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Au pays des Gonkourou [Tae & Mia]
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Au pays des Gonkourou [Tae & Mia] | Mar 26 Déc - 18:30 
L’Australie. Il n’y avait jamais mis les pieds avant. Il faisait beaucoup trop chaud pour lui, mais l’océan était magnifique et Mia, il adorait ça. Ce qu’il aimait encore plus c’était ces surfeurs musclés qui passaient devant de lui et qui éveillaient ses instincts sauvages. Ces quelques jours loin de tout avec son meilleur ami allaient lui faire du bien. Quelque chose était différent depuis qu’ils avaient dépassé les limites, depuis qu’il l’avait fait gémir de plaisir. C’était la première fois que Mia s’était laissé dominer, la première fois qu’il y avait des sentiments en jeux, même si ce n’était pas de l’amour. C’était bien plus. Mais le blond ne voulait pas se poser de question, il voulait profiter de ces quelques jours dans le pays des Gonkourou. Il avait beau essayé, le mot kangourou ne franchissait jamais la barrière de ses lèvres. Ce soir il y avait une soirée sur la plage. Pour l’occasion, il avait enfilé un jean troué et un sweat gris. Il avait peur d’avoir froid ou de se faire piquer par les moustiques. Il n’avait pas perdu de temps à jeter son dévolu sur un beau brun au cheveux long. Assis sur ses cuisses il ne lâchait pas ses lèvres, jetant tout de même de nombreux coups d’œil en direction de son meilleur amie, entouré de quelques jolies filles. Mia, il ne comprenait pas ce qui le mettait autant en colère. Il avait l’habitude de voir Tae Kyun en compagnie de femme. Mais depuis qu’il l’avait fait sien, il ne supportait pas l’idée qu’il puisse toucher quelqu’un d’autre. Alors c'était cet inconnu qui allait subir sa frustration, son envie de tuer quelqu'un.
☆☆☆ Beerus
Au pays des gonkourou
L’Australie. Il n’y avait jamais mis les pieds avant. Il faisait beaucoup trop chaud pour lui, mais l’océan était magnifique et Mia, il adorait ça. Ce qu’il aimait encore plus c’était ces surfeurs musclés qui passaient devant de lui et qui éveillaient ses instincts sauvages. Ces quelques jours loin de tout avec son meilleur ami allaient lui faire du bien. Quelque chose était différent depuis qu’ils avaient dépassé les limites, depuis qu’il l’avait fait gémir de plaisir. C’était la première fois que Mia s’était laissé dominer, la première fois qu’il y avait des sentiments en jeux, même si ce n’était pas de l’amour. C’était bien plus. Mais le blond ne voulait pas se poser de question, il voulait profiter de ces quelques jours dans le pays des Gonkourou. Il avait beau essayé, le mot kangourou ne franchissait jamais la barrière de ses lèvres. Ce soir il y avait une soirée sur la plage. Pour l’occasion, il avait enfilé un jean troué et un sweat gris. Il avait peur d’avoir froid ou de se faire piquer par les moustiques. Il n’avait pas perdu de temps à jeter son dévolu sur un beau brun au cheveux long. Assis sur ses cuisses il ne lâchait pas ses lèvres, jetant tout de même de nombreux coups d’œil en direction de son meilleur amie, entouré de quelques jolies filles. Mia, il ne comprenait pas ce qui le mettait autant en colère. Il avait l’habitude de voir Tae Kyun en compagnie de femme. Mais depuis qu’il l’avait fait sien, il ne supportait pas l’idée qu’il puisse toucher quelqu’un d’autre. Alors c'était cet inconnu qui allait subir sa frustration, son envie de tuer quelqu'un.
