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sweetest morning (+) MIHYUN ♥
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Re: sweetest morning (+) MIHYUN ♥ | Ven 22 Sep - 0:05 Citer EditerSupprimer
SWEETEST MORNING
ft. mihyun ♥
Surprise babe, I'm here! Tenue
Maintenant elle comprend ce que voulaient dire ces gens amoureux quand ils parlaient de la magie de l'amour. Oui, parce que pendant longtemps, Mia ne comprenait pas en quoi l'amour pouvait être à ce point magique et source de bonheur. Faut dire qu'elle avait fait l'amère expérience de tomber amoureuse d'un gangster. Et bien qu'elle était amoureuse de lui il fut un temps, elle n'avait jamais eu ces mêmes sensations que celle qu'elle a maintenant. Elle n'avait jamais eu l'impression d'avoir des ailes par exemple, ni les papillons dans le ventre. Elle n'a jamais rien eu de tout ça avec son ex et c'est pour ça que la magie s'est vite estompée pour leur cas. Non, elle le sait, elle le sent quand leurs corps sont en contact, Taehyun n'est pas n'importe quel homme dans sa vie. Il n'est pas un de ceux qui y auront fait un passage furtif. Au contraire. En fait, elle pense même qu'il est celui qui met un point final aux amourettes qu'elle a pu avoir. Lui, c'est le bon. Il n'y a pas de mots pour décrire pourquoi elle en est si sûre, c'est physique, c'est magique. C'est ce qu'il lui fait ressentir quand il est là, tout près. Qu'elle entend son coeur battre fort contre sa poitrine ou qu'elle sent encore la chaleur de sa peau contre la sienne. Quand ses mains viriles enveloppent les siennes, pour la soutenir ou lui montrer à quel point il l'aime. Là est tout le charme: il lui fait ressentir ses sentiments et elle ne doute à aucun moment de ça. Mia est persuadée, maintenant, d'avoir trouvé sa perle rare, cet homme qui saura l'aimer pour ce qu'elle est réellement. Tout comme elle l'aime pour ce qu'il est réellement, non pas ce brun ténébreux sauvage et froid, mais plutôt cet ours au coeur tendre.
C'est d'ailleurs pour ça que son gémissement est incontrôlé. Elle n'a pas ressenti que du plaisir quand il s'est immiscé en elle, elle a senti tout cet amour, débordant, furieux. Parce qu'elle l'aime furieusement, elle ne voit d'ailleurs aucune barrière à cet amour, elle l'a attendu pendant si longtemps. Elle l'a désiré, puis détesté, puis désiré à nouveau pour le détester encore une fois. Il lui a fait connaître le meilleur comme le pire mais c'est aussi ça, l'amour. Dévaler les pentes pour les remonter. Ils viennent de se mettre en couple mais pour elle, ils se sont toujours appartenus. Dès le soir de leur rencontre pour dire vrai. Même si elle était déjà avec quelqu'un à cette époque là, c'était comme si elle avait fait un bond dans le futur la première fois qu'elle a croisé le regard du danseur. Elle était persuadée qu'il allait bouleverser sa vie, et c'est chose faite. Sa vie est bouleversée, il lui a permis de se sortir de ses emmerdes, de cette vie pourrie de petite copine d'un gangster et elle remercie les cieux de lui avoir permis de rencontrer cet homme. Oh oui, elle l'aime. Elle l'aime plus que tout. Et faire l'amour avec la personne qu'on aime est digne d'un conte de fées, se dit Mia au moment où elle sent leurs corps collés l'un contre l'autre. Leurs baisers transpirent l'amour et la fougue, la force de leurs sentiments les pousse à se dévorer. Même ce geste qu'il a, de se saisir de sa mâchoire, n'a rien de sauvage. Non, il ne le fait pas pour lui faire mal, Mia ressent encore son amour, aussi fort est-il, à travers ce geste. De toute façon ça ne la dérange pas, elle aime ses mains, où qu'elles soient sur son corps.
Les mains de la styliste entament une lente descente le long du dos de son petit-ami. Elle ne peut s'empêcher d'ailleurs de penser qu'il a une peau douce, ça le rend encore plus irrésistible. Si elle ne se retient pas, elle va finir par le mordre plus franchement. Mais au lieu de ça, elle vient poser ses mains sur le fessier du beau brun pour l'empoigner doucement et coller d'avantage leurs bassins. Sensation garantie, si lui vient plonger son visage dans le cou de la belle brune, cette dernière, elle, se cambre légèrement et appuie son crâne contre le matelas, laissant alors un meilleur accès au danseur pour qu'il puisse embrasser sa peau. Elle ne gémit pas, seuls des soupirs de plaisir passent ses lèvres, des soupirs qui manquent de discrétion cependant mais elle ne fait pas non plus en sorte de les retenir. C'est si bon ce qu'elle ressent à ce moment, elle ne se retiendrait pas d'exprimer le plaisir que ça lui donne. Elle ose même venir appuyer ses lèvres au coin de ses siennes et d'y susurrer quelques mots d'autant plus excitants. Ses lèvres ne peuvent quittent son visage, Mia y dépose des baisers par ci par là, alors qu'elle sent toujours autant d'humidité entre ses cuisses, ce qui permet au jeune homme des vas et viens largement facilités. Et elle, elle se met à gémir contre sa peau, dans une voix à peine audible mais aiguë, le suppliant de continuer. Elle se doute bien qu'il ne va pas s'arrêter, pas de sitôt, et qu'il va même y aller un peu plus franchement. D'un côté, c'est ça qu'elle cherche. Elle espère éveiller la bête en lui, qu'il lui fasse l'amour sauvagement comme il le lui a déjà fait dans la salle de bain, ou dans sa voiture, ou encore dans sa chambre au dortoir. Ils en ont un nombre incalculable de fois des séances mais celle-ci, est bien différente des autres. C'est évident: c'est la première fois qu'ils le font en étant un couple, un vrai. Ca de l'importance pour elle, comme pour lui.
Elle le dévore du regard, elle l'admire, elle lui transmet son amour dans le regard. Mais lui, c'est dans ses gestes qu'il s'exprime, et quand sa main glisse sur celle de Mia avant d'entrelacer leurs doigts, la brunette ferme les yeux et entrouvre légèrement la bouche. Même ce simple contact semble lui faire perdre pied, parce qu'elle sent aussi sa force, la chaleur de sa main, l'effet tout de suite rassurant que cela entraîne. Et elle sent sa main plaquer la sienne contre le matelas, elle en esquisse un doux sourire avant de rouvrir les yeux pour les planter dans les siens, mais ça, c'est avant qu'il ne se penche, et vienne nicher son visage dans son cou pour venir y déposer des baisers brulants. Parfois même, elle peut sentir ses dents mordiller sa peau, ce qui la fait gémir discrètement mais ce n'est rien comparé à son premier coup de reins plus appuyé que les précédents. Ce n'est pas sauvage, non, ça reste doux, mais appliqué. Si bien appliqué qu'elle le sent au plus profond d'elle-même, et ça la fait se cambrer aussitôt de plaisir. Ses yeux se ferment, ses gémissements, elle ne les retient plus. Le plaisir grandit considérablement en elle, et ce au moment même où il quitte son cou pour venir appuyer doucement ses lèvres contre les siennes. Sans l'embrasser, non, simplement les caresser, les effleurer, jusqu'à ce qu'il lui souffle, contre sa peau: « Regarde-moi. » Un frisson lui parcourt le corps entier, son murmure retentit encore en elle. Pourtant, elle ne se fait pas prier: elle ouvre les yeux pour le regarder, sa bouche irrésistiblement entrouverte pour laisser passer son souffle agité. Le regarder lui faire l'amour, c'est encore plus déstabilisant encore que ce qu'il vient de lui ordonner. Non, elle ne ferme plus les yeux, elle continue de le regarder, elle laisse son corps peu impressionnant suivre le rythme qu'il donne à leurs ébats, sa poitrine toujours comprimée contre son torse alors qu'elle se remet à peine de ce qui vient de sortir de sa bouche. néanmoins, elle le regarde, elle ne le quitte pas des yeux, quoiqu'elle se permet de baisser le regard un instant vers le bassin du danseur, qui entre si joliment en contact avec le sien à chaque vas et viens, mais à cette vue, elle grimace de plaisir, entre la vue et le ressenti entre ses cuisses, elle sent son plaisir décoller considérablement. Il est fort, il est très fort. C'est indéniable.
A nouveau, de sa main, il vient se saisir de sa mâchoire. Elle garde alors la bouche ouverte parce qu'elle est bien trop essoufflée, mais ses yeux, eux, continuent de le dévisager. Ou plutôt de le dévorer. Elle ne peut détourner son regard de lui, il l'hypnotise, il la bouleverse. Comment pouvait-elle garder les yeux fermés quand cet homme est en train de lui faire l'amour? Il a raison, elle ne veut rien louper de ça. Même pas une miette. Elle veut se souvenir de cet instant pour toujours, de la première fois où ils ont fait l'amour en étant un couple, un vrai. Elle en vient même à se mordre la lèvre, parce qu'elle réalise une fois de plus l'immensité de ses sentiments pour lui, elle en a peur, elle est déboussolée, parce que c'est la première fois qu'elle ressent ça pour un homme. C'est la première fois qu'elle se sent aussi vivante en fait. Il lui a redonné le goût à l'amour et à la vie. Il lui donne un nouveau souffle. Et elle veut être le sien. Elle veut lui apporter tout ce qu'il lui apporte, être aussi indispensable qu'il ne l'est pour elle. Et à cette pensée alors, son coeur s'emballe de bonheur. Oui, elle est heureuse, Mia. Elle est sur un nuage, elle partage un moment charnel avec l'homme qu'elle aime, il lui fait l'amour de la plus douce des façons, et il arrive à lui donner du plaisir. C'est même encore plus fort que lorsqu'ils font ça sauvagement. La douceur, l'amour qu'elle ressent dans chacun de ses gestes ne font que décupler le ressenti et le plaisir. La sensation est délicieuse, addictive: elle part de son bas ventre et remonte son corps, ces vagues de chaleur intense qui la font gémir de plus en plus fort. Son corps se cambre à chaque onde de plaisir qui la traverse, pourtant elle ne l'a pas quitté des yeux une seule fois. Pourtant, elle finit par les fermer quand il vient l'embrasser fougueusement, et elle se laisse faire, elle prolonge même, donne d'avantage de fougue au baiser en venant caresser sa langue contre celle du jeune homme. Elle l'embrasse avidement, elle veut le posséder tout entier mais aujourd'hui, c'est lui qui la possède. Fort heureusement, les gémissements de Mia qui commençaient à se faire moins discrets se retrouvent recouverts par ce baiser, provoquant un moindre bruit, qu'il peut néanmoins deviner. Et sa poitrine, toujours comprimé contre le torse du danseur, se retrouve de plus en plus agité par son souffle court.
Et là, le temps s'arrête. Leurs lèvres se séparent et leurs yeux s'ouvrent à nouveaux, l'occasion pour eux de se regarder droit dans les yeux. Un électrochoc, voilà ce que ça lui fait, parce qu'elle n'avait pas vu des yeux aussi amoureux avant, et elle, quand elle sent qu'on l'aime si fort, ça la rend faible. Son coeur s'emballe, sa respiration se mêle à celle du jeune homme puisque leurs lèvres se frôlent toujours. La brunette déglutit, l'on entend plus que son souffle irrégulier, et elle voit le regard du beau brun se baisser sur ses lèvres, mais un court instant. Puisqu'il finit par replanter ses beaux yeux dans ceux de la styliste. Et elle sent cette flamme, plus ardente que jamais, la consumer de l'intérieur. Cette flamme d'amour sur laquelle il va jeter encore un peu d'huile en prenant la parole. Car là, elle ne s'y attend pas, pourtant, il va encore tout chambouler. Avec une simple phrase. « Je t'aime. » Une fois de plus, le temps s'arrête. Les aiguilles des montres cessent de tourner et Mia a comme l'impression que son coeur s'est arrêté de battre tant l'émotion est intense. D'abord, le silence, comblé par leurs respirations saccadées. La poitrine bougeant au même rythme que sa respiration, Mia ne peut décrocher son regard de son petit-ami. Ses yeux viennent même, progressivement, s'ouvrir un peu plus, montant alors son étonnement. Néanmoins, on devine un sourire des plus ravis, discret mais ravi, se dessiner sur ses lèvres, contre celles de l'aîné Gwak.
Il y a quelque chose que vous devez savoir. C'est la première fois qu'on lui dit je t'aime. Son ex ne lui a jamais dit, il n'était pas très friand des déclarations d'amour. Il ne lui avait dit que par messages. C'est donc belle et bien la première fois qu'un homme lui dit "je t'aime" à haute voix, face à face. Et elle fond d'amour, si elle pouvait réellement mourir d'amour ou de bonheur, ce serait maintenant. Elle ne sait même pas quoi répondre, elle sent surtout une joie profonde et immense envahir son corps dans un premier temps. Son coeur, lui, accélère d'autant plus. En parlant de coeur, Taehyun vient de lui ouvrir le sien sans qu'elle ne le voie venir. Elle n'attendait pas ce moment comme le messie, Mia n'y pensait pas à vrai dire, elle se disait qu'il finirait par venir un jour et qu'il y avait nul besoin de brusquer le jeune homme. Mais là, il vient de le faire. C'est naturel, c'est de lui même, il l'a fait, et elle sait à quel point c'est exceptionnel pour lui. Il a tellement du mal à s'ouvrir aux gens mais à croire qu'avec elle, il a cette facilité depuis le début et là encore, il le confirme. Et Mia, elle, elle en croit pas ses oreilles. Elle croit encore rêver, elle pense même qu'elle va se réveiller d'une minute à l'autre. Pourtant, ses mains viennent se poser sur les avant-bras du jeune homme; toucher sa peau lui permet de garder les pieds sur terre. Non, ce n'est pas un rêve, l'homme qu'elle aime vient de lui déclarer sa flamme en retour, et ça, c'est encore plus fort que la magie. C'est du rêve, c'est quelque chose qu'elle n'aurait jamais osé espérer pourtant, il vient de le faire.
Plus amoureuse que jamais, elle ferme les yeux et se redresse à peine, collant d'avantage ses lèvres aux siennes, venant finalement les capturer dans un baiser non langoureux mais quand même plein d'amour et d'émotion. Un baiser qui dure quelques secondes mine de rien, mais un baiser qui compte, qui a du sens, qui porte tout l'amour increvable qu'elle lui porte. Et quand elle le rompt, elle ouvre les yeux quasi de suite. Leurs nez collés l'un contre l'autre, elle finit par esquisser un doux sourire alors que sa bouche est toujours légèrement entrouverte. Sa main droite glisse dans ses cheveux, ses ongles viennent passer doucement sur son cuir chevelu et alors qu'ils se fixent alors, elle ferme les yeux une nouvelle fois, collant alors son front contre celui du jeune homme. « Redis-le. » souffle-t-elle contre ses lèvres, avant que sa main ne quitte ses cheveux. Oui, redis-le. Encore. Une fois. Elle en a tellement besoin si tu savais, elle ne sait pas combien elle peut être aimée, cette fille. Elle est persuadée que peu de monde l'aime, et d'un côté, elle a très peur qu'on l'aime aussi fort. Elle a peur de pas mériter un tel amour, Taehyun. Mais le tien, elle veut le mériter, parce que sans cet amour elle crèverait. Sans toi, elle crèverait. Alors dis le encore. Elle en crèverait de ça aussi. De ton amour. Aussi fort soit-il. Il la rend immortel mais tellement faible à la fois. Tu la rends si forte et faible à la fois, Taehyun. Si tu savais seulement encore toutes les choses qu'elle a à te dire... Tu n'en finirais pas. Pourtant, je peux te dire une chose: tu as trouvé la fille qui t'aime le plus en ce monde. Personne ne t'aimera comme elle t'aime elle. Personne.
Sa tête pivote légèrement, finalement, ses lèvres viennent glisser sur son cou qu'elle embrasse avidement. Ses mains repassent dans son dos qu'elle caresse tendrement. « Encore. » supplie-t-elle, le souffle court, la voix aigüe. De quoi parle-t-elle? De l'acte ou de sa déclaration? Hé bien, des deux je vous dirais. Car dans tout ça, il a un peu perdu de sa cadence mais elle sait qu'il va vite reprendre de son rythme. Et le visage toujours enfoui dans son cou, Mia finit par fermer les yeux, se nourrissant du parfum naturel de sa peau. Elle vient même planter doucement ses dents dans sa peau, avant de se forcer à reposer la tête contre le matelas pour éviter que ses pulsions prennent le dessus. Et, alors qu'elle plante son regard dans le sien, un sourire aguicheur étire ses lèvres. Ses mains glissent au creux de ses reins. « Encore... » gémit-elle, près de son oreille. Nul doute qu'elle parle de l'acte en lui-même, cette fois. Encore, Taehyun. Elle n'en a jamais assez, tu sais bien. Ton corps est une drogue pour elle, tout comme ton amour. Mais donne lui encore tout ce que tu as à lui donner. Et en appuyant légèrement sur ses reins, elle permet au jeune homme de reprendre sa cadence. Leurs fronts se collent l'un à l'autre, elle ne veut plus fermer les yeux. Elle veut le regarder inlassablement tant qu'il est en train de lui faire l'amour. Et les minutes ont beau passer; Mia ne perd pas de son excitation, ni de son humidité. Au contraire, avec ses paroles, il a rendu le moment encore plus beau et excitant que jamais, laissant alors sa petite amie en vouloir plus, alors que ce qu'il lui donne est largement suffisant. La preuve, une lointaine sensation de plaisir intense est en train de grandir progressivement en elle à mesure qu'il poursuit ses vas et viens en elle, doucement, mais profondément. Et ses gémissements en témoignent: ils recommencent à prendre de l'ampleur et du son. Et quand, en plus, ils deviennent aigües, c'est qu'elle approche du moment de libération.
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Maintenant elle comprend ce que voulaient dire ces gens amoureux quand ils parlaient de la magie de l'amour. Oui, parce que pendant longtemps, Mia ne comprenait pas en quoi l'amour pouvait être à ce point magique et source de bonheur. Faut dire qu'elle avait fait l'amère expérience de tomber amoureuse d'un gangster. Et bien qu'elle était amoureuse de lui il fut un temps, elle n'avait jamais eu ces mêmes sensations que celle qu'elle a maintenant. Elle n'avait jamais eu l'impression d'avoir des ailes par exemple, ni les papillons dans le ventre. Elle n'a jamais rien eu de tout ça avec son ex et c'est pour ça que la magie s'est vite estompée pour leur cas. Non, elle le sait, elle le sent quand leurs corps sont en contact, Taehyun n'est pas n'importe quel homme dans sa vie. Il n'est pas un de ceux qui y auront fait un passage furtif. Au contraire. En fait, elle pense même qu'il est celui qui met un point final aux amourettes qu'elle a pu avoir. Lui, c'est le bon. Il n'y a pas de mots pour décrire pourquoi elle en est si sûre, c'est physique, c'est magique. C'est ce qu'il lui fait ressentir quand il est là, tout près. Qu'elle entend son coeur battre fort contre sa poitrine ou qu'elle sent encore la chaleur de sa peau contre la sienne. Quand ses mains viriles enveloppent les siennes, pour la soutenir ou lui montrer à quel point il l'aime. Là est tout le charme: il lui fait ressentir ses sentiments et elle ne doute à aucun moment de ça. Mia est persuadée, maintenant, d'avoir trouvé sa perle rare, cet homme qui saura l'aimer pour ce qu'elle est réellement. Tout comme elle l'aime pour ce qu'il est réellement, non pas ce brun ténébreux sauvage et froid, mais plutôt cet ours au coeur tendre.
C'est d'ailleurs pour ça que son gémissement est incontrôlé. Elle n'a pas ressenti que du plaisir quand il s'est immiscé en elle, elle a senti tout cet amour, débordant, furieux. Parce qu'elle l'aime furieusement, elle ne voit d'ailleurs aucune barrière à cet amour, elle l'a attendu pendant si longtemps. Elle l'a désiré, puis détesté, puis désiré à nouveau pour le détester encore une fois. Il lui a fait connaître le meilleur comme le pire mais c'est aussi ça, l'amour. Dévaler les pentes pour les remonter. Ils viennent de se mettre en couple mais pour elle, ils se sont toujours appartenus. Dès le soir de leur rencontre pour dire vrai. Même si elle était déjà avec quelqu'un à cette époque là, c'était comme si elle avait fait un bond dans le futur la première fois qu'elle a croisé le regard du danseur. Elle était persuadée qu'il allait bouleverser sa vie, et c'est chose faite. Sa vie est bouleversée, il lui a permis de se sortir de ses emmerdes, de cette vie pourrie de petite copine d'un gangster et elle remercie les cieux de lui avoir permis de rencontrer cet homme. Oh oui, elle l'aime. Elle l'aime plus que tout. Et faire l'amour avec la personne qu'on aime est digne d'un conte de fées, se dit Mia au moment où elle sent leurs corps collés l'un contre l'autre. Leurs baisers transpirent l'amour et la fougue, la force de leurs sentiments les pousse à se dévorer. Même ce geste qu'il a, de se saisir de sa mâchoire, n'a rien de sauvage. Non, il ne le fait pas pour lui faire mal, Mia ressent encore son amour, aussi fort est-il, à travers ce geste. De toute façon ça ne la dérange pas, elle aime ses mains, où qu'elles soient sur son corps.
Les mains de la styliste entament une lente descente le long du dos de son petit-ami. Elle ne peut s'empêcher d'ailleurs de penser qu'il a une peau douce, ça le rend encore plus irrésistible. Si elle ne se retient pas, elle va finir par le mordre plus franchement. Mais au lieu de ça, elle vient poser ses mains sur le fessier du beau brun pour l'empoigner doucement et coller d'avantage leurs bassins. Sensation garantie, si lui vient plonger son visage dans le cou de la belle brune, cette dernière, elle, se cambre légèrement et appuie son crâne contre le matelas, laissant alors un meilleur accès au danseur pour qu'il puisse embrasser sa peau. Elle ne gémit pas, seuls des soupirs de plaisir passent ses lèvres, des soupirs qui manquent de discrétion cependant mais elle ne fait pas non plus en sorte de les retenir. C'est si bon ce qu'elle ressent à ce moment, elle ne se retiendrait pas d'exprimer le plaisir que ça lui donne. Elle ose même venir appuyer ses lèvres au coin de ses siennes et d'y susurrer quelques mots d'autant plus excitants. Ses lèvres ne peuvent quittent son visage, Mia y dépose des baisers par ci par là, alors qu'elle sent toujours autant d'humidité entre ses cuisses, ce qui permet au jeune homme des vas et viens largement facilités. Et elle, elle se met à gémir contre sa peau, dans une voix à peine audible mais aiguë, le suppliant de continuer. Elle se doute bien qu'il ne va pas s'arrêter, pas de sitôt, et qu'il va même y aller un peu plus franchement. D'un côté, c'est ça qu'elle cherche. Elle espère éveiller la bête en lui, qu'il lui fasse l'amour sauvagement comme il le lui a déjà fait dans la salle de bain, ou dans sa voiture, ou encore dans sa chambre au dortoir. Ils en ont un nombre incalculable de fois des séances mais celle-ci, est bien différente des autres. C'est évident: c'est la première fois qu'ils le font en étant un couple, un vrai. Ca de l'importance pour elle, comme pour lui.
Elle le dévore du regard, elle l'admire, elle lui transmet son amour dans le regard. Mais lui, c'est dans ses gestes qu'il s'exprime, et quand sa main glisse sur celle de Mia avant d'entrelacer leurs doigts, la brunette ferme les yeux et entrouvre légèrement la bouche. Même ce simple contact semble lui faire perdre pied, parce qu'elle sent aussi sa force, la chaleur de sa main, l'effet tout de suite rassurant que cela entraîne. Et elle sent sa main plaquer la sienne contre le matelas, elle en esquisse un doux sourire avant de rouvrir les yeux pour les planter dans les siens, mais ça, c'est avant qu'il ne se penche, et vienne nicher son visage dans son cou pour venir y déposer des baisers brulants. Parfois même, elle peut sentir ses dents mordiller sa peau, ce qui la fait gémir discrètement mais ce n'est rien comparé à son premier coup de reins plus appuyé que les précédents. Ce n'est pas sauvage, non, ça reste doux, mais appliqué. Si bien appliqué qu'elle le sent au plus profond d'elle-même, et ça la fait se cambrer aussitôt de plaisir. Ses yeux se ferment, ses gémissements, elle ne les retient plus. Le plaisir grandit considérablement en elle, et ce au moment même où il quitte son cou pour venir appuyer doucement ses lèvres contre les siennes. Sans l'embrasser, non, simplement les caresser, les effleurer, jusqu'à ce qu'il lui souffle, contre sa peau: « Regarde-moi. » Un frisson lui parcourt le corps entier, son murmure retentit encore en elle. Pourtant, elle ne se fait pas prier: elle ouvre les yeux pour le regarder, sa bouche irrésistiblement entrouverte pour laisser passer son souffle agité. Le regarder lui faire l'amour, c'est encore plus déstabilisant encore que ce qu'il vient de lui ordonner. Non, elle ne ferme plus les yeux, elle continue de le regarder, elle laisse son corps peu impressionnant suivre le rythme qu'il donne à leurs ébats, sa poitrine toujours comprimée contre son torse alors qu'elle se remet à peine de ce qui vient de sortir de sa bouche. néanmoins, elle le regarde, elle ne le quitte pas des yeux, quoiqu'elle se permet de baisser le regard un instant vers le bassin du danseur, qui entre si joliment en contact avec le sien à chaque vas et viens, mais à cette vue, elle grimace de plaisir, entre la vue et le ressenti entre ses cuisses, elle sent son plaisir décoller considérablement. Il est fort, il est très fort. C'est indéniable.
A nouveau, de sa main, il vient se saisir de sa mâchoire. Elle garde alors la bouche ouverte parce qu'elle est bien trop essoufflée, mais ses yeux, eux, continuent de le dévisager. Ou plutôt de le dévorer. Elle ne peut détourner son regard de lui, il l'hypnotise, il la bouleverse. Comment pouvait-elle garder les yeux fermés quand cet homme est en train de lui faire l'amour? Il a raison, elle ne veut rien louper de ça. Même pas une miette. Elle veut se souvenir de cet instant pour toujours, de la première fois où ils ont fait l'amour en étant un couple, un vrai. Elle en vient même à se mordre la lèvre, parce qu'elle réalise une fois de plus l'immensité de ses sentiments pour lui, elle en a peur, elle est déboussolée, parce que c'est la première fois qu'elle ressent ça pour un homme. C'est la première fois qu'elle se sent aussi vivante en fait. Il lui a redonné le goût à l'amour et à la vie. Il lui donne un nouveau souffle. Et elle veut être le sien. Elle veut lui apporter tout ce qu'il lui apporte, être aussi indispensable qu'il ne l'est pour elle. Et à cette pensée alors, son coeur s'emballe de bonheur. Oui, elle est heureuse, Mia. Elle est sur un nuage, elle partage un moment charnel avec l'homme qu'elle aime, il lui fait l'amour de la plus douce des façons, et il arrive à lui donner du plaisir. C'est même encore plus fort que lorsqu'ils font ça sauvagement. La douceur, l'amour qu'elle ressent dans chacun de ses gestes ne font que décupler le ressenti et le plaisir. La sensation est délicieuse, addictive: elle part de son bas ventre et remonte son corps, ces vagues de chaleur intense qui la font gémir de plus en plus fort. Son corps se cambre à chaque onde de plaisir qui la traverse, pourtant elle ne l'a pas quitté des yeux une seule fois. Pourtant, elle finit par les fermer quand il vient l'embrasser fougueusement, et elle se laisse faire, elle prolonge même, donne d'avantage de fougue au baiser en venant caresser sa langue contre celle du jeune homme. Elle l'embrasse avidement, elle veut le posséder tout entier mais aujourd'hui, c'est lui qui la possède. Fort heureusement, les gémissements de Mia qui commençaient à se faire moins discrets se retrouvent recouverts par ce baiser, provoquant un moindre bruit, qu'il peut néanmoins deviner. Et sa poitrine, toujours comprimé contre le torse du danseur, se retrouve de plus en plus agité par son souffle court.
Et là, le temps s'arrête. Leurs lèvres se séparent et leurs yeux s'ouvrent à nouveaux, l'occasion pour eux de se regarder droit dans les yeux. Un électrochoc, voilà ce que ça lui fait, parce qu'elle n'avait pas vu des yeux aussi amoureux avant, et elle, quand elle sent qu'on l'aime si fort, ça la rend faible. Son coeur s'emballe, sa respiration se mêle à celle du jeune homme puisque leurs lèvres se frôlent toujours. La brunette déglutit, l'on entend plus que son souffle irrégulier, et elle voit le regard du beau brun se baisser sur ses lèvres, mais un court instant. Puisqu'il finit par replanter ses beaux yeux dans ceux de la styliste. Et elle sent cette flamme, plus ardente que jamais, la consumer de l'intérieur. Cette flamme d'amour sur laquelle il va jeter encore un peu d'huile en prenant la parole. Car là, elle ne s'y attend pas, pourtant, il va encore tout chambouler. Avec une simple phrase. « Je t'aime. » Une fois de plus, le temps s'arrête. Les aiguilles des montres cessent de tourner et Mia a comme l'impression que son coeur s'est arrêté de battre tant l'émotion est intense. D'abord, le silence, comblé par leurs respirations saccadées. La poitrine bougeant au même rythme que sa respiration, Mia ne peut décrocher son regard de son petit-ami. Ses yeux viennent même, progressivement, s'ouvrir un peu plus, montant alors son étonnement. Néanmoins, on devine un sourire des plus ravis, discret mais ravi, se dessiner sur ses lèvres, contre celles de l'aîné Gwak.
Il y a quelque chose que vous devez savoir. C'est la première fois qu'on lui dit je t'aime. Son ex ne lui a jamais dit, il n'était pas très friand des déclarations d'amour. Il ne lui avait dit que par messages. C'est donc belle et bien la première fois qu'un homme lui dit "je t'aime" à haute voix, face à face. Et elle fond d'amour, si elle pouvait réellement mourir d'amour ou de bonheur, ce serait maintenant. Elle ne sait même pas quoi répondre, elle sent surtout une joie profonde et immense envahir son corps dans un premier temps. Son coeur, lui, accélère d'autant plus. En parlant de coeur, Taehyun vient de lui ouvrir le sien sans qu'elle ne le voie venir. Elle n'attendait pas ce moment comme le messie, Mia n'y pensait pas à vrai dire, elle se disait qu'il finirait par venir un jour et qu'il y avait nul besoin de brusquer le jeune homme. Mais là, il vient de le faire. C'est naturel, c'est de lui même, il l'a fait, et elle sait à quel point c'est exceptionnel pour lui. Il a tellement du mal à s'ouvrir aux gens mais à croire qu'avec elle, il a cette facilité depuis le début et là encore, il le confirme. Et Mia, elle, elle en croit pas ses oreilles. Elle croit encore rêver, elle pense même qu'elle va se réveiller d'une minute à l'autre. Pourtant, ses mains viennent se poser sur les avant-bras du jeune homme; toucher sa peau lui permet de garder les pieds sur terre. Non, ce n'est pas un rêve, l'homme qu'elle aime vient de lui déclarer sa flamme en retour, et ça, c'est encore plus fort que la magie. C'est du rêve, c'est quelque chose qu'elle n'aurait jamais osé espérer pourtant, il vient de le faire.
Plus amoureuse que jamais, elle ferme les yeux et se redresse à peine, collant d'avantage ses lèvres aux siennes, venant finalement les capturer dans un baiser non langoureux mais quand même plein d'amour et d'émotion. Un baiser qui dure quelques secondes mine de rien, mais un baiser qui compte, qui a du sens, qui porte tout l'amour increvable qu'elle lui porte. Et quand elle le rompt, elle ouvre les yeux quasi de suite. Leurs nez collés l'un contre l'autre, elle finit par esquisser un doux sourire alors que sa bouche est toujours légèrement entrouverte. Sa main droite glisse dans ses cheveux, ses ongles viennent passer doucement sur son cuir chevelu et alors qu'ils se fixent alors, elle ferme les yeux une nouvelle fois, collant alors son front contre celui du jeune homme. « Redis-le. » souffle-t-elle contre ses lèvres, avant que sa main ne quitte ses cheveux. Oui, redis-le. Encore. Une fois. Elle en a tellement besoin si tu savais, elle ne sait pas combien elle peut être aimée, cette fille. Elle est persuadée que peu de monde l'aime, et d'un côté, elle a très peur qu'on l'aime aussi fort. Elle a peur de pas mériter un tel amour, Taehyun. Mais le tien, elle veut le mériter, parce que sans cet amour elle crèverait. Sans toi, elle crèverait. Alors dis le encore. Elle en crèverait de ça aussi. De ton amour. Aussi fort soit-il. Il la rend immortel mais tellement faible à la fois. Tu la rends si forte et faible à la fois, Taehyun. Si tu savais seulement encore toutes les choses qu'elle a à te dire... Tu n'en finirais pas. Pourtant, je peux te dire une chose: tu as trouvé la fille qui t'aime le plus en ce monde. Personne ne t'aimera comme elle t'aime elle. Personne.
Sa tête pivote légèrement, finalement, ses lèvres viennent glisser sur son cou qu'elle embrasse avidement. Ses mains repassent dans son dos qu'elle caresse tendrement. « Encore. » supplie-t-elle, le souffle court, la voix aigüe. De quoi parle-t-elle? De l'acte ou de sa déclaration? Hé bien, des deux je vous dirais. Car dans tout ça, il a un peu perdu de sa cadence mais elle sait qu'il va vite reprendre de son rythme. Et le visage toujours enfoui dans son cou, Mia finit par fermer les yeux, se nourrissant du parfum naturel de sa peau. Elle vient même planter doucement ses dents dans sa peau, avant de se forcer à reposer la tête contre le matelas pour éviter que ses pulsions prennent le dessus. Et, alors qu'elle plante son regard dans le sien, un sourire aguicheur étire ses lèvres. Ses mains glissent au creux de ses reins. « Encore... » gémit-elle, près de son oreille. Nul doute qu'elle parle de l'acte en lui-même, cette fois. Encore, Taehyun. Elle n'en a jamais assez, tu sais bien. Ton corps est une drogue pour elle, tout comme ton amour. Mais donne lui encore tout ce que tu as à lui donner. Et en appuyant légèrement sur ses reins, elle permet au jeune homme de reprendre sa cadence. Leurs fronts se collent l'un à l'autre, elle ne veut plus fermer les yeux. Elle veut le regarder inlassablement tant qu'il est en train de lui faire l'amour. Et les minutes ont beau passer; Mia ne perd pas de son excitation, ni de son humidité. Au contraire, avec ses paroles, il a rendu le moment encore plus beau et excitant que jamais, laissant alors sa petite amie en vouloir plus, alors que ce qu'il lui donne est largement suffisant. La preuve, une lointaine sensation de plaisir intense est en train de grandir progressivement en elle à mesure qu'il poursuit ses vas et viens en elle, doucement, mais profondément. Et ses gémissements en témoignent: ils recommencent à prendre de l'ampleur et du son. Et quand, en plus, ils deviennent aigües, c'est qu'elle approche du moment de libération.
CODES LITTLE WOLF.
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Re: sweetest morning (+) MIHYUN ♥ | Sam 23 Sep - 18:22 Citer EditerSupprimer
SWEETEST MORNING
ft. mihyun ♥
Surprise babe, I'm here!
Mais en même temps, comment ne pas tomber sous son charme? Regardez cette femme, elle est intelligente, belle, sexy. La seule femme qui parvient à te donner le sourire sans faire le moindre effort, de réussir là où toutes les autres ont échouées. Ce visage si doux, un visage de bébé, enfantin qui lui donne également ce côté mature, ce côté femme que tu aimes tant. Les formes de son corps qui te rappelle à quel point tu es à ses pieds, et tu l'admires son corps, grâce à cette légère clarté, cette lumière du jour qui dessine parfaitement ses courbes. Ce sourire, lui, te fait perdre tous tes moyens, tout comme son regard. Ouais, tu as envie d'elle et pas seulement dans le sens sexuel du terme, non: tu as envie d'elle, littéralement envie d'elle. Tu veux pouvoir sentir ses mains sur ton corps, sur ton visage, dans ta chevelure mais aussi son souffle contre ta peau, dans ton cou, ses lèvres caressant les tiennes, entendre ses gémissements jusqu'à ne plus pouvoir. Ouvrir les yeux, la voir dans cet état, la voir sourire et prendre autant de plaisir que toi... Tu as envie d'elle. Et tu te demandes encore si elle se rend compte de l'effet qu'elle te fait. Tu ne plaisantais pas lorsque tu te disais que cette femme, celle à qui tu es en train de faire l'amour n'est autre que ta kryptonite. Si belle, si petite, si fragile. Cette petite pierre qui parvient à faire faiblir le plus fort des super-héros, ce super-héros au pouvoir des plus puissants pourtant, qui a tout de même cette faiblesse, sa faiblesse. Cette kryptonite qui a ce pouvoir de l'affaiblir en une demie-seconde une fois placée à proximité de l'intéressé, qui a également ce pouvoir de le détruire, de le tuer. Oh oui, Mia a ce pouvoir sur toi, elle pourrait te détruire, laissant ton corps inerte derrière elle si elle le désirait, elle pourrait si elle t'abandonnerait. Tu en étais effrayé pendant beaucoup trop longtemps. Jamais personne n'a eu ce pouvoir sur toi, tu n'as jamais été aussi faible et à la fois, aussi fort face à une femme. Parce que cette femme est également ta force, elle te donne cette force de l'amour, cette force d'aimer et non pas comme tu n'as jamais aimé une femme, mais plutôt comme aucun autre homme n'a aimé une femme. Aucun. Ne dit-on pas que l'amour est plus fort que toutes les raisons ? Bien évidemment, tu en as eu la preuve. Mia est ta faiblesse mais également ta force, celle qui te donne l'envie, le courage, le désir. Un désir fou, un désir incontrôlable.
