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1, 2, 3, 4 Au pays des Gonkourou [Tae & Mia]
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Re: Au pays des Gonkourou [Tae & Mia] | Mer 27 Déc - 11:47 
« Je comprends mal le coréen. Je peux me tromper parfois. » Mia, il l’avait fait exprès de le rendre jaloux et il s’en voulait de l’avoir blessé, mais il n’allait sûrement pas l’avouer. Et ça lui plaisait de se faire pardonner, en particulier en apprenant les désirs du brun. Ce n’était pas le genre à se mettre à genoux, à se rabaisser à ce niveau-là, mais pour une fois, l’idée lui semblait réellement excitante. Il se mordait la lèvre, sentant son souffle chaud si près de son oreille. « Attention. Tu pourrais devenir accro. » Il souriait, l’air malicieux. Il adorait cette façon qu’il avait de lui tirer les cheveux, son côté sauvage et autoritaire. « When you want, where you want. » Mia, il aimait l’adrénaline, l’idée de se faire prendre, mais s’il fallait attendre jusqu’à l’hôtel, il le ferait. Pour le moment, il se laissait faire, mais il avait bien l’intention de prendre le dessus un jour, de lui faire entièrement lâcher prise. Le plus vieux n’était pas encore prêt. Un léger rire s’échappa d’entre ses lèvres suite à ses mots. Le supporter ? Il aimait ses défauts autant que ses qualités. Contrairement aux autres, il savait qui était réellement Tae Kyun. « Je pense que c’est plutôt toi qui me supporte. Je suis loin d’être le type idéal, je suis une tornade. » Il savait Mia, que son passé n’avait rien de normal, qu’il n’aurait jamais dû vivre ce qu’il avait vécu. Tous les différenciaient et c’était surement ce qui faisait que leur relation fonctionnait aussi bien. Il avait envie de rentrer pour profiter de ce corps qui le faisait fantasmer, mais il n’avait pas l’habitude d’être au bord de l’océan et il voulait en profiter. « On va se baigner ? » Il attrapait sa main pour l’entrainer sur le sable, retirant son pull et son jean. Les pieds dans l’eau, il donnait l’air d’un gamin heureux.
☆☆☆ Beerus
Au pays des gonkourou
« Je comprends mal le coréen. Je peux me tromper parfois. » Mia, il l’avait fait exprès de le rendre jaloux et il s’en voulait de l’avoir blessé, mais il n’allait sûrement pas l’avouer. Et ça lui plaisait de se faire pardonner, en particulier en apprenant les désirs du brun. Ce n’était pas le genre à se mettre à genoux, à se rabaisser à ce niveau-là, mais pour une fois, l’idée lui semblait réellement excitante. Il se mordait la lèvre, sentant son souffle chaud si près de son oreille. « Attention. Tu pourrais devenir accro. » Il souriait, l’air malicieux. Il adorait cette façon qu’il avait de lui tirer les cheveux, son côté sauvage et autoritaire. « When you want, where you want. » Mia, il aimait l’adrénaline, l’idée de se faire prendre, mais s’il fallait attendre jusqu’à l’hôtel, il le ferait. Pour le moment, il se laissait faire, mais il avait bien l’intention de prendre le dessus un jour, de lui faire entièrement lâcher prise. Le plus vieux n’était pas encore prêt. Un léger rire s’échappa d’entre ses lèvres suite à ses mots. Le supporter ? Il aimait ses défauts autant que ses qualités. Contrairement aux autres, il savait qui était réellement Tae Kyun. « Je pense que c’est plutôt toi qui me supporte. Je suis loin d’être le type idéal, je suis une tornade. » Il savait Mia, que son passé n’avait rien de normal, qu’il n’aurait jamais dû vivre ce qu’il avait vécu. Tous les différenciaient et c’était surement ce qui faisait que leur relation fonctionnait aussi bien. Il avait envie de rentrer pour profiter de ce corps qui le faisait fantasmer, mais il n’avait pas l’habitude d’être au bord de l’océan et il voulait en profiter. « On va se baigner ? » Il attrapait sa main pour l’entrainer sur le sable, retirant son pull et son jean. Les pieds dans l’eau, il donnait l’air d’un gamin heureux.
