ta tête dans les nuages, tu peines à garder les yeux ouverts mais ta motivation à observer ce sourire est bien plus forte que tout le reste. Alors tu viens étirer tes bras, dans une moue fatiguée et de ta même voix brisé par la fatigue, tu prends enfin la parole. « Mia? » Un sourire discret mais sincère vient prendre place sur tes lèvres. Oui, Mia? Qu'est-ce qu'elle fait ici? Oh pour être une surprise, c'en est une merveilleuse mais tu ne devais pas aller la chercher? Oh... Non. À cette pensée, tes yeux s'écarquillent, tu parviens étrangement à te réveiller plus rapidement encore. « J'me suis pas réveillé. » constates-tu, paniquant sur le moment, tellement que ta main vient attraper le premier téléphone sur la table de chevet: celui de Mia, dans le but de regarder l'heure. Il est tôt, très tôt. Tu ne devais pas te lever à cette heure-ci... Tu comprends alors, après un court instant dû à ton état second encore fatigué, qu'elle t'a certainement voulu faire une surprise, une grosse surprise.
Tu reposes alors rapidement le téléphone sur la table de chevet,tournant ton visage vers elle, tes lèvres frôlant les siennes, un sourire plus soulagé prend désormais possession de tes lèvres. « T'es rentrée... » constates-tu à nouveau, et sans perdre de temps, tu viens te redresser légèrement. Ton corps restant allongé, tes épaules appuyées sur le dossier du lit. Tu viens lui attraper le bras, ta seconde main entourant sa taille dénudée l'amenant à venir s'installer sur toi. Tu viens même vous couvrir de la couverture tous les deux. Sans perdre une seconde de plus, tes doigts viennent attraper le bas de son top pour la coller à toi, non sans raison, puisque tu viens aussitôt prendre possession de ses lèvres. Un baiser fougueux, un baiser que tu attendais depuis des jours maintenant, elles t'ont tellement manqués ses lèvres... Tu viens d'ailleurs lui souffler entre deux baisers un « Tu m'as manqué... » Désormais libéré de cette absence, de ce manque insupportable et on peut entendre le soulagement dans ta voix, mais aussi, à ton doux sourire se dessinant sur tes lèvres encore collées aux siennes. Quelques secondes avant que tes baisers dévient sur sa mâchoire, lui demandant cette fois, dans un souffle « Ç'a été le trajet? » Et tu reprends tes baisers, jamais rassasié, tes lèvres en contact avec l'objet de tous tes désirs, de ta dépendance.
CODES © LITTLE WOLF.
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Re: sweetest morning (+) MIHYUN ♥ | Sam 26 Aoû - 16:37 Citer EditerSupprimer
SWEETEST MORNING
ft. mihyun ♥
Surprise babe, I'm here! Tenue
Maintenant qu'elle est dans ses bras, elle ne s'en ira pas de sitôt. C'est fou, mais elle n'a même pas pensé à envoyer un seul message à ses parents pour leur dire qu'elle est rentrée sur Séoul. Bien qu'ils le savent, ses parents aiment qu'elle les tienne au courant à chaque fois. Normalement, elle aurait dû rentrer chez elle avant mais l'idée lui est sortie de la tête. Elle se languissait beaucoup trop de voir son copain, mais surtout de le réveiller à sa façon. Et de voir sa réaction face à cette surprise qu'elle lui a réservé. Parce que oui, de base, il était convenu qu'il vienne la chercher plus tard dans l'après-midi devant le stade, mais Mia est pleine de surprises, et ça, il se doit de le savoir maintenant qu'il a entamé une relation sérieuse avec elle. Il sait à quoi s'en tenir: elle ne le laissera pas se lasser d'elle. Plutôt rêver. Alors elle s'assoit doucement sur le lit et commence à déposer des baisers entre son cou, sa mâchoire et sa joue, des baisers plus doux les uns que les autres dont le seul but est de le tirer progressivement de son sommeil. Et Dieu sait que le sommeil, chez Taehyun, c'est précieux. Mais Mia prend le risque, quelle petite-amie ne prendrait pas ce risque par amour après tout? Elle sait déjà qu'il ne lui en voudra pas. C'est le genre de réveil qu'elle lui a fait le lendemain de leur première nuit ensemble, dans sa voiture. Et il lui a bien confié qu'il s'agissait d'un des meilleurs réveils auquel il avait eu droit. Ça, c'était pas tombé dans l'oreille d'une sourde.
Il ouvre doucement les yeux, il est encore plus mignon, elle a envie de le croquer, mais elel se retient. Ses lèvres sont bien trop près de sa peau, elle a peur de lui faire mal. Elle dépose un dernier baiser sur sa joue, avant de replacer son visage face au sien, et frottant doucement son nez, elle esquisse un sourire radieux quand elle entend enfin sa voix enrouée matinale. « Mia? » son sourire s'agrandit, elle acquiesce plusieurs fois de la tête, légèrement, pour apporter confirmation. Elle ferme les yeux à son tour, profitant de ce calme, cet instant cosy entre eux, pour reposer son esprit. « J'me suis pas réveillé. » elle ouvre les yeux, son sourire se fait tout aussi radieux alors qu'elle se décale à peine pour le laisser tendre son bras et attraper son téléphone sur la table de chevet. Elle rit de bon coeur, ça l'amuse de le voir se réveiller si soudainement juste parce qu'il a peur de l'avoir oublié. Il est vraiment trop adorable. Quoi? Oui c'est un ours et alors? Pour elle il est le plus doux des ours. « Mais non... » précise-t-elle, alors qu'il tourne le visage pour la regarder. Leurs lèvres à quelques millimètres seulement, elle sourit de plus belle. Bien sûr qu'il a compris, elle n'a même pas besoin de lui dire que c'était une surprise, ils se comprennent en un regard. C'est ça, l'amour.
Il repose le téléphone et se tourne à nouveau vers elle. « T'es rentrée... » Ils échangent un regard, partagent ce même sourire mais bien vite, Mia profite de la proximité entre eux pour déposer un petit bisou sur ses lèvres, avant d'acquiescer plusieurs fois, un sourire espiègle aux lèvres. Puis, il se redresse pour appuyer son dos contre le montant du lit. Sans perdre de temps, il se saisit du bras de Mia pour inciter la demoiselle à venir s'installer sur lui: elle ne se fait pas prier. Elle le laisse même les recouvrir de la couverture, même si elle n'a pas vraiment froid. Elle le regarde faire, l'air joueur, avant de reposer ses yeux sur lui. Ses mains parcourent doucement les lignes de sa mâchoire alors que ses yeux, eux, se contente de le déshabiller (plus qu'il ne l'est déjà et ça c'est difficile) du regard, affamée. Bien vite, il l'attire vers lui en attrapant le bas de son crop-top afin de lui donner un premier baiser, fougueux. Sans perdre de temps, Mia vient mêler sa langue à celle du beau brun, rendant alors le baiser plus intense. Ses doigts se resserrent légèrement sur la mâchoire du danseur, mais elle le libère ensuite pour essayer, ne serait-ce que les premières minutes, de se contrôler. Le toucher lui donne des envies multiples et pas forcément saines. « Tu m'as manqué... » lui chuchote-t-il. Elle en lève les yeux au ciel, un soupir lui échappe. Ce n'est pas grand chose 3 jours, mais 3 jours séparés alors qu'ils viennent à peine de se mettre ensemble, ça, c'est un supplice. Alors Mia a du mal à se retenir, elle le veut là, maintenant. Tout de suite. Mais elle va se montrer patiente. « Toi aussi tu m'as manqué. » elle vient déposer un baiser plus intense sur ses lèvres, se retirant ensuite pour lui laisser libre accès à sa mâchoire. D'ailleurs, elle penche légèrement la tête en arrière et ferme les yeux, elle essaye d'être discrète mais elle ne peut s'empêcher de se mordre la lèvre. Oui, il est en train de la provoquer, d'ores et déjà, tout en lui posant les questions pour paraître le plus innocent au monde. Elle lui en veut d'être comme ça. Il sait absolument comment s'y prendre avec elle pour la faire perdre patience. « Ç'a été le trajet? » même sa voix est un délice. Tout est un délice chez cet homme, il est son péché à l'état humain et résister à lui n'est pas permis. Mais Mia essaye, se donne du mieux qu'elle peut pour lutter. Or, ils savent autant l'un que l'autre que ça ne va pas durer. « Hm... Ça va... » sa voix se fait suave, presque aguicheuse. Elle ferme les yeux et penche sa tête un peu plus vers la droite, lui laissant libre accès à son cou. « J'ai dormi tout le trajet... » un sourire espiègle étire ses lèvres alors que ses yeux sont toujours clos, et sa voix, toujours aussi sensuelle de sorte à le pousser un peu plus à craquer avant elle, prend alors des sons aigus parfois, lui rappelant vaguement des gémissements. « J'ai pensé à toi tout le week-end. » elle savoure toujours ses baisers papillons. Sa main gauche, elle, glisse sur la nuque du beau brun. « Je me demandais de quelle façon j'allais pouvoir te surprendre... » elle redresse légèrement son corps, le provoquant d'autant plus en lui offrant sa poitrine, encore couverte de son top, sous ses yeux. « J'ai pas arrêté de me demander aussi de quelle façon tu allais m'accueillir après cette photo... » La photo? La photo de ses seins, bien sûr. Enfin, elle avait fait ça subtilement, de sorte à le provoquer au maximum puisqu'elle ne lui avait pas offert une vue totale. « Et toi...? Tu as pensé à moi ce week-end? » son bassin se met à bouger, tout doucement, contre son intimité. Ses mains, précédemment posées sur son cou, descendent lentement, mais dangereusement, jusqu'à son torse. Elle s'amuse à caresser du bout des doigts ses abdos, avant de descendre encore plus bas, à l'endroit où leurs bassins se retrouvent collés. Et rapidement, sa main gauche vient se saisir de la mâchoire de son petit-ami, l'immobilisant alors, une façon de le faire stopper ses baisers. Plus dominatrice que jamais, elle ouvre les yeux et pivote son visage vers lui, plantant son regard vers le sien. Elle vient passer son pouce sur les lèvres bien dessinées du danseur, avant de s'y approcher lentement, jusqu'à ce qu'un maudit centimètre les sépare, pour lui chuchoter, de son souffle chaud: « Montre moi à quel point je t'ai manqué. »
✻✻✻
Maintenant qu'elle est dans ses bras, elle ne s'en ira pas de sitôt. C'est fou, mais elle n'a même pas pensé à envoyer un seul message à ses parents pour leur dire qu'elle est rentrée sur Séoul. Bien qu'ils le savent, ses parents aiment qu'elle les tienne au courant à chaque fois. Normalement, elle aurait dû rentrer chez elle avant mais l'idée lui est sortie de la tête. Elle se languissait beaucoup trop de voir son copain, mais surtout de le réveiller à sa façon. Et de voir sa réaction face à cette surprise qu'elle lui a réservé. Parce que oui, de base, il était convenu qu'il vienne la chercher plus tard dans l'après-midi devant le stade, mais Mia est pleine de surprises, et ça, il se doit de le savoir maintenant qu'il a entamé une relation sérieuse avec elle. Il sait à quoi s'en tenir: elle ne le laissera pas se lasser d'elle. Plutôt rêver. Alors elle s'assoit doucement sur le lit et commence à déposer des baisers entre son cou, sa mâchoire et sa joue, des baisers plus doux les uns que les autres dont le seul but est de le tirer progressivement de son sommeil. Et Dieu sait que le sommeil, chez Taehyun, c'est précieux. Mais Mia prend le risque, quelle petite-amie ne prendrait pas ce risque par amour après tout? Elle sait déjà qu'il ne lui en voudra pas. C'est le genre de réveil qu'elle lui a fait le lendemain de leur première nuit ensemble, dans sa voiture. Et il lui a bien confié qu'il s'agissait d'un des meilleurs réveils auquel il avait eu droit. Ça, c'était pas tombé dans l'oreille d'une sourde.
Il ouvre doucement les yeux, il est encore plus mignon, elle a envie de le croquer, mais elel se retient. Ses lèvres sont bien trop près de sa peau, elle a peur de lui faire mal. Elle dépose un dernier baiser sur sa joue, avant de replacer son visage face au sien, et frottant doucement son nez, elle esquisse un sourire radieux quand elle entend enfin sa voix enrouée matinale. « Mia? » son sourire s'agrandit, elle acquiesce plusieurs fois de la tête, légèrement, pour apporter confirmation. Elle ferme les yeux à son tour, profitant de ce calme, cet instant cosy entre eux, pour reposer son esprit. « J'me suis pas réveillé. » elle ouvre les yeux, son sourire se fait tout aussi radieux alors qu'elle se décale à peine pour le laisser tendre son bras et attraper son téléphone sur la table de chevet. Elle rit de bon coeur, ça l'amuse de le voir se réveiller si soudainement juste parce qu'il a peur de l'avoir oublié. Il est vraiment trop adorable. Quoi? Oui c'est un ours et alors? Pour elle il est le plus doux des ours. « Mais non... » précise-t-elle, alors qu'il tourne le visage pour la regarder. Leurs lèvres à quelques millimètres seulement, elle sourit de plus belle. Bien sûr qu'il a compris, elle n'a même pas besoin de lui dire que c'était une surprise, ils se comprennent en un regard. C'est ça, l'amour.
Il repose le téléphone et se tourne à nouveau vers elle. « T'es rentrée... » Ils échangent un regard, partagent ce même sourire mais bien vite, Mia profite de la proximité entre eux pour déposer un petit bisou sur ses lèvres, avant d'acquiescer plusieurs fois, un sourire espiègle aux lèvres. Puis, il se redresse pour appuyer son dos contre le montant du lit. Sans perdre de temps, il se saisit du bras de Mia pour inciter la demoiselle à venir s'installer sur lui: elle ne se fait pas prier. Elle le laisse même les recouvrir de la couverture, même si elle n'a pas vraiment froid. Elle le regarde faire, l'air joueur, avant de reposer ses yeux sur lui. Ses mains parcourent doucement les lignes de sa mâchoire alors que ses yeux, eux, se contente de le déshabiller (plus qu'il ne l'est déjà et ça c'est difficile) du regard, affamée. Bien vite, il l'attire vers lui en attrapant le bas de son crop-top afin de lui donner un premier baiser, fougueux. Sans perdre de temps, Mia vient mêler sa langue à celle du beau brun, rendant alors le baiser plus intense. Ses doigts se resserrent légèrement sur la mâchoire du danseur, mais elle le libère ensuite pour essayer, ne serait-ce que les premières minutes, de se contrôler. Le toucher lui donne des envies multiples et pas forcément saines. « Tu m'as manqué... » lui chuchote-t-il. Elle en lève les yeux au ciel, un soupir lui échappe. Ce n'est pas grand chose 3 jours, mais 3 jours séparés alors qu'ils viennent à peine de se mettre ensemble, ça, c'est un supplice. Alors Mia a du mal à se retenir, elle le veut là, maintenant. Tout de suite. Mais elle va se montrer patiente. « Toi aussi tu m'as manqué. » elle vient déposer un baiser plus intense sur ses lèvres, se retirant ensuite pour lui laisser libre accès à sa mâchoire. D'ailleurs, elle penche légèrement la tête en arrière et ferme les yeux, elle essaye d'être discrète mais elle ne peut s'empêcher de se mordre la lèvre. Oui, il est en train de la provoquer, d'ores et déjà, tout en lui posant les questions pour paraître le plus innocent au monde. Elle lui en veut d'être comme ça. Il sait absolument comment s'y prendre avec elle pour la faire perdre patience. « Ç'a été le trajet? » même sa voix est un délice. Tout est un délice chez cet homme, il est son péché à l'état humain et résister à lui n'est pas permis. Mais Mia essaye, se donne du mieux qu'elle peut pour lutter. Or, ils savent autant l'un que l'autre que ça ne va pas durer. « Hm... Ça va... » sa voix se fait suave, presque aguicheuse. Elle ferme les yeux et penche sa tête un peu plus vers la droite, lui laissant libre accès à son cou. « J'ai dormi tout le trajet... » un sourire espiègle étire ses lèvres alors que ses yeux sont toujours clos, et sa voix, toujours aussi sensuelle de sorte à le pousser un peu plus à craquer avant elle, prend alors des sons aigus parfois, lui rappelant vaguement des gémissements. « J'ai pensé à toi tout le week-end. » elle savoure toujours ses baisers papillons. Sa main gauche, elle, glisse sur la nuque du beau brun. « Je me demandais de quelle façon j'allais pouvoir te surprendre... » elle redresse légèrement son corps, le provoquant d'autant plus en lui offrant sa poitrine, encore couverte de son top, sous ses yeux. « J'ai pas arrêté de me demander aussi de quelle façon tu allais m'accueillir après cette photo... » La photo? La photo de ses seins, bien sûr. Enfin, elle avait fait ça subtilement, de sorte à le provoquer au maximum puisqu'elle ne lui avait pas offert une vue totale. « Et toi...? Tu as pensé à moi ce week-end? » son bassin se met à bouger, tout doucement, contre son intimité. Ses mains, précédemment posées sur son cou, descendent lentement, mais dangereusement, jusqu'à son torse. Elle s'amuse à caresser du bout des doigts ses abdos, avant de descendre encore plus bas, à l'endroit où leurs bassins se retrouvent collés. Et rapidement, sa main gauche vient se saisir de la mâchoire de son petit-ami, l'immobilisant alors, une façon de le faire stopper ses baisers. Plus dominatrice que jamais, elle ouvre les yeux et pivote son visage vers lui, plantant son regard vers le sien. Elle vient passer son pouce sur les lèvres bien dessinées du danseur, avant de s'y approcher lentement, jusqu'à ce qu'un maudit centimètre les sépare, pour lui chuchoter, de son souffle chaud: « Montre moi à quel point je t'ai manqué. »
CODES © LITTLE WOLF.
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Re: sweetest morning (+) MIHYUN ♥ | Sam 26 Aoû - 22:35 Citer EditerSupprimer
SWEETEST MORNING
ft. mihyun ♥
Surprise babe, I'm here!
Tu es si heureux de la retrouver, c'est fou comme tu ne supportes plus son absence. Tu te demandes même comment tu as pu vivre tout ce temps sans elle, tu ne devais pas t'en rendre compte mais tu avais ce vide en toi, ce vide que seule Mia pouvait combler à la perfection. Ça ne fait aucun doute, tu as trouvé ta perle rare, chaussure à ton pied. La bonne personne. Cette manière qu'elle a de te parler, de te regarder, ces gestes qu'elle t'adresse... Tout ça, ça te rend totalement dingue, ça te fait perdre les pédales. Tu te demandes même parfois si elle parvient à se rendre compte du pouvoir qu'elle a sur toi, oh oui, elle a du pouvoir sur toi. Beaucoup trop même. Mais ça te plaît, t'en as besoin, t'en redemandes même. C'est dans un souffle que tu lui confies qu'elle t'a manqué, cruellement manqué, mais elle pourra aussi le comprendre à travers tes baisers plus doux les uns que les autres, parfois même totalement torride. « Toi aussi tu m'as manqué. » t'avoue t-elle avant de te déposer un baiser plus intense sur les lèvres, ça, avant que tes lèvres s’aventurent à nouveau sur sa mâchoire. Tu ne peux pas t'en empêcher, tu ne veux pas t'en empêcher. Elle te laisse même libre accès à son cou, de la provocation ? Un peu... Tu laisses juste parler tes envies, et elle doit le sentir à tes baisers, tes baisers qui cherchent désormais la chaleur du désir sur sa douce peau. « Hm... Ça va... » te répond t-elle à ta précédente question, toi, tu n'as pas cessé tes baisers, tu viens même sourire tout contre sa peau. Tu la sens légèrement... fébrile, elle essaye de luter et tu le sais bien, ce n'est qu'une question de seconde avant que tu passes à la vitesse supérieure, sauf si elle le fait avant toi.
Ton désir s'est réveillé en quelques secondes, quelques petites secondes ont suffit pour que tes pensées commencent à se brouiller, que ton corps lui, commence peu à peu à bouillonner à l'idée de retrouver le sien. Elle use d'une voix aguicheuse qui ne t'aide en rien à retrouver des pensées un peu plus pures, en as-tu réellement lorsque Mia est dans les parages ? Non, sans doute pas. Tes baisers se font alors plus torrides, plus mouillés lorsqu'elle penche à nouveau son visage vers la droite dans le but de te faciliter une nouvelle fois l'accès. « J'ai dormi tout le trajet... » Le son de sa voix brouille à nouveau tes pensées, te faisant même parfois, agir à ta place. Tu viens lui mordiller le cou tandis qu'elle laisse échapper d'entre ses lèvres, des sons rappelant des gémissements discrets, sexy, torride, beaucoup trop pour toi. « J'ai pensé à toi tout le week-end. » tu entrouvres la bouche, tes lèvres toujours collées contre son cou, un soupir de désir vient s'y écraser comme si ce soupir pouvait te libérer de tout ce désir qui a désormais pris possession de toi, comme si tu pouvais trouver le moyen de retrouver un brin de lucidité mais c'est perdu d'avance. « Je me demandais de quelle façon j'allais pouvoir te surprendre... » Tu rouvres les yeux, difficilement, mais tu sens son corps se redresser dans l'unique but de te provoquer, oh oui, tu savais que ça allait arriver. Tu la connais que trop bien. Sa poitrine se trouvant désormais sous tes yeux, tu ne te fais pas prier pour y jeter un coup d'oeil bien qu'elle soit encore recouverte de son top, ça, avant de relever ton regard et le planter dans le sien. Un regard tellement fiévreux qu'au final, il en devient intimidant. Oui c'est ça, un regard intimidant, qu'elle ne joue pas trop avec toi... Elle te connaît, tout de même. Évidemment qu'elle te connaît. Est-ce que ton but est de l'intimider ? Non, ton désir te fait juste agir à ta place : tu as faim d'elle, tu as pensé à elle tout le week-end, toi aussi. « J'ai pas arrêté de me demander aussi de quelle façon tu allais m'accueillir après cette photo... » Ta mâchoire se crispe sous le désir, comme si le simple fait de faire ça, pouvait t'empêcher de lui sauter dessus et de la dévorer... Parce que là, clairement, tu en crèves d'envie. Et en plus elle ose te parler de cette photo qui t'a fait littéralement perdre les pédales ? Tu la visualises encore cette photo... Et ton cœur s'accélère dans ta poitrine. « Et toi...? Tu as pensé à moi ce week-end? » Et elle continue de te provoquer, en plus de ça. À certain instant, tu ne peux t'empêcher de baisser les yeux vers sa poitrine, et avec l'image de cette photo désormais de retour dans ton esprit, tes envies n'en font qu'à leur tête. Mais tu dois te retenir, encore. Arg... Ouais, c'est mauvais de te faire attendre aussi longtemps et d'oser te provoquer ensuite, elle te connaît pourtant, tu sais qu'elle aime ça, et qu'elle assumera le Tae Hyun incontrôlable que tu peux devenir.
Tes yeux se ferment comme pour te canaliser au moment où elle se met à mouver son bassin contre ton intimité, t'excitant davantage. Il en suffisait de peu, honnêtement, mais à croire qu'elle voulait plus... C'est Mia, après tout. Tu te contractes même lorsque tu sens ses mains s'aventurer sur ton corps, te caressant, dessinant même tes abdos. Tes baisers deviennent plus fougueux encore, plus brûlants, tu viens même lui mordiller sa peau tout en laissant échapper un grognement viril, peu audible qui pourtant, elle pourra entendre. Et très vite, elle vient se saisir de ta mâchoire. Jouant cette fois-ci la dominatrice, bien-sûr qu'elle peut dominer, tu te sens comme un pantin entre ses mains, elle peut bien faire ce qu'elle veut de toi mais là, tu es frustré. Ton âme de dominant l'est, et elle t'a coupé en plein élan, tu tentes même de bouger quelque peu la tête mais elle t'immobilise bien trop pour ça, oh bien-sûr, tu pourrais te libérer de son emprise mais tu ne le fais pas, ça t'excite beaucoup trop pour que tu le fasses. Tu lui lances un regard affamé, tes lèvres ayant encore le goût de sa peau veulent y goûter à nouveau. Elle joue avec le feu Mia, en te caressant les lèvres de son pouce et te lançant ce regard. « Montre moi à quel point je t'ai manqué. » te souffle t-elle finalement, contre tes lèvres.
Ton attitude devient beaucoup trop animal, beaucoup trop sauvage sans même que tu fasses quoi que ce soit, il suffit de voir le regard que tu lui lances à cet instant. Tu aimes tellement la voir comme ça, cette attitude de dominatrice te rend totalement fou, qu'elle te rappelle également que tu es à ses pieds mais c'est un peu contradictoire, elle te pousse à te surpasser, à devenir encore plus bestial, plus dominant encore. Te rappeler cette photo, avec sa poitrine aussi près de toi ? Ça n'arrange rien. Tu ne parviens même pas à reprendre la parole tant ton souffle se fait court, tant ta respiration commence à se faire bruyante et haletante. Tu es excité, beaucoup trop excité et elle peut le voir, le sentir. Pourtant, tu parviens à retrouver un minimum tes esprits, reprenant d'une voix rauque, remplie de projets: « À vos ordres. » Elle veut que tu lui montres à quel point elle t'a manqué ? Elle ne risque pas d'être déçue. Pourtant, cet échange de regard t'électrifie sur place, tu ne parviens pas à détacher ton regard du sien, tes mains se chargent de déboutonner son jeans sans pour autant la lâcher du regard, oh non, tu bouillonnes encore plus et c'est ce que tu souhaites, lui exploser au visage, lui montrer comme tu as envie d'elle, comme elle t'a manqué durant ce long week end. Une fois le pantalon déboutonné,tu te redresses vivement afin de t'asseoir, le dos plus droit cette fois-ci, l'entraînant avec toi, sur toi. « J'ai... beaucoup trop pensé à toi ce week-end. » lui avoues-tu, d'une voix suave alors que tes lèvres frôlent les siennes d'une manière des plus torrides, tes paroles ne sont presque plus que des souffles, des soupirs où on peut y traduire un fou désir coulant dans tes veines. « Je n'ai fait que penser à toi. » lui souffles-tu, chaud comme la braise.
Après tout, ne dit-on pas qu'il ne faut rien précipiter ? À s'en faire du mal d'envie pour mieux se faire du bien ensuite ? Vous connaissez ça, Mia et toi, ce jeu de provocation... Mais au plus tu attends, au plus tu en deviens incontrôlable, et là, ce n'est qu'une question de secondes avant que tu n'exploses réellement. Sauvagement, tu viens lui attraper la mâchoire d'une seule main, resserrant juste assez ton emprise sur elle de ton index et de ton pouce pour que ça rende les choses davantage torride. De cette manière tu viens lui rapprocher le visage de quelques centimètres, juste assez pour que vous vous échangez un baiser mouillé, un baiser fiévreux qui a pour effet de faire grimper d'un cran, l'echelle de ton désir pour elle. Et pendant ce baiser, tu finis par relâcher son visage, ta main se glissant de la manière des plus sensuelles, des plus possessives, le long de son cou, jusqu'à finir sa course vers le haut de son top que tu agrippes. « C'est drôle, je me demandais de quelle façon j'allais pouvoir te surprendre, moi aussi. » Tu ne t'en rends pas compte sur le moment, mais tu l'agrippes beaucoup trop fort, comme si tu pouvais y faire passer ta frustration. Toute cette frustration que tu ressentais le soir où tu as reçu cette fameuse photo, toute la frustration que tu as ressenti lorsqu'elle jouait les dominatrices il y a quelques secondes de ça, toutes ces frustrations qui te font finalement craquer, exploser. Puisque ta seconde main rejoint rapidement la première, agrippant désormais le haut de son top de tes deux mains, et sans lui laisser le temps de réfléchir à ce que tu t'apprêtes à faire, tu tires sur son vêtement de chaque côté, tu lui arraches, y mettant toutes tes forces. Ce vêtement paye de ta frustration, mais Mia payera désormais de la bête que tu es devenue.
