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1, 2, 3 Tell me you love me # Juniel
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Re: Tell me you love me # Juniel | Lun 29 Jan - 11:06
Ezechiel n’était pas très difficile, mais il ne supportait pas le sucre, et il avait complètement banni l’alcool. Il y avait une raison, à ça, mais il n’avait pas envie d’en parler ce soir. Il riait encore en l’entendant. « Tu pourras manger autant de dessert que tu veux. » Jun était vraiment différent et il avait pu s’en rendre compte au fil des jours. Il semblait plus fiable, mais il n’était pas encore sûr de réussir à lui faire entièrement confiance. Il avait besoin d’un peu de temps pour comprendre que tout le monde n’était pas Sean. Romantique ? Il ne l’était pas vraiment, il était plutôt maladroit mais c’était aussi ce qui faisait son charme. « Je peux apprendre. » Il souriait toujours suite à ses mots. « Ça me paraît être un bon plan. » Ezezchiel avait demandé à son père de lui prendre un appartement, expliquant que partager sa chambre à l’université l’empêchait de se concentrer. Il voulait simplement un endroit à lui et où il pourrait être tranquille avec Jun. « C’est surtout la fin qui me plaît. » Il était presque certain qu’il n’ouvrirait pas un bouquin et que Jun ne toucherait pas à ses partitions. « Couvres toi bien, il fait froid dehors. » C’était enfin un moment agréable entre eux, sans prise de tête, sans dispute et Ezechiel avait vraiment envie d’en profiter.
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feat Jun bébé
J’ai pas envie de te voir t’en aller, parce que merde, j’t’aime beaucoup trop.
Ezechiel n’était pas très difficile, mais il ne supportait pas le sucre, et il avait complètement banni l’alcool. Il y avait une raison, à ça, mais il n’avait pas envie d’en parler ce soir. Il riait encore en l’entendant. « Tu pourras manger autant de dessert que tu veux. » Jun était vraiment différent et il avait pu s’en rendre compte au fil des jours. Il semblait plus fiable, mais il n’était pas encore sûr de réussir à lui faire entièrement confiance. Il avait besoin d’un peu de temps pour comprendre que tout le monde n’était pas Sean. Romantique ? Il ne l’était pas vraiment, il était plutôt maladroit mais c’était aussi ce qui faisait son charme. « Je peux apprendre. » Il souriait toujours suite à ses mots. « Ça me paraît être un bon plan. » Ezezchiel avait demandé à son père de lui prendre un appartement, expliquant que partager sa chambre à l’université l’empêchait de se concentrer. Il voulait simplement un endroit à lui et où il pourrait être tranquille avec Jun. « C’est surtout la fin qui me plaît. » Il était presque certain qu’il n’ouvrirait pas un bouquin et que Jun ne toucherait pas à ses partitions. « Couvres toi bien, il fait froid dehors. » C’était enfin un moment agréable entre eux, sans prise de tête, sans dispute et Ezechiel avait vraiment envie d’en profiter.(c) DΛNDELION
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Re: Tell me you love me # Juniel | Lun 29 Jan - 11:53
« Tu pourras manger autant de dessert que tu veux. » « Works for me. » Je ris un peu et caresse son nez du mien. « Je peux apprendre. » « Je peux être un bon professeur, tu verras. » Je me sens tellement bien à ce moment précis. « Ça me paraît être un bon plan. C’est surtout la fin qui me plaît. » Un rire franc m’échappe et je lui vole un baiser. « Couvres toi bien, il fait froid dehors. » « Hn… » Caressant encore un peu sa nuque et ses cheveux, je finis par me détacher de lui pour aller enfiler de vrais vêtements. Un jean un peu troué, des bretelles sur un t-shirt blanc, un gilet noir par-dessus le tout et ma veste en cuir avec une grosse écharpe pour protéger ma voix. Une fois mes boots aux pieds et mon sac à dos sur les épaules, je le suis, avant de revenir dans l’appart pour prendre mes clés, ressortir, fermer la porte et le suivre pour de bon jusqu’à son appartement. Une fois chez lui, je m’empresse de retirer veste et chaussures et observe le lieu dans un léger sourire. « Alors, tu étudies où ? Je te mets au coin si tu n’apprends pas bien. » Moue boudeuse, je finis par rire, puis m’étire et pars à la recherche de sa chambre, mon sac sur une épaule.
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feat Ez bébé
J’ai pas envie de te voir t’en aller, parce que merde, j’t’aime beaucoup trop.