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Re: Au pays des Gonkourou [Tae & Mia] | Jeu 28 Déc - 13:30 
« When you want, where you want. » Cette idée de se faire prendre à la sauvage était vraiment intéressante…. Vraiment, mais mon côté fils de bonne famille tirait une sonnette d’alarme dans mon cerveau. Je ne pouvais pas me permettre de faire n’importe quoi et encore moins avec un homme. « Je pense que c’est plutôt toi qui me supporte. Je suis loin d’être le type idéal, je suis une tornade. » « Un vrai diable de Tasmanie. » Il était mon Taz pour une bonne raison , je crois qu’il représente la liberté et l’interdit que je me refuse d’avoir dans ma vie. « On va se baigner ? » « Mweo ? » Je hausse les sourcils en le laissant m’entraîner jusqu’à le voir se retrouver en boxer sur la plage. « Les bains de minuit sont interdits par la loi, surtout ici avec les requins qui traînent et…. » Bon ; d’accord, mon explication semble peut plausible avec la grande barrière de corail au loin mais elle est réelle. Et surtout, je n’ai jamais enfreint la loi, peu importe ma dose d’amour pour Mia. Alors, je reste tiraillé un moment, jusqu’à finir par retirer ma chemise et mon pantalon pour le suivre. Au pire, la voiture n’est pas loin et des gros rochers peuvent nous cacher non ? Donc je rentre dans l’eau pour le suivre, frissonnant intensément sous sa fraîcheur avant de réussir à attraper Mia contre moi en grelottant un peu. « T’aurais pu avoir une idée un peu plus chaude. » Mais son sourire me fait plaisir, comme toujours. « You’re happy ? »
☆☆☆ Beerus
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« When you want, where you want. » Cette idée de se faire prendre à la sauvage était vraiment intéressante…. Vraiment, mais mon côté fils de bonne famille tirait une sonnette d’alarme dans mon cerveau. Je ne pouvais pas me permettre de faire n’importe quoi et encore moins avec un homme. « Je pense que c’est plutôt toi qui me supporte. Je suis loin d’être le type idéal, je suis une tornade. » « Un vrai diable de Tasmanie. » Il était mon Taz pour une bonne raison , je crois qu’il représente la liberté et l’interdit que je me refuse d’avoir dans ma vie. « On va se baigner ? » « Mweo ? » Je hausse les sourcils en le laissant m’entraîner jusqu’à le voir se retrouver en boxer sur la plage. « Les bains de minuit sont interdits par la loi, surtout ici avec les requins qui traînent et…. » Bon ; d’accord, mon explication semble peut plausible avec la grande barrière de corail au loin mais elle est réelle. Et surtout, je n’ai jamais enfreint la loi, peu importe ma dose d’amour pour Mia. Alors, je reste tiraillé un moment, jusqu’à finir par retirer ma chemise et mon pantalon pour le suivre. Au pire, la voiture n’est pas loin et des gros rochers peuvent nous cacher non ? Donc je rentre dans l’eau pour le suivre, frissonnant intensément sous sa fraîcheur avant de réussir à attraper Mia contre moi en grelottant un peu. « T’aurais pu avoir une idée un peu plus chaude. » Mais son sourire me fait plaisir, comme toujours. « You’re happy ? »
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Re: Au pays des Gonkourou [Tae & Mia] | Jeu 28 Déc - 15:20
Mia, il se foutait de tout, des règles et des interdits. Il avait ce besoin presque vital de faire tout ce dont il avait envie. Pour une fois c’était lui qui n’avait pas laissé le choix à Tae. La loi ? C’était bien le dernier de ses soucis. Et les requins, encore moins. S’il devait crever en se faisant bouffer par un requin, c’était que sa vie devait s’arrêter là. Il avait appris à ne plus avoir peur, lui qui avait grandi avec la mort. Qu’est-ce qu’ils risquaient ? De se faire taper sur les doigts. Mia, il en assumerait les conséquences si besoin. Il n’était pas promis à un grand avenir contrairement au brun. Il était heureux en le voyant le rejoindre malgré ses réticences et il se laissait aller contre lui. Ils n’avaient pas la même résistance au froid. Il glissait ses bras autour de sa taille, frôlant ses lèvres avec les siennes. « Je te réchaufferais après. ». Il hochait simplement la tête pour signifier qu’il était heureux. Il ne lui fallait pas grand-chose à Mia, pour se sentir bien. Ce simple moment contre lui était suffisant. Il ne perdait pas de temps à se jeter sur ses lèvres. Il ne comprenait pas pourquoi il en avait tant besoin, alors que jusque-là, il n’avait jamais ressenti une telle dépendance, même pour la drogue. « Et toi. T’es heureux ? » C’était une question qu’il ne se posait presque jamais. Il aurait pu donner sa vie pour son meilleur ami, mais il n’était pas assez sensible pour y penser. « Tu devrais te laisser aller plus souvent...» Parce que la vie était fait pour être vécu et pas simplement pour la regarder passer. Mia ,c'était une véritable tempête qui dévastait tout sur son passage et l'aimer, c'était prendre le risque de se faire emporter.
