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1, 2, 3 Love the way you are #Juniel
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Re: Love the way you are #Juniel | Jeu 18 Jan 2018 - 23:43
C’était difficile de prononcer ces mots, de s’offrir à lui. D’offrir son sale caractère et son cœur en miette. Ezechiel serrait ses mains comme pour se raccrocher, pour s’assurer qu’il n’allait pas disparaître et l’abandonner. Comme sa mère. Comme Sean. Il fermait les yeux en sentant ses lèvres contre les siennes et ne les lâchait plus, laissant échapper tout ce qu’il ressentait depuis qu’il l’avait rencontré. C’était difficile et douloureux et pourtant, il avait l’impression qu’avec Jun, il pourrait peut-être réussir à se relever. Il sentait son cœur manquer un battement en le voyant presque s’écrouler et se baissait immédiatement, posant sa main sur son épaule. Il y avait toujours du sang et sa vision le faisait presque vaciller. Il le faisait bien pencher la tête en avant et récupérait une serviette pour la lui donner. Il n’était pas doué avec ce genre de chose. Parce qu’il revoyait sans arrêt le corps sans vie de sa mère. « Jun. Qu’est ce qui se passe ? » Il commençait sérieusement à s’inquiéter. « Faut que j’appelle les secours ? » Il ne savait pas quoi faire et se sentait complètement démunie et impuissant. Il le connaissait à peine, mais il ne pouvait pas le perdre. Pas lui. Il glissait une main dans ses cheveux, doucement, tendrement. « Qu’est-ce que tu me caches ? » Il avait le droit d’avoir des secrets. Ezechiel avait bien les siens.
LOVE THE WAY YOU ARE
feat Jun bébé
- Tu fais quoi quand la personne que tu aimes te déçois ?
- Il faut arriver à ne plus l’aimer.
- Et c’est possible tu crois ?
- Non.
- Il faut arriver à ne plus l’aimer.
- Et c’est possible tu crois ?
- Non.
C’était difficile de prononcer ces mots, de s’offrir à lui. D’offrir son sale caractère et son cœur en miette. Ezechiel serrait ses mains comme pour se raccrocher, pour s’assurer qu’il n’allait pas disparaître et l’abandonner. Comme sa mère. Comme Sean. Il fermait les yeux en sentant ses lèvres contre les siennes et ne les lâchait plus, laissant échapper tout ce qu’il ressentait depuis qu’il l’avait rencontré. C’était difficile et douloureux et pourtant, il avait l’impression qu’avec Jun, il pourrait peut-être réussir à se relever. Il sentait son cœur manquer un battement en le voyant presque s’écrouler et se baissait immédiatement, posant sa main sur son épaule. Il y avait toujours du sang et sa vision le faisait presque vaciller. Il le faisait bien pencher la tête en avant et récupérait une serviette pour la lui donner. Il n’était pas doué avec ce genre de chose. Parce qu’il revoyait sans arrêt le corps sans vie de sa mère. « Jun. Qu’est ce qui se passe ? » Il commençait sérieusement à s’inquiéter. « Faut que j’appelle les secours ? » Il ne savait pas quoi faire et se sentait complètement démunie et impuissant. Il le connaissait à peine, mais il ne pouvait pas le perdre. Pas lui. Il glissait une main dans ses cheveux, doucement, tendrement. « Qu’est-ce que tu me caches ? » Il avait le droit d’avoir des secrets. Ezechiel avait bien les siens.(c) DΛNDELION
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Re: Love the way you are #Juniel | Ven 19 Jan 2018 - 10:44
« Jun. Qu’est ce qui se passe ? » Je n’arrive pas parler sur le coup avant de déglutir lourdement. « Faut que j’appelle les secours ? » Sa caresse me fait fermer les yeux et je tremble un peu en sentant que cette fois, la crise sera dure à contenir seul. « Qu’est-ce que tu me caches ? » Je le regarde alors dans les yeux et prends sa main pour la poser à l’endroit de ma tumeur, là où on peut sentir les cicatrices. « Appelle une… ambulance. » Je sais que je l’inquiète et ça me tue un peu plus. « J’ai une tumeur dans ma tête… » Déglutissant, je me penche en avant lorsque le saignement reprend de plus belle avant de lui montrer mon sac à dos d’une main pour qu’il puisse me le donner. Le temps qu’il appelle les urgences, je fouille et prends une seringue pour m’injecter un coagulant dans la cuisse et essayer de stopper l’hémorragie. C’est arrivé peu de fois à ce point-là. Pourquoi est-ce qu’il fallait que ça arrive devant lui ?