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Re: Au pays des Gonkourou [Tae & Mia] | Mar 26 Déc - 21:30 
L’Australie. J’en avais vraiment, vraiment envie depuis des années. Passant une main dans mes cheveux, j’avance dans la foule, champagne à la main, une brunette au bras gauche, une rouquine au bras droit. Elles ne me font rien, pas de frémissement, je n’ai jamais aimé avoir des coups d’un soir. Ce n’est pas intéressant à mon sens. j’aime le sexe avec sentiment. J’aime le faire avec la même personne afin d’apprendre toujours un peu mieux comment la coller au 7ème ciel et comment prendre davantage mon pied. Pourtant, depuis notre fois ensemble, je me suis rendu compte que je n’avais jamais eu un orgasme aussi fort. Que je n’avais jamais eu autant de pulsions presque satisfaites. Mon regard se tourne vers lui et je le fixe avec cet homme. L’impression de mes voir se manger le visage m’énerve et je regarde ailleurs avant de les fixer intensément comme pour les transpercer de mon regard. Une des filles prend ma main pur m’emmener sur la piste, mais je la repousse et pars sur un canapé pour continuer de regarder Mia et ce stéréotype du surfeur blond et musclé. Un rire sarcastique m’échappe tandis que le décompte se lance pour changer d’année. Et lui, lui, il continue de rouler des pelles à cet idiot de première. Énervé, je claque ma coupe sur une table basse et pars sur la plage, la boite de nuit étant au bord de la mer. Mains dans les poches, chemise ouverte, et pantalon de satin légèrement ample, je soupire et secoue la tête en me trouvant ridicule et stupide. Alors je retourne à l’intérieur pour aller vers le bar et commander un nouveau verre lorsque les gens se mettent à crier et se souhaiter une bonne année.
☆☆☆ Beerus
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L’Australie. J’en avais vraiment, vraiment envie depuis des années. Passant une main dans mes cheveux, j’avance dans la foule, champagne à la main, une brunette au bras gauche, une rouquine au bras droit. Elles ne me font rien, pas de frémissement, je n’ai jamais aimé avoir des coups d’un soir. Ce n’est pas intéressant à mon sens. j’aime le sexe avec sentiment. J’aime le faire avec la même personne afin d’apprendre toujours un peu mieux comment la coller au 7ème ciel et comment prendre davantage mon pied. Pourtant, depuis notre fois ensemble, je me suis rendu compte que je n’avais jamais eu un orgasme aussi fort. Que je n’avais jamais eu autant de pulsions presque satisfaites. Mon regard se tourne vers lui et je le fixe avec cet homme. L’impression de mes voir se manger le visage m’énerve et je regarde ailleurs avant de les fixer intensément comme pour les transpercer de mon regard. Une des filles prend ma main pur m’emmener sur la piste, mais je la repousse et pars sur un canapé pour continuer de regarder Mia et ce stéréotype du surfeur blond et musclé. Un rire sarcastique m’échappe tandis que le décompte se lance pour changer d’année. Et lui, lui, il continue de rouler des pelles à cet idiot de première. Énervé, je claque ma coupe sur une table basse et pars sur la plage, la boite de nuit étant au bord de la mer. Mains dans les poches, chemise ouverte, et pantalon de satin légèrement ample, je soupire et secoue la tête en me trouvant ridicule et stupide. Alors je retourne à l’intérieur pour aller vers le bar et commander un nouveau verre lorsque les gens se mettent à crier et se souhaiter une bonne année.
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Re: Au pays des Gonkourou [Tae & Mia] | Mar 26 Déc - 22:08
Est-ce qu’il avait envie de le blesser ? De se venger ? Sûrement un peu. Mia, il avait toujours été trop impulsif. Il ne réfléchissait jamais avant d’agir. Il suivait ses sentiments, tout simplement. Et s’il ne voulait pas balancer la rouquine contre un mur il devait continuer à fourrer sa langue dans la bouche de ce type. Pourtant, il pouvait le sentir le regard de Tae Kyun posé sur eux, oui il pouvait la sentir cette colère qui le dévorait et un sourire à peine perceptible se dessinait sur ses lèvres gonflées suite à ces baisers passionnés. Mais il ne ressentait rien. Rien de comparable avec ce qu’il avait vécu quelques jours plus tôt. Tout lui semblait fade, sans aucune étincelle. Tout ce qu’il avait aimé jusque-là était remis en question. Il se débarrassait du surfeur, essuyant rapidement sa bouche. Mia, il savait très bien quand Tae Kyun n’était pas dans les parages, alors il le cherchait du regard, jusqu’à le trouver au bar. Il se faufilait entre les gens un peu trop éméches pour arriver à sa hauteur. Sans dire, un mot, il posait ses mains sur ses joues, prenant possession de ses lèvres pour un baiser encore plus enflammés que les précédents. Alors que l’on criait pour accueillir cette nouvelle année, Mia, il ne voyait que lui. « Bonne année. »
☆☆☆ Beerus