Et c'est ce que tu ressens à cet instant, il est impossible pour toi de contrôler quoi que ce soit et encore moins ce sentiment gigantesque, ce qu'elle te fait ressentir à cet instant précis. Un amour grandiose, un désir si profond que tu as longtemps essayé de contrôler, mais tu en as eu la preuve : le contrôler n'a fait que te détruire. Tu n'as plus envie de ça, il faudrait être complètement dingue pour ne pas rendre les armes alors que tu te sens plus vivant que jamais, plus puissant lorsqu'elle est avec toi, lorsqu'elle est dans tes bras. Alors oui, tu te saisies de son visage, lui ordonnant presque de te regarder. Tu en as tellement besoin, tu as besoin qu'elle te regarde, qu'elle t'observe lui faire l'amour, là, tout de suite. Qu'elle puisse te voir, te sentir aussi amoureux. Mais c'en devient rapidement une torture, la voir aussi essoufflée, l'entendre savourer ce plaisir charnel, tellement que vos lèvres viennent à nouveau se seller. Et cette sensation dont tu es si accro, elle t'électrise de l'intérieur tandis que vos lèvres refusent de se séparer, ce baiser lourd de sens qui n'a nul besoin d'être accompagné par des paroles. Pourtant, tu as envie de lui hurler qu'elle te rend fou, que tu la trouves irrésistible, qu'elle t'appartient. Tu as envie qu'elle comprenne qu'aucun autre homme ne pourra l'aimer comme tu l'aimes, qu'aucun autre ne pourra lui faire l'amour de cette manière. Non pas parce que tu possèdes un ego gigantesque au point de dire que tu es et resteras le meilleur coup de sa vie, oh non, c'en est rien. Mais pour la bonne et simple raison qu'aucun autre ne saurait animer ces ébats avec autant d'amour, autant de désir. Aucun autre homme. Et tu le sais, tu sais ce que tu ressens, et tu en es persuadé. Parce que cette femme, tu l'aimes plus que ta propre vie, plus que de raison, plus que tu ne peux le dire. Tu l'aimes. Tellement que lui faire l'amour de la plus tendre des manières ne te suffit même plus. Ça reste là, coincé au fond de ta gorge sans que tu puisses y faire quoi que ce soit mais tu sais aussi que tu ne lutteras pas. Ils sont effrayants ces mots. Je t'aime.
Tu n'es pas le plus expressif des hommes ni le plus tactile. Pourtant, avec cette femme, tu en ressens ce besoin constant sans qu'elle te le demande, sans qu'elle te rappelle que tu n'es qu'un amputé du « je t'aime ». Sans qu'elle te brusque, qu'elle te fasse comprendre qu'elle aussi, a besoin de l'entendre. Peut-être parce que tu sais lui montrer différemment, en réalité, tu n'y pensais pas vraiment, tu te laissais vivre, tu laissais vivre ton amour. Cette situation te convenait, de toute façon, ta petite-amie sait à quel point tu es fou d'elle, elle sait, comme tu l'aimes. Mais là, c'est étrange ce qu'il se passe. Tu la regardes, assourdi par les battements de ton cœur, aveuglé par ces lourds sentiments que sont ces mots, coincés au fond de ta gorge, ils en deviennent beaucoup trop lourds. Alors tu les prononces, ton regard planté dans le sien parce que non, tu n'as pas honte de ce que tu dis, tu n'as pas honte d'ouvrir ton cœur malgré cette sensation étrange qui t'envahie sûrement parce que tu n'as pas l'habitude, sûrement parce que c'est la première fois. Mais cette sensation la plus imposante, celle qui prend le dessus est bel et bien le soulagement. Tu te sens comme libéré de ce poids, comme si tu venais de lui offrir ton cœur, littéralement. Ces paroles n'étaient que les pièces manquantes du puzzle que constitue ton cœur et là, tu es mis à nu, complètement. C'était naturel, sincère, paroles sorties du fond de ton cœur. Toi aussi tu en es bouleversé, ça te chamboule, tellement que tu ne remarques même pas la réaction de ta petite-amie ou plutôt, son étonnement, oh non, tu ne l'as toujours pas quitté du regard pourtant. Tu t'en sens tout bonnement incapable, la seule chose que tu parviens à faire, est de resserrer tes doigts dans les siens, y exerçant une légère pression. Oui, tu viens de lui dire que tu l'aimais, tu avais besoin qu'elle le sache mais aussi, qu'elle sache que tu ne supporterais pas de vivre sans elle, qu'elle t'abandonne, et c'est en resserrant tes doigts dans les siens que tu appuies, par la même occasion, ces propos. Non, ne le quitte pas Mia. Jamais. Ne le tue pas.
Tu ne peux lâcher ton regard du sien, de ce doux spectacle qu'elle t'offre alors que toi, tu viens de lui ouvrir pleinement ton cœur. Et tu observes ta petite-amie se redresser dans le but de prendre possession de tes lèvres, un baiser non langoureux mais qui pourtant, est passionnel, qui sait vous transmettre toutes les émotions nécessaire pour vous faire perdre pieds, tous les deux. Une bon mélange, une bonne recette composée majoritairement d'une dose d'amour passionnel. Tu fermes les yeux le temps de ce baiser, appréciant chacune de ces sensations mais surtout, celle de ses lèvres caressant les tiennes. Le temps d'un court instant avant qu'elle y mette fin, tu rouvres instantanément les yeux. Tes paupières tremblantes, trahissant ton émotion mais surtout, l'amour que tu lui portes, c'est cette fois-ci la sensation de ses doigts dans tes cheveux que tu apprécies. Déposant ton front contre le sien de la manière la plus romantique qui soit, ton bassin qui, certes, a perdu légèrement de sa cadence, continue tout de même de se mouver, refusant d'arrêter. « Redis-le. » Et là, tu sens ton cœur se gonfler d'amour. Ta kryptonite. Oui, vous savez tous les deux que tu feras ce qu'elle te demande, que tu vas lui redire ô combien tu pourrais en être effrayé. Ne te poses-tu pas cette question primordiale ? Pourras-tu le redire ? Non, tu ne te la poses pas puisque tu connais déjà la réponse. Bien évidemment que tu vas le redire, tu ferais tout ce qu'elle te demanderait tant tu es à ses pieds, tant tu es vulnérable de cet amour que tu lui portes. Cet amour bien trop fort, cet amour qui te fait faire fermer les yeux un court instant encore. Ta bouche, elle, reste entrouverte, laissant passer un souffle court parfois coupé par des sons exprimant ton plaisir, mais ton amour, aussi.
Tout simplement incapable de rouvrir les yeux lorsqu'elle dépose ces doux baisers dans ton cou, ton souffle se fait davantage bruyant tant le plaisir t'enivre. C'est beaucoup trop. Ce désir, ce plaisir, cet amour. Beaucoup trop à gérer. Ces sentiments sont si forts et toi, tu n'y es clairement pas habitué, pas habitué à être autant secoué par tout ça mais bordel, que ça te plaît. T'en crèverais. « Encore. » te supplie t-elle, le souffle court et d'une voix aiguë irrésistible. Tu plisses les yeux une seconde, laissant échapper un gémissement incontrôlé dû au plaisir mais aussi, au son de sa voix qui te fait perdre totalement les pédales, qui intensifie ce plaisir au creux de ton ventre. Cette excitation mêlée à cette frustration de ne rien pouvoir contrôler. Mais là, c'est ta force qui prend le dessus. Ta force que tu ne contrôles plus en sentant ses dents se planter dans ta peau. Elle t'excite, tente sans doute de réveiller la bête qui est en toi en agissant comme une lionne et tu sais qu'elle va y parvenir, bien évidemment, tu es à deux doigts de craquer. Mia plante son regard dans le tien, souriant même d'une manière assez aguicheuse, beaucoup trop en réalité, jusqu'à faire glisser ses mains au creux de tes reins. « Encore... » gémit-elle près de ton oreille, une dernière fois, avant d'appuyer sur tes reins pour provoquer une pénétration plus profonde. Un gémissement qui déclenche en toi ce feu que, cette fois, personne ne pourra éteindre. Tu ne sais pas si elle se rend compte de l'état dans lequel elle parvient à te rendre en gémissant de cette manière, en étant aussi sexy et irrésistible mais quoi qu'il en soit, tu comptes bien lui montrer. Elle réclame, et tu lui donneras ce qu'elle veut. Tu serres les dents. Elle a gagné.
Une gourmandise à laquelle tu ne peux résister plus longtemps. C'est d'ailleurs pour cette raison que tu te redresses brusquement, plantant ton regard dans le sien, encore plus affamé d'elle. Et tu t'humidifies les lèvres sans réellement en prendre conscience, tu termines même en venant te mordre la lèvre inférieure tandis que, tout aussi rapidement, tu viens te saisir de ses deux poignets. En profitant ainsi pour plaquer ses mains au dessus de sa tête, sauvagement, brutalement, usant de toute la force que ce désir et cet amour t'offrent. Mains que tu gardes scotchées à ce matelas à l'aide de ta main gauche, d'une seule et unique main mais inutile de vous dire qu'elle ne pourra pas faire grand chose face à la force dont tu uses, clairement, tu ne lui laisses pas le choix. Tu viens même coller à nouveau tes lèvres contre les siennes, non pas dans un baiser mais plutôt, en souriant, toujours aussi affamé. Tandis que ta main droite, elle, se faufile sensuellement entre vos deux corps. Pourquoi ? Pour lui écarter davantage les cuisses afin de faciliter tes futurs et brusques vas-et-vient, n'usant pas vraiment d'une certaine délicatesse cela dit puisque là, tu ne peux plus attendre, mais elle est souple Mia, tu connais assez son corps et ses capacités aussi. Alors au moment où ta main rejoint à nouveau ses poignets pour les maintenir toujours plaqués contre le matelas, ton bassin se met à se mouver plus rapidement au fil des secondes, de manière plus bestiale. Tu exploses d'excitation, tes abdos se contractent, ta mâchoire se crispe alors que tes bras absorbent toute ta force pour ne pas qu'elle en fasse les frais, la contenant ainsi, toute cette force dans tes bras. Montrant par ce biais, tes muscles plus dessinés, tes veines apparentes. Et tu te redresses légèrement, un court instant, la tête baissée vers vos deux corps humides et fatigués de vos ébats, mais deux corps qui partagent un moment des plus passionnels, des plus érotiques. Tu admires une nouvelle fois cet échange charnel, échange qui est désormais devenu beaucoup plus sauvage. Tu en serres les dents, ta mâchoire se crispe dans le but de retenir tes gémissements mais on peut clairement y entendre ces râles de plaisir naissant au fond de ta gorge, ce qui rend ce moment encore plus sexy. Tu la pénètres avec envie, avec amour mais avec plus de rapidité qu'auparavant, des pénétrations plus profondes encore. Parce que là, il s'agit du parfait mélange. De l'amour et du désir sauvage. C'est elle, qui te rend dans cet état, elle qui sait parfaitement comment faire sortir la bête qui sommeil en toi sauf que cette fois, tu as d'autant plus envie de lui prouver qu'elle t'appartient, que tu n'en ferais qu'une bouchée tant tu crèves d'amour pour elle. T'as envie qu'elle le comprenne. De lui faire comprendre.
Mais toi, ce que tu comprends, c'est qu'elle s'approche de la libération, et toi aussi d'ailleurs. Alors tu vas tout lui donner, et ça se sent dans tes coups de reins, dans tes gémissements que tu as de plus en plus de mal à contenir. Tellement que tu ne les retiens pas tous, tu n'as pas envie de le faire, tu as envie qu'elle entende le bien qu'elle te procure, mais tu as envie de l'entendre elle aussi. De la faire jouir. Et tu en as encore plus envie en l'écoutant gémir de cette manière, tant tu la trouves excitante. Alors tu viens capturer ses lèvres ou plutôt, sa lèvre supérieure, entre les tiennes que tu aspires doucement dans un baiser humide, avec sensualité, d'une manière des plus torrides. Un baiser qui étouffe à moitié vos gémissements mais qui rend ce moment, aussi bestial soit-il, encore plus romantique tandis que ta main droite glisse le long de son bras, terminant sa course entre sa poitrine, la posant ainsi à plat. Poitrine secouée par tes rapides vas-et-vient, ce qui a également pour effet d'interrompre votre baiser, vos lèvres se frottant à chacun de tes coups de reins. Et c'est après un énième gémissement incontrôlé que tu laisses échapper ce souffle d'entre tes lèvres, ces mots, d'une voix rauque et chaude. « Tu me sens? » Et ce n'est même pas de la domination, bien que ça pourrait l'être. Non non, tu veux l'exciter, là, tu veux la faire atteindre le summum de son plaisir. Lui faire atteindre un niveau d'excitation qu'elle n'a encore jamais atteint, et tu sais exactement comment faire. Si elle a cherché la bête qui était en toi, ce n'est pas pour rien. C'était ce qu'elle t'avait fait comprendre, en plus de t'avoir demandé autre chose, non? Est-ce qu'elle peut te sentir? Sentir tout cet amour que tu lui portes? Parce que toi, tu le sens. Tu la sens trempée et tu en perds la tête, tes vas-et-vient se font avec tellement de facilités, qu'en rajoutant ce côté bestial, les bruits de vos ébats se font entendre plus que d'ordinaire. Et ce, grâce à l'humidité entre ses cuisses mais aussi, ton bassin qui se cogne contre le sien. Mais ces mots t'excitent toi aussi, tellement que rapidement, tu viens loger ton visage dans son cou. Ne cessant à aucun moment tes coups de reins sauvages, profonds, tu en profites pour lui donner un baiser des plus intenses, déposant tes lèvres contre sa peau mais pas que, tes dents aussi. Tu lui mordilles la peau, tu l'aspires même mais à croire que tu utilises le peu de lucidité qu'il te reste pour ne pas lui faire de marque. Non toi, tu lui suces la peau, jouant avec elle entre tes dents encore un court instant avant que tu te décides enfin à la lâcher. Et tu remontes, peu à peu, collant ta langue contre sa peau et lui léchant le cou jusqu'à te stopper près de sa mâchoire. Déposant des baisers tout aussi enflammés sur cette dernière avant de remonter tes lèvres près des siennes, une courte mèche de tes cheveux s'étant invité entre vos deux fronts, la caressant au rythme de vos ébats, elle aussi agitée par cet échange. Mais là, tu sens que tu commences peu à peu à atteindre ton plaisir ultime. Tu le sais mais tu tentes de te contrôler, tu l'attends, mais tes gémissements eux, n'attendent pas. Des gémissements virils, étouffés par ta voix rauque à chacun de tes coups de reins. Parce qu'elle t'en offre du plaisir, comme jamais aucune femme ne t'en a offert jusqu'à présent mais l'entendre dans un tel état te rend totalement fou, ta priorité est bien de lui offrir autant de plaisir que tu le peux, de marquer son esprit au fer rouge. Et tu en souris, tu en souris d'excitation lorsque tu entends, à ses gémissements, devinant qu'elle s'y approche beaucoup trop dangereusement. C'est pour cette raison que tu continues, tu veux l'exciter, alors après avoir attrapé entre tes dents, sa lèvre inférieure que tu tires légèrement vers toi avant de la lâcher, tu lui souffles de cette même voix chaude, excitante, et plus que viril. « Allez bébé. » Viens pour lui, donne lui ce qu'il attend, ce qu'il souhaite, lui aussi.
Toi, tu t'y approches. Alors ta main droite précédemment posée entre ses seins remonte rapidement, attrapant sa mâchoire un court instant, juste le temps pour toi de lui tourner le visage, positionnant ta bouche près de son oreille. Tu veux qu'elle t'entende jouir, car même si tu te concentres sur ses gémissements dans le but de t'exciter pour tes derniers vas-et-vient, tu as bien du mal à contenir les tiens. Ton souffle chaud caressant sa peau, cette douce mélodie de ces sons, résumant ce plaisir qu'elle t'offre peut résonner jusqu'à son oreille. Et tes gémissements se font plus rauques, de moins en moins espacés au même rythme que tes coups de reins. Brusques, profonds, rapides. Ta seconde main libère l'emprise que tu as sur elle pour agripper le drap, ton avant bras prenant désormais appui sur ce matelas. Une explosion de plaisir, de bien-être, se forme dans ton ventre alors que tu donnes ce coup de rein final, un gémissement plus poussé que les précédent, un gémissement des plus érotiques, à la fois aigu et viril, qui te libère de ce plaisir qui dure depuis de très longues minutes maintenant, c'est cet orgasme puissant qui possède ton corps. Un orgasme incontrôlable. Tu succombes, et à l'entendre, tu sais que tu l'entraînes éperdument dans ta chute de ce merveilleux plaisir. Suivi d'un souffle court, très court, coupé par le son de ta voix. Mais pourtant, tu ne te laisses pas le temps de reprendre ta respiration qu'aussitôt, tu lui souffles près de son oreille, plus amoureux et comblé que jamais. « Je t'aime. » C'était ce que tu voulais. Lui dire au dernier moment, lui faire atteindre un double plaisir. Par un orgasme, et par ces paroles. Et doucement tu en souris, quelques secondes seulement mais tu en souris. Ta respiration haletante tandis que tu la sens se contracter sous ton corps musclé, tu as ce réflexe de lui attraper la hanche, la sentant d'autant plus, se tortiller sous le plaisir. Son corps vibre, le tien aussi. Tu as bien du mal à te remettre de ces vagues d'émotions intenses. C'est aussi pour cela que tu fermes les yeux tandis que le calme commence à s'installer, dans la pièce mais dans vos corps aussi, tes paupières battantes, signe de ton bien-être, ta respiration cependant se faisant toujours aussi bruyante, tu relèves difficilement la tête, tournant à nouveau son visage face à toi, le temps pour vous d'échanger un court baiser. Court dû à vos respirations haletantes, essoufflés, à bout de souffle. Puisque après ça, ton second avant bras prend appui sur le matelas, entourant ainsi son visage de tes deux bras avant de nicher ta tête dans son cou. Son corps enveloppé par le tien. C'est à cet endroit que tu t'y reposes pendant de longues secondes.
Quelques longues secondes avant que tu redresses doucement la tête, tendrement, venant passer une main sur ton front. Main qui termine sa course dans tes cheveux avant d'y retrouver un appui sur le matelas dans le but de décoller ton corps du sien, assez pour pouvoir pivoter la tête et y déposer un tendre baiser sur le bord de sa mâchoire, ta seconde main se logeant tendrement dans sa nuque le temps du baiser. Et une fois chose faite, tu t'effondres à ses côtés. Tes yeux clos un court instant, tu parviens finalement à les ouvrir pour fixer le plafond, le bruit de ta respiration se faisant toujours entendre. Respiration qui revient peu à peu à la normale mais qui reste tout de même agitée, tout comme ton corps qui prend du temps à se remettre de cet orgasme. Et doucement, tu viens tourner le visage vers elle, admirant de tes yeux d'homme amoureux, une nouvelle fois son corps mais aussi, son état, et ça te rend dingue, toi. Tu es dingue de cette femme, tu peux non seulement le ressentir mais en plus, tu es tout simplement incapable de le cacher. De toute façon, ce n'est pas dans tes plans, s'il y a bien quelque chose que tu souhaites, c'est crier sur tous les toits qu'elle te rend fou. Que tu es fou amoureux de cette femme et que tu le seras jusqu'à la fin de tes jours. À cette pensée, un petit sourire discret se forme sur tes lèvres, discret, mais amoureux. Éperdument amoureux.
« Montre moi à quel point je t'ai manqué. » avait-elle dit.
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Mais en même temps, comment ne pas tomber sous son charme? Regardez cette femme, elle est intelligente, belle, sexy. La seule femme qui parvient à te donner le sourire sans faire le moindre effort, de réussir là où toutes les autres ont échouées. Ce visage si doux, un visage de bébé, enfantin qui lui donne également ce côté mature, ce côté femme que tu aimes tant. Les formes de son corps qui te rappelle à quel point tu es à ses pieds, et tu l'admires son corps, grâce à cette légère clarté, cette lumière du jour qui dessine parfaitement ses courbes. Ce sourire, lui, te fait perdre tous tes moyens, tout comme son regard. Ouais, tu as envie d'elle et pas seulement dans le sens sexuel du terme, non: tu as envie d'elle, littéralement envie d'elle. Tu veux pouvoir sentir ses mains sur ton corps, sur ton visage, dans ta chevelure mais aussi son souffle contre ta peau, dans ton cou, ses lèvres caressant les tiennes, entendre ses gémissements jusqu'à ne plus pouvoir. Ouvrir les yeux, la voir dans cet état, la voir sourire et prendre autant de plaisir que toi... Tu as envie d'elle. Et tu te demandes encore si elle se rend compte de l'effet qu'elle te fait. Tu ne plaisantais pas lorsque tu te disais que cette femme, celle à qui tu es en train de faire l'amour n'est autre que ta kryptonite. Si belle, si petite, si fragile. Cette petite pierre qui parvient à faire faiblir le plus fort des super-héros, ce super-héros au pouvoir des plus puissants pourtant, qui a tout de même cette faiblesse, sa faiblesse. Cette kryptonite qui a ce pouvoir de l'affaiblir en une demie-seconde une fois placée à proximité de l'intéressé, qui a également ce pouvoir de le détruire, de le tuer. Oh oui, Mia a ce pouvoir sur toi, elle pourrait te détruire, laissant ton corps inerte derrière elle si elle le désirait, elle pourrait si elle t'abandonnerait. Tu en étais effrayé pendant beaucoup trop longtemps. Jamais personne n'a eu ce pouvoir sur toi, tu n'as jamais été aussi faible et à la fois, aussi fort face à une femme. Parce que cette femme est également ta force, elle te donne cette force de l'amour, cette force d'aimer et non pas comme tu n'as jamais aimé une femme, mais plutôt comme aucun autre homme n'a aimé une femme. Aucun. Ne dit-on pas que l'amour est plus fort que toutes les raisons ? Bien évidemment, tu en as eu la preuve. Mia est ta faiblesse mais également ta force, celle qui te donne l'envie, le courage, le désir. Un désir fou, un désir incontrôlable.
Et c'est ce que tu ressens à cet instant, il est impossible pour toi de contrôler quoi que ce soit et encore moins ce sentiment gigantesque, ce qu'elle te fait ressentir à cet instant précis. Un amour grandiose, un désir si profond que tu as longtemps essayé de contrôler, mais tu en as eu la preuve : le contrôler n'a fait que te détruire. Tu n'as plus envie de ça, il faudrait être complètement dingue pour ne pas rendre les armes alors que tu te sens plus vivant que jamais, plus puissant lorsqu'elle est avec toi, lorsqu'elle est dans tes bras. Alors oui, tu te saisies de son visage, lui ordonnant presque de te regarder. Tu en as tellement besoin, tu as besoin qu'elle te regarde, qu'elle t'observe lui faire l'amour, là, tout de suite. Qu'elle puisse te voir, te sentir aussi amoureux. Mais c'en devient rapidement une torture, la voir aussi essoufflée, l'entendre savourer ce plaisir charnel, tellement que vos lèvres viennent à nouveau se seller. Et cette sensation dont tu es si accro, elle t'électrise de l'intérieur tandis que vos lèvres refusent de se séparer, ce baiser lourd de sens qui n'a nul besoin d'être accompagné par des paroles. Pourtant, tu as envie de lui hurler qu'elle te rend fou, que tu la trouves irrésistible, qu'elle t'appartient. Tu as envie qu'elle comprenne qu'aucun autre homme ne pourra l'aimer comme tu l'aimes, qu'aucun autre ne pourra lui faire l'amour de cette manière. Non pas parce que tu possèdes un ego gigantesque au point de dire que tu es et resteras le meilleur coup de sa vie, oh non, c'en est rien. Mais pour la bonne et simple raison qu'aucun autre ne saurait animer ces ébats avec autant d'amour, autant de désir. Aucun autre homme. Et tu le sais, tu sais ce que tu ressens, et tu en es persuadé. Parce que cette femme, tu l'aimes plus que ta propre vie, plus que de raison, plus que tu ne peux le dire. Tu l'aimes. Tellement que lui faire l'amour de la plus tendre des manières ne te suffit même plus. Ça reste là, coincé au fond de ta gorge sans que tu puisses y faire quoi que ce soit mais tu sais aussi que tu ne lutteras pas. Ils sont effrayants ces mots. Je t'aime.
Tu n'es pas le plus expressif des hommes ni le plus tactile. Pourtant, avec cette femme, tu en ressens ce besoin constant sans qu'elle te le demande, sans qu'elle te rappelle que tu n'es qu'un amputé du « je t'aime ». Sans qu'elle te brusque, qu'elle te fasse comprendre qu'elle aussi, a besoin de l'entendre. Peut-être parce que tu sais lui montrer différemment, en réalité, tu n'y pensais pas vraiment, tu te laissais vivre, tu laissais vivre ton amour. Cette situation te convenait, de toute façon, ta petite-amie sait à quel point tu es fou d'elle, elle sait, comme tu l'aimes. Mais là, c'est étrange ce qu'il se passe. Tu la regardes, assourdi par les battements de ton cœur, aveuglé par ces lourds sentiments que sont ces mots, coincés au fond de ta gorge, ils en deviennent beaucoup trop lourds. Alors tu les prononces, ton regard planté dans le sien parce que non, tu n'as pas honte de ce que tu dis, tu n'as pas honte d'ouvrir ton cœur malgré cette sensation étrange qui t'envahie sûrement parce que tu n'as pas l'habitude, sûrement parce que c'est la première fois. Mais cette sensation la plus imposante, celle qui prend le dessus est bel et bien le soulagement. Tu te sens comme libéré de ce poids, comme si tu venais de lui offrir ton cœur, littéralement. Ces paroles n'étaient que les pièces manquantes du puzzle que constitue ton cœur et là, tu es mis à nu, complètement. C'était naturel, sincère, paroles sorties du fond de ton cœur. Toi aussi tu en es bouleversé, ça te chamboule, tellement que tu ne remarques même pas la réaction de ta petite-amie ou plutôt, son étonnement, oh non, tu ne l'as toujours pas quitté du regard pourtant. Tu t'en sens tout bonnement incapable, la seule chose que tu parviens à faire, est de resserrer tes doigts dans les siens, y exerçant une légère pression. Oui, tu viens de lui dire que tu l'aimais, tu avais besoin qu'elle le sache mais aussi, qu'elle sache que tu ne supporterais pas de vivre sans elle, qu'elle t'abandonne, et c'est en resserrant tes doigts dans les siens que tu appuies, par la même occasion, ces propos. Non, ne le quitte pas Mia. Jamais. Ne le tue pas.
Tu ne peux lâcher ton regard du sien, de ce doux spectacle qu'elle t'offre alors que toi, tu viens de lui ouvrir pleinement ton cœur. Et tu observes ta petite-amie se redresser dans le but de prendre possession de tes lèvres, un baiser non langoureux mais qui pourtant, est passionnel, qui sait vous transmettre toutes les émotions nécessaire pour vous faire perdre pieds, tous les deux. Une bon mélange, une bonne recette composée majoritairement d'une dose d'amour passionnel. Tu fermes les yeux le temps de ce baiser, appréciant chacune de ces sensations mais surtout, celle de ses lèvres caressant les tiennes. Le temps d'un court instant avant qu'elle y mette fin, tu rouvres instantanément les yeux. Tes paupières tremblantes, trahissant ton émotion mais surtout, l'amour que tu lui portes, c'est cette fois-ci la sensation de ses doigts dans tes cheveux que tu apprécies. Déposant ton front contre le sien de la manière la plus romantique qui soit, ton bassin qui, certes, a perdu légèrement de sa cadence, continue tout de même de se mouver, refusant d'arrêter. « Redis-le. » Et là, tu sens ton cœur se gonfler d'amour. Ta kryptonite. Oui, vous savez tous les deux que tu feras ce qu'elle te demande, que tu vas lui redire ô combien tu pourrais en être effrayé. Ne te poses-tu pas cette question primordiale ? Pourras-tu le redire ? Non, tu ne te la poses pas puisque tu connais déjà la réponse. Bien évidemment que tu vas le redire, tu ferais tout ce qu'elle te demanderait tant tu es à ses pieds, tant tu es vulnérable de cet amour que tu lui portes. Cet amour bien trop fort, cet amour qui te fait faire fermer les yeux un court instant encore. Ta bouche, elle, reste entrouverte, laissant passer un souffle court parfois coupé par des sons exprimant ton plaisir, mais ton amour, aussi.
Tout simplement incapable de rouvrir les yeux lorsqu'elle dépose ces doux baisers dans ton cou, ton souffle se fait davantage bruyant tant le plaisir t'enivre. C'est beaucoup trop. Ce désir, ce plaisir, cet amour. Beaucoup trop à gérer. Ces sentiments sont si forts et toi, tu n'y es clairement pas habitué, pas habitué à être autant secoué par tout ça mais bordel, que ça te plaît. T'en crèverais. « Encore. » te supplie t-elle, le souffle court et d'une voix aiguë irrésistible. Tu plisses les yeux une seconde, laissant échapper un gémissement incontrôlé dû au plaisir mais aussi, au son de sa voix qui te fait perdre totalement les pédales, qui intensifie ce plaisir au creux de ton ventre. Cette excitation mêlée à cette frustration de ne rien pouvoir contrôler. Mais là, c'est ta force qui prend le dessus. Ta force que tu ne contrôles plus en sentant ses dents se planter dans ta peau. Elle t'excite, tente sans doute de réveiller la bête qui est en toi en agissant comme une lionne et tu sais qu'elle va y parvenir, bien évidemment, tu es à deux doigts de craquer. Mia plante son regard dans le tien, souriant même d'une manière assez aguicheuse, beaucoup trop en réalité, jusqu'à faire glisser ses mains au creux de tes reins. « Encore... » gémit-elle près de ton oreille, une dernière fois, avant d'appuyer sur tes reins pour provoquer une pénétration plus profonde. Un gémissement qui déclenche en toi ce feu que, cette fois, personne ne pourra éteindre. Tu ne sais pas si elle se rend compte de l'état dans lequel elle parvient à te rendre en gémissant de cette manière, en étant aussi sexy et irrésistible mais quoi qu'il en soit, tu comptes bien lui montrer. Elle réclame, et tu lui donneras ce qu'elle veut. Tu serres les dents. Elle a gagné.
Une gourmandise à laquelle tu ne peux résister plus longtemps. C'est d'ailleurs pour cette raison que tu te redresses brusquement, plantant ton regard dans le sien, encore plus affamé d'elle. Et tu t'humidifies les lèvres sans réellement en prendre conscience, tu termines même en venant te mordre la lèvre inférieure tandis que, tout aussi rapidement, tu viens te saisir de ses deux poignets. En profitant ainsi pour plaquer ses mains au dessus de sa tête, sauvagement, brutalement, usant de toute la force que ce désir et cet amour t'offrent. Mains que tu gardes scotchées à ce matelas à l'aide de ta main gauche, d'une seule et unique main mais inutile de vous dire qu'elle ne pourra pas faire grand chose face à la force dont tu uses, clairement, tu ne lui laisses pas le choix. Tu viens même coller à nouveau tes lèvres contre les siennes, non pas dans un baiser mais plutôt, en souriant, toujours aussi affamé. Tandis que ta main droite, elle, se faufile sensuellement entre vos deux corps. Pourquoi ? Pour lui écarter davantage les cuisses afin de faciliter tes futurs et brusques vas-et-vient, n'usant pas vraiment d'une certaine délicatesse cela dit puisque là, tu ne peux plus attendre, mais elle est souple Mia, tu connais assez son corps et ses capacités aussi. Alors au moment où ta main rejoint à nouveau ses poignets pour les maintenir toujours plaqués contre le matelas, ton bassin se met à se mouver plus rapidement au fil des secondes, de manière plus bestiale. Tu exploses d'excitation, tes abdos se contractent, ta mâchoire se crispe alors que tes bras absorbent toute ta force pour ne pas qu'elle en fasse les frais, la contenant ainsi, toute cette force dans tes bras. Montrant par ce biais, tes muscles plus dessinés, tes veines apparentes. Et tu te redresses légèrement, un court instant, la tête baissée vers vos deux corps humides et fatigués de vos ébats, mais deux corps qui partagent un moment des plus passionnels, des plus érotiques. Tu admires une nouvelle fois cet échange charnel, échange qui est désormais devenu beaucoup plus sauvage. Tu en serres les dents, ta mâchoire se crispe dans le but de retenir tes gémissements mais on peut clairement y entendre ces râles de plaisir naissant au fond de ta gorge, ce qui rend ce moment encore plus sexy. Tu la pénètres avec envie, avec amour mais avec plus de rapidité qu'auparavant, des pénétrations plus profondes encore. Parce que là, il s'agit du parfait mélange. De l'amour et du désir sauvage. C'est elle, qui te rend dans cet état, elle qui sait parfaitement comment faire sortir la bête qui sommeil en toi sauf que cette fois, tu as d'autant plus envie de lui prouver qu'elle t'appartient, que tu n'en ferais qu'une bouchée tant tu crèves d'amour pour elle. T'as envie qu'elle le comprenne. De lui faire comprendre.
Mais toi, ce que tu comprends, c'est qu'elle s'approche de la libération, et toi aussi d'ailleurs. Alors tu vas tout lui donner, et ça se sent dans tes coups de reins, dans tes gémissements que tu as de plus en plus de mal à contenir. Tellement que tu ne les retiens pas tous, tu n'as pas envie de le faire, tu as envie qu'elle entende le bien qu'elle te procure, mais tu as envie de l'entendre elle aussi. De la faire jouir. Et tu en as encore plus envie en l'écoutant gémir de cette manière, tant tu la trouves excitante. Alors tu viens capturer ses lèvres ou plutôt, sa lèvre supérieure, entre les tiennes que tu aspires doucement dans un baiser humide, avec sensualité, d'une manière des plus torrides. Un baiser qui étouffe à moitié vos gémissements mais qui rend ce moment, aussi bestial soit-il, encore plus romantique tandis que ta main droite glisse le long de son bras, terminant sa course entre sa poitrine, la posant ainsi à plat. Poitrine secouée par tes rapides vas-et-vient, ce qui a également pour effet d'interrompre votre baiser, vos lèvres se frottant à chacun de tes coups de reins. Et c'est après un énième gémissement incontrôlé que tu laisses échapper ce souffle d'entre tes lèvres, ces mots, d'une voix rauque et chaude. « Tu me sens? » Et ce n'est même pas de la domination, bien que ça pourrait l'être. Non non, tu veux l'exciter, là, tu veux la faire atteindre le summum de son plaisir. Lui faire atteindre un niveau d'excitation qu'elle n'a encore jamais atteint, et tu sais exactement comment faire. Si elle a cherché la bête qui était en toi, ce n'est pas pour rien. C'était ce qu'elle t'avait fait comprendre, en plus de t'avoir demandé autre chose, non? Est-ce qu'elle peut te sentir? Sentir tout cet amour que tu lui portes? Parce que toi, tu le sens. Tu la sens trempée et tu en perds la tête, tes vas-et-vient se font avec tellement de facilités, qu'en rajoutant ce côté bestial, les bruits de vos ébats se font entendre plus que d'ordinaire. Et ce, grâce à l'humidité entre ses cuisses mais aussi, ton bassin qui se cogne contre le sien. Mais ces mots t'excitent toi aussi, tellement que rapidement, tu viens loger ton visage dans son cou. Ne cessant à aucun moment tes coups de reins sauvages, profonds, tu en profites pour lui donner un baiser des plus intenses, déposant tes lèvres contre sa peau mais pas que, tes dents aussi. Tu lui mordilles la peau, tu l'aspires même mais à croire que tu utilises le peu de lucidité qu'il te reste pour ne pas lui faire de marque. Non toi, tu lui suces la peau, jouant avec elle entre tes dents encore un court instant avant que tu te décides enfin à la lâcher. Et tu remontes, peu à peu, collant ta langue contre sa peau et lui léchant le cou jusqu'à te stopper près de sa mâchoire. Déposant des baisers tout aussi enflammés sur cette dernière avant de remonter tes lèvres près des siennes, une courte mèche de tes cheveux s'étant invité entre vos deux fronts, la caressant au rythme de vos ébats, elle aussi agitée par cet échange. Mais là, tu sens que tu commences peu à peu à atteindre ton plaisir ultime. Tu le sais mais tu tentes de te contrôler, tu l'attends, mais tes gémissements eux, n'attendent pas. Des gémissements virils, étouffés par ta voix rauque à chacun de tes coups de reins. Parce qu'elle t'en offre du plaisir, comme jamais aucune femme ne t'en a offert jusqu'à présent mais l'entendre dans un tel état te rend totalement fou, ta priorité est bien de lui offrir autant de plaisir que tu le peux, de marquer son esprit au fer rouge. Et tu en souris, tu en souris d'excitation lorsque tu entends, à ses gémissements, devinant qu'elle s'y approche beaucoup trop dangereusement. C'est pour cette raison que tu continues, tu veux l'exciter, alors après avoir attrapé entre tes dents, sa lèvre inférieure que tu tires légèrement vers toi avant de la lâcher, tu lui souffles de cette même voix chaude, excitante, et plus que viril. « Allez bébé. » Viens pour lui, donne lui ce qu'il attend, ce qu'il souhaite, lui aussi.