« Tu pourras manger autant de dessert que tu veux. » « Works for me. » Je ris un peu et caresse son nez du mien. « Je peux apprendre. » « Je peux être un bon professeur, tu verras. » Je me sens tellement bien à ce moment précis. « Ça me paraît être un bon plan. C’est surtout la fin qui me plaît. » Un rire franc m’échappe et je lui vole un baiser. « Couvres toi bien, il fait froid dehors. » « Hn… » Caressant encore un peu sa nuque et ses cheveux, je finis par me détacher de lui pour aller enfiler de vrais vêtements. Un jean un peu troué, des bretelles sur un t-shirt blanc, un gilet noir par-dessus le tout et ma veste en cuir avec une grosse écharpe pour protéger ma voix. Une fois mes boots aux pieds et mon sac à dos sur les épaules, je le suis, avant de revenir dans l’appart pour prendre mes clés, ressortir, fermer la porte et le suivre pour de bon jusqu’à son appartement. Une fois chez lui, je m’empresse de retirer veste et chaussures et observe le lieu dans un léger sourire. « Alors, tu étudies où ? Je te mets au coin si tu n’apprends pas bien. » Moue boudeuse, je finis par rire, puis m’étire et pars à la recherche de sa chambre, mon sac sur une épaule. (c) DΛNDELION
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Re: Tell me you love me # Juniel | Lun 29 Jan - 12:11
Il était content de le ramener chez lui-même s’il n’était pas encore correctement installé. Il fallait profiter de ce moment d’accalmie. Cette séparation lui avait fait du bien finalement. Ezechiel avait pu se rendre compte qu’il tenait à lui et qu’il avait agi comme un idiot. Il ouvrait la porte et le laissait entrer en premier. « J’ai encore des cartons à déballer. » Il souriait en le voyant déambuler. Il ne se lassait vraiment pas de le regarder. Sa beauté était bien au-dessus de celle de Sean. Je lui indiquais la chambre d’un signe de tête. « La littérature anglaise. J’ai envie de l’enseigner. » C’était un rêve un peu fou, mais c’était le sien et il s’y accrochait. « Je suis né en Suisse et j’ai vécu aux Etats Unis. Ma mère adorait Shakespeare.» Il s’asseyait sur le bord de son lit, le regard un peu dans le vide. Il ne parlait jamais d’elle en général. C’était encore trop douloureux malgré les années passées. Elle lui manquait terriblement et elle aurait compris. Cette relation avec un homme qu’il avait toujours dissimulé à son père. Il se laissait tomber en arrière pour se retrouver allonger et fixer le plafond. « T’as arrêté tes études ? » Au final à part savoir qu’il aimait les desserts, qu’il chantait merveilleusement bien et qu’il avait une tumeur, Ezechiel ne savait rien.
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J’ai pas envie de te voir t’en aller, parce que merde, j’t’aime beaucoup trop.
Il était content de le ramener chez lui-même s’il n’était pas encore correctement installé. Il fallait profiter de ce moment d’accalmie. Cette séparation lui avait fait du bien finalement. Ezechiel avait pu se rendre compte qu’il tenait à lui et qu’il avait agi comme un idiot. Il ouvrait la porte et le laissait entrer en premier. « J’ai encore des cartons à déballer. » Il souriait en le voyant déambuler. Il ne se lassait vraiment pas de le regarder. Sa beauté était bien au-dessus de celle de Sean. Je lui indiquais la chambre d’un signe de tête. « La littérature anglaise. J’ai envie de l’enseigner. » C’était un rêve un peu fou, mais c’était le sien et il s’y accrochait. « Je suis né en Suisse et j’ai vécu aux Etats Unis. Ma mère adorait Shakespeare.» Il s’asseyait sur le bord de son lit, le regard un peu dans le vide. Il ne parlait jamais d’elle en général. C’était encore trop douloureux malgré les années passées. Elle lui manquait terriblement et elle aurait compris. Cette relation avec un homme qu’il avait toujours dissimulé à son père. Il se laissait tomber en arrière pour se retrouver allonger et fixer le plafond. « T’as arrêté tes études ? » Au final à part savoir qu’il aimait les desserts, qu’il chantait merveilleusement bien et qu’il avait une tumeur, Ezechiel ne savait rien. (c) DΛNDELION
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Re: Tell me you love me # Juniel | Lun 29 Jan - 12:49
« J’ai encore des cartons à déballer. » « Je pourrai t’aider à ranger si tu veux. » Lui souriant, je fixe les cartons, avant de voir son hochement de tête et le suivre d’un pas léger pour aller vers la chambre rapidement. « La littérature anglaise. J’ai envie de l’enseigner. » « un futur professeur ? » Je le regarde en mordillant ma lèvre. « J’enseigne la musique à des enfants… » Frottant mon bras, je finis par poser mon sac et faire le tour de la chambre, effleurant du bout des doigts certains endroits, certains objets. Il y a son odeur, son énergie, son ambiance et c’est comme si tout… m’étreignait tendrement. « Je suis né en Suisse et j’ai vécu aux Etats Unis. Ma mère adorait Shakespeare.» Je me tourne vers lui, relativement surpris d’apprendre ça. Je n’ai jamais rencontré quelqu’un venant de Suisse