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Est-ce qu’il avait envie de le blesser ? De se venger ? Sûrement un peu. Mia, il avait toujours été trop impulsif. Il ne réfléchissait jamais avant d’agir. Il suivait ses sentiments, tout simplement. Et s’il ne voulait pas balancer la rouquine contre un mur il devait continuer à fourrer sa langue dans la bouche de ce type. Pourtant, il pouvait le sentir le regard de Tae Kyun posé sur eux, oui il pouvait la sentir cette colère qui le dévorait et un sourire à peine perceptible se dessinait sur ses lèvres gonflées suite à ces baisers passionnés. Mais il ne ressentait rien. Rien de comparable avec ce qu’il avait vécu quelques jours plus tôt. Tout lui semblait fade, sans aucune étincelle. Tout ce qu’il avait aimé jusque-là était remis en question. Il se débarrassait du surfeur, essuyant rapidement sa bouche. Mia, il savait très bien quand Tae Kyun n’était pas dans les parages, alors il le cherchait du regard, jusqu’à le trouver au bar. Il se faufilait entre les gens un peu trop éméches pour arriver à sa hauteur. Sans dire, un mot, il posait ses mains sur ses joues, prenant possession de ses lèvres pour un baiser encore plus enflammés que les précédents. Alors que l’on criait pour accueillir cette nouvelle année, Mia, il ne voyait que lui. « Bonne année. »
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Re: Au pays des Gonkourou [Tae & Mia] | Mar 26 Déc - 22:22
Les mains du blond sur mes joues m’empêche de parler au serveur pour lui demander combien je lui dois et ses lèvres sur les miennes me fond frissonner. Je le prends fermement contre moi pour répondre à ses baisers et les intensifier un peu plus, oubliant les gens autour de nous et tout le reste. De toute façon, nous sommes loin de tout, on ne connaît personne et je prends de nouveau possession de lui comme s’il m’appartenait entièrement et lorsque son surfeur s’approche pour le prendre par le poignet, c’est ma main qui se tend pour l’attraper au col et le tenir fermement afin de le repousser. « Don’t touch him again. » « I was first ! » Et cette phrase me fait rire, un rire de nouveau très sarcastique. D’ordinaire calme, je lance mon poing dans la gueule du type et me place devant Mia. « He’s not yours asshole. He’s mine. Go and fuck yourself. » Je ne suis pas vulgaire d’ordinaire. J’ai été élevé de façon à ne jamais en dire, mais en anglais et dans des moments pareils, je ne sais pas retenir mes mots ou ma colère. Tenant Mia par la main, je l’entraîne vers la plage en ronchonnant. « Qu’est-ce que t’as pu lui trouver? »
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Les mains du blond sur mes joues m’empêche de parler au serveur pour lui demander combien je lui dois et ses lèvres sur les miennes me fond frissonner. Je le prends fermement contre moi pour répondre à ses baisers et les intensifier un peu plus, oubliant les gens autour de nous et tout le reste. De toute façon, nous sommes loin de tout, on ne connaît personne et je prends de nouveau possession de lui comme s’il m’appartenait entièrement et lorsque son surfeur s’approche pour le prendre par le poignet, c’est ma main qui se tend pour l’attraper au col et le tenir fermement afin de le repousser. « Don’t touch him again. » « I was first ! » Et cette phrase me fait rire, un rire de nouveau très sarcastique. D’ordinaire calme, je lance mon poing dans la gueule du type et me place devant Mia. « He’s not yours asshole. He’s mine. Go and fuck yourself. » Je ne suis pas vulgaire d’ordinaire. J’ai été élevé de façon à ne jamais en dire, mais en anglais et dans des moments pareils, je ne sais pas retenir mes mots ou ma colère. Tenant Mia par la main, je l’entraîne vers la plage en ronchonnant. « Qu’est-ce que t’as pu lui trouver? »
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Re: Au pays des Gonkourou [Tae & Mia] | Mar 26 Déc - 22:38
Il était déçu et un peu en colère que cet idiot soit venu briser ce moment. Il se foutait de ce type, ce n’était qu’un amuse-bouche, un pion pour éveiller la jalousie du brun. Apparemment, il ne l’avait pas compris. Il se reculait pour ne pas se retrouver au milieu de cette bagarre. Mia, il ne savait pas se contrôler. Il avait déjà failli tuer quelqu’un et c’était la raison de sa présence en Corée. Il avait l’air d’un gamin, mais il avait une violence en lui presque inimaginable. Il avait grandi dans le sang, et dans la peur. Il souriait, tout simplement, se laissant entrainer à l’extérieur, faisait un signe de la main au surfeur pour lui dire au revoir. Tae, il ne se mettait pas souvent dans cet état et il avait du mal à croire que c’était à cause de lui. Ils avaient toujours eu une relation fusionnelle. Il laissait échapper un petit rire, porté par l’alcool qu’il avait englouti depuis le début de la soirée. « Jaloux ? » Mia, il savait que ce n’était pas le moment de le chercher, mais c’était un emmerdeur. Il adorait le bruit des vagues qui s’écrasaient sur la plage. « So… I’m yours ? » Son petit sourire ne disparaissait pas. Mia, il avait toujours refusé d’appartenir à quelqu’un, pourtant, il s’était laissé enchainer, il s’était retrouver enfermé dans cette cage qui le terrifiait tant. Et pourtant, il n’avait jamais essayé de s’enfuir. Il mêlait ses doigts à ceux du plus vieux. « Sois pas cochon. » Ronchon. « Si tu veux la prochaine fois je te laisserais choisir qui je pourrais mettre dans mon lit. » Il lui faisait un petit clin d’œil. Mia, il adorait jouer avec le feu.