Toi, tu t'y approches. Alors ta main droite précédemment posée entre ses seins remonte rapidement, attrapant sa mâchoire un court instant, juste le temps pour toi de lui tourner le visage, positionnant ta bouche près de son oreille. Tu veux qu'elle t'entende jouir, car même si tu te concentres sur ses gémissements dans le but de t'exciter pour tes derniers vas-et-vient, tu as bien du mal à contenir les tiens. Ton souffle chaud caressant sa peau, cette douce mélodie de ces sons, résumant ce plaisir qu'elle t'offre peut résonner jusqu'à son oreille. Et tes gémissements se font plus rauques, de moins en moins espacés au même rythme que tes coups de reins. Brusques, profonds, rapides. Ta seconde main libère l'emprise que tu as sur elle pour agripper le drap, ton avant bras prenant désormais appui sur ce matelas. Une explosion de plaisir, de bien-être, se forme dans ton ventre alors que tu donnes ce coup de rein final, un gémissement plus poussé que les précédent, un gémissement des plus érotiques, à la fois aigu et viril, qui te libère de ce plaisir qui dure depuis de très longues minutes maintenant, c'est cet orgasme puissant qui possède ton corps. Un orgasme incontrôlable. Tu succombes, et à l'entendre, tu sais que tu l'entraînes éperdument dans ta chute de ce merveilleux plaisir. Suivi d'un souffle court, très court, coupé par le son de ta voix. Mais pourtant, tu ne te laisses pas le temps de reprendre ta respiration qu'aussitôt, tu lui souffles près de son oreille, plus amoureux et comblé que jamais. « Je t'aime. » C'était ce que tu voulais. Lui dire au dernier moment, lui faire atteindre un double plaisir. Par un orgasme, et par ces paroles. Et doucement tu en souris, quelques secondes seulement mais tu en souris. Ta respiration haletante tandis que tu la sens se contracter sous ton corps musclé, tu as ce réflexe de lui attraper la hanche, la sentant d'autant plus, se tortiller sous le plaisir. Son corps vibre, le tien aussi. Tu as bien du mal à te remettre de ces vagues d'émotions intenses. C'est aussi pour cela que tu fermes les yeux tandis que le calme commence à s'installer, dans la pièce mais dans vos corps aussi, tes paupières battantes, signe de ton bien-être, ta respiration cependant se faisant toujours aussi bruyante, tu relèves difficilement la tête, tournant à nouveau son visage face à toi, le temps pour vous d'échanger un court baiser. Court dû à vos respirations haletantes, essoufflés, à bout de souffle. Puisque après ça, ton second avant bras prend appui sur le matelas, entourant ainsi son visage de tes deux bras avant de nicher ta tête dans son cou. Son corps enveloppé par le tien. C'est à cet endroit que tu t'y reposes pendant de longues secondes.
Quelques longues secondes avant que tu redresses doucement la tête, tendrement, venant passer une main sur ton front. Main qui termine sa course dans tes cheveux avant d'y retrouver un appui sur le matelas dans le but de décoller ton corps du sien, assez pour pouvoir pivoter la tête et y déposer un tendre baiser sur le bord de sa mâchoire, ta seconde main se logeant tendrement dans sa nuque le temps du baiser. Et une fois chose faite, tu t'effondres à ses côtés. Tes yeux clos un court instant, tu parviens finalement à les ouvrir pour fixer le plafond, le bruit de ta respiration se faisant toujours entendre. Respiration qui revient peu à peu à la normale mais qui reste tout de même agitée, tout comme ton corps qui prend du temps à se remettre de cet orgasme. Et doucement, tu viens tourner le visage vers elle, admirant de tes yeux d'homme amoureux, une nouvelle fois son corps mais aussi, son état, et ça te rend dingue, toi. Tu es dingue de cette femme, tu peux non seulement le ressentir mais en plus, tu es tout simplement incapable de le cacher. De toute façon, ce n'est pas dans tes plans, s'il y a bien quelque chose que tu souhaites, c'est crier sur tous les toits qu'elle te rend fou. Que tu es fou amoureux de cette femme et que tu le seras jusqu'à la fin de tes jours. À cette pensée, un petit sourire discret se forme sur tes lèvres, discret, mais amoureux. Éperdument amoureux.
« Montre moi à quel point je t'ai manqué. » avait-elle dit.
CODES LITTLE WOLF.
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Re: sweetest morning (+) MIHYUN ♥ | Mar 26 Sep - 19:16 Citer EditerSupprimer
SWEETEST MORNING
ft. mihyun ♥
Surprise babe, I'm here! Tenue
Il faut dire ce qui est, Mia ne résiste pas longtemps à cet homme. A peine pose-t-elle le regard sur lui que des idées lui viennent pleins la tête. Mais le pire, c'est quand elle croise son regard, quand elle arrive à y lire une forme de désir. Quand elle voit que cette attirance est réciproque. Et puis, il a cette façon de sourire dont lui seul a le secret. Il peut faire fondre un mur de glace, il a fait fondre Mia en un soir. Elle ne comprend toujours pas ce qui s'est passé d'ailleurs, elle se croyait bien plus résistante que ça. Pour preuve, pendant qu'elle était encore en couple avec son ex, ce ne sont pas les propositions qui lui ont manqué, mais elle les a toutes refusées. Non pas par peur de se prendre les conséquences dans la figure, mais parce qu'elle n'a jamais eu l'envie de tenter, elle n'a jamais eu le besoin d'aller voir d'autres horizons. Pas avant de rencontrer Taehyun. La question ne s'est même pas posée, en fait, dès le premier soir, Mia a su qu'elle accepterait de voir d'autres horizons avec lui. D'ailleurs, ils se sont même embrassés ce même soir, parce qu'elle n'avait pas pu quitter ce bar sans le faire. Elle avait besoin de goûter à ces lèvres, et depuis cette première fois, il y en a eu tant d'autres. Elle n'aurait jamais pensé, 6 mois après, se retrouver dans ces bras qu'elle a longtemps réclamé secrètement. S'y retrouver, confortablement, comme sa deuxième maison. Car ces bras, ceux de Taehyun, sont le meilleur endroit au monde pour la gymnaste. Nul doute que c'est là qu'elle veut passer le restant de ses jours.
De ce fait, l'on comprend pourquoi ils n'ont pas passé longtemps dans cette chambre sans se sauter dessus. D'abord parce que la dernière fois qu'il ont couché ensemble, ils n'étaient même pas encore ensemble. Ensuite, parce qu'à peine retrouvés qu'ils ont été séparé pour raisons professionnelles. Pas longtemps, heureusement. 3 jours, mais 3 jours de trop. "3 jours qu'elle a passé à lui envoyer des messages, à le provoquer, et voilà le résultat. Elle le sait pourtant, Taehyun n'est pas un mec avec qui il faut jouer longtemps, parce qu'il finit toujours par vous rappeler qu'il est le maître du jeu. Il n'y a qu'à voir l'état de son tricot, là, tout de suite. En miettes, sur le sol de sa chambre. Mais Mia n'a que faire de ça, elle pourrait s'en racheter 300 si elle le voulait, là, tout de suite, ce qui compte pour elle c'est de retrouver son petit-ami, cette fois c'est officiel, elle peut l'appeler comme ça sans craintes. Il est à elle, comme elle l'a toujours souhaité, et elle veut qu'il l'imprègne bien. A chacun de ses gestes, elle lui prouve. Sa façon de l'embrasser, de l'étreindre, de mouver son corps délicieusement sous ses mains... Elle est fougueuse, Mia. Mais elle l'est parce que c'est lui, parce qu'il lui inspire ce comportement. Elle brûle d'amour pour lui, elle pourrait passer ses journées entières à l'embrasser et à le toucher de la sorte qu'elle n'en aurait jamais assez. C'est sa drogue, il l'est depuis longtemps déjà mais avant, elle ne pouvait pas en profiter comme elle le voulait. Maintenant, elle peut. Et elle compte le faire aussi souvent que possible.
Il l'a rendu accroc un peu trop vite. Je veux dire, tous ses gestes et tous ses mots sont le plus doux des breuvages. Alors quand il lui prononce ces mots d'une si grande importance pour elle, elle croit quitter la terre ferme. Il est dur pour elle de retrouver ses esprits pendant cet instant charnel qu'ils partagent, tant celui-ci est intense, c'est pour ça qu'elle met un petit moment à réaliser ce qui vient de se passer. Mais ses mots repassent sans cesse dans sa tête, elle croit entendre encore sa voix suave lui susurrer ce je t'aime. Et elle en redemande. Elle en redemande toujours quand il s'agit de lui, comme elle redemanderait de son corps. Elle a besoin de l'entendre encore lui dire ça, parce que la sensation que ça lui procure est unique. Elle se sent aimée, oui, mais pas que par ces mots. C'est un tout. Taehyun a été déjà capable de lui prouver son amour sans même lui faire de telle déclaration, mais uniquement par ses gestes. Oui, il avait une façon particulière de lui faire l'amour, Mia parvenait à y sentir tout cet amour qu'il lui portait et qu'il lui porte d'ailleurs toujours, mais aujourd'hui est encore différent. Elle espère juste être à la hauteur de ce qu'il lui apporte, parce qu'elle a toujours l'impression de ne pas être assez bien pour lui. Il est si unique, elle ne comprend d'ailleurs toujours pas par quel miracle elle a pu le rencontrer. Mais le mot est le bon: un miracle. Il est son miracle. Alors elle lui demande, de sa voix mêlée à l'émotion et au plaisir, de lui redire. Elle sait qu'il ne tiendra pas si elle continue de gémir comme ça mais c'est un risque qu'elle aime prendre, de toute façon, elle a toujours eu une préférence pour ce côté bestial chez lui. Elle arrivait quand même à sentir ses sentiments derrière ses gestes brusques, et c'est sûrement pour ça qu'ils sont faits l'un pour l'autre. Ils arrivent à se comprendre si facilement, même si leur relation a été semée d'embuches et de non-dits. Oui, il fut un temps où ils ne se sont pas compris, où ils se sont ratés mais cette période est belle et bien terminée. Maintenant, ils regardent vers l'avenir ensemble et Mia est bien décidée à garder le jeune homme à ses côtés le plus longtemps possible. Elle ne le laissera jamais lui filer entre les doigts. Elle a bien trop souffert pour en arriver jusque là (et elle ne regrette pas ces souffrances, c'était le prix à payer pour renouer avec le bonheur), ce n'est pas pour se tuer ensuite. Tu as peur qu'elle t'abandonne Taehyun? Elle aussi, elle est effrayée que tu l'abandonnes, si tu savais. Elle ne s'en remettrait jamais, et je parle pas sur du court terme. Je parle sur du long terme. T'en vas pas, ne t'en vas jamais, elle passerait le restant de ses jours à se dire qu'elle a perdu l'amour de sa vie.
Pour l'instant, elle a envie de faire ressortir la bête en lui et elle sait parfaitement comment s'y prendre. Elle lui en demande encore, mais de quoi? Là est la question. Elle sait qu'il comprendra le message caché derrière cette supplique. Et quand elle entend son gémissement au moment même où ses dents attrapent la peau de son cou, elle esquisse un sourire. Elle doit se retenir cependant, elle pourrait se révéler être une vraie vampire pour lui, c'est pourquoi elle s'écarte immédiatement, avant de planter son regard dans le sien. Ses mains, plus joueuses que jamais, descendent progressivement jusqu'à ses reins, endroit où elle peut appuyer pour coller fermement leurs deux bassins. Et là, elle se permet de gémir tout en poussant une dernière fois sa supplique. Et ça marche. Elle le regarde se redresser brusquement et aussitôt, un sourire mesquin vient étirer ses lèvres. Elle a gagné. Elle le sent à la façon qu'il se saisit de ses poignets pour les plaquer contre le matelas. A elle de se mordre la lèvre: il est irrésistible quand il prend cet air sauvage, quand il se fait respecter de cette façon. Elle n'aimait pourtant pas ces gestes chez son ex mais Taehyun a une façon différente de le faire, qui la rend même folle (plus qu'elle ne l'est déjà). Elle lève un instant les yeux vers ses mains, qu'il vient tenir d'une seule main tandis que l'autre descend le long de son corps pour venir lui écarter les cuisses. A ce contact, elle se met à frissonner et lâcher un soupir de plaisir qui témoigne de son état actuel. Le moindre geste qu'il a sur elle lui fait cet effet. Toujours est-il que la brunette fait ce qu'il lui demande, comme la parfaite poupée qu'elle devient entre ses mains dès qu'il prend les commandes. Elle écarte alors plus franchement les cuisses sans mal afin de faciliter l'accès pour lui et éviter les frottements pour elle. Une fois chose faite, son petit-ami finit par reposer sa main précédemment occupée sur ses poignets, les gardant fermement prisonniers. Leurs visages presque connectés par leurs lèvres, elle ne se fait pas prier pour soupirer de plaisir contre lui, mélangeant son souffle à celui du jeune homme. Au moment même où il reprend ses mouvements du bassin, Mia ferme les yeux et lève le menton vers le ciel, son corps se cambrant légèrement. Inutile de vous dire la sensation de plaisir qui prend naissance entre ses cuisses au moment où donne des coups de bassin plus soutenus, profonds et rapides. Elle a tendance à se cambrer aux moments où elle le sent au plus profond de son corps. C'est ça, l'amour. Ne faire qu'un avec son bien-aimé, que ce soit par le corps ou par la pensé, et ça n'a pas la même saveur. C'est encore plus plaisant de se sentir complète à ce point. Elle a l'impression que le monde ne tourne que lorsqu'elle est avec lui, et que le temps se suspend soudainement quand ils ne sont pas ensemble. Elle dépend de lui, en tout point, et elle veut qu'il le sache, ça aussi.
Le bruit de leurs ébats est délicieux, mais pas autant que la vue de leurs corps transpirants en train de se donner le plaisir qu'ils méritent. Elle ne peut se passer d'une telle vue, celle de ce corps si bien dessiné en train de lui faire l'amour. De ce corps qui, au final, lui appartient. Et comme pour montrer son appartenance, elle remonte sa main droite sur la nuque du danseur, ses ongles se plantant doucement alors qu'elle pousse un gémissement inattendu et peu discret, provoqué par une nouvelle vague de plaisir, et l'entendre gémir lui aussi n'arrange pas la situation. Pourtant, elle ne pourrait s'en passer de ces doux bruits qui passent ses lèvres, elle aime savoir qu'elle lui fait cet effet, ça l'excite d'avantage et lui donne envie de se surpasser aussi. De lui en donner encore plus. C'est pourquoi elle s'amuse à cambrer son bassin par moment, intensifiant la sensation à chaque fois qu'il la pénètre. Et ça a son effet; dès le moment où il vient à nouveau capturer ses lèvres dans un baiser fougueux, elle étouffe un énième gémissement contre sa peau, qui paraît alors des moindres. Elle sent la main de son bien aimé descendre le long de son bras pour venir se placer entre ses seins. Elle baisse un instant les yeux alors, pour la regarder, avant de relever les yeux vers lui, son corps secoué et leurs lèvres se frôlant à chaque coup de reins qu'il donne. Et elle gémit de plus belle. Ses gémissement sont rapprochés et de moins en moins discrets, une façon de lui faire comprendre aussi qu'il se rapproche grandement de son objectif. Le visage de la gymnaste défiguré par le plaisir, sa bouche toujours entrouverte pour laisser passer sa respiration accélérée, elle commence à sentir le plaisir se faire imposant et l'orgasme arriver progressivement. Parfois, elle a cette cruelle envie d'attraper ses lèvres fougueusement, la proximité entre elles poussant à chaque fois un peu plus à craquer, mais elle se retient, elle le fait exprès: elle veut qu'il l'entende gémir. « Tu me sens? » aussitôt, une sensation chaude et destructrice prend naissance dans son bas ventre et remonte alors son corps, oui, c'est une nouvelle fois l'effet de ses mots et de sa voix suave. Elle ne peut retenir un autre gémissement, plus discret cette fois, à l'entente de ces mots qui poussent à la folie, clairement. Et il semble prendre en vitesse, elle se crispe, ses mains agrippent la peau du danseur, elle n'est pas capable de savoir si elle lui fait mal ou non, elle n'y pense pas à vrai dire, tout ce à quoi elle pense c'est le plaisir qu'il lui donne, que provoquent ses coups de rein profonds. Il vient loger sa tête dans son cou, elle agrippe ses cheveux avec ardeur, laissant échapper des mots, de sa voix aiguë et son souffle coupé: « Oui... » gémit-elle une première fois, la sensation de sa bouche sur sa peau accentuant son ressenti. « Oui! » une seconde fois, cette fois-ci plus poussée. Rien n'est discret, ni leurs gémissements, ni le bruit de leurs intimités entrant en contact d'un rythme effréné. Elle se sent décoller, elle sent l'orgasme arriver et il semble arriver même trop rapidement.
Son front est trempé, elle sent la transpiration partout sur son corps mais c'est la chaleur du corps du danseur qui lui provoque tout ça. Et ce n'est rien comparé à l'humidité entre ses cuisses, mais ça, c'est sa mouille, son plaisir, qui facilité largement les derniers vas et viens du jeune homme. Quand ce dernier vient alors attraper sa lèvre, la mordillant légèrement, Mia ouvre les yeux un instant avant de reposer sa tête contre le lit, sa poitrine se soulevant à chaque respiration qu'elle prend. Elle est devenue une véritable machine à gémissements, parce que le plaisir est si grand, si intense, et parce qu'elle sent l'orgasme tout proche. Taehyun doit d'ailleurs s'en douter, puisqu'il vient lui souffler, de son souffle chaud: « Allez bébé. » Oui, elle va venir, elle le sait, ce n'est qu'une question de secondes maintenant, mais en entendant cet ordre, elle ne peut s'empêcher de fermer les yeux à nouveau et de se cambrer un peu plus, sentant alors la virilité du jeune homme toucher son point G. Et c'est irréversible. Au moment où il vient attraper sa mâchoire pour porter ses lèvres à son oreille, c'est un mélange de tout qui la fait venir aisément, mais surtout de l'entendre jouir, et quel doux bruit, quelle satisfaction que cela entraîne chez elle. Elle se laisse donc aller, allègrement, à ce plaisir ultime aussi qui envahit son corps tout entier. Ses gémissements ressemblent plus à des cris: elle ne se retient pas puisqu'elle sait parfaitement qu'ils sont seuls. Et c'est tant mieux. Ses mains sur son dos, elle ne se rend pas compte de ses ongles qui se plantent dans sa peau. Non, tout ce à quoi elle pense, c'est à cette sensation si bonne qui part d'entre ses cuisses pour secouer son corps entier. Une aise indescriptible alors qu'elle exprime son plaisir dans un dernier enchainement de gémissements, aigus et incontrôlés. Elle laisse son corps se relâcher, retomber doucement sur le lit alors que ses mains descendent le long du dos de son compagnon.
« Je t'aime. » une nouvelle fois. Comme elle lui a demandé. Bien qu'essoufflée et pas encore remise de cet orgasme dévastateur, Mia esquisse un doux sourire avant de tourner légèrement la tête vers lui. Sa main droite glissant dans ses cheveux, qu'elle ébouriffe tendrement, elle essaye encore de calmer son corps qui est toujours victime de spasmes. Et elle pousse un soupir d'aise, parce que wow, cet orgasme là, elle s'en souviendra longtemps. Elle échange un regard avec lui, un court instant puisqu'ils finissent par s'embrasser furtivement, il est impossible pour eux de garder leurs lèvres collées plus longtemps à cause de leurs souffles saccadés. Néanmoins, quand il vient entourer son visage de ses avants-bras pour ensuite fourrer le sien dans le cou de la gymnaste, cette dernière en profite pour venir déposer de tendres baisers dans le creux de son cou, puis sur son épaule, avant de relâcher complètement son corps qui était encore crispé de plaisir. Et ainsi, elle reprend progressivement ses forces, son souffle et sa conscience. Lui finit par se retirer d'elle pour finalement s'effondrer à ses côtés. Premier réflexe qu'elle a: baisser les yeux vers son corps, trempé, brillant à la faible lumière du jour. Elle regarde sa poitrine se soulever à chaque respiration, puis pose son crâne contre le matelas, tournant légèrement la tête pour le regarder. Sa bouche se ferme, enfin, elle se sent capable de respirer par le nez. Ainsi, un sourire tendre étire ses lèvres alors qu'elle ne peut le quitter du regard: hypnotisée, comme le premier soir. Il lui a fait vivre un moment des plus parfaits pour leurs retrouvailles, elle ne doutait pas que ce soit intense, mais à ce point... Il l'a surprise. Et ils ne se quittent pas du regard, l'on sent à cet instant le puissant amour qui les anime. Après quelques minutes de silence durant lesquelles leurs respirations saccadées se sont faites entendre, Mia finit par se tourner vers lui, avant de glisser afin de rapprocher son corps du sien.
Sans prévenir, sa main droite sur la joue du danseur avant d'atterrir dans ses cheveux. Et là, elle l'embrasse avidement, sans pour autant y mêler la langue, non. Juste de la fougue, de l'amour, de l'amour fou et puissant. Elle y donne tout, elle veut qu'il ressente la moindre émotion dans ce baiser, et même par cette main sur son cuir chevelu, et par ses lèvres qui caressent avidement les siennes. Au bout de quelques secondes, elle se retire finalement, sans trop s'éloigner de ses lèvres non plus. Elle ouvre simplement les yeux, les plantant dans les siens, puis vient finalement souffler contre ses lèvres. « Je t'aime aussi. » ses yeux se baissent sur ses lèvres. Un instant alors, elle les regarde avec envie, mais elle ne les embrassera pas cette fois. Non, elle se contente de lui sourire, amoureuse, avant de coller doucement son front contre le sien. Et au bout de quelques secondes ainsi, elle retire sa main de ses cheveux, décolle son front du sien pour glisser un peu et appuyer sa tête sur son torse. Là, l'occasion pour elle de récupérer les dernières forces qui lui manquent. Ses yeux ont tendance à se fermer trop facilement, le sommeil la menace, mais elle ne veut absolument pas dormir. Il en est hors de question, ils viennent à peine de se retrouver, et elle veut clairement profiter de sa journée avec lui. C'est pourquoi, après quelques courtes minutes passées sur son torse, elle se redresse en s'appuyant sur son bras gauche, regardant le beau brun. « J'aurais pas pu rêver mieux comme retrouvailles. » et elle craque, elle vient à nouveau se lover contre lui, dans ses bras, alors que les siens entourent la taille du jeune homme. Elle commence à déposer des baisers amoureux dans son cou, mais s'arrête subitement: elle sait les conséquences de ses actes, surtout ceux-là. Elle ne veut pas le relancer dans une séance de sex. Du moins, pas tout de suite.
Elle pose simplement sa tête contre son épaule, ses lèvres appuyées dessus, alors qu'elle ne le quitte pas du regard. Un regard insistant, mais espiègle. Et après avoir profité de cette douce peau sous ses lèvres pendant de longues minutes, elle vient finalement déposer un baiser furtif sur son épaule, avant de redresser légèrement la tête, le regardant. « Je vais préparer le p'tit déj! » déclare-t-elle, dynamique. elle sourit, se penche pour déposer un bisou sur sa joue puis se sépare de lui aisément, balançant ses jambes par dessus le lit pour se mettre debout, nue. Elle fait le tour du lit, à la recherche de son string. Une fois qu'elle l'a trouvé, elle se baisse pour l'enfiler, offrant alors un magnifique spectacle à son petit-ami qui doit allègrement profiter de cette paire de fesses galbées sous ses yeux. « Je te pique un t-shirt, hm... » déclare-t-elle, voyant l'état de son tricot. Elle n'oublie pas d'ailleurs de lancer un regard faussement vexé au jeune homme, avant de sourire et d'attraper un t-shirt blanc qui trainait sur la chaise de son bureau. Elle l'enfile, puis disparaît alors dans la cuisine après avoir attaché ses cheveux en un chignon bâclé.
Une fois dans la cuisine, Mia ne lésine pas sur la préparation. Elle prépare deux tasses de café, fait griller du pain et tout ce qu'elle trouve pour mettre dessus entre pâte à tartiner et confiture. le tout posé sur un plateau, bien rempli, qu'elle finit par ramener dans la chambre alors qu'elle pousse la porte avec son pied. Elle dépose doucement le plateau sur le lit, bien à plat, avant de s'installer confortablement, le dos appuyé contre le mur et les jambes étendues, la plateau se trouvant entre eux. « J'espère que je ne me suis pas trompée sur tes goûts? » elle lève les yeux vers lui et esquisse un sourire amusé, avant de prendre une première tranche de pain. Elle espère aussi que l'initiative qu'elle a pris lui plaît, après tout, elle a envie que leurs retrouvailles se passent du mieux possible.
✻✻✻
Il faut dire ce qui est, Mia ne résiste pas longtemps à cet homme. A peine pose-t-elle le regard sur lui que des idées lui viennent pleins la tête. Mais le pire, c'est quand elle croise son regard, quand elle arrive à y lire une forme de désir. Quand elle voit que cette attirance est réciproque. Et puis, il a cette façon de sourire dont lui seul a le secret. Il peut faire fondre un mur de glace, il a fait fondre Mia en un soir. Elle ne comprend toujours pas ce qui s'est passé d'ailleurs, elle se croyait bien plus résistante que ça. Pour preuve, pendant qu'elle était encore en couple avec son ex, ce ne sont pas les propositions qui lui ont manqué, mais elle les a toutes refusées. Non pas par peur de se prendre les conséquences dans la figure, mais parce qu'elle n'a jamais eu l'envie de tenter, elle n'a jamais eu le besoin d'aller voir d'autres horizons. Pas avant de rencontrer Taehyun. La question ne s'est même pas posée, en fait, dès le premier soir, Mia a su qu'elle accepterait de voir d'autres horizons avec lui. D'ailleurs, ils se sont même embrassés ce même soir, parce qu'elle n'avait pas pu quitter ce bar sans le faire. Elle avait besoin de goûter à ces lèvres, et depuis cette première fois, il y en a eu tant d'autres. Elle n'aurait jamais pensé, 6 mois après, se retrouver dans ces bras qu'elle a longtemps réclamé secrètement. S'y retrouver, confortablement, comme sa deuxième maison. Car ces bras, ceux de Taehyun, sont le meilleur endroit au monde pour la gymnaste. Nul doute que c'est là qu'elle veut passer le restant de ses jours.
De ce fait, l'on comprend pourquoi ils n'ont pas passé longtemps dans cette chambre sans se sauter dessus. D'abord parce que la dernière fois qu'il ont couché ensemble, ils n'étaient même pas encore ensemble. Ensuite, parce qu'à peine retrouvés qu'ils ont été séparé pour raisons professionnelles. Pas longtemps, heureusement. 3 jours, mais 3 jours de trop. "3 jours qu'elle a passé à lui envoyer des messages, à le provoquer, et voilà le résultat. Elle le sait pourtant, Taehyun n'est pas un mec avec qui il faut jouer longtemps, parce qu'il finit toujours par vous rappeler qu'il est le maître du jeu. Il n'y a qu'à voir l'état de son tricot, là, tout de suite. En miettes, sur le sol de sa chambre. Mais Mia n'a que faire de ça, elle pourrait s'en racheter 300 si elle le voulait, là, tout de suite, ce qui compte pour elle c'est de retrouver son petit-ami, cette fois c'est officiel, elle peut l'appeler comme ça sans craintes. Il est à elle, comme elle l'a toujours souhaité, et elle veut qu'il l'imprègne bien. A chacun de ses gestes, elle lui prouve. Sa façon de l'embrasser, de l'étreindre, de mouver son corps délicieusement sous ses mains... Elle est fougueuse, Mia. Mais elle l'est parce que c'est lui, parce qu'il lui inspire ce comportement. Elle brûle d'amour pour lui, elle pourrait passer ses journées entières à l'embrasser et à le toucher de la sorte qu'elle n'en aurait jamais assez. C'est sa drogue, il l'est depuis longtemps déjà mais avant, elle ne pouvait pas en profiter comme elle le voulait. Maintenant, elle peut. Et elle compte le faire aussi souvent que possible.
Il l'a rendu accroc un peu trop vite. Je veux dire, tous ses gestes et tous ses mots sont le plus doux des breuvages. Alors quand il lui prononce ces mots d'une si grande importance pour elle, elle croit quitter la terre ferme. Il est dur pour elle de retrouver ses esprits pendant cet instant charnel qu'ils partagent, tant celui-ci est intense, c'est pour ça qu'elle met un petit moment à réaliser ce qui vient de se passer. Mais ses mots repassent sans cesse dans sa tête, elle croit entendre encore sa voix suave lui susurrer ce je t'aime. Et elle en redemande. Elle en redemande toujours quand il s'agit de lui, comme elle redemanderait de son corps. Elle a besoin de l'entendre encore lui dire ça, parce que la sensation que ça lui procure est unique. Elle se sent aimée, oui, mais pas que par ces mots. C'est un tout. Taehyun a été déjà capable de lui prouver son amour sans même lui faire de telle déclaration, mais uniquement par ses gestes. Oui, il avait une façon particulière de lui faire l'amour, Mia parvenait à y sentir tout cet amour qu'il lui portait et qu'il lui porte d'ailleurs toujours, mais aujourd'hui est encore différent. Elle espère juste être à la hauteur de ce qu'il lui apporte, parce qu'elle a toujours l'impression de ne pas être assez bien pour lui. Il est si unique, elle ne comprend d'ailleurs toujours pas par quel miracle elle a pu le rencontrer. Mais le mot est le bon: un miracle. Il est son miracle. Alors elle lui demande, de sa voix mêlée à l'émotion et au plaisir, de lui redire. Elle sait qu'il ne tiendra pas si elle continue de gémir comme ça mais c'est un risque qu'elle aime prendre, de toute façon, elle a toujours eu une préférence pour ce côté bestial chez lui. Elle arrivait quand même à sentir ses sentiments derrière ses gestes brusques, et c'est sûrement pour ça qu'ils sont faits l'un pour l'autre. Ils arrivent à se comprendre si facilement, même si leur relation a été semée d'embuches et de non-dits. Oui, il fut un temps où ils ne se sont pas compris, où ils se sont ratés mais cette période est belle et bien terminée. Maintenant, ils regardent vers l'avenir ensemble et Mia est bien décidée à garder le jeune homme à ses côtés le plus longtemps possible. Elle ne le laissera jamais lui filer entre les doigts. Elle a bien trop souffert pour en arriver jusque là (et elle ne regrette pas ces souffrances, c'était le prix à payer pour renouer avec le bonheur), ce n'est pas pour se tuer ensuite. Tu as peur qu'elle t'abandonne Taehyun? Elle aussi, elle est effrayée que tu l'abandonnes, si tu savais. Elle ne s'en remettrait jamais, et je parle pas sur du court terme. Je parle sur du long terme. T'en vas pas, ne t'en vas jamais, elle passerait le restant de ses jours à se dire qu'elle a perdu l'amour de sa vie.
Pour l'instant, elle a envie de faire ressortir la bête en lui et elle sait parfaitement comment s'y prendre. Elle lui en demande encore, mais de quoi? Là est la question. Elle sait qu'il comprendra le message caché derrière cette supplique. Et quand elle entend son gémissement au moment même où ses dents attrapent la peau de son cou, elle esquisse un sourire. Elle doit se retenir cependant, elle pourrait se révéler être une vraie vampire pour lui, c'est pourquoi elle s'écarte immédiatement, avant de planter son regard dans le sien. Ses mains, plus joueuses que jamais, descendent progressivement jusqu'à ses reins, endroit où elle peut appuyer pour coller fermement leurs deux bassins. Et là, elle se permet de gémir tout en poussant une dernière fois sa supplique. Et ça marche. Elle le regarde se redresser brusquement et aussitôt, un sourire mesquin vient étirer ses lèvres. Elle a gagné. Elle le sent à la façon qu'il se saisit de ses poignets pour les plaquer contre le matelas. A elle de se mordre la lèvre: il est irrésistible quand il prend cet air sauvage, quand il se fait respecter de cette façon. Elle n'aimait pourtant pas ces gestes chez son ex mais Taehyun a une façon différente de le faire, qui la rend même folle (plus qu'elle ne l'est déjà). Elle lève un instant les yeux vers ses mains, qu'il vient tenir d'une seule main tandis que l'autre descend le long de son corps pour venir lui écarter les cuisses. A ce contact, elle se met à frissonner et lâcher un soupir de plaisir qui témoigne de son état actuel. Le moindre geste qu'il a sur elle lui fait cet effet. Toujours est-il que la brunette fait ce qu'il lui demande, comme la parfaite poupée qu'elle devient entre ses mains dès qu'il prend les commandes. Elle écarte alors plus franchement les cuisses sans mal afin de faciliter l'accès pour lui et éviter les frottements pour elle. Une fois chose faite, son petit-ami finit par reposer sa main précédemment occupée sur ses poignets, les gardant fermement prisonniers. Leurs visages presque connectés par leurs lèvres, elle ne se fait pas prier pour soupirer de plaisir contre lui, mélangeant son souffle à celui du jeune homme. Au moment même où il reprend ses mouvements du bassin, Mia ferme les yeux et lève le menton vers le ciel, son corps se cambrant légèrement. Inutile de vous dire la sensation de plaisir qui prend naissance entre ses cuisses au moment où donne des coups de bassin plus soutenus, profonds et rapides. Elle a tendance à se cambrer aux moments où elle le sent au plus profond de son corps. C'est ça, l'amour. Ne faire qu'un avec son bien-aimé, que ce soit par le corps ou par la pensé, et ça n'a pas la même saveur. C'est encore plus plaisant de se sentir complète à ce point. Elle a l'impression que le monde ne tourne que lorsqu'elle est avec lui, et que le temps se suspend soudainement quand ils ne sont pas ensemble. Elle dépend de lui, en tout point, et elle veut qu'il le sache, ça aussi.
