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Au pays des Gonkourou [Tae & Mia]
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Re: Au pays des Gonkourou [Tae & Mia] | Ven 29 Déc - 18:01 Citer EditerSupprimer
Mia il partait au quart de tour parce qu’il était comme ça, qu’avec c’était tout ou rien et Tae ? C’était son tout. Quelque chose avait changé entre eux mais il n’arrivait pas à mettre de mot dessus. Parce que ces mots-là, il ne les connaissait pas et il n’était pas prêt à en apprendre la définition. Il entrait dans la chambre, toujours sans dire un mot. Il était têtu Mia, sûrement un peu trop. Il comptait bien lui montrer qu’il n’avait pas apprécier ce petit jeu. Personne ne le laissait en plan. Personne. Pourtant, il s’adoucissait suite à ses mots, laissant son air renfrogné pour une moue légèrement plus tendre. Il savait au fond de lui que le brun n’avait pas voulu jouer avec lui, mais il n’avait pas pu contrôler ses réactions. « Ne recommence pas… » C’était presque une supplication. Il fermait les yeux en sentant la serviette sur sa tête et se laissait faire. Lui faire confiance ? S’il y avait bien quelqu’un en qui il avait confiance c’était lui. « Je te donnerais ma vie, alors ne dit pas n’importe quoi. » Et ce n’était pas une simple image. Mia, il n’avait pas peur et il ne comprenait pas ce qui pouvait tant l’effrayer. « T’as peur de quoi ? Que je te brise le coeur ?» Il était trop accro pour arrêter cette relation et il ne comptait pas le laisser s'échapper aussi facilement. Il n'avait rien à voir avec tous ses amants qu'il prenait et jetais à sa guise. Il était toute sa vie. Il n’y avait pas de conditions. C’était simplement naturel. Il plongeait son regard dans le sien, lui volant un rapide baiser avant de se diriger dans la salle de bain, retirant son boxer qu’il laissait trainer par terre. ll se glissait sous l'eau presque brûlante. « Bon tu viens ? » Il perdait presque patience, incapable de rester loin de lui plus de quelques minutes.
☆☆☆ Beerus
Au pays des gonkourou
Mia il partait au quart de tour parce qu’il était comme ça, qu’avec c’était tout ou rien et Tae ? C’était son tout. Quelque chose avait changé entre eux mais il n’arrivait pas à mettre de mot dessus. Parce que ces mots-là, il ne les connaissait pas et il n’était pas prêt à en apprendre la définition. Il entrait dans la chambre, toujours sans dire un mot. Il était têtu Mia, sûrement un peu trop. Il comptait bien lui montrer qu’il n’avait pas apprécier ce petit jeu. Personne ne le laissait en plan. Personne. Pourtant, il s’adoucissait suite à ses mots, laissant son air renfrogné pour une moue légèrement plus tendre. Il savait au fond de lui que le brun n’avait pas voulu jouer avec lui, mais il n’avait pas pu contrôler ses réactions. « Ne recommence pas… » C’était presque une supplication. Il fermait les yeux en sentant la serviette sur sa tête et se laissait faire. Lui faire confiance ? S’il y avait bien quelqu’un en qui il avait confiance c’était lui. « Je te donnerais ma vie, alors ne dit pas n’importe quoi. » Et ce n’était pas une simple image. Mia, il n’avait pas peur et il ne comprenait pas ce qui pouvait tant l’effrayer. « T’as peur de quoi ? Que je te brise le coeur ?» Il était trop accro pour arrêter cette relation et il ne comptait pas le laisser s'échapper aussi facilement. Il n'avait rien à voir avec tous ses amants qu'il prenait et jetais à sa guise. Il était toute sa vie. Il n’y avait pas de conditions. C’était simplement naturel. Il plongeait son regard dans le sien, lui volant un rapide baiser avant de se diriger dans la salle de bain, retirant son boxer qu’il laissait trainer par terre. ll se glissait sous l'eau presque brûlante. « Bon tu viens ? » Il perdait presque patience, incapable de rester loin de lui plus de quelques minutes.