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- Il faut arriver à ne plus l’aimer.
- Et c’est possible tu crois ?
- Non.
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- Et c’est possible tu crois ?
- Non.
« Jun. Qu’est ce qui se passe ? » Je n’arrive pas parler sur le coup avant de déglutir lourdement. « Faut que j’appelle les secours ? » Sa caresse me fait fermer les yeux et je tremble un peu en sentant que cette fois, la crise sera dure à contenir seul. « Qu’est-ce que tu me caches ? » Je le regarde alors dans les yeux et prends sa main pour la poser à l’endroit de ma tumeur, là où on peut sentir les cicatrices. « Appelle une… ambulance. » Je sais que je l’inquiète et ça me tue un peu plus. « J’ai une tumeur dans ma tête… » Déglutissant, je me penche en avant lorsque le saignement reprend de plus belle avant de lui montrer mon sac à dos d’une main pour qu’il puisse me le donner. Le temps qu’il appelle les urgences, je fouille et prends une seringue pour m’injecter un coagulant dans la cuisse et essayer de stopper l’hémorragie. C’est arrivé peu de fois à ce point-là. Pourquoi est-ce qu’il fallait que ça arrive devant lui ? (c) DΛNDELION
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Re: Love the way you are #Juniel | Ven 19 Jan 2018 - 11:04
Jun ne répondait pas et Ezechiel commençait à sérieusement paniquer. Le sang ne s’arrêtait de couler cette fois et il avait de plus en plus de mal à y faire face. Les psys avaient dit que ça finirait par passer. Ils avaient eu tort. Il se levait immédiatement pour récupérer son téléphone. Il essayait de garder son calme mais sa voix tremblait alors qu’il essayait d’expliquer ce qui était en train de passer. Une tumeur ? Tous ceux qu’il aimait finissaient par partir ou par mourir. Il prenait son sac à dos qu’il lui tendait, avant de raccrocher et de le regarder faire. Il respirait un grand coup pour contenir son stress et s’asseyait à côté de lui, sa main retrouvant sa place dans ses cheveux. « Ça va aller. » Il n’en savait rien, mais il avait envie d’y croire, d’essayer de le rassurer comme il le pouvait. Il détournait simplement le regard pour ne plus voir tout ce sang. C’était comme un tsunami en pleine gueule à chaque fois que ses souvenirs revenaient en force. Il avait essayé de les enfouir au plus profond de lui, mais il n’avait jamais réussi à creuser assez profond. Les clients allaient sûrement paniquer en voyant débarqué les ambulanciers. « Tu veux que je vienne avec toi ? » Il n’avait pas envie de le laisser dans cet état.
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- Et c’est possible tu crois ?
- Non.
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- Non.
Jun ne répondait pas et Ezechiel commençait à sérieusement paniquer. Le sang ne s’arrêtait de couler cette fois et il avait de plus en plus de mal à y faire face. Les psys avaient dit que ça finirait par passer. Ils avaient eu tort. Il se levait immédiatement pour récupérer son téléphone. Il essayait de garder son calme mais sa voix tremblait alors qu’il essayait d’expliquer ce qui était en train de passer. Une tumeur ? Tous ceux qu’il aimait finissaient par partir ou par mourir. Il prenait son sac à dos qu’il lui tendait, avant de raccrocher et de le regarder faire. Il respirait un grand coup pour contenir son stress et s’asseyait à côté de lui, sa main retrouvant sa place dans ses cheveux. « Ça va aller. » Il n’en savait rien, mais il avait envie d’y croire, d’essayer de le rassurer comme il le pouvait. Il détournait simplement le regard pour ne plus voir tout ce sang. C’était comme un tsunami en pleine gueule à chaque fois que ses souvenirs revenaient en force. Il avait essayé de les enfouir au plus profond de lui, mais il n’avait jamais réussi à creuser assez profond. Les clients allaient sûrement paniquer en voyant débarqué les ambulanciers. « Tu veux que je vienne avec toi ? » Il n’avait pas envie de le laisser dans cet état.(c) DΛNDELION
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Re: Love the way you are #Juniel | Ven 19 Jan 2018 - 18:02
« Ça va aller. » « Mianhae… » Doucement, je me pose contre lui en sentant la piqure commencer à faire effet, mais une lourde fatigue me prenant malgré tout. Je suis fatigué de lutter contre ce truc par moment. Alors, oui, je fais tout pour vivre comme si demain ne venait pas et les dernières disputes avec Ez m’avait atteintes plus que je ne l’aurai pensé… Déglutissant lourdement, je ferme un peu les yeux en restant contre lui. « Tu veux que je vienne avec toi ? » « J’aimerai… Mais il n’y aurait personne au bar… Faut rester pro… J’irai bien. Je te promets. » Lorsque j’entends l’ambulance, je lui dis d’aller les chercher avant de me faire emmener rapidement. Un scanner, plusieurs perfusions. Ils ont sorti mon neurologue de son lit pour qu’il vienne me