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1, 2, 3 Boeuf, Porc, Poulet ! HUM ! (pv)
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Re: Boeuf, Porc, Poulet ! HUM ! (pv) | Dim 5 Aoû - 21:27
C’est intéressant de pouvoir mettre la main à la pâte. Je ne le fais pas réellement bien que je suis plutôt bonne en cuisine mais pouvoir réfléchir d’un potentiel menu avec mon cuisinier était quelque chose de plaisant. J’ai souvent le nez dans la paperasse, à réfléchir pour faire sortir un chiffre d’affaires, ce qui est loin d’être une chose facile dans cette ville. Il y a énormément voire trop de restaurants et de cafés. Il suffit de voir la rue dans laquelle se trouve le Nyam Nyam. J’ai beau apprécié me rendre au travail et sourire à mes voisins, je dois avouer qu’il y a des jours où je m’inquiète. L’avantage, c’est que j’ai créé un concept original et que beaucoup de personnes sont curieux de voir le résultat. Je ne vous raconte même pas mon plaisir de croiser des touristes dans la grande salle. Ils peuvent effectivement conseiller leurs proches, et donc, les inciter à venir ici. C’est forcément bon pour les affaires mais peut-être pas autant qu’une bonne clientèle régulière. Ainsi, je me dis que la proposition de Woo Young est bienvenue. Il suffit juste de l’adapter au mieux pour qu’elle puisse se concrétiser et attirer les foules. Nous sommes suffisamment tous les deux matures pour ne pas se vexer si l’idée de l’autre ne l’enchante pas. C’est d’ailleurs à mon tour puisque ma proposition du bingsu n’arrive pas à le convaincre. Néanmoins, celui-ci modifie l’idée première pour quelque chose qui me met l’eau à la bouche. J’acquiesce d’un signe de tête, toute excitée. Puis, ça monte crescendo. Toutes ces propositions me plaisent et cela se voit directement sur mon visage. Je me demande même où serait l’intérêt de parler ? Peut-être parce que les hommes ne sont pas doués pour comprendre les expressions d’une femme ? Ah ah. « AHH j’ai envie de manger une pastèque maintenant. » Mon visage se décompose dans un manque de fruit total. « C’est parfait ! J’ai déjà envie de tout goûter. » Et encore, le mot est faible. « Je veux ta viande à l’occidentale mais je suppose que ça va te demander énormément de temps… » Ecoutez-là se plaindre.
Boeuf, Porc, Poulet ! HUM !
Feat le cuisinier tout nu sous son tablier
C’est intéressant de pouvoir mettre la main à la pâte. Je ne le fais pas réellement bien que je suis plutôt bonne en cuisine mais pouvoir réfléchir d’un potentiel menu avec mon cuisinier était quelque chose de plaisant. J’ai souvent le nez dans la paperasse, à réfléchir pour faire sortir un chiffre d’affaires, ce qui est loin d’être une chose facile dans cette ville. Il y a énormément voire trop de restaurants et de cafés. Il suffit de voir la rue dans laquelle se trouve le Nyam Nyam. J’ai beau apprécié me rendre au travail et sourire à mes voisins, je dois avouer qu’il y a des jours où je m’inquiète. L’avantage, c’est que j’ai créé un concept original et que beaucoup de personnes sont curieux de voir le résultat. Je ne vous raconte même pas mon plaisir de croiser des touristes dans la grande salle. Ils peuvent effectivement conseiller leurs proches, et donc, les inciter à venir ici. C’est forcément bon pour les affaires mais peut-être pas autant qu’une bonne clientèle régulière. Ainsi, je me dis que la proposition de Woo Young est bienvenue. Il suffit juste de l’adapter au mieux pour qu’elle puisse se concrétiser et attirer les foules. Nous sommes suffisamment tous les deux matures pour ne pas se vexer si l’idée de l’autre ne l’enchante pas. C’est d’ailleurs à mon tour puisque ma proposition du bingsu n’arrive pas à le convaincre. Néanmoins, celui-ci modifie l’idée première pour quelque chose qui me met l’eau à la bouche. J’acquiesce d’un signe de tête, toute excitée. Puis, ça monte crescendo. Toutes ces propositions me plaisent et cela se voit directement sur mon visage. Je me demande même où serait l’intérêt de parler ? Peut-être parce que les hommes ne sont pas doués pour comprendre les expressions d’une femme ? Ah ah. « AHH j’ai envie de manger une pastèque maintenant. » Mon visage se décompose dans un manque de fruit total. « C’est parfait ! J’ai déjà envie de tout goûter. » Et encore, le mot est faible. « Je veux ta viande à l’occidentale mais je suppose que ça va te demander énormément de temps… » Ecoutez-là se plaindre.Invité
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Re: Boeuf, Porc, Poulet ! HUM ! (pv) | Sam 25 Aoû - 14:14
tes idées bouillonnent dans ta tête et tu es content de pouvoir les sortir devant eunhye. l’avantage de travailler avec elle, c’est qu’elle ne te bride pas. tu as toute la place que tu veux pour être inventif. certes, parfois, elle te calme parce que souvent tu pars trop loin. mais la plupart du temps elle sait quand elle doit te laisser faire. apparemment toutes les idées que tu lui proposent lui conviennent. enfin, tu crois, t’es pas réellement sûr. t’es pas le mieux placé pour lire les expressions sur les visages et encore moins des visages féminins. tu ne comprendras sûrement jamais les femmes parce que même avec ta petite sœur, tu as du mal. cependant, tu penses qu’elle aime bien ce que tu lui dis parce que son visage s’illumine. enfin, tu sais pas réellement et ce n’est que lorsqu’elle reprend la parole que tu pousses un soupir de soulagement. cette fois, elle est d’accord avec ce que tu proposes et tu lui donnes même déjà envie de goûter. tu bombes légèrement le torse, fier de toi et tu ris à ses remarques. « hmm, oui ça demandera du temps, mais si on propose qu’un seul menu pour les fêtes en plus de notre carte actuelle, ça pourra aller vite. » tu sais que souvent, les restaurants proposent deux ou trois menus pour les fêtes de fin d’années. mais toi, tout seul, tu n’y arriveras pas à tout gérer. tu as beau être doué, tu ne peux pas encore te cloner et ne peux pas gérer un service avec deux repas en plus. « pour la viande, vu qu’elle doit mariner je la préparerai deux jours à l’avance, que ça ait bien le temps de prendre. » tu marques une pause, réfléchit quelques instants avant de reprendre la parole. « le gâteau je peux le faire le matin. peut être même en faire deux ou trois, si jamais il y a du monde. on aura juste à couper des parts dedans à chaque commande. » tu préfères prévoir plus si jamais vous avez du monde. même s’il y a des restes, il y a toujours moyen de faire autre chose avec ou le ramener à la maison. c’est mieux d’en avoir trop que pas assez après tout. parce que pas assez vous serez obligés de décevoir les clients et t’es pas trop fan de ça. « et pour le reste, ça devrait le faire si je prépare les ingrédients en amont. genre si j’épluche les légumes et tout avant le rush du service, ça devrait être bon. » tu finis de noter tes idées et l’organisation pour aller plus vite et ne pas perdre de temps et tu relèves le visage vers la jeune femme. « on valide ça ? » que tu lui demandes, autant parce qu’elle est la patronne du nyam nyam que parce que tu as besoin de savoir si tu dois trouver d’autres idées ou pas.