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Il était déçu et un peu en colère que cet idiot soit venu briser ce moment. Il se foutait de ce type, ce n’était qu’un amuse-bouche, un pion pour éveiller la jalousie du brun. Apparemment, il ne l’avait pas compris. Il se reculait pour ne pas se retrouver au milieu de cette bagarre. Mia, il ne savait pas se contrôler. Il avait déjà failli tuer quelqu’un et c’était la raison de sa présence en Corée. Il avait l’air d’un gamin, mais il avait une violence en lui presque inimaginable. Il avait grandi dans le sang, et dans la peur. Il souriait, tout simplement, se laissant entrainer à l’extérieur, faisait un signe de la main au surfeur pour lui dire au revoir. Tae, il ne se mettait pas souvent dans cet état et il avait du mal à croire que c’était à cause de lui. Ils avaient toujours eu une relation fusionnelle. Il laissait échapper un petit rire, porté par l’alcool qu’il avait englouti depuis le début de la soirée. « Jaloux ? » Mia, il savait que ce n’était pas le moment de le chercher, mais c’était un emmerdeur. Il adorait le bruit des vagues qui s’écrasaient sur la plage. « So… I’m yours ? » Son petit sourire ne disparaissait pas. Mia, il avait toujours refusé d’appartenir à quelqu’un, pourtant, il s’était laissé enchainer, il s’était retrouver enfermé dans cette cage qui le terrifiait tant. Et pourtant, il n’avait jamais essayé de s’enfuir. Il mêlait ses doigts à ceux du plus vieux. « Sois pas cochon. » Ronchon. « Si tu veux la prochaine fois je te laisserais choisir qui je pourrais mettre dans mon lit. » Il lui faisait un petit clin d’œil. Mia, il adorait jouer avec le feu.