voir et donne son aval. Du repos. Du repos. Pas de travail durant une semaine. Il faut faire attention. Il ne faudrait pas que la tumeur se remette à saigner. Je sais. Je sais. Il est cinq heures du matin lorsque j’insiste pour sortir de l’hôpital et appelle un taxi afin qu’il me conduise au bar. Je suis fatigué et lorsque je pousse la porte, il est en train de mettre les derniers clients dehors. Dans un sourire, je pose mon doigt sur ma bouche afin de lui faire signe de se taire, de ne pas tout plaquer pour moi. Il doit fermer, puis on aura du temps. Je me diriger vers le vestiaire et change mes vêtements rapidement avant de tout nettoyer au sol en voyant qu’une serviette cachait l’horreur. Lorsque j’entends la grande porte se verrouiller, mon cœur s’emballe et je me tourne vers celles des vestiaires afin de le regarder longuement.
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- Non.
« Ça va aller. » « Mianhae… » Doucement, je me pose contre lui en sentant la piqure commencer à faire effet, mais une lourde fatigue me prenant malgré tout. Je suis fatigué de lutter contre ce truc par moment. Alors, oui, je fais tout pour vivre comme si demain ne venait pas et les dernières disputes avec Ez m’avait atteintes plus que je ne l’aurai pensé… Déglutissant lourdement, je ferme un peu les yeux en restant contre lui. « Tu veux que je vienne avec toi ? » « J’aimerai… Mais il n’y aurait personne au bar… Faut rester pro… J’irai bien. Je te promets. » Lorsque j’entends l’ambulance, je lui dis d’aller les chercher avant de me faire emmener rapidement. Un scanner, plusieurs perfusions. Ils ont sorti mon neurologue de son lit pour qu’il vienne me voir et donne son aval. Du repos. Du repos. Pas de travail durant une semaine. Il faut faire attention. Il ne faudrait pas que la tumeur se remette à saigner. Je sais. Je sais. Il est cinq heures du matin lorsque j’insiste pour sortir de l’hôpital et appelle un taxi afin qu’il me conduise au bar. Je suis fatigué et lorsque je pousse la porte, il est en train de mettre les derniers clients dehors. Dans un sourire, je pose mon doigt sur ma bouche afin de lui faire signe de se taire, de ne pas tout plaquer pour moi. Il doit fermer, puis on aura du temps. Je me diriger vers le vestiaire et change mes vêtements rapidement avant de tout nettoyer au sol en voyant qu’une serviette cachait l’horreur. Lorsque j’entends la grande porte se verrouiller, mon cœur s’emballe et je me tourne vers celles des vestiaires afin de le regarder longuement. (c) DΛNDELION
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Re: Love the way you are #Juniel | Ven 19 Jan 2018 - 20:50
Il n’avait pas envie de rester ici à se demander si Jun allait bien, mais il n’avait pas le choix. Son boulot était important, même s’il l’était moins que ce garçon. Il ne voulait pas l’étouffer, et lui transmettre sa peur. Ezechiel allait chercher les ambulanciers le plus discrètement possible mais il sentait les regards indiscrets se poser sur lui. Il avait envie d’exploser, de tabasser quelqu’un, mais il ne pouvait pas. Il le regardait sortir, sans rien dire. Aucun mot ne pouvait sortir de sa gorge nouée. La nuit avait été interminable, il avait cassé un verre, s’était trompé dans quelques commandes et il n’avait pas réussi à sourire même aux plus jolies clientes qui lui faisaient pourtant du rentre dedans ouvertement. Il n’arrivait plus à réfléchir. Une tumeur au cerveau hein ? Une bombe à retardement. Il avait perdu sa mère et la cicatrice était toujours à vif, il ne pouvait pas perdre un garçon pour qui il commençait à ressentir quelque chose. Quelque chose de fort. Beaucoup trop. Des sentiments qu’il n’assumait pas. Il se préparait déjà à aller le retrouver et il essayait de faire sortir les derniers clients plus rapidement que d’habitude. Il ne supportait pas l’idée de le savoir seul là-bas. A l’hôpital. Un endroit où lui aussi avait passé beaucoup de temps, mais pour des raisons différentes. Il sentait ses mains trembler alors qu’il raccompagnait un homme qui avait du mal à tenir debout. Ezechiel se figeait en remarquant sa présence, il avait frissonné jusqu’à l’échine immédiatement. Pourquoi est-ce qu’il était sorti ? Il n’aurait pas dû revenir. Il avait envie de tout lâcher, de le prendre dans ses bras. D’un autre côté, il avait envie de lui hurler dessus et de ne plus jamais le revoir. Une fois le bar vide, il refermait la porte à clé pour se rendre dans les vestiaires et s’approchait de Jun. Il n’osait pas le toucher, de peur de le briser ou bien de lui faire mal. « Pourquoi t’es là ? Tu devrais être en train de te reposer. » Son ton était distant et pourtant son cœur était sur le point d’exploser. « Rentre s’il te plaît. Je vais nettoyer. » Ce serait difficile, mais il l’avait fait. Dans ce salon. Alors qu’il n’était encore qu’un gamin.