Le bruit de leurs ébats est délicieux, mais pas autant que la vue de leurs corps transpirants en train de se donner le plaisir qu'ils méritent. Elle ne peut se passer d'une telle vue, celle de ce corps si bien dessiné en train de lui faire l'amour. De ce corps qui, au final, lui appartient. Et comme pour montrer son appartenance, elle remonte sa main droite sur la nuque du danseur, ses ongles se plantant doucement alors qu'elle pousse un gémissement inattendu et peu discret, provoqué par une nouvelle vague de plaisir, et l'entendre gémir lui aussi n'arrange pas la situation. Pourtant, elle ne pourrait s'en passer de ces doux bruits qui passent ses lèvres, elle aime savoir qu'elle lui fait cet effet, ça l'excite d'avantage et lui donne envie de se surpasser aussi. De lui en donner encore plus. C'est pourquoi elle s'amuse à cambrer son bassin par moment, intensifiant la sensation à chaque fois qu'il la pénètre. Et ça a son effet; dès le moment où il vient à nouveau capturer ses lèvres dans un baiser fougueux, elle étouffe un énième gémissement contre sa peau, qui paraît alors des moindres. Elle sent la main de son bien aimé descendre le long de son bras pour venir se placer entre ses seins. Elle baisse un instant les yeux alors, pour la regarder, avant de relever les yeux vers lui, son corps secoué et leurs lèvres se frôlant à chaque coup de reins qu'il donne. Et elle gémit de plus belle. Ses gémissement sont rapprochés et de moins en moins discrets, une façon de lui faire comprendre aussi qu'il se rapproche grandement de son objectif. Le visage de la gymnaste défiguré par le plaisir, sa bouche toujours entrouverte pour laisser passer sa respiration accélérée, elle commence à sentir le plaisir se faire imposant et l'orgasme arriver progressivement. Parfois, elle a cette cruelle envie d'attraper ses lèvres fougueusement, la proximité entre elles poussant à chaque fois un peu plus à craquer, mais elle se retient, elle le fait exprès: elle veut qu'il l'entende gémir. « Tu me sens? » aussitôt, une sensation chaude et destructrice prend naissance dans son bas ventre et remonte alors son corps, oui, c'est une nouvelle fois l'effet de ses mots et de sa voix suave. Elle ne peut retenir un autre gémissement, plus discret cette fois, à l'entente de ces mots qui poussent à la folie, clairement. Et il semble prendre en vitesse, elle se crispe, ses mains agrippent la peau du danseur, elle n'est pas capable de savoir si elle lui fait mal ou non, elle n'y pense pas à vrai dire, tout ce à quoi elle pense c'est le plaisir qu'il lui donne, que provoquent ses coups de rein profonds. Il vient loger sa tête dans son cou, elle agrippe ses cheveux avec ardeur, laissant échapper des mots, de sa voix aiguë et son souffle coupé: « Oui... » gémit-elle une première fois, la sensation de sa bouche sur sa peau accentuant son ressenti. « Oui! » une seconde fois, cette fois-ci plus poussée. Rien n'est discret, ni leurs gémissements, ni le bruit de leurs intimités entrant en contact d'un rythme effréné. Elle se sent décoller, elle sent l'orgasme arriver et il semble arriver même trop rapidement.
Son front est trempé, elle sent la transpiration partout sur son corps mais c'est la chaleur du corps du danseur qui lui provoque tout ça. Et ce n'est rien comparé à l'humidité entre ses cuisses, mais ça, c'est sa mouille, son plaisir, qui facilité largement les derniers vas et viens du jeune homme. Quand ce dernier vient alors attraper sa lèvre, la mordillant légèrement, Mia ouvre les yeux un instant avant de reposer sa tête contre le lit, sa poitrine se soulevant à chaque respiration qu'elle prend. Elle est devenue une véritable machine à gémissements, parce que le plaisir est si grand, si intense, et parce qu'elle sent l'orgasme tout proche. Taehyun doit d'ailleurs s'en douter, puisqu'il vient lui souffler, de son souffle chaud: « Allez bébé. » Oui, elle va venir, elle le sait, ce n'est qu'une question de secondes maintenant, mais en entendant cet ordre, elle ne peut s'empêcher de fermer les yeux à nouveau et de se cambrer un peu plus, sentant alors la virilité du jeune homme toucher son point G. Et c'est irréversible. Au moment où il vient attraper sa mâchoire pour porter ses lèvres à son oreille, c'est un mélange de tout qui la fait venir aisément, mais surtout de l'entendre jouir, et quel doux bruit, quelle satisfaction que cela entraîne chez elle. Elle se laisse donc aller, allègrement, à ce plaisir ultime aussi qui envahit son corps tout entier. Ses gémissements ressemblent plus à des cris: elle ne se retient pas puisqu'elle sait parfaitement qu'ils sont seuls. Et c'est tant mieux. Ses mains sur son dos, elle ne se rend pas compte de ses ongles qui se plantent dans sa peau. Non, tout ce à quoi elle pense, c'est à cette sensation si bonne qui part d'entre ses cuisses pour secouer son corps entier. Une aise indescriptible alors qu'elle exprime son plaisir dans un dernier enchainement de gémissements, aigus et incontrôlés. Elle laisse son corps se relâcher, retomber doucement sur le lit alors que ses mains descendent le long du dos de son compagnon.
« Je t'aime. » une nouvelle fois. Comme elle lui a demandé. Bien qu'essoufflée et pas encore remise de cet orgasme dévastateur, Mia esquisse un doux sourire avant de tourner légèrement la tête vers lui. Sa main droite glissant dans ses cheveux, qu'elle ébouriffe tendrement, elle essaye encore de calmer son corps qui est toujours victime de spasmes. Et elle pousse un soupir d'aise, parce que wow, cet orgasme là, elle s'en souviendra longtemps. Elle échange un regard avec lui, un court instant puisqu'ils finissent par s'embrasser furtivement, il est impossible pour eux de garder leurs lèvres collées plus longtemps à cause de leurs souffles saccadés. Néanmoins, quand il vient entourer son visage de ses avants-bras pour ensuite fourrer le sien dans le cou de la gymnaste, cette dernière en profite pour venir déposer de tendres baisers dans le creux de son cou, puis sur son épaule, avant de relâcher complètement son corps qui était encore crispé de plaisir. Et ainsi, elle reprend progressivement ses forces, son souffle et sa conscience. Lui finit par se retirer d'elle pour finalement s'effondrer à ses côtés. Premier réflexe qu'elle a: baisser les yeux vers son corps, trempé, brillant à la faible lumière du jour. Elle regarde sa poitrine se soulever à chaque respiration, puis pose son crâne contre le matelas, tournant légèrement la tête pour le regarder. Sa bouche se ferme, enfin, elle se sent capable de respirer par le nez. Ainsi, un sourire tendre étire ses lèvres alors qu'elle ne peut le quitter du regard: hypnotisée, comme le premier soir. Il lui a fait vivre un moment des plus parfaits pour leurs retrouvailles, elle ne doutait pas que ce soit intense, mais à ce point... Il l'a surprise. Et ils ne se quittent pas du regard, l'on sent à cet instant le puissant amour qui les anime. Après quelques minutes de silence durant lesquelles leurs respirations saccadées se sont faites entendre, Mia finit par se tourner vers lui, avant de glisser afin de rapprocher son corps du sien.
Sans prévenir, sa main droite sur la joue du danseur avant d'atterrir dans ses cheveux. Et là, elle l'embrasse avidement, sans pour autant y mêler la langue, non. Juste de la fougue, de l'amour, de l'amour fou et puissant. Elle y donne tout, elle veut qu'il ressente la moindre émotion dans ce baiser, et même par cette main sur son cuir chevelu, et par ses lèvres qui caressent avidement les siennes. Au bout de quelques secondes, elle se retire finalement, sans trop s'éloigner de ses lèvres non plus. Elle ouvre simplement les yeux, les plantant dans les siens, puis vient finalement souffler contre ses lèvres. « Je t'aime aussi. » ses yeux se baissent sur ses lèvres. Un instant alors, elle les regarde avec envie, mais elle ne les embrassera pas cette fois. Non, elle se contente de lui sourire, amoureuse, avant de coller doucement son front contre le sien. Et au bout de quelques secondes ainsi, elle retire sa main de ses cheveux, décolle son front du sien pour glisser un peu et appuyer sa tête sur son torse. Là, l'occasion pour elle de récupérer les dernières forces qui lui manquent. Ses yeux ont tendance à se fermer trop facilement, le sommeil la menace, mais elle ne veut absolument pas dormir. Il en est hors de question, ils viennent à peine de se retrouver, et elle veut clairement profiter de sa journée avec lui. C'est pourquoi, après quelques courtes minutes passées sur son torse, elle se redresse en s'appuyant sur son bras gauche, regardant le beau brun. « J'aurais pas pu rêver mieux comme retrouvailles. » et elle craque, elle vient à nouveau se lover contre lui, dans ses bras, alors que les siens entourent la taille du jeune homme. Elle commence à déposer des baisers amoureux dans son cou, mais s'arrête subitement: elle sait les conséquences de ses actes, surtout ceux-là. Elle ne veut pas le relancer dans une séance de sex. Du moins, pas tout de suite.
Elle pose simplement sa tête contre son épaule, ses lèvres appuyées dessus, alors qu'elle ne le quitte pas du regard. Un regard insistant, mais espiègle. Et après avoir profité de cette douce peau sous ses lèvres pendant de longues minutes, elle vient finalement déposer un baiser furtif sur son épaule, avant de redresser légèrement la tête, le regardant. « Je vais préparer le p'tit déj! » déclare-t-elle, dynamique. elle sourit, se penche pour déposer un bisou sur sa joue puis se sépare de lui aisément, balançant ses jambes par dessus le lit pour se mettre debout, nue. Elle fait le tour du lit, à la recherche de son string. Une fois qu'elle l'a trouvé, elle se baisse pour l'enfiler, offrant alors un magnifique spectacle à son petit-ami qui doit allègrement profiter de cette paire de fesses galbées sous ses yeux. « Je te pique un t-shirt, hm... » déclare-t-elle, voyant l'état de son tricot. Elle n'oublie pas d'ailleurs de lancer un regard faussement vexé au jeune homme, avant de sourire et d'attraper un t-shirt blanc qui trainait sur la chaise de son bureau. Elle l'enfile, puis disparaît alors dans la cuisine après avoir attaché ses cheveux en un chignon bâclé.
Une fois dans la cuisine, Mia ne lésine pas sur la préparation. Elle prépare deux tasses de café, fait griller du pain et tout ce qu'elle trouve pour mettre dessus entre pâte à tartiner et confiture. le tout posé sur un plateau, bien rempli, qu'elle finit par ramener dans la chambre alors qu'elle pousse la porte avec son pied. Elle dépose doucement le plateau sur le lit, bien à plat, avant de s'installer confortablement, le dos appuyé contre le mur et les jambes étendues, la plateau se trouvant entre eux. « J'espère que je ne me suis pas trompée sur tes goûts? » elle lève les yeux vers lui et esquisse un sourire amusé, avant de prendre une première tranche de pain. Elle espère aussi que l'initiative qu'elle a pris lui plaît, après tout, elle a envie que leurs retrouvailles se passent du mieux possible.
CODES LITTLE WOLF.
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Re: sweetest morning (+) MIHYUN ♥ | Jeu 28 Sep - 23:05 Citer EditerSupprimer
SWEETEST MORNING
ft. mihyun ♥
Surprise babe, I'm here!
« Oui! » Ses gémissement te font perdre pieds, l'entendre dans cet état te pousse à continuer, à te surpasser. Savoir qu'elle te sent en elle, la possédant avec passion, certes, mais avec amour surtout. Parce que là tu es plus brusque dans tes mouvements, tu parviens tout de même à donner des coups de reins profonds, plus bestiaux encore. Et il faut dire que vous n'êtes pas vraiment discrets, les bruits de ces pénétrations, de vos corps humides entrant en contact à chacun de tes mouvements mais également par ces gémissements qui en deviennent rapidement des cris pour elle. Et toi, tu serres la mâchoire, étouffant tes propres grognements virils mais aussi pour ne pas la manger toute crue car là, tu en meurs d'envie. Tu sais que tu n'en ferais qu'une bouchée et ses gémissements te mettent l'eau à la bouche. Ce n'est qu'une question de secondes pour que tu atteignes cet orgasme si prometteur mais tu as envie de la sentir venir en même temps que toi, de partager ce moment, comme la dernière fois. Alors au moment où tu la sens se cambrer de plaisir, tu ne te fais pas prier pour apporter tes lèvres près de son oreille. Tu as envie qu'elle t'entende, non seulement ce que tu as à lui répéter mais aussi qu'elle puisse t'entendre atteindre cet orgasme. Et tu ne tardes pas à te laisser aller à cette sensation magique, elle aussi d'ailleurs, tu peux l'entendre aux cris qu'elle pousse, à son corps qui se cambre une dernière fois avant d'atteindre, lui aussi, l'apogée de ce délicieux plaisir.
Et c'est dans ses bras que tu viens y récupérer quelques forces, ton corps enveloppant le sien, vous enfermant alors dans cette chaleur que dégage encore vos ébats. Tu tentes de reprendre doucement ton souffle, ta respiration se fait encore haletante, bruyante mais tu te concentres uniquement sur le plaisir que ta petite amie vient de t'offrir. Plaisir que tu avais hâte de retrouver. Et tu frissonnes encore sous ces caresses, sous ces baisers qu'elle t'offre, mais tu la sens tout aussi essoufflée sous toi, tout aussi comblée. Pourtant, tu viens vite reprendre possession de ses lèvres dans un court baiser, dû à votre respiration qui ne s'est clairement pas remise de cet échange torride, amoureux. Ça, avant de te laisser finalement tomber sur le dos, à ses côtés. Et après un court instant à fixer ce plafond, reprenant peu à peu ta respiration, tu viens tourner ton visage dans sa direction. Tu l'admires, incapable de la quitter du regard jusqu'à ce que tu croises le sien. On peut y sentir tout cet amour, toute cette passion en un seul regard. C'est unique, ce que vous vivez tous les deux. Ce que vous ressentez l'un pour l'autre, c'est si fort, si puissant mais surtout, si beau. Tellement que vous vous sentez tout bonnement incapable de briser ce contact visuel, du moins, avant que Mia se glisse à tes côtés.
Sa main se glissant sur ta joue t'apaise, t'apporte toute la tendresse qu'un homme pourrait rêver. Et toi, tu l'as. Tu as tout ça, tu as Mia. Ouais, t'es chanceux et tu en as conscience. Et alors que sa main glisse dans tes cheveux, ta petite-amie t'offre ce baiser, non langoureux mais tout aussi puissant, lourd de sens. Un baiser auquel tu deviens rapidement accro. Tu lui rends ce baiser, évidemment, avec autant d'envie, et d'amour aussi, jusqu'à ce qu'elle y mette fin. Vos lèvres peuvent encore se toucher malgré tout et toi, tu te sens merveilleusement bien, il n'y a pas de meilleur sensation que celle-ci en réalité. Retrouver la femme que tu aimes, venant de lui faire l'amour en sachant pertinemment qu'elle est tienne désormais. « Je t'aime aussi. » Tu ne souris pas, pas tout de suite du moins. Ce merveilleux sentiment qu'est l'amour te prend beaucoup trop aux tripes. Ton regard se fait un peu trop sérieux mais son regard t'hypnotise à nouveau, comme si tu pouvais entendre ces mots résonner dans tes veines, dans ton esprit, ces mots qui redonnent à nouveau vie à ton cœur d'homme éperdument amoureux. Ça rend tes paroles davantage réelles. Oui tu le sais, tu lui as dit. Dans le feu de l'action, certes, mais c'est ce qu'elle a réussi à te faire ressentir. C'était si puissant que, oui, tu as réussi à lui avouer. Toi, Gwak Tae Hyun. Et c'était ce que tu voulais. Alors doucement, tu affiches un discret sourire. Un sourire à peine visible mais ton cœur lui, sourit grandement. Tu viens doucement fermer les yeux lorsque Mia dépose son front contre le tien, tu as besoin de la sentir près de toi, tout le temps. Tu ne supportes pas son absence et ces trois jours ont pu te le prouver, c'était long et tu ressentais ce manque. Ce manque que personne ne pouvait combler, à part cette femme. Alors au moment où elle vient glisser sa tête sur ton torse, ta main, se glisse sur son cuir chevelu. Tu lui offres de tendres caresses, jouant parfois de tes doigts avec ses cheveux, tu perds ton regard sur ce plafond mais en réalité, tu es plutôt perdu dans tes pensées. Et ouais, c'est ça l'amour. Toi qui ne pensait ne jamais pouvoir connaître ça, toi qui pensait être un handicapé des sentiments et tout ce qu'il s'en suit, te voilà comblé, amoureux comme jamais, avec la femme que tu aimes dans tes bras. Elle t'appartient. C'est beau, c'est fort et c'est pourtant si naturel. Si tu avais conscience de tes paroles et de tes agissements, tu ne te reconnaîtrais sans doute pas mais ça, tu t'en fiches pas mal. Tu l'aimes cette femme, et tu ne cherches absolument pas à le cacher. Tu n'es pas comme ça, tu veux la rendre heureuse mais aussi, qu'elle comprenne qu'elle sera la seule à pouvoir te rendre heureux.
« J'aurais pas pu rêver mieux comme retrouvailles. » te dit-elle, une fois redressée et ses beaux yeux plantés dans les tiens. Tu souris doucement, c'est vrai, toi non plus tu n'aurais pas pu rêver mieux, et pourtant, tu en as rêvé de ces retrouvailles. Ce n'était qu'un long week-end, trois petits jours mais qui étaient comme une éternité pour toi. C'est flippant, quand on y pense, mais tu t'es rendu à l'évidence maintenant: tu es accro à elle. Et tu lui montres une nouvelle fois lorsqu'elle vient se lover dans tes bras, entourant ta taille. Toi, tu resserres ton emprise sur elle, caressant doucement son épaule avant de venir la serrer tout contre toi. Tu frissonnes à chacun de ses baisers qu'elle dépose subitement dans ton cou, c'est dingue comme elle parvient à te rendre aussi... sensible, en faisant si peu. De simples baisers qui t'affaiblissent totalement. C'est pour cette raison que tu plonges ton regard dans le sien, tu ne peux définitivement pas t'en empêcher, elle reste là à te fixer, son menton posé sur ton épaule et toi, tu ne peux te résigner à lâcher ton regard d'elle. Il faut dire que la vue est si magnifique. Mia est magnifique. Elle dépose un énième baiser sur ton épaule puis, se redresse vivement, dynamique. « Je vais préparer le p'tit déj! » Tu hausses légèrement les sourcils de surprise. Oh non pas que ça te surprend vraiment, tu ne t'attendais juste pas à la voir aussi... Déterminée à faire le petit déjeuner. C'est pour cette raison que tu étouffes un rire discret, soufflant un « Ok... » au moment où elle dépose un dernier baiser sur ta joue. Par contre, ton regard ne la quitte pas. Tu l'observes se lever du lit, son corps encore nu, tu viens même te tourner sur le ventre ne loupant pas une miette du spectacle et d'autant plus lorsqu'elle se baisse pour enfiler son sous-vêtement. « Je te pique un t-shirt, hm... » « Hm? » Ok... Tu étais peut-être un peu trop concentré sur la vue qu'elle t'offrait, mais tu redescends rapidement sur terre lorsqu'elle te lance ce regard faussement vexé avant d'attraper un de tes t-shirts. Tu souris discrètement, mais de manière faussement innocente. Tu t'excuserais bien pour l'état de son tricot mais ça ne serait pas sincère, pour le coup... Tu n'es pas vraiment désolé. Et puis tu la regardes, quitter la chambre pour se rendre dans la cuisine.
Et une fois seul, tu te tardes pas à te lever, récupérant ton sous-vêtement au sol pour l'enfiler. Tu viens même te saisir de ton téléphone pour y regarder tes notifications pendant un court instant tout en te dirigeant vers ton jeans que tu finis par enfiler également. Et puis au bout de quelques minutes, tu retrouves place dans ton lit, ton dos appuyé contre le mur, Mia ne tarde pas à te rejoindre avec le plateau contenant tout ce qu'elle vous a préparé. Tes yeux s'écarquillent alors face à toute cette nourriture présenté face à toi, ah... la bouffe. Une longue histoire d'amour vous lie, quand même. Et puis tu souris tendrement face à l’initiative qu'elle a eu, en réalité, tu ne t'en rends même pas compte. Elle vient elle aussi prendre place à tes côtés, le plateau vous séparant. « J'espère que je ne me suis pas trompée sur tes goûts? » Tu te saisies alors d'une tranche de pain avant de relever ton regard dans sa direction, toujours ce même doux sourire sur les lèvres. « T'es parfaite. » Ça devrait répondre à sa question, pour le coup. Tu t'approches même dans le but de lui voler un baiser avant de reprendre, un peu plus joueur. « Même si je t'avoue que j'aurais préféré te manger toi. » Tu étais quand même à deux doigts de le faire...
Comme à chaque fois que tu te retrouves devant de la nourriture, tu ne te fais pas prier pour dévorer tout ça. Tu savoures, cependant, pendant plusieurs minutes tellement que tu vous plonges dans ce silence mais ce n'est pas de ta faute, tu te régales. Tu finis tout de même par reprendre la parole: « Ç'a été le retour? » Bah oui avec tout ça, vous n'aviez même pas eu le temps de parler. Ce n'est pas bien grave, elle aura tout le temps de te raconter tout ça, surtout que tu ne comptes pas la lâcher d'une semelle aujourd'hui. Et alors que tu termines de manger une énième tranche de pain, tu viens te redresser plus vivement, te levant du lit avant d'y faire le tour et de te placer près d'elle. « Bon, le programme d'aujourd'hui... » Passons aux choses sérieuses, maintenant. Tu te places face à elle, déposant tes poings de chaque côté de son corps pour y prendre appui, tu penches ton visage dans sa direction. Tu adoptes même une voix plus douce qu'habituellement.« On prend une bonne douche, après ça, on prépare tout pour manger dehors. Dans le parc où tu pourras me raconter ton séjour plus en détails. » Ouais, un petit pique-nique en amoureux. Tu approches doucement ton visage du sien, un fin sourire aux lèvres. « Cet après-midi, on pourrait aller voir tes parents... » Histoire qu'ils puissent revoir leur fille pour son retour, quand même. « Si ça te tente, on peut aller au cinéma en fin d'après-midi, mais ce soir, je t'emmène au restau. » Tu souris doucement contre ses lèvres que tu frôles désormais des tiennes avant de reprendre, chuchotant presque. « Et dès qu'on rentre à l'appart, je te fais l'amour comme un fou parce que te voir dans cette robe m'aura rendu dingue toute la soirée. » Ok alors ça, tu ne pouvais pas t'en empêcher. Tu lui voles un baiser avant de te redresser, te dirigeant vers une de tes armoires. « Enfin, si elle te plaît. » reprends-tu, plus sérieusement. Tu te saisies alors d'un joli sac, contenant cette robe que tu avais acheté dans cette boutique. Il faut dire que tu ne t'y connais pas trop, t'es pas dans le stylisme et avec une petite-amie comme Mia, c'est encore plus compliqué pour toi. Ce n'est pas comme si ce n'était pas son domaine. Tu t'approches à nouveau d'elle, t'asseyant sur le rebord du lit, près d'elle, tu lui déposes le sac face à elle, un doux sourire sur les lèvres. « Quand je l'ai vu, j'ai su qu'elle était faite pour toi. » Oui, tu as tout de suite imaginé Mia la porter, tu as d'ailleurs mis le prix mais ça, tu t'en fiches pas mal. Quand on aime, ne compte pas, c'est ce qu'on dit. Tu espères tout de même qu'elle va lui plaire mais tu connais son style, ça devrait aller. Tu ne la quittes pas du regard, un regard amoureux qui a besoin d'observer sa plus belle merveille, encore plus si ce cadeau lui plaît vraiment, tu ne veux pas louper ça. Tu sais que cette robe lui irait à merveille, encore plus avec ce collier que tu lui as acheté mais ça... Elle devra attendre que tu lui offres, au restaurant, ce soir.
✻✻✻
« Oui! » Ses gémissement te font perdre pieds, l'entendre dans cet état te pousse à continuer, à te surpasser. Savoir qu'elle te sent en elle, la possédant avec passion, certes, mais avec amour surtout. Parce que là tu es plus brusque dans tes mouvements, tu parviens tout de même à donner des coups de reins profonds, plus bestiaux encore. Et il faut dire que vous n'êtes pas vraiment discrets, les bruits de ces pénétrations, de vos corps humides entrant en contact à chacun de tes mouvements mais également par ces gémissements qui en deviennent rapidement des cris pour elle. Et toi, tu serres la mâchoire, étouffant tes propres grognements virils mais aussi pour ne pas la manger toute crue car là, tu en meurs d'envie. Tu sais que tu n'en ferais qu'une bouchée et ses gémissements te mettent l'eau à la bouche. Ce n'est qu'une question de secondes pour que tu atteignes cet orgasme si prometteur mais tu as envie de la sentir venir en même temps que toi, de partager ce moment, comme la dernière fois. Alors au moment où tu la sens se cambrer de plaisir, tu ne te fais pas prier pour apporter tes lèvres près de son oreille. Tu as envie qu'elle t'entende, non seulement ce que tu as à lui répéter mais aussi qu'elle puisse t'entendre atteindre cet orgasme. Et tu ne tardes pas à te laisser aller à cette sensation magique, elle aussi d'ailleurs, tu peux l'entendre aux cris qu'elle pousse, à son corps qui se cambre une dernière fois avant d'atteindre, lui aussi, l'apogée de ce délicieux plaisir.
Et c'est dans ses bras que tu viens y récupérer quelques forces, ton corps enveloppant le sien, vous enfermant alors dans cette chaleur que dégage encore vos ébats. Tu tentes de reprendre doucement ton souffle, ta respiration se fait encore haletante, bruyante mais tu te concentres uniquement sur le plaisir que ta petite amie vient de t'offrir. Plaisir que tu avais hâte de retrouver. Et tu frissonnes encore sous ces caresses, sous ces baisers qu'elle t'offre, mais tu la sens tout aussi essoufflée sous toi, tout aussi comblée. Pourtant, tu viens vite reprendre possession de ses lèvres dans un court baiser, dû à votre respiration qui ne s'est clairement pas remise de cet échange torride, amoureux. Ça, avant de te laisser finalement tomber sur le dos, à ses côtés. Et après un court instant à fixer ce plafond, reprenant peu à peu ta respiration, tu viens tourner ton visage dans sa direction. Tu l'admires, incapable de la quitter du regard jusqu'à ce que tu croises le sien. On peut y sentir tout cet amour, toute cette passion en un seul regard. C'est unique, ce que vous vivez tous les deux. Ce que vous ressentez l'un pour l'autre, c'est si fort, si puissant mais surtout, si beau. Tellement que vous vous sentez tout bonnement incapable de briser ce contact visuel, du moins, avant que Mia se glisse à tes côtés.
Sa main se glissant sur ta joue t'apaise, t'apporte toute la tendresse qu'un homme pourrait rêver. Et toi, tu l'as. Tu as tout ça, tu as Mia. Ouais, t'es chanceux et tu en as conscience. Et alors que sa main glisse dans tes cheveux, ta petite-amie t'offre ce baiser, non langoureux mais tout aussi puissant, lourd de sens. Un baiser auquel tu deviens rapidement accro. Tu lui rends ce baiser, évidemment, avec autant d'envie, et d'amour aussi, jusqu'à ce qu'elle y mette fin. Vos lèvres peuvent encore se toucher malgré tout et toi, tu te sens merveilleusement bien, il n'y a pas de meilleur sensation que celle-ci en réalité. Retrouver la femme que tu aimes, venant de lui faire l'amour en sachant pertinemment qu'elle est tienne désormais. « Je t'aime aussi. » Tu ne souris pas, pas tout de suite du moins. Ce merveilleux sentiment qu'est l'amour te prend beaucoup trop aux tripes. Ton regard se fait un peu trop sérieux mais son regard t'hypnotise à nouveau, comme si tu pouvais entendre ces mots résonner dans tes veines, dans ton esprit, ces mots qui redonnent à nouveau vie à ton cœur d'homme éperdument amoureux. Ça rend tes paroles davantage réelles. Oui tu le sais, tu lui as dit. Dans le feu de l'action, certes, mais c'est ce qu'elle a réussi à te faire ressentir. C'était si puissant que, oui, tu as réussi à lui avouer. Toi, Gwak Tae Hyun. Et c'était ce que tu voulais. Alors doucement, tu affiches un discret sourire. Un sourire à peine visible mais ton cœur lui, sourit grandement. Tu viens doucement fermer les yeux lorsque Mia dépose son front contre le tien, tu as besoin de la sentir près de toi, tout le temps. Tu ne supportes pas son absence et ces trois jours ont pu te le prouver, c'était long et tu ressentais ce manque. Ce manque que personne ne pouvait combler, à part cette femme. Alors au moment où elle vient glisser sa tête sur ton torse, ta main, se glisse sur son cuir chevelu. Tu lui offres de tendres caresses, jouant parfois de tes doigts avec ses cheveux, tu perds ton regard sur ce plafond mais en réalité, tu es plutôt perdu dans tes pensées. Et ouais, c'est ça l'amour. Toi qui ne pensait ne jamais pouvoir connaître ça, toi qui pensait être un handicapé des sentiments et tout ce qu'il s'en suit, te voilà comblé, amoureux comme jamais, avec la femme que tu aimes dans tes bras. Elle t'appartient. C'est beau, c'est fort et c'est pourtant si naturel. Si tu avais conscience de tes paroles et de tes agissements, tu ne te reconnaîtrais sans doute pas mais ça, tu t'en fiches pas mal. Tu l'aimes cette femme, et tu ne cherches absolument pas à le cacher. Tu n'es pas comme ça, tu veux la rendre heureuse mais aussi, qu'elle comprenne qu'elle sera la seule à pouvoir te rendre heureux.
« J'aurais pas pu rêver mieux comme retrouvailles. » te dit-elle, une fois redressée et ses beaux yeux plantés dans les tiens. Tu souris doucement, c'est vrai, toi non plus tu n'aurais pas pu rêver mieux, et pourtant, tu en as rêvé de ces retrouvailles. Ce n'était qu'un long week-end, trois petits jours mais qui étaient comme une éternité pour toi. C'est flippant, quand on y pense, mais tu t'es rendu à l'évidence maintenant: tu es accro à elle. Et tu lui montres une nouvelle fois lorsqu'elle vient se lover dans tes bras, entourant ta taille. Toi, tu resserres ton emprise sur elle, caressant doucement son épaule avant de venir la serrer tout contre toi. Tu frissonnes à chacun de ses baisers qu'elle dépose subitement dans ton cou, c'est dingue comme elle parvient à te rendre aussi... sensible, en faisant si peu. De simples baisers qui t'affaiblissent totalement. C'est pour cette raison que tu plonges ton regard dans le sien, tu ne peux définitivement pas t'en empêcher, elle reste là à te fixer, son menton posé sur ton épaule et toi, tu ne peux te résigner à lâcher ton regard d'elle. Il faut dire que la vue est si magnifique. Mia est magnifique. Elle dépose un énième baiser sur ton épaule puis, se redresse vivement, dynamique. « Je vais préparer le p'tit déj! » Tu hausses légèrement les sourcils de surprise. Oh non pas que ça te surprend vraiment, tu ne t'attendais juste pas à la voir aussi... Déterminée à faire le petit déjeuner. C'est pour cette raison que tu étouffes un rire discret, soufflant un « Ok... » au moment où elle dépose un dernier baiser sur ta joue. Par contre, ton regard ne la quitte pas. Tu l'observes se lever du lit, son corps encore nu, tu viens même te tourner sur le ventre ne loupant pas une miette du spectacle et d'autant plus lorsqu'elle se baisse pour enfiler son sous-vêtement. « Je te pique un t-shirt, hm... » « Hm? » Ok... Tu étais peut-être un peu trop concentré sur la vue qu'elle t'offrait, mais tu redescends rapidement sur terre lorsqu'elle te lance ce regard faussement vexé avant d'attraper un de tes t-shirts. Tu souris discrètement, mais de manière faussement innocente. Tu t'excuserais bien pour l'état de son tricot mais ça ne serait pas sincère, pour le coup... Tu n'es pas vraiment désolé. Et puis tu la regardes, quitter la chambre pour se rendre dans la cuisine.
Et une fois seul, tu te tardes pas à te lever, récupérant ton sous-vêtement au sol pour l'enfiler. Tu viens même te saisir de ton téléphone pour y regarder tes notifications pendant un court instant tout en te dirigeant vers ton jeans que tu finis par enfiler également. Et puis au bout de quelques minutes, tu retrouves place dans ton lit, ton dos appuyé contre le mur, Mia ne tarde pas à te rejoindre avec le plateau contenant tout ce qu'elle vous a préparé. Tes yeux s'écarquillent alors face à toute cette nourriture présenté face à toi, ah... la bouffe. Une longue histoire d'amour vous lie, quand même. Et puis tu souris tendrement face à l’initiative qu'elle a eu, en réalité, tu ne t'en rends même pas compte. Elle vient elle aussi prendre place à tes côtés, le plateau vous séparant. « J'espère que je ne me suis pas trompée sur tes goûts? » Tu te saisies alors d'une tranche de pain avant de relever ton regard dans sa direction, toujours ce même doux sourire sur les lèvres. « T'es parfaite. » Ça devrait répondre à sa question, pour le coup. Tu t'approches même dans le but de lui voler un baiser avant de reprendre, un peu plus joueur. « Même si je t'avoue que j'aurais préféré te manger toi. » Tu étais quand même à deux doigts de le faire...
Comme à chaque fois que tu te retrouves devant de la nourriture, tu ne te fais pas prier pour dévorer tout ça. Tu savoures, cependant, pendant plusieurs minutes tellement que tu vous plonges dans ce silence mais ce n'est pas de ta faute, tu te régales. Tu finis tout de même par reprendre la parole: « Ç'a été le retour? » Bah oui avec tout ça, vous n'aviez même pas eu le temps de parler. Ce n'est pas bien grave, elle aura tout le temps de te raconter tout ça, surtout que tu ne comptes pas la lâcher d'une semelle aujourd'hui. Et alors que tu termines de manger une énième tranche de pain, tu viens te redresser plus vivement, te levant du lit avant d'y faire le tour et de te placer près d'elle. « Bon, le programme d'aujourd'hui... » Passons aux choses sérieuses, maintenant. Tu te places face à elle, déposant tes poings de chaque côté de son corps pour y prendre appui, tu penches ton visage dans sa direction. Tu adoptes même une voix plus douce qu'habituellement.« On prend une bonne douche, après ça, on prépare tout pour manger dehors. Dans le parc où tu pourras me raconter ton séjour plus en détails. » Ouais, un petit pique-nique en amoureux. Tu approches doucement ton visage du sien, un fin sourire aux lèvres. « Cet après-midi, on pourrait aller voir tes parents... » Histoire qu'ils puissent revoir leur fille pour son retour, quand même. « Si ça te tente, on peut aller au cinéma en fin d'après-midi, mais ce soir, je t'emmène au restau. » Tu souris doucement contre ses lèvres que tu frôles désormais des tiennes avant de reprendre, chuchotant presque. « Et dès qu'on rentre à l'appart, je te fais l'amour comme un fou parce que te voir dans cette robe m'aura rendu dingue toute la soirée. » Ok alors ça, tu ne pouvais pas t'en empêcher. Tu lui voles un baiser avant de te redresser, te dirigeant vers une de tes armoires. « Enfin, si elle te plaît. » reprends-tu, plus sérieusement. Tu te saisies alors d'un joli sac, contenant cette robe que tu avais acheté dans cette boutique. Il faut dire que tu ne t'y connais pas trop, t'es pas dans le stylisme et avec une petite-amie comme Mia, c'est encore plus compliqué pour toi. Ce n'est pas comme si ce n'était pas son domaine. Tu t'approches à nouveau d'elle, t'asseyant sur le rebord du lit, près d'elle, tu lui déposes le sac face à elle, un doux sourire sur les lèvres. « Quand je l'ai vu, j'ai su qu'elle était faite pour toi. » Oui, tu as tout de suite imaginé Mia la porter, tu as d'ailleurs mis le prix mais ça, tu t'en fiches pas mal. Quand on aime, ne compte pas, c'est ce qu'on dit. Tu espères tout de même qu'elle va lui plaire mais tu connais son style, ça devrait aller. Tu ne la quittes pas du regard, un regard amoureux qui a besoin d'observer sa plus belle merveille, encore plus si ce cadeau lui plaît vraiment, tu ne veux pas louper ça. Tu sais que cette robe lui irait à merveille, encore plus avec ce collier que tu lui as acheté mais ça... Elle devra attendre que tu lui offres, au restaurant, ce soir.
CODES LITTLE WOLF.
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Re: sweetest morning (+) MIHYUN ♥ | Sam 14 Oct - 23:01 Citer EditerSupprimer
SWEETEST MORNING
ft. mihyun ♥
Surprise babe, I'm here!
Oh, elle sait qu’il l’a regardé pendant qu’elle s’est promenée nue, même si ça n’a duré que quelques courtes secondes. Et sachez bien que ça l’amuse de voir qu’elle arrive à attirer son regard quelques soient les circonstances. Faut dire aussi ce qui est, Mia a un corps à faire pâlir de nombreuses filles de son âge. Un corps mince et musclé par le sport, ce qui ne l’a pas empêché pour autant d’avoir une belle poitrine. Ah, sa poitrine… Elle en est fière, elle sait quelle chance elle a d’avoir un bonnet plus grand que la moyenne mais avoir ce genre d’atout l’amène systématiquement à être abordée en soirée, et de ce fait à ressortir maintes et maintes fois les mêmes excuses « non désolée, j’ai un copain » ou « j’suis lesbienne » ou parfois, elle ne tournait pas autour du pot, et concluait la courte discussion par un « dégage ». Elle aurait pu le faire ce fameux soir de Février où Taehyun étai venu lui parler mais là, bizarrement, elle avait plutôt aimé qu’il fasse le premier pas. Coup de foudre? Peut-être. En tout cas, il n’y a qu’à la voir sourire alors qu’elle quitte la chambre pour comprendre que l’on a sous nos yeux une jeune femme amoureuse et épanouie. Et elle n’est pas au bout de ses surprises. Pour l’heure, c’est à elle de combler son homme, alors certes ce n’est pas non plus grand chose mais elle sait qu’elle, elle aime qu’on lui mène le petit déjeuner au lit, et elle se dit que son petit-ami ne dois pas déroger à la règle, vu le gros mangeur qu’il est. Et le plateau, elle le remplit! Elle n’oublie rien, de sorte à ne pas avoir à faire des allers retours répétitifs à la cuisine, mais aussi pour paraître parfaite. Elle ne l’est pas, mais elle essaye de l’être pour lui. Et uniquement pour lui.