Puisque oui, tout se passe vite maintenant, tu ne lui laisses même pas le temps de comprendre, qu'au moment où tu balances le reste de son haut sur le sol, sans grande attention, ta main vient à nouveau agripper sa mâchoire, l'immobilisant à nouveau, tu viens coller tes lèvres contre les siennes. Un baiser beaucoup plus sauvage, beaucoup plus fougueux, qui devient même langoureux, un baiser qui étouffe tes soupirs de désir qui se font désormais entendre. Toi, c'est un tout autre son qui résonne dans ton esprit, celui de ses gémissements, ils te manquent beaucoup trop, alors tu ne tardes pas à mettre fin au baiser. Non sans raison, d'ailleurs, tes lèvres ne quittent pas réellement les siennes, un sourire satisfait se dessine sur les tiennes tandis que ta main droite glisse le long de son corps, ni trop doucement, ni trop rapidement, mais elle se faufile sans hésitation sous son jeans. Tu viens même te redresser quelque peu pour te faciliter l'accès au moment où tu la glisses dans son sous-vêtement et sans plus tarder, tu te libères de cette envie folle de lui faire plaisir. Et tu veux la regarder, constater l'effet que tes gestes ont sur elle, tu plantes ton regard dans le sien au moment où tu la pénètres d'un doigt, rapidement suivi d'un second, tu te mords même la lèvre inférieure, appréciant beaucoup trop cette vue qu'elle t'offre et de la sentir aussi excitée pour toi. Tu ne te fais pas prier pour commencer des vas-et-vient, d'abord doucement, tes doigts accélèrent et donne un nouveau rythme à cet échange. Sans plus aucune lucidité, sans te dire qu'il pourrait y avoir quelqu'un chez toi même si tu en doutes, sans te dire qu'elle n'a plus de haut pour rentrer chez elle, hm, pas grave, tu as une tonne de chemises pour elle. Tu laisses juste parler tes envies. Tes mouvements se font plus francs, cherchant même parfois à taper au plus profond d'elle-même pour entendre le bien que tu peux lui faire, tandis que ta seconde main vient lui attraper fermement la taille, l'amenant ainsi à bouger plus franchement le bassin. Elle se demande encore de quelle manière tu allais l’accueillir après t'avoir envoyé cette photo ? Elle en a désormais la réponse. D'ailleurs, en parlant de cette photo... Tu restes tout de même encore un peu frustré à ce sujet. Tu coupes alors ton observation dans le but de baisser les yeux vers son soutien-gorge, ouais, tu lui as déchiré son vêtement mais il en reste une couche. Au final, tu restes encore frustré. C'est pour cette raison que tu lui ordonnes presque, d'une voix rauque qui lui laissera comprendre que tu ne lui laisses pas vraiment le choix. « Retire-le. » Toi tu ne peux pas, t'as les mains prises.
✻✻✻
Tu es si heureux de la retrouver, c'est fou comme tu ne supportes plus son absence. Tu te demandes même comment tu as pu vivre tout ce temps sans elle, tu ne devais pas t'en rendre compte mais tu avais ce vide en toi, ce vide que seule Mia pouvait combler à la perfection. Ça ne fait aucun doute, tu as trouvé ta perle rare, chaussure à ton pied. La bonne personne. Cette manière qu'elle a de te parler, de te regarder, ces gestes qu'elle t'adresse... Tout ça, ça te rend totalement dingue, ça te fait perdre les pédales. Tu te demandes même parfois si elle parvient à se rendre compte du pouvoir qu'elle a sur toi, oh oui, elle a du pouvoir sur toi. Beaucoup trop même. Mais ça te plaît, t'en as besoin, t'en redemandes même. C'est dans un souffle que tu lui confies qu'elle t'a manqué, cruellement manqué, mais elle pourra aussi le comprendre à travers tes baisers plus doux les uns que les autres, parfois même totalement torride. « Toi aussi tu m'as manqué. » t'avoue t-elle avant de te déposer un baiser plus intense sur les lèvres, ça, avant que tes lèvres s’aventurent à nouveau sur sa mâchoire. Tu ne peux pas t'en empêcher, tu ne veux pas t'en empêcher. Elle te laisse même libre accès à son cou, de la provocation ? Un peu... Tu laisses juste parler tes envies, et elle doit le sentir à tes baisers, tes baisers qui cherchent désormais la chaleur du désir sur sa douce peau. « Hm... Ça va... » te répond t-elle à ta précédente question, toi, tu n'as pas cessé tes baisers, tu viens même sourire tout contre sa peau. Tu la sens légèrement... fébrile, elle essaye de luter et tu le sais bien, ce n'est qu'une question de seconde avant que tu passes à la vitesse supérieure, sauf si elle le fait avant toi.
Ton désir s'est réveillé en quelques secondes, quelques petites secondes ont suffit pour que tes pensées commencent à se brouiller, que ton corps lui, commence peu à peu à bouillonner à l'idée de retrouver le sien. Elle use d'une voix aguicheuse qui ne t'aide en rien à retrouver des pensées un peu plus pures, en as-tu réellement lorsque Mia est dans les parages ? Non, sans doute pas. Tes baisers se font alors plus torrides, plus mouillés lorsqu'elle penche à nouveau son visage vers la droite dans le but de te faciliter une nouvelle fois l'accès. « J'ai dormi tout le trajet... » Le son de sa voix brouille à nouveau tes pensées, te faisant même parfois, agir à ta place. Tu viens lui mordiller le cou tandis qu'elle laisse échapper d'entre ses lèvres, des sons rappelant des gémissements discrets, sexy, torride, beaucoup trop pour toi. « J'ai pensé à toi tout le week-end. » tu entrouvres la bouche, tes lèvres toujours collées contre son cou, un soupir de désir vient s'y écraser comme si ce soupir pouvait te libérer de tout ce désir qui a désormais pris possession de toi, comme si tu pouvais trouver le moyen de retrouver un brin de lucidité mais c'est perdu d'avance. « Je me demandais de quelle façon j'allais pouvoir te surprendre... » Tu rouvres les yeux, difficilement, mais tu sens son corps se redresser dans l'unique but de te provoquer, oh oui, tu savais que ça allait arriver. Tu la connais que trop bien. Sa poitrine se trouvant désormais sous tes yeux, tu ne te fais pas prier pour y jeter un coup d'oeil bien qu'elle soit encore recouverte de son top, ça, avant de relever ton regard et le planter dans le sien. Un regard tellement fiévreux qu'au final, il en devient intimidant. Oui c'est ça, un regard intimidant, qu'elle ne joue pas trop avec toi... Elle te connaît, tout de même. Évidemment qu'elle te connaît. Est-ce que ton but est de l'intimider ? Non, ton désir te fait juste agir à ta place : tu as faim d'elle, tu as pensé à elle tout le week-end, toi aussi. « J'ai pas arrêté de me demander aussi de quelle façon tu allais m'accueillir après cette photo... » Ta mâchoire se crispe sous le désir, comme si le simple fait de faire ça, pouvait t'empêcher de lui sauter dessus et de la dévorer... Parce que là, clairement, tu en crèves d'envie. Et en plus elle ose te parler de cette photo qui t'a fait littéralement perdre les pédales ? Tu la visualises encore cette photo... Et ton cœur s'accélère dans ta poitrine. « Et toi...? Tu as pensé à moi ce week-end? » Et elle continue de te provoquer, en plus de ça. À certain instant, tu ne peux t'empêcher de baisser les yeux vers sa poitrine, et avec l'image de cette photo désormais de retour dans ton esprit, tes envies n'en font qu'à leur tête. Mais tu dois te retenir, encore. Arg... Ouais, c'est mauvais de te faire attendre aussi longtemps et d'oser te provoquer ensuite, elle te connaît pourtant, tu sais qu'elle aime ça, et qu'elle assumera le Tae Hyun incontrôlable que tu peux devenir.
Tes yeux se ferment comme pour te canaliser au moment où elle se met à mouver son bassin contre ton intimité, t'excitant davantage. Il en suffisait de peu, honnêtement, mais à croire qu'elle voulait plus... C'est Mia, après tout. Tu te contractes même lorsque tu sens ses mains s'aventurer sur ton corps, te caressant, dessinant même tes abdos. Tes baisers deviennent plus fougueux encore, plus brûlants, tu viens même lui mordiller sa peau tout en laissant échapper un grognement viril, peu audible qui pourtant, elle pourra entendre. Et très vite, elle vient se saisir de ta mâchoire. Jouant cette fois-ci la dominatrice, bien-sûr qu'elle peut dominer, tu te sens comme un pantin entre ses mains, elle peut bien faire ce qu'elle veut de toi mais là, tu es frustré. Ton âme de dominant l'est, et elle t'a coupé en plein élan, tu tentes même de bouger quelque peu la tête mais elle t'immobilise bien trop pour ça, oh bien-sûr, tu pourrais te libérer de son emprise mais tu ne le fais pas, ça t'excite beaucoup trop pour que tu le fasses. Tu lui lances un regard affamé, tes lèvres ayant encore le goût de sa peau veulent y goûter à nouveau. Elle joue avec le feu Mia, en te caressant les lèvres de son pouce et te lançant ce regard. « Montre moi à quel point je t'ai manqué. » te souffle t-elle finalement, contre tes lèvres.
Ton attitude devient beaucoup trop animal, beaucoup trop sauvage sans même que tu fasses quoi que ce soit, il suffit de voir le regard que tu lui lances à cet instant. Tu aimes tellement la voir comme ça, cette attitude de dominatrice te rend totalement fou, qu'elle te rappelle également que tu es à ses pieds mais c'est un peu contradictoire, elle te pousse à te surpasser, à devenir encore plus bestial, plus dominant encore. Te rappeler cette photo, avec sa poitrine aussi près de toi ? Ça n'arrange rien. Tu ne parviens même pas à reprendre la parole tant ton souffle se fait court, tant ta respiration commence à se faire bruyante et haletante. Tu es excité, beaucoup trop excité et elle peut le voir, le sentir. Pourtant, tu parviens à retrouver un minimum tes esprits, reprenant d'une voix rauque, remplie de projets: « À vos ordres. » Elle veut que tu lui montres à quel point elle t'a manqué ? Elle ne risque pas d'être déçue. Pourtant, cet échange de regard t'électrifie sur place, tu ne parviens pas à détacher ton regard du sien, tes mains se chargent de déboutonner son jeans sans pour autant la lâcher du regard, oh non, tu bouillonnes encore plus et c'est ce que tu souhaites, lui exploser au visage, lui montrer comme tu as envie d'elle, comme elle t'a manqué durant ce long week end. Une fois le pantalon déboutonné,tu te redresses vivement afin de t'asseoir, le dos plus droit cette fois-ci, l'entraînant avec toi, sur toi. « J'ai... beaucoup trop pensé à toi ce week-end. » lui avoues-tu, d'une voix suave alors que tes lèvres frôlent les siennes d'une manière des plus torrides, tes paroles ne sont presque plus que des souffles, des soupirs où on peut y traduire un fou désir coulant dans tes veines. « Je n'ai fait que penser à toi. » lui souffles-tu, chaud comme la braise.
Après tout, ne dit-on pas qu'il ne faut rien précipiter ? À s'en faire du mal d'envie pour mieux se faire du bien ensuite ? Vous connaissez ça, Mia et toi, ce jeu de provocation... Mais au plus tu attends, au plus tu en deviens incontrôlable, et là, ce n'est qu'une question de secondes avant que tu n'exploses réellement. Sauvagement, tu viens lui attraper la mâchoire d'une seule main, resserrant juste assez ton emprise sur elle de ton index et de ton pouce pour que ça rende les choses davantage torride. De cette manière tu viens lui rapprocher le visage de quelques centimètres, juste assez pour que vous vous échangez un baiser mouillé, un baiser fiévreux qui a pour effet de faire grimper d'un cran, l'echelle de ton désir pour elle. Et pendant ce baiser, tu finis par relâcher son visage, ta main se glissant de la manière des plus sensuelles, des plus possessives, le long de son cou, jusqu'à finir sa course vers le haut de son top que tu agrippes. « C'est drôle, je me demandais de quelle façon j'allais pouvoir te surprendre, moi aussi. » Tu ne t'en rends pas compte sur le moment, mais tu l'agrippes beaucoup trop fort, comme si tu pouvais y faire passer ta frustration. Toute cette frustration que tu ressentais le soir où tu as reçu cette fameuse photo, toute la frustration que tu as ressenti lorsqu'elle jouait les dominatrices il y a quelques secondes de ça, toutes ces frustrations qui te font finalement craquer, exploser. Puisque ta seconde main rejoint rapidement la première, agrippant désormais le haut de son top de tes deux mains, et sans lui laisser le temps de réfléchir à ce que tu t'apprêtes à faire, tu tires sur son vêtement de chaque côté, tu lui arraches, y mettant toutes tes forces. Ce vêtement paye de ta frustration, mais Mia payera désormais de la bête que tu es devenue.
Puisque oui, tout se passe vite maintenant, tu ne lui laisses même pas le temps de comprendre, qu'au moment où tu balances le reste de son haut sur le sol, sans grande attention, ta main vient à nouveau agripper sa mâchoire, l'immobilisant à nouveau, tu viens coller tes lèvres contre les siennes. Un baiser beaucoup plus sauvage, beaucoup plus fougueux, qui devient même langoureux, un baiser qui étouffe tes soupirs de désir qui se font désormais entendre. Toi, c'est un tout autre son qui résonne dans ton esprit, celui de ses gémissements, ils te manquent beaucoup trop, alors tu ne tardes pas à mettre fin au baiser. Non sans raison, d'ailleurs, tes lèvres ne quittent pas réellement les siennes, un sourire satisfait se dessine sur les tiennes tandis que ta main droite glisse le long de son corps, ni trop doucement, ni trop rapidement, mais elle se faufile sans hésitation sous son jeans. Tu viens même te redresser quelque peu pour te faciliter l'accès au moment où tu la glisses dans son sous-vêtement et sans plus tarder, tu te libères de cette envie folle de lui faire plaisir. Et tu veux la regarder, constater l'effet que tes gestes ont sur elle, tu plantes ton regard dans le sien au moment où tu la pénètres d'un doigt, rapidement suivi d'un second, tu te mords même la lèvre inférieure, appréciant beaucoup trop cette vue qu'elle t'offre et de la sentir aussi excitée pour toi. Tu ne te fais pas prier pour commencer des vas-et-vient, d'abord doucement, tes doigts accélèrent et donne un nouveau rythme à cet échange. Sans plus aucune lucidité, sans te dire qu'il pourrait y avoir quelqu'un chez toi même si tu en doutes, sans te dire qu'elle n'a plus de haut pour rentrer chez elle, hm, pas grave, tu as une tonne de chemises pour elle. Tu laisses juste parler tes envies. Tes mouvements se font plus francs, cherchant même parfois à taper au plus profond d'elle-même pour entendre le bien que tu peux lui faire, tandis que ta seconde main vient lui attraper fermement la taille, l'amenant ainsi à bouger plus franchement le bassin. Elle se demande encore de quelle manière tu allais l’accueillir après t'avoir envoyé cette photo ? Elle en a désormais la réponse. D'ailleurs, en parlant de cette photo... Tu restes tout de même encore un peu frustré à ce sujet. Tu coupes alors ton observation dans le but de baisser les yeux vers son soutien-gorge, ouais, tu lui as déchiré son vêtement mais il en reste une couche. Au final, tu restes encore frustré. C'est pour cette raison que tu lui ordonnes presque, d'une voix rauque qui lui laissera comprendre que tu ne lui laisses pas vraiment le choix. « Retire-le. » Toi tu ne peux pas, t'as les mains prises.
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Re: sweetest morning (+) MIHYUN ♥ | Dim 27 Aoû - 0:41 Citer EditerSupprimer
SWEETEST MORNING
ft. mihyun ♥
Surprise babe, I'm here! Tenue
Au fond, ça l'amuse. Elle sait pertinemment qu'elle a été insupportable ce week-end avec lui, à le provoquer, à lui rappeler de bons moments, à lui envoyer une photo de ses seins aussi... Et c'était ça, le pire. La chose qu'elle a fait mais qu'elle n'aurait peut-être pas dû faire, parce qu'à le pousser dans ses retranchements, elle sait ensuite ce qu'elle récolte. Vous vous direz peut-être que ce n'est pas raisonnable de provoquer quelqu'un comme Taehyun mais Mia, elle, ça l'enchante. Elle aime le voir ainsi. La mâchoire serrée, le regard brûlant pour elle. Brûlant d'amour, brûlant de désir. Elle peut sentir à chaque fois les mouvements intenses qu'il aura contre son corps frêle, pour lui rappeler que désormais, elle est sienne, ses gestes brusques, qui lui rappellent que c'est lui qui domine, et pas elle. Même si là, pour le moment, c'est bien elle qui a le dessus et elle aime tout aussi bien ce côté de leur relation. Quand elle mène la danse. Quand elle fait ce qu'elle veut de lui, c'est excitant. De se dire qu'elle a les pleins pouvoirs sur un homme qui, d'habitude, ne se laisse faire par personne, n'a peur de rien, et brave les interdits. Qu'est-ce qu'elle aime le regarder de haut, jouer de lui entre ses mains... Faire de son corps son terrain de jeu. Et c'est exactement ce qu'elle fait quand elle saisit son visage entre ses doigts fins mais pourtant menaçants. Son ongle saillant vient caresser les lèvres de son bien aimé, alors qu'elle approche progressivement ses lèvres des siennes, venant lui souffler presque une supplique: qu'il lui montre à quel point elle lui a manqué. Et elle sait qu'il ne tiendra pas longtemps. Elle sait aussi, par expérience, qu'elle a réveillé l'animal en lui. Elle sait aussi par cette expression sur son visage qu'il essaye de se retenir, mais elle a envie qu'il comprenne que c'est inutile. Elle fait ça pour qu'il se dévoile aujourd'hui. Elle n'a pas goûté à son corps depuis trop longtemps à son avis. Elle doit le retrouver, c'est maintenant ou jamais.
Son souffle s'agite, elle le sent se faire court, la faute au désir trop imposant qu'elle lui inflige. Elle trouve la force de sourire avec tendresse le temps de quelques secondes en le voyant souffrir de ce désir à ce point, mais bientôt, il ne souffrira plus, il va s'en libérer pour leur plus grand plaisir à tous les deux. Elle s'en mord discrètement la lèvre, ses yeux clignant doucement. « À vos ordres. » son sourire attendri s'efface, peu à peu, il devient espiègle, coquin. joueur. Son petit-ami entre dans la danse, il va en être méconnaissable, à sa plus grande joie puisque c'était bien le but de la manoeuvre. Il va donc lui montrer à quel point elle lui a manqué, et elle a hâte de le savoir. Ils échangent alors un regard, ce regard, qui laisse prévoir la suite. Encore un moment charnel intense qui va marquer leurs esprits. La chaleur de son corps lui a tant manqué, elle a besoin de la sentir une fois encore, là, contre elle, et elle se fait gourmande de ce corps, elle pourrait tout détruire sur son passage pour profiter de ce qu'il a à lui donner. Elle a passé le week-end à rêver de ses bras, de ses baisers, de son corps et plus elle sent que le moment approche, moins elle sait se montrer patiente. Moins elle a envie d'être douce. Elle ne veut pas être douce. Elle a cette envie furieuse de le posséder, mais c'est lui qui la possédera. Plus que jamais. Les mains viriles du danseur commencent donc à déboutonner le jean de la jeune femme, elle baisse alors les yeux sans tarder, un sourire mesquin se dessinant au coin de ses lèvres. Oui, comme ça Taehyun. Lentement, mais sûrement. Use de tes mains sur son corps, c'est ce qu'elle souhaite plus que tout au monde. « J'ai... beaucoup trop pensé à toi ce week-end. » leurs lèvres se frôlent, Mia a envie de les attraper de ses dents, elle voudrait planter ses crocs partout sur la peau du danseur mais elle se retient. Finalement, elle a aussi elle a un côté animal inespéré, mais il ressort systématiquement quand ils sont ensemble. Quand ils se cherchent. « Je n'ai fait que penser à toi. » elle aussi elle n'a fait que penser à toi. Et si tu savais seulement de quelle manière elle l'a fait, tu ne serais pas déçu. De la plus impure des façons, Taehyun. La plus impure. Tu as animé ses rêves les plus charnels, les plus fous, et elle compte bien te le faire savoir aujourd'hui.
Elle n'a pas le temps de sourire à son aveu que sa main vient lui attraper la mâchoire sauvagement. Au début surprise, elle entrouvre la bouche, sa main droite se levant par réflexe de défense parce qu'il n'y est pas allé de main morte. Mais bien vite, sa surprise se transforme en un sourire amusé et malin, elle a envie de lui dire qu'il l'excite quand il agit de la sorte, mais il le sait déjà. C'est ce qu'elle préfère chez lui. Et elle se laisse faire, comme toujours, comme un pantin. Il approche son visage du sien, venant déposer un baiser mouillé, excitant, sur ses lèvres pulpeuses. Si bien qu'elle vient passer la langue sur ses lèvres comme pour se délecter encore du goût que ce baiser a eu. Elle ferme les yeux un moment, mais bien vite, la main de Taehyun descendant sur son corps la fait reprendre ses esprits. Un frisson traverse son corps alors qu'elle sent cette même main agripper brutalement son top. « C'est drôle, je me demandais de quelle façon j'allais pouvoir te surprendre, moi aussi. » elle baisse les yeux vers sa main, elle le voit aux coutures: il tire fort dessus. Si fort que Mia est obligée de légèrement se pencher vers lui, il exerce une telle pression qu'elle ne peut lutter, il peut faire ce qu'il veut d'elle dès qu'il utilise un peu de sa force. Alors elle ne dit rien, ne bouge pas. Elle est soumise, elle se laisse totalement faire maintenant, elle est prête à subir les conséquences de ses actes. Alors, comment va-t-il la surprendre? Hé bien pour dire vrai, Mia ne s'en est pas doutée une seconde. Pourtant, quand elle voit la seconde main de Taehyun rejoindre l'autre, l'idée lui traverse l'esprit le temps d'une seconde. Non? Est-ce qu'il va vraiment le...?
Elle ne rêve pas. Le bruit manque de discrétion, il vient de mettre en pièces son top. Au début, elle se retient de rire parce qu'elle est impressionnée par le geste, mais ça en est tellement hot qu'elle se mord la lèvre, sensuellement, un sourire étiré au coin de ses lèvres alors qu'elle lance clairement un regard aguicheur, encore joueur, à son partenaire. Même ça, ça ne l'effraie pas. Ça l'excite d'avantage surtout, elle serait prête à lui arracher ses vêtements aussi si seulement il en portait. Or, il est presque nu pour sa part et c'est tant mieux, Mia n'hésite pas à se rincer l'oeil. Il a un corps si bien dessiné, il faudrait être folle pour ne pas le regarder avec envie. Or, la première chose qui saute aux yeux, c'est sa poitrine à présent presque dénudé. Portant un soutien-gorge beige à dentelles, sa poitrine généreuse se retrouve alors mise à l'air, libéré du top qui la recouvrait. Sa poitrine, c'est un de ses atouts physiques avec ses fesses. Mia étant petite, elle se retrouve avec des rondeurs qu'elle ne saurait nier, puisqu'elles sont toutes deux placées aux meilleurs endroits. A la plus grande joie des hommes il fut un temps, mais aujourd'hui, cela ne fait la joie que d'un seul homme sur cette planète, et il est là, près d'elle. Tout près d'elle. Un soupir profond et prononcé passe ses lèvres pulpeuses entrouvertes, qui appellent à des baisers, tous aussi fougueux les uns que les autres. I n'y a qu'à les regard, à voir ce beau dessin qu'elles forment, pour se laisser craquer et y goûter. Et Taehyun ne perd pas de temps. Se saisissant à nouveau de la mâchoire de la gymnaste non tendrement, il vient lui donner un baiser des plus intenses, un baiser chaud, traduisant la température présente dans la pièce. Ses mains, de nouveau libres, se contentent simplement de glisser sur les épaules larges du danseur, caressant sa peau chaude de ses mains habiles alors que, bien vite, elle sent la main libre du jeune homme, sa main droite, glisser sous son jean. Rien qu'en devinant ce qui va suivre, Mia frémit. Elle ferme les yeux, ses lèvres en tremblent légèrement, un soupir de plaisir y passe même. Oui, enfin. Elle avait attendu ça tout le week-end. Et, sentant les doigts du beau brun frôler ses lèvres inférieures, Mia ne peut s'empêcher de confier, dans un soupir d'aise, mêlé à un léger gémissement. « Oh oui, touche moi. » mais il bloque son visage, elle ne peut le pencher en arrière. Alors, c'est encore plus excitant, elle compte bien gémir contre sa bouche. S'il veut jouer à ça, il n'y a aucun problème. Elle ouvre les yeux un moment, pour croiser son regard brûlant, et alors qu'elle se met à sourire un instant, elle entrouvre légèrement la bouche, venant étouffer un premier gémissement contre ses lèvres. Il n'y a pas de mots pour expliquer à quel ce qu'il lui fait est bon. Elle sent ses doigts entrer en elle, faire des vas et viens, plus agités encore, allant parfois au fond d'elle, ce qui, à chaque frôlement, la faire gémir un peu plus fort.
Sa main, qui tenait jusqu'à maintenant son visage, vient agripper sa hanche pour la maintenir contre lui, fermement. De ce geste, elle se met à mouvoir doucement son corps, ou du moins son bassin, d'un mouvement de reins dont elle seule a le secret, pour intensifier la sensation de ses doigts en elle. Elle en tremble de plaisir entre les mains du danseur, elle est si fébrile. D'ailleurs, elle peut désormais pencher la tête en arrière, lui offrant une vue d'avantage intéressante sur sa poitrine, et c'est sûrement pour ça qu'à peine quelques secondes plus tard, il reprend la parole, la voix rauque et le ton grave. « Retire-le. » le temps que l'info passe dans son cerveau, Mia finit par river le visage vers lui, ses yeux s'ouvrant à ce même moment. Elle croise alors un regard déstabilisant, prenant, débordant de désir pour elle et vu la façon dont il a ordonné la chose, elle ne compte pas le faire attendre. Même si elle a envie de jouer, il s'agit aussi de son désir, et il est hors de question de faire traîner encore plus les choses. Elle veut qu'il l'embrasse, qu'il conquière à nouveau son corps avec ses lèvres et sa langue. C'est pourquoi Mia vient aisément passer ses mains dans son dos. Ses longs cheveux balançants en arrière, elle passe aisément ses mains dessous pour agripper l'agrafe de son soutif. Et ni une ni deux, d'un coup de doigt, elle fait sauter les agrafes, ses seins retrouvant un peu de liberté. Elle en pousse un soupir de soulagement, ces derniers temps, elle se sentait un peu serré dans ses soutifs, peut-être avait-elle pris encore un peu? Dans tous les cas, elle fait glisser rapidement son soutif le long de ses bras, avant de le jeter au sol, plus loin, révélant alors ses seins généreux et fermes, dont le maintien n'a nulle besoin d'être soutenu par un quelconque soutif, et ses tétons roses et durcis. Sa main droite vient agripper ses cheveux qu'elle bascule sur son épaule droite, avant de venir attraper le visage de son petit-ami. Elle approche alors, de sorte à n'être séparée que de quelques petits centimètres. « Tu aimes ce que tu vois? » souffle-t-elle, excitée. Elle sourit; bien sûr qu'il aime. Elle est prête à parier qu'il rêvait de les voir depuis qu'elle lui avait envoyé cette fameuse photo.