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Re: Au pays des Gonkourou [Tae & Mia] | Mar 26 Déc - 23:13
« Jaloux ? » Je lève une babine pendant qu’il fait son chieur. Il ne changera pas Mia. Il ne changera jamais. Mais c’est aussi comme ça que notre duo fonctionne. Il est le feu et je suis la glace. Je continue de me demander où toutes ses âneries vont nous mener et je reste perdu dans tout ça. Il faut bien l’avouer. Mia reste un homme. Un interdit… J’ai eu envie de me confesser tellement de fois depuis notre moment. Il me rend fou. « So… I’m yours ? » « Shut Up. » Oui, shut up. Juste tais toi….. « Sois pas cochon. » « Ronchon. » Et si, je le suis, je veux l’être, j’ai besoin de l’être. « Si tu veux la prochaine fois je te laisserais choisir qui je pourrais mettre dans mon lit. » « SHUT UP! » Je me tourne vers lui et le regarde pendant que des feux d’artifices explosent dans le ciel, le colorant de tellement de teintes. « Arrête de jouer Mia… Je n’ai pas envie d’être un de tes jouets. Tu sais que je suis jaloux, je ne l’ai jamais caché, autant en amour qu’en amitié et oui, tu es à moi, depuis le jour je t’ai ramassé dans la rue et encore plus maintenant. Pourtant, tu déteste les cages, alors je ne sais même pas pourquoi tu restes là à me tenir la main et…. » Un soupir, puis je le tire contre moi doucement avant de secouer la tête faiblement. Il faudra que je me marie un jour, il faudra que j’ai des enfants, il faudra plaire à la bienséance et nous, que deviendra-t-on ? Mon regard se porte sur le feu face à nous et je serre sa main plus fort. « J’arrêterai de te parler si je te revois embrasser un mec devant moi. »
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« Jaloux ? » Je lève une babine pendant qu’il fait son chieur. Il ne changera pas Mia. Il ne changera jamais. Mais c’est aussi comme ça que notre duo fonctionne. Il est le feu et je suis la glace. Je continue de me demander où toutes ses âneries vont nous mener et je reste perdu dans tout ça. Il faut bien l’avouer. Mia reste un homme. Un interdit… J’ai eu envie de me confesser tellement de fois depuis notre moment. Il me rend fou. « So… I’m yours ? » « Shut Up. » Oui, shut up. Juste tais toi….. « Sois pas cochon. » « Ronchon. » Et si, je le suis, je veux l’être, j’ai besoin de l’être. « Si tu veux la prochaine fois je te laisserais choisir qui je pourrais mettre dans mon lit. » « SHUT UP! » Je me tourne vers lui et le regarde pendant que des feux d’artifices explosent dans le ciel, le colorant de tellement de teintes. « Arrête de jouer Mia… Je n’ai pas envie d’être un de tes jouets. Tu sais que je suis jaloux, je ne l’ai jamais caché, autant en amour qu’en amitié et oui, tu es à moi, depuis le jour je t’ai ramassé dans la rue et encore plus maintenant. Pourtant, tu déteste les cages, alors je ne sais même pas pourquoi tu restes là à me tenir la main et…. » Un soupir, puis je le tire contre moi doucement avant de secouer la tête faiblement. Il faudra que je me marie un jour, il faudra que j’ai des enfants, il faudra plaire à la bienséance et nous, que deviendra-t-on ? Mon regard se porte sur le feu face à nous et je serre sa main plus fort. « J’arrêterai de te parler si je te revois embrasser un mec devant moi. »
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Re: Au pays des Gonkourou [Tae & Mia] | Mar 26 Déc - 23:30
Mia, il ne s’attendait pas à ce qu’il se mette autant en colère. Il avait pourtant l’habitude de ces conneries et il ne réagissait pas de façon aussi brutale. Il avait plutôt tendance à l’ignorer. Il restait figé, juste à le regarder. Le blond n’avait jamais rien pris au sérieux. La vie n’était qu’un jeu, et elle pouvait s’arrêter n’importe quand. Il ne souriait plus. Blessé qu’il ait pu croire qu’il le considérait comme un simple jouet alors qu’il représentait absolument tout son monde. Il n’avait jamais été faible Mia, il n’avait jamais pleuré. Il n’en n’avait jamais eu le droit. Pourtant, il laissait Tae Kyun le posséder. « Je ne joue pas. Jamais avec toi. Tu sais bien que je ne suis pas perspicace. Alors si tu veux que je sois à toi, tu n’as qu’à le dire clairement. Je ne pourrais pas le deviner tout seul. Je suis un idiot. » Il avait toujours été comme ça Mia, complètement aveugle. Il se laissait aller contre lui, observant le feu d’artifice. Il avait accepté d’être tenu en laisse. Ce choix, il l’avait fait de son plein gré « Tu me connais assez pour savoir que je reste pas si j’ai pas envie. » L’ambiance était lourde, pleine de sentiments qu’il ne comprenait pas. « J’en mourrais si tu me quittais » Il ne mentait jamais Mia. Il passait un bras autour de sa taille pour se rapprocher encore plus de lui. « Si j’en embrasse un devant toi ? ou si j’en embrasse un tout court ? » Il avait besoin de savoir où se situait les limites. Si son meilleur ami lui demandait d’arrêter de s’envoyer en l’air à droite à gauche, il allait devoir faire de gros efforts.