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tes idées bouillonnent dans ta tête et tu es content de pouvoir les sortir devant eunhye. l’avantage de travailler avec elle, c’est qu’elle ne te bride pas. tu as toute la place que tu veux pour être inventif. certes, parfois, elle te calme parce que souvent tu pars trop loin. mais la plupart du temps elle sait quand elle doit te laisser faire. apparemment toutes les idées que tu lui proposent lui conviennent. enfin, tu crois, t’es pas réellement sûr. t’es pas le mieux placé pour lire les expressions sur les visages et encore moins des visages féminins. tu ne comprendras sûrement jamais les femmes parce que même avec ta petite sœur, tu as du mal. cependant, tu penses qu’elle aime bien ce que tu lui dis parce que son visage s’illumine. enfin, tu sais pas réellement et ce n’est que lorsqu’elle reprend la parole que tu pousses un soupir de soulagement. cette fois, elle est d’accord avec ce que tu proposes et tu lui donnes même déjà envie de goûter. tu bombes légèrement le torse, fier de toi et tu ris à ses remarques. « hmm, oui ça demandera du temps, mais si on propose qu’un seul menu pour les fêtes en plus de notre carte actuelle, ça pourra aller vite. » tu sais que souvent, les restaurants proposent deux ou trois menus pour les fêtes de fin d’années. mais toi, tout seul, tu n’y arriveras pas à tout gérer. tu as beau être doué, tu ne peux pas encore te cloner et ne peux pas gérer un service avec deux repas en plus. « pour la viande, vu qu’elle doit mariner je la préparerai deux jours à l’avance, que ça ait bien le temps de prendre. » tu marques une pause, réfléchit quelques instants avant de reprendre la parole. « le gâteau je peux le faire le matin. peut être même en faire deux ou trois, si jamais il y a du monde. on aura juste à couper des parts dedans à chaque commande. » tu préfères prévoir plus si jamais vous avez du monde. même s’il y a des restes, il y a toujours moyen de faire autre chose avec ou le ramener à la maison. c’est mieux d’en avoir trop que pas assez après tout. parce que pas assez vous serez obligés de décevoir les clients et t’es pas trop fan de ça. « et pour le reste, ça devrait le faire si je prépare les ingrédients en amont. genre si j’épluche les légumes et tout avant le rush du service, ça devrait être bon. » tu finis de noter tes idées et l’organisation pour aller plus vite et ne pas perdre de temps et tu relèves le visage vers la jeune femme. « on valide ça ? » que tu lui demandes, autant parce qu’elle est la patronne du nyam nyam que parce que tu as besoin de savoir si tu dois trouver d’autres idées ou pas.Invité
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Re: Boeuf, Porc, Poulet ! HUM ! (pv) | Ven 7 Sep - 20:51
Son entrain pour la cuisine est certainement la chose que j’apprécie le plus chez lui. Parfois, on se dit passionné mais les personnes qui n’arrivent pas à transmettre un sentiment de bonheur aux autres, ne le sont pas à mes yeux. J’ai beau adoré mon nouveau poste de travail, je dois avouer que c’est la possibilité de proposer une variété de repas sains qui m’enchante le plus. Depuis des années, mon objectif est de vanter les mérites des producteurs locaux, de la nourriture bio. Les manifestations n’avaient rien donné malgré mes panneaux d’enfer. J’ai finalement pensé qu’il était difficile de toucher des gens, qui, ignorent au fond de quoi vous parlez. Ainsi, les clients curieux peuvent être surpris de voir ce que la nourriture naturellement leur offrir. Oh bien sûr, le chef Nah s’emmêle mais le jeune homme veille au grain pour respecter les consignes. D’ailleurs, je ne suis pas certaine qu’elles ont toutes été de mon initiative. Retenant un rire à cette pensée, je suis surprise de savoir que la viande doit mariner autant. Quand je cuisine, je l’ai toujours fait la veille et encore quand je ne suis pas habitée par la flemme. La sauce, afin jus, ne risque pas de se tourner selon les composants ? Un peu de confiance en lui, Eun Hye ! Pourquoi je me sens obligée de dire mon avis sur tout ? Sachant que Woo Young m’offre un magnifique discours au même moment. Je lève la main pour lui faire un hi-five. « Vendu ! Validé ! Confirmé ! Tout ce que tu veux ! » Et comme mon image de patronne est cool, je le gratifie d’un sourire et ajoute : « On se boit un café, maintenant ? »
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Son entrain pour la cuisine est certainement la chose que j’apprécie le plus chez lui. Parfois, on se dit passionné mais les personnes qui n’arrivent pas à transmettre un sentiment de bonheur aux autres, ne le sont pas à mes yeux. J’ai beau adoré mon nouveau poste de travail, je dois avouer que c’est la possibilité de proposer une variété de repas sains qui m’enchante le plus. Depuis des années, mon objectif est de vanter les mérites des producteurs locaux, de la nourriture bio. Les manifestations n’avaient rien donné malgré mes panneaux d’enfer. J’ai finalement pensé qu’il était difficile de toucher des gens, qui, ignorent au fond de quoi vous parlez. Ainsi, les clients curieux peuvent être surpris de voir ce que la nourriture naturellement leur offrir. Oh bien sûr, le chef Nah s’emmêle mais le jeune homme veille au grain pour respecter les consignes. D’ailleurs, je ne suis pas certaine qu’elles ont toutes été de mon initiative. Retenant un rire à cette pensée, je suis surprise de savoir que la viande doit mariner autant. Quand je cuisine, je l’ai toujours fait la veille et encore quand je ne suis pas habitée par la flemme. La sauce, afin jus, ne risque pas de se tourner selon les composants ? Un peu de confiance en lui, Eun Hye ! Pourquoi je me sens obligée de dire mon avis sur tout ? Sachant que Woo Young m’offre un magnifique discours au même moment. Je lève la main pour lui faire un hi-five. « Vendu ! Validé ! Confirmé ! Tout ce que tu veux ! » Et comme mon image de patronne est cool, je le gratifie d’un sourire et ajoute : « On se boit un café, maintenant ? »Invité