Et, sans vraiment prévenir, elle recule son visage. Ses mains se nouent derrière la nuque du jeune homme, ce qui lui permet alors de se tenir à lui pour se pencher en arrière, lui offrant un meilleur accès à sa poitrine. A cet instant, elle est incontrôlable, Mia. Une multitude de bruits, témoignant de son bien-être, passe la barrière de sa bouche alors que son petit-ami couvre son corps de baisers mouillés et brûlants. Son bassin, lui, se fait plus insistant sur les doigts du danseur. Le bruit que provoquent d'ailleurs ces vas et viens l'excitent d'avantage, une preuve qu'elle est mouillée, voire trempée d'excitation pour le beau brun. Et là, elle ferme les yeux, elle gémit de plus belle, elle se concentre uniquement sur la sensation des deux doigts de Taehyun en elle, permettant alors déjà de former le passage mais il se fait aisément. Elle ne ressent que du plaisir, elle sent cette sensation lui monter jusque dans le bas ventre, elle crève de désir pour ce garçon ça n'en fait aucun doute mais quand il joue de ses doigts sur elle, elle en deviendrait folle. Elle lui crierait toutes sortes de choses, de suppliques, mais elle veut rester encore discrète. Or, elle reprend ses esprits, un court instant seulement. Elle aussi, elle veut le voir à sa merci. Encore un peu. Alors, elle redresse légèrement le bassin, de sorte à le décoller de celui du jeune homme. Et bien vite, ses mains précédemment posées sur sa nuque, viennent se poser sur son entrejambe. Elle sent déjà à travers le tissu de son caleçon qu'il est excité comme jamais. De sa main droite, et avec habileté, elle vient sortir son sexe de tout maintien, par-dessus son sous-vêtement, et elle ne peut s'empêcher de baisser les yeux pour le regarder, avec envie. Sa langue vient passer sur ses lèvres, traduisant le désir fou qu'elle ressent à chaque fois qu'elle voit son membre durci d'excitation pour elle. Mais elle n'en est pas encore là. Sa langue, elle l'utilisera plus tard. Pour le moment, sa main droite vient se saisir du sexe de son compagnon, afin de le palper généreusement, avant de passer le bout de son index sur le gland, de sorte à faire grimper le désir en lui aussi. Oui, ils n'ont pas résisté longtemps à l'appel de leurs corps mais c'étai une chose à prévoir, après une quinzaine de jours sans se toucher, il fallait qu'ils cèdent. Et ils cèdent allègrement.
Alors, ils se donnent du plaisir mutuellement. Lui la pénètre de ses doigts avides, elle, le masturbe avec précaution, jouant justement de cette lenteur pour le faire languir. Languir de quoi? Elle se saisit, sans prévenir, de sa main qui exerce depuis plusieurs minutes ses vas et viens en elle. Oui, une façon de lui dire de s'arrêter, parce que maintenant, c'est elle qui va lui faire plaisir. Mia parvient donc à se libérer de la main de son petit-ami, et sans qu'il ne puisse lutter, elle fait preuve de rapidité: elle se saisit d'abord de son jean, qu'elle décide de retirer sans tarder pour être un peu plus à l'aise. Une fois vêtue seulement d'un string couleur ivoire, elle recule son corps, l'éloignant de celui du danseur, avant de se pencher dangereusement vers son entrejambe, ses lèvres pulpeuses près de son sexe. Et, obligée de cambrer son corps pour ne pas avoir les jambes hors du lit, elle vient souffler, plus joueuse que jamais. « Je suis prête à parier que ça aussi, ça t'a manqué. » elle vient ranger ses cheveux derrière ses oreilles, avant de donner un premier coup de langue sur le sexe du jeune homme. Puis un deuxième, puis un troisième, et ainsi de suite, jusqu'à ce qu'elle le mette pleinement en sa bouche.
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Au fond, ça l'amuse. Elle sait pertinemment qu'elle a été insupportable ce week-end avec lui, à le provoquer, à lui rappeler de bons moments, à lui envoyer une photo de ses seins aussi... Et c'était ça, le pire. La chose qu'elle a fait mais qu'elle n'aurait peut-être pas dû faire, parce qu'à le pousser dans ses retranchements, elle sait ensuite ce qu'elle récolte. Vous vous direz peut-être que ce n'est pas raisonnable de provoquer quelqu'un comme Taehyun mais Mia, elle, ça l'enchante. Elle aime le voir ainsi. La mâchoire serrée, le regard brûlant pour elle. Brûlant d'amour, brûlant de désir. Elle peut sentir à chaque fois les mouvements intenses qu'il aura contre son corps frêle, pour lui rappeler que désormais, elle est sienne, ses gestes brusques, qui lui rappellent que c'est lui qui domine, et pas elle. Même si là, pour le moment, c'est bien elle qui a le dessus et elle aime tout aussi bien ce côté de leur relation. Quand elle mène la danse. Quand elle fait ce qu'elle veut de lui, c'est excitant. De se dire qu'elle a les pleins pouvoirs sur un homme qui, d'habitude, ne se laisse faire par personne, n'a peur de rien, et brave les interdits. Qu'est-ce qu'elle aime le regarder de haut, jouer de lui entre ses mains... Faire de son corps son terrain de jeu. Et c'est exactement ce qu'elle fait quand elle saisit son visage entre ses doigts fins mais pourtant menaçants. Son ongle saillant vient caresser les lèvres de son bien aimé, alors qu'elle approche progressivement ses lèvres des siennes, venant lui souffler presque une supplique: qu'il lui montre à quel point elle lui a manqué. Et elle sait qu'il ne tiendra pas longtemps. Elle sait aussi, par expérience, qu'elle a réveillé l'animal en lui. Elle sait aussi par cette expression sur son visage qu'il essaye de se retenir, mais elle a envie qu'il comprenne que c'est inutile. Elle fait ça pour qu'il se dévoile aujourd'hui. Elle n'a pas goûté à son corps depuis trop longtemps à son avis. Elle doit le retrouver, c'est maintenant ou jamais.
Son souffle s'agite, elle le sent se faire court, la faute au désir trop imposant qu'elle lui inflige. Elle trouve la force de sourire avec tendresse le temps de quelques secondes en le voyant souffrir de ce désir à ce point, mais bientôt, il ne souffrira plus, il va s'en libérer pour leur plus grand plaisir à tous les deux. Elle s'en mord discrètement la lèvre, ses yeux clignant doucement. « À vos ordres. » son sourire attendri s'efface, peu à peu, il devient espiègle, coquin. joueur. Son petit-ami entre dans la danse, il va en être méconnaissable, à sa plus grande joie puisque c'était bien le but de la manoeuvre. Il va donc lui montrer à quel point elle lui a manqué, et elle a hâte de le savoir. Ils échangent alors un regard, ce regard, qui laisse prévoir la suite. Encore un moment charnel intense qui va marquer leurs esprits. La chaleur de son corps lui a tant manqué, elle a besoin de la sentir une fois encore, là, contre elle, et elle se fait gourmande de ce corps, elle pourrait tout détruire sur son passage pour profiter de ce qu'il a à lui donner. Elle a passé le week-end à rêver de ses bras, de ses baisers, de son corps et plus elle sent que le moment approche, moins elle sait se montrer patiente. Moins elle a envie d'être douce. Elle ne veut pas être douce. Elle a cette envie furieuse de le posséder, mais c'est lui qui la possédera. Plus que jamais. Les mains viriles du danseur commencent donc à déboutonner le jean de la jeune femme, elle baisse alors les yeux sans tarder, un sourire mesquin se dessinant au coin de ses lèvres. Oui, comme ça Taehyun. Lentement, mais sûrement. Use de tes mains sur son corps, c'est ce qu'elle souhaite plus que tout au monde. « J'ai... beaucoup trop pensé à toi ce week-end. » leurs lèvres se frôlent, Mia a envie de les attraper de ses dents, elle voudrait planter ses crocs partout sur la peau du danseur mais elle se retient. Finalement, elle a aussi elle a un côté animal inespéré, mais il ressort systématiquement quand ils sont ensemble. Quand ils se cherchent. « Je n'ai fait que penser à toi. » elle aussi elle n'a fait que penser à toi. Et si tu savais seulement de quelle manière elle l'a fait, tu ne serais pas déçu. De la plus impure des façons, Taehyun. La plus impure. Tu as animé ses rêves les plus charnels, les plus fous, et elle compte bien te le faire savoir aujourd'hui.
Elle n'a pas le temps de sourire à son aveu que sa main vient lui attraper la mâchoire sauvagement. Au début surprise, elle entrouvre la bouche, sa main droite se levant par réflexe de défense parce qu'il n'y est pas allé de main morte. Mais bien vite, sa surprise se transforme en un sourire amusé et malin, elle a envie de lui dire qu'il l'excite quand il agit de la sorte, mais il le sait déjà. C'est ce qu'elle préfère chez lui. Et elle se laisse faire, comme toujours, comme un pantin. Il approche son visage du sien, venant déposer un baiser mouillé, excitant, sur ses lèvres pulpeuses. Si bien qu'elle vient passer la langue sur ses lèvres comme pour se délecter encore du goût que ce baiser a eu. Elle ferme les yeux un moment, mais bien vite, la main de Taehyun descendant sur son corps la fait reprendre ses esprits. Un frisson traverse son corps alors qu'elle sent cette même main agripper brutalement son top. « C'est drôle, je me demandais de quelle façon j'allais pouvoir te surprendre, moi aussi. » elle baisse les yeux vers sa main, elle le voit aux coutures: il tire fort dessus. Si fort que Mia est obligée de légèrement se pencher vers lui, il exerce une telle pression qu'elle ne peut lutter, il peut faire ce qu'il veut d'elle dès qu'il utilise un peu de sa force. Alors elle ne dit rien, ne bouge pas. Elle est soumise, elle se laisse totalement faire maintenant, elle est prête à subir les conséquences de ses actes. Alors, comment va-t-il la surprendre? Hé bien pour dire vrai, Mia ne s'en est pas doutée une seconde. Pourtant, quand elle voit la seconde main de Taehyun rejoindre l'autre, l'idée lui traverse l'esprit le temps d'une seconde. Non? Est-ce qu'il va vraiment le...?
Elle ne rêve pas. Le bruit manque de discrétion, il vient de mettre en pièces son top. Au début, elle se retient de rire parce qu'elle est impressionnée par le geste, mais ça en est tellement hot qu'elle se mord la lèvre, sensuellement, un sourire étiré au coin de ses lèvres alors qu'elle lance clairement un regard aguicheur, encore joueur, à son partenaire. Même ça, ça ne l'effraie pas. Ça l'excite d'avantage surtout, elle serait prête à lui arracher ses vêtements aussi si seulement il en portait. Or, il est presque nu pour sa part et c'est tant mieux, Mia n'hésite pas à se rincer l'oeil. Il a un corps si bien dessiné, il faudrait être folle pour ne pas le regarder avec envie. Or, la première chose qui saute aux yeux, c'est sa poitrine à présent presque dénudé. Portant un soutien-gorge beige à dentelles, sa poitrine généreuse se retrouve alors mise à l'air, libéré du top qui la recouvrait. Sa poitrine, c'est un de ses atouts physiques avec ses fesses. Mia étant petite, elle se retrouve avec des rondeurs qu'elle ne saurait nier, puisqu'elles sont toutes deux placées aux meilleurs endroits. A la plus grande joie des hommes il fut un temps, mais aujourd'hui, cela ne fait la joie que d'un seul homme sur cette planète, et il est là, près d'elle. Tout près d'elle. Un soupir profond et prononcé passe ses lèvres pulpeuses entrouvertes, qui appellent à des baisers, tous aussi fougueux les uns que les autres. I n'y a qu'à les regard, à voir ce beau dessin qu'elles forment, pour se laisser craquer et y goûter. Et Taehyun ne perd pas de temps. Se saisissant à nouveau de la mâchoire de la gymnaste non tendrement, il vient lui donner un baiser des plus intenses, un baiser chaud, traduisant la température présente dans la pièce. Ses mains, de nouveau libres, se contentent simplement de glisser sur les épaules larges du danseur, caressant sa peau chaude de ses mains habiles alors que, bien vite, elle sent la main libre du jeune homme, sa main droite, glisser sous son jean. Rien qu'en devinant ce qui va suivre, Mia frémit. Elle ferme les yeux, ses lèvres en tremblent légèrement, un soupir de plaisir y passe même. Oui, enfin. Elle avait attendu ça tout le week-end. Et, sentant les doigts du beau brun frôler ses lèvres inférieures, Mia ne peut s'empêcher de confier, dans un soupir d'aise, mêlé à un léger gémissement. « Oh oui, touche moi. » mais il bloque son visage, elle ne peut le pencher en arrière. Alors, c'est encore plus excitant, elle compte bien gémir contre sa bouche. S'il veut jouer à ça, il n'y a aucun problème. Elle ouvre les yeux un moment, pour croiser son regard brûlant, et alors qu'elle se met à sourire un instant, elle entrouvre légèrement la bouche, venant étouffer un premier gémissement contre ses lèvres. Il n'y a pas de mots pour expliquer à quel ce qu'il lui fait est bon. Elle sent ses doigts entrer en elle, faire des vas et viens, plus agités encore, allant parfois au fond d'elle, ce qui, à chaque frôlement, la faire gémir un peu plus fort.
Sa main, qui tenait jusqu'à maintenant son visage, vient agripper sa hanche pour la maintenir contre lui, fermement. De ce geste, elle se met à mouvoir doucement son corps, ou du moins son bassin, d'un mouvement de reins dont elle seule a le secret, pour intensifier la sensation de ses doigts en elle. Elle en tremble de plaisir entre les mains du danseur, elle est si fébrile. D'ailleurs, elle peut désormais pencher la tête en arrière, lui offrant une vue d'avantage intéressante sur sa poitrine, et c'est sûrement pour ça qu'à peine quelques secondes plus tard, il reprend la parole, la voix rauque et le ton grave. « Retire-le. » le temps que l'info passe dans son cerveau, Mia finit par river le visage vers lui, ses yeux s'ouvrant à ce même moment. Elle croise alors un regard déstabilisant, prenant, débordant de désir pour elle et vu la façon dont il a ordonné la chose, elle ne compte pas le faire attendre. Même si elle a envie de jouer, il s'agit aussi de son désir, et il est hors de question de faire traîner encore plus les choses. Elle veut qu'il l'embrasse, qu'il conquière à nouveau son corps avec ses lèvres et sa langue. C'est pourquoi Mia vient aisément passer ses mains dans son dos. Ses longs cheveux balançants en arrière, elle passe aisément ses mains dessous pour agripper l'agrafe de son soutif. Et ni une ni deux, d'un coup de doigt, elle fait sauter les agrafes, ses seins retrouvant un peu de liberté. Elle en pousse un soupir de soulagement, ces derniers temps, elle se sentait un peu serré dans ses soutifs, peut-être avait-elle pris encore un peu? Dans tous les cas, elle fait glisser rapidement son soutif le long de ses bras, avant de le jeter au sol, plus loin, révélant alors ses seins généreux et fermes, dont le maintien n'a nulle besoin d'être soutenu par un quelconque soutif, et ses tétons roses et durcis. Sa main droite vient agripper ses cheveux qu'elle bascule sur son épaule droite, avant de venir attraper le visage de son petit-ami. Elle approche alors, de sorte à n'être séparée que de quelques petits centimètres. « Tu aimes ce que tu vois? » souffle-t-elle, excitée. Elle sourit; bien sûr qu'il aime. Elle est prête à parier qu'il rêvait de les voir depuis qu'elle lui avait envoyé cette fameuse photo.
Et, sans vraiment prévenir, elle recule son visage. Ses mains se nouent derrière la nuque du jeune homme, ce qui lui permet alors de se tenir à lui pour se pencher en arrière, lui offrant un meilleur accès à sa poitrine. A cet instant, elle est incontrôlable, Mia. Une multitude de bruits, témoignant de son bien-être, passe la barrière de sa bouche alors que son petit-ami couvre son corps de baisers mouillés et brûlants. Son bassin, lui, se fait plus insistant sur les doigts du danseur. Le bruit que provoquent d'ailleurs ces vas et viens l'excitent d'avantage, une preuve qu'elle est mouillée, voire trempée d'excitation pour le beau brun. Et là, elle ferme les yeux, elle gémit de plus belle, elle se concentre uniquement sur la sensation des deux doigts de Taehyun en elle, permettant alors déjà de former le passage mais il se fait aisément. Elle ne ressent que du plaisir, elle sent cette sensation lui monter jusque dans le bas ventre, elle crève de désir pour ce garçon ça n'en fait aucun doute mais quand il joue de ses doigts sur elle, elle en deviendrait folle. Elle lui crierait toutes sortes de choses, de suppliques, mais elle veut rester encore discrète. Or, elle reprend ses esprits, un court instant seulement. Elle aussi, elle veut le voir à sa merci. Encore un peu. Alors, elle redresse légèrement le bassin, de sorte à le décoller de celui du jeune homme. Et bien vite, ses mains précédemment posées sur sa nuque, viennent se poser sur son entrejambe. Elle sent déjà à travers le tissu de son caleçon qu'il est excité comme jamais. De sa main droite, et avec habileté, elle vient sortir son sexe de tout maintien, par-dessus son sous-vêtement, et elle ne peut s'empêcher de baisser les yeux pour le regarder, avec envie. Sa langue vient passer sur ses lèvres, traduisant le désir fou qu'elle ressent à chaque fois qu'elle voit son membre durci d'excitation pour elle. Mais elle n'en est pas encore là. Sa langue, elle l'utilisera plus tard. Pour le moment, sa main droite vient se saisir du sexe de son compagnon, afin de le palper généreusement, avant de passer le bout de son index sur le gland, de sorte à faire grimper le désir en lui aussi. Oui, ils n'ont pas résisté longtemps à l'appel de leurs corps mais c'étai une chose à prévoir, après une quinzaine de jours sans se toucher, il fallait qu'ils cèdent. Et ils cèdent allègrement.
Alors, ils se donnent du plaisir mutuellement. Lui la pénètre de ses doigts avides, elle, le masturbe avec précaution, jouant justement de cette lenteur pour le faire languir. Languir de quoi? Elle se saisit, sans prévenir, de sa main qui exerce depuis plusieurs minutes ses vas et viens en elle. Oui, une façon de lui dire de s'arrêter, parce que maintenant, c'est elle qui va lui faire plaisir. Mia parvient donc à se libérer de la main de son petit-ami, et sans qu'il ne puisse lutter, elle fait preuve de rapidité: elle se saisit d'abord de son jean, qu'elle décide de retirer sans tarder pour être un peu plus à l'aise. Une fois vêtue seulement d'un string couleur ivoire, elle recule son corps, l'éloignant de celui du danseur, avant de se pencher dangereusement vers son entrejambe, ses lèvres pulpeuses près de son sexe. Et, obligée de cambrer son corps pour ne pas avoir les jambes hors du lit, elle vient souffler, plus joueuse que jamais. « Je suis prête à parier que ça aussi, ça t'a manqué. » elle vient ranger ses cheveux derrière ses oreilles, avant de donner un premier coup de langue sur le sexe du jeune homme. Puis un deuxième, puis un troisième, et ainsi de suite, jusqu'à ce qu'elle le mette pleinement en sa bouche.
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Re: sweetest morning (+) MIHYUN ♥ | Lun 28 Aoû - 22:31 Citer EditerSupprimer
SWEETEST MORNING
ft. mihyun ♥
Surprise babe, I'm here!
Vous êtes déjà en train de vous provoquer, mais est-ce vraiment étonnant ? Ça fait bien trop longtemps que tu n'as pas posé tes mains sur elle, sur son corps, que tu n'as pas goûté à nouveau au plaisir de son corps. Sans parler de ce long week-end passé sans elle, en plus de son absence, du manque que tu as ressenti, Mia n'a pas hésité à te chercher, non subtilement en plus de ça. Elle te chauffait, clairement, tellement que parfois, tu te disais que ce n'était sans doute pas plus mal que tu ne puisses pas l'avoir à côté de toi, tu aurais vraiment fini par la dévorer cette fois. Mais c'est Mia, elle a ce pouvoir sur toi, cette capacité à te rendre totalement dingue. Oh oui, tu aimes jouer les dominants, c'est dans ta nature mais tu aimes surtout cette femme qui te résiste, cette femme qui te rappelle le pouvoir qu'elle peut avoir sur toi, qui te rappelle que tu n'es pas le seul à pouvoir dominer. Toi, qui ne te laisse rarement dominer sexuellement, es prêt à se laisser faire, car pour la première fois de ta vie, tu es soumis à cet amour que tu ressens pour elle. Parce que oui, ça fait longtemps que tu ne l'as pas touché, mais tu n'as pas encore eu l'occasion de lui faire l'amour, de la posséder depuis que vous vous êtes mis ensemble. Tu te souviens de toutes ces sensations que tu ressentais la dernière fois, soumis à tes sentiments, esclave de ton désir et de ton amour pour elle, elle pouvait bien faire ce qu'elle voulait de toi, et ça te plaisait. Tu aimais ressentir ça, faire l'amour dans ces conditions, mais vous n'étiez pas ensemble. C'était magique pourtant, tellement magique que ç'a eu le pouvoir de tout te faire oublier, également le fait qu'au final, elle ne t'appartenait pas. Mais au fond de toi, tu le ressentais, tu n'étais pas libre comme tu aurais aimé, tu savais que ça n'allait pas durer éternellement, cette fois-ci, c'est différent. Elle t'appartient. Tu veux la posséder et lui montrer qu'elle est désormais tienne, qu'aucun autre ne pourra le faire à part toi. Être à nouveau l'esclave de tes sentiments mais également lui rappeler que vous vous appartenez désormais, corps et âmes. Ouais, ça fait longtemps que tu ne l'as pas touché, mais tu as maintenant toute la vie pour le faire, et tu comptes bien lui faire comprendre ce matin.
Est-ce qu'il est vraiment question de domination ? De soumission ? Oui et non, vous avez tous les deux ce même pouvoir, vous êtes tous les deux soumis à votre désir qui vous fait perdre totalement les pédales, le contrôle de vous-même. Elle vient à peine de revenir, vous n'aviez échangé que quelques mots avant que les choses passent d'ores et déjà à la vitesse supérieure. Vos corps s'appelaient, vos cœurs aussi. Et voir Mia jouer de cette manière avec toi, jouer avec le feu, ne t'a pas aidé. Quand tu lui dis que tu veux la manger, tu n'exagères même pas. Si tu le pouvais, tu en ferais qu'une bouchée, tu la dévorerais, tellement que parfois, tes baisers se font davantage torride. Tu as une sacrée force psychologique pour ne pas craquer, pour ne pas lui mordre la lèvre, la peau, ouais... C'est l'effet qu'elle te fait. Elle fait ressortir la bête qui est en toi, tu as faim d'elle et ce n'est pas qu'une image, tu désires tellement cette femme que la lucidité n'existe même plus pour toi. Et elle te prend par surprise, parce qu'elle sait que tu aimes ça, d'ailleurs, tu n'hésites pas une seule seconde pour faire la même chose, et tu y vas, lui attrapant le visage sauvagement. L'embrassant avec plus de passion cette fois-ci, lui faisant ainsi comprendre à quel point elle t'a manqué, à quel point ses lèvres te rendent totalement fou. Il suffit de voir la brutalité avec laquelle tu déchires son top, sans une once d'hésitation, comme pour y passer ta frustration. Il te plaît ce top, du moins, il était plutôt joli... Mais tu voulais voir ce qu'il y avait en dessous, surtout depuis qu'elle a osé remettre le sujet de la photo sur le tapis, évidemment qu'elle sait comment tu es, tu en déduis donc qu'elle sera prête à en subir les conséquences. De toute façon, a t-elle réellement le choix ? Regardez-moi ce regard aguicheur qu'elle te lance face à ton geste, la manière dont elle se mord la lèvre sensuellement... Vous êtes tellement fous l'un de l'autre, et comme si cela ne suffisait pas, vous vous sentez obligé de jouer avec l'autre, l'entraîner dans les profondeurs de la folie. Parce que ça vous plaît, ça. De rendre d'autant plus fou votre moitié, en vous disant que vous êtes la cause de tout ça, et que vous le serez encore après cet échange charnel qui vous attend.
Ta main se dirige dangereusement vers son bas ventre, se glissant dans son jeans et tu peux constater à sa respiration qu'elle comprend très vite ce que tu comptes lui faire. Elle en devient rapidement fébrile, ouais, c'est son corps frêle que tu sens entre tes bras, mais tu ne comptes pas la faire attendre très longtemps. « Oh oui, touche moi. » te confie t-elle, dans un soupir d'aise, semblable à un léger gémissement. Tu fermes les yeux pendant un court instant, sa voix résonne dans ton esprit comme une douce mélodie offerte par la luxure en personne, les sons que provoquent tes gestes emballent ton cœur déjà bien agité, battant la chamade au rythme du sien, tu pourrais presque l'entendre par dessus tes soupirs d'aise, toi aussi. La voir dans cet état te fait chavirer. Oui Mia, il va te toucher, il en rêve depuis des jours, des nuits entières où tu as hanté ses pensées, ses rêves, où il pensait à te faire des choses que tu n'imagines même pas, tu en deviendrais folle, Mia.