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Mia, il ne s’attendait pas à ce qu’il se mette autant en colère. Il avait pourtant l’habitude de ces conneries et il ne réagissait pas de façon aussi brutale. Il avait plutôt tendance à l’ignorer. Il restait figé, juste à le regarder. Le blond n’avait jamais rien pris au sérieux. La vie n’était qu’un jeu, et elle pouvait s’arrêter n’importe quand. Il ne souriait plus. Blessé qu’il ait pu croire qu’il le considérait comme un simple jouet alors qu’il représentait absolument tout son monde. Il n’avait jamais été faible Mia, il n’avait jamais pleuré. Il n’en n’avait jamais eu le droit. Pourtant, il laissait Tae Kyun le posséder. « Je ne joue pas. Jamais avec toi. Tu sais bien que je ne suis pas perspicace. Alors si tu veux que je sois à toi, tu n’as qu’à le dire clairement. Je ne pourrais pas le deviner tout seul. Je suis un idiot. » Il avait toujours été comme ça Mia, complètement aveugle. Il se laissait aller contre lui, observant le feu d’artifice. Il avait accepté d’être tenu en laisse. Ce choix, il l’avait fait de son plein gré « Tu me connais assez pour savoir que je reste pas si j’ai pas envie. » L’ambiance était lourde, pleine de sentiments qu’il ne comprenait pas. « J’en mourrais si tu me quittais » Il ne mentait jamais Mia. Il passait un bras autour de sa taille pour se rapprocher encore plus de lui. « Si j’en embrasse un devant toi ? ou si j’en embrasse un tout court ? » Il avait besoin de savoir où se situait les limites. Si son meilleur ami lui demandait d’arrêter de s’envoyer en l’air à droite à gauche, il allait devoir faire de gros efforts.
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Re: Au pays des Gonkourou [Tae & Mia] | Mar 26 Déc - 23:58
« Je ne joue pas. Jamais avec toi. Tu sais bien que je ne suis pas perspicace. Alors si tu veux que je sois à toi, tu n’as qu’à le dire clairement. Je ne pourrais pas le deviner tout seul. Je suis un idiot. » « Hn, pardon….. » C’est vrai, il est comme ça mon Mia. Il est comme un enfant et on ne peut pas lui en vouloir. Il n’a jamais vraiment eu le droit d’avoir une enfance réelle. Tout m’a toujours touché en lui. Peu importe le fait qu’il vienne de la rue, il est plus précieux q’un rubis. « Tu me connais assez pour savoir que je reste pas si j’ai pas envie. » L’ambiance lourde entre nous ne me plait pas et je ne peux rien y faire pour le moment. Il faut discuter. Il faut savoir des choses. Il le faut pour savoir comment avancer. « J’en mourrais si tu me quittais » « Je sais... » Je sais Mia, je sais et je ne veux pas que ça arrive. Peu importe comment, je sais que je ferai en sorte de te garder à mes côtés. « Si j’en embrasse un devant toi ? ou si j’en embrasse un tout court ? » « devant moi. » La réponse est nette et franche. Jamais… Jamais je ne m’intéresserait à un autre homme. Jamais. C’est Mia qui est ma moitié et souvent, je pleure le fait qu’il soit un homme mais c’est ce qu’il est. Aucun homme ne me fait la moindre envie, sauf lui et jamais je n’assumerai ça. Je ne peux être cette personne qu’il aimerait. Je n’y arriverai pas. Je ne suis pas comme lui. Alors un jour, un jour j’aurai une copine et sans doute plus encore. Je ne peux pas avoir la prétention de l’enchaîner quand moi je ne peux pas le lui promettre. Je le regarde et lui vole un nouveau baiser sous les feux d’artifices avant de mordiller sa langue. « On a encore trois jours ici, il faut qu’on en profite. Plus de prise de tête. »
☆☆☆ Beerus
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« Je ne joue pas. Jamais avec toi. Tu sais bien que je ne suis pas perspicace. Alors si tu veux que je sois à toi, tu n’as qu’à le dire clairement. Je ne pourrais pas le deviner tout seul. Je suis un idiot. » « Hn, pardon….. » C’est vrai, il est comme ça mon Mia. Il est comme un enfant et on ne peut pas lui en vouloir. Il n’a jamais vraiment eu le droit d’avoir une enfance réelle. Tout m’a toujours touché en lui. Peu importe le fait qu’il vienne de la rue, il est plus précieux q’un rubis. « Tu me connais assez pour savoir que je reste pas si j’ai pas envie. » L’ambiance lourde entre nous