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- Et c’est possible tu crois ?
- Non.
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- Et c’est possible tu crois ?
- Non.
Il n’avait pas envie de rester ici à se demander si Jun allait bien, mais il n’avait pas le choix. Son boulot était important, même s’il l’était moins que ce garçon. Il ne voulait pas l’étouffer, et lui transmettre sa peur. Ezechiel allait chercher les ambulanciers le plus discrètement possible mais il sentait les regards indiscrets se poser sur lui. Il avait envie d’exploser, de tabasser quelqu’un, mais il ne pouvait pas. Il le regardait sortir, sans rien dire. Aucun mot ne pouvait sortir de sa gorge nouée. La nuit avait été interminable, il avait cassé un verre, s’était trompé dans quelques commandes et il n’avait pas réussi à sourire même aux plus jolies clientes qui lui faisaient pourtant du rentre dedans ouvertement. Il n’arrivait plus à réfléchir. Une tumeur au cerveau hein ? Une bombe à retardement. Il avait perdu sa mère et la cicatrice était toujours à vif, il ne pouvait pas perdre un garçon pour qui il commençait à ressentir quelque chose. Quelque chose de fort. Beaucoup trop. Des sentiments qu’il n’assumait pas. Il se préparait déjà à aller le retrouver et il essayait de faire sortir les derniers clients plus rapidement que d’habitude. Il ne supportait pas l’idée de le savoir seul là-bas. A l’hôpital. Un endroit où lui aussi avait passé beaucoup de temps, mais pour des raisons différentes. Il sentait ses mains trembler alors qu’il raccompagnait un homme qui avait du mal à tenir debout. Ezechiel se figeait en remarquant sa présence, il avait frissonné jusqu’à l’échine immédiatement. Pourquoi est-ce qu’il était sorti ? Il n’aurait pas dû revenir. Il avait envie de tout lâcher, de le prendre dans ses bras. D’un autre côté, il avait envie de lui hurler dessus et de ne plus jamais le revoir. Une fois le bar vide, il refermait la porte à clé pour se rendre dans les vestiaires et s’approchait de Jun. Il n’osait pas le toucher, de peur de le briser ou bien de lui faire mal. « Pourquoi t’es là ? Tu devrais être en train de te reposer. » Son ton était distant et pourtant son cœur était sur le point d’exploser. « Rentre s’il te plaît. Je vais nettoyer. » Ce serait difficile, mais il l’avait fait. Dans ce salon. Alors qu’il n’était encore qu’un gamin. (c) DΛNDELION
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Re: Love the way you are #Juniel | Lun 22 Jan 2018 - 10:23
« Pourquoi t’es là ? Tu devrais être en train de te reposer. » Il est froid, il est distant, et je me remets accroupi pour continuer de nettoyer le carrelage sans vraiment savoir quoi lui dire sur le coup. C’est compliqué hein Ez. C’est compliqué la vie. « Rentre s’il te plaît. Je vais nettoyer. » « Andwae. » Déglutissant sans oser le regarder, je finis par esquisser un petit sourire. « J’suis malade, pas mourant. » C’est un fait. Et je ne veux pas qu’il m’enveloppe dans un truc de papier-bulle. « Et le médecin m’a donné une semaine de repos. Mais je voulais te voir avant de rentrer chez moi pour que tu arrêtes de t’inquiéter. » Me redressant, je pars prendre de l’eau froide et de quoi nettoyer avant de revenir face à lui. « C’est pas un cancer. C’est juste… une boule, là, qui me mène la vie dure parfois… Mais je ne veux pas que ça m’empêche de vivre. Seulement oui… Je suis une grenade. » Je le fixe, les yeux humides. « Elle va grossir et faire d’autres dégâts. Pour le moment, ils ne peuvent pas la retirer… Elle est pas vraiment accessible. Si elle grossit encore un peu, ils pensent mieux gérer car elle poussera des tissus pour se faire de la place. C’est pour ça… les pertes de mémoires, la fatigue, le nez… » Je soupire. « C’est ma vie… » Finalement, je me remets accroupi et vaporise du produit sur le sol avant de soupirer légèrement. « Tu disais que tu n’étais pas bien pour moi. Mais c’est l’inverse je crois. Je ne suis pas bon pour toi… » Finalement, avec ma manche, je frotte mes yeux pour chasser des larmes.