avant lui. Et je crois que c’est la première fois qu’il mentionne sa mère et au passé en plus. « T’as arrêté tes études ? » Il se laisse tomber sur le lit et je viens m’y mettre à genoux, puis à quatre pattes, mes mains de chaque côté de sa tête. « Hn… Etudier, c’est pas mon trip. Je n’aimais que les langues et la musique, rien ne me motivait. C’est mon frère qui m’a toujours aidé. C’est pas que je suis bête ou un truc du genre. J’aime apprendre, j’adore apprendre mais je déteste étudier. Et Je déteste notre système scolaire. Je suis pas assez compétiteur pour ça. Et puis, j’avais vite décroché. J’ai été trainee durant trois ans. Mon frère devait entrer dans un groupe… moi aussi, mais un autre. Ils ne voulaient pas nous mettre ensemble même si on le voulait. » Finalement, je me couche en chien de fusil, ma tête face à la sienne, ma main caressant l’arrière de son crâne. « Ils m’ont viré en apprenant pour la tumeur, alors il a aussi claqué la porte. Je regrette, j’avoue. Je regrette pour lui… Il aurait eu un tel succès. » Soupirant un peu, je finis par lui embrasser le front doucement. « Tu devais étudier Monsieur le professeur… » Je mordille ma lèvre. « Tes élèves auront du mal à se concentrer. Tu es trop sexy. »
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J’ai pas envie de te voir t’en aller, parce que merde, j’t’aime beaucoup trop.
« J’ai encore des cartons à déballer. » « Je pourrai t’aider à ranger si tu veux. » Lui souriant, je fixe les cartons, avant de voir son hochement de tête et le suivre d’un pas léger pour aller vers la chambre rapidement. « La littérature anglaise. J’ai envie de l’enseigner. » « un futur professeur ? » Je le regarde en mordillant ma lèvre. « J’enseigne la musique à des enfants… » Frottant mon bras, je finis par poser mon sac et faire le tour de la chambre, effleurant du bout des doigts certains endroits, certains objets. Il y a son odeur, son énergie, son ambiance et c’est comme si tout… m’étreignait tendrement. « Je suis né en Suisse et j’ai vécu aux Etats Unis. Ma mère adorait Shakespeare.» Je me tourne vers lui, relativement surpris d’apprendre ça. Je n’ai jamais rencontré quelqu’un venant de Suisse avant lui. Et je crois que c’est la première fois qu’il mentionne sa mère et au passé en plus. « T’as arrêté tes études ? » Il se laisse tomber sur le lit et je viens m’y mettre à genoux, puis à quatre pattes, mes mains de chaque côté de sa tête. « Hn… Etudier, c’est pas mon trip. Je n’aimais que les langues et la musique, rien ne me motivait. C’est mon frère qui m’a toujours aidé. C’est pas que je suis bête ou un truc du genre. J’aime apprendre, j’adore apprendre mais je déteste étudier. Et Je déteste notre système scolaire. Je suis pas assez compétiteur pour ça. Et puis, j’avais vite décroché. J’ai été trainee durant trois ans. Mon frère devait entrer dans un groupe… moi aussi, mais un autre. Ils ne voulaient pas nous mettre ensemble même si on le voulait. » Finalement, je me couche en chien de fusil, ma tête face à la sienne, ma main caressant l’arrière de son crâne. « Ils m’ont viré en apprenant pour la tumeur, alors il a aussi claqué la porte. Je regrette, j’avoue. Je regrette pour lui… Il aurait eu un tel succès. » Soupirant un peu, je finis par lui embrasser le front doucement. « Tu devais étudier Monsieur le professeur… » Je mordille ma lèvre. « Tes élèves auront du mal à se concentrer. Tu es trop sexy. » (c) DΛNDELION
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Re: Tell me you love me # Juniel | Lun 29 Jan - 13:39
Il ne voulait pas qu’il range, il le voulait dans ses bras, rien d’autre, mais un peu d’aide ne pourrait pas lui faire de mal. Ils avaient des points communs finalement. « Ça se voit pas mais j’adore les enfants. J’ai toujours voulu en avoir, mais ici, c’est compliqué. » La Suisse lui manquait et il espérait pouvoir y retourner un jour. Ezechiel souriait à nouveau en le voyant au-dessus de lui. « J’ai jamais dit que t’étais bête ou même pensé.» Il comprenait. Les études, ce n’étaient pas fait pour tout le monde. Il n’était pas en Corée depuis assez longtemps pour connaître le système scolaire. C’était complètement différent aux Etats Unis. « Il a quel âge ton frère ? » Ezechiel avait regretté d’être fils unique après le départ de sa mère. Il n’avait eu personne vers qui se tourner, personne pour être fort pour lui. « Vous avez l’air vraiment proche. Je pense que ça m’aurais plus d’avoir un frère. » C’était même certain. Il fermait les yeux sous ses caresses, complètement apaisé. « Je m’en fous de mes bouquins là. Y’a que toi qui compte. » Non, il n’avait aucune envie d’étudier. Il se tournait légèrement pour lui faire face. « Oui je sais. Mais au moins ma classe sera toujours remplie ! T’aurais adoré m’avoir comme prof !» Un sourire toujours scotché aux lèvres, il caressait doucement sa joue. « Encore dix minutes et je vais bosser. » Ce n’était pas une certitude. Il préférait rester là, à simplement le regarder.