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Mia, il se foutait de tout, des règles et des interdits. Il avait ce besoin presque vital de faire tout ce dont il avait envie. Pour une fois c’était lui qui n’avait pas laissé le choix à Tae. La loi ? C’était bien le dernier de ses soucis. Et les requins, encore moins. S’il devait crever en se faisant bouffer par un requin, c’était que sa vie devait s’arrêter là. Il avait appris à ne plus avoir peur, lui qui avait grandi avec la mort. Qu’est-ce qu’ils risquaient ? De se faire taper sur les doigts. Mia, il en assumerait les conséquences si besoin. Il n’était pas promis à un grand avenir contrairement au brun. Il était heureux en le voyant le rejoindre malgré ses réticences et il se laissait aller contre lui. Ils n’avaient pas la même résistance au froid. Il glissait ses bras autour de sa taille, frôlant ses lèvres avec les siennes. « Je te réchaufferais après. ». Il hochait simplement la tête pour signifier qu’il était heureux. Il ne lui fallait pas grand-chose à Mia, pour se sentir bien. Ce simple moment contre lui était suffisant. Il ne perdait pas de temps à se jeter sur ses lèvres. Il ne comprenait pas pourquoi il en avait tant besoin, alors que jusque-là, il n’avait jamais ressenti une telle dépendance, même pour la drogue. « Et toi. T’es heureux ? » C’était une question qu’il ne se posait presque jamais. Il aurait pu donner sa vie pour son meilleur ami, mais il n’était pas assez sensible pour y penser. « Tu devrais te laisser aller plus souvent...» Parce que la vie était fait pour être vécu et pas simplement pour la regarder passer. Mia ,c'était une véritable tempête qui dévastait tout sur son passage et l'aimer, c'était prendre le risque de se faire emporter.
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Re: Au pays des Gonkourou [Tae & Mia] | Jeu 28 Déc - 22:09
« Je te réchaufferais après. ». Je réponds à son baiser tout en nous bougeant dans l’eau pour ne pas subir sa fraîcheur, mes bras enroulé autour de son corps. Je souris faiblement et le fixe intensément. L’avoir comme ça dans mes bras ; c’est nouveau et familier à la fois. Je ne saurai pas vraiment expliquer ce lien qui nous unit et qui nous maintient ensemble de la sorte, mais je sais qu’il est destructeur. Terriblement destructeur.. « Et toi. T’es heureux ? » Fondamentalement oui. J’ai de l’argent. J’ai une bonne vie. Une bonne place dans la société. La chance de vivre avec mes passions, d’avoir une famille aimante et des amis importants. Fondamentalement oui, je suis heureux, pourtant, je ne peux pas vraiment le dire. C’est comme s’il me manquait quelque chose dans ma vie. Avoir tout mais ne pas savoir être satisfait, c’est hypocrite et ironique non ? « Probablement ! » « Tu devrais te laisser aller plus souvent...» « Tu sais que c’est compliqué pourtant. » J’ai trop de choses à gérer dans ma vie pour devenir plus souple envers moi-même. C’est plus simple de tout contrôler pour réussir à avoir ce que je veux. « Mais de temps en temps, ça fait du bien. Et puis, je crois que je serai davantage rigide sans toi dans ma vie depuis des années. » Une fois près de gros rochers, je le plaque contre les parois doucement avant de revenir l’embrasser, mes mains venant sous ses cuisses pour les attraper et les soulever, me permettant de me mettre contre son corps, entre elles. « Je déteste l’effet que tes baisers ont sur moi…. Autant que je peux aimer ça….. »