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- Il faut arriver à ne plus l’aimer.
- Et c’est possible tu crois ?
- Non.
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- Et c’est possible tu crois ?
- Non.
« Pourquoi t’es là ? Tu devrais être en train de te reposer. » Il est froid, il est distant, et je me remets accroupi pour continuer de nettoyer le carrelage sans vraiment savoir quoi lui dire sur le coup. C’est compliqué hein Ez. C’est compliqué la vie. « Rentre s’il te plaît. Je vais nettoyer. » « Andwae. » Déglutissant sans oser le regarder, je finis par esquisser un petit sourire. « J’suis malade, pas mourant. » C’est un fait. Et je ne veux pas qu’il m’enveloppe dans un truc de papier-bulle. « Et le médecin m’a donné une semaine de repos. Mais je voulais te voir avant de rentrer chez moi pour que tu arrêtes de t’inquiéter. » Me redressant, je pars prendre de l’eau froide et de quoi nettoyer avant de revenir face à lui. « C’est pas un cancer. C’est juste… une boule, là, qui me mène la vie dure parfois… Mais je ne veux pas que ça m’empêche de vivre. Seulement oui… Je suis une grenade. » Je le fixe, les yeux humides. « Elle va grossir et faire d’autres dégâts. Pour le moment, ils ne peuvent pas la retirer… Elle est pas vraiment accessible. Si elle grossit encore un peu, ils pensent mieux gérer car elle poussera des tissus pour se faire de la place. C’est pour ça… les pertes de mémoires, la fatigue, le nez… » Je soupire. « C’est ma vie… » Finalement, je me remets accroupi et vaporise du produit sur le sol avant de soupirer légèrement. « Tu disais que tu n’étais pas bien pour moi. Mais c’est l’inverse je crois. Je ne suis pas bon pour toi… » Finalement, avec ma manche, je frotte mes yeux pour chasser des larmes. (c) DΛNDELION
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Re: Love the way you are #Juniel | Lun 22 Jan 2018 - 11:09
Ezechiel n’aimait pas spécialement qu’on lui tienne tête en particulier dans ces cas-là. C‘était pour sa santé qu’il s’inquiétait même si ça ne se voyait pas. Il n’arrivait pas à le toucher pour l’arrêter. Il n’était peut-être pas mourant mais il était malade et s’il avait besoin de repos, il y avait bien une raison. « Une semaine. Donc t’as rien à faire ici. C’est moi qui fait la fermeture, c’est à moi de tout nettoyer. » Il ne voulait pas se débarrasser de lui, mais il lui avait fait vraiment peur et il n’avait aucune envie de revivre ça dans la même journée. Jun devait faire face à tout ça et il se sentait impuissant face à sa détresse. Il disait qu’il vivait avec mais ça ne devait pas être si simple que ça en avait l’air. Il se baissait pour lui faire face attrapant ses poignets pour qu’il arrête. Il reprenait ce qu’il avait dans les mains pour essuyer le sol à sa place. Il n’aimait pas le voir pleurer. « T’es malade, je vois pas en quoi ça fait de toi quelqu’un de mauvais. » Il détournait les yeux pour éviter de voir le sang sur ses doigts. « Moi je suis un sale con et j’ai pas d’excuse. Tu vois la différence ? » Il croisait son regard sentant ses mains trembler. Ce garçon l’avait complètement retourné et il était incapable de le sortir de ses esprits. « Tu veux que je te raccompagne ? » Il se relevait pour se laver les mains, mettant au passage la serviette directement dans la poubelle. Il frottait sa peau sans pouvoir s’arrêter alors qu’elle était pourtant propre.