Tu lui emprisonnes à nouveau sa mâchoire, l'empêchant de bouger son visage pour accroître sa soumission, mais aussi parce que tu es devenu une bête sauvage désormais, prêt à sauter sur sa proie, la dévorer sans une once d'hésitation. Et là, t'as envie de sentir ses soupirs d'aises, ses gémissements, son bien-être s'écraser contre tes lèvres encore humides de votre précédent baiser. Tu continues tes gestes, agitant parfois tes deux doigts dans son intimité, d'abord délicatement, tu ne tardes pas à laisser cet animal parler pour toi, y allant de plus en plus franchement, de plus en plus profondément. Elle en veut, elle en réclame, tu le vois à sa façon de mouver son bassin pour se procurer davantage de plaisir, geste que tu incites par ta main encore accrochée à sa taille, elle est agrippée. Et c'est à cet instant que Mia se penche en arrière, t'offrant alors une vue sur sa poitrine encore recouverte par ce soutien-gorge, ses sous-vêtements si sexy soient-ils, c'est une styliste Mia, c'est son domaine, mais toi, ça te fait tourner la tête. Ô combien tu aimes ses sous-vêtements, là, tu veux qu'elle le retire, d'ailleurs tu le lui ordonnes rapidement. Elle n'avait pas le droit de t'envoyer cette photo alors qu'elle se trouvait si loin de toi, toute cette frustration que tu ressentais te revient systématiquement en pleine gueule lorsque ton regard se pose sur sa poitrine presque dénudée, il faut qu'elle le ôte, maintenant. Chose qu'elle ne tarde pas à faire, voyant certainement que tu es au bord de l'explosion et qu'elle t'a déjà assez fait patienter comme ça, la jeune femme passe alors ses mains dans son dos, retirant le seul vêtement qui soutenait encore sa généreuse poitrine. Et tu ne te fais pas prier, tu l'admires sa poitrine, tu la dévores même du regard dans un premier temps, ça augmente ton appétit, l'appétit de son corps. Discrètement, tu viens même t'en mordre la lèvre inférieure sans pour autant cesser tes mouvements de doigts, tu as ralentis le rythme cependant, un court instant, bien trop concentré sur la vue qu'elle t'offre avant qu'elle vienne attraper ton visage entre ses mains, t'incitant alors à la regarder. Tu relèves ton regard, le plantant dans le sien, un regard fiévreux, affamé. « Tu aimes ce que tu vois? » te souffle t-elle, presque dans un murmure. Tu peux y sentir dans sa voix, toute son excitation, toute la sensualité dont elle fait preuve pour te rendre complètement taré, et ça marche, putain, ça fonctionne. Chaque paroles qu'elle prononce te fait rappeler à quel point tu peux être soumis à elle, malgré cette domination dont tu fais preuve. Tu as même parfois envie de lui demander d'arrêter tant le désir t'enivre, tant il prend possession de ton corps mais aussi de ton cerveau. Mais tu ne le feras pas, ça te plaît beaucoup trop de la voir dans cet état, tu aimes qu'elle te pousse à te surpasser, à dépasser tes limites, elle t'excite tellement. Alors comme réponse, tu te contentes simplement de la fixer, hochant discrètement la tête avant d'approcher tes lèvres de sa peau. La jeune femme se penche, t'offrant alors un meilleur accès à sa poitrine. Tu reprends des gestes brusques, rapidement, tapant parfois au plus profond et tu peux entendre l'effet que ça lui fait. Tu déposes alors des baisers mouillés, torrides sur le haut de sa poitrine avant de descendre tes baisers sur son sein droit. Mia quand à elle, se met à mouver son bassin plus franchement afin de se procurer davantage de plaisir. Et ça te fait sourire toi, tout contre sa peau, tu viens même titiller son téton de bout de la langue avant de le suçoter de manière plus franche. Tu n'as pas réellement envie de jouer, ce matin, tu veux simplement lui faire du bien. Vous faire du bien. Tu as envie de l'entendre. D'entendre quoi ? Elle, mais aussi le bruit de ce geste, de tes vas-et-vient en elle, et l'humidité entre ses jambes en témoigne. Ses gémissements se font de plus en plus audibles, elle se libère de son plaisir et toi, tu ne cesses tes baisers. Tu as besoin de l'embrasser, d'embrasser sa peau, de la posséder d'une manière ou d'une autre.
Tu baisses les yeux lorsque tu sens son bassin se décoller légèrement du tien, si tu t'arrêtes? Non, il t'en faut beaucoup plus pour t'arrêter, surtout une fois que tu es lancé. Mais aussitôt, ta mâchoire se resserre lorsqu'elle pose ses mains sur ton entrejambe, sensible? Beaucoup. Tu en retiens même un soupir de désir, t'en veux plus, t'as besoin de plus. Elle libère alors ton sexe de ton seul et unique vêtement, ne se gênant pas pour admirer la vue. Mais qu'elle le fasse, qu'elle constate l'effet qu'elle peut avoir sur toi. Mais toi, tu ne lâches pas ton regard de son visage, tu veux scruter la moindre de ses réactions et le moins que l'on puisse dire, c'est que tu n'es pas déçu. Tellement que lorsqu'elle passe sa langue sur ses lèvres, tu viens lui mordiller la lèvre inférieure, étouffant ainsi un soupir d'aise en sentant sa main s'emparer de ta virilité. Tu entrouvres même la bouche, ne cherchant pas à retenir ta respiration qui s'accélère dû au bien qu'elle commence à te faire mais également, à ton envie d'elle qui est prêt à exploser. Non, il n'est pas question de jeu ce matin. Simplement de vous faire du bien, de vous offrir du plaisir mutuellement. Vous avez tout autant besoin de faire plaisir à l'autre, que de le laisser vous apporter davantage de plaisir. Vous le faites ensemble, et vous le faites bien à en croire vos respirations haletantes, à en croire également la température de la pièce qui grimpe en flèche ces dernières secondes. Jusqu'à ce que Mia vienne se saisir de ton poignet, tes mouvements des doigts ne cessent guère même si tu te doutes de ce qui va suivre: elle va retirer ta main. Tu profites alors de ces dernières secondes, appuyant ton front contre le sien alors que vos souffles se mêlent encore, quelques secondes à peine oui, avant qu'elle vienne la retirer définitivement et se séparer de toi. Tout se passe très vite cependant, tu as tout de même le temps de l'observer et profiter de cette vue qu'elle t'offre en retirant finalement son jeans, étant maintenant vêtue que de son string. Et tu la vois, s'éloigner et se mettre dans une position... des plus dangereuses. Et ton cœur rate un battement à la vue de sa bouche si près de ta virilité. « Je suis prête à parier que ça aussi, ça t'a manqué. » Tu viens te mordre la lèvre inférieure, tu en deviendrais presque impatient... Mais peut-on réellement dire que tu l'es ? Non, elle fait preuve de rapidité. Elle ne te fait pas languir, tu sens déjà son premier coup de langue, tu en fermes les yeux, entrouvrant la bouche afin d'y laisser passer ton souffle court lorsque tu sens son deuxième coup de langue. Ton cœur s'agite, explose, alors que tes sensations se décuplent et c'est délicatement que tu viens passer tes doigts dans sa chevelure. Tu as juste envie de te relâcher de toutes tes forces, de te laisser tomber en arrière et ne plus luter mais tu ne le feras pas, non non, tu restes dans cette position pour ne pas louper une telle vue. Mia, te faisant une gâterie dans une telle position, dans une telle tenue. Il faudrait être fou pour louper le spectacle... Mais tes yeux te désobéissent. Sa langue jouant désormais avec ta virilité entre ses lèvres, tu en lâches un premier gémissement incontrôlé. Tu essayes pourtant, tu te retiens, tellement qu'au final, tes soupirs de plaisir et tes gémissements se font plus virils que jamais, plus rauques aussi. Tu lèves même le menton au ciel, les yeux clos, savourant chaque caresse buccale qu'elle t'offre. Ta main vient même quitter son crâne pour se déposer sur le drap, rejoignant sa jumelle, une main de chaque côté et tu agrippes le drap de toutes tes forces tant le plaisir prend possession de tout ton corps, ce geste a même pour effet de laisser apparaître tes veines battantes, brûlantes alors que ces soupirs sont désormais coupés par le son de ta voix, dans de doux gémissements. Elle a raison, ça t'avait tant manqué... Mais toi aussi, ça te manque.
Oh oui, ça faisait longtemps que tu n'avais pas posé tes mais sur elle, mais ça fait d'autant plus longtemps qu'elle n'a pas profité de ta langue elle aussi. Et toi, ça te manque. Elle sait pourtant, comme tu aimes lui offrir ce plaisir... Mais encore une fois, vous êtes bien trop affamés l'un de l'autre, bien trop impatient. Fort heureusement, il y a un moyen pour que vous puissiez profiter tous les deux. Car non, tu n'as pas envie qu'elle s'arrête, mais tu n'as plus envie de luter contre ce désir qui t'enivre. Alors c'est au bout de quelques longues minutes et non sans mal que tu lui attrapes le bras, la forçant ainsi à se relever, à se redresser. Tu la dévores du regard, tu ne la quittes pas du regard alors que tes mains se chargent de baisser son string, le passant sous ses genoux et t'en débarrassant assez facilement. Tu le jettes sans attention plus loin dans la pièce et tu ne perds pas de temps, de ta main droite, tu te saisies de son bras opposé pour la retourner sauvagement, tu exerces même une légère pression sur sa peau avant de la lâcher, doucement, délicatement. Une fois dos à toi, tu viens lui déposer de doux baisers sur sa peau, ta main droite, se charge maintenant de lui caresser doucement le dos, partant de ses fesses, et remontant sensuellement tandis que ta main gauche se faufile par devant, lui agrippant le sein avec désir, avec envie. Tes baisers sont mouillés, chauds, affamés. Tu te penches même légèrement sur la droite pour lui mordiller la hanche mais ça s'arrête très vite, puisqu'au même moment, ta main arrive sur sa nuque. Et tu ne te fais pas prier pour exercer à nouveau une pression sur elle, la penchant ainsi en avant, elle se retrouve très vite à quatre pattes. Et qu'elle vue t'offre t-elle sur ses magnifiques fesses désormais collées à ton torse, un sourire coquin, satisfait, prend même place sur tes lèvres lorsque tu baisses le regard, alors qu'elle ne peut même plus te voir. Tu déposes des baisers sur le haut de sa fesse droite sans t'y attarder car là, tu ne tiens plus : tu t'allonges, de tout ton long. Tu te laisses glisser dans le but de ramener ta virilité près de ses lèvres mais également, ton visage près de ses lèvres inférieures. La distance imposée par sa position t'offre une vue des plus exquise sur son sexe. Ton souffle s'accélère à nouveau, incapable de détacher ton regard, tu lâches, d'une voix chaude. « Continue. » Elle veut continuer, tu ne veux pas l'empêcher. Tu veux qu'elle continue toi aussi, mais tu veux également t'occuper d'elle. Alors sans lui laisser le temps de réagir, tes bras emprisonnent ses cuisses et encore une fois, tu exerces une légère pression afin qu'elle les resserre au maximum autour de ton visage. Ses cuisses te rendent totalement fou, tellement que même si ta langue commence à s'impatienter, tu viens pivoter légèrement ta tête pour lui mordiller sa cuisse droite. Ca ne dure qu'un court instant cependant, puisque tu te replaces très vite correctement, resserrant à nouveau ses cuisses. Tes mains, elles, viennent agripper ses fesses avec envie tandis que tu succombes enfin à ton envie de lui faire du bien avec ta langue. Un premier coup de langue, constatant et appréciant l'humidité entre ses lèvres inférieures. Un second, plus appuyé cette fois. Puis tu t'attardes finalement sur son petit bouton du bout de la langue, tu le titilles, des coups de langue de plus en plus appuyé avant que tu viennes le bloquer entre tes lèvres, tu joues avec. Ton souffle chaud vient cependant s'écraser contre ce dernier, laissant échapper un énième soupir de plaisir qui te fait, à nouveau, resserrer l'emprise que tu as sur elle. Ses cuisses entourant ton visage, coincées entres tes bras, son sexe contre tes lèvres. Tes coups de langues se font plus francs, le bout de ta langue jouant parfois avec son petit bouton glisse le long de son intimité, tu redresses légèrement le visage lorsque tu arrives à l'entrée de son vagin. Tu oses même entamer de léger vas-et-vient avec ta langue, si tu le pouvais, tu la mangerais toute crue.
✻✻✻
Vous êtes déjà en train de vous provoquer, mais est-ce vraiment étonnant ? Ça fait bien trop longtemps que tu n'as pas posé tes mains sur elle, sur son corps, que tu n'as pas goûté à nouveau au plaisir de son corps. Sans parler de ce long week-end passé sans elle, en plus de son absence, du manque que tu as ressenti, Mia n'a pas hésité à te chercher, non subtilement en plus de ça. Elle te chauffait, clairement, tellement que parfois, tu te disais que ce n'était sans doute pas plus mal que tu ne puisses pas l'avoir à côté de toi, tu aurais vraiment fini par la dévorer cette fois. Mais c'est Mia, elle a ce pouvoir sur toi, cette capacité à te rendre totalement dingue. Oh oui, tu aimes jouer les dominants, c'est dans ta nature mais tu aimes surtout cette femme qui te résiste, cette femme qui te rappelle le pouvoir qu'elle peut avoir sur toi, qui te rappelle que tu n'es pas le seul à pouvoir dominer. Toi, qui ne te laisse rarement dominer sexuellement, es prêt à se laisser faire, car pour la première fois de ta vie, tu es soumis à cet amour que tu ressens pour elle. Parce que oui, ça fait longtemps que tu ne l'as pas touché, mais tu n'as pas encore eu l'occasion de lui faire l'amour, de la posséder depuis que vous vous êtes mis ensemble. Tu te souviens de toutes ces sensations que tu ressentais la dernière fois, soumis à tes sentiments, esclave de ton désir et de ton amour pour elle, elle pouvait bien faire ce qu'elle voulait de toi, et ça te plaisait. Tu aimais ressentir ça, faire l'amour dans ces conditions, mais vous n'étiez pas ensemble. C'était magique pourtant, tellement magique que ç'a eu le pouvoir de tout te faire oublier, également le fait qu'au final, elle ne t'appartenait pas. Mais au fond de toi, tu le ressentais, tu n'étais pas libre comme tu aurais aimé, tu savais que ça n'allait pas durer éternellement, cette fois-ci, c'est différent. Elle t'appartient. Tu veux la posséder et lui montrer qu'elle est désormais tienne, qu'aucun autre ne pourra le faire à part toi. Être à nouveau l'esclave de tes sentiments mais également lui rappeler que vous vous appartenez désormais, corps et âmes. Ouais, ça fait longtemps que tu ne l'as pas touché, mais tu as maintenant toute la vie pour le faire, et tu comptes bien lui faire comprendre ce matin.
Est-ce qu'il est vraiment question de domination ? De soumission ? Oui et non, vous avez tous les deux ce même pouvoir, vous êtes tous les deux soumis à votre désir qui vous fait perdre totalement les pédales, le contrôle de vous-même. Elle vient à peine de revenir, vous n'aviez échangé que quelques mots avant que les choses passent d'ores et déjà à la vitesse supérieure. Vos corps s'appelaient, vos cœurs aussi. Et voir Mia jouer de cette manière avec toi, jouer avec le feu, ne t'a pas aidé. Quand tu lui dis que tu veux la manger, tu n'exagères même pas. Si tu le pouvais, tu en ferais qu'une bouchée, tu la dévorerais, tellement que parfois, tes baisers se font davantage torride. Tu as une sacrée force psychologique pour ne pas craquer, pour ne pas lui mordre la lèvre, la peau, ouais... C'est l'effet qu'elle te fait. Elle fait ressortir la bête qui est en toi, tu as faim d'elle et ce n'est pas qu'une image, tu désires tellement cette femme que la lucidité n'existe même plus pour toi. Et elle te prend par surprise, parce qu'elle sait que tu aimes ça, d'ailleurs, tu n'hésites pas une seule seconde pour faire la même chose, et tu y vas, lui attrapant le visage sauvagement. L'embrassant avec plus de passion cette fois-ci, lui faisant ainsi comprendre à quel point elle t'a manqué, à quel point ses lèvres te rendent totalement fou. Il suffit de voir la brutalité avec laquelle tu déchires son top, sans une once d'hésitation, comme pour y passer ta frustration. Il te plaît ce top, du moins, il était plutôt joli... Mais tu voulais voir ce qu'il y avait en dessous, surtout depuis qu'elle a osé remettre le sujet de la photo sur le tapis, évidemment qu'elle sait comment tu es, tu en déduis donc qu'elle sera prête à en subir les conséquences. De toute façon, a t-elle réellement le choix ? Regardez-moi ce regard aguicheur qu'elle te lance face à ton geste, la manière dont elle se mord la lèvre sensuellement... Vous êtes tellement fous l'un de l'autre, et comme si cela ne suffisait pas, vous vous sentez obligé de jouer avec l'autre, l'entraîner dans les profondeurs de la folie. Parce que ça vous plaît, ça. De rendre d'autant plus fou votre moitié, en vous disant que vous êtes la cause de tout ça, et que vous le serez encore après cet échange charnel qui vous attend.
Ta main se dirige dangereusement vers son bas ventre, se glissant dans son jeans et tu peux constater à sa respiration qu'elle comprend très vite ce que tu comptes lui faire. Elle en devient rapidement fébrile, ouais, c'est son corps frêle que tu sens entre tes bras, mais tu ne comptes pas la faire attendre très longtemps. « Oh oui, touche moi. » te confie t-elle, dans un soupir d'aise, semblable à un léger gémissement. Tu fermes les yeux pendant un court instant, sa voix résonne dans ton esprit comme une douce mélodie offerte par la luxure en personne, les sons que provoquent tes gestes emballent ton cœur déjà bien agité, battant la chamade au rythme du sien, tu pourrais presque l'entendre par dessus tes soupirs d'aise, toi aussi. La voir dans cet état te fait chavirer. Oui Mia, il va te toucher, il en rêve depuis des jours, des nuits entières où tu as hanté ses pensées, ses rêves, où il pensait à te faire des choses que tu n'imagines même pas, tu en deviendrais folle, Mia.
Tu lui emprisonnes à nouveau sa mâchoire, l'empêchant de bouger son visage pour accroître sa soumission, mais aussi parce que tu es devenu une bête sauvage désormais, prêt à sauter sur sa proie, la dévorer sans une once d'hésitation. Et là, t'as envie de sentir ses soupirs d'aises, ses gémissements, son bien-être s'écraser contre tes lèvres encore humides de votre précédent baiser. Tu continues tes gestes, agitant parfois tes deux doigts dans son intimité, d'abord délicatement, tu ne tardes pas à laisser cet animal parler pour toi, y allant de plus en plus franchement, de plus en plus profondément. Elle en veut, elle en réclame, tu le vois à sa façon de mouver son bassin pour se procurer davantage de plaisir, geste que tu incites par ta main encore accrochée à sa taille, elle est agrippée. Et c'est à cet instant que Mia se penche en arrière, t'offrant alors une vue sur sa poitrine encore recouverte par ce soutien-gorge, ses sous-vêtements si sexy soient-ils, c'est une styliste Mia, c'est son domaine, mais toi, ça te fait tourner la tête. Ô combien tu aimes ses sous-vêtements, là, tu veux qu'elle le retire, d'ailleurs tu le lui ordonnes rapidement. Elle n'avait pas le droit de t'envoyer cette photo alors qu'elle se trouvait si loin de toi, toute cette frustration que tu ressentais te revient systématiquement en pleine gueule lorsque ton regard se pose sur sa poitrine presque dénudée, il faut qu'elle le ôte, maintenant. Chose qu'elle ne tarde pas à faire, voyant certainement que tu es au bord de l'explosion et qu'elle t'a déjà assez fait patienter comme ça, la jeune femme passe alors ses mains dans son dos, retirant le seul vêtement qui soutenait encore sa généreuse poitrine. Et tu ne te fais pas prier, tu l'admires sa poitrine, tu la dévores même du regard dans un premier temps, ça augmente ton appétit, l'appétit de son corps. Discrètement, tu viens même t'en mordre la lèvre inférieure sans pour autant cesser tes mouvements de doigts, tu as ralentis le rythme cependant, un court instant, bien trop concentré sur la vue qu'elle t'offre avant qu'elle vienne attraper ton visage entre ses mains, t'incitant alors à la regarder. Tu relèves ton regard, le plantant dans le sien, un regard fiévreux, affamé. « Tu aimes ce que tu vois? » te souffle t-elle, presque dans un murmure. Tu peux y sentir dans sa voix, toute son excitation, toute la sensualité dont elle fait preuve pour te rendre complètement taré, et ça marche, putain, ça fonctionne. Chaque paroles qu'elle prononce te fait rappeler à quel point tu peux être soumis à elle, malgré cette domination dont tu fais preuve. Tu as même parfois envie de lui demander d'arrêter tant le désir t'enivre, tant il prend possession de ton corps mais aussi de ton cerveau. Mais tu ne le feras pas, ça te plaît beaucoup trop de la voir dans cet état, tu aimes qu'elle te pousse à te surpasser, à dépasser tes limites, elle t'excite tellement. Alors comme réponse, tu te contentes simplement de la fixer, hochant discrètement la tête avant d'approcher tes lèvres de sa peau. La jeune femme se penche, t'offrant alors un meilleur accès à sa poitrine. Tu reprends des gestes brusques, rapidement, tapant parfois au plus profond et tu peux entendre l'effet que ça lui fait. Tu déposes alors des baisers mouillés, torrides sur le haut de sa poitrine avant de descendre tes baisers sur son sein droit. Mia quand à elle, se met à mouver son bassin plus franchement afin de se procurer davantage de plaisir. Et ça te fait sourire toi, tout contre sa peau, tu viens même titiller son téton de bout de la langue avant de le suçoter de manière plus franche. Tu n'as pas réellement envie de jouer, ce matin, tu veux simplement lui faire du bien. Vous faire du bien. Tu as envie de l'entendre. D'entendre quoi ? Elle, mais aussi le bruit de ce geste, de tes vas-et-vient en elle, et l'humidité entre ses jambes en témoigne. Ses gémissements se font de plus en plus audibles, elle se libère de son plaisir et toi, tu ne cesses tes baisers. Tu as besoin de l'embrasser, d'embrasser sa peau, de la posséder d'une manière ou d'une autre.
Tu baisses les yeux lorsque tu sens son bassin se décoller légèrement du tien, si tu t'arrêtes? Non, il t'en faut beaucoup plus pour t'arrêter, surtout une fois que tu es lancé. Mais aussitôt, ta mâchoire se resserre lorsqu'elle pose ses mains sur ton entrejambe, sensible? Beaucoup. Tu en retiens même un soupir de désir, t'en veux plus, t'as besoin de plus. Elle libère alors ton sexe de ton seul et unique vêtement, ne se gênant pas pour admirer la vue. Mais qu'elle le fasse, qu'elle constate l'effet qu'elle peut avoir sur toi. Mais toi, tu ne lâches pas ton regard de son visage, tu veux scruter la moindre de ses réactions et le moins que l'on puisse dire, c'est que tu n'es pas déçu. Tellement que lorsqu'elle passe sa langue sur ses lèvres, tu viens lui mordiller la lèvre inférieure, étouffant ainsi un soupir d'aise en sentant sa main s'emparer de ta virilité. Tu entrouvres même la bouche, ne cherchant pas à retenir ta respiration qui s'accélère dû au bien qu'elle commence à te faire mais également, à ton envie d'elle qui est prêt à exploser. Non, il n'est pas question de jeu ce matin. Simplement de vous faire du bien, de vous offrir du plaisir mutuellement. Vous avez tout autant besoin de faire plaisir à l'autre, que de le laisser vous apporter davantage de plaisir. Vous le faites ensemble, et vous le faites bien à en croire vos respirations haletantes, à en croire également la température de la pièce qui grimpe en flèche ces dernières secondes. Jusqu'à ce que Mia vienne se saisir de ton poignet, tes mouvements des doigts ne cessent guère même si tu te doutes de ce qui va suivre: elle va retirer ta main. Tu profites alors de ces dernières secondes, appuyant ton front contre le sien alors que vos souffles se mêlent encore, quelques secondes à peine oui, avant qu'elle vienne la retirer définitivement et se séparer de toi. Tout se passe très vite cependant, tu as tout de même le temps de l'observer et profiter de cette vue qu'elle t'offre en retirant finalement son jeans, étant maintenant vêtue que de son string. Et tu la vois, s'éloigner et se mettre dans une position... des plus dangereuses. Et ton cœur rate un battement à la vue de sa bouche si près de ta virilité. « Je suis prête à parier que ça aussi, ça t'a manqué. » Tu viens te mordre la lèvre inférieure, tu en deviendrais presque impatient... Mais peut-on réellement dire que tu l'es ? Non, elle fait preuve de rapidité. Elle ne te fait pas languir, tu sens déjà son premier coup de langue, tu en fermes les yeux, entrouvrant la bouche afin d'y laisser passer ton souffle court lorsque tu sens son deuxième coup de langue. Ton cœur s'agite, explose, alors que tes sensations se décuplent et c'est délicatement que tu viens passer tes doigts dans sa chevelure. Tu as juste envie de te relâcher de toutes tes forces, de te laisser tomber en arrière et ne plus luter mais tu ne le feras pas, non non, tu restes dans cette position pour ne pas louper une telle vue. Mia, te faisant une gâterie dans une telle position, dans une telle tenue. Il faudrait être fou pour louper le spectacle... Mais tes yeux te désobéissent. Sa langue jouant désormais avec ta virilité entre ses lèvres, tu en lâches un premier gémissement incontrôlé. Tu essayes pourtant, tu te retiens, tellement qu'au final, tes soupirs de plaisir et tes gémissements se font plus virils que jamais, plus rauques aussi. Tu lèves même le menton au ciel, les yeux clos, savourant chaque caresse buccale qu'elle t'offre. Ta main vient même quitter son crâne pour se déposer sur le drap, rejoignant sa jumelle, une main de chaque côté et tu agrippes le drap de toutes tes forces tant le plaisir prend possession de tout ton corps, ce geste a même pour effet de laisser apparaître tes veines battantes, brûlantes alors que ces soupirs sont désormais coupés par le son de ta voix, dans de doux gémissements. Elle a raison, ça t'avait tant manqué... Mais toi aussi, ça te manque.
Oh oui, ça faisait longtemps que tu n'avais pas posé tes mais sur elle, mais ça fait d'autant plus longtemps qu'elle n'a pas profité de ta langue elle aussi. Et toi, ça te manque. Elle sait pourtant, comme tu aimes lui offrir ce plaisir... Mais encore une fois, vous êtes bien trop affamés l'un de l'autre, bien trop impatient. Fort heureusement, il y a un moyen pour que vous puissiez profiter tous les deux. Car non, tu n'as pas envie qu'elle s'arrête, mais tu n'as plus envie de luter contre ce désir qui t'enivre. Alors c'est au bout de quelques longues minutes et non sans mal que tu lui attrapes le bras, la forçant ainsi à se relever, à se redresser. Tu la dévores du regard, tu ne la quittes pas du regard alors que tes mains se chargent de baisser son string, le passant sous ses genoux et t'en débarrassant assez facilement. Tu le jettes sans attention plus loin dans la pièce et tu ne perds pas de temps, de ta main droite, tu te saisies de son bras opposé pour la retourner sauvagement, tu exerces même une légère pression sur sa peau avant de la lâcher, doucement, délicatement. Une fois dos à toi, tu viens lui déposer de doux baisers sur sa peau, ta main droite, se charge maintenant de lui caresser doucement le dos, partant de ses fesses, et remontant sensuellement tandis que ta main gauche se faufile par devant, lui agrippant le sein avec désir, avec envie. Tes baisers sont mouillés, chauds, affamés. Tu te penches même légèrement sur la droite pour lui mordiller la hanche mais ça s'arrête très vite, puisqu'au même moment, ta main arrive sur sa nuque. Et tu ne te fais pas prier pour exercer à nouveau une pression sur elle, la penchant ainsi en avant, elle se retrouve très vite à quatre pattes. Et qu'elle vue t'offre t-elle sur ses magnifiques fesses désormais collées à ton torse, un sourire coquin, satisfait, prend même place sur tes lèvres lorsque tu baisses le regard, alors qu'elle ne peut même plus te voir. Tu déposes des baisers sur le haut de sa fesse droite sans t'y attarder car là, tu ne tiens plus : tu t'allonges, de tout ton long. Tu te laisses glisser dans le but de ramener ta virilité près de ses lèvres mais également, ton visage près de ses lèvres inférieures. La distance imposée par sa position t'offre une vue des plus exquise sur son sexe. Ton souffle s'accélère à nouveau, incapable de détacher ton regard, tu lâches, d'une voix chaude. « Continue. » Elle veut continuer, tu ne veux pas l'empêcher. Tu veux qu'elle continue toi aussi, mais tu veux également t'occuper d'elle. Alors sans lui laisser le temps de réagir, tes bras emprisonnent ses cuisses et encore une fois, tu exerces une légère pression afin qu'elle les resserre au maximum autour de ton visage. Ses cuisses te rendent totalement fou, tellement que même si ta langue commence à s'impatienter, tu viens pivoter légèrement ta tête pour lui mordiller sa cuisse droite. Ca ne dure qu'un court instant cependant, puisque tu te replaces très vite correctement, resserrant à nouveau ses cuisses. Tes mains, elles, viennent agripper ses fesses avec envie tandis que tu succombes enfin à ton envie de lui faire du bien avec ta langue. Un premier coup de langue, constatant et appréciant l'humidité entre ses lèvres inférieures. Un second, plus appuyé cette fois. Puis tu t'attardes finalement sur son petit bouton du bout de la langue, tu le titilles, des coups de langue de plus en plus appuyé avant que tu viennes le bloquer entre tes lèvres, tu joues avec. Ton souffle chaud vient cependant s'écraser contre ce dernier, laissant échapper un énième soupir de plaisir qui te fait, à nouveau, resserrer l'emprise que tu as sur elle. Ses cuisses entourant ton visage, coincées entres tes bras, son sexe contre tes lèvres. Tes coups de langues se font plus francs, le bout de ta langue jouant parfois avec son petit bouton glisse le long de son intimité, tu redresses légèrement le visage lorsque tu arrives à l'entrée de son vagin. Tu oses même entamer de léger vas-et-vient avec ta langue, si tu le pouvais, tu la mangerais toute crue.