ne me plait pas et je ne peux rien y faire pour le moment. Il faut discuter. Il faut savoir des choses. Il le faut pour savoir comment avancer. « J’en mourrais si tu me quittais » « Je sais... » Je sais Mia, je sais et je ne veux pas que ça arrive. Peu importe comment, je sais que je ferai en sorte de te garder à mes côtés. « Si j’en embrasse un devant toi ? ou si j’en embrasse un tout court ? » « devant moi. » La réponse est nette et franche. Jamais… Jamais je ne m’intéresserait à un autre homme. Jamais. C’est Mia qui est ma moitié et souvent, je pleure le fait qu’il soit un homme mais c’est ce qu’il est. Aucun homme ne me fait la moindre envie, sauf lui et jamais je n’assumerai ça. Je ne peux être cette personne qu’il aimerait. Je n’y arriverai pas. Je ne suis pas comme lui. Alors un jour, un jour j’aurai une copine et sans doute plus encore. Je ne peux pas avoir la prétention de l’enchaîner quand moi je ne peux pas le lui promettre. Je le regarde et lui vole un nouveau baiser sous les feux d’artifices avant de mordiller sa langue. « On a encore trois jours ici, il faut qu’on en profite. Plus de prise de tête. »
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Re: Au pays des Gonkourou [Tae & Mia] | Mer 27 Déc - 0:30
Il était rassuré de savoir qu’il n’avait pas à se brider complètement. Devant lui, il pourrait se contrôler, parce que Mia, il n’avait d’yeux que pour Tae Kyun. Il avait grandi à ses côtés, il avait appris à parler presque correctement grâce à lui. Cette part sauvage de lui s’était petit à petit rétrécie. Elle n’était pas enfouie très profondément et pouvait ressortir à n’importe quel moment, mais il arrivait à avoir des contacts assez civilisés. « Dans ce cas-là … je ne veux pas te voir embrasser de filles devant moi non plus. » Il se souvenait de cette colère qui lui avait retourner les tripes alors qu’il était juste entouré et que rien ne s’était passé. Frapper une femme, ça ne l’avait jamais dérangé Mia. C’était comme ça qu’il avait été élevé. D’ailleurs il n’avait jamais compris comment le brun faisait pour n’avoir qu’une seule conquête à la fois. Le concept de fidélité, il ne le connaissait pas. Ce n’était pas quelque chose de logique pour lui. « Je suis à toi pour ces trois jours alors. Je mettrais ma langue que dans ta bouche ! » Il lui claquait doucement les fesses en souriant. Il n’avait pas fini de l’emmerder. « Techniquement y’a pas eu de prise de tête. Tu t’es énervé tout seul. » Il se mordillait la lèvre, en prenait son petit air innocent. « Dis-moi ce que tu as envie de faire ? Je me ferais pardonner. » Pour lui, il était capable de faire des efforts. C’était son âme sœur.
☆☆☆ Beerus
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Il était rassuré de savoir qu’il n’avait pas à se brider complètement. Devant lui, il pourrait se contrôler, parce que Mia, il n’avait d’yeux que pour Tae Kyun. Il avait grandi à ses côtés, il avait appris à parler presque correctement grâce à lui. Cette part sauvage de lui s’était petit à petit rétrécie. Elle n’était pas enfouie très profondément et pouvait ressortir à n’importe quel moment, mais il arrivait à avoir des contacts assez civilisés. « Dans ce cas-là … je ne veux pas te voir embrasser de filles devant moi non plus. » Il se souvenait de cette colère qui lui avait retourner les tripes alors qu’il était juste entouré et que rien ne s’était passé. Frapper une femme, ça ne l’avait jamais dérangé Mia. C’était comme ça qu’il avait été élevé. D’ailleurs il n’avait jamais compris comment le brun faisait pour n’avoir qu’une seule conquête à la fois. Le concept de fidélité, il ne le connaissait pas. Ce n’était pas quelque chose de logique pour lui. « Je suis à toi pour ces trois jours alors. Je mettrais ma langue que dans ta bouche ! » Il lui claquait doucement les fesses en souriant. Il n’avait pas fini de l’emmerder. « Techniquement y’a pas eu de prise de tête. Tu t’es énervé tout seul. » Il se mordillait la lèvre, en prenait son petit air innocent. « Dis-moi ce que tu as envie de faire ? Je me ferais pardonner. » Pour lui, il était capable de faire des efforts. C’était son âme sœur.