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« Je te réchaufferais après. ». Je réponds à son baiser tout en nous bougeant dans l’eau pour ne pas subir sa fraîcheur, mes bras enroulé autour de son corps. Je souris faiblement et le fixe intensément. L’avoir comme ça dans mes bras ; c’est nouveau et familier à la fois. Je ne saurai pas vraiment expliquer ce lien qui nous unit et qui nous maintient ensemble de la sorte, mais je sais qu’il est destructeur. Terriblement destructeur.. « Et toi. T’es heureux ? » Fondamentalement oui. J’ai de l’argent. J’ai une bonne vie. Une bonne place dans la société. La chance de vivre avec mes passions, d’avoir une famille aimante et des amis importants. Fondamentalement oui, je suis heureux, pourtant, je ne peux pas vraiment le dire. C’est comme s’il me manquait quelque chose dans ma vie. Avoir tout mais ne pas savoir être satisfait, c’est hypocrite et ironique non ? « Probablement ! » « Tu devrais te laisser aller plus souvent...» « Tu sais que c’est compliqué pourtant. » J’ai trop de choses à gérer dans ma vie pour devenir plus souple envers moi-même. C’est plus simple de tout contrôler pour réussir à avoir ce que je veux. « Mais de temps en temps, ça fait du bien. Et puis, je crois que je serai davantage rigide sans toi dans ma vie depuis des années. » Une fois près de gros rochers, je le plaque contre les parois doucement avant de revenir l’embrasser, mes mains venant sous ses cuisses pour les attraper et les soulever, me permettant de me mettre contre son corps, entre elles. « Je déteste l’effet que tes baisers ont sur moi…. Autant que je peux aimer ça….. »
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Re: Au pays des Gonkourou [Tae & Mia] | Jeu 28 Déc - 22:55
Probablement. Ce n’était pas une réponse, mais il l’acceptait. Il ne savait Mia, ce que c’était de subir autant de pression. Son père était mort, sa mère en prison et son oncle n’avait jamais rien attendu de lui. Cette liberté, il n’y renoncerait pour rien au monde. Sauf peut-être pour lui. En fait, il ne comprenait pas ce qui était compliqué mais il n’insistait pas. Il le savait, qu’il n’était pas quelqu’un de bien et il ne savait toujours pas ce que Tae lui avait trouvé, cette nuit-là. Cette nuit où sa vie avait changé. Il se doutait qu’un jour, il finirait par l’abandonner. Parce que Mia, il n’était rien. Rien d’autre qu’un vulgaire criminel. Ils se complétaient sans même sans rendre compte. Sans le brun, il serait sûrement derrière les barreaux, ou mort. Aujourd’hui, il avait la chance d’être dans ses bras et c’était tout ce qui comptait. Il se laissait emmener, les rochers griffant son dos déjà abimé, avant d’enrouler ses jambes autour de son corps. Durant ces quelques jours, il lui appartenait et Mia, il était possessif. Beaucoup trop. « Alors est ce que je devrais arrêter ? » C’était presque inimaginable. Maintenant qu’il avait goûté à ses lèvres, il était incapable de s’en passer et c’était ce qui l’effrayait le plus. Il resserrait doucement ses cuisses pour le sentir un peu plus contre lui. Il posait doucement son front contre le sien, frôlant ses lèvres avec sa langue. La tendresse, ce n’était pas son truc. Pourtant avec lui, c’était différent. « Et si on ne rentrait pas ? » Il laissait échapper un petit rire. Mia, il n'avait aucune responsabilité, personne ne comptait sur lui.S'il venait à disparaître, personne ne s'en soucierait. Mais Tae. Tae il était aimé et entouré. C'était un homme bien qui s'était encombré d'un gamin un peu trop sauvage.