Elle s’installe donc sur le lit avec ce plateau bien garni, s’assurant d’avoir pris ce qu’aime Taehyun. Enfin, qu’elle croit. Elle n’a jamais passé un matin avec lui. A chaque fois, ils se disaient vite au revoir avant de se préparer pour affronter leurs journées et ça l’avait d’ailleurs frustré un bon nombre de fois. Ouais, même quand ils n’étaient qu’amants, Mia avait déjà envie de traîner au lit dans ses bras et sentir la chaleur de son corps. Elle rêvait de ces matins interminables où ils auraient pu partager un café tout en se racontant des choses aussi futiles les unes que les autres. Et c’est en prenant sa tasse de café entre ses mains qu’elle réalise que cette fois, c’est pour de vrai. Elle a même besoin de baisser les yeux vers les draps blancs de ce lit pour prendre conscience que le plus dur est derrière eux, qu’elle a triomphé sur tous ses démons et qu’elle a réussi à se sortir d’une vie désastreuse grâce à lui. « T'es parfaite. » Elle pose ses yeux bruns sur lui avant de lui sourire, attendrie. « Même si je t'avoue que j'aurais préféré te manger toi. » et là, elle ferme les yeux, son sourire devient faussement crispé, et elle hausse les épaules avant de rouvrir les yeux. « Navrée de te dire ça mais je pense pas être aussi appétissante que cette tranche de pain. » Quoique, sait-on jamais, pour Taehyun Mia serait plus appétissante que n’importe quel plat. Toujours souriante, elle pose sa tasse de café sur le plateau avant de se saisir d’un toast sur lequel elle étale un peu de pâte à tartiner. Elle le savoure, parce qu’elle se permet rarement des déjeuners aussi copieux. Et elle est tellement contente qu’elle en oublie carrément le silence qui a plongé les deux amoureux. Silence que le brun ne tarde pas à briser. « Ç'a été le retour? » elle tourne la tête pour le regarder. Vu qu’elle al a bouche pleine, elle préfère acquiescer plusieurs fois, vivement, avant d’avaler ce qu’elle avait déjà dans la bouche. « Ouais ouais, j’ai dormi tout le long, ça passe plus vite comme ça. » elle sourit faiblement avant d’attraper le pot de pâte à tartiner pour regarder le nom. Si Taehyun est connu pour être un gros mangeur, sa copine, elle, est une sacrée gourmande qui ne se cache pas. Elle s’en fiche, elle peut se faire plaisir, ce sont des calories qu’elle brûle quasiment tous les matins avec son footing. Pourquoi elle regarde le nom? Pour s’en acheter un pot, bien sûr!
Elle porte la tasse à sa bouche pour boire quelques gorgées de café mais manque d’en renverser quand Taehyun quitte le lit. D’ailleurs, elle le suit du regard, à mi chemin entre la surprise et la curiosité. Il fait le tour du lit, venant se placer près d’elle. « Bon, le programme d'aujourd'hui... » Elle le regarde, intriguée, avant de poser sa tasse sur le plateau pour libérer ses mains. On sait jamais, elle peut en avoir besoin. Il appuie ses poings sur le matelas, se penchant lentement vers elle, ce qui la fait sourire doucement avec tendresse. « On prend une bonne douche, après ça, on prépare tout pour manger dehors. Dans le parc où tu pourras me raconter ton séjour plus en détails. » Elle écarquille les yeux pour montrer son excitation, là, il vient de lui proposer un plan qui plaît. Elle ne prend jamais le temps de pique-niquer avec ses parents, ça l’attriste mais si elle peut le faire avec celui qu’elle aime, c’est encore mieux. Son sourire ne quitte pas ses lèvres alors qu’il approche encore un peu son visage. Il lui propose encore quelques activités, comme rendre visite à ses parents ou aller au cinéma, mais elle n’a pas vraiment envie de rendre visite à ses parents, elle ne veut rester qu’avec Taehyun pour le moment. En tout cas, il semble avoir déjà prévu la soirée puisqu’il lui parle d’un restaurant. Intriguée, elle fronce les sourcils. Leurs lèvres se frôlent, et elle défronce aussitôt les sourcils pour laisser place à une mine bien plus radieuse. Elle a envie de lui mordre la lèvre mais elle se retient, il semble ne pas avoir fini. « Et dès qu'on rentre à l'appart, je te fais l'amour comme un fou parce que te voir dans cette robe m'aura rendu dingue toute la soirée. » Elle ne comprend pas tout de suite. Non, en fait, elle va même pour lui attraper la lèvre avec ses dents lorsque l’information lui monte au cerveau. Cette robe? Mais quelle robe? Et il s’éclipse, non sans lui avoir volé un baiser.
Mia le regarde se diriger vers l’armoire: elle commence à comprendre. Elle décroise les jambes, s’asseyant d’avantage au bord du lit alors qu’il attrape un sac. Elle reconnaît tout de suite la marque, son coeur rate un battement. Même elle, elle ne s’achète pas des robes comme ça. Elle pose alors sa main droite sur sa poitrine, son sourire a disparu, elle semble sérieuse, et elle ne quitte pas le sac du regard, sac maintenant posé par terre, face à elle. « Quand je l'ai vu, j'ai su qu'elle était faite pour toi. » Et elle pose son regard sur lui. Elle ne le quitte pas du regard pendant de longues secondes, et un soupir vient finalement secouer sa poitrine, alors qu’elle le regarde, presque blasée. « Mais qu’est-ce que tu as fait, là… » enfin, elle sait déjà que faire les boutiques, c’est vraiment pas son dada mais alors se rendre dans un tel magasin et dépenser le prix, même le plus bas, pour une robe de cette marque… c’est de la folie. « T’as perdu la tête? » elle sourit doucement, avant de secouer la tête, reposant son regard sur le sac. « Tu sais que ça me gêne qu’on m’offre des choses. » partant du principe qu’elle peut, presque, tout s’acheter? Tout comme elle lui a dit à quel point ça la gênait grandement qu’il lui paye un coup à boire le soir de leur rencontre. Enfin bref, elle se penche un peu pour atteindre le sac qu’elle ouvre. Dedans, une grande boite, blanche, rectangulaire, qu’elle sort du sac et qu’elle pose sur ses genoux. Elle secoue longuement la tête, toujours souriante, tout en se disant que Taehyun a vraiment mis les bouchées doubles pour elle, et ça lui fait quelque chose. Oui. Ça l’attendrit, ça la rend encore plus amoureuse qu’elle ne l’est déjà, parce qu’elle sait que ce n’est pas le genre de chose qu’il peut se permettre d’acheter ou du moins, il a bien plus important et utile à se payer. Pourtant, il l’a fait. Et quand elle ouvre la boite, sa bouche s’entrouvre, ses yeux s’illuminent.
« Wow… » et c’est une prodige de la mode qui s’exprime. Les mots lui manquent. La robe est soigneusement pliée, et sa couleur éclatante. Rouge, d’un rouge passion, comme l’amour qu'elle éprouve pour Taehyun. Elle la prend par les bras et la relève doucement, la dépliant par la même occasion. Et elle lève la tête pour la regarder, sa bouche entrouverte traduisant parfaitement sa surprise. « Qu’est-ce qu’elle est belle… » elle pose la boite sur le lit pour pouvoir se lever. Elle colle la robe à son corps avant de se regarder dans le miroir, étudiant les moindres détails de ses yeux de future styliste. Et elle se tourne vers Taehyun, un sourire radieux aux lèvres. « Même la taille est bonne. Comment t’as fait? » soyons honnêtes, en général les mecs se trompent toujours lors du premier habit qu’ils offrent. Taehyun est l’exception et Mia est tout à fait ravie de voir que son petit-ami se débrouille bien dans ce domaine. En tout cas, c’est une robe sacrément sexy, pas étonnant qu’il veuille lui faire l’amour en rentrant de la soirée. Elle se mord la lèvre, baissant à nouveau les yeux vers son cadeau, avant de la replier soigneusement et de la poser dans la boite. Elle se tourne alors vers le danseur, un sourire espiègle aux lèvres, avant de se placer devant lui, écartant les jambes pour que celles du jeune homme aient leur espace et se trouver au plus proche de lui. Elle pose ses bras autour de son cou, penchant la tête vers la sienne pour rapprocher leurs lèvres. « Merci… » elle ferme les yeux un court instant pour finalement les rouvrir. Leurs lèvres se frôlent, et elle vient chuchoter contre sa peau: « Mais je maintiens: t'es fou. » Ses bras se resserrent légèrement autour du cou du beau brun, et elle ne se fait pas prier pour capturer ses lèvres avec amour, donnant naissance à un baiser qu’elle fait durer quelques longues secondes, avant de détacher ses lèvres des siennes.
Elle recule finalement son corps pour se tourner vers la boite, qu’elle glisse à nouveau dans le sac. Sac qu’elle prend et qu’elle remet dans l’armoire, bien rangée. « Je la range ici en attendant d’être à ce soir. » Et elle se tourne, posant directement ses yeux bruns sur le jeune homme. Ses mains se joignent devant elle, elle commence à les triturer, un sourire espiègle aux lèvres. « Du coup, si j’ai bien suivi… » elle marche en direction du lit, passant sous les yeux du beau brun, avant de revenir s’asseoir en tailleur, reprenant sa tasse entre ses mains. « La prochaine étape c’est le pique nique, hm? » elle le regarde, amoureusement, avant de se pencher pour lui voler un énième baiser. « Je dois dire que tout ton programme me convient. » sans trop s’éloigner de ses lèvres, elle lui chuchote, toujours aussi espiègle. « Surtout la dernière partie… » parole qu’elle accompagne d’un clin d’oeil alors que son sourire s’élargit. Elle espère qu’il comprend son sous-entendu. Mais oui, vous savez, la partie où il a parlé de lui faire l’amour comme un fou. C’est le plus intéressant dans tout le programme. Elle recule à nouveau, cette fois pour appuyer son dos contre le mur, buvant les dernières gorgées de son café à vitesse grand V parce que oui, ils ont un pique nique à préparer. Alors, quand elle pose la tasse sur le plateau, elle ne perd pas de temps avant de le récupérer et de se lever. « Allez, au boulot jeune homme. On a un repas à préparer. » lance-t-elle, excitée comme une puce par le programme qui les attend. Et elle quitte la chambre en ouvrant la porte avec le pied. Si ça la dérange de se trimballer en t-shirt et culotte dans un appartement qui n’est pas le sien? Pas le moins du monde. Cela dit, on en reparlera s’il y a quelqu’un qui débarque. Elle n’est gênée pour rien mais c’est plutôt qu’elle ne veut pas porter atteinte aux autres. Elle porte un string, quand même… Ce qui veut dire qu’à peine lève-t-elle les bras que ses fesses sont révélées au grand jour. Première étape: la vaisselle. Elle ouvre le lave-vaisselle et commence à le vider, à ranger tous les ustensiles pendant que Tae, lui, s’occupe de ranger le reste du petit déjeuner. Une fois vidé, Mia ne tarde pas à re remplir le lave-vaisselle avec ce qu’il restait dans l’évier. Elle le ferme donc après avoir terminé sa mission. « Tu veux manger quoi ce midi? » Oh bizarre, elle a l’impression de ne parler que de bouffe depuis toute à l’heure, ça doit être un effet secondaire d’être en couple avec Gwak Tae Hyun. « Je dis ça comme ça mais je peux faire de bonnes tartes… » Dit-elle, sans le regarder, alors qu’elle passe l’éponge sur le plan de travail pour nettoyer tout ça.
✻✻✻
Oh, elle sait qu’il l’a regardé pendant qu’elle s’est promenée nue, même si ça n’a duré que quelques courtes secondes. Et sachez bien que ça l’amuse de voir qu’elle arrive à attirer son regard quelques soient les circonstances. Faut dire aussi ce qui est, Mia a un corps à faire pâlir de nombreuses filles de son âge. Un corps mince et musclé par le sport, ce qui ne l’a pas empêché pour autant d’avoir une belle poitrine. Ah, sa poitrine… Elle en est fière, elle sait quelle chance elle a d’avoir un bonnet plus grand que la moyenne mais avoir ce genre d’atout l’amène systématiquement à être abordée en soirée, et de ce fait à ressortir maintes et maintes fois les mêmes excuses « non désolée, j’ai un copain » ou « j’suis lesbienne » ou parfois, elle ne tournait pas autour du pot, et concluait la courte discussion par un « dégage ». Elle aurait pu le faire ce fameux soir de Février où Taehyun étai venu lui parler mais là, bizarrement, elle avait plutôt aimé qu’il fasse le premier pas. Coup de foudre? Peut-être. En tout cas, il n’y a qu’à la voir sourire alors qu’elle quitte la chambre pour comprendre que l’on a sous nos yeux une jeune femme amoureuse et épanouie. Et elle n’est pas au bout de ses surprises. Pour l’heure, c’est à elle de combler son homme, alors certes ce n’est pas non plus grand chose mais elle sait qu’elle, elle aime qu’on lui mène le petit déjeuner au lit, et elle se dit que son petit-ami ne dois pas déroger à la règle, vu le gros mangeur qu’il est. Et le plateau, elle le remplit! Elle n’oublie rien, de sorte à ne pas avoir à faire des allers retours répétitifs à la cuisine, mais aussi pour paraître parfaite. Elle ne l’est pas, mais elle essaye de l’être pour lui. Et uniquement pour lui.
Elle s’installe donc sur le lit avec ce plateau bien garni, s’assurant d’avoir pris ce qu’aime Taehyun. Enfin, qu’elle croit. Elle n’a jamais passé un matin avec lui. A chaque fois, ils se disaient vite au revoir avant de se préparer pour affronter leurs journées et ça l’avait d’ailleurs frustré un bon nombre de fois. Ouais, même quand ils n’étaient qu’amants, Mia avait déjà envie de traîner au lit dans ses bras et sentir la chaleur de son corps. Elle rêvait de ces matins interminables où ils auraient pu partager un café tout en se racontant des choses aussi futiles les unes que les autres. Et c’est en prenant sa tasse de café entre ses mains qu’elle réalise que cette fois, c’est pour de vrai. Elle a même besoin de baisser les yeux vers les draps blancs de ce lit pour prendre conscience que le plus dur est derrière eux, qu’elle a triomphé sur tous ses démons et qu’elle a réussi à se sortir d’une vie désastreuse grâce à lui. « T'es parfaite. » Elle pose ses yeux bruns sur lui avant de lui sourire, attendrie. « Même si je t'avoue que j'aurais préféré te manger toi. » et là, elle ferme les yeux, son sourire devient faussement crispé, et elle hausse les épaules avant de rouvrir les yeux. « Navrée de te dire ça mais je pense pas être aussi appétissante que cette tranche de pain. » Quoique, sait-on jamais, pour Taehyun Mia serait plus appétissante que n’importe quel plat. Toujours souriante, elle pose sa tasse de café sur le plateau avant de se saisir d’un toast sur lequel elle étale un peu de pâte à tartiner. Elle le savoure, parce qu’elle se permet rarement des déjeuners aussi copieux. Et elle est tellement contente qu’elle en oublie carrément le silence qui a plongé les deux amoureux. Silence que le brun ne tarde pas à briser. « Ç'a été le retour? » elle tourne la tête pour le regarder. Vu qu’elle al a bouche pleine, elle préfère acquiescer plusieurs fois, vivement, avant d’avaler ce qu’elle avait déjà dans la bouche. « Ouais ouais, j’ai dormi tout le long, ça passe plus vite comme ça. » elle sourit faiblement avant d’attraper le pot de pâte à tartiner pour regarder le nom. Si Taehyun est connu pour être un gros mangeur, sa copine, elle, est une sacrée gourmande qui ne se cache pas. Elle s’en fiche, elle peut se faire plaisir, ce sont des calories qu’elle brûle quasiment tous les matins avec son footing. Pourquoi elle regarde le nom? Pour s’en acheter un pot, bien sûr!
Elle porte la tasse à sa bouche pour boire quelques gorgées de café mais manque d’en renverser quand Taehyun quitte le lit. D’ailleurs, elle le suit du regard, à mi chemin entre la surprise et la curiosité. Il fait le tour du lit, venant se placer près d’elle. « Bon, le programme d'aujourd'hui... » Elle le regarde, intriguée, avant de poser sa tasse sur le plateau pour libérer ses mains. On sait jamais, elle peut en avoir besoin. Il appuie ses poings sur le matelas, se penchant lentement vers elle, ce qui la fait sourire doucement avec tendresse. « On prend une bonne douche, après ça, on prépare tout pour manger dehors. Dans le parc où tu pourras me raconter ton séjour plus en détails. » Elle écarquille les yeux pour montrer son excitation, là, il vient de lui proposer un plan qui plaît. Elle ne prend jamais le temps de pique-niquer avec ses parents, ça l’attriste mais si elle peut le faire avec celui qu’elle aime, c’est encore mieux. Son sourire ne quitte pas ses lèvres alors qu’il approche encore un peu son visage. Il lui propose encore quelques activités, comme rendre visite à ses parents ou aller au cinéma, mais elle n’a pas vraiment envie de rendre visite à ses parents, elle ne veut rester qu’avec Taehyun pour le moment. En tout cas, il semble avoir déjà prévu la soirée puisqu’il lui parle d’un restaurant. Intriguée, elle fronce les sourcils. Leurs lèvres se frôlent, et elle défronce aussitôt les sourcils pour laisser place à une mine bien plus radieuse. Elle a envie de lui mordre la lèvre mais elle se retient, il semble ne pas avoir fini. « Et dès qu'on rentre à l'appart, je te fais l'amour comme un fou parce que te voir dans cette robe m'aura rendu dingue toute la soirée. » Elle ne comprend pas tout de suite. Non, en fait, elle va même pour lui attraper la lèvre avec ses dents lorsque l’information lui monte au cerveau. Cette robe? Mais quelle robe? Et il s’éclipse, non sans lui avoir volé un baiser.
Mia le regarde se diriger vers l’armoire: elle commence à comprendre. Elle décroise les jambes, s’asseyant d’avantage au bord du lit alors qu’il attrape un sac. Elle reconnaît tout de suite la marque, son coeur rate un battement. Même elle, elle ne s’achète pas des robes comme ça. Elle pose alors sa main droite sur sa poitrine, son sourire a disparu, elle semble sérieuse, et elle ne quitte pas le sac du regard, sac maintenant posé par terre, face à elle. « Quand je l'ai vu, j'ai su qu'elle était faite pour toi. » Et elle pose son regard sur lui. Elle ne le quitte pas du regard pendant de longues secondes, et un soupir vient finalement secouer sa poitrine, alors qu’elle le regarde, presque blasée. « Mais qu’est-ce que tu as fait, là… » enfin, elle sait déjà que faire les boutiques, c’est vraiment pas son dada mais alors se rendre dans un tel magasin et dépenser le prix, même le plus bas, pour une robe de cette marque… c’est de la folie. « T’as perdu la tête? » elle sourit doucement, avant de secouer la tête, reposant son regard sur le sac. « Tu sais que ça me gêne qu’on m’offre des choses. » partant du principe qu’elle peut, presque, tout s’acheter? Tout comme elle lui a dit à quel point ça la gênait grandement qu’il lui paye un coup à boire le soir de leur rencontre. Enfin bref, elle se penche un peu pour atteindre le sac qu’elle ouvre. Dedans, une grande boite, blanche, rectangulaire, qu’elle sort du sac et qu’elle pose sur ses genoux. Elle secoue longuement la tête, toujours souriante, tout en se disant que Taehyun a vraiment mis les bouchées doubles pour elle, et ça lui fait quelque chose. Oui. Ça l’attendrit, ça la rend encore plus amoureuse qu’elle ne l’est déjà, parce qu’elle sait que ce n’est pas le genre de chose qu’il peut se permettre d’acheter ou du moins, il a bien plus important et utile à se payer. Pourtant, il l’a fait. Et quand elle ouvre la boite, sa bouche s’entrouvre, ses yeux s’illuminent.
« Wow… » et c’est une prodige de la mode qui s’exprime. Les mots lui manquent. La robe est soigneusement pliée, et sa couleur éclatante. Rouge, d’un rouge passion, comme l’amour qu'elle éprouve pour Taehyun. Elle la prend par les bras et la relève doucement, la dépliant par la même occasion. Et elle lève la tête pour la regarder, sa bouche entrouverte traduisant parfaitement sa surprise. « Qu’est-ce qu’elle est belle… » elle pose la boite sur le lit pour pouvoir se lever. Elle colle la robe à son corps avant de se regarder dans le miroir, étudiant les moindres détails de ses yeux de future styliste. Et elle se tourne vers Taehyun, un sourire radieux aux lèvres. « Même la taille est bonne. Comment t’as fait? » soyons honnêtes, en général les mecs se trompent toujours lors du premier habit qu’ils offrent. Taehyun est l’exception et Mia est tout à fait ravie de voir que son petit-ami se débrouille bien dans ce domaine. En tout cas, c’est une robe sacrément sexy, pas étonnant qu’il veuille lui faire l’amour en rentrant de la soirée. Elle se mord la lèvre, baissant à nouveau les yeux vers son cadeau, avant de la replier soigneusement et de la poser dans la boite. Elle se tourne alors vers le danseur, un sourire espiègle aux lèvres, avant de se placer devant lui, écartant les jambes pour que celles du jeune homme aient leur espace et se trouver au plus proche de lui. Elle pose ses bras autour de son cou, penchant la tête vers la sienne pour rapprocher leurs lèvres. « Merci… » elle ferme les yeux un court instant pour finalement les rouvrir. Leurs lèvres se frôlent, et elle vient chuchoter contre sa peau: « Mais je maintiens: t'es fou. » Ses bras se resserrent légèrement autour du cou du beau brun, et elle ne se fait pas prier pour capturer ses lèvres avec amour, donnant naissance à un baiser qu’elle fait durer quelques longues secondes, avant de détacher ses lèvres des siennes.
Elle recule finalement son corps pour se tourner vers la boite, qu’elle glisse à nouveau dans le sac. Sac qu’elle prend et qu’elle remet dans l’armoire, bien rangée. « Je la range ici en attendant d’être à ce soir. » Et elle se tourne, posant directement ses yeux bruns sur le jeune homme. Ses mains se joignent devant elle, elle commence à les triturer, un sourire espiègle aux lèvres. « Du coup, si j’ai bien suivi… » elle marche en direction du lit, passant sous les yeux du beau brun, avant de revenir s’asseoir en tailleur, reprenant sa tasse entre ses mains. « La prochaine étape c’est le pique nique, hm? » elle le regarde, amoureusement, avant de se pencher pour lui voler un énième baiser. « Je dois dire que tout ton programme me convient. » sans trop s’éloigner de ses lèvres, elle lui chuchote, toujours aussi espiègle. « Surtout la dernière partie… » parole qu’elle accompagne d’un clin d’oeil alors que son sourire s’élargit. Elle espère qu’il comprend son sous-entendu. Mais oui, vous savez, la partie où il a parlé de lui faire l’amour comme un fou. C’est le plus intéressant dans tout le programme. Elle recule à nouveau, cette fois pour appuyer son dos contre le mur, buvant les dernières gorgées de son café à vitesse grand V parce que oui, ils ont un pique nique à préparer. Alors, quand elle pose la tasse sur le plateau, elle ne perd pas de temps avant de le récupérer et de se lever. « Allez, au boulot jeune homme. On a un repas à préparer. » lance-t-elle, excitée comme une puce par le programme qui les attend. Et elle quitte la chambre en ouvrant la porte avec le pied. Si ça la dérange de se trimballer en t-shirt et culotte dans un appartement qui n’est pas le sien? Pas le moins du monde. Cela dit, on en reparlera s’il y a quelqu’un qui débarque. Elle n’est gênée pour rien mais c’est plutôt qu’elle ne veut pas porter atteinte aux autres. Elle porte un string, quand même… Ce qui veut dire qu’à peine lève-t-elle les bras que ses fesses sont révélées au grand jour. Première étape: la vaisselle. Elle ouvre le lave-vaisselle et commence à le vider, à ranger tous les ustensiles pendant que Tae, lui, s’occupe de ranger le reste du petit déjeuner. Une fois vidé, Mia ne tarde pas à re remplir le lave-vaisselle avec ce qu’il restait dans l’évier. Elle le ferme donc après avoir terminé sa mission. « Tu veux manger quoi ce midi? » Oh bizarre, elle a l’impression de ne parler que de bouffe depuis toute à l’heure, ça doit être un effet secondaire d’être en couple avec Gwak Tae Hyun. « Je dis ça comme ça mais je peux faire de bonnes tartes… » Dit-elle, sans le regarder, alors qu’elle passe l’éponge sur le plan de travail pour nettoyer tout ça.
CODES LITTLE WOLF.
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Re: sweetest morning (+) MIHYUN ♥ | Mar 17 Oct - 21:45 Citer EditerSupprimer
SWEETEST MORNING
ft. mihyun ♥
Surprise babe, I'm here!
C'en est presque étrange, vous n'aviez jamais passé un matin ensemble. Elle ne s'est peut-être pas réveillé à tes côtés mais tu n'as plus ce sentiment d'être pressé, ce sentiment de devoir rapidement t’éclipser ou de la laisser filer, c'est terminé. Elle n'a pas à partir, et toi non plus et c'est cette sensation qui est étrange, surtout après lui avoir fait l'amour. C'est malheureux, mais tu étais habitué à la laisser partir, après ça. Mais c'est fini. Vous pouvez désormais rester tous les deux. Mieux, vous allez passer cette journée ensemble, profiter de vos retrouvailles mais surtout de votre histoire qui commence enfin. Après tant de temps, tant de galère, vous y êtes enfin. Et tu attendais son retour avec impatience. Profiter pleinement d'elle, sans plus aucune barrière, sans plus aucune limite, sans plus jamais vous cacher. Alors là, tu te sens parfaitement bien, soulagé et libéré d'un lourd poids, celui qui te poursuivait au quotidien, quoi que tu fasses. Maintenant, tu as non seulement toute cette journée pour pouvoir en profiter, mais toutes les autres aussi. Tu sais ce que c'est maintenant, de vivre sans elle, sans cet amour qui t'est vital et c'est une torture, une atrocité que tu ne souhaites plus jamais t’infliger. Oh oui tu le sais, tu es chanceux de l'avoir et tu comptes bien le lui prouver, lui faire comprendre que tu en as conscience. Lui faire comprendre au quotidien, comme tu as besoin d'elle, comme tu l'aimes. Parce que tu l'aimes si fort, Mia. Ouais, c'est flippant mais il y a quelque chose qui pourrait te faire encore plus peur que cet amour dévastateur que tu lui portes, c'est de la perdre.
Alors il est vrai que quand tu te mets à manger le petit déjeuner qu'elle t'a soigneusement préparé, tu ne peux t'empêcher de faire une petite réflexion, réflexion à laquelle elle rétorque d'une manière adorable. Ah, cette petite moue faussement crispé, rien que ça, t'as envie de la dévorer toute crue. « Navrée de te dire ça mais je pense pas être aussi appétissante que cette tranche de pain. » tu hausses un sourcil. Est-ce qu'elle a osé te dire ça ? Ouais, t'es surpris pour le coup mais tu sais très bien qu'elle plaisante, elle sait que tu la trouverais plus appétissante que n'importe quel plat, et c'est un ventre sur patte qui le dit. Alors tu hoches quelque peu la tête, soufflant quelques mots. « M'oblige pas à te prouver le contraire. » parce qu'il y a encore quelques minutes de ça, tu étais tout de même à deux doigts de la manger. Si ça continue comme ça, tu vas réellement la mordre brutalement un jour. Ce n'est tout de même pas de ta faute, c'est ton désir pour elle qui parle. Et après quelques secondes de silence, instant pendant lequel vous commencez à manger, tu lui demandes comment s'est passé le trajet. Tu lui avais déjà posé la question il est vrai mais vous étiez dans un état second, beaucoup trop second pour qu'elle puisse y répondre lucidement. Vous aviez trop faim, mais l'un de l'autre cette fois. « Ouais ouais, j’ai dormi tout le long, ça passe plus vite comme ça. » C'est vrai, c'est certainement ce que tu aurais fait toi aussi. Parce qu'en plus de manger comme quatre et que la nourriture soit sacrée chez toi, le sommeil aussi. T'es un gros dormeur, tu peux bien dormir n'importe quand, n'importe où et beaucoup plus que la moyenne.
Et après avoir bu une gorgée de ton café, tu ne tardes pas à te lever du lit et à lui lister le petit programme de la journée. Du moins, les choses à laquelle tu as eu le temps de penser durant ce long week-end passé sans elle. Parce que oui, vous avez une journée à passer tous les deux, et tu ne comptes pas la lâcher d'une semelle. Tu viens prendre appui de tes poings sur le matelas dans le but de te pencher vers elle, tes yeux ne peuvent quitter les siens et un mince sourire vient prendre place sur tes lèvres quand tu penses à cette journée qui vous attend. Rien d'exceptionnel me diriez-vous, mais ça l'est pour toi, puisque tu vas la passer avec ta petite amie. Votre première journée en tant que couple. Et tu finis par lui indiquer tes plans pour ce soir, tout d'abord ce restaurant puis ensuite, cette robe, que tu lui as acheté. Tu ne lui laisses même pas le temps de réagir en réalité, qu'après lui avoir volé un baiser, tu viens chercher ce sac qui contient son cadeau. Enfin, si on peut appeler ça un cadeau maintenant que tu lui as balancé l'info. Elle ne doit sans doute pas comprendre de quoi tu veux parler, alors il est préférable pour toi de la lui offrir le plus rapidement possible. Une fois chose faite, tu viens reprendre place sur le bord du lit, un mince sourire attendri sur les lèvres lorsque tu déposes le sac face à ta petite-amie. Elle a l'air surprise en plus de ne pas réellement comprendre ou du moins, elle avait l'air de ne pas s'y attendre. D'ailleurs, elle ne tarde pas à te regarder à nouveau, après avoir fixé ce sac pendant un court instant. « Mais qu’est-ce que tu as fait, là… » ton sourire s'agrandit quelque peu. Tu te retiens bien de lui dire que ce n'est rien comparé à ce que tu aimerais lui offrir. Parce que oui, si tu le pouvais, tu lui offrirais le monde. Le pire? C'est qu'on peut facilement le deviner en remarquant ce regard des plus amoureux que tu lui lances. « T’as perdu la tête? » tu baisses le regard vers ce sac un court instant. Même pas. Pourtant faire les magasins, ce n'est clairement pas une activité que tu aimes. T'aimes pas ça toi, tu trouves ça long et inutile. À titre personnel, évidemment. Mais à croire que ça change tout quand ça concerne Mia. Tu ne sais pas, tu as vu cette robe et tu as aussitôt imaginé ta copine la porter, tu ne pouvais pas faire autrement. Car même si tu as retiré le prix, tu sais tout de même que tu ne peux rien cacher à ta petite-amie et certainement pas quand ça concerne les fringues, elle doit déjà connaître cette marque et peut-être même le prix de cette robe, ou elle doit sans doute en avoir une petite idée. Alors oui, elle doit savoir que tu y as mis le prix mais tant pis. « Tu sais que ça me gêne qu’on m’offre des choses. » et toi ça te fait sourire, tendrement. Ouais, tu le sais qu'elle n'aime pas ça mais tu sais aussi qu'elle devra s'y faire, tu penches légèrement la tête, reprenant enfin d'une douce voix. « Allez, regarde. » Ça ne sert à rien de discuter, ça te fait plaisir de lui offrir cette robe. Tu espères juste qu'elle lui plaira.
Mia ne tarde pas à sortir cette grande boite du sac, et à en voir sa réaction lorsqu'elle l'ouvre enfin, sans parler du « Wow… » qu'elle lâche, tu peux d'ores et déjà te sentir rassuré. Alors ton sourire s'agrandit quelque peu, ton regard se pose un court instant sur cette robe mais ne tarde pas à dévier sur ta petite-amie, cette robe tu la connais, c'est sa réaction que tu veux observer. « Qu’est-ce qu’elle est belle… » dit-elle, observant le vêtement d'un regard émerveillé. Oui, elle est magnifique, et quand tu la revois à nouveau, tu comprends une nouvelle fois pourquoi tu as tout de suite imaginé Mia la porter mais l'entendre le dire te fait davantage plaisir. Tu ne la quittes pas du regard, tu la regardes se lever du lit, admirer cette robe toujours avec ce mince sourire sur les lèvres. « Même la taille est bonne. Comment t’as fait? » et ton sourire se transforme en un sourire amusé. « Je dois connaître ton corps par cœur. » c'est à moitié vrai, ça. Enfin non, son corps, tu le connais par cœur mais ce n'est pas suffisant pour connaître la taille. La vérité, c'est que tu la connais, sa taille. Parce que toi, tu retiens presque tout surtout concernant Mia. Comment tu as pu savoir sa taille ? Et bien, c'est simple. L'une des dernière fois que tu as couché avec elle avant de mettre fin à votre histoire des plus compliquées. Cette histoire qui ne te suffisait plus, parce que toi, tu la voulais entièrement. C'était ce soir là. Tu t'en souviens encore, elle s'était endormie après que vous ayez fait l'amour puisque c'était toujours ce qu'il se passait quand vous étiez tous les deux, ni plus ni moins, malheureusement. Tu n'avais pas encore conscience des choses, que tu avais besoin de plus et pourtant, tu avais pris sa robe entre tes mains. Un silence plat, seul le bruit de la respiration de Mia qui dormait à poing fermé se faisait entendre mais toi, tu étais plongé dans tes pensées. Tu avais regardé sa taille sans t'en rendre compte, mais ouais, ça te faisait mal au cœur de te dire que tu n'étais pas légitime de lui en offrir une, de ne rien lui offrir d'autre que ton corps, que du plaisir. Parce que tu en avais envie. Tu avais envie de passer du temps avec elle, de la gâter, peut-être pour lui montrer qu'elle représentait beaucoup plus que ça pour toi, mais t'en avais même pas conscience. Qu'est-ce que t'as été con, quand t'y penses. La réponse était là, sous tes yeux, les signes ne trompaient pas. C'était tout ce que tu voulais voir, ce sourire sur son visage, elle s'approche de toi, passant ses bras autour de ton cou. Ta petite amie approche alors ses lèvres des tiennes, tu en profites pour passer tes mains dans son dos pour la tenir encore plus près de toi tandis qu'elle vient te remercier. Et toi, tu souris en guise de réponse. « Mais je maintiens: t'es fou. » termine t-elle alors qu'elle vos lèvres se frôlent. Et puis enfin, tu sens ses bras se resserrer autour de ton cou tandis qu'elle vient capturer tes lèvres. Tu lui rends son baiser, passionnément. Oui, fou d'elle.