CODES © LITTLE WOLF.
Invité
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Re: sweetest morning (+) MIHYUN ♥ | Mar 5 Sep - 22:11 Citer EditerSupprimer
SWEETEST MORNING
ft. mihyun ♥
Surprise babe, I'm here! Tenue
Évidemment qu'il aime ce qu'il voit. elle le fixe, elle ne le quitte pas des yeux de sorte à examiner la moindre de ses réactions. Elle sent même le rythme de ses doigts ralentir alors qu'il dévore littéralement sa poitrine du regard. Et Mia, elle aime sentir ce genre de regard affamé sur elle, elle se sent si belle, si attirante, si sexy, et ce grâce à Taehyun, à travers ses yeux. Son regard pourrait presque la déstabiliser, l'intimider mais il n'en est rien. Elle soutient toujours son visage de ses deux mains, elle ne le quitte pas des yeux et faut dire qu'elle aussi, elle a ce regard qui ferait fondre n'importe qui. Elle finit par lâcher néanmoins son visage pour, lentement, se pencher en arrière, offrant alors la possibilité au danseur d'embrasser avidement sa poitrine. Et ça, mêlé à ses gestes plus accentués en elle, Mia ne peut se retenir de pousser des gémissements certes contrôlés mais aigus; Elle savoure, elle ressent un plaisir indescriptible à ce moment même, si bien qu'elle glisse sa main droite sur la nuque de son petit-ami, jusqu'à même la faire monter sur son cuir chevelu de sorte à agripper doucement ses cheveux noirs bleutés, alors qu'elle essaye de retenir ses gémissements mais c'est impossible. C'est bien trop bon pour ne pas faire de bruit. Après tout, elle le désire h24, ce garçon. Dès le moment où ses yeux se sont posé sur lui, elle l'a désiré. Sinon, elle ne l'aurait pas embrassé dès le premier soir, mais il fait ressortir en elle des pulsions qu'elle n'avait encore jamais découvertes. Or, c'est un plaisir de les découvrir maintenant et avec lui. Ils se donnent tant sexuellement l'un à l'autre qu'elle en crèverait de bonheur. Elle ne s'est jamais sentie aussi comblée de sa vie. Jamais.
Pourtant entre eux, c'est la luxure à l'état pur. Ils se désirent, puis se dévorent. Elle veut qu'il lui appartienne tout entier, bien plus qu'il ne lui appartient déjà, elle veut son corps contre elle, elle le veut en elle. Ne faire plus qu'un avec lui parce qu'à chaque fois qu'il s'immisçait en elle, elle ressentait la puissance de leur amour la frapper, lui couper le souffle, lui faire découvrir des horizons encore jamais découverts, des sentiments insoupçonnés chez l'être humain. Et dans ces pulsions qu'il lui fait ressentir, elle craque, elle ne contrôle plus ses gestes et s'occupe alors de dévoiler le sexe du jeune homme qu'elle regarde un instant, avant de passer sensuellement sa langue sur les lèvres. Mais elle a tout juste le temps de le faire qu'il vient finalement près de sa bouche, venant même mordiller sa lippe, et elle, ça la fait sourire. Ça l'incite même à jouer un peu de sa main sur son sexe, et elle ne loupe pas une demi seconde du spectacle qui se joue sous ses yeux: son petit-ami, à sa merci, grâce à ses vas et viens si doux et si efficaces à la fois. Elle prend du plaisir rien qu'à l'admirer se tordre de désir, et elle aurait souhaité gardé le dessus comme ça encore longtemps mais elle sait très bien qu'il ne se laissera pas faire longtemps. Sauf si, sauf si... Elle met les bouchées double. Du coup, c'est rapidement et aisément qu'elle se laisse glisser sur les jambes histoire de bien vite rapprocher dangereusement son visage de l'entrejambe de son petit-ami. Un regard coquin vers lui, et elle n'hésite pas à donner un premier coup de langue sur son sexe, avant un deuxième, puis ainsi de suite histoire de l'habituer à la sensation. Et puis, elle ne se fait pas prier: elle glisse sa virilité entre ses lèvres, le faisant pénétrer assez profondément dans sa bouche. Ainsi, elle entame des vas et viens, prenant franchement son temps afin de le faire profiter au maximum de la sensation. De toute façon, il n'y a que de cette façon qu'elle s'y prend bien, en y allant doucement, en s'appliquant. Et elle ne s'arrête à aucun moment. Si bien qu'à chaque retour, elle l'enfonce un peu plus, produisant un effet décuplé de sorte à faire réellement décoller son petit-ami. Sa main gauche vient se poser sur l'aine tandis que l'autre tient le pénis du jeune homme. Cette fois, elle s'attarde un peu plus sur le gland pour y passer la langue à plusieurs reprises, elle sent sa main quitter sa chevelure pour agripper le drap. Et elle sourit, ravie, fière de ce qu'elle lui fait ressentir.
Et c'est après plusieurs minutes qu'elle sent finalement son petit-ami l'attraper par le bras pour la redresser. Elle s'essuie la bouche d'un revers de main, dévoilant un sourire narquois, alors qu'il ne semble pas vouloir perdre de temps avec elle. Que lui réserve-t-il cette fois? Vont-ils passer à l'acte tout de suite? A en croire ses mains qui la débarrassent de son string, Mia a gagné. Il craque. Il va lui faire l'amour maintenant et ça l'enchante, c'est ce qu'elle veut depuis qu'elle est arrivée pour dire vrai. Mais quand il se saisit de son autre bras pour la retourner, elle commence à comprendre où il veut en venir. Elle l'aime, cet homme. Elle aime aussi ses décisions, son côté joueur, entreprenant, celui qui leur permet de passer des moments aussi intenses au lit que celui qu'ils vont vivre là. Rien que de sentir son sexe chaude et humide contre la peau du jeune homme l'excite d'avantage, elle a hâte de passer à la suite Mia. Elle est dans un état d'excitation qui dépasse le possible, mais lui, il fait durer. Il vient l'embrasser sur le dos, sa main, elle, remonte doucement sa colonne vertébrale en partant de ses fesses tandis que l'autre saisit son sein avec force, envie. Ses lèvres dérivent, viennent se poser sur ses hanches avant de sentir finalement les dents du jeune homme mordiller sa peau, ce qui la fait sourire de plaisir. Elle sent qu'il a envie d'elle, que ça en devient presque féroce mais ça ne lui fait pas peur, au contraire: ça l'excite encore plus.
La main de Taehyun à présent sur sa nuque exerce une pression dessus, de sorte à la faire se pencher en avant; elle ne résiste pas. Elle se laisse faire, gentiment, et elle sent son sexe se rapprocher dangereusement des lèvres du danseur. Elle languit, mais elle ne dit rien, elle veut être discrète et disciplinée. Elle sait qu'il finira par lui donner ce qu'elle veut. Mia se contente donc de ranger une mèche de cheveux derrière son oreille alors que ses lèvres s'approchent à nouveau du sexe du jeune homme alors que ce dernier, lui, glisse sur le lit afin de rapprocher sa bouche du sexe de Mia. « Continue. » Oui, elle va continuer Taehyun, elle ne va pas s'arrêter en si bon chemin, mais elle s'impatiente, si bien que ses mains agrippent doucement le drap pour passer sa frustration. Parce que Tae, au lieu de commencer de suite, préfère d'abord embrasser sa cuisse. Alors, comme pour lui montrer qu'elle n'est pas prête à patienter, Mia vient à nouveau glisser le pénis du beau brun entre ses lèvres, entamant alors des vas et viens buccaux de façon plus soutenue. Et bientôt, elle sent la langue du danseur s'aventurer entre ses lèvres inférieures. Elle étouffe un soupir de plaisir, en fait, heureusement qu'elle est en train d'user de sa bouche, sinon, les gémissements poussés auraient manqué de discrétion. Elle a beau se concentrer sur ce qu'elle fait, le plaisir que lui donne le danseur n'est pas des moindres. Il sait s'y prendre, oh ça elle le sait, il lui a montré à plusieurs reprises. Il lui a déjà fait ce genre de choses et à chaque fois, il avait réussi à la faire jouir avec sa langue, or, cette fois, ça allait être encore plus facile puisqu'elle avait dû se passer de lui pendant plusieurs semaines, depuis leur dernière nuit ensemble chez elle.
Néanmoins, elle continue. Ses gémissement sont étouffés dans sa gorge, qu'elle frôle un peu plus à chaque retour qu'elle effectue sur la virilité de Taehyun. C'est à celui qui se donne le plus de plaisir et à entendre les gémissements qu'il pousse à son tour, elle sait qu'elle s'y prend bien. En fait, les deux sont très forts. Ils se sont bien trouvés. Ils sont capables de se faire perdre la tête avec leur langue. Pourtant, il y a quelque chose qui fait que Mia risque de perdre la bataille: c'est la langue de son petit-ami qui commence des vas et viens en elle. Là, elle perd ses moyens, et alors qu'elle retire ses lèvres de son sexe, elle ferme les yeux, relevant la tête et venant se mordre la lippe, mais ce gémissement est incontrôlé. Et là qu'elle n'est plus concentrée sur ce qu'elle fait, elle peut s'en rendre compte: il n'y a pas un coup de langue durant lequel le plaisir ne grimpe pas en elle. C'est affolant. Elle a envie de crier son nom, de le supplier de continuer mais ça lui ferait bien trop plaisir d'entendre Mia dans un tel état. Elle se contente alors de retourner à ses occupations, de retourner à ses caresses buccales de sorte à lui donner autan de plaisir que ce qu'il est en train de lui donner. Quelle position, Mia l'adore. Et aura plaisir à la réessayer avec lui à l'avenir.
Voilà déjà quelques longues minutes maintenant qu'ils sont tous deux en train de se donner le maximum de plaisir possible. Pourtant, Mia se sent proche de capituler. Il n'y a pas à tourner autour du pot pendant 2 heures, Taehyun est plus que doué avec sa langue, c'est quelque chose qu'il maîtrise un peu trop au goût de la gymnaste, elle ne peut s'empêcher de se demander s'il l'a pratiqué avec tant de filles que ça pour être aussi bon. Sans prévenir, Mia redresse la tête, son corps se cambre de plaisir sur celui de son amoureux, Sa main droite vient agripper la cuisse du danseur, tandis qu'elle se met à geindre une supplique, lui demandant de continuer ce qu'il fait. Mais elle n'a pas compris qu'il ne compte pas s'arrêter. Or, voilà. Il y a quelque chose qu'elle ne veut pas, c'est jouir trop vite. Alors quand elle sent que l'orgasme se fait de plus en plus proche, elle essaye de prendre la parole. « T... Tae... » Elle tente de se libérer, mais il resserre considérablement son emprise sur ses cuisses. Il ne veut pas la laisser partir. Elle tourne alors légèrement la tête, tentant de l'apercevoir, avant de se mordre la lèvre. Non, il ne compte définitivement pas la laisser se retirer. Elle est obligée de rester là, et elle ne peut retenir ses gémissements. Pas ceux-là. Pas ceux qui expriment son plaisir intense, elle se fout de ne pas être discrète, de réveiller les voisins: là, c'est trop bon. Et ça la fait déjà trembler, cet orgasme va la secouer complètement, elle le sait. Elle se penche alors, mollement, épuisée, et appuie ses lèvres pulpeuses contre la cuisse gauche du danseur, laissant d'avantage un meilleur accès au danseur sur son sexe, histoire qu'il termine en beauté ce qu'il a commencé. C'est sa langue sur son bouton et cette pénétration buccale, qui déclenchent la dernière vague de plaisir qui entraîne alors son orgasme. Et son corps entier est secoué de spasmes, alors que ses ongles de sa main droite se plantent dans l'autre cuisse du danseur. Ses gémissements, qui ressemblent plus à des cris sur le coup, sont à moitié étouffés par la peau du jeune homme alors que ses lèvres sont toujours appuyées contre sa cuisse. Elle gémit contre sa cuisse, oui, et ses yeux se ferment tant cette sensation est la meilleure au monde.
Son corps cesse doucement de vibrer. Ses gémissements sont plus courts, moins forts, plus espacés alors qu'elle reprend ses esprits progressivement. Non là, elle est incapable de réfléchir correctement ou d'agir correctement. Elle est si épuisée, si secouée par tout ce plaisir qu'il pourrait faire absolument ce qu'il veut d'elle, là. Essoufflée, Mia retire ses lèvres de la cuisse de Taehyun, elle vient plutôt y appuyer son front, fermant les yeux, son corps est maintenant agité par sa respiration haletante, ses longs soupirs d'aise, et elle reste ainsi, contre sa jambe, les yeux clos alors qu'elle savoure cet instant de bien-être absolu dans tout son corps, comme si tout le stress, toute la colère de ces derniers jours étaient passés dedans. Et elle inspire, profondément, avant d'expirer. Elle sent les bras du jeune homme relâcher leur emprise sur ses cuisses, le moment pour elle de se libérer et de prendre une position plus "normale". Elle se laisse basculer sur le côté, se retrouvant sur le dos, à l'opposée de lui, ses jambes vers son visage. Les yeux rivés vers le plafond de sa chambre, elle pose une main entre ses seins et regarde sa poitrine se soulever au rythme de sa respiration, avant de relever légèrement la tête, pour croiser le regard coquin d'un Taehyun plus excité que jamais.
Round 2.
✻✻✻
Évidemment qu'il aime ce qu'il voit. elle le fixe, elle ne le quitte pas des yeux de sorte à examiner la moindre de ses réactions. Elle sent même le rythme de ses doigts ralentir alors qu'il dévore littéralement sa poitrine du regard. Et Mia, elle aime sentir ce genre de regard affamé sur elle, elle se sent si belle, si attirante, si sexy, et ce grâce à Taehyun, à travers ses yeux. Son regard pourrait presque la déstabiliser, l'intimider mais il n'en est rien. Elle soutient toujours son visage de ses deux mains, elle ne le quitte pas des yeux et faut dire qu'elle aussi, elle a ce regard qui ferait fondre n'importe qui. Elle finit par lâcher néanmoins son visage pour, lentement, se pencher en arrière, offrant alors la possibilité au danseur d'embrasser avidement sa poitrine. Et ça, mêlé à ses gestes plus accentués en elle, Mia ne peut se retenir de pousser des gémissements certes contrôlés mais aigus; Elle savoure, elle ressent un plaisir indescriptible à ce moment même, si bien qu'elle glisse sa main droite sur la nuque de son petit-ami, jusqu'à même la faire monter sur son cuir chevelu de sorte à agripper doucement ses cheveux noirs bleutés, alors qu'elle essaye de retenir ses gémissements mais c'est impossible. C'est bien trop bon pour ne pas faire de bruit. Après tout, elle le désire h24, ce garçon. Dès le moment où ses yeux se sont posé sur lui, elle l'a désiré. Sinon, elle ne l'aurait pas embrassé dès le premier soir, mais il fait ressortir en elle des pulsions qu'elle n'avait encore jamais découvertes. Or, c'est un plaisir de les découvrir maintenant et avec lui. Ils se donnent tant sexuellement l'un à l'autre qu'elle en crèverait de bonheur. Elle ne s'est jamais sentie aussi comblée de sa vie. Jamais.
Pourtant entre eux, c'est la luxure à l'état pur. Ils se désirent, puis se dévorent. Elle veut qu'il lui appartienne tout entier, bien plus qu'il ne lui appartient déjà, elle veut son corps contre elle, elle le veut en elle. Ne faire plus qu'un avec lui parce qu'à chaque fois qu'il s'immisçait en elle, elle ressentait la puissance de leur amour la frapper, lui couper le souffle, lui faire découvrir des horizons encore jamais découverts, des sentiments insoupçonnés chez l'être humain. Et dans ces pulsions qu'il lui fait ressentir, elle craque, elle ne contrôle plus ses gestes et s'occupe alors de dévoiler le sexe du jeune homme qu'elle regarde un instant, avant de passer sensuellement sa langue sur les lèvres. Mais elle a tout juste le temps de le faire qu'il vient finalement près de sa bouche, venant même mordiller sa lippe, et elle, ça la fait sourire. Ça l'incite même à jouer un peu de sa main sur son sexe, et elle ne loupe pas une demi seconde du spectacle qui se joue sous ses yeux: son petit-ami, à sa merci, grâce à ses vas et viens si doux et si efficaces à la fois. Elle prend du plaisir rien qu'à l'admirer se tordre de désir, et elle aurait souhaité gardé le dessus comme ça encore longtemps mais elle sait très bien qu'il ne se laissera pas faire longtemps. Sauf si, sauf si... Elle met les bouchées double. Du coup, c'est rapidement et aisément qu'elle se laisse glisser sur les jambes histoire de bien vite rapprocher dangereusement son visage de l'entrejambe de son petit-ami. Un regard coquin vers lui, et elle n'hésite pas à donner un premier coup de langue sur son sexe, avant un deuxième, puis ainsi de suite histoire de l'habituer à la sensation. Et puis, elle ne se fait pas prier: elle glisse sa virilité entre ses lèvres, le faisant pénétrer assez profondément dans sa bouche. Ainsi, elle entame des vas et viens, prenant franchement son temps afin de le faire profiter au maximum de la sensation. De toute façon, il n'y a que de cette façon qu'elle s'y prend bien, en y allant doucement, en s'appliquant. Et elle ne s'arrête à aucun moment. Si bien qu'à chaque retour, elle l'enfonce un peu plus, produisant un effet décuplé de sorte à faire réellement décoller son petit-ami. Sa main gauche vient se poser sur l'aine tandis que l'autre tient le pénis du jeune homme. Cette fois, elle s'attarde un peu plus sur le gland pour y passer la langue à plusieurs reprises, elle sent sa main quitter sa chevelure pour agripper le drap. Et elle sourit, ravie, fière de ce qu'elle lui fait ressentir.
Et c'est après plusieurs minutes qu'elle sent finalement son petit-ami l'attraper par le bras pour la redresser. Elle s'essuie la bouche d'un revers de main, dévoilant un sourire narquois, alors qu'il ne semble pas vouloir perdre de temps avec elle. Que lui réserve-t-il cette fois? Vont-ils passer à l'acte tout de suite? A en croire ses mains qui la débarrassent de son string, Mia a gagné. Il craque. Il va lui faire l'amour maintenant et ça l'enchante, c'est ce qu'elle veut depuis qu'elle est arrivée pour dire vrai. Mais quand il se saisit de son autre bras pour la retourner, elle commence à comprendre où il veut en venir. Elle l'aime, cet homme. Elle aime aussi ses décisions, son côté joueur, entreprenant, celui qui leur permet de passer des moments aussi intenses au lit que celui qu'ils vont vivre là. Rien que de sentir son sexe chaude et humide contre la peau du jeune homme l'excite d'avantage, elle a hâte de passer à la suite Mia. Elle est dans un état d'excitation qui dépasse le possible, mais lui, il fait durer. Il vient l'embrasser sur le dos, sa main, elle, remonte doucement sa colonne vertébrale en partant de ses fesses tandis que l'autre saisit son sein avec force, envie. Ses lèvres dérivent, viennent se poser sur ses hanches avant de sentir finalement les dents du jeune homme mordiller sa peau, ce qui la fait sourire de plaisir. Elle sent qu'il a envie d'elle, que ça en devient presque féroce mais ça ne lui fait pas peur, au contraire: ça l'excite encore plus.
La main de Taehyun à présent sur sa nuque exerce une pression dessus, de sorte à la faire se pencher en avant; elle ne résiste pas. Elle se laisse faire, gentiment, et elle sent son sexe se rapprocher dangereusement des lèvres du danseur. Elle languit, mais elle ne dit rien, elle veut être discrète et disciplinée. Elle sait qu'il finira par lui donner ce qu'elle veut. Mia se contente donc de ranger une mèche de cheveux derrière son oreille alors que ses lèvres s'approchent à nouveau du sexe du jeune homme alors que ce dernier, lui, glisse sur le lit afin de rapprocher sa bouche du sexe de Mia. « Continue. » Oui, elle va continuer Taehyun, elle ne va pas s'arrêter en si bon chemin, mais elle s'impatiente, si bien que ses mains agrippent doucement le drap pour passer sa frustration. Parce que Tae, au lieu de commencer de suite, préfère d'abord embrasser sa cuisse. Alors, comme pour lui montrer qu'elle n'est pas prête à patienter, Mia vient à nouveau glisser le pénis du beau brun entre ses lèvres, entamant alors des vas et viens buccaux de façon plus soutenue. Et bientôt, elle sent la langue du danseur s'aventurer entre ses lèvres inférieures. Elle étouffe un soupir de plaisir, en fait, heureusement qu'elle est en train d'user de sa bouche, sinon, les gémissements poussés auraient manqué de discrétion. Elle a beau se concentrer sur ce qu'elle fait, le plaisir que lui donne le danseur n'est pas des moindres. Il sait s'y prendre, oh ça elle le sait, il lui a montré à plusieurs reprises. Il lui a déjà fait ce genre de choses et à chaque fois, il avait réussi à la faire jouir avec sa langue, or, cette fois, ça allait être encore plus facile puisqu'elle avait dû se passer de lui pendant plusieurs semaines, depuis leur dernière nuit ensemble chez elle.
Néanmoins, elle continue. Ses gémissement sont étouffés dans sa gorge, qu'elle frôle un peu plus à chaque retour qu'elle effectue sur la virilité de Taehyun. C'est à celui qui se donne le plus de plaisir et à entendre les gémissements qu'il pousse à son tour, elle sait qu'elle s'y prend bien. En fait, les deux sont très forts. Ils se sont bien trouvés. Ils sont capables de se faire perdre la tête avec leur langue. Pourtant, il y a quelque chose qui fait que Mia risque de perdre la bataille: c'est la langue de son petit-ami qui commence des vas et viens en elle. Là, elle perd ses moyens, et alors qu'elle retire ses lèvres de son sexe, elle ferme les yeux, relevant la tête et venant se mordre la lippe, mais ce gémissement est incontrôlé. Et là qu'elle n'est plus concentrée sur ce qu'elle fait, elle peut s'en rendre compte: il n'y a pas un coup de langue durant lequel le plaisir ne grimpe pas en elle. C'est affolant. Elle a envie de crier son nom, de le supplier de continuer mais ça lui ferait bien trop plaisir d'entendre Mia dans un tel état. Elle se contente alors de retourner à ses occupations, de retourner à ses caresses buccales de sorte à lui donner autan de plaisir que ce qu'il est en train de lui donner. Quelle position, Mia l'adore. Et aura plaisir à la réessayer avec lui à l'avenir.
Voilà déjà quelques longues minutes maintenant qu'ils sont tous deux en train de se donner le maximum de plaisir possible. Pourtant, Mia se sent proche de capituler. Il n'y a pas à tourner autour du pot pendant 2 heures, Taehyun est plus que doué avec sa langue, c'est quelque chose qu'il maîtrise un peu trop au goût de la gymnaste, elle ne peut s'empêcher de se demander s'il l'a pratiqué avec tant de filles que ça pour être aussi bon. Sans prévenir, Mia redresse la tête, son corps se cambre de plaisir sur celui de son amoureux, Sa main droite vient agripper la cuisse du danseur, tandis qu'elle se met à geindre une supplique, lui demandant de continuer ce qu'il fait. Mais elle n'a pas compris qu'il ne compte pas s'arrêter. Or, voilà. Il y a quelque chose qu'elle ne veut pas, c'est jouir trop vite. Alors quand elle sent que l'orgasme se fait de plus en plus proche, elle essaye de prendre la parole. « T... Tae... » Elle tente de se libérer, mais il resserre considérablement son emprise sur ses cuisses. Il ne veut pas la laisser partir. Elle tourne alors légèrement la tête, tentant de l'apercevoir, avant de se mordre la lèvre. Non, il ne compte définitivement pas la laisser se retirer. Elle est obligée de rester là, et elle ne peut retenir ses gémissements. Pas ceux-là. Pas ceux qui expriment son plaisir intense, elle se fout de ne pas être discrète, de réveiller les voisins: là, c'est trop bon. Et ça la fait déjà trembler, cet orgasme va la secouer complètement, elle le sait. Elle se penche alors, mollement, épuisée, et appuie ses lèvres pulpeuses contre la cuisse gauche du danseur, laissant d'avantage un meilleur accès au danseur sur son sexe, histoire qu'il termine en beauté ce qu'il a commencé. C'est sa langue sur son bouton et cette pénétration buccale, qui déclenchent la dernière vague de plaisir qui entraîne alors son orgasme. Et son corps entier est secoué de spasmes, alors que ses ongles de sa main droite se plantent dans l'autre cuisse du danseur. Ses gémissements, qui ressemblent plus à des cris sur le coup, sont à moitié étouffés par la peau du jeune homme alors que ses lèvres sont toujours appuyées contre sa cuisse. Elle gémit contre sa cuisse, oui, et ses yeux se ferment tant cette sensation est la meilleure au monde.