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Re: Au pays des Gonkourou [Tae & Mia] | Ven 29 Déc - 18:17 Citer EditerSupprimer
« Ne recommence pas… » « Hn. » Je ne lui fais jamais de promesse parce que je sais qu’on peut les rompre contre notre propre volonté. Promettre, c’est mentir ouvertement. Je n’ai jamais menti à Mia, je ne commencerai pas ce soir. Je ne recommencerai plus .Je lui donne ma parole, c’est comme ça que ça à toujours fonctionné entre nous. « Je te donnerais ma vie, alors ne dit pas n’importe quoi. » « Je sais. J’en prendrai soin, comme toujours. » Je souris pour tenter de détendre l’atmosphère, mais surtout parce que je le sens descendre en tension. « T’as peur de quoi ? Que je te brise le coeur ?» Je réponds à son baiser sans répondre à sa question. Non, c’est l’inverse. C’est moi qui ait peur de le briser et pas seulement au niveau des sentiments. Je ne suis pas lui après tout. Je ne suis pas…. Comme lui. Un bref soupir m’échappe, puis son corps nu attire mon regard. Sa peau laiteuse et son corps fin me donne l’impression d’avoir une femme entre les mains parfois. Je crois que c’est ce que j’aime chez lui aussi. Son côté androgyne bien présent, là où j’essaie parfois d’être trop masculin. « Bon tu viens ? » Son impatience me fait sourire et je défais mes vêtements pour aller le rejoindre sous la douche. Dans son dos, je finis par caresser son bras et passer le second autour de sa taille pour le rapprocher de moi. Mes baisers viennent sur la pointe de son épaule et je remonte mes lèvres jusque dans son cou pour y déposer de nouvelles marques en soupirant à son oreille. Ma man frôle son sexe et remonte pour lui tenir le menton, lui faire tourner la tête pour lui donner un nouveau baiser enflammé, mon corps se pressant contre le sien naturellement. « Oh Mia... » dis-je alors dans un murmure contre sa bouche avant de venir sucer sa langue sans le lâcher du regard, un frisson intense dans la colonne.
☆☆☆ Beerus[/i]
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« Ne recommence pas… » « Hn. » Je ne lui fais jamais de promesse parce que je sais qu’on peut les rompre contre notre propre volonté. Promettre, c’est mentir ouvertement. Je n’ai jamais menti à Mia, je ne commencerai pas ce soir. Je ne recommencerai plus .Je lui donne ma parole, c’est comme ça que ça à toujours fonctionné entre nous. « Je te donnerais ma vie, alors ne dit pas n’importe quoi. » « Je sais. J’en prendrai soin, comme toujours. » Je souris pour tenter de détendre l’atmosphère, mais surtout parce que je le sens descendre en tension. « T’as peur de quoi ? Que je te brise le coeur ?» Je réponds à son baiser sans répondre à sa question. Non, c’est l’inverse. C’est moi qui ait peur de le briser et pas seulement au niveau des sentiments. Je ne suis pas lui après tout. Je ne suis pas…. Comme lui. Un bref soupir m’échappe, puis son corps nu attire mon regard. Sa peau laiteuse et son corps fin me donne l’impression d’avoir une femme entre les mains parfois. Je crois que c’est ce que j’aime chez lui aussi. Son côté androgyne bien présent, là où j’essaie parfois d’être trop masculin. « Bon tu viens ? » Son impatience me fait sourire et je défais mes vêtements pour aller le rejoindre sous la douche. Dans son dos, je finis par caresser son bras et passer le second autour de sa taille pour le rapprocher de moi. Mes baisers viennent sur la pointe de son épaule et je remonte mes lèvres jusque dans son cou pour y déposer de nouvelles marques en soupirant à son oreille. Ma man frôle son sexe et remonte pour lui tenir le menton, lui faire tourner la tête pour lui donner un nouveau baiser enflammé, mon corps se pressant contre le sien naturellement. « Oh Mia... » dis-je alors dans un murmure contre sa bouche avant de venir sucer sa langue sans le lâcher du regard, un frisson intense dans la colonne.
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Re: Au pays des Gonkourou [Tae & Mia] | Ven 29 Déc - 18:51 Citer EditerSupprimer
Leur promesse, elles étaient silencieuses et ça lui suffisait. Il n’avait pas besoin de belles paroles Mia, non, il avait besoin de preuves, et Tae lui en donnant suffisamment. Il pardonnait vite quand il se rendait compte qu’il avait mal réagit, mais il ne l’avouait jamais. Ce baiser c’était son excuse. Un léger sourire se dessinait sur ses lèvres en sentant la présence du brun derrière lui. Il frissonnait sous ses caresses et ses baisers, sous tout ce qu’il pouvait lui donner. Il avait attendu ce moment toute la journée. Il n’avait rien dit, rien montré, mais il en avait rêvé. Il fermait les yeux, sentant son excitation se dresser. Dès qu’il le touchait, il perdait la tête. Personne n’avait jamais eu cette effet-là sur lui. Le brun lui donnait une autre vision du sexe. Avec Mia, il n’y avait jamais de sentiments, pourtant avec Tae Kyun, il y en avait et c’était parfois un peu trop violent. Il soupirait de bien être, tournant légèrement la tête pour répondre à son baiser avec fougue. Sa respiration s’accélérait déjà, et il ne contrôlait plus rien. Mia, il détestait quand il ne contrôlait pas les choses, pourtant il collait ses fesses contre érection, s’offrant à lui à nouveau. Il avait pris tellement de plaisir la première fois qu’il était prêt à se soumettre. « Je suis à toi… » Un souffle, un murmure. Il lui appartenait, corps et âme.