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Re: Boeuf, Porc, Poulet ! HUM ! (pv) | Ven 28 Sep - 19:17
tu es heureux d’arriver à trouver des idées si rapidement pour faire du repas de fin d’année une réussite. tu n’as jamais été à court d’idées ceci dit, mais satisfaire les goûts de ta patronne est parfois plus compliqué qu’on ne le pense. tu adores travailler avec elle, il y a pas de soucis entre vous. et il est très rare que tu sois obligé de brider ton imagination parce que ça ne convient pas à l’esprit du restaurant. tu crois que ça n’est arrivé qu’une ou deux fois avant aujourd’hui et c’est ce qui te plait tellement dans ce métier. eunhye te laisse une totale carte blanche tant qu’elle peut quand même valider par derrière et vérifier que ce soit en accord avec ce qu’elle veut de son restaurant. tu la comprends totalement et ça te fait plaisir de voir qu’elle accepte encore une fois ton idée. tu tapes dans sa main pour répondre à son high-five avec un sourire sur les lèvres. il s’agrandit un peu plus quand elle propose un café. « si c’est la patronne qui le fait, je dis pas non. » autant que tu l’utilises un peu vu que c’est ton cerveau qui a trouvé presque toutes les idées. tu as besoin de te reposer un peu. « tu veux que je prépare une pâtisserie rapidement ? » enfin quand tu dis rapidement c’est en quarante-cinq minutes, le temps de faire un gâteau au yaourt, recette que tu as trouvé sur internet et qui semble être très apprécié des français. « enfin, quand je dis rapidement, c’est le temps de le faire et qu’il cuise. » puis tu te souviens que tu as fait un dessert la veille. « attends, j’ai rien dit. » que tu lances alors que tu ouvres le frigo pour sortir une mousse au chocolat. « j’avais fait ça hier. »
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tu es heureux d’arriver à trouver des idées si rapidement pour faire du repas de fin d’année une réussite. tu n’as jamais été à court d’idées ceci dit, mais satisfaire les goûts de ta patronne est parfois plus compliqué qu’on ne le pense. tu adores travailler avec elle, il y a pas de soucis entre vous. et il est très rare que tu sois obligé de brider ton imagination parce que ça ne convient pas à l’esprit du restaurant. tu crois que ça n’est arrivé qu’une ou deux fois avant aujourd’hui et c’est ce qui te plait tellement dans ce métier. eunhye te laisse une totale carte blanche tant qu’elle peut quand même valider par derrière et vérifier que ce soit en accord avec ce qu’elle veut de son restaurant. tu la comprends totalement et ça te fait plaisir de voir qu’elle accepte encore une fois ton idée. tu tapes dans sa main pour répondre à son high-five avec un sourire sur les lèvres. il s’agrandit un peu plus quand elle propose un café. « si c’est la patronne qui le fait, je dis pas non. » autant que tu l’utilises un peu vu que c’est ton cerveau qui a trouvé presque toutes les idées. tu as besoin de te reposer un peu. « tu veux que je prépare une pâtisserie rapidement ? » enfin quand tu dis rapidement c’est en quarante-cinq minutes, le temps de faire un gâteau au yaourt, recette que tu as trouvé sur internet et qui semble être très apprécié des français. « enfin, quand je dis rapidement, c’est le temps de le faire et qu’il cuise. » puis tu te souviens que tu as fait un dessert la veille. « attends, j’ai rien dit. » que tu lances alors que tu ouvres le frigo pour sortir une mousse au chocolat. « j’avais fait ça hier. »Invité
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Re: Boeuf, Porc, Poulet ! HUM ! (pv) | Sam 29 Sep - 22:21
Après l'effort, vient le réconfort. Si je ne peux pas offrir une séance de massage dans un spa à mon chef cuisinier, je suis convaincue que la chaleur d'un café sera suffisamment reposante. Je dois avouer ma préférence pour les saisons froides, juste pour calmer mes envies et besoins de savourer des boissons chaudes. Ainsi, je ne fais aucun faux-pas vu la température extérieure. Le jeune homme rebondit à ma proposition et je dois avouer qu'il ne perd pas la tête. Maintenant c'est à mon tour de faire le service ? Il a de la chance. Je suis une patronne qui aime beaucoup mettre la main à la pâte. D'ailleurs, en parlant de sucrerie, voilà qu'il use des bons mots pour me plaire. " Ca serait dommage de ne rien manger en dégustant notre café... " Quelle jolie façon de répondre, n'est-ce pas ? En tout cas, je me demande ce qu'il va pouvoir préparer. Je ne suis pas la plus grande experte mais je doute que son gâteau puisse être cuit quand les cafés seront servis. Je veux bien ressembler à une tortue sauf qu'à mon avis, le résultat ressemblera plus à de la torture. Fière de mon jeu de mots ridicule, je jette un coup d'oeil vers le plat que Woo Young tend. Ce parfum de chocolat enivre mes narines et j'ai bien hâte de déguster cette merveille. " Amène-le. On va manger dans la grande salle. " A cette heure-ci, aucune table n'est préparée. On aura juste à ranger nos couverts par la suite. N'attendant aucune réponse de sa part, je me dirige naturellement vers la partie ouverte aux clients du restaurant. Je passe derrière le bar et prépare deux cafés simples. J'entends le bruit de la machine qui travaille et un léger sourire prend possession de mes lèvres. J'aime ces soirées agitées au restaurant mais parfois, être toute seule (enfin avec Woo Young ou un autre employé) est tout aussi agréable. Je peux remarquer à quel point il a évolué depuis ces deux dernières années, à peu près. " Tu veux un sucre avec ? " Depuis le temps, je devrais m'en souvenir. Je rigole légèrement à cette pensée et m'installe à mon tour sur cette table, avec les deux tasses en mains. " Voici pour monsieur. J'espère que tu remarques la chance que tu as.. Ce n'est pas tous les jours qu'un patron imite un stagiaire. " J'attrape ensuite la cuillère et plonge sans tarder celle-ci dans la mousse au chocolat. Pourquoi se prendre la tête avec les couverts ? Nous avons pour habitude de partager nos desserts en Corée.