Son corps cesse doucement de vibrer. Ses gémissements sont plus courts, moins forts, plus espacés alors qu'elle reprend ses esprits progressivement. Non là, elle est incapable de réfléchir correctement ou d'agir correctement. Elle est si épuisée, si secouée par tout ce plaisir qu'il pourrait faire absolument ce qu'il veut d'elle, là. Essoufflée, Mia retire ses lèvres de la cuisse de Taehyun, elle vient plutôt y appuyer son front, fermant les yeux, son corps est maintenant agité par sa respiration haletante, ses longs soupirs d'aise, et elle reste ainsi, contre sa jambe, les yeux clos alors qu'elle savoure cet instant de bien-être absolu dans tout son corps, comme si tout le stress, toute la colère de ces derniers jours étaient passés dedans. Et elle inspire, profondément, avant d'expirer. Elle sent les bras du jeune homme relâcher leur emprise sur ses cuisses, le moment pour elle de se libérer et de prendre une position plus "normale". Elle se laisse basculer sur le côté, se retrouvant sur le dos, à l'opposée de lui, ses jambes vers son visage. Les yeux rivés vers le plafond de sa chambre, elle pose une main entre ses seins et regarde sa poitrine se soulever au rythme de sa respiration, avant de relever légèrement la tête, pour croiser le regard coquin d'un Taehyun plus excité que jamais.
Round 2.
CODES © LITTLE WOLF.
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Re: sweetest morning (+) MIHYUN ♥ | Jeu 7 Sep - 16:20 Citer EditerSupprimer
SWEETEST MORNING
ft. mihyun ♥
Surprise babe, I'm here!
C'est le résultat de ce manque. De ce week-end passé si loin l'un de l'autre. De vos provocations, également. Si votre histoire a commencé par ces échanges charnels, par ces pulsions qu'aucun de vous n'a su contrôlées, aujourd'hui, c'est pire encore. Oh non, vous ne contrôlez absolument rien, c'est votre amour qui vous emprisonne dans ce désir, qui vous donne toutes ces envies impures mais à quoi bon s'en empêcher ? Vous aviez bien le droit de profiter pleinement de votre relation désormais, de vos envies sans barrière, ni crainte. C'est une libération depuis quelques jours mais malheureusement et jusqu'à ce matin, vous n'aviez pas réellement eu le temps d'en profiter, de vous retrouver de cette manière. Vos corps s'appellent, se réclament, ils sont assoiffés l'un de l'autre, tellement qu'au final, il est impossible pour vous de vous contrôlez, et ce n'est pas ce que vous cherchez, bien au contraire. Que c'est bon pour toi d'enfin pouvoir poser tes mains sur elle en sachant pertinemment qu'elle t'appartienne enfin, de le faire sans crainte qu'un événement imprévu vienne tout chambouler. Non, c'est terminé tout ça. Des imprévus vous attendront sans doute, mais vous êtes désormais tous les deux et ouais, tu te sens étrangement plus fort voire même, complètement invincible. Parce qu'au final, ta force, c'est elle.
Mia sait comment jouer avec toi de la meilleure des façons, elle sait comment faire sortir la bête qui sommeille en toi, et pire: elle sait la contrôler. Difficile à croire, dit comme ça, mais elle l'a apprivoisé. Il faut voir la manière dont elle s'amuse avec toi, dont elle joue avec le feu sans la moindre crainte, elle est même plutôt confiante en songeant au fait que tu pourrais en devenir incontrôlable. Tu le sais, puisque tu sais également qu'elle adore ça. Mais Mia a ce don de te rendre totalement fou, elle n'a même pas besoin de faire grand chose cela dit, Mia te suffit amplement. Cette femme a un pouvoir sur toi que tu ne saurais expliquer, un pouvoir si gigantesque, un pouvoir qui autrefois, t'inquiétait, t'effrayait, mais un pouvoir que tu n'aimes que trop pour t'en plaindre ou ne serait-ce que tenter de le contrôler, toi aussi. Vous êtes comme ça, vous vous cherchez, vous vous trouvez, vous vous dévorez, parce que vous avez tous les deux ce même pouvoir de rendre totalement fou l'autre, un simple regard, une simple caresse, un simple geste ou une simple parole peut suffire. Mais toi, tu respires pour lui donner du plaisir à cette femme et là, c'est l'amoureux qui parle. Alors oui il est vrai, tu es connu pour apprécier grandement le sexe mais c'est tout autre chose avec Mia, une autre histoire qui s'écrit, du sexe, de l'érotisme avec tant d'amour, tant de désir et ça, tu en es réellement accroc. Et c'est à nouveau ce que tu ressens lorsqu'elle te lance ce regard, à la fois narquois mais sexy à la fois, avant de s'essuyer la bouche d'un revers de la main. Tu l'aimes beaucoup trop cette fille, beaucoup trop pour ne pas avoir envie de la dévorer toute crue, beaucoup trop pour ne pas lui donner énormément de plaisir car là, c'est ce que tu veux: lui donner tout ce que tu as. La voir prendre son pied pour au final, le prendre toi aussi. Mais il est là le truc, c'est qu'elle en a besoin tout autant que toi. Tous les deux victimes de cette folle passion qui s'est désormais incrusté dans votre sang, dans votre âme. Et ça peut se ressentir dans chacun de tes gestes, de tes baisers sur ses hanches, tu viens même lui mordiller doucement la peau dû à cette envie folle qui clairement, te donne la frustration de savoir que tu ne ferais d'elle qu'une bouchée. Oh oui, elle sait comment s'y prendre pour te rendre totalement dingue. Alors tu finis par trouver la solution sans grande difficulté, tu ne vas pas l'empêcher de te faire plaisir non, pour deux raisons. Premièrement parce que, soyons honnête, Mia ne s'y prend que trop bien et que ses gâteries te font toujours chavirer mais aussi parce que tu n'aurais aucune envie qu'elle t'en empêche, à sa place. Non car là, tu comptes toi aussi entrer dans le jeu, et sans te faire prier. Alors une fois la position prise, ta langue vient d'abord jouer sur ses cuisses que tu aimes tant, tu as envie de les dévorer tout autant ses cuisses, mais très vite, tu succombes à ton envie. Approchant tes lèvres de son sexe, l’extrémité de ta langue un peu trop gourmande vient jouer avec ses petites lèvres. Mais Mia ne se fait pas prié non plus à reprendre son activité, puisqu'au moment où tu sens à nouveau ses lèvres entourer ta virilité avec délicatesse, entamant de doux vas-et-vient, ton souffle chaud s'écrase un peu trop bruyamment contre son petit bouton. Tu en lâches même un court gémissement, le temps pour toi de reprendre assez de contrôle pour tenter de te concentrer sur ce que tu es en train de lui faire.
Mais ta petite-amie n'est pas la seule à être douée. Oh non, vous l'êtes tous les deux, régnant sur le royaume des préliminaires. Ses gémissements étouffés par ta virilité te font perdre toute lucidité le temps d'une seconde, une seule seconde oui, le temps que tu te reprennes enfin car tu n'as pas envie que ça s'arrête. Cette douce mélodie de son plaisir. Tes bras tenant toujours aussi fermement ses jambes, l'emprisonnant à ta merci pour ton plus grand plaisir à toi aussi. C'est torride, sensuel, érotique mais aussi, étrangement romantique. Oui, ça l'est, dans vos attitudes. Vous voulez vous donner un maximum de plaisir, vous faire chavirer, prouver à l'autre dans quel état cet amour passionnel peut vous rendre et c'est un régale pour vous. Vous prenez votre pied. Et tu continues, ta langue s'amusant entre ses lèvres inférieures, s'attardant au point sensible et tu peux entendre, mieux, sentir son plaisir. Tu n'hésites pas, ta langue vient même la pénétrer et à ce geste, ton emprise sur elle se resserre, anticipant sans doute sa future réaction puisqu'elle se stoppe un instant, relevant la tête tout en lâchant un gémissement qui te rend totalement dingue mais qui surtout, t'incite à continuer. Tu en es presque déçu de louper le spectacle, de ne pas pouvoir la regarder prendre son pied mais tu l'entends et ça te suffit amplement, assez pour continuer sur cette lancée tandis que Mia retourne à son activité elle aussi. Tu en lâches même, à nouveau, un soupir de plaisir. Tu ne te retiens pas cependant, puisqu'un gémissement vient de nouveau passer la barrière de tes lèvres, un gémissement étouffé par ses lèvres inférieures, ton souffle titillant son petit bouton et ça t'excite davantage. Vous continuez, vous ne vous arrêtez à aucun moment et ce, pendant plusieurs longues minutes de plaisir intense.
Jusqu'à ce qu'elle relève la tête, tu sens sur ton corps, le sien se cambrer et même sa main agripper fermement ta cuisse. Ce geste te fait lâcher un grognement viril entre ses cuisses, ta langue se faisant davantage imposante. Tu t'exécutes cependant: tu continues ce que tu fais et puis de toute façon, tu n'avais aucune intention de t'arrêter, ni de ralentir, non, tu continues de jouer avec son clitoris cette fois. C'est beaucoup trop bon ce que tu entends, ces gémissements venant de la part de ta petite-amie. « T... Tae... » lâche t-elle dans un gémissement, sentant ses jambes tenter de se libérer mais tu as aussitôt le réflexe de resserrer à nouveau ton emprise sur elle. Oh oui, tu sais ce que ça veut dire et qu'elle a essayé de te prévenir mais justement, tu ne comptes pas t'arrêter. Peut-être qu'elle ne souhaite pas jouir tout de suite mais toi, tu veux la sentir venir contre tes lèvres et tu ne comptes pas la lâcher de sitôt, pas avant d'avoir eu ce que tu veux. Alors après avoir décuplé tes forces contre ses cuisses, tes caresses buccales se font d'autant plus appuyés, d'autant plus rythmés, une fois caressant son clitoris et puis quelques secondes plus tard, la pénétrant avec envie et beaucoup plus d'ardeur. Tu en lâches à nouveau un grognement tant le désir t'enivre, tant ce moment devient beaucoup trop torride et son intimité, elle, plus humide encore. Et tu le sens venir cet orgasme, tu l'entends à ses gémissements devenus plus bruyants encore qui t'incite à continuer sur cette voie, et c'est ce que tu fais d'ailleurs. Et puis, au moment d'une énième pénétration, tu sens son corps faiblir, sa bouche venant se coller contre ta cuisse ainsi que ses ongles griffant ta peau de manière bestiale. Et ce sont presque des cris, étouffés par ta peau, qui passe désormais la barrière de ses lèvres quant à toi, tu donnes tout ce qu'il te reste, ta langue se faisant plus joueuse et plus déterminée que jamais à faire venir ta petite amie et à en croire ses cris ainsi que son corps, c'est mission accomplie.
Des soupirs d'aises, une respiration haletante, un mince sourire satisfait vient étirer tes lèvres. L'entendre et la savoir dans cet état te plait beaucoup trop, mais son petit bouton désormais sensible, c'est sur sa cuisse droite que tu viens y déposer de doux baisers, y mêlant parfois ta langue dû au désir qu'elle te fait ressentir. Tu le sais maintenant, tu as marqué un point, puisque ta copine doit de toute évidence se remettre de cet orgasme. Vas-tu profiter de cette situation? Sans doute, oui, mais pour le moment, tu te contentes simplement de lâcher -enfin- l'emprise que tu avais sur ses cuisses, lui permettant ainsi de se libérer. Tu as eu ce que tu voulais maintenant, elle a bien le droit de reprendre ses esprits avant de repartir. Oh non, ce n'est pas fini, là. Tu la laisses basculer sur le côté, essoufflée, tu peux entendre sa respiration encore haletante mais toi, ton mince sourire discret ne te quitte pas, bien trop satisfait mais surtout, bien trop excité. D'un rapide et léger coup de langue, tu viens même la passer sur tes lèvres encore humides, avant même de t'essuyer le coin des lèvres d'un revers de la main. Tu bouillonnes, ton excitation est prêt à exploser. Ses gémissements et ce plaisir divin qu'elle t'a procuré, oui, ça t'avait énormément manqué. Comment réussir à te contrôler avec ce qu'elle vient de te faire au juste? En étant si doué? Non, tu as envie de lui rendre tout ça, et pas seulement avec ta langue. Ton visage pivote légèrement dans sa direction, cherchant son regard que tu obtiens quelques secondes plus tard. Vos regards se croisent et t'es davantage satisfait en jugeant son état, aurais-tu marqué plusieurs points? Un rictus au coin des lèvres, beaucoup trop discret mais qui illustre magnifique bien ton état, tu te redresses quelque peu.
Et tu agrippes ses cuisses, te plaçant près de ses cuisses pour lui offrir à nouveau quelques baisers, lui laissant également quelques secondes de plus pour s'en remettre. Et tu remontes, déposant des baisers sur son ventre avant de te saisir fermement de ses cuisses et d'un coup sec, la ramener vers toi, collant son bassin contre le tien, avant de te pencher vers son visage. Ton sourire toujours présent, tu plonges ton regard dans le sien, ta main droite agrippant le drap juste à côté de son visage, tu lui offres alors un baiser des plus langoureux, tes lèvres toujours humides et gourmandes de son plaisir. Le désir t'enivre, tellement qu'un soupir de désir passe la barrière de tes lèvres, s'écrasant contre les siennes mais tu ne tiens plus, tu es prêt à exploser, tu as besoin de lui faire l'amour, là, tout de suite. Alors en cessant le baiser, tes lèvres restant collées contre les siennes, tu te glisses enfin en elle, lâchant un gémissement presque rauque mais très vite, tu viens lui déposer un baiser au coin des lèvres. Commençant, doucement, à mouver ton bassin, entamant ainsi de doux vas-et-vient, avec beaucoup de facilité. Et ta main gauche vient attraper doucement sa mâchoire, un geste à la fois bestial qui se fait pourtant étrangement doux, mais en redressant ton visage, le baissant afin d'observer votre échange, ces vas-et-vient qui vous font beaucoup trop de bien, tu l'empêches ainsi de bouger la tête. Ton côté dominant qui ressort, mais tu as cette envie de lui prouver qu'elle t'appartient, tout ça, en lui prouvant également que tu es à elle, corps et âme, qu'aucune autre ne pourrait te rendre dans un tel état. Et tu coupes ton observation afin de regarder de nouveau Mia, scruter ses réactions, serrant les dents pour y contenir tes gémissements qui au final, les rendent rauques et virils dans ta gorge. Et doucement, tu viens lâcher son visage, prenant possession de ses lèvres dans un baiser fougueux, langoureux, profitant ainsi d'avoir libéré ta main pour qu'elle vienne se loger derrière sa cuisse que tu agrippes, la soulevant légèrement au rythme de tes vas-et-vient. Tu n'accélères pas, cependant, tes vas-et-vient, aussi fougueux peuvent-ils être, se font tout de même appliqués, lents parfois, comme pour vous faire profiter de chaque seconde de cet échange charnel. Oh oui, elle t'a manqué Mia, beaucoup trop manqué et que c'est bon de la retrouver. Elle, mais aussi cette sensation unique de pouvoir lui faire l'amour tout en étant victime de ces sentiments incontrôlables, de ces sentiments qui font battre ton cœur à toute vitesse, qui le font s'affoler dans ta cage thoracique, sans parler de ton ventre qui se tord de plaisir à chaque coup de rein. Tu colles davantage ton torse contre sa poitrine, retenant légèrement moins les gémissements de ton plaisir, et laissant ta respiration haletante s'évacuer, tes lèvres se trouvant à quelques centimètres à peine de son oreille. Tu lui souffles, excité comme jamais : « Comme ça? » Peut-être pour rendre le moment davantage torride mais surtout, pour avoir des indications. Inutile qu'elle te le dise, tu as bien compris que tu pouvais bien faire ce que tu voulais d'elle, mais ce n'est pas ce que tu veux. Tu veux la faire décoller, lui donner ce qu'elle souhaite et si elle veut que tu ailles plus vite, qu'elle te le dise. Tu veux tout lui donner, là tout de suite, lui prouver qu'elle t'a manqué, comme elle te l'a demandé. Lui prouver que lui donner du plaisir est tout ce que tu souhaites.
✻✻✻
C'est le résultat de ce manque. De ce week-end passé si loin l'un de l'autre. De vos provocations, également. Si votre histoire a commencé par ces échanges charnels, par ces pulsions qu'aucun de vous n'a su contrôlées, aujourd'hui, c'est pire encore. Oh non, vous ne contrôlez absolument rien, c'est votre amour qui vous emprisonne dans ce désir, qui vous donne toutes ces envies impures mais à quoi bon s'en empêcher ? Vous aviez bien le droit de profiter pleinement de votre relation désormais, de vos envies sans barrière, ni crainte. C'est une libération depuis quelques jours mais malheureusement et jusqu'à ce matin, vous n'aviez pas réellement eu le temps d'en profiter, de vous retrouver de cette manière. Vos corps s'appellent, se réclament, ils sont assoiffés l'un de l'autre, tellement qu'au final, il est impossible pour vous de vous contrôlez, et ce n'est pas ce que vous cherchez, bien au contraire. Que c'est bon pour toi d'enfin pouvoir poser tes mains sur elle en sachant pertinemment qu'elle t'appartienne enfin, de le faire sans crainte qu'un événement imprévu vienne tout chambouler. Non, c'est terminé tout ça. Des imprévus vous attendront sans doute, mais vous êtes désormais tous les deux et ouais, tu te sens étrangement plus fort voire même, complètement invincible. Parce qu'au final, ta force, c'est elle.
Mia sait comment jouer avec toi de la meilleure des façons, elle sait comment faire sortir la bête qui sommeille en toi, et pire: elle sait la contrôler. Difficile à croire, dit comme ça, mais elle l'a apprivoisé. Il faut voir la manière dont elle s'amuse avec toi, dont elle joue avec le feu sans la moindre crainte, elle est même plutôt confiante en songeant au fait que tu pourrais en devenir incontrôlable. Tu le sais, puisque tu sais également qu'elle adore ça. Mais Mia a ce don de te rendre totalement fou, elle n'a même pas besoin de faire grand chose cela dit, Mia te suffit amplement. Cette femme a un pouvoir sur toi que tu ne saurais expliquer, un pouvoir si gigantesque, un pouvoir qui autrefois, t'inquiétait, t'effrayait, mais un pouvoir que tu n'aimes que trop pour t'en plaindre ou ne serait-ce que tenter de le contrôler, toi aussi. Vous êtes comme ça, vous vous cherchez, vous vous trouvez, vous vous dévorez, parce que vous avez tous les deux ce même pouvoir de rendre totalement fou l'autre, un simple regard, une simple caresse, un simple geste ou une simple parole peut suffire. Mais toi, tu respires pour lui donner du plaisir à cette femme et là, c'est l'amoureux qui parle. Alors oui il est vrai, tu es connu pour apprécier grandement le sexe mais c'est tout autre chose avec Mia, une autre histoire qui s'écrit, du sexe, de l'érotisme avec tant d'amour, tant de désir et ça, tu en es réellement accroc. Et c'est à nouveau ce que tu ressens lorsqu'elle te lance ce regard, à la fois narquois mais sexy à la fois, avant de s'essuyer la bouche d'un revers de la main. Tu l'aimes beaucoup trop cette fille, beaucoup trop pour ne pas avoir envie de la dévorer toute crue, beaucoup trop pour ne pas lui donner énormément de plaisir car là, c'est ce que tu veux: lui donner tout ce que tu as. La voir prendre son pied pour au final, le prendre toi aussi. Mais il est là le truc, c'est qu'elle en a besoin tout autant que toi. Tous les deux victimes de cette folle passion qui s'est désormais incrusté dans votre sang, dans votre âme. Et ça peut se ressentir dans chacun de tes gestes, de tes baisers sur ses hanches, tu viens même lui mordiller doucement la peau dû à cette envie folle qui clairement, te donne la frustration de savoir que tu ne ferais d'elle qu'une bouchée. Oh oui, elle sait comment s'y prendre pour te rendre totalement dingue. Alors tu finis par trouver la solution sans grande difficulté, tu ne vas pas l'empêcher de te faire plaisir non, pour deux raisons. Premièrement parce que, soyons honnête, Mia ne s'y prend que trop bien et que ses gâteries te font toujours chavirer mais aussi parce que tu n'aurais aucune envie qu'elle t'en empêche, à sa place. Non car là, tu comptes toi aussi entrer dans le jeu, et sans te faire prier. Alors une fois la position prise, ta langue vient d'abord jouer sur ses cuisses que tu aimes tant, tu as envie de les dévorer tout autant ses cuisses, mais très vite, tu succombes à ton envie. Approchant tes lèvres de son sexe, l’extrémité de ta langue un peu trop gourmande vient jouer avec ses petites lèvres. Mais Mia ne se fait pas prié non plus à reprendre son activité, puisqu'au moment où tu sens à nouveau ses lèvres entourer ta virilité avec délicatesse, entamant de doux vas-et-vient, ton souffle chaud s'écrase un peu trop bruyamment contre son petit bouton. Tu en lâches même un court gémissement, le temps pour toi de reprendre assez de contrôle pour tenter de te concentrer sur ce que tu es en train de lui faire.
Mais ta petite-amie n'est pas la seule à être douée. Oh non, vous l'êtes tous les deux, régnant sur le royaume des préliminaires. Ses gémissements étouffés par ta virilité te font perdre toute lucidité le temps d'une seconde, une seule seconde oui, le temps que tu te reprennes enfin car tu n'as pas envie que ça s'arrête. Cette douce mélodie de son plaisir. Tes bras tenant toujours aussi fermement ses jambes, l'emprisonnant à ta merci pour ton plus grand plaisir à toi aussi. C'est torride, sensuel, érotique mais aussi, étrangement romantique. Oui, ça l'est, dans vos attitudes. Vous voulez vous donner un maximum de plaisir, vous faire chavirer, prouver à l'autre dans quel état cet amour passionnel peut vous rendre et c'est un régale pour vous. Vous prenez votre pied. Et tu continues, ta langue s'amusant entre ses lèvres inférieures, s'attardant au point sensible et tu peux entendre, mieux, sentir son plaisir. Tu n'hésites pas, ta langue vient même la pénétrer et à ce geste, ton emprise sur elle se resserre, anticipant sans doute sa future réaction puisqu'elle se stoppe un instant, relevant la tête tout en lâchant un gémissement qui te rend totalement dingue mais qui surtout, t'incite à continuer. Tu en es presque déçu de louper le spectacle, de ne pas pouvoir la regarder prendre son pied mais tu l'entends et ça te suffit amplement, assez pour continuer sur cette lancée tandis que Mia retourne à son activité elle aussi. Tu en lâches même, à nouveau, un soupir de plaisir. Tu ne te retiens pas cependant, puisqu'un gémissement vient de nouveau passer la barrière de tes lèvres, un gémissement étouffé par ses lèvres inférieures, ton souffle titillant son petit bouton et ça t'excite davantage. Vous continuez, vous ne vous arrêtez à aucun moment et ce, pendant plusieurs longues minutes de plaisir intense.
Jusqu'à ce qu'elle relève la tête, tu sens sur ton corps, le sien se cambrer et même sa main agripper fermement ta cuisse. Ce geste te fait lâcher un grognement viril entre ses cuisses, ta langue se faisant davantage imposante. Tu t'exécutes cependant: tu continues ce que tu fais et puis de toute façon, tu n'avais aucune intention de t'arrêter, ni de ralentir, non, tu continues de jouer avec son clitoris cette fois. C'est beaucoup trop bon ce que tu entends, ces gémissements venant de la part de ta petite-amie. « T... Tae... » lâche t-elle dans un gémissement, sentant ses jambes tenter de se libérer mais tu as aussitôt le réflexe de resserrer à nouveau ton emprise sur elle. Oh oui, tu sais ce que ça veut dire et qu'elle a essayé de te prévenir mais justement, tu ne comptes pas t'arrêter. Peut-être qu'elle ne souhaite pas jouir tout de suite mais toi, tu veux la sentir venir contre tes lèvres et tu ne comptes pas la lâcher de sitôt, pas avant d'avoir eu ce que tu veux. Alors après avoir décuplé tes forces contre ses cuisses, tes caresses buccales se font d'autant plus appuyés, d'autant plus rythmés, une fois caressant son clitoris et puis quelques secondes plus tard, la pénétrant avec envie et beaucoup plus d'ardeur. Tu en lâches à nouveau un grognement tant le désir t'enivre, tant ce moment devient beaucoup trop torride et son intimité, elle, plus humide encore. Et tu le sens venir cet orgasme, tu l'entends à ses gémissements devenus plus bruyants encore qui t'incite à continuer sur cette voie, et c'est ce que tu fais d'ailleurs. Et puis, au moment d'une énième pénétration, tu sens son corps faiblir, sa bouche venant se coller contre ta cuisse ainsi que ses ongles griffant ta peau de manière bestiale. Et ce sont presque des cris, étouffés par ta peau, qui passe désormais la barrière de ses lèvres quant à toi, tu donnes tout ce qu'il te reste, ta langue se faisant plus joueuse et plus déterminée que jamais à faire venir ta petite amie et à en croire ses cris ainsi que son corps, c'est mission accomplie.
Des soupirs d'aises, une respiration haletante, un mince sourire satisfait vient étirer tes lèvres. L'entendre et la savoir dans cet état te plait beaucoup trop, mais son petit bouton désormais sensible, c'est sur sa cuisse droite que tu viens y déposer de doux baisers, y mêlant parfois ta langue dû au désir qu'elle te fait ressentir. Tu le sais maintenant, tu as marqué un point, puisque ta copine doit de toute évidence se remettre de cet orgasme. Vas-tu profiter de cette situation? Sans doute, oui, mais pour le moment, tu te contentes simplement de lâcher -enfin- l'emprise que tu avais sur ses cuisses, lui permettant ainsi de se libérer. Tu as eu ce que tu voulais maintenant, elle a bien le droit de reprendre ses esprits avant de repartir. Oh non, ce n'est pas fini, là. Tu la laisses basculer sur le côté, essoufflée, tu peux entendre sa respiration encore haletante mais toi, ton mince sourire discret ne te quitte pas, bien trop satisfait mais surtout, bien trop excité. D'un rapide et léger coup de langue, tu viens même la passer sur tes lèvres encore humides, avant même de t'essuyer le coin des lèvres d'un revers de la main. Tu bouillonnes, ton excitation est prêt à exploser. Ses gémissements et ce plaisir divin qu'elle t'a procuré, oui, ça t'avait énormément manqué. Comment réussir à te contrôler avec ce qu'elle vient de te faire au juste? En étant si doué? Non, tu as envie de lui rendre tout ça, et pas seulement avec ta langue. Ton visage pivote légèrement dans sa direction, cherchant son regard que tu obtiens quelques secondes plus tard. Vos regards se croisent et t'es davantage satisfait en jugeant son état, aurais-tu marqué plusieurs points? Un rictus au coin des lèvres, beaucoup trop discret mais qui illustre magnifique bien ton état, tu te redresses quelque peu.