☆☆☆ Beerus
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Leur promesse, elles étaient silencieuses et ça lui suffisait. Il n’avait pas besoin de belles paroles Mia, non, il avait besoin de preuves, et Tae lui en donnant suffisamment. Il pardonnait vite quand il se rendait compte qu’il avait mal réagit, mais il ne l’avouait jamais. Ce baiser c’était son excuse. Un léger sourire se dessinait sur ses lèvres en sentant la présence du brun derrière lui. Il frissonnait sous ses caresses et ses baisers, sous tout ce qu’il pouvait lui donner. Il avait attendu ce moment toute la journée. Il n’avait rien dit, rien montré, mais il en avait rêvé. Il fermait les yeux, sentant son excitation se dresser. Dès qu’il le touchait, il perdait la tête. Personne n’avait jamais eu cette effet-là sur lui. Le brun lui donnait une autre vision du sexe. Avec Mia, il n’y avait jamais de sentiments, pourtant avec Tae Kyun, il y en avait et c’était parfois un peu trop violent. Il soupirait de bien être, tournant légèrement la tête pour répondre à son baiser avec fougue. Sa respiration s’accélérait déjà, et il ne contrôlait plus rien. Mia, il détestait quand il ne contrôlait pas les choses, pourtant il collait ses fesses contre érection, s’offrant à lui à nouveau. Il avait pris tellement de plaisir la première fois qu’il était prêt à se soumettre. « Je suis à toi… » Un souffle, un murmure. Il lui appartenait, corps et âme.
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Re: Au pays des Gonkourou [Tae & Mia] | Sam 30 Déc - 7:55 Citer EditerSupprimer
Semi-assis dans le lit, je regarde Mia et sa tête posée sur ma cuisse, comme quasiment à chaque fois. Souriant un peu, je passe ma main dans ses cheveux blonds et frissonne en repensant à notre moment intense. Malgré tout, je culpabilise réellement d’aimer le faire avec un homme. D’aimer le faire avec lui. Le jour où je ne pourrai rien lui donner, je resterai seul face à la tempête qui se déchaînera. Car après tout, à qui en parler hein ? Un faible soupir passe mes lèvres puis mon minois se redresse, me permettant de regarder le soleil qui commence à pointer ses premiers rayons. Déjà ? Une nuit sans sommeil, ça faisait longtemps. Heureusement que l’on est assez jeunes pour survivre à ça. « Tu voudras faire quoi aujourd’hui ? Prendre le petit-déjeuner ici, bruncher dehors, aller te baigner, visiter Sydney ? » Penchant la tête sur le côté, je m’autorise à le regarder alors longuement, lui et son corps nu à peine recouvert par le drap blanc, avant de glisser ma main sur son torse. Mes yeux se reposent sur le mail que j’essaie de lire depuis au moins dix minutes déjà, sans parvenir à me concentrer réellement. Ma main sur sa joue lui caresse la peau tandis que je remarque quelques griffures sur mon corps. Sauvageon.
☆☆☆ Beerus
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Semi-assis dans le lit, je regarde Mia et sa tête posée sur ma cuisse, comme quasiment à chaque fois. Souriant un peu, je passe ma main dans ses cheveux blonds et frissonne en repensant à notre moment intense. Malgré tout, je culpabilise réellement d’aimer le faire avec un homme. D’aimer le faire avec lui. Le jour où je ne pourrai rien lui donner, je resterai seul face à la tempête qui se déchaînera. Car après tout, à qui en parler hein ? Un faible soupir passe mes lèvres puis mon minois se redresse, me permettant de regarder le soleil qui commence à pointer ses premiers rayons. Déjà ? Une nuit sans sommeil, ça faisait longtemps. Heureusement que l’on est assez jeunes pour survivre à ça. « Tu voudras faire quoi aujourd’hui ? Prendre le petit-déjeuner ici, bruncher dehors, aller te baigner, visiter Sydney ? » Penchant la tête sur le côté, je m’autorise à le regarder alors longuement, lui et son corps nu à peine recouvert par le drap blanc, avant de glisser ma main sur son torse. Mes yeux se reposent sur le mail que j’essaie de lire depuis au moins dix minutes déjà, sans parvenir à me concentrer réellement. Ma main sur sa joue lui caresse la peau tandis que je remarque quelques griffures sur mon corps. Sauvageon.