Boeuf, Porc, Poulet ! HUM !
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Après l'effort, vient le réconfort. Si je ne peux pas offrir une séance de massage dans un spa à mon chef cuisinier, je suis convaincue que la chaleur d'un café sera suffisamment reposante. Je dois avouer ma préférence pour les saisons froides, juste pour calmer mes envies et besoins de savourer des boissons chaudes. Ainsi, je ne fais aucun faux-pas vu la température extérieure. Le jeune homme rebondit à ma proposition et je dois avouer qu'il ne perd pas la tête. Maintenant c'est à mon tour de faire le service ? Il a de la chance. Je suis une patronne qui aime beaucoup mettre la main à la pâte. D'ailleurs, en parlant de sucrerie, voilà qu'il use des bons mots pour me plaire. " Ca serait dommage de ne rien manger en dégustant notre café... " Quelle jolie façon de répondre, n'est-ce pas ? En tout cas, je me demande ce qu'il va pouvoir préparer. Je ne suis pas la plus grande experte mais je doute que son gâteau puisse être cuit quand les cafés seront servis. Je veux bien ressembler à une tortue sauf qu'à mon avis, le résultat ressemblera plus à de la torture. Fière de mon jeu de mots ridicule, je jette un coup d'oeil vers le plat que Woo Young tend. Ce parfum de chocolat enivre mes narines et j'ai bien hâte de déguster cette merveille. " Amène-le. On va manger dans la grande salle. " A cette heure-ci, aucune table n'est préparée. On aura juste à ranger nos couverts par la suite. N'attendant aucune réponse de sa part, je me dirige naturellement vers la partie ouverte aux clients du restaurant. Je passe derrière le bar et prépare deux cafés simples. J'entends le bruit de la machine qui travaille et un léger sourire prend possession de mes lèvres. J'aime ces soirées agitées au restaurant mais parfois, être toute seule (enfin avec Woo Young ou un autre employé) est tout aussi agréable. Je peux remarquer à quel point il a évolué depuis ces deux dernières années, à peu près. " Tu veux un sucre avec ? " Depuis le temps, je devrais m'en souvenir. Je rigole légèrement à cette pensée et m'installe à mon tour sur cette table, avec les deux tasses en mains. " Voici pour monsieur. J'espère que tu remarques la chance que tu as.. Ce n'est pas tous les jours qu'un patron imite un stagiaire. " J'attrape ensuite la cuillère et plonge sans tarder celle-ci dans la mousse au chocolat. Pourquoi se prendre la tête avec les couverts ? Nous avons pour habitude de partager nos desserts en Corée. Invité
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Re: Boeuf, Porc, Poulet ! HUM ! (pv) | Dim 21 Oct - 17:10
vous méritez un bon café et quelque chose à manger après avoir fait tourner vos cerveaux à plein régime. et si en plus tu peux te faire servir par ta patronne tu ne dis pas non. un sourire insolent s’affiche sur tes lèvres alors que tu la regardes après lui avoir fait cette proposition. faut bien qu’elle travaille aussi un peu non mais. elle le sait que ce n’est pas méchant et que tu n’abuses pas de tout ça. mais de temps en temps, tu la taquines avec ça. tu finis même par offrir de faire une pâtisserie pour accompagner le café. quand eunhye accepte, tu hoches la tête, cherchant déjà ce que tu pourrais faire pour que ça ne mette pas trop de temps et que vous n’ayez pas le temps de boire trente cafés avant que ça ne soit prêt. heureusement, tu te rappelles que tu as fait une mousse au chocolat la veille et tu lui montre le plat. la jeune femme accepte de manger la mousse et te demande de l’amener dans la grande salle sans te laisser le temps de répondre. tu pousses un soupir en laissant un sourire prendre possession de tes lèvres alors que tu prends deux cuillères et que tu viens la rejoindre pendant qu’elle finit de faire les cafés. « je prends un sucre et demi, s’il te plait. » tu prends une table et pose le saladier de mousse entre vous avec une cuillère de chaque côté et quand elle prend place sa réflexion te fait rire. « roh ça va. t’es pas à plaindre non plus. tu passes du temps avec le plus talentueux et le plus beau des cuisiniers du nyam nyam. c’est pas négligeable ça, tu sais. » et tu lui offres ton plus beau sourire alors que tu plonges également ta cuillère dans la mousse pour en prendre un peu et en manger. le silence s’installe entre vous pendant quelques temps tandis que vous mangez et buvez et puis tu finis par le briser. « tu vas bien toi ? » tu demandes par rapport au boulot mais également à sa vie privée. tu n’es pas vraiment curieux ou quoi, mais on ne sait jamais si elle a envie de parler de quelque chose qui ne va pas dans sa vie, autant qu’elle sache que tu peux l’écouter.