Elle finit par s'éloigner de toi, tes lèvres restent encore accrochés aux siennes mais tu finis par t'en détacher pour la laisser ranger la robe qui ne ressortira de cette boite que ce soir. Elle a raison, tu dois être fou, tu ne sais pas comment tu vas tenir en la voyant habillée de la sorte mais à croire que tu as voulu te mettre à l'épreuve. Et d'une manière plus qu'adorable avec son sourire espiègle qui te fait tant craquer., Mia te résume un peu les plans que tu lui as listé, tu viens parfois hocher positivement la tête, un mince sourire discret sur les lèvres avant qu'il ne soit effacé par un énième baiser voler de Mia. « Je dois dire que tout ton programme me convient. » commence t-elle avant de murmurer contre tes lèvres: « Surtout la dernière partie… » et elle t'adresse un clin d'oeil tandis que toi, tu te mets à plisser les yeux, joueur. Oh oui, tu le savais bien ça, que ça lui plairait mais soyons honnête: tu avais prévu le coup. Parce que oui, tu avais imaginé Mia dans cette robe mais tu as aussi imaginé ce que tu lui ferai au moment où tu lui enlèverai. « T'as raison. » avoues-tu, le regard perdu dans le vide avant de le reposer sur ta copine qui termine rapidement son café. « Cette histoire va me rendre taré. » mais disons que tu te fais assez confiance pour te dire que tu sauras être patient. Ouais, l'espoir fait vivre comme on dit, non ? Mais elle a raison, avant toute chose (dont penser à ta frustration de ce soir) vous avez un repas à préparer. Alors tu te lèves du lit, jugeant inutile d'enfiler ton sweat ou un t-shirt puisque tu ne tarderas pas à prendre ta douche. Tout ce que tu te contentes de faire, c'est d'ouvrir un peu la fenêtre ainsi que dégager les draps avant de suivre Mia, qui elle, tient le plateau dans les mains. Et une fois dans la cuisine, alors que Mia se charge de vider le lave-vaisselle, toi, tu te mets à débarrasser le reste du petit déjeuner. Rangeant certaines choses dans le frigo avant de terminer en attrapant le pot de pâte à tartiner afin de le ranger à sa place. C'est-à-dire, dans le placard assez haut, tu arrives alors derrière elle, ouvrant le placard qui se trouve au dessus tandis qu'elle continue de nettoyer le plan de travail. Elle te demande même ce que tu veux manger, te proposant des bonnes tartes que tu ne pourrais refuser. Alors une fois le pot rangé, le placard refermé, tu rétorques aussitôt: « Tu pouvais pas me faire plus plaisir, je crois. » lâches-tu, te trouvant toujours derrière elle et marquant par la même occasion, cette différence de taille. Bon ok, tu ne sais pas si c'est la tenue dans laquelle elle se trouve ou si cette femme te rend vraiment fou mais tu ne peux t'empêcher de baisser le regard vers son corps malgré qu'elle ne puisse pas te voir, un mince sourire aux lèvres avant de lui embrasser l'épaule. « J'ai déjà acheté quelques petites choses, dans le frigo. » Bah oui, tu avais prévu le coup. Va savoir pourquoi, tu savais que cette idée lui plairait. « On passera à la boulangerie avant, pour acheter du pain frais. » Tu te saisies alors d'une chaise haute de cuisine, t'installant sur cette dernière, tu te mets à observer Mia pendant quelques secondes. Tu restes silencieux un court instant, tu t'en rends même pas compte en réalité mais... Putain, qu'est-ce qu'elle t'a manqué, penses-tu, peu discrètement puisque ton regard doit te trahir. Tu viens te saisir de ses mains dans le but de l'approcher de toi, tu approches ton visage du sien afin de lui voler un baiser. Et une fois chose faite, tu lui souris tendrement, pendant quelques secondes avant de reprendre. « Bon! » Et tu te lèves, marquant à nouveau cette différence de taille. « Je vais me doucher, et après je t'aide à tout préparer. » Tu lui embrasses le front avant de te diriger vers la sortie de la cuisine, un mince sourire espiègle sur les lèvres, tu te tournes vers elle, marchant désormais à reculons. « Tu sais que tu peux venir me rejoindre, si tu t'ennuies trop... » Un sous-entendu sans l'être, pas comme si vous veniez de faire l'amour comme des fous mais justement, vous aviez quand même beaucoup transpiré. Tu penches la tête sur le côté, terminant par un: « Je rigolais tout à l'heure, j'vais pas te manger. » comme pour la rassurer, la convaincre peut-être mais plutôt, pour plaisanter. Même si clairement, ce n'est pas l'envie qui manque.
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C'en est presque étrange, vous n'aviez jamais passé un matin ensemble. Elle ne s'est peut-être pas réveillé à tes côtés mais tu n'as plus ce sentiment d'être pressé, ce sentiment de devoir rapidement t’éclipser ou de la laisser filer, c'est terminé. Elle n'a pas à partir, et toi non plus et c'est cette sensation qui est étrange, surtout après lui avoir fait l'amour. C'est malheureux, mais tu étais habitué à la laisser partir, après ça. Mais c'est fini. Vous pouvez désormais rester tous les deux. Mieux, vous allez passer cette journée ensemble, profiter de vos retrouvailles mais surtout de votre histoire qui commence enfin. Après tant de temps, tant de galère, vous y êtes enfin. Et tu attendais son retour avec impatience. Profiter pleinement d'elle, sans plus aucune barrière, sans plus aucune limite, sans plus jamais vous cacher. Alors là, tu te sens parfaitement bien, soulagé et libéré d'un lourd poids, celui qui te poursuivait au quotidien, quoi que tu fasses. Maintenant, tu as non seulement toute cette journée pour pouvoir en profiter, mais toutes les autres aussi. Tu sais ce que c'est maintenant, de vivre sans elle, sans cet amour qui t'est vital et c'est une torture, une atrocité que tu ne souhaites plus jamais t’infliger. Oh oui tu le sais, tu es chanceux de l'avoir et tu comptes bien le lui prouver, lui faire comprendre que tu en as conscience. Lui faire comprendre au quotidien, comme tu as besoin d'elle, comme tu l'aimes. Parce que tu l'aimes si fort, Mia. Ouais, c'est flippant mais il y a quelque chose qui pourrait te faire encore plus peur que cet amour dévastateur que tu lui portes, c'est de la perdre.
Alors il est vrai que quand tu te mets à manger le petit déjeuner qu'elle t'a soigneusement préparé, tu ne peux t'empêcher de faire une petite réflexion, réflexion à laquelle elle rétorque d'une manière adorable. Ah, cette petite moue faussement crispé, rien que ça, t'as envie de la dévorer toute crue. « Navrée de te dire ça mais je pense pas être aussi appétissante que cette tranche de pain. » tu hausses un sourcil. Est-ce qu'elle a osé te dire ça ? Ouais, t'es surpris pour le coup mais tu sais très bien qu'elle plaisante, elle sait que tu la trouverais plus appétissante que n'importe quel plat, et c'est un ventre sur patte qui le dit. Alors tu hoches quelque peu la tête, soufflant quelques mots. « M'oblige pas à te prouver le contraire. » parce qu'il y a encore quelques minutes de ça, tu étais tout de même à deux doigts de la manger. Si ça continue comme ça, tu vas réellement la mordre brutalement un jour. Ce n'est tout de même pas de ta faute, c'est ton désir pour elle qui parle. Et après quelques secondes de silence, instant pendant lequel vous commencez à manger, tu lui demandes comment s'est passé le trajet. Tu lui avais déjà posé la question il est vrai mais vous étiez dans un état second, beaucoup trop second pour qu'elle puisse y répondre lucidement. Vous aviez trop faim, mais l'un de l'autre cette fois. « Ouais ouais, j’ai dormi tout le long, ça passe plus vite comme ça. » C'est vrai, c'est certainement ce que tu aurais fait toi aussi. Parce qu'en plus de manger comme quatre et que la nourriture soit sacrée chez toi, le sommeil aussi. T'es un gros dormeur, tu peux bien dormir n'importe quand, n'importe où et beaucoup plus que la moyenne.
Et après avoir bu une gorgée de ton café, tu ne tardes pas à te lever du lit et à lui lister le petit programme de la journée. Du moins, les choses à laquelle tu as eu le temps de penser durant ce long week-end passé sans elle. Parce que oui, vous avez une journée à passer tous les deux, et tu ne comptes pas la lâcher d'une semelle. Tu viens prendre appui de tes poings sur le matelas dans le but de te pencher vers elle, tes yeux ne peuvent quitter les siens et un mince sourire vient prendre place sur tes lèvres quand tu penses à cette journée qui vous attend. Rien d'exceptionnel me diriez-vous, mais ça l'est pour toi, puisque tu vas la passer avec ta petite amie. Votre première journée en tant que couple. Et tu finis par lui indiquer tes plans pour ce soir, tout d'abord ce restaurant puis ensuite, cette robe, que tu lui as acheté. Tu ne lui laisses même pas le temps de réagir en réalité, qu'après lui avoir volé un baiser, tu viens chercher ce sac qui contient son cadeau. Enfin, si on peut appeler ça un cadeau maintenant que tu lui as balancé l'info. Elle ne doit sans doute pas comprendre de quoi tu veux parler, alors il est préférable pour toi de la lui offrir le plus rapidement possible. Une fois chose faite, tu viens reprendre place sur le bord du lit, un mince sourire attendri sur les lèvres lorsque tu déposes le sac face à ta petite-amie. Elle a l'air surprise en plus de ne pas réellement comprendre ou du moins, elle avait l'air de ne pas s'y attendre. D'ailleurs, elle ne tarde pas à te regarder à nouveau, après avoir fixé ce sac pendant un court instant. « Mais qu’est-ce que tu as fait, là… » ton sourire s'agrandit quelque peu. Tu te retiens bien de lui dire que ce n'est rien comparé à ce que tu aimerais lui offrir. Parce que oui, si tu le pouvais, tu lui offrirais le monde. Le pire? C'est qu'on peut facilement le deviner en remarquant ce regard des plus amoureux que tu lui lances. « T’as perdu la tête? » tu baisses le regard vers ce sac un court instant. Même pas. Pourtant faire les magasins, ce n'est clairement pas une activité que tu aimes. T'aimes pas ça toi, tu trouves ça long et inutile. À titre personnel, évidemment. Mais à croire que ça change tout quand ça concerne Mia. Tu ne sais pas, tu as vu cette robe et tu as aussitôt imaginé ta copine la porter, tu ne pouvais pas faire autrement. Car même si tu as retiré le prix, tu sais tout de même que tu ne peux rien cacher à ta petite-amie et certainement pas quand ça concerne les fringues, elle doit déjà connaître cette marque et peut-être même le prix de cette robe, ou elle doit sans doute en avoir une petite idée. Alors oui, elle doit savoir que tu y as mis le prix mais tant pis. « Tu sais que ça me gêne qu’on m’offre des choses. » et toi ça te fait sourire, tendrement. Ouais, tu le sais qu'elle n'aime pas ça mais tu sais aussi qu'elle devra s'y faire, tu penches légèrement la tête, reprenant enfin d'une douce voix. « Allez, regarde. » Ça ne sert à rien de discuter, ça te fait plaisir de lui offrir cette robe. Tu espères juste qu'elle lui plaira.
Mia ne tarde pas à sortir cette grande boite du sac, et à en voir sa réaction lorsqu'elle l'ouvre enfin, sans parler du « Wow… » qu'elle lâche, tu peux d'ores et déjà te sentir rassuré. Alors ton sourire s'agrandit quelque peu, ton regard se pose un court instant sur cette robe mais ne tarde pas à dévier sur ta petite-amie, cette robe tu la connais, c'est sa réaction que tu veux observer. « Qu’est-ce qu’elle est belle… » dit-elle, observant le vêtement d'un regard émerveillé. Oui, elle est magnifique, et quand tu la revois à nouveau, tu comprends une nouvelle fois pourquoi tu as tout de suite imaginé Mia la porter mais l'entendre le dire te fait davantage plaisir. Tu ne la quittes pas du regard, tu la regardes se lever du lit, admirer cette robe toujours avec ce mince sourire sur les lèvres. « Même la taille est bonne. Comment t’as fait? » et ton sourire se transforme en un sourire amusé. « Je dois connaître ton corps par cœur. » c'est à moitié vrai, ça. Enfin non, son corps, tu le connais par cœur mais ce n'est pas suffisant pour connaître la taille. La vérité, c'est que tu la connais, sa taille. Parce que toi, tu retiens presque tout surtout concernant Mia. Comment tu as pu savoir sa taille ? Et bien, c'est simple. L'une des dernière fois que tu as couché avec elle avant de mettre fin à votre histoire des plus compliquées. Cette histoire qui ne te suffisait plus, parce que toi, tu la voulais entièrement. C'était ce soir là. Tu t'en souviens encore, elle s'était endormie après que vous ayez fait l'amour puisque c'était toujours ce qu'il se passait quand vous étiez tous les deux, ni plus ni moins, malheureusement. Tu n'avais pas encore conscience des choses, que tu avais besoin de plus et pourtant, tu avais pris sa robe entre tes mains. Un silence plat, seul le bruit de la respiration de Mia qui dormait à poing fermé se faisait entendre mais toi, tu étais plongé dans tes pensées. Tu avais regardé sa taille sans t'en rendre compte, mais ouais, ça te faisait mal au cœur de te dire que tu n'étais pas légitime de lui en offrir une, de ne rien lui offrir d'autre que ton corps, que du plaisir. Parce que tu en avais envie. Tu avais envie de passer du temps avec elle, de la gâter, peut-être pour lui montrer qu'elle représentait beaucoup plus que ça pour toi, mais t'en avais même pas conscience. Qu'est-ce que t'as été con, quand t'y penses. La réponse était là, sous tes yeux, les signes ne trompaient pas. C'était tout ce que tu voulais voir, ce sourire sur son visage, elle s'approche de toi, passant ses bras autour de ton cou. Ta petite amie approche alors ses lèvres des tiennes, tu en profites pour passer tes mains dans son dos pour la tenir encore plus près de toi tandis qu'elle vient te remercier. Et toi, tu souris en guise de réponse. « Mais je maintiens: t'es fou. » termine t-elle alors qu'elle vos lèvres se frôlent. Et puis enfin, tu sens ses bras se resserrer autour de ton cou tandis qu'elle vient capturer tes lèvres. Tu lui rends son baiser, passionnément. Oui, fou d'elle.
Elle finit par s'éloigner de toi, tes lèvres restent encore accrochés aux siennes mais tu finis par t'en détacher pour la laisser ranger la robe qui ne ressortira de cette boite que ce soir. Elle a raison, tu dois être fou, tu ne sais pas comment tu vas tenir en la voyant habillée de la sorte mais à croire que tu as voulu te mettre à l'épreuve. Et d'une manière plus qu'adorable avec son sourire espiègle qui te fait tant craquer., Mia te résume un peu les plans que tu lui as listé, tu viens parfois hocher positivement la tête, un mince sourire discret sur les lèvres avant qu'il ne soit effacé par un énième baiser voler de Mia. « Je dois dire que tout ton programme me convient. » commence t-elle avant de murmurer contre tes lèvres: « Surtout la dernière partie… » et elle t'adresse un clin d'oeil tandis que toi, tu te mets à plisser les yeux, joueur. Oh oui, tu le savais bien ça, que ça lui plairait mais soyons honnête: tu avais prévu le coup. Parce que oui, tu avais imaginé Mia dans cette robe mais tu as aussi imaginé ce que tu lui ferai au moment où tu lui enlèverai. « T'as raison. » avoues-tu, le regard perdu dans le vide avant de le reposer sur ta copine qui termine rapidement son café. « Cette histoire va me rendre taré. » mais disons que tu te fais assez confiance pour te dire que tu sauras être patient. Ouais, l'espoir fait vivre comme on dit, non ? Mais elle a raison, avant toute chose (dont penser à ta frustration de ce soir) vous avez un repas à préparer. Alors tu te lèves du lit, jugeant inutile d'enfiler ton sweat ou un t-shirt puisque tu ne tarderas pas à prendre ta douche. Tout ce que tu te contentes de faire, c'est d'ouvrir un peu la fenêtre ainsi que dégager les draps avant de suivre Mia, qui elle, tient le plateau dans les mains. Et une fois dans la cuisine, alors que Mia se charge de vider le lave-vaisselle, toi, tu te mets à débarrasser le reste du petit déjeuner. Rangeant certaines choses dans le frigo avant de terminer en attrapant le pot de pâte à tartiner afin de le ranger à sa place. C'est-à-dire, dans le placard assez haut, tu arrives alors derrière elle, ouvrant le placard qui se trouve au dessus tandis qu'elle continue de nettoyer le plan de travail. Elle te demande même ce que tu veux manger, te proposant des bonnes tartes que tu ne pourrais refuser. Alors une fois le pot rangé, le placard refermé, tu rétorques aussitôt: « Tu pouvais pas me faire plus plaisir, je crois. » lâches-tu, te trouvant toujours derrière elle et marquant par la même occasion, cette différence de taille. Bon ok, tu ne sais pas si c'est la tenue dans laquelle elle se trouve ou si cette femme te rend vraiment fou mais tu ne peux t'empêcher de baisser le regard vers son corps malgré qu'elle ne puisse pas te voir, un mince sourire aux lèvres avant de lui embrasser l'épaule. « J'ai déjà acheté quelques petites choses, dans le frigo. » Bah oui, tu avais prévu le coup. Va savoir pourquoi, tu savais que cette idée lui plairait. « On passera à la boulangerie avant, pour acheter du pain frais. » Tu te saisies alors d'une chaise haute de cuisine, t'installant sur cette dernière, tu te mets à observer Mia pendant quelques secondes. Tu restes silencieux un court instant, tu t'en rends même pas compte en réalité mais... Putain, qu'est-ce qu'elle t'a manqué, penses-tu, peu discrètement puisque ton regard doit te trahir. Tu viens te saisir de ses mains dans le but de l'approcher de toi, tu approches ton visage du sien afin de lui voler un baiser. Et une fois chose faite, tu lui souris tendrement, pendant quelques secondes avant de reprendre. « Bon! » Et tu te lèves, marquant à nouveau cette différence de taille. « Je vais me doucher, et après je t'aide à tout préparer. » Tu lui embrasses le front avant de te diriger vers la sortie de la cuisine, un mince sourire espiègle sur les lèvres, tu te tournes vers elle, marchant désormais à reculons. « Tu sais que tu peux venir me rejoindre, si tu t'ennuies trop... » Un sous-entendu sans l'être, pas comme si vous veniez de faire l'amour comme des fous mais justement, vous aviez quand même beaucoup transpiré. Tu penches la tête sur le côté, terminant par un: « Je rigolais tout à l'heure, j'vais pas te manger. » comme pour la rassurer, la convaincre peut-être mais plutôt, pour plaisanter. Même si clairement, ce n'est pas l'envie qui manque.
CODES LITTLE WOLF.
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Re: sweetest morning (+) MIHYUN ♥ | Sam 21 Oct - 17:55 Citer EditerSupprimer
SWEETEST MORNING
ft. mihyun ♥
Surprise babe, I'm here!
Quelle bonne étoile avait-elle sur sa tête le jour où elle a rencontré ce garçon? C’est définitivement la plus belle rencontre de sa vie, nul doute là-dessus. C’est encore bien différent de ce qu’elle ressentait au début de sa relation avec son ex. C’était nouveau et tout beau pour elle, cette sensation, ces papillons dans le ventre mais là, c’est encore bien plus fort avec Taehyun. Malgré l’amour désastreux qu’elle a vécu avec son ex, Taehyun était parvenu à lui faire ressentir à nouveau ces choses là. Vous savez, les papillons dans le ventre? C’était comme un retour en arrière, comme si sa rencontre avec son ex n’avait jamais eu lieu et il n’y a rien de mieux que ça. Sentir peu à peu ces effroyables souvenirs s’éloigner d’elle. Elle est dans le dénie, certes, mais des choses lui restent en tête et plus elle passe du temps avec Taehyun, plus elle voit ces affreux souvenirs s’éloigner et bientôt, sombrer dans les oubliettes. Dans le néant. Pour laisser place à l’amour, le vrai, la joie et la bonne humeur. Elle aurait sûrement donné sa vie pour avoir Tae à ses côtés. Ce n’est d’ailleurs pas pour rien qu’elle avait l’impression de mourir quand ils ne se parlaient plus, quand il se fâchaient et se faisaient la gueule. Elle avait besoin de ce garçon à ses côtés. Plus que tout. C’était indéniable et aller contre ça, refouler ses sentiments pour prôner sa fierté, avait été bien trop dur pour elle. Elle l’avait fait, mais ça lui demandait trop de force. Et des larmes, beaucoup de larmes.
Il lui a offert une robe rouge. Une magnifique robe rouge qui lui donnera sûrement des idées des moins catholiques tout au long de la soirée, mais parlons du geste. C’était pas le genre de fille qui aime qu’on lui offre des choses mais quand cela est fait de bon coeur, elle ne peut que l’accepter avec plaisir. Alors elle le remercie, elle passe ses bras autour de son cou et l’embrasse de la plus douce des façons, avant de retirer ses lèvres un instant pour le regarder, et lui sourire. Plus amoureuse encore qu’elle n’aurait pensé l’être un jour.
Tous deux gagnent la cuisine par la suite. Le programme de la journée est chargé, et c’est Taehyun qui l’a construit. Mimi n’étant pas une fille difficile sur les activités, c’est même toute joyeuse qu’elle se rend à la cuisine, motivée pour préparer le pique nique. Depuis qu’elle est inscrite au club de cuisine, elle aime de plus en plus se mettre aux fourneaux. Faut bien puisqu’avant, c’était même pas la peine de compter sur elle pour cuisiner quoique ce soit. Sa mère ne cuisinait que rarement faut dire. Ils ont un cuisinier qui travaille pour eux, alors certes, Mia ne mange que des choses excellentes mais elle a aussi envie d’avoir la fierté de se dire « ça, c’est moi qui l’ai fait! » c’est donc tout naturellement qu’elle propose à son petit ami de faire une ou deux tartes maison comme elle sait si bien les faire maintenant. Bon, elle a forcément le trac. C’est la première fois qu’il va goûter à quelque chose qu’elle cuisine elle ne veut donc pas râler la préparation, et elle va se concentrer sérieusement. Imaginez s’il n’aime pas? D’autant plus que Taehyun est un gros mangeur. Entre nous, faut qu’elle soit douée en cuisine sinon, un jour, il finira par la larguer parce que le pauvre va mourir de faim. A moins qu’il la mange, comme il le dit tout le temps?
« Tu pouvais pas me faire plus plaisir, je crois. » elle finit de passer l’éponge sur le plan de travail alors qu’un sourire étire ses lèvres quand Tae vient lui embrasser l’épaule. Un dernier coup d’éponge et voilà la cuisine propre, c’est déjà bien. La vaisselle est rangée, tout est nettoyé, sauf eux. « J'ai déjà acheté quelques petites choses, dans le frigo. » Elle acquiesce plusieurs fois, visiblement il est prévoyant en plus d’être généreux. « On passera à la boulangerie avant, pour acheter du pain frais. » une nouvelle fois, Mia acquiesce en souriant, jetant à la poubelle les quelques miettes qu’elle a ramassé en passant l’éponge, tandis que Taehyun, lui, part s’asseoir sur une chaise haute. La jolie brune se tourne alors pour ouvrir le frigo pour regarder ce qui s’y trouve et ce que lui inspireraient ce qu’a acheté son petit-ami. Elle regarde tous les étages, sans même faire gaffe qu’en se penchant de la sorte, elle offre peut-être une vue privilégiée au danseur sur ses cuisses et le rebond de ses fesses. Après avoir fait le tour des ingrédients, elle referme la porte du frigo et se tourne, marchant lentement vers lui, un sourire aux lèvres. « Ça va, j’ai de quoi faire. » lance-t-elle, tandis que Tae se saisit de ses mains dans le but de la rapprocher de lui. Il dépose un baiser furtif sur ses lèvres, et elle, elle rêvasse, elle le regarde, elle est bien là. Elle a envie de passer la journée à lui faire des bisous et des caresses, mais faut qu’elle se retienne. Au moins jusqu’à ce soir où ils pourront se retrouver à nouveau sous les mêmes draps et profiter d’être réunis. Ou alors, peut-être pas…
Bon! » il se lève de la chaise, forçant Mimi à reculer d’un pas pour ne pas se retrouver, comme à chaque fois, impressionnée par leur différence de taille. « Je vais me doucher, et après je t'aide à tout préparer. » et il dépose un bisou sur son front. Ah, le voilà qui essaye déjà de s’échapper et du coup, il essaye d’amadouer Mia avec des gestes tendres. La jeune femme comptait se mettre aux fourneaux tout de suite, mais s’il est sous la douche, que va-t-elle faire? L’attendre? Elle affiche alors une moue boudeuse, venant croiser les bras sur sa poitrine. Elle s’apprête à ouvrir la bouche pour râler, le suivant du regard alors qu’il s’éloigne à reculons, mais il la devance. « Tu sais que tu peux venir me rejoindre, si tu t'ennuies trop... » Ah, voilà une proposition intéressante. Mais ne serait-ce pas trop facile si elle affichait immédiatement un sourire ravi? Peu importe. Elle fait alors mine de réfléchir à son invitation en posant un doigt sur son menton. « Je rigolais tout à l'heure, j'vais pas te manger. » Et son regard se baisse immédiatement sur le jeune homme, son sourire s’accentuant. « Me voilà rassurée. » et elle sourit, s’avançant jusqu’à lui en lui prenant la main. Donc, ceci est à prendre comme une approbation de la part de la jolie Kim.
Une fois dans la salle de bain, Mia prend bien soin de fermer la porte derrière elle. Effectivement, ils avaient fait l’amour, ils avaient transpiré et une bonne douche matinale ne serait pas de refus. C’était le truc qu’elle préférait ça, après le sexe. La douche. Et encore plus si elle est partagée. Alors, elle avance de quelques pas pour se rapprocher de Tae et une fois collée à lui, ses doigts passent sous l’élastique de son caleçon. Elle joue un peu avec, le temps de quelques secondes, avant de le lui baisser complètement, prenant évidemment son temps, comme la fille joueuse qu'elle est, se mettant à genoux devant lui. Elle lève les yeux pour le regarder, de ses yeux malins, elle sait que cette position lui brouille les pensées mais elle n'en fera rien. Le caleçon retiré, elle se redresse lentement, ses mains frôlant sa peau et, par conséquent, son sexe. Et elle se met sur la pointe des pieds pour arriver à sa hauteur. Ses bras maigrelets glissent autour de son cou et ses lèvres approchent de son oreille droite, où elle vient lui glisser. « A toi de me déshabiller maintenant. » et elle sourit, plus amusée que jamais, parce qu’elle aime aussi avoir ce pouvoir de lancer les hostilités au moment qu’elle souhaite. Mais là, l’occasion est trop belle. Elle se retire alors de lui, histoire de laisser assez d’espace à ses mains pour s’attaquer au t-shirt qu’elle porte, et à son string.
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Quelle bonne étoile avait-elle sur sa tête le jour où elle a rencontré ce garçon? C’est définitivement la plus belle rencontre de sa vie, nul doute là-dessus. C’est encore bien différent de ce qu’elle ressentait au début de sa relation avec son ex. C’était nouveau et tout beau pour elle, cette sensation, ces papillons dans le ventre mais là, c’est encore bien plus fort avec Taehyun. Malgré l’amour désastreux qu’elle a vécu avec son ex, Taehyun était parvenu à lui faire ressentir à nouveau ces choses là. Vous savez, les papillons dans le ventre? C’était comme un retour en arrière, comme si sa rencontre avec son ex n’avait jamais eu lieu et il n’y a rien de mieux que ça. Sentir peu à peu ces effroyables souvenirs s’éloigner d’elle. Elle est dans le dénie, certes, mais des choses lui restent en tête et plus elle passe du temps avec Taehyun, plus elle voit ces affreux souvenirs s’éloigner et bientôt, sombrer dans les oubliettes. Dans le néant. Pour laisser place à l’amour, le vrai, la joie et la bonne humeur. Elle aurait sûrement donné sa vie pour avoir Tae à ses côtés. Ce n’est d’ailleurs pas pour rien qu’elle avait l’impression de mourir quand ils ne se parlaient plus, quand il se fâchaient et se faisaient la gueule. Elle avait besoin de ce garçon à ses côtés. Plus que tout. C’était indéniable et aller contre ça, refouler ses sentiments pour prôner sa fierté, avait été bien trop dur pour elle. Elle l’avait fait, mais ça lui demandait trop de force. Et des larmes, beaucoup de larmes.
Il lui a offert une robe rouge. Une magnifique robe rouge qui lui donnera sûrement des idées des moins catholiques tout au long de la soirée, mais parlons du geste. C’était pas le genre de fille qui aime qu’on lui offre des choses mais quand cela est fait de bon coeur, elle ne peut que l’accepter avec plaisir. Alors elle le remercie, elle passe ses bras autour de son cou et l’embrasse de la plus douce des façons, avant de retirer ses lèvres un instant pour le regarder, et lui sourire. Plus amoureuse encore qu’elle n’aurait pensé l’être un jour.
Tous deux gagnent la cuisine par la suite. Le programme de la journée est chargé, et c’est Taehyun qui l’a construit. Mimi n’étant pas une fille difficile sur les activités, c’est même toute joyeuse qu’elle se rend à la cuisine, motivée pour préparer le pique nique. Depuis qu’elle est inscrite au club de cuisine, elle aime de plus en plus se mettre aux fourneaux. Faut bien puisqu’avant, c’était même pas la peine de compter sur elle pour cuisiner quoique ce soit. Sa mère ne cuisinait que rarement faut dire. Ils ont un cuisinier qui travaille pour eux, alors certes, Mia ne mange que des choses excellentes mais elle a aussi envie d’avoir la fierté de se dire « ça, c’est moi qui l’ai fait! » c’est donc tout naturellement qu’elle propose à son petit ami de faire une ou deux tartes maison comme elle sait si bien les faire maintenant. Bon, elle a forcément le trac. C’est la première fois qu’il va goûter à quelque chose qu’elle cuisine elle ne veut donc pas râler la préparation, et elle va se concentrer sérieusement. Imaginez s’il n’aime pas? D’autant plus que Taehyun est un gros mangeur. Entre nous, faut qu’elle soit douée en cuisine sinon, un jour, il finira par la larguer parce que le pauvre va mourir de faim. A moins qu’il la mange, comme il le dit tout le temps?
« Tu pouvais pas me faire plus plaisir, je crois. » elle finit de passer l’éponge sur le plan de travail alors qu’un sourire étire ses lèvres quand Tae vient lui embrasser l’épaule. Un dernier coup d’éponge et voilà la cuisine propre, c’est déjà bien. La vaisselle est rangée, tout est nettoyé, sauf eux. « J'ai déjà acheté quelques petites choses, dans le frigo. » Elle acquiesce plusieurs fois, visiblement il est prévoyant en plus d’être généreux. « On passera à la boulangerie avant, pour acheter du pain frais. » une nouvelle fois, Mia acquiesce en souriant, jetant à la poubelle les quelques miettes qu’elle a ramassé en passant l’éponge, tandis que Taehyun, lui, part s’asseoir sur une chaise haute. La jolie brune se tourne alors pour ouvrir le frigo pour regarder ce qui s’y trouve et ce que lui inspireraient ce qu’a acheté son petit-ami. Elle regarde tous les étages, sans même faire gaffe qu’en se penchant de la sorte, elle offre peut-être une vue privilégiée au danseur sur ses cuisses et le rebond de ses fesses. Après avoir fait le tour des ingrédients, elle referme la porte du frigo et se tourne, marchant lentement vers lui, un sourire aux lèvres. « Ça va, j’ai de quoi faire. » lance-t-elle, tandis que Tae se saisit de ses mains dans le but de la rapprocher de lui. Il dépose un baiser furtif sur ses lèvres, et elle, elle rêvasse, elle le regarde, elle est bien là. Elle a envie de passer la journée à lui faire des bisous et des caresses, mais faut qu’elle se retienne. Au moins jusqu’à ce soir où ils pourront se retrouver à nouveau sous les mêmes draps et profiter d’être réunis. Ou alors, peut-être pas…
Bon! » il se lève de la chaise, forçant Mimi à reculer d’un pas pour ne pas se retrouver, comme à chaque fois, impressionnée par leur différence de taille. « Je vais me doucher, et après je t'aide à tout préparer. » et il dépose un bisou sur son front. Ah, le voilà qui essaye déjà de s’échapper et du coup, il essaye d’amadouer Mia avec des gestes tendres. La jeune femme comptait se mettre aux fourneaux tout de suite, mais s’il est sous la douche, que va-t-elle faire? L’attendre? Elle affiche alors une moue boudeuse, venant croiser les bras sur sa poitrine. Elle s’apprête à ouvrir la bouche pour râler, le suivant du regard alors qu’il s’éloigne à reculons, mais il la devance. « Tu sais que tu peux venir me rejoindre, si tu t'ennuies trop... » Ah, voilà une proposition intéressante. Mais ne serait-ce pas trop facile si elle affichait immédiatement un sourire ravi? Peu importe. Elle fait alors mine de réfléchir à son invitation en posant un doigt sur son menton. « Je rigolais tout à l'heure, j'vais pas te manger. » Et son regard se baisse immédiatement sur le jeune homme, son sourire s’accentuant. « Me voilà rassurée. » et elle sourit, s’avançant jusqu’à lui en lui prenant la main. Donc, ceci est à prendre comme une approbation de la part de la jolie Kim.
Une fois dans la salle de bain, Mia prend bien soin de fermer la porte derrière elle. Effectivement, ils avaient fait l’amour, ils avaient transpiré et une bonne douche matinale ne serait pas de refus. C’était le truc qu’elle préférait ça, après le sexe. La douche. Et encore plus si elle est partagée. Alors, elle avance de quelques pas pour se rapprocher de Tae et une fois collée à lui, ses doigts passent sous l’élastique de son caleçon. Elle joue un peu avec, le temps de quelques secondes, avant de le lui baisser complètement, prenant évidemment son temps, comme la fille joueuse qu'elle est, se mettant à genoux devant lui. Elle lève les yeux pour le regarder, de ses yeux malins, elle sait que cette position lui brouille les pensées mais elle n'en fera rien. Le caleçon retiré, elle se redresse lentement, ses mains frôlant sa peau et, par conséquent, son sexe. Et elle se met sur la pointe des pieds pour arriver à sa hauteur. Ses bras maigrelets glissent autour de son cou et ses lèvres approchent de son oreille droite, où elle vient lui glisser. « A toi de me déshabiller maintenant. » et elle sourit, plus amusée que jamais, parce qu’elle aime aussi avoir ce pouvoir de lancer les hostilités au moment qu’elle souhaite. Mais là, l’occasion est trop belle. Elle se retire alors de lui, histoire de laisser assez d’espace à ses mains pour s’attaquer au t-shirt qu’elle porte, et à son string.
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Re: sweetest morning (+) MIHYUN ♥ | Mar 24 Oct - 20:23 Citer EditerSupprimer
SWEETEST MORNING
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Tu en souffrais. Mia était si proche de toi mais en même temps, si loin. Cette histoire a duré des semaines et des semaines. Des semaines où tu n'as rien vu, des semaines après lesquelles tu as baissé les bras. C'était tellement trop te demander, tu étais encore bien trop fermé pour t'avouer que tu souffrais, que tu n'en pouvais plus de cette situation mais aussi, pour t'avouer que tu avais besoin de plus. Rien n'a été facile, bien au contraire. Tu as joué les amants avant de pouvoir conquérir son cœur, mais tu l'as piétiné, tout comme elle a piétiné le tien. Oh non, rien n'a été facile alors l'avoir enfin pour toi, loin de ces semaines de galère, pouvoir enfin profiter pleinement sans plus vous cacher, c'est une libération inouïe. Alors oui, pendant un court instant, tu restes là, à l'observer, à l'admirer. Tu veux t'imprégner de son visage que tu connais déjà par cœur, de ce sourire qui fait battre cœur mais surtout, d'enfin profiter avec elle. Plus aucune barrière, plus aucune frontière. Plus rien pour vous séparer, c'est terminé.
Et pour vos retrouvailles, c'est un programme chargé que tu as préparé. Oh, rien de bien exceptionnel on ne va pas se mentir mais vous serez tous les deux et c'est le plus important pour toi. Profiter de cette journée et de toutes celles qui suivront, à ses côtés. Tu n'attendais que ça durant ce long week-end, c'était beaucoup trop long mais vous y êtes enfin. Mais revenons-en à nos moutons. Tu reprends la parole pour annoncer à Mia que tu avais déjà préparé quelques petites choses, voire même acheté certains aliment pour ce pique-nique que tu avais prévu. Et à tes paroles, ta petite-amie se dirige aussitôt vers le frigo afin d'y jeter un coup d’œil à l'intérieur. Ok, alors là. Tu ne sais pas si c'est toi qui commence à être un peu trop obsédé par son corps ou si elle tente de te rendre encore plus fou que tu ne l'es déjà mais lorsqu'elle se penche, tes yeux se baissent instantanément sur son corps. Ses cuisses en particulier, remontant même jusqu'à ses fesses. Mais est-ce réellement ta faute si pour toi, Mia a le plus joli corps que Dieu n'ait jamais crée? Et maintenant qu'il t'appartient, ce corps, tu ne vas certainement pas te retenir de l'admirer. « Ça va, j’ai de quoi faire. » conclue t-elle tandis que tu remontes ton regard afin de le plonger dans le sien, un fin sourire sur les lèvres, tu l'approches de toi. Tu ne peux tout simplement pas t'en empêcher, Mia, elle t'a beaucoup trop manqué.
Bien que tu aimerais pouvoir passer la journée à l'admirer, à lui voler des baisers et à envahir son corps de caresses, là, vous n'avez pas réellement le temps. Et puis, tu as une douche à prendre. Alors tu te lèves (non sans lui voler un baiser sur le front) avant de te diriger vers la sortie de la cuisine, bien évidemment, tu proposes à Mia de venir te rejoindre. Une douche, c'est toujours mieux quand c'est partagée, non ? Surtout après de telles retrouvailles. Ta copine fait alors mine de réfléchir, c'est pour cette raison que tu lui précise que tu rigolais... tout à l'heure, quand tu parlais de la manger. Bon, c'est à moitié vrai ça. Si tu le pouvais, tu la mangerais réellement. « Me voilà rassurée. » Et tu souris, certainement lorsque tu la vois sourire de cette manière alors qu'elle ne tarde pas à s'approcher de toi et à attraper ta main pour t'emmener dans la salle de bain.