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Probablement. Ce n’était pas une réponse, mais il l’acceptait. Il ne savait Mia, ce que c’était de subir autant de pression. Son père était mort, sa mère en prison et son oncle n’avait jamais rien attendu de lui. Cette liberté, il n’y renoncerait pour rien au monde. Sauf peut-être pour lui. En fait, il ne comprenait pas ce qui était compliqué mais il n’insistait pas. Il le savait, qu’il n’était pas quelqu’un de bien et il ne savait toujours pas ce que Tae lui avait trouvé, cette nuit-là. Cette nuit où sa vie avait changé. Il se doutait qu’un jour, il finirait par l’abandonner. Parce que Mia, il n’était rien. Rien d’autre qu’un vulgaire criminel. Ils se complétaient sans même sans rendre compte. Sans le brun, il serait sûrement derrière les barreaux, ou mort. Aujourd’hui, il avait la chance d’être dans ses bras et c’était tout ce qui comptait. Il se laissait emmener, les rochers griffant son dos déjà abimé, avant d’enrouler ses jambes autour de son corps. Durant ces quelques jours, il lui appartenait et Mia, il était possessif. Beaucoup trop. « Alors est ce que je devrais arrêter ? » C’était presque inimaginable. Maintenant qu’il avait goûté à ses lèvres, il était incapable de s’en passer et c’était ce qui l’effrayait le plus. Il resserrait doucement ses cuisses pour le sentir un peu plus contre lui. Il posait doucement son front contre le sien, frôlant ses lèvres avec sa langue. La tendresse, ce n’était pas son truc. Pourtant avec lui, c’était différent. « Et si on ne rentrait pas ? » Il laissait échapper un petit rire. Mia, il n'avait aucune responsabilité, personne ne comptait sur lui.S'il venait à disparaître, personne ne s'en soucierait. Mais Tae. Tae il était aimé et entouré. C'était un homme bien qui s'était encombré d'un gamin un peu trop sauvage.
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Re: Au pays des Gonkourou [Tae & Mia] | Jeu 28 Déc - 23:13
[i]« Alors est ce que je devrais arrêter ? » Ses cuisses qui entourent mon corps, le sien qui se presse délicieusement, et sa langue qui passe sur mes lèvres… je frissonne longuement puis le fixe en ayant envie de mordre ses lèvres. Il apporte de la douceur dans notre duo, là où j’apporte de la force. « Essaie… tu le regretteras. » Dis-je alors de ma vois feutrée et douce. Il n’a pas intérêt de me faire ça. Je sis. Je ne devrait pas être aussi jaloux et possessif, mais c’est naturel, je n’y peux rien. « Et si on ne rentrait pas ? » « Toi et tes envies…. » Je le regarde intensément. Il sait que je ne peux pas faire ça. Fondamentalement, je ne veux pas faire ça. Mais je sais qu’il aimerait ça. Alors, je le regarde dans les yeux et viens mordre sa bouche avant de l’embrasser. Sucer ses lèvres, sa langue et tout ce que je peux, jusqu’à ne plus avoir de souffle. Ma bouche va dans son cou, son oreille et je le torture tout en bougeant contre lui à cause du courant, de l’envie…. Et sans prévenir, je pars sous l’eau pour m’éloigner de lui et réapparaître un peu plus loin. "Si tu me veux, attrape-moi. » Dis-je alors dans un beau sourire tout en nageant et en l’éclaboussant, dans un rire presque trop enfantin pour moi.
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[i]« Alors est ce que je devrais arrêter ? » Ses cuisses qui entourent mon corps, le sien qui se presse délicieusement, et sa langue qui passe sur mes lèvres… je frissonne longuement puis le fixe en ayant envie de mordre ses lèvres. Il apporte de la douceur dans notre duo, là où j’apporte de la force. « Essaie… tu le regretteras. » Dis-je alors de ma vois feutrée et douce. Il n’a pas intérêt de me faire ça. Je sis. Je ne devrait pas être aussi jaloux et possessif, mais c’est naturel, je n’y peux rien. « Et si on ne rentrait pas ? » « Toi et tes envies…. » Je le regarde intensément. Il sait que je ne peux pas faire ça. Fondamentalement, je ne veux pas faire ça. Mais je sais qu’il aimerait ça. Alors, je le regarde dans les yeux et viens mordre sa bouche avant de l’embrasser. Sucer ses lèvres, sa langue et tout ce que je peux, jusqu’à ne plus avoir de souffle. Ma bouche va dans son cou, son oreille et je le torture tout en bougeant contre lui à cause du courant, de l’envie…. Et sans prévenir, je pars sous l’eau pour m’éloigner de lui et réapparaître un peu plus loin. "Si tu me veux, attrape-moi. » Dis-je alors dans un beau sourire tout en nageant et en l’éclaboussant, dans un rire presque trop enfantin pour moi.