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Re: Au pays des Gonkourou [Tae & Mia] | Lun 1 Jan - 22:08 Citer EditerSupprimer
Il se laissait faire, fatigué par leurs ébats. Il espérait que Tae avait apprécié. Il faisait presque jour, mais Mia, il avait l’habitude de vivre la nuit, alors ça ne le dérangeait pas de ne pas dormir. Il fermait les yeux pour apprécier ses caresses. Ce qu’il voulait faire ? Il se foutait de tout, tant qu’il était avec lui. Il aurait pu se prélasser dans ses draps toute la journée, mais il n’avait pas fait tous ses kilomètres pour rien. « Je veux les voir. Les mgjfgjkourou.» Il n’avait pas la force de faire des efforts pour parler, le brun le comprendrait très bien comme à chaque fois. C’était la première fois qu’il avait ce genre de relation Mia. En temps normal, il ne revenait jamais. C’était pour un soir. Rien de plus. Il essayait d’attraper le téléphone du plus vieux pour l’empêcher de faire ce qu’il faisait. « Occupes-toi de moi, on s’en fout des cours, ou de je sais pas quoi. » Il aimait avoir toute son attention, il aimait sentir son regard courir sur son corps, savoir que durant ces quelques jours, il ne regarderait que lui, que toutes ces filles n’auraient aucune chance. Il se redressait pour venir poser sa tête contre son torse. « Qu’est ce qui va se passer quand on va rentrer ? » Il caressait son ventre du bout des doigts, sa peau hâlée le rendait encore plus beau qu’il ne l’était déjà. Est-ce que chacun retournerait à ses activités, lui avec ses amants et Tae avec ses petites amies ? Est-ce que l’interdiction d’embrasser d’autres hommes devant lui serait toujours d’actualité ? C’était la première fois qu’il se posait autant de question Mia.
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Il se laissait faire, fatigué par leurs ébats. Il espérait que Tae avait apprécié. Il faisait presque jour, mais Mia, il avait l’habitude de vivre la nuit, alors ça ne le dérangeait pas de ne pas dormir. Il fermait les yeux pour apprécier ses caresses. Ce qu’il voulait faire ? Il se foutait de tout, tant qu’il était avec lui. Il aurait pu se prélasser dans ses draps toute la journée, mais il n’avait pas fait tous ses kilomètres pour rien. « Je veux les voir. Les mgjfgjkourou.» Il n’avait pas la force de faire des efforts pour parler, le brun le comprendrait très bien comme à chaque fois. C’était la première fois qu’il avait ce genre de relation Mia. En temps normal, il ne revenait jamais. C’était pour un soir. Rien de plus. Il essayait d’attraper le téléphone du plus vieux pour l’empêcher de faire ce qu’il faisait. « Occupes-toi de moi, on s’en fout des cours, ou de je sais pas quoi. » Il aimait avoir toute son attention, il aimait sentir son regard courir sur son corps, savoir que durant ces quelques jours, il ne regarderait que lui, que toutes ces filles n’auraient aucune chance. Il se redressait pour venir poser sa tête contre son torse. « Qu’est ce qui va se passer quand on va rentrer ? » Il caressait son ventre du bout des doigts, sa peau hâlée le rendait encore plus beau qu’il ne l’était déjà. Est-ce que chacun retournerait à ses activités, lui avec ses amants et Tae avec ses petites amies ? Est-ce que l’interdiction d’embrasser d’autres hommes devant lui serait toujours d’actualité ? C’était la première fois qu’il se posait autant de question Mia.
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Re: Au pays des Gonkourou [Tae & Mia] | Lun 1 Jan - 22:49 Citer EditerSupprimer
« Je veux les voir. Les mgjfgjkourou.» Un rire m’échappe en voyant qu’il abdique face aux kangourous, mais je ne le reprends pas et le regarde tendrement avant de reporter mon intention sur mes mails ; Partir en plein Gayo Daejeon, c’était risqué, je savais qu’une partie de moi voudrait être là-bas, mais mon père m’a dit que depuis des années, je travaille dur sans rechigner et que je pouvais bien en profiter pour une fois, sans culpabiliser de le faire. Que j’avais le temps pour ne pensais qu’au travail et à rien d’autre. « Occupes-toi de moi, on s’en fout des cours, ou de je sais pas quoi. » Lorsqu’il essaie d’attraper mon téléphone, je tends le bras en l’air et le regarde un peu sévèrement avant de poser mon appareil sur la table passe, laissant éon attention sur Mia avant de le fixer attentivement pendant que sa tête se pose sur mon torse et que ses doigts caressent ma peau bronzée. « Qu’est ce qui va se passer quand on va rentrer ? » Sa question me laisse interdit pendant que je dépose lentement ma main sur son flanc. Ce qui va arriver… Je n’en sais rien. J’apprends encore à gérer ça à vrai dire. Est-ce qu’on peut revenir réellement à une normalité après des moments pareils ? On se mentirait de le penser je crois. « Je ne sais pas Mia. J’aimerai te donner une réponse, mais je ne sais pas. » Un soupir, puis je prends sa main pour jouer avec ses doigts. « Je ne veux pas que mes parents sachent… » Une hésitation. « Je suis pas…. Gay ou bi Mia. » J’ai peur qu’il le prenne mal. Mais j'ai fait des recherches, j'ai trouvé un article anglais parlant de pansexualité, et qui implique qu l'on aime simplement un être humain, quelque soit son sexe. Dans ce cas, devrait-on parler d'amour et exploser tout ce que j'ai toujours cru ? « Je suis ouvert, les gens peuvent s’amuser, faire ce qu’ils veulent, après tout, ça ne fait de ma l à personne. Mais j’ai été conçu dans un monde qui m’a appris que le vrai amour est entre un homme et une femme comme le mariage et les enfants et que le reste, c’est pour s’amuser le temps de devenir sérieux. » Un silence. « Pourtant… tu n’es pas un amusement. » Et ça me perturbe. « Je peux encore… profiter plusieurs années mais je sais que mes parents aimeraient me voir marié avant mes 30 ans. » Et c’est ce que j’avais toujours imaginé de ma vie. « But I don’t want to lose you Mia… »