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vous méritez un bon café et quelque chose à manger après avoir fait tourner vos cerveaux à plein régime. et si en plus tu peux te faire servir par ta patronne tu ne dis pas non. un sourire insolent s’affiche sur tes lèvres alors que tu la regardes après lui avoir fait cette proposition. faut bien qu’elle travaille aussi un peu non mais. elle le sait que ce n’est pas méchant et que tu n’abuses pas de tout ça. mais de temps en temps, tu la taquines avec ça. tu finis même par offrir de faire une pâtisserie pour accompagner le café. quand eunhye accepte, tu hoches la tête, cherchant déjà ce que tu pourrais faire pour que ça ne mette pas trop de temps et que vous n’ayez pas le temps de boire trente cafés avant que ça ne soit prêt. heureusement, tu te rappelles que tu as fait une mousse au chocolat la veille et tu lui montre le plat. la jeune femme accepte de manger la mousse et te demande de l’amener dans la grande salle sans te laisser le temps de répondre. tu pousses un soupir en laissant un sourire prendre possession de tes lèvres alors que tu prends deux cuillères et que tu viens la rejoindre pendant qu’elle finit de faire les cafés. « je prends un sucre et demi, s’il te plait. » tu prends une table et pose le saladier de mousse entre vous avec une cuillère de chaque côté et quand elle prend place sa réflexion te fait rire. « roh ça va. t’es pas à plaindre non plus. tu passes du temps avec le plus talentueux et le plus beau des cuisiniers du nyam nyam. c’est pas négligeable ça, tu sais. » et tu lui offres ton plus beau sourire alors que tu plonges également ta cuillère dans la mousse pour en prendre un peu et en manger. le silence s’installe entre vous pendant quelques temps tandis que vous mangez et buvez et puis tu finis par le briser. « tu vas bien toi ? » tu demandes par rapport au boulot mais également à sa vie privée. tu n’es pas vraiment curieux ou quoi, mais on ne sait jamais si elle a envie de parler de quelque chose qui ne va pas dans sa vie, autant qu’elle sache que tu peux l’écouter. Invité
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Re: Boeuf, Porc, Poulet ! HUM ! (pv) | Sam 10 Nov - 16:04
la pause gourmande est nécessaire. si le cuisinier ramène une mousse au chocolat à notre goûter improvisé, j'opte pour des boissons chaudes. sans une once d'hésitation, je me dirige derrière le comptoir pour préparer nos cafés. ne sachant pas les préférences de wooyoung par coeur, je lui demande s'il souhaite que je sucre sa préparation. ce petit coquin semble avoir besoin d'une dose supplémentaire du sucre, comme si le chocolat ne serait pas suffisant pour satisfaire ses papilles de fin gourmet. de mon côté, je prends juste l'autre moitié, adorant l'amertume du café. après tout, c'est l'essence même de ce dernier. je voudrais bien lui faire honneur comme il se doit. au bout de quelques instants, je reviens les mains chargées et pose les tasses sur la table. de bonne humeur, je trouve bon de faire une remarque sur cette tâche que je viens d'accomplir. c'est plutôt la patronne qui devrait se faire servir, et non l'inverse. je devrais peut-être préparer un licenciement si seulement j'étais sincère. de toute façon, j'ai toujours cette sensation que le nyam nyam appartient un petit peu aussi au jeune homme. il s'était donné du mal à m'expliquer tout le processus pour créer sa petite affaire. nous avons tous les deux trouvé un certain avantage à suivre les idées de l'autre. nos tâches demeurent différentes mais notre collaboration est vitale pour le bien-être du restaurant, et donc, des clients indirectement. jugeant wooyoung du regard, je hausse les épaules et finis par répondre: " du nyam nyam ? ce n'est pas trop compliqué. t'es bien le seul cuisinier ici. " certes, il a quelques commis mais niveau chef cuistot, c'est bien le seul et l'unique. " tu ne devrais pas te sous-estimer comme ça. " puis, un sourire malicieux prend possession de mes lèvres. " quand tu fais des apparitions dans la salle, en fin de service, tu ne les entends pas toutes glousser ? " je fais mine d'avoir une frisson d'horreur avant de boire une gorgée de ma boisson chaude. " oui, je vais bien. je suis la plus belle des patronnes de séoul. tu sais ce que c'est non ? être beau rend la vie facile. " reprenant mon sérieux, je me demande comment je fais pour avoir de telles responsabilités... ou non. je sais quand je peux m'amuser ou quand je ne le peux pas. " peut-être un peu stressée mais je sais que tout se passera bien. en fait, je serais plus excitée que stressée, je dirais. " j'attrape une cuillère et demande, silencieusement, l'accord du cuisinier pour attaquer. " et toi ? " qu'il évite trop de se plaindre quand même... " tu n'es pas trop fatigué ? tu as beaucoup travaillé ces derniers temps, peut-être plus que d'habitude. " au bout d'un moment, j'ai l'impression qu'on ne peut plus compter les heures.
Boeuf, Porc, Poulet ! HUM !
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la pause gourmande est nécessaire. si le cuisinier ramène une mousse au chocolat à notre goûter improvisé, j'opte pour des boissons chaudes. sans une once d'hésitation, je me dirige derrière le comptoir pour préparer nos cafés. ne sachant pas les préférences de wooyoung par coeur, je lui demande s'il souhaite que je sucre sa préparation. ce petit coquin semble avoir besoin d'une dose supplémentaire du sucre, comme si le chocolat ne serait pas suffisant pour satisfaire ses papilles de fin gourmet. de mon côté, je prends juste l'autre moitié, adorant l'amertume du café. après tout, c'est l'essence même de ce dernier. je voudrais bien lui faire honneur comme il se doit. au bout de quelques instants, je reviens les mains chargées et pose les tasses sur la table. de bonne humeur, je trouve bon de faire une remarque sur cette tâche que je viens d'accomplir. c'est plutôt la patronne qui devrait se faire servir, et non l'inverse. je devrais peut-être préparer un licenciement si seulement j'étais sincère. de toute façon, j'ai toujours cette sensation que le nyam nyam appartient un petit peu aussi au jeune homme. il s'était donné du mal à m'expliquer tout le processus pour créer sa petite affaire. nous avons tous les deux trouvé un certain avantage à suivre les idées de l'autre. nos tâches demeurent différentes mais notre collaboration est vitale pour le bien-être du restaurant, et donc, des clients indirectement. jugeant wooyoung du regard, je hausse les épaules et finis par répondre: " du nyam nyam ? ce n'est pas trop compliqué. t'es bien le seul cuisinier ici. " certes, il a quelques commis mais niveau chef cuistot, c'est bien le seul et l'unique. " tu ne devrais pas te sous-estimer comme ça. " puis, un sourire malicieux prend possession de mes lèvres. " quand tu fais des apparitions dans la salle, en fin de service, tu ne les entends pas toutes glousser ? " je fais mine d'avoir une frisson d'horreur avant de boire une gorgée de ma boisson chaude. " oui, je vais bien. je suis la plus belle des patronnes de séoul. tu sais ce que c'est non ? être beau rend la vie facile. " reprenant mon sérieux, je me demande comment je fais pour avoir de telles responsabilités... ou non. je sais quand je peux m'amuser ou quand je ne le peux pas. " peut-être un peu stressée mais je sais que tout se passera bien. en fait, je serais plus excitée que stressée, je dirais. " j'attrape une cuillère et demande, silencieusement, l'accord du cuisinier pour attaquer. " et toi ? " qu'il évite trop de se plaindre quand même... " tu n'es pas trop fatigué ? tu as beaucoup travaillé ces derniers temps, peut-être plus que d'habitude. " au bout d'un moment, j'ai l'impression qu'on ne peut plus compter les heures. Invité
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Re: Boeuf, Porc, Poulet ! HUM ! (pv) | Ven 30 Nov - 16:38
la réflexion de eunhye te fait sourire. c’est vrai que tu es le seul cuisinier au nyam nyam parce qu’il n’y a pas besoin d’un autre chef. tu te débrouilles parfaitement seul même si tu as quelques commis sous tes ordres. le soucis, c’est que la plupart du temps, ils se plaignent parce que tu es quelqu’un d’assez strict. tu n’aimes pas le désordre dans ta cuisine, pas plus que tu n’aimes quand ils ne suivent pas tes ordres. la cuisine, c’est ce que tu as de plus cher dans la vie et il était hors de question que tu prennes tout à la légère. alors, tu n’aimais pas quand quelqu’un le faisait. c’est pour cette raison que bien souvent, tu n’arrivais pas à déléguer le travail aux autres, parce que tu étais trop perfectionniste et que tu repassais toujours derrière eux. du coup, tu travaillais bien mieux quand tu étais tout seul. « il y a bien meilleur que moi tu sais. c’était qu’une passion au début. j’en ai fait mon métier parce que je ne voulais pas continuer mes études de politique. » ça avait été la meilleure décision de ta vie d’arrêter tes études de politique pour te lancer dans la cuisine. au moins, maintenant, tu t’épanouissais. tu souris à la jeune femme quand elle reprend la parole. « elles gloussent parce qu’elles veulent que je leur porte de l’intérêt, mais cet intérêt fane dès que je dis que je suis marié tu sais. » les femmes qui venaient au nyam nyam le faisaient parfois parce qu’elles voulaient te voir mais dès que tu parlais de ta femme, elles changeaient de comportement, parfois devant même très froide. tu t’en foutais parce que tu ne comptais pas te faire une cliente, mais c’était chiant qu’elles ne soient là que pour ton physique et pas parce que ta cuisine leur plaisait. tu changes de sujet pour parler de eunhye et tu souris un peu plus à ses mots. c’est vrai qu’elle était belle et objectivement, elle te plaisait. sauf que tu n’oserais jamais rien avec la jeune femme parce que tu ne mélangeais pas le travail et le privé, règle d’or. « oui tout se passera bien et les gens reviendront. » tu étais sûr de toi parce que tu savais que ça allait plaire vos idées. il fallait que ça plaise pour que les gens reviennent et recommandent le restaurant à leurs amis. tu pousses la mousse devant elle pour qu’elle se serve et tu lâcher un soupir. « j’avoue que je fais des horaires de fou. mais c’est ma patronne elle m’exploite parce qu’elle peut pas se passer de moi. » tu ris légèrement. c’était faux, c’était toi qui te tuait à la tâche parce que tu ne voulais pas rentrer chez toi et que tu ne voulais pas laisser quelqu’un d’autre faire à manger à ta place. « non honnêtement, ça va. je suis fatigué oui, mais c’est supportable. » tu ne ferais pas de burn out de si tôt, elle pouvait être rassurée. « j’ai juste hâte que les fêtes passent. je ne suis pas spécialement fan de ça. » parce que ça voulait dire retrouver sa famille et prendre des réflexions parce que bora et toi étiez encore sans enfant, mais surtout faire semblant que tout allait pour le mieux dans votre couple.
Boeuf, Porc, Poulet ! HUM !
Feat le cuisinier tout nu sous son tablier
la réflexion de eunhye te fait sourire. c’est vrai que tu es le seul cuisinier au nyam nyam parce qu’il n’y a pas besoin d’un autre chef. tu te débrouilles parfaitement seul même si tu as quelques commis sous tes ordres. le soucis, c’est que la plupart du temps, ils se plaignent parce que tu es quelqu’un d’assez strict. tu n’aimes pas le désordre dans ta cuisine, pas plus que tu n’aimes quand ils ne suivent pas tes ordres. la cuisine, c’est ce que tu as de plus cher dans la vie et il était hors de question que tu prennes tout à la légère. alors, tu n’aimais pas quand quelqu’un le faisait. c’est pour cette raison que bien souvent, tu n’arrivais pas à déléguer le travail aux autres, parce que tu étais trop perfectionniste et que tu repassais toujours derrière eux. du coup, tu travaillais bien mieux quand tu étais tout seul. « il y a bien meilleur que moi tu sais. c’était qu’une passion au début. j’en ai fait mon métier parce que je ne voulais pas continuer mes études de politique. » ça avait été la meilleure décision de ta vie d’arrêter tes études de politique pour te lancer dans la cuisine. au moins, maintenant, tu t’épanouissais. tu souris à la jeune femme quand elle reprend la parole. « elles gloussent parce qu’elles veulent que je leur porte de l’intérêt, mais cet intérêt fane dès que je dis que je suis marié tu sais. » les femmes qui venaient au nyam nyam le faisaient parfois parce qu’elles voulaient te voir mais dès que tu parlais de ta femme, elles changeaient de comportement, parfois devant même très froide. tu t’en foutais parce que tu ne comptais pas te faire une cliente, mais c’était chiant qu’elles ne soient là que pour ton physique et pas parce que ta cuisine leur plaisait. tu changes de sujet pour parler de eunhye et tu souris un peu plus à ses mots. c’est vrai qu’elle était belle et objectivement, elle te plaisait. sauf que tu n’oserais jamais rien avec la jeune femme parce que tu ne mélangeais pas le travail et le privé, règle d’or. « oui tout se passera bien et les gens reviendront. » tu étais sûr de toi parce que tu savais que ça allait plaire vos idées. il fallait que ça plaise pour que les gens reviennent et recommandent le restaurant à leurs amis. tu pousses la mousse devant elle pour qu’elle se serve et tu lâcher un soupir. « j’avoue que je fais des horaires de fou. mais c’est ma patronne elle m’exploite parce qu’elle peut pas se passer de moi. » tu ris légèrement. c’était faux, c’était toi qui te tuait à la tâche parce que tu ne voulais pas rentrer chez toi et que tu ne voulais pas laisser quelqu’un d’autre faire à manger à ta place. « non honnêtement, ça va. je suis fatigué oui, mais c’est supportable. » tu ne ferais pas de burn out de si tôt, elle pouvait être rassurée. « j’ai juste hâte que les fêtes passent. je ne suis pas spécialement fan de ça. » parce que ça voulait dire retrouver sa famille et prendre des réflexions parce que bora et toi étiez encore sans enfant, mais surtout faire semblant que tout allait pour le mieux dans votre couple.Invité