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feat Jun bébé
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- Il faut arriver à ne plus l’aimer.
- Et c’est possible tu crois ?
- Non.
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- Non.
Ezechiel n’aimait pas spécialement qu’on lui tienne tête en particulier dans ces cas-là. C‘était pour sa santé qu’il s’inquiétait même si ça ne se voyait pas. Il n’arrivait pas à le toucher pour l’arrêter. Il n’était peut-être pas mourant mais il était malade et s’il avait besoin de repos, il y avait bien une raison. « Une semaine. Donc t’as rien à faire ici. C’est moi qui fait la fermeture, c’est à moi de tout nettoyer. » Il ne voulait pas se débarrasser de lui, mais il lui avait fait vraiment peur et il n’avait aucune envie de revivre ça dans la même journée. Jun devait faire face à tout ça et il se sentait impuissant face à sa détresse. Il disait qu’il vivait avec mais ça ne devait pas être si simple que ça en avait l’air. Il se baissait pour lui faire face attrapant ses poignets pour qu’il arrête. Il reprenait ce qu’il avait dans les mains pour essuyer le sol à sa place. Il n’aimait pas le voir pleurer. « T’es malade, je vois pas en quoi ça fait de toi quelqu’un de mauvais. » Il détournait les yeux pour éviter de voir le sang sur ses doigts. « Moi je suis un sale con et j’ai pas d’excuse. Tu vois la différence ? » Il croisait son regard sentant ses mains trembler. Ce garçon l’avait complètement retourné et il était incapable de le sortir de ses esprits. « Tu veux que je te raccompagne ? » Il se relevait pour se laver les mains, mettant au passage la serviette directement dans la poubelle. Il frottait sa peau sans pouvoir s’arrêter alors qu’elle était pourtant propre. (c) DΛNDELION
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Re: Love the way you are #Juniel | Lun 22 Jan 2018 - 11:31
« Une semaine. Donc t’as rien à faire ici. C’est moi qui fait la fermeture, c’est à moi de tout nettoyer. » Je crois que l’on est aussi têtu l’un que l’autre et j’ai vu son malaise face au sang. Déjà trois fois que je le force à vivre ça. Ez, c’est pas juste un écoeurement qu’il a, c’est un truc de plus profond. C’est compliqué et je sens cette chose qui le ronge depuis longtemps et qu’il contient tant bien que mal. Il m’arrête malgré tout et je me lutte pas, le regardant faire intensément. « T’es malade, je vois pas en quoi ça fait de toi quelqu’un de mauvais. Moi je suis un sale con et j’ai pas d’excuse. Tu vois la différence ? » « Ani… » Il se lève et jette la serviette à la poubelle et je le regarde fixement pendant qu’il frotte sa peau comme une personne pleine de tocs… « Tu veux que je te raccompagne ? » J’avance et attrape ses mains pour le tenir fermement et le regarder longuement, les yeux toujours remplis de larmes. « Il s’est passé quoi ? » dis-je en le forçant à se tourner vers moi. « Tu n’es pas un con. Tu es un être détruit… Et je veux comprendre, je veux savoir pourquoi ? ça ne changera rien… Rien… J’ai quand même envie de t’appartenir Ez… si toi tu veux de moi… Si tu le veux… Je t’appartiendrais. Si tu le veux, je serai à toi et juste à toi. Mais je veux savoir, je veux comprendre… pourquoi le sang te renvoie dans des abysses. Pourquoi tu m’as détesté si fort au début. Je veux comprendre. Je veux te comprendre… Toi aussi t'es malade. Du coeur et des émotions... toi aussi t'as besoin de pansements... »
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feat Ez bébé
- Tu fais quoi quand la personne que tu aimes te déçois ?
- Il faut arriver à ne plus l’aimer.
- Et c’est possible tu crois ?
- Non.
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- Et c’est possible tu crois ?
- Non.