☆☆☆ Beerus
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« Je veux les voir. Les mgjfgjkourou.» Un rire m’échappe en voyant qu’il abdique face aux kangourous, mais je ne le reprends pas et le regarde tendrement avant de reporter mon intention sur mes mails ; Partir en plein Gayo Daejeon, c’était risqué, je savais qu’une partie de moi voudrait être là-bas, mais mon père m’a dit que depuis des années, je travaille dur sans rechigner et que je pouvais bien en profiter pour une fois, sans culpabiliser de le faire. Que j’avais le temps pour ne pensais qu’au travail et à rien d’autre. « Occupes-toi de moi, on s’en fout des cours, ou de je sais pas quoi. » Lorsqu’il essaie d’attraper mon téléphone, je tends le bras en l’air et le regarde un peu sévèrement avant de poser mon appareil sur la table passe, laissant éon attention sur Mia avant de le fixer attentivement pendant que sa tête se pose sur mon torse et que ses doigts caressent ma peau bronzée. « Qu’est ce qui va se passer quand on va rentrer ? » Sa question me laisse interdit pendant que je dépose lentement ma main sur son flanc. Ce qui va arriver… Je n’en sais rien. J’apprends encore à gérer ça à vrai dire. Est-ce qu’on peut revenir réellement à une normalité après des moments pareils ? On se mentirait de le penser je crois. « Je ne sais pas Mia. J’aimerai te donner une réponse, mais je ne sais pas. » Un soupir, puis je prends sa main pour jouer avec ses doigts. « Je ne veux pas que mes parents sachent… » Une hésitation. « Je suis pas…. Gay ou bi Mia. » J’ai peur qu’il le prenne mal. Mais j'ai fait des recherches, j'ai trouvé un article anglais parlant de pansexualité, et qui implique qu l'on aime simplement un être humain, quelque soit son sexe. Dans ce cas, devrait-on parler d'amour et exploser tout ce que j'ai toujours cru ? « Je suis ouvert, les gens peuvent s’amuser, faire ce qu’ils veulent, après tout, ça ne fait de ma l à personne. Mais j’ai été conçu dans un monde qui m’a appris que le vrai amour est entre un homme et une femme comme le mariage et les enfants et que le reste, c’est pour s’amuser le temps de devenir sérieux. » Un silence. « Pourtant… tu n’es pas un amusement. » Et ça me perturbe. « Je peux encore… profiter plusieurs années mais je sais que mes parents aimeraient me voir marié avant mes 30 ans. » Et c’est ce que j’avais toujours imaginé de ma vie. « But I don’t want to lose you Mia… »
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Re: Au pays des Gonkourou [Tae & Mia] | Lun 1 Jan - 23:23 Citer EditerSupprimer
Tae il prenant trop au sérieux ses responsabilités, mais il n’avait pas le choix, alors Mia l’acceptait. Il avait parfois envie qu’il laisse tout tomber, mais il n’en n’avait pas le droit. Il n’avait pas cette liberté. Il trouvait ça un peu triste dans le fond, d’être enchainé à une entreprise, à une famille. Il voulait savoir à quoi s’attendre quand il rentrerait dans ce pays qu’il détestait. La Corée du Sud, il ne s’y était jamais senti bien. La peau trop pâle, un nom difficile à prononcer. Mais c’était de sa faute. S’il n’avait pas laissé la colère s’emparer de luit ce soir-là, s’il n’avait pas enfoncé ce couteau dans le ventre de ce type, il serait encore dans le froid glacial de sa chère Russie. Mais il ne l’aurait pas rencontré, il n’aurait jamais découvert ce que signifiait la tendresse, la douceur et l’attachement. Il soupirait doucement. Mia, il s’était toujours foutu de l’avis des autres, mais s’il ne voulait pas que ses parents soient au courant, alors il ne dirait rien. Regardant ses doigts, il se demandait ce que le brun essayait de lui dire réellement. « Je t’ai pas demandé de tomber amoureux de moi tu sais. Ni de faire ta vie avec moi. » Il ne savait pas ce que c’était l’amour, une relation de couple. Mais ce qu’il savait c’était qu’il ne pourrait sûrement pas vivre sans lui et avec ce qu’il avait ressenti ces derniers temps, il n’était pas certain de supporter une nouvelle petite amie dans sa vie et encore moins une femme. « Qu’est-ce que tu fais avec moi alors ? » Il avait du mal à mettre des mots sur cette relation. C’était perturbant. Même pour lui. Il ne comprenait pas vraiment ce qu’il était en train de lui dire. Etait-ce un jeu ou non ? Mia, il ne s’imaginait pas épouser quelqu’un. Non, il serait toujours le même, ce loup solitaire à la recherche de ses proies. Il ne savait même pas s’il serait encore en vie. Peut-être qu’il pourrait retourner en Russie ? « Je ne vais pas interférer dans ta vie amoureuse si ça peut te rassurer. Mais tu n’auras pas le droit d’interférer dans la mienne. » Il avait toujours accepté d’être trainé en laisse, mais il allait finir par s’en libérer. Il ne pourrait supporter une épouse et une fois posé, Tae se débarrasserait de lui. Il en était certain.