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Re: Au pays des Gonkourou [Tae & Mia] | Jeu 28 Déc - 23:28
La possessivité le rassurait. Il aimait ça Mia, lui appartenir. C’était encore pire depuis qu’il l’avait possédé. Il s’était soumis sans même résister. Son regard plongé dans sien, il frissonnait. Pas à cause du froid. Sûrement pas à cause du froid. Il savait qu’ils allaient rentrer, que le brun continuerait à jouer les fils et les petits amis parfaits avec les filles qu’il rencontrerait. Il oubliait ses craintes se perdant dans se baiser un peu trop passionné. Il y répondait avec fougue, sentant l’excitation le gagner. Il penchait la tête, soupirant de plaisir, ses lèvres contre sa peau pâle. Depuis ce matin-là, Mia, il n’avait eu aucune relation, et il commençait sérieusement à être en manque. Il était incapable de lui résister. « YAH ! » Il restait comme un idiot, les reins en feu. Si un type rencontré au hasard dans un bar avait osé l’allumer de cette manière, il l’aurait sûrement tabassé. Il nageait pour essayer d’arriver à son niveau. « Si je t’attrape tu me laisse avoir le dessus ? » Son rire ? C’était la plus belle des mélodies. Pourtant, il lui en voulait un peu de l’avoir laissé en plan. Arrivé sur le sable, il récupérait ses affaires sans les enfiler avant de se rendre à la voiture. Il tirait sur la poignée plusieurs fois tout en sachant qu’elle était fermée. « Ouvres ! » C’était plus un ordre qu’une demande, il était encore trop vexé Mia. Il n’aimait pas se faire rejeter de cette façon.
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La possessivité le rassurait. Il aimait ça Mia, lui appartenir. C’était encore pire depuis qu’il l’avait possédé. Il s’était soumis sans même résister. Son regard plongé dans sien, il frissonnait. Pas à cause du froid. Sûrement pas à cause du froid. Il savait qu’ils allaient rentrer, que le brun continuerait à jouer les fils et les petits amis parfaits avec les filles qu’il rencontrerait. Il oubliait ses craintes se perdant dans se baiser un peu trop passionné. Il y répondait avec fougue, sentant l’excitation le gagner. Il penchait la tête, soupirant de plaisir, ses lèvres contre sa peau pâle. Depuis ce matin-là, Mia, il n’avait eu aucune relation, et il commençait sérieusement à être en manque. Il était incapable de lui résister. « YAH ! » Il restait comme un idiot, les reins en feu. Si un type rencontré au hasard dans un bar avait osé l’allumer de cette manière, il l’aurait sûrement tabassé. Il nageait pour essayer d’arriver à son niveau. « Si je t’attrape tu me laisse avoir le dessus ? » Son rire ? C’était la plus belle des mélodies. Pourtant, il lui en voulait un peu de l’avoir laissé en plan. Arrivé sur le sable, il récupérait ses affaires sans les enfiler avant de se rendre à la voiture. Il tirait sur la poignée plusieurs fois tout en sachant qu’elle était fermée. « Ouvres ! » C’était plus un ordre qu’une demande, il était encore trop vexé Mia. Il n’aimait pas se faire rejeter de cette façon.
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Re: Au pays des Gonkourou [Tae & Mia] | Jeu 28 Déc - 23:44
« YAH ! » Lorsque je le vois commencer à changer d’expression sur le visage, je fronce un peu le nez et secoue légèrement la tête en arrêtant de rire. « Mia... » « Si je t’attrape tu me laisse avoir le dessus ? » Avoir le… Quoi ? « Non. » Non, je ne suis pas prêt à ça et je ne pense pas l’être un jour. « Mia... » Et il part comme une furie pour retourner sur le sable au loin, alors je nage pour le retrouver, essayer de l’attraper. Prenant ma chemise, je l’enfile sur mon corps froid et mouillé avant d’attraper mon pantalon pour le suivre.« Ouvres ! » Il l’ordonne et je le fais tout en le regardant fixement avant de déverrouiller les portières pour entrer à mon tour. « Mia… c’était un jeu… Je plaisantais…. » Frottant mes cheveux mouillés, je soupire un peu et jette mon pantalon derrière avant de mettre le contact pour démarrer.