« Une semaine. Donc t’as rien à faire ici. C’est moi qui fait la fermeture, c’est à moi de tout nettoyer. » Je crois que l’on est aussi têtu l’un que l’autre et j’ai vu son malaise face au sang. Déjà trois fois que je le force à vivre ça. Ez, c’est pas juste un écoeurement qu’il a, c’est un truc de plus profond. C’est compliqué et je sens cette chose qui le ronge depuis longtemps et qu’il contient tant bien que mal. Il m’arrête malgré tout et je me lutte pas, le regardant faire intensément. « T’es malade, je vois pas en quoi ça fait de toi quelqu’un de mauvais. Moi je suis un sale con et j’ai pas d’excuse. Tu vois la différence ? » « Ani… » Il se lève et jette la serviette à la poubelle et je le regarde fixement pendant qu’il frotte sa peau comme une personne pleine de tocs… « Tu veux que je te raccompagne ? » J’avance et attrape ses mains pour le tenir fermement et le regarder longuement, les yeux toujours remplis de larmes. « Il s’est passé quoi ? » dis-je en le forçant à se tourner vers moi. « Tu n’es pas un con. Tu es un être détruit… Et je veux comprendre, je veux savoir pourquoi ? ça ne changera rien… Rien… J’ai quand même envie de t’appartenir Ez… si toi tu veux de moi… Si tu le veux… Je t’appartiendrais. Si tu le veux, je serai à toi et juste à toi. Mais je veux savoir, je veux comprendre… pourquoi le sang te renvoie dans des abysses. Pourquoi tu m’as détesté si fort au début. Je veux comprendre. Je veux te comprendre… Toi aussi t'es malade. Du coeur et des émotions... toi aussi t'as besoin de pansements... » (c) DΛNDELION
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Re: Love the way you are #Juniel | Lun 22 Jan 2018 - 11:53
L’eau était claire et pourtant, il avait l’impression que le sang n’arrêtait pas de couler. Il avait des problèmes et il avait toujours fait de son mieux pour les dissimuler. Il n’avait pas envie que l’on sache qu’il avait passé la moitié de sa vie dans les bureaux des psychologues, qu’il n’avait pas été capable de faire face à une rupture amoureuse. Les mains de Jun autour des siennes, il tremblait encore un peu plus fort. Il sentait cette boule dans sa gorge qui l’empêchait toujours de parler du passé. Il ne voulait pas parler. Il voulait boire. Et il y avait toutes les bouteilles qu’il fallait juste derrière cette porte. Il essayait de se concentrer sur Jun, mais ça ne le ramenait que vers Sean et il n’y avait rien de pire pour le faire replonger dans ses vices. Il le regardait, complètement perdu. « Rien. C’est juste du passé. » C’était difficile de laisser quelqu’un entrer dans sa vie, de se confier, de laisser à Jun le pouvoir de le détruire. « Tu…. Ressemble trait pour trait à quelqu’un que j’ai aimé. Quelqu’un qui m’a fait beaucoup de mal et… même si je sais que t’es pas lui, je peux pas m’empêcher de t’en vouloir. » Ezechiel serrait les poings. Pourquoi est-ce qu’il avait fallu qu’il rencontre Sean ? « Je veux pas te faire vivre tout ça, mais c’est plus fort que moi. » Il était étonné que Jun veuille toujours de lui malgré tout ce qu’il avait pu lui faire ou lui dire.
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feat Jun bébé
- Tu fais quoi quand la personne que tu aimes te déçois ?
- Il faut arriver à ne plus l’aimer.
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- Non.
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- Et c’est possible tu crois ?
- Non.