☆☆☆ Beerus
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Tae il prenant trop au sérieux ses responsabilités, mais il n’avait pas le choix, alors Mia l’acceptait. Il avait parfois envie qu’il laisse tout tomber, mais il n’en n’avait pas le droit. Il n’avait pas cette liberté. Il trouvait ça un peu triste dans le fond, d’être enchainé à une entreprise, à une famille. Il voulait savoir à quoi s’attendre quand il rentrerait dans ce pays qu’il détestait. La Corée du Sud, il ne s’y était jamais senti bien. La peau trop pâle, un nom difficile à prononcer. Mais c’était de sa faute. S’il n’avait pas laissé la colère s’emparer de luit ce soir-là, s’il n’avait pas enfoncé ce couteau dans le ventre de ce type, il serait encore dans le froid glacial de sa chère Russie. Mais il ne l’aurait pas rencontré, il n’aurait jamais découvert ce que signifiait la tendresse, la douceur et l’attachement. Il soupirait doucement. Mia, il s’était toujours foutu de l’avis des autres, mais s’il ne voulait pas que ses parents soient au courant, alors il ne dirait rien. Regardant ses doigts, il se demandait ce que le brun essayait de lui dire réellement. « Je t’ai pas demandé de tomber amoureux de moi tu sais. Ni de faire ta vie avec moi. » Il ne savait pas ce que c’était l’amour, une relation de couple. Mais ce qu’il savait c’était qu’il ne pourrait sûrement pas vivre sans lui et avec ce qu’il avait ressenti ces derniers temps, il n’était pas certain de supporter une nouvelle petite amie dans sa vie et encore moins une femme. « Qu’est-ce que tu fais avec moi alors ? » Il avait du mal à mettre des mots sur cette relation. C’était perturbant. Même pour lui. Il ne comprenait pas vraiment ce qu’il était en train de lui dire. Etait-ce un jeu ou non ? Mia, il ne s’imaginait pas épouser quelqu’un. Non, il serait toujours le même, ce loup solitaire à la recherche de ses proies. Il ne savait même pas s’il serait encore en vie. Peut-être qu’il pourrait retourner en Russie ? « Je ne vais pas interférer dans ta vie amoureuse si ça peut te rassurer. Mais tu n’auras pas le droit d’interférer dans la mienne. » Il avait toujours accepté d’être trainé en laisse, mais il allait finir par s’en libérer. Il ne pourrait supporter une épouse et une fois posé, Tae se débarrasserait de lui. Il en était certain.
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Re: Au pays des Gonkourou [Tae & Mia] | Mar 2 Jan - 10:46 Citer EditerSupprimer
« Je t’ai pas demandé de tomber amoureux de moi tu sais. Ni de faire ta vie avec moi. » Je retiens un rire sarcastique, il faut bien l’avouer. Non. Non, il ne me l’a pas demandé verbalement mais tout dans son attitude le réclame à vrai dire, il n’en a juste pas conscience. Mais je me retiens et essaie de rester neutre au possible. « Qu’est-ce que tu fais avec moi alors ? » Un soupir m’échappe en sentant que cette discussion vire dans un sens dramatique, dans un sens de dispute entre… Fermant les yeux plusieurs secondes, je me pince les lèvres sans lui répondre pour autant. J’existe avec toi Mia. J’existe sans avoir à penser à mille choses à la fois. Dans les moments-là, je peux me concentrer sur deux points uniques, toi et moi. Voilà ce que je fais avec toi. Mais te le dire reviendrait à un suicide émotionnel, parce que je te connais Mia, tu chercherais à me faire atteindre ce moment dans ma vie quotidienne en voulant me débarrasser des mes responsabilités, mais je les aime. « Je ne vais pas interférer dans ta vie amoureuse si ça peut te rassurer. Mais tu n’auras pas le droit d’interférer dans la mienne. » « Tu te rends compte au moins que tu es toujours le premier à parler d’amour ? » Non parce que c’est quand même hautement ironique. « Fais-moi l’amour Tae, j’interférerai pas dans ta vie amoureuse… etc… » Un autre soupir, puis, je me redresse faiblement. Pour être mieux assis et passe ma main dans ses cheveux pour les tenir et faire en sorte qu’il me regarde pour le fixer assez tendrement et sévèrement, comme toujours. « On avait dit : Plus de prises de tête bab’…. » Le surnom sort tout seul et j’ai l’impression de sentir mes joues flamber face à lui. Réalisant, je le relâche et attrape mon téléphone. « Bon, cherchons un sanctuaire à Kangourous… »