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Re: Au pays des Gonkourou [Tae & Mia] | Mer 27 Déc - 10:45
« Dans ce cas-là … je ne veux pas te voir embrasser de filles devant moi non plus. » « It’s fair enough. » Après tout ; je lui demande la même chose de son côté, je ne vais pas en plus lui faire ça. Dans un soupir, je fixe le ciel, puis souris. « Je suis à toi pour ces trois jours alors. Je mettrais ma langue que dans ta bouche ! » Sursautant lorsqu’il me claque les fesses, je le fixe et ris un peu face à son geste et surtout, face à sa bouille. « Techniquement y’a pas eu de prise de tête. Tu t’es énervé tout seul. » Je claque ma langue sur mon palais lorsqu’il me dit ça avant d’avoir un air exaspéré. Je n’aime pas avoir tort, mais fondamentalement, il a raison. « Dis-moi ce que tu as envie de faire ? Je me ferais pardonner. » « Je croyais que je m’étais énervé tout seul et donc, si on suit ta logique, tu n’as rien à te faire pardonner, ça serait plutôt l’inverse. Mais si tu insistes autant! » Je le regarde dans un grand sourire carnassier avant de m’approcher de son oreille. « I want to see you on your knees, begging for more after giving me a wonderful bl**job. » Je mords doucement sa joue, puis passe ma main dans ses cheveux pour les tenir. « Lorsqu’on sera à l’hôtel. » Soupirant à nouveau, je niche ma main dans la poche arrière de son jean. « Souvent, je me dis que tu es le seul à réellement supporter mon caractère impossible. » J’ai l’impression d’avoir tant de facette. L’employé modèle qui se veut irréprochable, le fils prodige qui rend sa famille fière, le danseur passionné qui finira par se couper lui-même les ailes, l’homme froid et mystérieux, le jeune poli et aidant avec ses pairs et aînés, l’étudiant sérieux et méticuleux et enfin, le meilleur ami de Mia cachant un amant autoritaire et dominant… Comment peut-on faire pour ne pas se perdre lorsque l’on veut être ce que la société attend de nous et ce que l’on s’est imposé aussi avec acharnement ? « tu veux faire autre chose ou rentrer maintenant ? »
☆☆☆ Beerus
Au pays des gonkourou
« Dans ce cas-là … je ne veux pas te voir embrasser de filles devant moi non plus. » « It’s fair enough. » Après tout ; je lui demande la même chose de son côté, je ne vais pas en plus lui faire ça. Dans un soupir, je fixe le ciel, puis souris. « Je suis à toi pour ces trois jours alors. Je mettrais ma langue que dans ta bouche ! » Sursautant lorsqu’il me claque les fesses, je le fixe et ris un peu face à son geste et surtout, face à sa bouille. « Techniquement y’a pas eu de prise de tête. Tu t’es énervé tout seul. » Je claque ma langue sur mon palais lorsqu’il me dit ça avant d’avoir un air exaspéré. Je n’aime pas avoir tort, mais fondamentalement, il a raison. « Dis-moi ce que tu as envie de faire ? Je me ferais pardonner. » « Je croyais que je m’étais énervé tout seul et donc, si on suit ta logique, tu n’as rien à te faire pardonner, ça serait plutôt l’inverse. Mais si tu insistes autant! » Je le regarde dans un grand sourire carnassier avant de m’approcher de son oreille. « I want to see you on your knees, begging for more after giving me a wonderful bl**job. » Je mords doucement sa joue, puis passe ma main dans ses cheveux pour les tenir. « Lorsqu’on sera à l’hôtel. » Soupirant à nouveau, je niche ma main dans la poche arrière de son jean. « Souvent, je me dis que tu es le seul à réellement supporter mon caractère impossible. » J’ai l’impression d’avoir tant de facette. L’employé modèle qui se veut irréprochable, le fils prodige qui rend sa famille fière, le danseur passionné qui finira par se couper lui-même les ailes, l’homme froid et mystérieux, le jeune poli et aidant avec ses pairs et aînés, l’étudiant sérieux et méticuleux et enfin, le meilleur ami de Mia cachant un amant autoritaire et dominant… Comment peut-on faire pour ne pas se perdre lorsque l’on veut être ce que la société attend de nous et ce que l’on s’est imposé aussi avec acharnement ? « tu veux faire autre chose ou rentrer maintenant ? »
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