Et tu agrippes ses cuisses, te plaçant près de ses cuisses pour lui offrir à nouveau quelques baisers, lui laissant également quelques secondes de plus pour s'en remettre. Et tu remontes, déposant des baisers sur son ventre avant de te saisir fermement de ses cuisses et d'un coup sec, la ramener vers toi, collant son bassin contre le tien, avant de te pencher vers son visage. Ton sourire toujours présent, tu plonges ton regard dans le sien, ta main droite agrippant le drap juste à côté de son visage, tu lui offres alors un baiser des plus langoureux, tes lèvres toujours humides et gourmandes de son plaisir. Le désir t'enivre, tellement qu'un soupir de désir passe la barrière de tes lèvres, s'écrasant contre les siennes mais tu ne tiens plus, tu es prêt à exploser, tu as besoin de lui faire l'amour, là, tout de suite. Alors en cessant le baiser, tes lèvres restant collées contre les siennes, tu te glisses enfin en elle, lâchant un gémissement presque rauque mais très vite, tu viens lui déposer un baiser au coin des lèvres. Commençant, doucement, à mouver ton bassin, entamant ainsi de doux vas-et-vient, avec beaucoup de facilité. Et ta main gauche vient attraper doucement sa mâchoire, un geste à la fois bestial qui se fait pourtant étrangement doux, mais en redressant ton visage, le baissant afin d'observer votre échange, ces vas-et-vient qui vous font beaucoup trop de bien, tu l'empêches ainsi de bouger la tête. Ton côté dominant qui ressort, mais tu as cette envie de lui prouver qu'elle t'appartient, tout ça, en lui prouvant également que tu es à elle, corps et âme, qu'aucune autre ne pourrait te rendre dans un tel état. Et tu coupes ton observation afin de regarder de nouveau Mia, scruter ses réactions, serrant les dents pour y contenir tes gémissements qui au final, les rendent rauques et virils dans ta gorge. Et doucement, tu viens lâcher son visage, prenant possession de ses lèvres dans un baiser fougueux, langoureux, profitant ainsi d'avoir libéré ta main pour qu'elle vienne se loger derrière sa cuisse que tu agrippes, la soulevant légèrement au rythme de tes vas-et-vient. Tu n'accélères pas, cependant, tes vas-et-vient, aussi fougueux peuvent-ils être, se font tout de même appliqués, lents parfois, comme pour vous faire profiter de chaque seconde de cet échange charnel. Oh oui, elle t'a manqué Mia, beaucoup trop manqué et que c'est bon de la retrouver. Elle, mais aussi cette sensation unique de pouvoir lui faire l'amour tout en étant victime de ces sentiments incontrôlables, de ces sentiments qui font battre ton cœur à toute vitesse, qui le font s'affoler dans ta cage thoracique, sans parler de ton ventre qui se tord de plaisir à chaque coup de rein. Tu colles davantage ton torse contre sa poitrine, retenant légèrement moins les gémissements de ton plaisir, et laissant ta respiration haletante s'évacuer, tes lèvres se trouvant à quelques centimètres à peine de son oreille. Tu lui souffles, excité comme jamais : « Comme ça? » Peut-être pour rendre le moment davantage torride mais surtout, pour avoir des indications. Inutile qu'elle te le dise, tu as bien compris que tu pouvais bien faire ce que tu voulais d'elle, mais ce n'est pas ce que tu veux. Tu veux la faire décoller, lui donner ce qu'elle souhaite et si elle veut que tu ailles plus vite, qu'elle te le dise. Tu veux tout lui donner, là tout de suite, lui prouver qu'elle t'a manqué, comme elle te l'a demandé. Lui prouver que lui donner du plaisir est tout ce que tu souhaites.
CODES © LITTLE WOLF.
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Re: sweetest morning (+) MIHYUN ♥ | Lun 18 Sep - 0:35 Citer EditerSupprimer
SWEETEST MORNING
ft. mihyun ♥
Surprise babe, I'm here! Tenue
Les mots lui manquent pour exprimer à quel point il lui a manqué. 3 jours, ce n’est pas grand chose, mais là je vous parle d’un manque bien plus important encore. Le manque de son corps, de sa bouche, de ses baisers et caresses. Mia et Taehyun ne s’étaient plus touchés depuis un moment maintenant, et n’avaient pas eu le temps non plus de se retrouver sous les draps depuis leur réconciliation. Ce qui devait arriver arriva; il ne leur a pas fallu longtemps pour succomber à l’appel de leurs corps. Faut dire qu’il a cette facilité à la faire tomber dans ses filets, ça en est presque indécent. Il a juste à ouvrir la bouche, lui murmurer quelques choses ou déposer des baisers bien placés entre son cou et sa mâchoire pour la faire partir dans des états incontrôlables. Et puis, c’est Taehyun. C’est la grosse différence. Si le sex n’avait pas une place bien importante dans sa vie, depuis qu’elle avait rencontré l’aîné de la famille Gwak, la jolie gymnaste s’était retrouvée complètement accrochée à lui. Le parfait amant? Si seulement il pouvait être plus. C’est au bout de trois rendez-vous que la jeune femme a compris qu’elle attendait bien plus de lui. Qu’elle ne voulait pas le voir en cachette, qu’elle voulait pouvoir se balader à son bras officiellement sans le forcer à chuchoter une fois qu’ils étaient enfermés dans une pièce, à l’abri des regards indiscrets. Elle voulait tellement de choses mais elle avait si peur de le reconnaître à la fois, elle n’avait jamais eu l’impression de devenir folle avant cette période. Folle, folle de quelqu’un. Folle de lui. A ne plus tolérer qu’il en regarde d’autres qu’elle, à ne plus tolérer que son copain pose les mains sur elle ou à fermer les yeux pour l’imaginer, lui, et ne pas souffrir de l’acte. C’était devenu si difficile pour Mia d’entretenir cette relation qui avait perdu tout son charme depuis qu’elle avait rencontré Taehyun. Elle ne voulait que lui, à toute heure de la journée. Et elle n’aurait jamais pensé désirer quelqu’un à ce point dans sa vie.
Aujourd’hui, ils vont faire l’amour pour la première fois tout en étant en couple. Dans l’idée, il n’y a rien d’exceptionnel mais pour elle comme pour lui, ça signifie tant. Elle peut enfin le toucher, l’embrasser, lui donner du plaisir tout en gardant en tête que désormais, il peut gémir son nom sans retenu, parce qu’elle est sienne. De la tête aux pieds, corps et âme; elle est sienne et c’est ce qui rend l’acte si spécial. La sensation est différente, elle est intense, délicieuse, elle la rend plus vivante que jamais. Lui donner du plaisir équivaut pour elle à en recevoir, elle aime l’entendre dans un tel état, mais elle aime surtout se dire que c’est elle qui le rend comme ça. Alors elle continue, elle s’y donne à coeur joie, elle fait pénétrer son sexe au plus profond de sa bouche tandis que lui s’attarde à donner des coups de langue joueurs sur son bouton. Elle est excitée au plus haut point, Mia, et elle a du mal à contenir ses gémissements, il lui fait tellement de bien, après tout ce temps sans toucher à son corps, l’effet est garanti. Elle a l’impression qu’elle va exploser d’une minute à l’autre, mais plus il lui donne du plaisir, plus elle continue à faire de même pour lui, faisant des vas et viens sur son pénis. Jusqu’à un point de non retour, jusqu’à ce qu’elle sente l’orgasme arriver. Elle ne sait plus ce qu’elle fait, elle n’est plus capable de se concentrer sur ses caresses buccales alors sa bouche se retire du sexe de son petit-ami, pour venir se poser contre sa cuisse, alors que la langue du jeune homme semble avoir trouvé comment faire venir Mia. Et elle vient, oui, elle fait pas exprès mais elle se fait entendre. Pourtant, ses gémissements bien plus aigus s’écrasent contre la peau de son petit-ami: insuffisant pourtant, l’on parvient quand même à l’entendre, à écouter ces doux bruits aigus qui sortent de sa bouche. Et son corps ne tarde pas à venir trembler de plaisir, secoué par tous ces spasmes, tout ce bien-être qui l’envahit. Elle en redemanderait jour et nuit si elle pouvait. Et là, tout de suite, elle a bien envie de passer la journée au lit avec lui à faire ce genre de choses.
Elle bascule, elle libère également le jeune homme de l’emprise de ses cuisses. Désormais allongée sur le dos, une main sur sa poitrine, elle reprend progressivement sa respiration alors que ses beaux yeux bruns se fixent sur le plafond de la chambre. Il lui faut du temps pour retrouver ses esprits, elle est encore au paradis, là. Elle se sent si bien, elle resterait nue, allongée sur les draps, pendant des jours entiers si elle le pouvait, avec Taehyun à ses côtés. Oui, elle se permet un peu de rêver à cet instant, mais bien vite, le beau brun qui se trouvait à l’extrémité se charge de la sortir de ses pensées. Leurs regards se croisent, il lui sourit. Elle esquisse un large sourire à son tour, avant de se mordre la lèvre et de poser une main sur son front. « Tu me rends folle. » déclare-t-elle, à bout de souffle, lorsqu’il vient finalement se redresser. Elle pose le regard sur lui, son sourire se transformant peu à peu: elle se mordille la lèvre en le voyant approcher tel un prédateur; elle sait ce qui va suivre, et elle sait qu’elle va aimer ça. D’abord, il vient embrasser son ventre, l’occasion pour elle de caresser ses cheveux, avant qu’il ne la ramène contre lui d’un coup sec. Elle échappe un léger son de surprise, ne le quittant pas du regard, ou plutôt, admirant leurs deux corps, nus, collés l’un contre l’autre. Et la vue lui donne à nouveau un désir indescriptible, elle est prête pour le round 2. Plus que jamais. Sa main vient agripper le drap, non loin de son visage, et il se penche progressivement sur elle. Elle est tellement excitée qu’elle ne contrôle pas son geste, elle se redresse légèrement pour venir mordiller sa lèvre avant que cela ne se transforme en un baiser ardent, langoureux, durant lequel elle vient doucement appuyer sa main sur la joue rougie du danseur. Elle pose finalement son crâne contre le matelas, leurs lèvres toujours les unes contre les autres, elle ne peut retenir un gémissement incontrôlé et des plus aigus quand elle le sent s’introduire en elle. Son corps se cambre soudainement sous la vague de plaisir qui la foudroie par ce soudain contact. Les yeux encore ouverts, sa bouche toujours collée à celle de son petit-ami s’entrouvre, laissant alors passer ses premiers soupirs de plaisirs, soupirs qu’elle partage avec lui. Pourtant, ils ne s’embrassent pas, à aucun moment. Leurs souffles chauds s’emmêlent, elle se retient de gémir pour l’instant même si savoir qu’ils sont seuls la rassure un peu, et la pousse à se lâcher.
Mais elle est surprise par la main de Taehyun qui vient se saisir de son visage. Elle est bloquée, ses yeux le fixent, le dévorent, tandis que lui se permet de baisser le regard pour admirer leurs corps, l’un contre l’autre, nus et liés. Elle aussi aurait aimé pouvoir regarder ça, mais pour l’instant elle peut pas, il prouve encore que c’est lui le dominant par ce geste, et elle aime ça. Ça l’excite d’avantage, elle ne lutte pas cette fois pour avoir le dessus, elle se laisse volontiers faire. Son corps continue de se cambrer par moment, mais quand il libère finalement son visage, la première chose que fait Mia est de baisser les yeux vers leurs bassins entrant en contact à chaque vas et viens qu’il fait. Cependant, elle n’a pas le temps de bien admirer la scène que le beau brun revient capturer ses lèvres avec envie, avec fougue, et Mia se permet d’y donner tout autant de fougue, caressant sa langue avec la sienne. Elle sent la main du danseur agripper sa cuisse, la redressant alors légèrement, geste qui la fait frémir, il n’y a qu’à voir ses yeux qui se ferment et sa bouche, entrouverte, qui laisse échapper un soupir plus imposant que les autres. Elle a même tendance à appuyer un peu plus fort son crâne contre le matelas. Pourtant, ce n’est pas un rythme effréné qu’il donne à leurs ébats. Celui-ci est doux, mais appliqué. Si appliqué que l’effet est quand même présent: il parvient à l’exciter et à lui donner du plaisir. L’accès lui est facile, Mia est si humide pour le jeune homme qu’elle ne ressent pas une fois une quelconque douleur, tout est source de plaisir, absolument tout. Et progressivement, il parvient à lui faire perdre la tête, à la faire grimper petit à petit. Si elle baisse encore une fois le regard vers leurs corps, elle perd pied, alors elle se retient de ne pas admirer cet échange, parce qu’il est beaucoup trop beau pour qu’elle le supporte. « Comme ça? » vient-il chuchoter à son oreille. Là encore, l’effet escompté est assuré; le coeur de la gymnaste s’emballe, une vague de plaisir secoue son corps. Elle ferme les yeux, sa tête, elle, vient se loger dans le cou du danseur. Elle y dépose des baisers, plus doux les uns que les autres, parsemés de son souffle chaud et brûlant contre sa peau dus à son essoufflement. Pour répondre à sa question, les mots lui manquent, c’est pourquoi elle se contente d’acquiescer plusieurs fois la tête, toujours contre son cou, alors qu’elle ferme les yeux, se concentrant alors sur la sensation entre ses cuisses.
Elle le sent, elle est trempée. Elle a l’impression qu’elle pourrait mouiller les draps mais elle se doute aussi que leurs corps transpirants y sont pour quelque chose. Elle appuie sa tête à nouveau contre le matelas, et ouvre les yeux pour admirer Taehyun. Oui, elle veut prendre un moment pour le regarder lui faire l’amour, même ça lui fait gagner en plaisir. Il s’y prend si bien, il est si appliqué qu’elle en perd sérieusement les pédales. Ses mains entament une course, partant de son cou jusque dans son dos, qu’elle longe du bout des ongles. Elle s’arrête au creux de ses reins, non loin de sa cicatrice, qu’elle caresse du bout des doigts, avant de venir se saisir de ses fesses pour y exercer une pression dessus, collant d’avantage leurs bassins. Elle a encore la force de sourire, espiègle, victorieuse, comme si lui monter qu’elle a encore plus d’un tour dans son sac lui fait plaisir. Il sait comment elle est après tout, il ne devrait pas être étonné: même s’il a le dessus, elle fera tout pour lui rappeler qu’il a le dessus sur une lionne. Ses mains toujours posées sur les fesses de son petit-ami, Mia se redresse légèrement, collant à nouveau ses seins contre le torse du beau brun. Elle approche ses lèvres des siennes et, venant les poser à leur coin, elle chuchote, contre sa peau: « c’est encore mieux comme ça. » comme ça oui, leurs bassins collés à leur maximum. Elle veut l’exciter d’avantage, elle veut essayer de le rendre bestial mais elle voit qu’elle n’y arrivera peut-être pas aujourd’hui, sûrement parce qu’il n’en a pas envie. Elle dépose alors un baiser furtif au coin de ses lèvres, avant de laisser le haut de son corps retomber contre le matelas, dévoilant sa poitrine et ses tétons durcis. Son corps se secoue doucement au rythme des vas et viens, et bientôt, elle ne pourra plus contenir ses premiers gémissements. Ses bras passant sous ceux du jeune homme, elle vient agripper ses larges épaules, faisant en sorte de le garder près d’elle par ce geste. Et à nouveau, son visage pivote, ses lèvres viennent déposer ses baisers un peu partout sur les parcelles de peau qui lui sont accessibles: sa joue, son oreille, sa mâchoire, elle le couvre de baisers plus chauds les uns que les autres alors qu’elle lui murmure un « continue » à peine audible, mais irrésistible. Une supplique à laquelle il n’aura pas d’autres choix que de répondre, et de la façon qu’il voudra.
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Les mots lui manquent pour exprimer à quel point il lui a manqué. 3 jours, ce n’est pas grand chose, mais là je vous parle d’un manque bien plus important encore. Le manque de son corps, de sa bouche, de ses baisers et caresses. Mia et Taehyun ne s’étaient plus touchés depuis un moment maintenant, et n’avaient pas eu le temps non plus de se retrouver sous les draps depuis leur réconciliation. Ce qui devait arriver arriva; il ne leur a pas fallu longtemps pour succomber à l’appel de leurs corps. Faut dire qu’il a cette facilité à la faire tomber dans ses filets, ça en est presque indécent. Il a juste à ouvrir la bouche, lui murmurer quelques choses ou déposer des baisers bien placés entre son cou et sa mâchoire pour la faire partir dans des états incontrôlables. Et puis, c’est Taehyun. C’est la grosse différence. Si le sex n’avait pas une place bien importante dans sa vie, depuis qu’elle avait rencontré l’aîné de la famille Gwak, la jolie gymnaste s’était retrouvée complètement accrochée à lui. Le parfait amant? Si seulement il pouvait être plus. C’est au bout de trois rendez-vous que la jeune femme a compris qu’elle attendait bien plus de lui. Qu’elle ne voulait pas le voir en cachette, qu’elle voulait pouvoir se balader à son bras officiellement sans le forcer à chuchoter une fois qu’ils étaient enfermés dans une pièce, à l’abri des regards indiscrets. Elle voulait tellement de choses mais elle avait si peur de le reconnaître à la fois, elle n’avait jamais eu l’impression de devenir folle avant cette période. Folle, folle de quelqu’un. Folle de lui. A ne plus tolérer qu’il en regarde d’autres qu’elle, à ne plus tolérer que son copain pose les mains sur elle ou à fermer les yeux pour l’imaginer, lui, et ne pas souffrir de l’acte. C’était devenu si difficile pour Mia d’entretenir cette relation qui avait perdu tout son charme depuis qu’elle avait rencontré Taehyun. Elle ne voulait que lui, à toute heure de la journée. Et elle n’aurait jamais pensé désirer quelqu’un à ce point dans sa vie.
Aujourd’hui, ils vont faire l’amour pour la première fois tout en étant en couple. Dans l’idée, il n’y a rien d’exceptionnel mais pour elle comme pour lui, ça signifie tant. Elle peut enfin le toucher, l’embrasser, lui donner du plaisir tout en gardant en tête que désormais, il peut gémir son nom sans retenu, parce qu’elle est sienne. De la tête aux pieds, corps et âme; elle est sienne et c’est ce qui rend l’acte si spécial. La sensation est différente, elle est intense, délicieuse, elle la rend plus vivante que jamais. Lui donner du plaisir équivaut pour elle à en recevoir, elle aime l’entendre dans un tel état, mais elle aime surtout se dire que c’est elle qui le rend comme ça. Alors elle continue, elle s’y donne à coeur joie, elle fait pénétrer son sexe au plus profond de sa bouche tandis que lui s’attarde à donner des coups de langue joueurs sur son bouton. Elle est excitée au plus haut point, Mia, et elle a du mal à contenir ses gémissements, il lui fait tellement de bien, après tout ce temps sans toucher à son corps, l’effet est garanti. Elle a l’impression qu’elle va exploser d’une minute à l’autre, mais plus il lui donne du plaisir, plus elle continue à faire de même pour lui, faisant des vas et viens sur son pénis. Jusqu’à un point de non retour, jusqu’à ce qu’elle sente l’orgasme arriver. Elle ne sait plus ce qu’elle fait, elle n’est plus capable de se concentrer sur ses caresses buccales alors sa bouche se retire du sexe de son petit-ami, pour venir se poser contre sa cuisse, alors que la langue du jeune homme semble avoir trouvé comment faire venir Mia. Et elle vient, oui, elle fait pas exprès mais elle se fait entendre. Pourtant, ses gémissements bien plus aigus s’écrasent contre la peau de son petit-ami: insuffisant pourtant, l’on parvient quand même à l’entendre, à écouter ces doux bruits aigus qui sortent de sa bouche. Et son corps ne tarde pas à venir trembler de plaisir, secoué par tous ces spasmes, tout ce bien-être qui l’envahit. Elle en redemanderait jour et nuit si elle pouvait. Et là, tout de suite, elle a bien envie de passer la journée au lit avec lui à faire ce genre de choses.
Elle bascule, elle libère également le jeune homme de l’emprise de ses cuisses. Désormais allongée sur le dos, une main sur sa poitrine, elle reprend progressivement sa respiration alors que ses beaux yeux bruns se fixent sur le plafond de la chambre. Il lui faut du temps pour retrouver ses esprits, elle est encore au paradis, là. Elle se sent si bien, elle resterait nue, allongée sur les draps, pendant des jours entiers si elle le pouvait, avec Taehyun à ses côtés. Oui, elle se permet un peu de rêver à cet instant, mais bien vite, le beau brun qui se trouvait à l’extrémité se charge de la sortir de ses pensées. Leurs regards se croisent, il lui sourit. Elle esquisse un large sourire à son tour, avant de se mordre la lèvre et de poser une main sur son front. « Tu me rends folle. » déclare-t-elle, à bout de souffle, lorsqu’il vient finalement se redresser. Elle pose le regard sur lui, son sourire se transformant peu à peu: elle se mordille la lèvre en le voyant approcher tel un prédateur; elle sait ce qui va suivre, et elle sait qu’elle va aimer ça. D’abord, il vient embrasser son ventre, l’occasion pour elle de caresser ses cheveux, avant qu’il ne la ramène contre lui d’un coup sec. Elle échappe un léger son de surprise, ne le quittant pas du regard, ou plutôt, admirant leurs deux corps, nus, collés l’un contre l’autre. Et la vue lui donne à nouveau un désir indescriptible, elle est prête pour le round 2. Plus que jamais. Sa main vient agripper le drap, non loin de son visage, et il se penche progressivement sur elle. Elle est tellement excitée qu’elle ne contrôle pas son geste, elle se redresse légèrement pour venir mordiller sa lèvre avant que cela ne se transforme en un baiser ardent, langoureux, durant lequel elle vient doucement appuyer sa main sur la joue rougie du danseur. Elle pose finalement son crâne contre le matelas, leurs lèvres toujours les unes contre les autres, elle ne peut retenir un gémissement incontrôlé et des plus aigus quand elle le sent s’introduire en elle. Son corps se cambre soudainement sous la vague de plaisir qui la foudroie par ce soudain contact. Les yeux encore ouverts, sa bouche toujours collée à celle de son petit-ami s’entrouvre, laissant alors passer ses premiers soupirs de plaisirs, soupirs qu’elle partage avec lui. Pourtant, ils ne s’embrassent pas, à aucun moment. Leurs souffles chauds s’emmêlent, elle se retient de gémir pour l’instant même si savoir qu’ils sont seuls la rassure un peu, et la pousse à se lâcher.
Mais elle est surprise par la main de Taehyun qui vient se saisir de son visage. Elle est bloquée, ses yeux le fixent, le dévorent, tandis que lui se permet de baisser le regard pour admirer leurs corps, l’un contre l’autre, nus et liés. Elle aussi aurait aimé pouvoir regarder ça, mais pour l’instant elle peut pas, il prouve encore que c’est lui le dominant par ce geste, et elle aime ça. Ça l’excite d’avantage, elle ne lutte pas cette fois pour avoir le dessus, elle se laisse volontiers faire. Son corps continue de se cambrer par moment, mais quand il libère finalement son visage, la première chose que fait Mia est de baisser les yeux vers leurs bassins entrant en contact à chaque vas et viens qu’il fait. Cependant, elle n’a pas le temps de bien admirer la scène que le beau brun revient capturer ses lèvres avec envie, avec fougue, et Mia se permet d’y donner tout autant de fougue, caressant sa langue avec la sienne. Elle sent la main du danseur agripper sa cuisse, la redressant alors légèrement, geste qui la fait frémir, il n’y a qu’à voir ses yeux qui se ferment et sa bouche, entrouverte, qui laisse échapper un soupir plus imposant que les autres. Elle a même tendance à appuyer un peu plus fort son crâne contre le matelas. Pourtant, ce n’est pas un rythme effréné qu’il donne à leurs ébats. Celui-ci est doux, mais appliqué. Si appliqué que l’effet est quand même présent: il parvient à l’exciter et à lui donner du plaisir. L’accès lui est facile, Mia est si humide pour le jeune homme qu’elle ne ressent pas une fois une quelconque douleur, tout est source de plaisir, absolument tout. Et progressivement, il parvient à lui faire perdre la tête, à la faire grimper petit à petit. Si elle baisse encore une fois le regard vers leurs corps, elle perd pied, alors elle se retient de ne pas admirer cet échange, parce qu’il est beaucoup trop beau pour qu’elle le supporte. « Comme ça? » vient-il chuchoter à son oreille. Là encore, l’effet escompté est assuré; le coeur de la gymnaste s’emballe, une vague de plaisir secoue son corps. Elle ferme les yeux, sa tête, elle, vient se loger dans le cou du danseur. Elle y dépose des baisers, plus doux les uns que les autres, parsemés de son souffle chaud et brûlant contre sa peau dus à son essoufflement. Pour répondre à sa question, les mots lui manquent, c’est pourquoi elle se contente d’acquiescer plusieurs fois la tête, toujours contre son cou, alors qu’elle ferme les yeux, se concentrant alors sur la sensation entre ses cuisses.
Elle le sent, elle est trempée. Elle a l’impression qu’elle pourrait mouiller les draps mais elle se doute aussi que leurs corps transpirants y sont pour quelque chose. Elle appuie sa tête à nouveau contre le matelas, et ouvre les yeux pour admirer Taehyun. Oui, elle veut prendre un moment pour le regarder lui faire l’amour, même ça lui fait gagner en plaisir. Il s’y prend si bien, il est si appliqué qu’elle en perd sérieusement les pédales. Ses mains entament une course, partant de son cou jusque dans son dos, qu’elle longe du bout des ongles. Elle s’arrête au creux de ses reins, non loin de sa cicatrice, qu’elle caresse du bout des doigts, avant de venir se saisir de ses fesses pour y exercer une pression dessus, collant d’avantage leurs bassins. Elle a encore la force de sourire, espiègle, victorieuse, comme si lui monter qu’elle a encore plus d’un tour dans son sac lui fait plaisir. Il sait comment elle est après tout, il ne devrait pas être étonné: même s’il a le dessus, elle fera tout pour lui rappeler qu’il a le dessus sur une lionne. Ses mains toujours posées sur les fesses de son petit-ami, Mia se redresse légèrement, collant à nouveau ses seins contre le torse du beau brun. Elle approche ses lèvres des siennes et, venant les poser à leur coin, elle chuchote, contre sa peau: « c’est encore mieux comme ça. » comme ça oui, leurs bassins collés à leur maximum. Elle veut l’exciter d’avantage, elle veut essayer de le rendre bestial mais elle voit qu’elle n’y arrivera peut-être pas aujourd’hui, sûrement parce qu’il n’en a pas envie. Elle dépose alors un baiser furtif au coin de ses lèvres, avant de laisser le haut de son corps retomber contre le matelas, dévoilant sa poitrine et ses tétons durcis. Son corps se secoue doucement au rythme des vas et viens, et bientôt, elle ne pourra plus contenir ses premiers gémissements. Ses bras passant sous ceux du jeune homme, elle vient agripper ses larges épaules, faisant en sorte de le garder près d’elle par ce geste. Et à nouveau, son visage pivote, ses lèvres viennent déposer ses baisers un peu partout sur les parcelles de peau qui lui sont accessibles: sa joue, son oreille, sa mâchoire, elle le couvre de baisers plus chauds les uns que les autres alors qu’elle lui murmure un « continue » à peine audible, mais irrésistible. Une supplique à laquelle il n’aura pas d’autres choix que de répondre, et de la façon qu’il voudra.
CODES © LITTLE WOLF.
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Re: sweetest morning (+) MIHYUN ♥ | Mar 19 Sep - 19:30 Citer EditerSupprimer
SWEETEST MORNING
ft. mihyun ♥
Surprise babe, I'm here!