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Re: Boeuf, Porc, Poulet ! HUM ! (pv) | Dim 16 Déc - 1:08
un fin sourire sur les lèvres, je ne réagis pas au commentaire du cuisinier. je voudrais bien vanter ses mérites mais mon petit wooyoung n'est pas encore chef étoilé. pour l'instant, mon restaurant n'est peut-être pas suffisant pour exploiter son potentiel talent. qui sait ? peut-être que nous serons en mesure d'évoluer tous les deux, main dans la main, dans notre domaine de prédilection. ah, ce type de discours de ma part a tendance à me surprendre. j'ai toujours eu beaucoup d'aspirations mais je ne pensais pas avoir autant d'ambition. je suppose que cela vient avec le temps, avec notre besoin de grandir, et puis, je ne sais quoi. " est-ce que ça fait partie de tes rêves ? d'être connu comme étant l'un des meilleurs ? " avant de penser de cette façon, je devrais en parler avec le principal intéressé. est-ce que toute cette dose de travail et d'ambition ne risquent pas de le surcharger et de réduire sa passion peu à peu ? je suppose qu'il faut trouver un équilibre. c'est si rare de travailler dans ce que l'on aime, il ne faudrait pas détruire cette chance par une question de fierté ou autre. " oh ! mais tu pourrais dissimuler cette partie quand même... après, elles vont plus revenir. " plaisantai-je. les jeunes demoiselles en chaleur, c'est toujours un cas particulier. puis, les coréennes sont connues pour être obsessionnelles. je ne voudrais pas que mon pauvre employé se fasse harceler. un homme qui cuisine, c'est quand même un souhait dans la liste des demoiselles à la recherche du prince charmant. retenant un rire à cette pensée, je m'envoie sans tarder des roses, me jouant des boutades de wooyoung, à mon tour. " oh la vilaine... elle devrait penser à ouvrir un cahier de doléances. " cette fois-ci, c'est un sourire sournois qui s'empare de mes lèvres. " vraiment ? pourquoi ? c'est plutôt festif, les lumières brillent. je trouve ça plutôt chaleureux. " malheureusement, tout le monde ne pense pas pareil. " as-tu déjà fêté la fin d'année comme il se doit ? " je secoue la tête et prends une nouvelle bouchée de mousse au chocolat. " j'aimerais bien que mes parents puissent venir à séoul, pour découvrir le nyam nyam. ils ne sont toujours pas venus et je trouve ça dommage. " je souffle, un brin nostalgique avant d'ajouter: " je leur ai parlé de toi. ils m'ont dit que si j'avais perdu du poids, c'était parce que tu me nourrissais pas assez. " oh bien sûr, je plaisante une nouvelle fois. " je plaisante. ils disent surtout que c'est du à la capitale et qu'on mange forcément moins bien à séoul. nous sommes trop occupés par l'apparence qu'on projette aux autres. t'sais, ça va finir par me vexer. " non pas que je veux débattre d'un potentiel régime avec wooyoung, disons que c'est ma façon à moi de penser à mes parents de si loin, et des moqueries qu'on tenait à l'encontre des séoulites.
Boeuf, Porc, Poulet ! HUM !
Feat le cuisinier tout nu sous son tablier
un fin sourire sur les lèvres, je ne réagis pas au commentaire du cuisinier. je voudrais bien vanter ses mérites mais mon petit wooyoung n'est pas encore chef étoilé. pour l'instant, mon restaurant n'est peut-être pas suffisant pour exploiter son potentiel talent. qui sait ? peut-être que nous serons en mesure d'évoluer tous les deux, main dans la main, dans notre domaine de prédilection. ah, ce type de discours de ma part a tendance à me surprendre. j'ai toujours eu beaucoup d'aspirations mais je ne pensais pas avoir autant d'ambition. je suppose que cela vient avec le temps, avec notre besoin de grandir, et puis, je ne sais quoi. " est-ce que ça fait partie de tes rêves ? d'être connu comme étant l'un des meilleurs ? " avant de penser de cette façon, je devrais en parler avec le principal intéressé. est-ce que toute cette dose de travail et d'ambition ne risquent pas de le surcharger et de réduire sa passion peu à peu ? je suppose qu'il faut trouver un équilibre. c'est si rare de travailler dans ce que l'on aime, il ne faudrait pas détruire cette chance par une question de fierté ou autre. " oh ! mais tu pourrais dissimuler cette partie quand même... après, elles vont plus revenir. " plaisantai-je. les jeunes demoiselles en chaleur, c'est toujours un cas particulier. puis, les coréennes sont connues pour être obsessionnelles. je ne voudrais pas que mon pauvre employé se fasse harceler. un homme qui cuisine, c'est quand même un souhait dans la liste des demoiselles à la recherche du prince charmant. retenant un rire à cette pensée, je m'envoie sans tarder des roses, me jouant des boutades de wooyoung, à mon tour. " oh la vilaine... elle devrait penser à ouvrir un cahier de doléances. " cette fois-ci, c'est un sourire sournois qui s'empare de mes lèvres. " vraiment ? pourquoi ? c'est plutôt festif, les lumières brillent. je trouve ça plutôt chaleureux. " malheureusement, tout le monde ne pense pas pareil. " as-tu déjà fêté la fin d'année comme il se doit ? " je secoue la tête et prends une nouvelle bouchée de mousse au chocolat. " j'aimerais bien que mes parents puissent venir à séoul, pour découvrir le nyam nyam. ils ne sont toujours pas venus et je trouve ça dommage. " je souffle, un brin nostalgique avant d'ajouter: " je leur ai parlé de toi. ils m'ont dit que si j'avais perdu du poids, c'était parce que tu me nourrissais pas assez. " oh bien sûr, je plaisante une nouvelle fois. " je plaisante. ils disent surtout que c'est du à la capitale et qu'on mange forcément moins bien à séoul. nous sommes trop occupés par l'apparence qu'on projette aux autres. t'sais, ça va finir par me vexer. " non pas que je veux débattre d'un potentiel régime avec wooyoung, disons que c'est ma façon à moi de penser à mes parents de si loin, et des moqueries qu'on tenait à l'encontre des séoulites. Invité