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« YAH ! » Lorsque je le vois commencer à changer d’expression sur le visage, je fronce un peu le nez et secoue légèrement la tête en arrêtant de rire. « Mia... » « Si je t’attrape tu me laisse avoir le dessus ? » Avoir le… Quoi ? « Non. » Non, je ne suis pas prêt à ça et je ne pense pas l’être un jour. « Mia... » Et il part comme une furie pour retourner sur le sable au loin, alors je nage pour le retrouver, essayer de l’attraper. Prenant ma chemise, je l’enfile sur mon corps froid et mouillé avant d’attraper mon pantalon pour le suivre.« Ouvres ! » Il l’ordonne et je le fais tout en le regardant fixement avant de déverrouiller les portières pour entrer à mon tour. « Mia… c’était un jeu… Je plaisantais…. » Frottant mes cheveux mouillés, je soupire un peu et jette mon pantalon derrière avant de mettre le contact pour démarrer.
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Re: Au pays des Gonkourou [Tae & Mia] | Jeu 28 Déc - 23:59
Oh oui, il était susceptible Mia, en particulier à ce niveau-là. Il savait très bien que Tae ne se laisserait pas faire, pas tout de suite, mais il avait bon espoir qu’un jour il puisse le dominer. En entendant le déclic annonçant l’ouverture de la voiture, il ouvrait la porte s’installant sur le siège passager, sans attacher sa ceinture. Il balançait ses vêtements sur la banquette arrière. Un jeu ? Il fronçait les sourcils, la tête tournée vers la fenêtre. « Ne joue pas avec moi Tae Kyun. » Son prénom. Il était rare qu’il le prononce en entier. Il ne parlait plus, se contentant de regarder le paysage défiler. Il y avait du monde dehors. C’était la nouvelle année après tout. Il soupirait en arrivant sur le parking de l’hôtel, sortant en boxer. Il se foutait du regard des autres, des questions qu’ils pourraient se poser. Il ne comptait pas y répondre. Il commençait à avoir froid Mia, et il n’attendait pas le brun pour se rendre jusqu’à la chambre. Il trépignait devant la porte. Il n’avait pas la clé. Les bras croisés sur son torse tatoué. Il faisait claqué sa langue contre son palet, jouant avec son piercing. Un espèce de toc qu’il avait quand il se sentait nerveux.
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Oh oui, il était susceptible Mia, en particulier à ce niveau-là. Il savait très bien que Tae ne se laisserait pas faire, pas tout de suite, mais il avait bon espoir qu’un jour il puisse le dominer. En entendant le déclic annonçant l’ouverture de la voiture, il ouvrait la porte s’installant sur le siège passager, sans attacher sa ceinture. Il balançait ses vêtements sur la banquette arrière. Un jeu ? Il fronçait les sourcils, la tête tournée vers la fenêtre. « Ne joue pas avec moi Tae Kyun. » Son prénom. Il était rare qu’il le prononce en entier. Il ne parlait plus, se contentant de regarder le paysage défiler. Il y avait du monde dehors. C’était la nouvelle année après tout. Il soupirait en arrivant sur le parking de l’hôtel, sortant en boxer. Il se foutait du regard des autres, des questions qu’ils pourraient se poser. Il ne comptait pas y répondre. Il commençait à avoir froid Mia, et il n’attendait pas le brun pour se rendre jusqu’à la chambre. Il trépignait devant la porte. Il n’avait pas la clé. Les bras croisés sur son torse tatoué. Il faisait claqué sa langue contre son palet, jouant avec son piercing. Un espèce de toc qu’il avait quand il se sentait nerveux.