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« Je t’ai pas demandé de tomber amoureux de moi tu sais. Ni de faire ta vie avec moi. » Je retiens un rire sarcastique, il faut bien l’avouer. Non. Non, il ne me l’a pas demandé verbalement mais tout dans son attitude le réclame à vrai dire, il n’en a juste pas conscience. Mais je me retiens et essaie de rester neutre au possible. « Qu’est-ce que tu fais avec moi alors ? » Un soupir m’échappe en sentant que cette discussion vire dans un sens dramatique, dans un sens de dispute entre… Fermant les yeux plusieurs secondes, je me pince les lèvres sans lui répondre pour autant. J’existe avec toi Mia. J’existe sans avoir à penser à mille choses à la fois. Dans les moments-là, je peux me concentrer sur deux points uniques, toi et moi. Voilà ce que je fais avec toi. Mais te le dire reviendrait à un suicide émotionnel, parce que je te connais Mia, tu chercherais à me faire atteindre ce moment dans ma vie quotidienne en voulant me débarrasser des mes responsabilités, mais je les aime. « Je ne vais pas interférer dans ta vie amoureuse si ça peut te rassurer. Mais tu n’auras pas le droit d’interférer dans la mienne. » « Tu te rends compte au moins que tu es toujours le premier à parler d’amour ? » Non parce que c’est quand même hautement ironique. « Fais-moi l’amour Tae, j’interférerai pas dans ta vie amoureuse… etc… » Un autre soupir, puis, je me redresse faiblement. Pour être mieux assis et passe ma main dans ses cheveux pour les tenir et faire en sorte qu’il me regarde pour le fixer assez tendrement et sévèrement, comme toujours. « On avait dit : Plus de prises de tête bab’…. » Le surnom sort tout seul et j’ai l’impression de sentir mes joues flamber face à lui. Réalisant, je le relâche et attrape mon téléphone. « Bon, cherchons un sanctuaire à Kangourous… »
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Re: Au pays des Gonkourou [Tae & Mia] | Mar 2 Jan - 15:30 Citer EditerSupprimer
« Je parle d’amour parce que c’est ce que tu veux. » Parce que Tae savait sûrement ce que c’était. Il avait dû les aimer ces filles pour leur rester fidèle. C’était comme ça qu’il voyait sa vie, avec une femme et des enfants. Il ne pouvait pas lui en vouloir Mia. Sa mère avait tué son père, alors il avait la trouille d’être amoureux, de devenir aussi cinglé qu’elle. La jalousie le consumait déjà, et il ne pouvait pas se permettre de devenir encore plus violent qu’il ne l’était déjà. « Je veux juste savoir ce que j’aurais le droit de faire ou non quand on sera à la maison. » La maison. Il n’en n’avait pas vraiment, et c’était ce qui lui plaisait. La possibilité de disparaître du jour au lendemain. Il plongeait son regard dans le sien en sentant sa main dans ses cheveux. Un léger sourire malicieux se dessinait sur ses lèvres face aux joues rouges du plus vieux. « Tu m’as appelé comment ? » Il se redressait pour pouvoir regarder son téléphone. Mia, il aimait bien les kangourous, il n’en n’avait jamais vu de près alors il était assez excité à cette idée. « Alors tu trouves baby ? » Il mordillait son épaule pour l’emmerder. Il ne se moquait pas, il le taquinait, rien de plus. Il était joueur Mia. Parfois un peu trop. « T’es canon quand tu rougis. » Lui, ça ne lui arrivait presque jamais. Non, il ne se sentait jamais vraiment mal à l’aise. Il faisait beau dehors, il avait envie de profiter de cette journée, loin des responsabilités de Tae, tant qu’il le pouvait. Il retournait se prélasser dans les draps, le temps qu’il trouve un endroit. Il n’aimait pas chercher Mia, et puis il ne savait pas vraiment comment faire.