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Re: Boeuf, Porc, Poulet ! HUM ! (pv) | Dim 10 Fév - 10:40
« non je n’ai pas la prétention de vouloir être le meilleur. je disais ça pour rire. » et c’était vrai, tu ne voulais pas être le meilleur. tu faisais simplement ça parce que tu aimais la cuisine et simplement pour ça. tu ne voulais pas viser le top parce que ça ne t’intéressait pas. c’était l’amour de la cuisine qui te faisait continuer. eunhye reprend la parole et tu glisses un sourire moqueur sur tes lèvres. « jamais. si elles viennent que parce que le cuisinier est canon, elles ne méritent pas ma cuisine. » tu les connaissais ce genre de minettes. elles voulaient que tu les remarques, que tu leurs portes de l’attention. sauf que quand tu travaillais, tu avais autre chose à faire que tout ça. tu n’avais pas le temps de t’arrêter à chaque cliente qui venait simplement pour voir le chef. si ça n’avait pas été la cuisine, peut-être que tu aurais pu flirter avec elles et être un peu plus courtois si ce n’était pas pendant tes heures de service. la cuisine c’était sacré alors, tu ne dérogeais à cette règle pour rien au monde. tu étais trop carré dans ton métier pour le faire. mais une fois que c’était fini et que tu étais libre de toute cuisine, tu pouvais devenir le wooyoung qui était en face de eunhye. tu ris moqueur quand elle parle du cahier de doléances. « je serai le premier à écrire dedans. » que tu la taquines avant de mentionner le fait que tu n’aimes pas les fêtes de fin d’années. c’était surtout un bon ramassis d’hypocrisie parce qu’une fois dans l’année, surtout pour noël, tout le monde se retrouvait et faisait comme si tout allait bien dans le meilleur des mondes. sauf que ce n’était pas le cas. chacun avait ses problèmes et on devait les cacher parce que ce n’était pas « bien vu » de déballer ses problèmes. « bien sûr que j’ai déjà fêté ça comme il faut. c’est juste que je suis pas fan de l’atmosphère et que je trouve qu’au fil des ans c’est devenu de plus en plus hypocrite quand on se retrouve en famille. » la tienne notamment parce que tu devais faire semblant que tout allait bien avec bora alors que ce n’était absolument pas le cas. eunhye continue de parler et tu vois bien la tristesse qui s’empare peu à peu de ses traits. c’est vrai que c’est compliqué quand les parents ne sont pas là pour aider les enfants ou voir leur réussite. elle finit de parler et tu hoches la tête à ses mots. c’est vrai qu’ici tout était une question d’apparence. « personnellement, je trouve pas que tu aies besoin de perdre du poids. » tu ne flirtais pas avec elle, tu énonçais juste des faits. « si tu te sens bien dans ton corps, bah qu’il reste comme il est. » wooyoung, psy du dimanche. tu souris à la jeune femme avant de plonger ta cuillère dans la mousse au chocolat et d’en prendre une bonne part. tu la fourres dans ta bouche et tu l’avales avant de reprendre la parole. « et c’est dommage pour tes parents. c’est parce qu’ils sont trop vieux pour voyager ou c’est financier ? » elle n’est pas obligée de te répondre. mais tu dois avouer que tu es légèrement curieux.
Boeuf, Porc, Poulet ! HUM !
Feat le cuisinier tout nu sous son tablier
« non je n’ai pas la prétention de vouloir être le meilleur. je disais ça pour rire. » et c’était vrai, tu ne voulais pas être le meilleur. tu faisais simplement ça parce que tu aimais la cuisine et simplement pour ça. tu ne voulais pas viser le top parce que ça ne t’intéressait pas. c’était l’amour de la cuisine qui te faisait continuer. eunhye reprend la parole et tu glisses un sourire moqueur sur tes lèvres. « jamais. si elles viennent que parce que le cuisinier est canon, elles ne méritent pas ma cuisine. » tu les connaissais ce genre de minettes. elles voulaient que tu les remarques, que tu leurs portes de l’attention. sauf que quand tu travaillais, tu avais autre chose à faire que tout ça. tu n’avais pas le temps de t’arrêter à chaque cliente qui venait simplement pour voir le chef. si ça n’avait pas été la cuisine, peut-être que tu aurais pu flirter avec elles et être un peu plus courtois si ce n’était pas pendant tes heures de service. la cuisine c’était sacré alors, tu ne dérogeais à cette règle pour rien au monde. tu étais trop carré dans ton métier pour le faire. mais une fois que c’était fini et que tu étais libre de toute cuisine, tu pouvais devenir le wooyoung qui était en face de eunhye. tu ris moqueur quand elle parle du cahier de doléances. « je serai le premier à écrire dedans. » que tu la taquines avant de mentionner le fait que tu n’aimes pas les fêtes de fin d’années. c’était surtout un bon ramassis d’hypocrisie parce qu’une fois dans l’année, surtout pour noël, tout le monde se retrouvait et faisait comme si tout allait bien dans le meilleur des mondes. sauf que ce n’était pas le cas. chacun avait ses problèmes et on devait les cacher parce que ce n’était pas « bien vu » de déballer ses problèmes. « bien sûr que j’ai déjà fêté ça comme il faut. c’est juste que je suis pas fan de l’atmosphère et que je trouve qu’au fil des ans c’est devenu de plus en plus hypocrite quand on se retrouve en famille. » la tienne notamment parce que tu devais faire semblant que tout allait bien avec bora alors que ce n’était absolument pas le cas. eunhye continue de parler et tu vois bien la tristesse qui s’empare peu à peu de ses traits. c’est vrai que c’est compliqué quand les parents ne sont pas là pour aider les enfants ou voir leur réussite. elle finit de parler et tu hoches la tête à ses mots. c’est vrai qu’ici tout était une question d’apparence. « personnellement, je trouve pas que tu aies besoin de perdre du poids. » tu ne flirtais pas avec elle, tu énonçais juste des faits. « si tu te sens bien dans ton corps, bah qu’il reste comme il est. » wooyoung, psy du dimanche. tu souris à la jeune femme avant de plonger ta cuillère dans la mousse au chocolat et d’en prendre une bonne part. tu la fourres dans ta bouche et tu l’avales avant de reprendre la parole. « et c’est dommage pour tes parents. c’est parce qu’ils sont trop vieux pour voyager ou c’est financier ? » elle n’est pas obligée de te répondre. mais tu dois avouer que tu es légèrement curieux.Contenu sponsorisé
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