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Re: Au pays des Gonkourou [Tae & Mia] | Ven 29 Déc - 17:36
« Ne joue pas avec moi Tae Kyun. » Après tout, je lui ai demandé la même chose l’autre soir, mais dans ma tête, ça n’avait pas la même portée. Mia, lui, il joue vraiment avec les gens, il les séduit, les baise et les jette comme des kleenex en appréciant le fait que eux, voudraient davantage que ce qu’il veut bien leur accorder. Et je ne voulais pas être ça parce que je me considère bien supérieur à ses catins nocturnes. Une fois garé, je le vois partir comme une fusée alors que je n’ai pas vraiment le temps de m’exprimer. « Mia... » En plus, il reste en boxer et le gardien le fixe d’un air interloqué. Dehors, j’enfile mon pantalon en vitesse et attrape les affaires du blond pour le suivre, m’arrêtant à l’entré afin de donner un pourboire au jeune afin qu’il ne dise rien de particulier sur ça. Suivant Mia, je finis par le rattraper à notre étage après avoir récupéré notre clé pour aller dans la chambre avec lui et tout poser sur un fauteuil, légèrement en colère. « C’était un jeu…. Comme un jeu sexuel Mia. C’était pas pour jouer avec ton coeur ! Bordel comment t’as pu croire ça ? C’était juste pour que tu viennes m’attraper et me prendre dans tes bras au milieu de l’océan, on aurait été en face de la lune si tu m’avais suivi…. Rien de plus, rien de moins. Mia ! » Je le fixe en reprenant mon souffle avant de secouer doucement la tête en allant chercher une serviette pour la mettre autour de son corps. « Je suis pas tes parents, je suis pas ton oncle. Je suis pas ceux qui t’ont abandonné. Tu m’avais dit que tu avais confiance en moi, idiot. Alors montre-le... » Je sèche ses cheveux et le fixe longuement avant de lui tenir le visage. « C’est nouveau, autant pour toi que pour moi… et ça fout la frousse, je sais mais si c’est pour qu’on s’engueule là où ça n’arrivait presque jamais… Alors autant tout arrêter. » Je n’en ai pas envie, vraiment pas, mais je ne veux pas que notre relation devienne ainsi. C’était trop beau, trop bien, pour finir comme ça. Mon front vient se poser contre le sien et je soupire doucement. « Viens prendre une douche chaude. »
☆☆☆ Beerus[/i]
Au pays des gonkourou
« Ne joue pas avec moi Tae Kyun. » Après tout, je lui ai demandé la même chose l’autre soir, mais dans ma tête, ça n’avait pas la même portée. Mia, lui, il joue vraiment avec les gens, il les séduit, les baise et les jette comme des kleenex en appréciant le fait que eux, voudraient davantage que ce qu’il veut bien leur accorder. Et je ne voulais pas être ça parce que je me considère bien supérieur à ses catins nocturnes. Une fois garé, je le vois partir comme une fusée alors que je n’ai pas vraiment le temps de m’exprimer. « Mia... » En plus, il reste en boxer et le gardien le fixe d’un air interloqué. Dehors, j’enfile mon pantalon en vitesse et attrape les affaires du blond pour le suivre, m’arrêtant à l’entré afin de donner un pourboire au jeune afin qu’il ne dise rien de particulier sur ça. Suivant Mia, je finis par le rattraper à notre étage après avoir récupéré notre clé pour aller dans la chambre avec lui et tout poser sur un fauteuil, légèrement en colère. « C’était un jeu…. Comme un jeu sexuel Mia. C’était pas pour jouer avec ton coeur ! Bordel comment t’as pu croire ça ? C’était juste pour que tu viennes m’attraper et me prendre dans tes bras au milieu de l’océan, on aurait été en face de la lune si tu m’avais suivi…. Rien de plus, rien de moins. Mia ! » Je le fixe en reprenant mon souffle avant de secouer doucement la tête en allant chercher une serviette pour la mettre autour de son corps. « Je suis pas tes parents, je suis pas ton oncle. Je suis pas ceux qui t’ont abandonné. Tu m’avais dit que tu avais confiance en moi, idiot. Alors montre-le... » Je sèche ses cheveux et le fixe longuement avant de lui tenir le visage. « C’est nouveau, autant pour toi que pour moi… et ça fout la frousse, je sais mais si c’est pour qu’on s’engueule là où ça n’arrivait presque jamais… Alors autant tout arrêter. » Je n’en ai pas envie, vraiment pas, mais je ne veux pas que notre relation devienne ainsi. C’était trop beau, trop bien, pour finir comme ça. Mon front vient se poser contre le sien et je soupire doucement. « Viens prendre une douche chaude. »
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