L’eau était claire et pourtant, il avait l’impression que le sang n’arrêtait pas de couler. Il avait des problèmes et il avait toujours fait de son mieux pour les dissimuler. Il n’avait pas envie que l’on sache qu’il avait passé la moitié de sa vie dans les bureaux des psychologues, qu’il n’avait pas été capable de faire face à une rupture amoureuse. Les mains de Jun autour des siennes, il tremblait encore un peu plus fort. Il sentait cette boule dans sa gorge qui l’empêchait toujours de parler du passé. Il ne voulait pas parler. Il voulait boire. Et il y avait toutes les bouteilles qu’il fallait juste derrière cette porte. Il essayait de se concentrer sur Jun, mais ça ne le ramenait que vers Sean et il n’y avait rien de pire pour le faire replonger dans ses vices. Il le regardait, complètement perdu. « Rien. C’est juste du passé. » C’était difficile de laisser quelqu’un entrer dans sa vie, de se confier, de laisser à Jun le pouvoir de le détruire. « Tu…. Ressemble trait pour trait à quelqu’un que j’ai aimé. Quelqu’un qui m’a fait beaucoup de mal et… même si je sais que t’es pas lui, je peux pas m’empêcher de t’en vouloir. » Ezechiel serrait les poings. Pourquoi est-ce qu’il avait fallu qu’il rencontre Sean ? « Je veux pas te faire vivre tout ça, mais c’est plus fort que moi. » Il était étonné que Jun veuille toujours de lui malgré tout ce qu’il avait pu lui faire ou lui dire.(c) DΛNDELION
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Re: Love the way you are #Juniel | Lun 22 Jan 2018 - 12:38
« Rien. C’est juste du passé. » Je crois que j’ai envie de lui hurler dessus à ce moment, mais je suis bien trop épuisé pour ça et puis crier, ce n’est pas vraiment dans ma nature, quoi que j’en dise. « Tu…. Ressemble trait pour trait à quelqu’un que j’ai aimé. Quelqu’un qui m’a fait beaucoup de mal et… même si je sais que t’es pas lui, je peux pas m’empêcher de t’en vouloir. » Je le fixe longuement, puis esquisse un léger, maigre sourire. « Je veux pas te faire vivre tout ça, mais c’est plus fort que moi. » « Je sais… » Puis un soupir. « Et je sais que les asiatiques se ressemblent tous, mais t’as du mal regarder. Je suis sûr que je suis biiiien plus mignon. » Oui, je tente de le faire rire. On ne sait jamais… Alors, je le fixe dans les yeux longuement et l’entraîne sur un banc pour qu’on puisse s’asseoir. Caressant ses mains, je cherche mes mots, j’ai du mal avec la fatigue, alors je finis par l’embrasser doucement. « J’ai l’impression que c’est dur pour tous les deux… » Et puis je penche la tête sur le côté, comme un chiot et lui offre un immense sourire tout en ayant envie de pleurer comme une fontaine. « Et si on se laissait le temps de savoir c’est quoi le plus douloureux. Se voir ou arrêter de se voir… » Je le tiens aux mains et le regarde. « Je ne te jette pas de ma vie. Je parle juste de se donner quelques jours, là, pendant mon repos pour savoir c’est quoi qui nous torture le plus. Et c’est quoi qui nous apaise le plus. » Je ne sais pas si ça fonctionnera… « Et quoi que ce type ait pu te faire, c’est juste un con tu sais… Et c’est pas moi… » Et je peux rien lui promettre, la vie est comme ça, mais je sais ce que je veux et c’est lui.
LOVE THE WAY YOU ARE
feat Ez bébé
- Tu fais quoi quand la personne que tu aimes te déçois ?
- Il faut arriver à ne plus l’aimer.
- Et c’est possible tu crois ?
- Non.
- Il faut arriver à ne plus l’aimer.
- Et c’est possible tu crois ?
- Non.
« Rien. C’est juste du passé. » Je crois que j’ai envie de lui hurler dessus à ce moment, mais je suis bien trop épuisé pour ça et puis crier, ce n’est pas vraiment dans ma nature, quoi que j’en dise. « Tu…. Ressemble trait pour trait à quelqu’un que j’ai aimé. Quelqu’un qui m’a fait beaucoup de mal et… même si je sais que t’es pas lui, je peux pas m’empêcher de t’en vouloir. » Je le fixe longuement, puis esquisse un léger, maigre sourire. « Je veux pas te faire vivre tout ça, mais c’est plus fort que moi. » « Je sais… » Puis un soupir. « Et je sais que les asiatiques se ressemblent tous, mais t’as du mal regarder. Je suis sûr que je suis biiiien plus mignon. » Oui, je tente de le faire rire. On ne sait jamais… Alors, je le fixe dans les yeux longuement et l’entraîne sur un banc pour qu’on puisse s’asseoir. Caressant ses mains, je cherche mes mots, j’ai du mal avec la fatigue, alors je finis par l’embrasser doucement. « J’ai l’impression que c’est dur pour tous les deux… » Et puis je penche la tête sur le côté, comme un chiot et lui offre un immense sourire tout en ayant envie de pleurer comme une fontaine. « Et si on se laissait le temps de savoir c’est quoi le plus douloureux. Se voir ou arrêter de se voir… » Je le tiens aux mains et le regarde. « Je ne te jette pas de ma vie. Je parle juste de se donner quelques jours, là, pendant mon repos pour savoir c’est quoi qui nous torture le plus. Et c’est quoi qui nous apaise le plus. » Je ne sais pas si ça fonctionnera… « Et quoi que ce type ait pu te faire, c’est juste un con tu sais… Et c’est pas moi… » Et je peux rien lui promettre, la vie est comme ça, mais je sais ce que je veux et c’est lui. (c) DΛNDELION
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