Tu fixes le plafond, un sourire satisfait au coin des lèvres. Satisfait oui, mais aussi assoiffé d'elle. Son excitation encore présente sur tes lèvres désormais beaucoup plus humides ne te calme même pas, bien au contraire, tu as besoin de plus. Trois jours passés loin de Mia, trois jours où vous aviez passé votre temps à vous chercher, à attendre vos retrouvailles. Non, vous ne vous êtes pas encore retrouvés sexuellement parlant. Tu ne l'avais pas encore touché en sachant pertinemment qu'elle était tienne. Plus de barrière, plus de souci, de non-dit, c'est fini tout ça. Alors tu penches la tête légèrement sur le côté, assez pour que tu puisses lui lancer un regard des plus affamé. Elle t'a excité, autant par cette gâterie que par ses gémissements poussés au moment où, toi aussi, tu lui as offert ce plaisir. Ta respiration n'est pas discrète, la sienne non plus cela dit et la vue de son corps nu, un appel auquel tu ne peux résister : tu te redresses aussitôt, t'avançant vers elle tel un prédateur. « Tu me rends folle. » Et c'est comme un électrochoc, parcourant tout ton corps. Électrochoc que tu parviens non sans mal à contrôler. En guise de réponse, tu lui souris, un sourire lourd de sens cela dit. Tu as bien envie de lui dire qu'elle aussi te rend fou, ou encore, qu'elle n'est pas au bout de ses surprises mais tu n'en fais rien. Quand tu es excité de cette manière, tu ne parles presque pas, ta bouche, tu l'utilises pour la manger elle, tu te contenteras de lui faire comprendre autrement. Alors tu commences en déposant des baisers sur son ventre, sentant ses mains se glisser dans tes cheveux mais tu n'es plus réellement patient, alors sans la prévenir, tu viens la tirer d'un coup sec afin de coller son bassin contre le tien. Tu te mords discrètement la lèvre en entendant ce son de surprise qui lui échappe : non, tu n'as plus envie d'attendre. Tu as beaucoup trop envie d'elle. Alors brutalement, ta main vient agripper le drap tandis que tu te penches vers elle, ce par quoi elle réagit très vite en se redressant, mordillant ta lèvre comme pour te faire bouillonner un peu plus avant de terminer par un baiser des plus langoureux, des plus torrides. Un baiser qui image à la perfection votre désir. Mais le tien est bien trop envahissant, il est incontrôlable, magique, tellement que tu ne peux t'empêcher de lâcher un soupir de plaisir lorsque tu sens sa main se déposer sur ta joue. Cette idée sourde et brûlante de la posséder s'est emparé de ton corps et de ton esprit, tu ne te fais pas prier plus longtemps, tu t'en sens tout bonnement incapable. Alors tu te glisses en elle, serrant la mâchoire sans pour autant y retenir un grognement viril qui résonne en parfaite harmonie avec ce délicieusement gémissement qu'elle vient de pousser, plus aigu que les précédents. Vous ne vous quittez pas du regard, tu lui lances même ce regard pénétrant alors que vos lèvres, elles, se font toujours aussi proches. Elles se collent même tendrement lorsque tu commences à mouver doucement ton bassin provoquant ainsi des délicieux vas-et-vient, partageant également le même souffle, la même soif de désir, la même envie. Pourtant, non, vous ne vous embrassez pas même si ses lèvres sont pour toi une tentation à laquelle tu ne peux résister longtemps, mais c'est beaucoup trop torride, t'as besoin de ça, t'as besoin de sentir l'effet que tu lui fais par ce souffle, par ces soupirs mais aussi, qu'elle puisse se rendre compte qu'elle aussi, parvient à te rendre littéralement fou.
Mais très vite, ta main vient se saisir de son visage. Tu bloques sa mâchoire de deux doigts, n'y mettant aucune force pour ne pas lui faire mal, ce n'est pas le but recherché mais tu es tout de même prêt à retenir le moindre de ses mouvements pour l'empêcher de regarder, d'admirer. Chose que tu fais aussitôt d'ailleurs. Tu ne sais pas pourquoi tu agis de cette manière, ce besoin de la dominer, peut-être parce que ça te donne un semblant d'illusion, celle d'avoir encore le contrôle sur quelqu'un... Parce que non, tu ne te contrôles pas, toi. Alors tu vas la contrôler, elle. Tes yeux savourent ce spectacle de ton bassin entrant en contact avec le sien, de cette pénétration. Quelques petites secondes avant que ta main libère son visage, ton regard remontant vers ce dernier mais malheureusement pour Mia, elle n'a pas le temps d'admirer grand chose que tu la coupes dans son observation en déposant tes lèvres sur les siennes. Un baiser auquel elle répond tout aussi fougueusement, un baiser qui devient très rapidement langoureux. Et profitant ainsi de ta main libre, dans un geste des plus assoiffé, ta main vient agripper sa cuisse afin de la relever légèrement, un peu plus à chacun de tes vas-et-vient. Mouvement grandement facilité par l'humidité entre ses cuisses, pourtant, c'est doux, c'est sensuel, appréciant chacune des sensations de cet échange. Et quelles sensations. Ton cœur s'emballe, s'agite, il est en extase lui aussi. C'est l'amour, tout simplement. Tu parviens tout de même à trouver assez de courage pour lui souffler quelques mots, peut-être pour avoir des indications ce par quoi elle te répond par un simple hochement de tête, enfoui dans ton cou. Tu peux clairement y sentir son souffle chaud caresser ta peau, ça t'en colle des frissons, des papillons dans le ventre et ton emprise sur ce drap se resserre davantage sous le désir. Ton bassin lui, continue ses délicieux vas-et-vient, la pénétrant non discrètement mais avec douceur et surtout, avec envie.
Vous vous lancez ce regard enflammé, un regard fiévreux que tu ne parviens pas à détacher d'elle. Tu veux qu'elle te regarde, tu veux la regarder, partager ce délicieux moment jusque dans les moindres détails. Qu'elle puisse y lire tout le désir que tu ressens pour elle dans tes yeux, dans tes moindres gestes. Parce que là, ça te prend aux tripes, ces sentiments. Cet amour qui te donne une nouvelle fois cette énorme claque, qui te chamboule littéralement, un amour incontrôlable qui te rend plus vivant que jamais. Tu es réceptif à tous ces gestes, ces moindres petites caresses qui te procurent des sensations inexplicables, alors quand sa main longe ton dos pour venir s'y loger au creux de tes reins, non loin de ta cicatrice, tes yeux se ferment doucement, tu baisses la tête. C'est sur sa main que tu te concentres. Ce n'est pas la première fois qu'elle vient jouer avec elle, et ça, tu as pu rapidement le remarquer. En réalité, elle est bien la seule et unique femme à l'avoir remarqué. Elle est discrète cette cicatrice, presque invisible à l’œil nu lorsqu'on ne connaît pas son existence mais on peut clairement la sentir au toucher. Il suffit de la remarquer. Et ta petite-amie l'a remarqué. Alors quand ses mains terminent leur course sur tes fesses, faisant pression sur celles-ci afin de coller davantage vos bassins, ça fonctionne, mais pas que: tu flanches, laissant tes forces de côté pour te pencher davantage, ta tête s'enfouie dans son cou un court instant. Elle peut y sentir tout souffle chaud, ta respiration haletante qui parfois, est coupé par ces sons de plaisir que tu ne peux retenir, que tu n'as aucune envie de retenir. Un court instant, oui, avant que tu reprennes appui sur le matelas, te redressant à nouveau afin de l'observer. Tu as ce besoin de la voir, d'apprécier ce spectacle, ça t'excite encore plus que tu ne l'es déjà. Mais ta petite-amie suit ton mouvement, se redressant légèrement elle aussi, collant sa poitrine contre ton torse tout en déposant ses lèvres au coin des tiennes. « C’est encore mieux comme ça. » Un chuchotement qui t'en colle des frissons, sans même t'en apercevoir, tu resserres l'emprise que tu as sur le drap comme pour y passer ta frustration. Parce que là, tu as envie de la dévorer, ton corps vibrant au dessus du sien, si tu ne te retenais pas, tu ferais d'elle qu'une bouchée. C'est le désir qui fait ça, le désir mêlé à cet immense amour qui te fait perdre le contrôle de toi-même. Alors oui, tu pourrais agir comme une bête comme tu sais si bien le faire mais pas aujourd'hui, t'en as pas envie et tu es bien le premier étonné. Mais tu la retrouves enfin, ta petite-amie, tu peux désormais lui faire l'amour en sachant pertinemment qu'elle t'appartient pour de bon, idée à laquelle tu n'as cessé de penser, tu en rêvais. Et c'est cette idée qui te pousse à lui faire l'amour de cette manière. Mia continue, en te couvrant de baisers et toi, tu ne cesses tes mouvements du bassin, ta chaleur corporelle est à son maximum, elle t'empêche de réfléchir correctement, et qu'est-ce que c'est bon de se trouver dans un tel état. Seule cette femme y est parvenue. « Continue » Un chuchotement, une supplique, à laquelle tu vas répondre de la plus parfaite des façons.
Alors très vite, tu viens chercher sa main droite, entrelaçant tes doigts dans les siens, tu la plaques contre le matelas, près de son visage. Suivi de ton visage qui vient à nouveau se loger dans son cou, tu couvres sa peau de baisers enflammés, tu la mordilles même un court instant avant de t'arrêter. Tu as beaucoup trop envie d'elle, beaucoup trop envie de la dévorer et tu ne te contrôles plus, du moins, juste assez pour t'arrêter. La bouche entrouverte, ton souffle s'écrase dans son cou, souffle qui commence à devenir bouillant, lui aussi. Et au lieu de ça, tu t'appliques davantage dans tes mouvements, se faisant toujours aussi doux mais tu y vas, un peu plus profondément en elle. T'as envie de l'entendre, t'entendre l'effet que tu as sur elle mais qu'elle t'entende elle aussi. Alors tu gardes ce rythme pendant plusieurs longues minutes avant de déloger ton visage de son cou, le reposant face à elle. Tes lèvres se collent aux siennes, tu ne l'embrasses pas, non, vous partagez à nouveau ce même souffle fiévreux sans pour autant vous offrir un seul baiser. Et tu la regardes, tu l'admires, tes doigts resserrant leur emprise sur les siens, tu trouves assez de courage pour lui chuchoter un « Regarde-moi. » Bercé par la chaleur de son corps, par ce désir charnel et amoureux, tu as simplement envie qu'elle te regarde lui faire l'amour, là, tout de suite. Qu'elle ne lâche pas son regard du tien, à aucun moment. Un véritable moment de pur érotisme, ou d'un amour sadique qui ne vous lâchera probablement jamais, d'un amour vital. Et ce sont tous ces sentiments qui t'accaparent, toi, ton esprit, tout ton corps, et désormais ton regard plongé dans le sien. Tes lèvres effleurent les siennes au rythme de tes mouvements lorsque tu trouves enfin le courage de lâcher ce drap, venant attraper sa mâchoire comme si tu avais peur qu'elle s'échappe, que tout ça ne soit qu'un doux rêve. Ce désir ardent et incontrôlable, cet amour gigantesque, tout ce qui te frappe à cet instant que même, lui faire l'amour de la plus torride des manières ne suffit pas. Alors tu prends possession de ses lèvres, tentant aveuglément de lui transmettre tout ce que tu peux ressentir, qu'elle puisse elle aussi, ressentir l'effet qu'elle a sur toi. Ce baiser étouffe vos légers gémissements, il amplifie ce moment charnel alors que toi, tu cherches simplement à t'en soulager un minimum, de calmer ton cœur agité. Non pas que ça te dérange, bien au contraire, cet amour te rend plus vivant que jamais mais tu as encore bien du mal à te faire à cette idée : tu n'as aucun contrôle là-dessus. Elle te rend fou, cette femme, littéralement. Elle a ce pouvoir sur toi, sur ton cœur que personne n'a jamais possédé jusqu'à présent. Ce pouvoir, tu le lui as offert, cet amour est bien trop fort pour que tu le rejettes, l'amour que tu lui portes est bien trop fort pour être contrôlé. Pourtant, c'est ce que tu essayes encore de faire, le contrôler, non plus pour te protéger cela dit, tu te laisses aller dans ses bras désormais. Tu lui fais confiance, à 100%. Tu sais exactement pourquoi tu ressens cette sensation, pourquoi tu tentes encore d'avoir un minimum de contrôle. Mais tu ne vas plus luter. Alors tu interromps le baiser, ne séparant pas tes lèvres des siennes et tu rouvres les yeux, plantant ton regard dans le sien lorsqu'une nouvelle fois, cette vague d'amour et de plaisir t'envahie. Comme à chaque fois que tu la regardes, c'est à cet instant que tu baisses définitivement les armes. Que tu sais que tu ne tenteras plus de te contrôler par peur de lui dire. Tu as besoin d'elle, tu as besoin de son amour mais tu as aussi besoin de l'exprimer, et lui faire l'amour ne suffit même plus pour ça. Tu vas devenir l'esclave de tes sentiments. Des sentiments tellement forts, mais surtout, tellement beaux.
Tes doigts ne lâchent pas sa mâchoire, tes yeux se baissent un court instant sur ses lèvres. Un court moment, puisque tu veux lui dire, droit dans les yeux, noyé par ces émotions les plus tendres, les plus amoureux et les plus sincères qui te font souffler ces mots: « Je t'aime. »
Et c'est la première fois que tu le dis à une femme, la première fois que tu t'ouvres autant. C'était la suite logique des choses, ces sentiments t'ont emprisonnés. Une prison dont tu ne chercheras plus à t'évader, une prison qui t'offre tout ce dont tu as besoin et bien plus encore. On dit souvent qu'il faut choisir le bon moment pour l'avouer, la première fois, et tu n'aurais pas pu trouver un meilleur moment que celui-ci. Parce que ce ne sont pas des paroles qui se sont échappées d'entre tes lèvres, mais ton cœur qui vient de le lui hurler.
Une libération définitive.
✻✻✻
Tu fixes le plafond, un sourire satisfait au coin des lèvres. Satisfait oui, mais aussi assoiffé d'elle. Son excitation encore présente sur tes lèvres désormais beaucoup plus humides ne te calme même pas, bien au contraire, tu as besoin de plus. Trois jours passés loin de Mia, trois jours où vous aviez passé votre temps à vous chercher, à attendre vos retrouvailles. Non, vous ne vous êtes pas encore retrouvés sexuellement parlant. Tu ne l'avais pas encore touché en sachant pertinemment qu'elle était tienne. Plus de barrière, plus de souci, de non-dit, c'est fini tout ça. Alors tu penches la tête légèrement sur le côté, assez pour que tu puisses lui lancer un regard des plus affamé. Elle t'a excité, autant par cette gâterie que par ses gémissements poussés au moment où, toi aussi, tu lui as offert ce plaisir. Ta respiration n'est pas discrète, la sienne non plus cela dit et la vue de son corps nu, un appel auquel tu ne peux résister : tu te redresses aussitôt, t'avançant vers elle tel un prédateur. « Tu me rends folle. » Et c'est comme un électrochoc, parcourant tout ton corps. Électrochoc que tu parviens non sans mal à contrôler. En guise de réponse, tu lui souris, un sourire lourd de sens cela dit. Tu as bien envie de lui dire qu'elle aussi te rend fou, ou encore, qu'elle n'est pas au bout de ses surprises mais tu n'en fais rien. Quand tu es excité de cette manière, tu ne parles presque pas, ta bouche, tu l'utilises pour la manger elle, tu te contenteras de lui faire comprendre autrement. Alors tu commences en déposant des baisers sur son ventre, sentant ses mains se glisser dans tes cheveux mais tu n'es plus réellement patient, alors sans la prévenir, tu viens la tirer d'un coup sec afin de coller son bassin contre le tien. Tu te mords discrètement la lèvre en entendant ce son de surprise qui lui échappe : non, tu n'as plus envie d'attendre. Tu as beaucoup trop envie d'elle. Alors brutalement, ta main vient agripper le drap tandis que tu te penches vers elle, ce par quoi elle réagit très vite en se redressant, mordillant ta lèvre comme pour te faire bouillonner un peu plus avant de terminer par un baiser des plus langoureux, des plus torrides. Un baiser qui image à la perfection votre désir. Mais le tien est bien trop envahissant, il est incontrôlable, magique, tellement que tu ne peux t'empêcher de lâcher un soupir de plaisir lorsque tu sens sa main se déposer sur ta joue. Cette idée sourde et brûlante de la posséder s'est emparé de ton corps et de ton esprit, tu ne te fais pas prier plus longtemps, tu t'en sens tout bonnement incapable. Alors tu te glisses en elle, serrant la mâchoire sans pour autant y retenir un grognement viril qui résonne en parfaite harmonie avec ce délicieusement gémissement qu'elle vient de pousser, plus aigu que les précédents. Vous ne vous quittez pas du regard, tu lui lances même ce regard pénétrant alors que vos lèvres, elles, se font toujours aussi proches. Elles se collent même tendrement lorsque tu commences à mouver doucement ton bassin provoquant ainsi des délicieux vas-et-vient, partageant également le même souffle, la même soif de désir, la même envie. Pourtant, non, vous ne vous embrassez pas même si ses lèvres sont pour toi une tentation à laquelle tu ne peux résister longtemps, mais c'est beaucoup trop torride, t'as besoin de ça, t'as besoin de sentir l'effet que tu lui fais par ce souffle, par ces soupirs mais aussi, qu'elle puisse se rendre compte qu'elle aussi, parvient à te rendre littéralement fou.
Mais très vite, ta main vient se saisir de son visage. Tu bloques sa mâchoire de deux doigts, n'y mettant aucune force pour ne pas lui faire mal, ce n'est pas le but recherché mais tu es tout de même prêt à retenir le moindre de ses mouvements pour l'empêcher de regarder, d'admirer. Chose que tu fais aussitôt d'ailleurs. Tu ne sais pas pourquoi tu agis de cette manière, ce besoin de la dominer, peut-être parce que ça te donne un semblant d'illusion, celle d'avoir encore le contrôle sur quelqu'un... Parce que non, tu ne te contrôles pas, toi. Alors tu vas la contrôler, elle. Tes yeux savourent ce spectacle de ton bassin entrant en contact avec le sien, de cette pénétration. Quelques petites secondes avant que ta main libère son visage, ton regard remontant vers ce dernier mais malheureusement pour Mia, elle n'a pas le temps d'admirer grand chose que tu la coupes dans son observation en déposant tes lèvres sur les siennes. Un baiser auquel elle répond tout aussi fougueusement, un baiser qui devient très rapidement langoureux. Et profitant ainsi de ta main libre, dans un geste des plus assoiffé, ta main vient agripper sa cuisse afin de la relever légèrement, un peu plus à chacun de tes vas-et-vient. Mouvement grandement facilité par l'humidité entre ses cuisses, pourtant, c'est doux, c'est sensuel, appréciant chacune des sensations de cet échange. Et quelles sensations. Ton cœur s'emballe, s'agite, il est en extase lui aussi. C'est l'amour, tout simplement. Tu parviens tout de même à trouver assez de courage pour lui souffler quelques mots, peut-être pour avoir des indications ce par quoi elle te répond par un simple hochement de tête, enfoui dans ton cou. Tu peux clairement y sentir son souffle chaud caresser ta peau, ça t'en colle des frissons, des papillons dans le ventre et ton emprise sur ce drap se resserre davantage sous le désir. Ton bassin lui, continue ses délicieux vas-et-vient, la pénétrant non discrètement mais avec douceur et surtout, avec envie.
Vous vous lancez ce regard enflammé, un regard fiévreux que tu ne parviens pas à détacher d'elle. Tu veux qu'elle te regarde, tu veux la regarder, partager ce délicieux moment jusque dans les moindres détails. Qu'elle puisse y lire tout le désir que tu ressens pour elle dans tes yeux, dans tes moindres gestes. Parce que là, ça te prend aux tripes, ces sentiments. Cet amour qui te donne une nouvelle fois cette énorme claque, qui te chamboule littéralement, un amour incontrôlable qui te rend plus vivant que jamais. Tu es réceptif à tous ces gestes, ces moindres petites caresses qui te procurent des sensations inexplicables, alors quand sa main longe ton dos pour venir s'y loger au creux de tes reins, non loin de ta cicatrice, tes yeux se ferment doucement, tu baisses la tête. C'est sur sa main que tu te concentres. Ce n'est pas la première fois qu'elle vient jouer avec elle, et ça, tu as pu rapidement le remarquer. En réalité, elle est bien la seule et unique femme à l'avoir remarqué. Elle est discrète cette cicatrice, presque invisible à l’œil nu lorsqu'on ne connaît pas son existence mais on peut clairement la sentir au toucher. Il suffit de la remarquer. Et ta petite-amie l'a remarqué. Alors quand ses mains terminent leur course sur tes fesses, faisant pression sur celles-ci afin de coller davantage vos bassins, ça fonctionne, mais pas que: tu flanches, laissant tes forces de côté pour te pencher davantage, ta tête s'enfouie dans son cou un court instant. Elle peut y sentir tout souffle chaud, ta respiration haletante qui parfois, est coupé par ces sons de plaisir que tu ne peux retenir, que tu n'as aucune envie de retenir. Un court instant, oui, avant que tu reprennes appui sur le matelas, te redressant à nouveau afin de l'observer. Tu as ce besoin de la voir, d'apprécier ce spectacle, ça t'excite encore plus que tu ne l'es déjà. Mais ta petite-amie suit ton mouvement, se redressant légèrement elle aussi, collant sa poitrine contre ton torse tout en déposant ses lèvres au coin des tiennes. « C’est encore mieux comme ça. » Un chuchotement qui t'en colle des frissons, sans même t'en apercevoir, tu resserres l'emprise que tu as sur le drap comme pour y passer ta frustration. Parce que là, tu as envie de la dévorer, ton corps vibrant au dessus du sien, si tu ne te retenais pas, tu ferais d'elle qu'une bouchée. C'est le désir qui fait ça, le désir mêlé à cet immense amour qui te fait perdre le contrôle de toi-même. Alors oui, tu pourrais agir comme une bête comme tu sais si bien le faire mais pas aujourd'hui, t'en as pas envie et tu es bien le premier étonné. Mais tu la retrouves enfin, ta petite-amie, tu peux désormais lui faire l'amour en sachant pertinemment qu'elle t'appartient pour de bon, idée à laquelle tu n'as cessé de penser, tu en rêvais. Et c'est cette idée qui te pousse à lui faire l'amour de cette manière. Mia continue, en te couvrant de baisers et toi, tu ne cesses tes mouvements du bassin, ta chaleur corporelle est à son maximum, elle t'empêche de réfléchir correctement, et qu'est-ce que c'est bon de se trouver dans un tel état. Seule cette femme y est parvenue. « Continue » Un chuchotement, une supplique, à laquelle tu vas répondre de la plus parfaite des façons.
Alors très vite, tu viens chercher sa main droite, entrelaçant tes doigts dans les siens, tu la plaques contre le matelas, près de son visage. Suivi de ton visage qui vient à nouveau se loger dans son cou, tu couvres sa peau de baisers enflammés, tu la mordilles même un court instant avant de t'arrêter. Tu as beaucoup trop envie d'elle, beaucoup trop envie de la dévorer et tu ne te contrôles plus, du moins, juste assez pour t'arrêter. La bouche entrouverte, ton souffle s'écrase dans son cou, souffle qui commence à devenir bouillant, lui aussi. Et au lieu de ça, tu t'appliques davantage dans tes mouvements, se faisant toujours aussi doux mais tu y vas, un peu plus profondément en elle. T'as envie de l'entendre, t'entendre l'effet que tu as sur elle mais qu'elle t'entende elle aussi. Alors tu gardes ce rythme pendant plusieurs longues minutes avant de déloger ton visage de son cou, le reposant face à elle. Tes lèvres se collent aux siennes, tu ne l'embrasses pas, non, vous partagez à nouveau ce même souffle fiévreux sans pour autant vous offrir un seul baiser. Et tu la regardes, tu l'admires, tes doigts resserrant leur emprise sur les siens, tu trouves assez de courage pour lui chuchoter un « Regarde-moi. » Bercé par la chaleur de son corps, par ce désir charnel et amoureux, tu as simplement envie qu'elle te regarde lui faire l'amour, là, tout de suite. Qu'elle ne lâche pas son regard du tien, à aucun moment. Un véritable moment de pur érotisme, ou d'un amour sadique qui ne vous lâchera probablement jamais, d'un amour vital. Et ce sont tous ces sentiments qui t'accaparent, toi, ton esprit, tout ton corps, et désormais ton regard plongé dans le sien. Tes lèvres effleurent les siennes au rythme de tes mouvements lorsque tu trouves enfin le courage de lâcher ce drap, venant attraper sa mâchoire comme si tu avais peur qu'elle s'échappe, que tout ça ne soit qu'un doux rêve. Ce désir ardent et incontrôlable, cet amour gigantesque, tout ce qui te frappe à cet instant que même, lui faire l'amour de la plus torride des manières ne suffit pas. Alors tu prends possession de ses lèvres, tentant aveuglément de lui transmettre tout ce que tu peux ressentir, qu'elle puisse elle aussi, ressentir l'effet qu'elle a sur toi. Ce baiser étouffe vos légers gémissements, il amplifie ce moment charnel alors que toi, tu cherches simplement à t'en soulager un minimum, de calmer ton cœur agité. Non pas que ça te dérange, bien au contraire, cet amour te rend plus vivant que jamais mais tu as encore bien du mal à te faire à cette idée : tu n'as aucun contrôle là-dessus. Elle te rend fou, cette femme, littéralement. Elle a ce pouvoir sur toi, sur ton cœur que personne n'a jamais possédé jusqu'à présent. Ce pouvoir, tu le lui as offert, cet amour est bien trop fort pour que tu le rejettes, l'amour que tu lui portes est bien trop fort pour être contrôlé. Pourtant, c'est ce que tu essayes encore de faire, le contrôler, non plus pour te protéger cela dit, tu te laisses aller dans ses bras désormais. Tu lui fais confiance, à 100%. Tu sais exactement pourquoi tu ressens cette sensation, pourquoi tu tentes encore d'avoir un minimum de contrôle. Mais tu ne vas plus luter. Alors tu interromps le baiser, ne séparant pas tes lèvres des siennes et tu rouvres les yeux, plantant ton regard dans le sien lorsqu'une nouvelle fois, cette vague d'amour et de plaisir t'envahie. Comme à chaque fois que tu la regardes, c'est à cet instant que tu baisses définitivement les armes. Que tu sais que tu ne tenteras plus de te contrôler par peur de lui dire. Tu as besoin d'elle, tu as besoin de son amour mais tu as aussi besoin de l'exprimer, et lui faire l'amour ne suffit même plus pour ça. Tu vas devenir l'esclave de tes sentiments. Des sentiments tellement forts, mais surtout, tellement beaux.
Tes doigts ne lâchent pas sa mâchoire, tes yeux se baissent un court instant sur ses lèvres. Un court moment, puisque tu veux lui dire, droit dans les yeux, noyé par ces émotions les plus tendres, les plus amoureux et les plus sincères qui te font souffler ces mots: « Je t'aime. »
Et c'est la première fois que tu le dis à une femme, la première fois que tu t'ouvres autant. C'était la suite logique des choses, ces sentiments t'ont emprisonnés. Une prison dont tu ne chercheras plus à t'évader, une prison qui t'offre tout ce dont tu as besoin et bien plus encore. On dit souvent qu'il faut choisir le bon moment pour l'avouer, la première fois, et tu n'aurais pas pu trouver un meilleur moment que celui-ci. Parce que ce ne sont pas des paroles qui se sont échappées d'entre tes lèvres, mais ton cœur qui vient de le lui hurler.
Une libération définitive.
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