Tu entres dans la pièce, te dirigeant aussitôt vers le miroir dans le but d'y voir la tête que tu as ce matin, tout ça, en te débarrassant de ton pantalon. Tu passes une main dans tes cheveux, te grattant l'arrière crâne avant de te tourner vers Mia qui commence à s'approcher de toi (après avoir fermé la porte, bien entendu). Elle ose même coller son corps contre le tien, tu baisses alors le regard, un sourire discret au coin des lèvres lorsque tu remarques qu'elle commence à jouer avec l'élastique de ton caleçon, s'amusant, comme la petite joueuse qu'elle est, à jouer quelques temps avec avant de le baisser. Elle prend son temps, comme d'habitude, finissant même à genoux, position qui trouble ton esprit pendant un court instant. Elle t'adresse un regard perçant avant de doucement, se redresser, offrant à ton corps de tendre caresses et ce, même sur ta virilité. Un frisson te parcourt le corps, un frisson que tu bloques instantanément en baissant les yeux sur son corps encore vêtu. Mia ne tarde pas à se mettre sur la pointe des pieds, enroulant ton cou de ses bras avant de venir te chuchoter, près de ton oreille : « A toi de me déshabiller maintenant. » Inutile de voir son visage pour comprendre qu'elle sourit, plus joueuse que jamais, mais elle finit par se détacher de toi comme si elle t'offrait la possibilité de passer à l'action. Chose que tu ne tardes pas à faire, cela dit. Puisque tu t'approches doucement d'elle, approchant tes lèvres des siennes en les frôlant de la manière la plus sensuelle qui soit. Ça, avant de glisser tes mains sous son t-shirt (le tien, techniquement) et de lui agripper les hanches, la collant ainsi davantage à toi. Et là, tu prends possession de ses lèvres, cela doit bien faire quelques minutes déjà que ta chaleur corporelle ne cesse de grimper mais tu te connais assez pour savoir que tu ne lutteras pas. Et alors que tes mains lâche peu à peu sa taille, elles viennent s'aventurer sur une autre partie de son corps: ses seins. Tu les empoignes fermement dans l'unique but de faire grimper son désir, à elle aussi. Tout ça, en rendant votre baiser davantage ardant et affamé. Ça ne dure que quelques secondes avant que tu daignes à lâcher ton emprise sur sa poitrine, non sans titiller ses tétons cela dit, oh non, tu joues même un court instant avec avant de finalement descendre tes mains vers le bas du t-shirt. Et c'est toujours tes lèvres collées aux siennes, mettant fin à votre baiser sans t'éloigner pour autant, que tu lui souffles, d'une voix chaude: « Joue pas avec le feu, Mia. » c'est toi, le feu.
Après ça, tu lui retires enfin le t-shirt, le laissant tomber au sol sans y prêter une quelconque attention. Tu lui voles un dernier baiser avant de laisser tes lèvres s'aventurer dans son cou, sur son épaule, sur son sein droit (où tu t'y attardes principalement, laissant ta langue jouer à nouveau avec son téton avant de le suçoter) jusqu'à laisser tes baisers terminer leur course sur son ventre. À cet instant, tu relèves le regard afin de le planter dans le sien. Toi aussi, tu te mets à genoux devant elle, mais t'as envie de laisser planer le doute. Vas-tu savoir rester à ta place ? Elle le découvrira en temps voulu. Tu attrapes alors son sous-vêtement, le faisant glisser avec lenteur le long de ses délicieuses cuisses et une fois chose faite, tu le jettes un peu plus loin avant de replanter ton regard dans le sien. Un regard torride et sans doute affamé, qui lui montrera bien que tu n'as plus très envie de tenir ta promesse car avec cette vue qu'elle t'offre, oui, tu veux la manger. Mais au lieu de ça, tu viens plaquer tes lèvres contre sa cuisse, lui offrant des baisers mouillés, y mêlant parfois ta langue mais tu finis par te redresser. Avec une lucidité qui t'est encore inconnue, certes, mais tu y parviens. Et tu lui souris, joueur toi aussi avant de t'avancer vers elle, la forçant ainsi à se reculer jusqu'à entrée dans la douche.
Mais à croire qu'au moment où tu entres dans la douche, tu agis d'une manière quelque peu différente. Oui car cette fois, tu sais très bien ce que tu veux. Alors sans plus tarder ni même attraper pommeau de douche qui est encore accroché, tu commences à faire couler l'eau tiède, tu dirais même, légèrement chaude, sur vos deux corps. Et là, tu l'embrasses à pleine bouche, tu viens lui attraper la taille afin de la coller davantage à toi. Tu ne peux définitivement plus contrôler tes envies, pas toi et certainement pas aujourd'hui, et c'est pour cette raison que tu viens plaquer ta main contre la paroi, derrière elle, et non loin de son visage. Et tu mets fin à votre baiser, ta respiration étant devenue plus forte qu'auparavant, tu en viens à afficher un sourire satisfait très peu visible, mais là oui, tu as à nouveau faim d'elle. Alors brusquement, tu viens lui attraper la main pour la retourner et qu'elle soit dos à toi, toujours sous cette eau qui brûle vos deux corps, et sauvagement, tu lui plaques la main contre cette paroi. Tu ne la lâches pas cela dit, et même si ta main est posée sur le revers de la sienne, tu viens entrelacer tes doigts dans les siens tout venant lui mordiller le cou. Tu mordilles, tu embrasses, arrivant très vite à son épaule, laissant ta main libre s'aventurer sur son bas ventre. Tu le caresses dans un premier temps mais tu en viens très vite à y exercer une certaine pression qui la pousse à se pencher légèrement en avant. Elle doit sans doute sentir ton intimité contre ses fesses mais ce n'est pas là où tu veux en venir, pas tout de suite du moins. Tu suis alors son corps, te penchant toi aussi légèrement en avant pour approcher tes lèvres de son oreille. « Je crois que tu n'imagines même pas tout ce que j'ai eu envie de te faire, quand tu m'as envoyé cette photo. » Oh oui, t'y as pensé et repensé encore. Et à croire que pour entretenir ta frustration, ton imagination a laissé place à beaucoup plus de choses. Inutile de lui préciser que tu rêvais justement de pouvoir te mettre à genoux devant elle et de laisser ta langue joueuse profiter de son terrain de jeu préféré, non ça, elle ne découvrira bien assez tôt. Mais sans plus attendre, ta main encore posée sur son ventre vient se faufiler entre ses cuisses. De ton bras, tu parviens à y exercer une certaine pression pour qu'elle reste collée à toi. C'est ce que tu veux, la sentir se tordre de plaisir, puisque même si tu commences à titiller son petit bouton, tes doigts s'aventurent vers son entrée. Tu ne te fais pas prier pour autant, tu n'as pas de patience, là tout de suite. Alors tu la pénètres d'un doigt, tout en venant lui embrasser tendrement le cou, et en resserrant tes doigts dans les siens de ton autre main. Tu commences alors de doux vas-et-vient, la pénétrant avec envie et désir, avant de laisser un second doigt s'ajouter à cet échange. Tes baisers se font plus appuyés, venant même à un moment, planté tes dents dans son cou pour le mordiller. Tu joues avec elle, tu t'amuses en laissant tes doigts la pénétrer de cette façon, ils viennent même gigoter un court instant avant d'être rejoint, plus gourmand que jamais, par un troisième et là, tes vas-et-vient se font plus rythmés, plus profonds, plus appliqués encore. Tu as envie qu'elle te sente, tu as envie de l'entendre aussi. Oh non Mia, ne joue pas trop avec le feu. Encore moins après l'avoir laissé aussi frustré ce week-end.
✻✻✻
Tu en souffrais. Mia était si proche de toi mais en même temps, si loin. Cette histoire a duré des semaines et des semaines. Des semaines où tu n'as rien vu, des semaines après lesquelles tu as baissé les bras. C'était tellement trop te demander, tu étais encore bien trop fermé pour t'avouer que tu souffrais, que tu n'en pouvais plus de cette situation mais aussi, pour t'avouer que tu avais besoin de plus. Rien n'a été facile, bien au contraire. Tu as joué les amants avant de pouvoir conquérir son cœur, mais tu l'as piétiné, tout comme elle a piétiné le tien. Oh non, rien n'a été facile alors l'avoir enfin pour toi, loin de ces semaines de galère, pouvoir enfin profiter pleinement sans plus vous cacher, c'est une libération inouïe. Alors oui, pendant un court instant, tu restes là, à l'observer, à l'admirer. Tu veux t'imprégner de son visage que tu connais déjà par cœur, de ce sourire qui fait battre cœur mais surtout, d'enfin profiter avec elle. Plus aucune barrière, plus aucune frontière. Plus rien pour vous séparer, c'est terminé.
Et pour vos retrouvailles, c'est un programme chargé que tu as préparé. Oh, rien de bien exceptionnel on ne va pas se mentir mais vous serez tous les deux et c'est le plus important pour toi. Profiter de cette journée et de toutes celles qui suivront, à ses côtés. Tu n'attendais que ça durant ce long week-end, c'était beaucoup trop long mais vous y êtes enfin. Mais revenons-en à nos moutons. Tu reprends la parole pour annoncer à Mia que tu avais déjà préparé quelques petites choses, voire même acheté certains aliment pour ce pique-nique que tu avais prévu. Et à tes paroles, ta petite-amie se dirige aussitôt vers le frigo afin d'y jeter un coup d’œil à l'intérieur. Ok, alors là. Tu ne sais pas si c'est toi qui commence à être un peu trop obsédé par son corps ou si elle tente de te rendre encore plus fou que tu ne l'es déjà mais lorsqu'elle se penche, tes yeux se baissent instantanément sur son corps. Ses cuisses en particulier, remontant même jusqu'à ses fesses. Mais est-ce réellement ta faute si pour toi, Mia a le plus joli corps que Dieu n'ait jamais crée? Et maintenant qu'il t'appartient, ce corps, tu ne vas certainement pas te retenir de l'admirer. « Ça va, j’ai de quoi faire. » conclue t-elle tandis que tu remontes ton regard afin de le plonger dans le sien, un fin sourire sur les lèvres, tu l'approches de toi. Tu ne peux tout simplement pas t'en empêcher, Mia, elle t'a beaucoup trop manqué.
Bien que tu aimerais pouvoir passer la journée à l'admirer, à lui voler des baisers et à envahir son corps de caresses, là, vous n'avez pas réellement le temps. Et puis, tu as une douche à prendre. Alors tu te lèves (non sans lui voler un baiser sur le front) avant de te diriger vers la sortie de la cuisine, bien évidemment, tu proposes à Mia de venir te rejoindre. Une douche, c'est toujours mieux quand c'est partagée, non ? Surtout après de telles retrouvailles. Ta copine fait alors mine de réfléchir, c'est pour cette raison que tu lui précise que tu rigolais... tout à l'heure, quand tu parlais de la manger. Bon, c'est à moitié vrai ça. Si tu le pouvais, tu la mangerais réellement. « Me voilà rassurée. » Et tu souris, certainement lorsque tu la vois sourire de cette manière alors qu'elle ne tarde pas à s'approcher de toi et à attraper ta main pour t'emmener dans la salle de bain.
Tu entres dans la pièce, te dirigeant aussitôt vers le miroir dans le but d'y voir la tête que tu as ce matin, tout ça, en te débarrassant de ton pantalon. Tu passes une main dans tes cheveux, te grattant l'arrière crâne avant de te tourner vers Mia qui commence à s'approcher de toi (après avoir fermé la porte, bien entendu). Elle ose même coller son corps contre le tien, tu baisses alors le regard, un sourire discret au coin des lèvres lorsque tu remarques qu'elle commence à jouer avec l'élastique de ton caleçon, s'amusant, comme la petite joueuse qu'elle est, à jouer quelques temps avec avant de le baisser. Elle prend son temps, comme d'habitude, finissant même à genoux, position qui trouble ton esprit pendant un court instant. Elle t'adresse un regard perçant avant de doucement, se redresser, offrant à ton corps de tendre caresses et ce, même sur ta virilité. Un frisson te parcourt le corps, un frisson que tu bloques instantanément en baissant les yeux sur son corps encore vêtu. Mia ne tarde pas à se mettre sur la pointe des pieds, enroulant ton cou de ses bras avant de venir te chuchoter, près de ton oreille : « A toi de me déshabiller maintenant. » Inutile de voir son visage pour comprendre qu'elle sourit, plus joueuse que jamais, mais elle finit par se détacher de toi comme si elle t'offrait la possibilité de passer à l'action. Chose que tu ne tardes pas à faire, cela dit. Puisque tu t'approches doucement d'elle, approchant tes lèvres des siennes en les frôlant de la manière la plus sensuelle qui soit. Ça, avant de glisser tes mains sous son t-shirt (le tien, techniquement) et de lui agripper les hanches, la collant ainsi davantage à toi. Et là, tu prends possession de ses lèvres, cela doit bien faire quelques minutes déjà que ta chaleur corporelle ne cesse de grimper mais tu te connais assez pour savoir que tu ne lutteras pas. Et alors que tes mains lâche peu à peu sa taille, elles viennent s'aventurer sur une autre partie de son corps: ses seins. Tu les empoignes fermement dans l'unique but de faire grimper son désir, à elle aussi. Tout ça, en rendant votre baiser davantage ardant et affamé. Ça ne dure que quelques secondes avant que tu daignes à lâcher ton emprise sur sa poitrine, non sans titiller ses tétons cela dit, oh non, tu joues même un court instant avec avant de finalement descendre tes mains vers le bas du t-shirt. Et c'est toujours tes lèvres collées aux siennes, mettant fin à votre baiser sans t'éloigner pour autant, que tu lui souffles, d'une voix chaude: « Joue pas avec le feu, Mia. » c'est toi, le feu.
Après ça, tu lui retires enfin le t-shirt, le laissant tomber au sol sans y prêter une quelconque attention. Tu lui voles un dernier baiser avant de laisser tes lèvres s'aventurer dans son cou, sur son épaule, sur son sein droit (où tu t'y attardes principalement, laissant ta langue jouer à nouveau avec son téton avant de le suçoter) jusqu'à laisser tes baisers terminer leur course sur son ventre. À cet instant, tu relèves le regard afin de le planter dans le sien. Toi aussi, tu te mets à genoux devant elle, mais t'as envie de laisser planer le doute. Vas-tu savoir rester à ta place ? Elle le découvrira en temps voulu. Tu attrapes alors son sous-vêtement, le faisant glisser avec lenteur le long de ses délicieuses cuisses et une fois chose faite, tu le jettes un peu plus loin avant de replanter ton regard dans le sien. Un regard torride et sans doute affamé, qui lui montrera bien que tu n'as plus très envie de tenir ta promesse car avec cette vue qu'elle t'offre, oui, tu veux la manger. Mais au lieu de ça, tu viens plaquer tes lèvres contre sa cuisse, lui offrant des baisers mouillés, y mêlant parfois ta langue mais tu finis par te redresser. Avec une lucidité qui t'est encore inconnue, certes, mais tu y parviens. Et tu lui souris, joueur toi aussi avant de t'avancer vers elle, la forçant ainsi à se reculer jusqu'à entrée dans la douche.
Mais à croire qu'au moment où tu entres dans la douche, tu agis d'une manière quelque peu différente. Oui car cette fois, tu sais très bien ce que tu veux. Alors sans plus tarder ni même attraper pommeau de douche qui est encore accroché, tu commences à faire couler l'eau tiède, tu dirais même, légèrement chaude, sur vos deux corps. Et là, tu l'embrasses à pleine bouche, tu viens lui attraper la taille afin de la coller davantage à toi. Tu ne peux définitivement plus contrôler tes envies, pas toi et certainement pas aujourd'hui, et c'est pour cette raison que tu viens plaquer ta main contre la paroi, derrière elle, et non loin de son visage. Et tu mets fin à votre baiser, ta respiration étant devenue plus forte qu'auparavant, tu en viens à afficher un sourire satisfait très peu visible, mais là oui, tu as à nouveau faim d'elle. Alors brusquement, tu viens lui attraper la main pour la retourner et qu'elle soit dos à toi, toujours sous cette eau qui brûle vos deux corps, et sauvagement, tu lui plaques la main contre cette paroi. Tu ne la lâches pas cela dit, et même si ta main est posée sur le revers de la sienne, tu viens entrelacer tes doigts dans les siens tout venant lui mordiller le cou. Tu mordilles, tu embrasses, arrivant très vite à son épaule, laissant ta main libre s'aventurer sur son bas ventre. Tu le caresses dans un premier temps mais tu en viens très vite à y exercer une certaine pression qui la pousse à se pencher légèrement en avant. Elle doit sans doute sentir ton intimité contre ses fesses mais ce n'est pas là où tu veux en venir, pas tout de suite du moins. Tu suis alors son corps, te penchant toi aussi légèrement en avant pour approcher tes lèvres de son oreille. « Je crois que tu n'imagines même pas tout ce que j'ai eu envie de te faire, quand tu m'as envoyé cette photo. » Oh oui, t'y as pensé et repensé encore. Et à croire que pour entretenir ta frustration, ton imagination a laissé place à beaucoup plus de choses. Inutile de lui préciser que tu rêvais justement de pouvoir te mettre à genoux devant elle et de laisser ta langue joueuse profiter de son terrain de jeu préféré, non ça, elle ne découvrira bien assez tôt. Mais sans plus attendre, ta main encore posée sur son ventre vient se faufiler entre ses cuisses. De ton bras, tu parviens à y exercer une certaine pression pour qu'elle reste collée à toi. C'est ce que tu veux, la sentir se tordre de plaisir, puisque même si tu commences à titiller son petit bouton, tes doigts s'aventurent vers son entrée. Tu ne te fais pas prier pour autant, tu n'as pas de patience, là tout de suite. Alors tu la pénètres d'un doigt, tout en venant lui embrasser tendrement le cou, et en resserrant tes doigts dans les siens de ton autre main. Tu commences alors de doux vas-et-vient, la pénétrant avec envie et désir, avant de laisser un second doigt s'ajouter à cet échange. Tes baisers se font plus appuyés, venant même à un moment, planté tes dents dans son cou pour le mordiller. Tu joues avec elle, tu t'amuses en laissant tes doigts la pénétrer de cette façon, ils viennent même gigoter un court instant avant d'être rejoint, plus gourmand que jamais, par un troisième et là, tes vas-et-vient se font plus rythmés, plus profonds, plus appliqués encore. Tu as envie qu'elle te sente, tu as envie de l'entendre aussi. Oh non Mia, ne joue pas trop avec le feu. Encore moins après l'avoir laissé aussi frustré ce week-end.
CODES LITTLE WOLF.
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Re: sweetest morning (+) MIHYUN ♥ | Dim 29 Oct - 14:57 Citer EditerSupprimer
SWEETEST MORNING
ft. mihyun ♥
Surprise babe, I'm here! Mia a profité du court instant où il était tourné vers le miroir pour le regarder. Tout, chez ce garçon, lui plaît. Que ce soit bien physiquement ou mentalement, elle l’aime. Et depuis qu’ils avaient décidé de tenter quelque chose, elle ne cessait de se dire que l’avenir leur promettait de belles choses. Après tout, ça se voit facilement quand ils sont ensemble. Ils sont complices, que faut-il d’autre que la complicité dans un couple? Ça fait déjà pas mal. Alors, adossée à la porte, elle le regarde quelques secondes en souriant, rêveuse, avant de reprendre ses esprits. Une nouvelle fois, elle veut n’en faire qu’une bouchée, c’est pourquoi elle se dirige vers lui le pas lent, telle une prédatrice mais entre les deux, ils sont tous deux des prédateurs quand ils sont face à face. Ils se laissent aisément envahir par ces pulsions qui les rendent plus fougueux que jamais, et comme prévu, Mia ne se fait pas prier avant de commencer à déshabiller le jeune homme. Elle prend son temps, comme elle sait si bien le faire, elle voudrait le faire languir mais elle risquerait de se faire languir elle-même. Alors elle baisse le sous-vêtement du danseur jusqu’à ses chevilles, venant même s’accroupir face à lui, prenant alors une position pouvant prêter à confusion. En remontant lentement pour se mettre à sa hauteur, ses mains fraîches frôlent sa peau, jusqu’à même jouer un court instant avec sa virilité alors qu’un sourire malin se dessine au coin de ses lèvres. Et sans tarder, elle se met sur la pointe des pieds pour passer ses bras autour de son cou, lui glissant à l’oreille que c’est à son tour de la dévêtir.
Il commence en douceur. D’abord, ses mains glissent sous son t-shirt, venant agripper les hanches de la demoiselle en même temps que leurs lèvres se frôlent, la température monte déjà d’un cran. Mia ne baisse pas une fois le regard, elle veut le regarder lui, dans les yeux et garder ce contact visuel le plus longtemps possible. Or, il vient attraper ses lèvres, et elle est alors forcée de fermer les yeux pour profiter de cet échange. Lorsque ses mains viennent empoigner les seins de la styliste, celle-ci affiche un sourire traduisant son aise. Et son sourire ne la quitte pas, encore moins lorsqu’elle sent les mains de son petit-ami jouer avec ses bouts durcis. Il prend quelques courtes minutes pour titiller la demoiselle, puis laisse ses mains descendre, pour attraper le t-shirt. Leurs lèvres se séparent, elle plonge son regard dans le sien, un regard affamé alors qu’elle tente clairement de lui faire comprendre que ces retrouvailles sont dignes de ce nom. Mais il fait encore mieux qu’elle pour le lui prouver. « Joue pas avec le feu, Mia. »lui souffle-t-il, sérieux. Et elle, au lieu de se calmer ou de reculer, elle sourit, comme la joueuse qu’elle est en effet. Il est trop tard de toute façon, elle le sait. Il lui conseille ça mais si elle décidait d’un coup d’arrêter, il ne la laisserait pas filer. Et puis, l’envie n’y est pas. Si elle a fait tout ça, c’est parce qu’elle veut donner une deuxième partie à leurs ébats. Son sourire malin ne quitte donc pas ses lèvres. Elle sait qu’elle ne doit pas trop jouer avec Taehyun, elle le connaît maintenant, elle sait qu’il peut être bestial si elle le pousse à bout mais elle aime ce côté là aussi du sexe. En fait, elle les aime tous tant que c’est avec Taehyun qu’elle partage de tels moments.
Il finit par lui retirer son t-shirt. A présent uniquement vêtue de son string, il a donc la possibilité d’embrasser sa peau à tout va, et il ne tarde pas à le faire. Passant d’abord dans son cou, puis sa clavicule, il descend finalement à sa poitrine et dépose des baisers mouillés sur son sein droit. Il vient même jouer avec le téton quelques instants, forçant la jeune femme à soupirer de plaisir longuement alors qu’elle glisse une main dans les cheveux bruns de son petit-ami. Et il descend encore, jusqu’à arriver à son sus-vêtement qu’il fait lentement glisser le long de ses jambes galbées. Elle baisse la tête et le regarde, un peu confuse, parce qu’il semble avoir bien des idées derrière la tête. Rien de rassurant en tout cas, elle est presque sûre qu’il va laisser sa langue s’aventurer entre ses cuisses. Mais il n’en est rien. Il s’attarde surtout sur sa cuisse, déposant des baisers mouillés, avant de se redresser face à elle. Elle s’est trompée, elle qui croyait qu’il ne saurait jamais se retenir de lui faire plaisir avec sa langue, elle vient d’avoir la preuve du contraire. Mais ça ne serait tarder? Par la suite, il s’avance vers elle, la forçant peu à peu à reculer jusqu’à entrer complètement dans la douche. D’un geste de la main, Taehyun déclenche l’eau chaude sur leurs deux corps avant de venir embrasser Mia avec fougue. Elle frémit au contact de l’eau chaude sur sa peau mais aussi à la façon qu’il a d’agripper ses hanches pour la tenir contre lui. Elle sent sa virilité contre sa cuisse et ça aussi, ça la fait frémir, ça la fait même esquisser un sourire malicieux contre ses lèvres alors qu’elle prolonge, donnant d’avantage de fougue à cet échange. Leurs lèvres se séparent, elle en profite pour le regarder. Quelque chose a changé, elle le devine. Il s’apprête à se comporter différemment et elle, ça l’excite déjà, elle s’imagine toutes sortes de choses qu’il pourrait lui faire mais elle va bien vite les découvrir, car sans plus attendre, il se saisit de sa main pour la retourner contre la paroi de la douche.
Le geste la surprend, mais il la fait languir aussi de la suite. Elle trouve son petit-ami bien plus bestial dans ses gestes, la douche lui donne sûrement des idées. L’eau chaude coulant sur leurs corps, elle appuie doucement son front contre la paroi tandis que le brun lui attrape la main pour venir la plaquer, non loin de son visage. Leurs doigts s’entrelacent, mais elle sent aussi son autre main glisser sur son bas ventre et aussitôt, Mia se mord la lèvre, elle languit de plus en plus de passer aux choses sérieuses. Mais c’est lui qui a le dessus, c’est lui qui décide du temps que ça prendra. Elle ferme simplement les yeux, se concentrant sur toutes les sensations qui s’offrent à elle, passant de l’eau chaude qui coule sur eux à ses lèvres, qui embrassent son cou, le mordillent même par moment. Elle est déjà excitée, il est tellement doué. A croire qu’il sait exactement comment s’y prendre pour vite la faire fondre de désir pour lui. En appuyant légèrement sur son bas ventre, il incite l’athlète à se pencher très légèrement en avant, lui offrant alors son postérieur, maintenant collé à sa virilité. Et de le sentir déjà là, contre elle, l’excite d’avantage. « Je crois que tu n'imagines même pas tout ce que j'ai eu envie de te faire, quand tu m'as envoyé cette photo. » Oh non, elle n’a pas idées mais maintenant qu’il en parle, elle commence à s’imaginer ce qu’il veut lui faire, là. Elle s’imagine tellement de choses, toutes plus érotiques les unes que les autres, et alors que son visage se retire de la paroi pour venir s’appuyer contre le torse du danseur, elle ouvre les yeux, cherchant son regard. « Tu peux me faire absolument tout ce que tu veux. » et il va lui faire ce qu’il veut. C’est elle, son terrain de jeu préféré.
De son bras, il la garde collée à lui, pendant que sa main s’aventure entre les cuisses de la brune. Ses doigts jouent quelques instants sur son bouton, la jeune femme ouvre alors la bouche mais aucun son n’y sort, elle garde sa tête appuyée contre le torse de son compagnon, avant de finalement se mettre dans une position plus confortable pour elle en ramenant le visage contre la paroi de la douche. Ses jambes s’écartent légèrement, pour laisser un meilleur accès au danseur qui ne tarde pas à venir la pénétrer d’un doigt. Elle ferme les yeux, sa bouche est toujours ouverte, permet à la jeune femme d’exprimer son plaisir par des soupirs qu’il ne peut entendre à cause du bruit de l’eau. Et elle sent les lèvres du jeune homme embrasser son cou avec passion, amour, ce qui la fait frémir d’autant plus. Il ajoute un deuxième doigt, la sensation est encore différente. Elle aime ce qu’il lui fait et bientôt, il en aura le coeur net par ses gémissements qui ne tardent pas à se faire entendre une première fois quand elle sent ses dents sur sa peau. Un gémissement bref, à peine audible puisque couvert, là encore, par le bruit de l’eau qui coule. Si elle s’attendait à ce qu’il la pénètre d’un doigt de plus? Absolument pas, et quand il le fait, elle serre ses doigts dans les siens, poussant un gémissement plus prononcé pour exprimer sa surprise. Et il commence alors des vas et viens, profonds, à un rythme régulier mais quand même soutenu qui la font clairement flancher. Les yeux fermés, la bouche ouverte et le front contre cette paroi, elle se concentre sur ce qu’elle ressent entre ses cuisses, et clairement, le plaisir grimpe à une allure phénoménale. Elle se cambre même un peu, venant coller d’avantage ses jolies fesses contre le bassin du danseur.
Ses doigts de la main droite resserrent toujours ceux du jeune homme, elle espère qu’il sent à travers ce contact à quel point il la fait se tordre de plaisir. Sa main gauche, jusque là alors libre, vient se poser sur le poignet du danseur avec lequel il exerce les pénétrations. Elle l’agrippe, même, manquant de tendresse pour le coup mais c’est le but. De ce geste, elle essaye de lui faire comprendre qu’il peut bien continuer à lui faire ça, et s’il en doute, il n’a qu’à se fier à ses gémissements qui commencent à se faire entendre par-dessus le bruit de l’eau. Elle se mord la lèvre, là aussi elle manque de tendresse mais elle est si gourmande de lui et du plaisir qu’il lui donne qu’elle en vient même à appuyer un peu plus sur son poignet, lui faisant comprendre qu’elle veut qu’il aille encore plus profond. Et quand il s’exécute, elle vient appuyer son menton contre la paroi de la douche, esquissant un sourire radieux alors qu’elle pousse un long râle de plaisir. Là, comme ça, il tenait le bon rythme.
Après quelques minutes de préliminaires, il est temps de passer aux choses un peu plus sérieuses. Peut-être que lui ne le voit pas de cette façon, peut-être voulait-il d’ailleurs rester sur cette lancée et lui donner du plaisir seulement avec ses doigts? Hors de question pour la belle brune, qui, plus gourmande que jamais, voulait le sentir en elle d’une autre façon. Alors, sa main gauche initialement posée sur le poignet du danseur glisse progressivement jusqu’à sa main, qu’elle agrippe à son tour. Elle le force à les retirer, et pour se faire entendre, elle n’hésite pas même à lui planter ses ongles. Un peu féroce, oui, mais il paye le prix de ce qu’il lui fait depuis toute à l’heure. Elle n’est pas patiente pour un sou ce matin, c’est pourquoi de la même main, elle vient se saisir de son membre durci qu’elle s’amuse à palper quelques secondes histoire de se faire désirer. Or, elle se souvient qu’il ne faut pas trop jouer avec Taehyun ce matin, alors elle ne perd pas de temps avant de diriger dangereusement le pénis du jeune homme vers son entrée. Le tout en étant dos à lui. Et aisément, elle le fait pénétrer en elle, lui arrachant un gémissement des plus agréable à entendre. Un sourire aux lèvres, elle colle d’avantage ses fesses contre le bassin du beau brun tandis que son visage se tourne légèrement pour essayer de regarder le spectacle qu’elle lui offre. De là, elle commence même à mouver son propre bassin, doucement mais sûrement, provoquant des premiers vas et viens facilités par l’eau qui coule toujours sur eux.
✻✻✻
Il commence en douceur. D’abord, ses mains glissent sous son t-shirt, venant agripper les hanches de la demoiselle en même temps que leurs lèvres se frôlent, la température monte déjà d’un cran. Mia ne baisse pas une fois le regard, elle veut le regarder lui, dans les yeux et garder ce contact visuel le plus longtemps possible. Or, il vient attraper ses lèvres, et elle est alors forcée de fermer les yeux pour profiter de cet échange. Lorsque ses mains viennent empoigner les seins de la styliste, celle-ci affiche un sourire traduisant son aise. Et son sourire ne la quitte pas, encore moins lorsqu’elle sent les mains de son petit-ami jouer avec ses bouts durcis. Il prend quelques courtes minutes pour titiller la demoiselle, puis laisse ses mains descendre, pour attraper le t-shirt. Leurs lèvres se séparent, elle plonge son regard dans le sien, un regard affamé alors qu’elle tente clairement de lui faire comprendre que ces retrouvailles sont dignes de ce nom. Mais il fait encore mieux qu’elle pour le lui prouver. « Joue pas avec le feu, Mia. »lui souffle-t-il, sérieux. Et elle, au lieu de se calmer ou de reculer, elle sourit, comme la joueuse qu’elle est en effet. Il est trop tard de toute façon, elle le sait. Il lui conseille ça mais si elle décidait d’un coup d’arrêter, il ne la laisserait pas filer. Et puis, l’envie n’y est pas. Si elle a fait tout ça, c’est parce qu’elle veut donner une deuxième partie à leurs ébats. Son sourire malin ne quitte donc pas ses lèvres. Elle sait qu’elle ne doit pas trop jouer avec Taehyun, elle le connaît maintenant, elle sait qu’il peut être bestial si elle le pousse à bout mais elle aime ce côté là aussi du sexe. En fait, elle les aime tous tant que c’est avec Taehyun qu’elle partage de tels moments.
Il finit par lui retirer son t-shirt. A présent uniquement vêtue de son string, il a donc la possibilité d’embrasser sa peau à tout va, et il ne tarde pas à le faire. Passant d’abord dans son cou, puis sa clavicule, il descend finalement à sa poitrine et dépose des baisers mouillés sur son sein droit. Il vient même jouer avec le téton quelques instants, forçant la jeune femme à soupirer de plaisir longuement alors qu’elle glisse une main dans les cheveux bruns de son petit-ami. Et il descend encore, jusqu’à arriver à son sus-vêtement qu’il fait lentement glisser le long de ses jambes galbées. Elle baisse la tête et le regarde, un peu confuse, parce qu’il semble avoir bien des idées derrière la tête. Rien de rassurant en tout cas, elle est presque sûre qu’il va laisser sa langue s’aventurer entre ses cuisses. Mais il n’en est rien. Il s’attarde surtout sur sa cuisse, déposant des baisers mouillés, avant de se redresser face à elle. Elle s’est trompée, elle qui croyait qu’il ne saurait jamais se retenir de lui faire plaisir avec sa langue, elle vient d’avoir la preuve du contraire. Mais ça ne serait tarder? Par la suite, il s’avance vers elle, la forçant peu à peu à reculer jusqu’à entrer complètement dans la douche. D’un geste de la main, Taehyun déclenche l’eau chaude sur leurs deux corps avant de venir embrasser Mia avec fougue. Elle frémit au contact de l’eau chaude sur sa peau mais aussi à la façon qu’il a d’agripper ses hanches pour la tenir contre lui. Elle sent sa virilité contre sa cuisse et ça aussi, ça la fait frémir, ça la fait même esquisser un sourire malicieux contre ses lèvres alors qu’elle prolonge, donnant d’avantage de fougue à cet échange. Leurs lèvres se séparent, elle en profite pour le regarder. Quelque chose a changé, elle le devine. Il s’apprête à se comporter différemment et elle, ça l’excite déjà, elle s’imagine toutes sortes de choses qu’il pourrait lui faire mais elle va bien vite les découvrir, car sans plus attendre, il se saisit de sa main pour la retourner contre la paroi de la douche.
Le geste la surprend, mais il la fait languir aussi de la suite. Elle trouve son petit-ami bien plus bestial dans ses gestes, la douche lui donne sûrement des idées. L’eau chaude coulant sur leurs corps, elle appuie doucement son front contre la paroi tandis que le brun lui attrape la main pour venir la plaquer, non loin de son visage. Leurs doigts s’entrelacent, mais elle sent aussi son autre main glisser sur son bas ventre et aussitôt, Mia se mord la lèvre, elle languit de plus en plus de passer aux choses sérieuses. Mais c’est lui qui a le dessus, c’est lui qui décide du temps que ça prendra. Elle ferme simplement les yeux, se concentrant sur toutes les sensations qui s’offrent à elle, passant de l’eau chaude qui coule sur eux à ses lèvres, qui embrassent son cou, le mordillent même par moment. Elle est déjà excitée, il est tellement doué. A croire qu’il sait exactement comment s’y prendre pour vite la faire fondre de désir pour lui. En appuyant légèrement sur son bas ventre, il incite l’athlète à se pencher très légèrement en avant, lui offrant alors son postérieur, maintenant collé à sa virilité. Et de le sentir déjà là, contre elle, l’excite d’avantage. « Je crois que tu n'imagines même pas tout ce que j'ai eu envie de te faire, quand tu m'as envoyé cette photo. » Oh non, elle n’a pas idées mais maintenant qu’il en parle, elle commence à s’imaginer ce qu’il veut lui faire, là. Elle s’imagine tellement de choses, toutes plus érotiques les unes que les autres, et alors que son visage se retire de la paroi pour venir s’appuyer contre le torse du danseur, elle ouvre les yeux, cherchant son regard. « Tu peux me faire absolument tout ce que tu veux. » et il va lui faire ce qu’il veut. C’est elle, son terrain de jeu préféré.