☆☆☆ Beerus
Au pays des gonkourou
« Je parle d’amour parce que c’est ce que tu veux. » Parce que Tae savait sûrement ce que c’était. Il avait dû les aimer ces filles pour leur rester fidèle. C’était comme ça qu’il voyait sa vie, avec une femme et des enfants. Il ne pouvait pas lui en vouloir Mia. Sa mère avait tué son père, alors il avait la trouille d’être amoureux, de devenir aussi cinglé qu’elle. La jalousie le consumait déjà, et il ne pouvait pas se permettre de devenir encore plus violent qu’il ne l’était déjà. « Je veux juste savoir ce que j’aurais le droit de faire ou non quand on sera à la maison. » La maison. Il n’en n’avait pas vraiment, et c’était ce qui lui plaisait. La possibilité de disparaître du jour au lendemain. Il plongeait son regard dans le sien en sentant sa main dans ses cheveux. Un léger sourire malicieux se dessinait sur ses lèvres face aux joues rouges du plus vieux. « Tu m’as appelé comment ? » Il se redressait pour pouvoir regarder son téléphone. Mia, il aimait bien les kangourous, il n’en n’avait jamais vu de près alors il était assez excité à cette idée. « Alors tu trouves baby ? » Il mordillait son épaule pour l’emmerder. Il ne se moquait pas, il le taquinait, rien de plus. Il était joueur Mia. Parfois un peu trop. « T’es canon quand tu rougis. » Lui, ça ne lui arrivait presque jamais. Non, il ne se sentait jamais vraiment mal à l’aise. Il faisait beau dehors, il avait envie de profiter de cette journée, loin des responsabilités de Tae, tant qu’il le pouvait. Il retournait se prélasser dans les draps, le temps qu’il trouve un endroit. Il n’aimait pas chercher Mia, et puis il ne savait pas vraiment comment faire.
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Re: Au pays des Gonkourou [Tae & Mia] | Mar 2 Jan - 16:50 Citer EditerSupprimer
« Je parle d’amour parce que c’est ce que tu veux. » « Mais je ne t’en ai pas demandé, de l’amour. Et si ça se passe comme ça entre nous, c’est parce que c’est toi, c’est tout. » Il va finir par me faire ronchonner plus que vivement s’il continue comme ça. Oui, d’accord, j’ai besoin de sentiments pour coucher ou apprécier ça, mais com’on Mia, entre toi et moi, on ne peut même plus parler de sentiments, depuis le premier jour, c’est au-delà de ça. « Je veux juste savoir ce que j’aurais le droit de faire ou non quand on sera à la maison. » « On fera ça mais discrètement et pas devant mes parents ou je t’égorge. » Dis-je en levant une babine et en le pointant du doigt. « Et vraiment discrètement. » Double ordre et il a intérêt de le suivre. Soupirant faiblement, j’essaie de me calmer et de le calmer avant de faire une boulette. Oui, il n’y a pas d’autre mot je crois. « Tu m’as appelé comment ? » « Chut. » Non mais lui… « Alors tu trouves baby ? » « Chut j’ai dit ! » Je le regarde d’un air courroucé avant de voir dans un miroir que je rougis vraiment. Frottant mon visage, je finis par me concentrer sur mon téléphone. « T’es canon quand tu rougis. » Trop, c’est trop. Je le regarde sévèrement avant de… d’avoir un mouvement de ninja afin de venir m’allonger sur lui en le plaquant sur le ventre. « Donc, j’en étais où ? » Reprenant mon téléphone d’un bras et maintenant mon copain de l’autre, et avec mes jambes aussi, ma main sur sa bouche, je finis par trouver. « Tada ! C’est à deux heures de route, on va manger un morceau en bas et partir. » Me redressant, je lui claque les fesses avant d’aller vers notre valise pour trouver des vêtements adéquats.
☆☆☆ Beerus
Au pays des gonkourou
« Je parle d’amour parce que c’est ce que tu veux. » « Mais je ne t’en ai pas demandé, de l’amour. Et si ça se passe comme ça entre nous, c’est parce que c’est toi, c’est tout. » Il va finir par me faire ronchonner plus que vivement s’il continue comme ça. Oui, d’accord, j’ai besoin de sentiments pour coucher ou apprécier ça, mais com’on Mia, entre toi et moi, on ne peut même plus parler de sentiments, depuis le premier jour, c’est au-delà de ça. « Je veux juste savoir ce que j’aurais le droit de faire ou non quand on sera à la maison. » « On fera ça mais discrètement et pas devant mes parents ou je t’égorge. » Dis-je en levant une babine et en le pointant du doigt. « Et vraiment discrètement. » Double ordre et il a intérêt de le suivre. Soupirant faiblement, j’essaie de me calmer et de le calmer avant de faire une boulette. Oui, il n’y a pas d’autre mot je crois. « Tu m’as appelé comment ? » « Chut. » Non mais lui… « Alors tu trouves baby ? » « Chut j’ai dit ! » Je le regarde d’un air courroucé avant de voir dans un miroir que je rougis vraiment. Frottant mon visage, je finis par me concentrer sur mon téléphone. « T’es canon quand tu rougis. » Trop, c’est trop. Je le regarde sévèrement avant de… d’avoir un mouvement de ninja afin de venir m’allonger sur lui en le plaquant sur le ventre. « Donc, j’en étais où ? » Reprenant mon téléphone d’un bras et maintenant mon copain de l’autre, et avec mes jambes aussi, ma main sur sa bouche, je finis par trouver. « Tada ! C’est à deux heures de route, on va manger un morceau en bas et partir. » Me redressant, je lui claque les fesses avant d’aller vers notre valise pour trouver des vêtements adéquats.
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