De son bras, il la garde collée à lui, pendant que sa main s’aventure entre les cuisses de la brune. Ses doigts jouent quelques instants sur son bouton, la jeune femme ouvre alors la bouche mais aucun son n’y sort, elle garde sa tête appuyée contre le torse de son compagnon, avant de finalement se mettre dans une position plus confortable pour elle en ramenant le visage contre la paroi de la douche. Ses jambes s’écartent légèrement, pour laisser un meilleur accès au danseur qui ne tarde pas à venir la pénétrer d’un doigt. Elle ferme les yeux, sa bouche est toujours ouverte, permet à la jeune femme d’exprimer son plaisir par des soupirs qu’il ne peut entendre à cause du bruit de l’eau. Et elle sent les lèvres du jeune homme embrasser son cou avec passion, amour, ce qui la fait frémir d’autant plus. Il ajoute un deuxième doigt, la sensation est encore différente. Elle aime ce qu’il lui fait et bientôt, il en aura le coeur net par ses gémissements qui ne tardent pas à se faire entendre une première fois quand elle sent ses dents sur sa peau. Un gémissement bref, à peine audible puisque couvert, là encore, par le bruit de l’eau qui coule. Si elle s’attendait à ce qu’il la pénètre d’un doigt de plus? Absolument pas, et quand il le fait, elle serre ses doigts dans les siens, poussant un gémissement plus prononcé pour exprimer sa surprise. Et il commence alors des vas et viens, profonds, à un rythme régulier mais quand même soutenu qui la font clairement flancher. Les yeux fermés, la bouche ouverte et le front contre cette paroi, elle se concentre sur ce qu’elle ressent entre ses cuisses, et clairement, le plaisir grimpe à une allure phénoménale. Elle se cambre même un peu, venant coller d’avantage ses jolies fesses contre le bassin du danseur.
Ses doigts de la main droite resserrent toujours ceux du jeune homme, elle espère qu’il sent à travers ce contact à quel point il la fait se tordre de plaisir. Sa main gauche, jusque là alors libre, vient se poser sur le poignet du danseur avec lequel il exerce les pénétrations. Elle l’agrippe, même, manquant de tendresse pour le coup mais c’est le but. De ce geste, elle essaye de lui faire comprendre qu’il peut bien continuer à lui faire ça, et s’il en doute, il n’a qu’à se fier à ses gémissements qui commencent à se faire entendre par-dessus le bruit de l’eau. Elle se mord la lèvre, là aussi elle manque de tendresse mais elle est si gourmande de lui et du plaisir qu’il lui donne qu’elle en vient même à appuyer un peu plus sur son poignet, lui faisant comprendre qu’elle veut qu’il aille encore plus profond. Et quand il s’exécute, elle vient appuyer son menton contre la paroi de la douche, esquissant un sourire radieux alors qu’elle pousse un long râle de plaisir. Là, comme ça, il tenait le bon rythme.
Après quelques minutes de préliminaires, il est temps de passer aux choses un peu plus sérieuses. Peut-être que lui ne le voit pas de cette façon, peut-être voulait-il d’ailleurs rester sur cette lancée et lui donner du plaisir seulement avec ses doigts? Hors de question pour la belle brune, qui, plus gourmande que jamais, voulait le sentir en elle d’une autre façon. Alors, sa main gauche initialement posée sur le poignet du danseur glisse progressivement jusqu’à sa main, qu’elle agrippe à son tour. Elle le force à les retirer, et pour se faire entendre, elle n’hésite pas même à lui planter ses ongles. Un peu féroce, oui, mais il paye le prix de ce qu’il lui fait depuis toute à l’heure. Elle n’est pas patiente pour un sou ce matin, c’est pourquoi de la même main, elle vient se saisir de son membre durci qu’elle s’amuse à palper quelques secondes histoire de se faire désirer. Or, elle se souvient qu’il ne faut pas trop jouer avec Taehyun ce matin, alors elle ne perd pas de temps avant de diriger dangereusement le pénis du jeune homme vers son entrée. Le tout en étant dos à lui. Et aisément, elle le fait pénétrer en elle, lui arrachant un gémissement des plus agréable à entendre. Un sourire aux lèvres, elle colle d’avantage ses fesses contre le bassin du beau brun tandis que son visage se tourne légèrement pour essayer de regarder le spectacle qu’elle lui offre. De là, elle commence même à mouver son propre bassin, doucement mais sûrement, provoquant des premiers vas et viens facilités par l’eau qui coule toujours sur eux.
CODES LITTLE WOLF.
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Re: sweetest morning (+) MIHYUN ♥ | Mar 31 Oct - 14:50 Citer EditerSupprimer
SWEETEST MORNING
ft. mihyun ♥
Surprise babe, I'm here!
Oh non, qu'elle ne joue pas trop avec le feu qu'elle a bien trop attisé durant ce long week-end passé loin de toi. C'est ce que tu lui dis, oui, de ne pas trop jouer avec le feu mais c'est assez contradictoire quand on y pense, lorsqu'on voit à quel point ça t'excite... Mais ça, Mia le sait très bien, elle en a conscience, il suffit de voir la manière dont elle use pour prendre les choses en mains, te devançant sur ce coup là. Ça te plait beaucoup trop d'ailleurs, de la voir si entreprenante, son sourire coquin, son regard taquin, tout ça te rend totalement fou. Et voilà une autre chose qu'elle sait aussi. Oh oui, elle doit sans doute le savoir, elle sait tout Mia, elle te connaît. Elle sait exactement quoi faire pour te faire perdre les pédales. C'est pour ça qu'au fond, tu la crains, cette soirée au restaurant. Enfin... Oui et non. Tu l'attends si impatiemment, ces dernières semaines, tu rêvais de pouvoir passer une soirée entière avec elle, sans plus aucune barrière, sans limite, sans plus vous cacher, t'afficher fièrement à ses côtés comme étant officiellement son petit ami. Te retrouver avec elle et profiter de chaque minutes à ses côtés, parce que t'es littéralement amoureux de cette femme. Pas pour rien que tu as rampé à ses pieds le jour de son anniversaire, tu ne pouvais plus continuer. T'as beau être fermé comme garçon, sur la défensive, ton amour pour elle a définitivement tout surmonté. Elle t'obsédait. Sans doute parce que tu le savais, quoi que tu fasses, c'est elle, la seule et l'unique. Elle et aucune autre. Mais pour en revenir au principal sujet, cette soirée, elle va la passer vêtue de cette magnifique robe que tu lui as offerte. Bonne idée, oui. Tu risques clairement de loucher plus d'une fois, le pire ? Tu sais que Mia s'en amusera. Mais malgré ton côté impulsif, tu peux te montrer patient dans certaines situations. Celle-ci par exemple. Elle pourrait bien te rendre totalement fou pendant des heures, jouer de cette situation et de cette robe qui t'excite au plus au point, tu te fais assez confiance pour savoir que tu auras ta vengeance, que tu finiras par la prendre comme un fou, avec une telle envie qu'elle recommencera sans doute dès qu'elle en aura l'occasion mais quand bien même, ça t'excite. Autre exemple : ce week-end. Mia t'a clairement cherché mais là... C'est à toi d'entrer en jeu.
Pour commencer, en entrant dans la douche. Après avoir pris un malin plaisir à la déshabiller, à avoir inondé son corps de baiser mouillés, tu veux maintenant passer aux choses sérieuses. Lui faire l'amour dans cette douche ? Peut-être, t'en sais rien, là, tu veux simplement jouer un peu avec elle. Profiter de sa présence parce que tu en rêvais, ces dernières nuits. Il était si long ce week-end, encore plus long lorsque ta petite-amie, loin de toi, s'amuse à te torturer, provoquant en toi des désirs les plus charnels et les plus torrides. Et c'est bien ce que tu comptes lâcher, maintenant, cette bête en cage. Bête que même l'eau chaude ne calme pas, bien au contraire, tu commences à y découvrir son corps mouillé, et tes envies explosent, tes désirs se font bien trop imposants maintenant. Ces mêmes désirs qui te poussent à agir au plus vite en la tournant, la retrouvant ainsi dos à toi alors que tu viens lui embrasser le cou, l'épaule, lui mordiller même la peau parfois. Et non, tu ne peux t'empêcher une réflexion, si elle le savait tout ce que tu as envie de lui faire, si elle savait tout ce dont à quoi tu as pensé ces derniers jours. Ainsi, son visage quitte enfin la paroi pour venir s'y appuyer contre ton torse, elle y cherche ton regard, et ça te fait sourire, discrètement, mais chaudement. « Tu peux me faire absolument tout ce que tu veux. » Et c'est comme un électrochoc qui te parcourt le corps. Peut-elle imaginer l'impact que cette phrase a sur toi? L'effet que ça te fait? Sans doute, c'est bien pour ça qu'elle te le dit. Elle t'excite, Mia, elle t'excite tellement que tes pensées divaguent à nouveau, tu en perds un instant le contrôle, ce n'est pas pour rien que tu serres les dents en tentant de te canaliser. Alors tu ne te fais pas prier, assourdi par tes envies, ton bras vient se plaquer sur son ventre pour la maintenir près de toi, ça, avant de laisser tes doigts s'aventurer entre ses cuisses, jouant dans un premier temps avec son petit bouton. Sa tête quitte alors ton torse, cherchant sans doute une position plus confortable en venant se poser contre la paroi tandis que tu sens ses cuisses s'écarter, une nouvelle vague de désir s'empare de tout ton corps et tu ne te fais pas prier en la pénétrant d'un doigt, pour commencer. Mais tes lèvres se font un peu trop curieuses de son corps, comme à chaque fois, et tu ne te retiens de venir lui déposer des baisers dans son cou, exprimant également ton désir par des soupirs d'excitation, tellement excité qu'un deuxième doigt s'ajoute à la partie. Tu entends son premier gémissement au moment où tu viens planter tes dents dans sa chair, et tu souris, tout contre sa peau. T'as l'envie et le besoin de l'entendre dans cet état, d'entendre l'effet que tu as sur elle, le plaisir que tu lui offres. Mais à croire que ça ne te suffit pas, oh non, tu lui avais bien dit que tu avais réfléchi à tout ce que tu pouvais lui faire, c'est pour cette raison que tu la surprends grâce à un troisième doigt. Tu l'entends à son gémissement plus prononcé, et ça te plaît beaucoup trop. Et c'est alors que tu commences des vas-et-viens, à la fois profonds et appliqués à la fois. Tu la sens même se cambrer, ses fesses se collant davantage à ton bassin. Ton excitation commence à grimper en flèche à la sentant dans un tel état, si serré mais aussi, si excitée, dans cette position qui clairement, te fait flancher.
Tu sens ses doigts se resserrer dans les tiens, continuant tes mouvements. Tu viens même te mordre la lèvre inférieure tant le désir t'enivre, cette vue te rend complètement dingue, la savoir dans cet état ? encore pire. Tu n'en peux plus, tu ne tiens plus mais en même temps, tu veux faire durer le plaisir. Tu veux continuer de voir ce délicieux spectacle qu'elle t'offre. Elle vient alors agripper ton poignet avec brutalité, geste qui t'excite clairement et t'incite à continuer, tu en lâches même un léger grognement de désir. Tu sens cette bête en toi prête à être libérée, elle tente de s'enfuir mais tu la laisses dans sa cage, pour le moment. De toute façon, elle tente de te faire comprendre de continuer et ça tombe bien, tu ne comptes pas t'arrêter en si bon chemin, pas avec les gémissements qu'elle pousse. Tu la sens même resserrer son emprise sur ton poignet, sans doute envahie par une vague de plaisir et toi, tu y vas de plus belle, entraînant tes doigts encore plus profondément en elle. Et une fois chose faite, tu baisses la tête, posant tes lèvres sur son épaule. Tu ne lui embrasses pas, non, tu fermes les yeux, te concentrant sur cette douce mélodie qui sort de sa bouche, sur les sensations de la sentir autour de tes doigts mais aussi et surtout, sur le plaisir que tu peux lui procurer. Mais lorsque tu entends ce long râle de plaisir qu'elle pousse, tu gardes ce même rythme. Tu sais que tu es sur la bonne voie, ça devient pourtant si difficile pour toi de ne pas la prendre, là, tout de suite, mais tu te retiens, te disant que lorsque tu le feras, ça ne sera que meilleur et puis, tu veux la faire venir, peu importe le moyen. Du moment qu'elle vienne pour toi, et toi seul.
Et cela dure de nombreuses minutes avant qu'elle agrippe ton poignet qui est en action depuis tout à l'heure. Non pas pour t’inciter à continuer cette fois, tu le sens puisque ses ongles se plantant dans ta peau, elle te force à t'arrêter là. Son acte de bestialité crée une vague d'excitation en toi, tellement que tu la laisses retirer tes doigts bien que tu n'as clairement pas eu ton compte, beaucoup trop gourmand d'elle. Mais tu parviens facilement à ressentir cette réciprocité puisqu'elle n'a aucune patience, c'est ainsi que, rapidement, ta petite amie vient se saisir de ton membre durci qu'elle s'amuse à palper durant quelques secondes, tu serres les dents, étouffant alors ce râle de plaisir mais de surprise aussi, lorsqu'elle le dirige vers son entrée, provoquant ainsi une pénétration. Et là, un soupir d'aise passe la barrière de tes lèvres, tu fermes même les yeux un court instant lorsque tu entends son gémissement, à elle aussi. Et elle profite certainement de ces quelques secondes de faiblesse pour commencer à mouver son bassin, provoquant ainsi des premiers vas-et-vient qui t'arrachent un nouveau râle de plaisir. Mais fort heureusement, tu parviens à te ressaisir par tu ne sais quel miracle, puisque brusquement, ta main désormais libre vient se plaquer autour de sa taille. Tu y mets assez de force pour la bloquer, l'empêchant alors de continuer de mouver son bassin. Non pas que ça te déplaisait, bien au contraire, mais c'est toi qui veut tenir les rennes. Un réflexe, sans doute. Alors tu viens décoller ta main de cette paroi, ramenant son visage contre ton torse et rapprochant ainsi, tes lèvres de son oreille tout en cambrant son corps. « Impatiente. » lâches-tu, à la fois dans un chuchotement mais pourtant, on peut clairement y sentir au timbre de ta voix ton excitation, mais surtout, ton envie de jouer. Tu l'empêches de faire ce qu'elle veut, ça doit la frustrer... Et toi aussi d'ailleurs, mais c'est exactement ce que tu voulais. Après tout, ne vous a t-elle pas frustrés tout le week-end? Alors un mince sourire, discret mais malicieux, s'affiche sur tes lèvres. Elle n'est pas capable de le voir mais peut-être de l'entendre, tu l'espères en tout cas. Et doucement, tu te mets à mouver ton bassin. Assez pour qu'elle puisse te sentir mais pas assez pour assouvir votre désir. Tu veux la frustrer un peu, lui donnant l'envie d'en avoir plus encore, de la sentir encore plus sensible et excitée. Oui là, tu veux l'exciter au maximum. « Tu ne veux pas savoir à quoi j'ai pensé, ce week-end ? » soupires-tu, d'une voix chaude de plaisir mais surtout, de désir. Tu la plaques davantage contre toi, toujours en l'empêchant de mouver son bassin ne serait-ce qu'un peu, avant de reprendre: « Je vais te le dire. » Tu veux la voir et la sentir fondre sous ce désir, c'en est presque vital pour toi, et qu'est-ce que c'est jouissif. Alors de ta main libre, tu viens la passer devant, non pas pour rejoindre la deuxième qui maintient toujours sa taille mais pour venir y agripper son sein droit avec envie, et désir, espérant ainsi faire grimper le plaisir en elle. Et tu pivotes ton visage, lui mordillant la lobe d'oreille un court instant. « Ils me manquaient. » Et tu souris, chaudement avant de reprendre, dans un chuchotement des plus torrides « Je t'ai imaginé nue, attachée dans mon lit. Impossible pour toi de bouger, t'es coincée. » Tu rentres un peu dans les détails sans trop en dire, tu veux qu'elle puisse s'imaginer tout ça elle aussi, ce n'est pas pour rien que tu lui dis d'ailleurs mais en même temps, tu veux laisser travailler son imagination, c'est d'autant plus excitant. Tu veux la rendre plus excitée que jamais. Pourtant, tes mouvements du bassin ne cessent à aucun instant, des mouvements qui vont la rendre plus affamée que jamais, puisque tu y vas sans doute un peu trop doucement, et pas si profondément. « Je pourrais faire ce que je veux de toi. » continues-tu. C'est bien ce qu'elle t'a dit il y a quelques minutes, non ? Ça tombe bien. « Même te bander les yeux. Tu ne me verrais pas faire. » Elle pourrait ni deviner ce que tu comptes faire, ni même te toucher. Frustrant, mais excitant. Et ça te fait sourire érotiquement, quand tu y penses. Et après avoir malaxé son sein pendant de nombreuses secondes, tu diriges finalement ta main vers sa mâchoire que tu agrippes, la forçant ainsi à tourner le visage vers toi. « Mais ce soir, en rentrant du restaurant, je te ferai l'amour dans cette salle de bain. » Tu approches tes lèvres des siennes sans pour autant l'embrasser, c'est difficile de ne pas succomber à la tentation, à ses lèvres qui t'appellent et ne demandent qu'à être dévorées, pourtant non, tu n'en fais rien. Vous partagez désormais le même souffle, la même soif d'envie. « Devant le miroir, sans prendre le temps de retirer ta robe. » C'est ce que tu veux, et ce n'est pas sans raison. « Comme la première fois. » Et ça t'exciterait encore plus de lui faire l'amour dans une telle tenue, dans cette robe que tu lui as offerte, t'en rêvais. Tu pousses un soupir de plaisir, retrouvant ce discret sourire simplement en y pensant. Elle sait bien pourquoi tu as envie de faire ça. La première fois que vous aviez fait l'amour, c'était dans cette salle de bain de cette inconnue, évidemment qu'elle s'en souvient, c'était tellement torride, tellement érotique. « Je veux que tu me vois faire. » Encore une fois, comme elle te l'avait demandé la première fois, mais cette fois, c'est différent. D'ailleurs tes mouvements du bassin se font plus brusques que précédemment, c'est inconscient mais le simple fait d'en parler t'excite beaucoup trop, tu veux l'exciter au maximum, oui, mais cette excitation est bien trop forte pour que tu puisses la contrôler. « Et moi aussi... Je veux me voir. » Tu marques un courte pause pendant laquelle tu tentes de contrôler cette nouvelle vague de plaisir, tu lâches ce grognement viril, serrant les dents, avant de terminer, après avoir repris un minimum tes esprits: « - Te faire l'amour, en sachant que tu m'appartiens maintenant. » Et bon sang, que c'est bon de pouvoir ressentir ça, de lui dire enfin: elle est à toi. Ta main vient à nouveau attraper sa mâchoire un court instant, le temps pour toi de t'emparer de ses lèvres dans un baiser fougueux, illustrant ton envie d'elle, et après avoir mis fin au baiser, non sans éloigner tes lèvres des siennes, tu reprends « Tu me rends fou Mia. » Et finalement, ton bras lui bloquant le bassin relâche son emprise, la libérant ainsi, et la laissant se mettre dans une position plus confortable, sûrement en se penchant en avant. Tu viens attraper sa hanche, très vite rejoins par la seconde main qui attrape la deuxième. « Et j'ai pas fini de te le prouver. » Oh non, elle te rend complètement fou Mia. Dans tous les sens du terme d'ailleurs, sexuellement ou non. Tu as beau jouer les dominants, c'est toujours elle qui a les cartes en mains, tu pourrais te soumettre à cette femme, être à ses pieds si elle te le demandait tant elle parvient à te rendre dans un état second, tant tu te consumes d'amour pour elle. Et doucement, tes vas-et-viens se font encore plus brusques et cette fois-ci, plus profonds alors que tu agrippes fermement sa taille, l'amenant ainsi, à mouver à nouveau son bassin. Tu estimes l'avoir assez excitée, d'avoir assez fait grimper cette chaleur et cette tension qui explose enfin, et puis de toute façon, tu ne peux plus tenir. Tu ne retiens même pas tes gémissements. Parfois camouflés par le bruit de l'eau qui coule, parfois non, contrairement aux bruits de votre échange qui eux, se font distinctement entendre dû à cette bestialité qui ressort, à ces pénétrations profondes et délicieuses.
La preuve, tu ne sais même pas te tenir. Tu l'aimes tellement, cette femme. Il suffit de voir à quel point elle t'a manqué ce week-end, à quel point tu la désirais ces dernières semaines et non, tu ne parles pas que sexuellement. Votre relation était peut-être basée sur le sexe, mais ces dernières semaines, tu n'étais que l'ombre de toi-même. Parce que ce n'était pas ça qui te manquait le plus, c'était son rire, ses regards, ses gestes tendres, vos soirées passées ensemble, son sourire, sa peau, son parfum, absolument tout. Alors oui, tu comptes bien profiter de vos retrouvailles mais aussi des jours et des semaines à venir, tu veux juste être avec elle, et profiter, comme tu le désirais tant. Tu ne lui fais pas l'amour parce que t'es un assoiffé de sexe, non, tu lui fais l'amour parce que tu es devenu assoiffé d'elle.
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Oh non, qu'elle ne joue pas trop avec le feu qu'elle a bien trop attisé durant ce long week-end passé loin de toi. C'est ce que tu lui dis, oui, de ne pas trop jouer avec le feu mais c'est assez contradictoire quand on y pense, lorsqu'on voit à quel point ça t'excite... Mais ça, Mia le sait très bien, elle en a conscience, il suffit de voir la manière dont elle use pour prendre les choses en mains, te devançant sur ce coup là. Ça te plait beaucoup trop d'ailleurs, de la voir si entreprenante, son sourire coquin, son regard taquin, tout ça te rend totalement fou. Et voilà une autre chose qu'elle sait aussi. Oh oui, elle doit sans doute le savoir, elle sait tout Mia, elle te connaît. Elle sait exactement quoi faire pour te faire perdre les pédales. C'est pour ça qu'au fond, tu la crains, cette soirée au restaurant. Enfin... Oui et non. Tu l'attends si impatiemment, ces dernières semaines, tu rêvais de pouvoir passer une soirée entière avec elle, sans plus aucune barrière, sans limite, sans plus vous cacher, t'afficher fièrement à ses côtés comme étant officiellement son petit ami. Te retrouver avec elle et profiter de chaque minutes à ses côtés, parce que t'es littéralement amoureux de cette femme. Pas pour rien que tu as rampé à ses pieds le jour de son anniversaire, tu ne pouvais plus continuer. T'as beau être fermé comme garçon, sur la défensive, ton amour pour elle a définitivement tout surmonté. Elle t'obsédait. Sans doute parce que tu le savais, quoi que tu fasses, c'est elle, la seule et l'unique. Elle et aucune autre. Mais pour en revenir au principal sujet, cette soirée, elle va la passer vêtue de cette magnifique robe que tu lui as offerte. Bonne idée, oui. Tu risques clairement de loucher plus d'une fois, le pire ? Tu sais que Mia s'en amusera. Mais malgré ton côté impulsif, tu peux te montrer patient dans certaines situations. Celle-ci par exemple. Elle pourrait bien te rendre totalement fou pendant des heures, jouer de cette situation et de cette robe qui t'excite au plus au point, tu te fais assez confiance pour savoir que tu auras ta vengeance, que tu finiras par la prendre comme un fou, avec une telle envie qu'elle recommencera sans doute dès qu'elle en aura l'occasion mais quand bien même, ça t'excite. Autre exemple : ce week-end. Mia t'a clairement cherché mais là... C'est à toi d'entrer en jeu.
Pour commencer, en entrant dans la douche. Après avoir pris un malin plaisir à la déshabiller, à avoir inondé son corps de baiser mouillés, tu veux maintenant passer aux choses sérieuses. Lui faire l'amour dans cette douche ? Peut-être, t'en sais rien, là, tu veux simplement jouer un peu avec elle. Profiter de sa présence parce que tu en rêvais, ces dernières nuits. Il était si long ce week-end, encore plus long lorsque ta petite-amie, loin de toi, s'amuse à te torturer, provoquant en toi des désirs les plus charnels et les plus torrides. Et c'est bien ce que tu comptes lâcher, maintenant, cette bête en cage. Bête que même l'eau chaude ne calme pas, bien au contraire, tu commences à y découvrir son corps mouillé, et tes envies explosent, tes désirs se font bien trop imposants maintenant. Ces mêmes désirs qui te poussent à agir au plus vite en la tournant, la retrouvant ainsi dos à toi alors que tu viens lui embrasser le cou, l'épaule, lui mordiller même la peau parfois. Et non, tu ne peux t'empêcher une réflexion, si elle le savait tout ce que tu as envie de lui faire, si elle savait tout ce dont à quoi tu as pensé ces derniers jours. Ainsi, son visage quitte enfin la paroi pour venir s'y appuyer contre ton torse, elle y cherche ton regard, et ça te fait sourire, discrètement, mais chaudement. « Tu peux me faire absolument tout ce que tu veux. » Et c'est comme un électrochoc qui te parcourt le corps. Peut-elle imaginer l'impact que cette phrase a sur toi? L'effet que ça te fait? Sans doute, c'est bien pour ça qu'elle te le dit. Elle t'excite, Mia, elle t'excite tellement que tes pensées divaguent à nouveau, tu en perds un instant le contrôle, ce n'est pas pour rien que tu serres les dents en tentant de te canaliser. Alors tu ne te fais pas prier, assourdi par tes envies, ton bras vient se plaquer sur son ventre pour la maintenir près de toi, ça, avant de laisser tes doigts s'aventurer entre ses cuisses, jouant dans un premier temps avec son petit bouton. Sa tête quitte alors ton torse, cherchant sans doute une position plus confortable en venant se poser contre la paroi tandis que tu sens ses cuisses s'écarter, une nouvelle vague de désir s'empare de tout ton corps et tu ne te fais pas prier en la pénétrant d'un doigt, pour commencer. Mais tes lèvres se font un peu trop curieuses de son corps, comme à chaque fois, et tu ne te retiens de venir lui déposer des baisers dans son cou, exprimant également ton désir par des soupirs d'excitation, tellement excité qu'un deuxième doigt s'ajoute à la partie. Tu entends son premier gémissement au moment où tu viens planter tes dents dans sa chair, et tu souris, tout contre sa peau. T'as l'envie et le besoin de l'entendre dans cet état, d'entendre l'effet que tu as sur elle, le plaisir que tu lui offres. Mais à croire que ça ne te suffit pas, oh non, tu lui avais bien dit que tu avais réfléchi à tout ce que tu pouvais lui faire, c'est pour cette raison que tu la surprends grâce à un troisième doigt. Tu l'entends à son gémissement plus prononcé, et ça te plaît beaucoup trop. Et c'est alors que tu commences des vas-et-viens, à la fois profonds et appliqués à la fois. Tu la sens même se cambrer, ses fesses se collant davantage à ton bassin. Ton excitation commence à grimper en flèche à la sentant dans un tel état, si serré mais aussi, si excitée, dans cette position qui clairement, te fait flancher.
Tu sens ses doigts se resserrer dans les tiens, continuant tes mouvements. Tu viens même te mordre la lèvre inférieure tant le désir t'enivre, cette vue te rend complètement dingue, la savoir dans cet état ? encore pire. Tu n'en peux plus, tu ne tiens plus mais en même temps, tu veux faire durer le plaisir. Tu veux continuer de voir ce délicieux spectacle qu'elle t'offre. Elle vient alors agripper ton poignet avec brutalité, geste qui t'excite clairement et t'incite à continuer, tu en lâches même un léger grognement de désir. Tu sens cette bête en toi prête à être libérée, elle tente de s'enfuir mais tu la laisses dans sa cage, pour le moment. De toute façon, elle tente de te faire comprendre de continuer et ça tombe bien, tu ne comptes pas t'arrêter en si bon chemin, pas avec les gémissements qu'elle pousse. Tu la sens même resserrer son emprise sur ton poignet, sans doute envahie par une vague de plaisir et toi, tu y vas de plus belle, entraînant tes doigts encore plus profondément en elle. Et une fois chose faite, tu baisses la tête, posant tes lèvres sur son épaule. Tu ne lui embrasses pas, non, tu fermes les yeux, te concentrant sur cette douce mélodie qui sort de sa bouche, sur les sensations de la sentir autour de tes doigts mais aussi et surtout, sur le plaisir que tu peux lui procurer. Mais lorsque tu entends ce long râle de plaisir qu'elle pousse, tu gardes ce même rythme. Tu sais que tu es sur la bonne voie, ça devient pourtant si difficile pour toi de ne pas la prendre, là, tout de suite, mais tu te retiens, te disant que lorsque tu le feras, ça ne sera que meilleur et puis, tu veux la faire venir, peu importe le moyen. Du moment qu'elle vienne pour toi, et toi seul.
Et cela dure de nombreuses minutes avant qu'elle agrippe ton poignet qui est en action depuis tout à l'heure. Non pas pour t’inciter à continuer cette fois, tu le sens puisque ses ongles se plantant dans ta peau, elle te force à t'arrêter là. Son acte de bestialité crée une vague d'excitation en toi, tellement que tu la laisses retirer tes doigts bien que tu n'as clairement pas eu ton compte, beaucoup trop gourmand d'elle. Mais tu parviens facilement à ressentir cette réciprocité puisqu'elle n'a aucune patience, c'est ainsi que, rapidement, ta petite amie vient se saisir de ton membre durci qu'elle s'amuse à palper durant quelques secondes, tu serres les dents, étouffant alors ce râle de plaisir mais de surprise aussi, lorsqu'elle le dirige vers son entrée, provoquant ainsi une pénétration. Et là, un soupir d'aise passe la barrière de tes lèvres, tu fermes même les yeux un court instant lorsque tu entends son gémissement, à elle aussi. Et elle profite certainement de ces quelques secondes de faiblesse pour commencer à mouver son bassin, provoquant ainsi des premiers vas-et-vient qui t'arrachent un nouveau râle de plaisir. Mais fort heureusement, tu parviens à te ressaisir par tu ne sais quel miracle, puisque brusquement, ta main désormais libre vient se plaquer autour de sa taille. Tu y mets assez de force pour la bloquer, l'empêchant alors de continuer de mouver son bassin. Non pas que ça te déplaisait, bien au contraire, mais c'est toi qui veut tenir les rennes. Un réflexe, sans doute. Alors tu viens décoller ta main de cette paroi, ramenant son visage contre ton torse et rapprochant ainsi, tes lèvres de son oreille tout en cambrant son corps. « Impatiente. » lâches-tu, à la fois dans un chuchotement mais pourtant, on peut clairement y sentir au timbre de ta voix ton excitation, mais surtout, ton envie de jouer. Tu l'empêches de faire ce qu'elle veut, ça doit la frustrer... Et toi aussi d'ailleurs, mais c'est exactement ce que tu voulais. Après tout, ne vous a t-elle pas frustrés tout le week-end? Alors un mince sourire, discret mais malicieux, s'affiche sur tes lèvres. Elle n'est pas capable de le voir mais peut-être de l'entendre, tu l'espères en tout cas. Et doucement, tu te mets à mouver ton bassin. Assez pour qu'elle puisse te sentir mais pas assez pour assouvir votre désir. Tu veux la frustrer un peu, lui donnant l'envie d'en avoir plus encore, de la sentir encore plus sensible et excitée. Oui là, tu veux l'exciter au maximum. « Tu ne veux pas savoir à quoi j'ai pensé, ce week-end ? » soupires-tu, d'une voix chaude de plaisir mais surtout, de désir. Tu la plaques davantage contre toi, toujours en l'empêchant de mouver son bassin ne serait-ce qu'un peu, avant de reprendre: « Je vais te le dire. » Tu veux la voir et la sentir fondre sous ce désir, c'en est presque vital pour toi, et qu'est-ce que c'est jouissif. Alors de ta main libre, tu viens la passer devant, non pas pour rejoindre la deuxième qui maintient toujours sa taille mais pour venir y agripper son sein droit avec envie, et désir, espérant ainsi faire grimper le plaisir en elle. Et tu pivotes ton visage, lui mordillant la lobe d'oreille un court instant. « Ils me manquaient. » Et tu souris, chaudement avant de reprendre, dans un chuchotement des plus torrides « Je t'ai imaginé nue, attachée dans mon lit. Impossible pour toi de bouger, t'es coincée. » Tu rentres un peu dans les détails sans trop en dire, tu veux qu'elle puisse s'imaginer tout ça elle aussi, ce n'est pas pour rien que tu lui dis d'ailleurs mais en même temps, tu veux laisser travailler son imagination, c'est d'autant plus excitant. Tu veux la rendre plus excitée que jamais. Pourtant, tes mouvements du bassin ne cessent à aucun instant, des mouvements qui vont la rendre plus affamée que jamais, puisque tu y vas sans doute un peu trop doucement, et pas si profondément. « Je pourrais faire ce que je veux de toi. » continues-tu. C'est bien ce qu'elle t'a dit il y a quelques minutes, non ? Ça tombe bien. « Même te bander les yeux. Tu ne me verrais pas faire. » Elle pourrait ni deviner ce que tu comptes faire, ni même te toucher. Frustrant, mais excitant. Et ça te fait sourire érotiquement, quand tu y penses. Et après avoir malaxé son sein pendant de nombreuses secondes, tu diriges finalement ta main vers sa mâchoire que tu agrippes, la forçant ainsi à tourner le visage vers toi. « Mais ce soir, en rentrant du restaurant, je te ferai l'amour dans cette salle de bain. » Tu approches tes lèvres des siennes sans pour autant l'embrasser, c'est difficile de ne pas succomber à la tentation, à ses lèvres qui t'appellent et ne demandent qu'à être dévorées, pourtant non, tu n'en fais rien. Vous partagez désormais le même souffle, la même soif d'envie. « Devant le miroir, sans prendre le temps de retirer ta robe. » C'est ce que tu veux, et ce n'est pas sans raison. « Comme la première fois. » Et ça t'exciterait encore plus de lui faire l'amour dans une telle tenue, dans cette robe que tu lui as offerte, t'en rêvais. Tu pousses un soupir de plaisir, retrouvant ce discret sourire simplement en y pensant. Elle sait bien pourquoi tu as envie de faire ça. La première fois que vous aviez fait l'amour, c'était dans cette salle de bain de cette inconnue, évidemment qu'elle s'en souvient, c'était tellement torride, tellement érotique. « Je veux que tu me vois faire. » Encore une fois, comme elle te l'avait demandé la première fois, mais cette fois, c'est différent. D'ailleurs tes mouvements du bassin se font plus brusques que précédemment, c'est inconscient mais le simple fait d'en parler t'excite beaucoup trop, tu veux l'exciter au maximum, oui, mais cette excitation est bien trop forte pour que tu puisses la contrôler. « Et moi aussi... Je veux me voir. » Tu marques un courte pause pendant laquelle tu tentes de contrôler cette nouvelle vague de plaisir, tu lâches ce grognement viril, serrant les dents, avant de terminer, après avoir repris un minimum tes esprits: « - Te faire l'amour, en sachant que tu m'appartiens maintenant. » Et bon sang, que c'est bon de pouvoir ressentir ça, de lui dire enfin: elle est à toi. Ta main vient à nouveau attraper sa mâchoire un court instant, le temps pour toi de t'emparer de ses lèvres dans un baiser fougueux, illustrant ton envie d'elle, et après avoir mis fin au baiser, non sans éloigner tes lèvres des siennes, tu reprends « Tu me rends fou Mia. » Et finalement, ton bras lui bloquant le bassin relâche son emprise, la libérant ainsi, et la laissant se mettre dans une position plus confortable, sûrement en se penchant en avant. Tu viens attraper sa hanche, très vite rejoins par la seconde main qui attrape la deuxième. « Et j'ai pas fini de te le prouver. » Oh non, elle te rend complètement fou Mia. Dans tous les sens du terme d'ailleurs, sexuellement ou non. Tu as beau jouer les dominants, c'est toujours elle qui a les cartes en mains, tu pourrais te soumettre à cette femme, être à ses pieds si elle te le demandait tant elle parvient à te rendre dans un état second, tant tu te consumes d'amour pour elle. Et doucement, tes vas-et-viens se font encore plus brusques et cette fois-ci, plus profonds alors que tu agrippes fermement sa taille, l'amenant ainsi, à mouver à nouveau son bassin. Tu estimes l'avoir assez excitée, d'avoir assez fait grimper cette chaleur et cette tension qui explose enfin, et puis de toute façon, tu ne peux plus tenir. Tu ne retiens même pas tes gémissements. Parfois camouflés par le bruit de l'eau qui coule, parfois non, contrairement aux bruits de votre échange qui eux, se font distinctement entendre dû à cette bestialité qui ressort, à ces pénétrations profondes et délicieuses.
La preuve, tu ne sais même pas te tenir. Tu l'aimes tellement, cette femme. Il suffit de voir à quel point elle t'a manqué ce week-end, à quel point tu la désirais ces dernières semaines et non, tu ne parles pas que sexuellement. Votre relation était peut-être basée sur le sexe, mais ces dernières semaines, tu n'étais que l'ombre de toi-même. Parce que ce n'était pas ça qui te manquait le plus, c'était son rire, ses regards, ses gestes tendres, vos soirées passées ensemble, son sourire, sa peau, son parfum, absolument tout. Alors oui, tu comptes bien profiter de vos retrouvailles mais aussi des jours et des semaines à venir, tu veux juste être avec elle, et profiter, comme tu le désirais tant. Tu ne lui fais pas l'amour parce que t'es un assoiffé de sexe, non, tu lui fais l'amour parce que tu es devenu assoiffé d'elle.
CODES LITTLE WOLF.
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