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Il ne voulait pas qu’il range, il le voulait dans ses bras, rien d’autre, mais un peu d’aide ne pourrait pas lui faire de mal. Ils avaient des points communs finalement. « Ça se voit pas mais j’adore les enfants. J’ai toujours voulu en avoir, mais ici, c’est compliqué. » La Suisse lui manquait et il espérait pouvoir y retourner un jour. Ezechiel souriait à nouveau en le voyant au-dessus de lui. « J’ai jamais dit que t’étais bête ou même pensé.» Il comprenait. Les études, ce n’étaient pas fait pour tout le monde. Il n’était pas en Corée depuis assez longtemps pour connaître le système scolaire. C’était complètement différent aux Etats Unis. « Il a quel âge ton frère ? » Ezechiel avait regretté d’être fils unique après le départ de sa mère. Il n’avait eu personne vers qui se tourner, personne pour être fort pour lui. « Vous avez l’air vraiment proche. Je pense que ça m’aurais plus d’avoir un frère. » C’était même certain. Il fermait les yeux sous ses caresses, complètement apaisé. « Je m’en fous de mes bouquins là. Y’a que toi qui compte. » Non, il n’avait aucune envie d’étudier. Il se tournait légèrement pour lui faire face. « Oui je sais. Mais au moins ma classe sera toujours remplie ! T’aurais adoré m’avoir comme prof !» Un sourire toujours scotché aux lèvres, il caressait doucement sa joue. « Encore dix minutes et je vais bosser. » Ce n’était pas une certitude. Il préférait rester là, à simplement le regarder.(c) DΛNDELION
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Re: Tell me you love me # Juniel | Lun 29 Jan - 13:51
« Ça se voit pas mais j’adore les enfants. J’ai toujours voulu en avoir, mais ici, c’est compliqué. » « Je me suis toujours vu comme le super tonton qu’on adore. » Je crois que j’ai peur de faire des plans sur le futur… peur de laisser les gens que j’aime si ça se passe mal. « J’ai jamais dit que t’étais bête ou même pensé.» « Hn, je sais… T’en fais pas. » « Il a quel âge ton frère ? » « 23 ans. » « Vous avez l’air vraiment proche. Je pense que ça m’aurais plus d’avoir un frère. » « On a tout fait ensemble je crois. Enfin…. Presque. » Je ris un peu, puis le regarde longuement. « Je m’en fous de mes bouquins là. Y’a que toi qui compte. » Sa phase me fait tellement frissonner. « Oui je sais. Mais au moins ma classe sera toujours remplie ! T’aurais adoré m’avoir comme prof !» « Non, j’aurai détesté. Je serai tombé amoureux de toi et je me serai torturé la tête et le cœur en me disant que c’est impossible entre un prof et un élève et j’aurai écrit mes plus belles chansons en l’hommage de notre amour impossible… » « Encore dix minutes et je vais bosser. » « Menteur… » Je viens caresser ses lèvres des miennes dans un sourire tendre avant de lui voler un baiser doux au possible tout en nichant ma peau contre la sienne avant de l’embrasser encore un peu, dans un soupir heureux tandis que dehors, la pluie bat son plein, frappant les fenêtres avec une certaine force. « Dis... T'es pas obligée de me répondre maintenant mais... Il s’est passé quoi… dans ta vie, à part ce vilain qui t’a brisé le cœur… ? Il s’est passé quoi pour que tu aies peur de perdre les gens et de les aimer ? » Je ne sais pas s’il répondra. C’est lui qui choisit… mais j’avais besoin de demander et quelque chose me dit qu’il y a un lien avec l’absence de sa mère.
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J’ai pas envie de te voir t’en aller, parce que merde, j’t’aime beaucoup trop.
« Ça se voit pas mais j’adore les enfants. J’ai toujours voulu en avoir, mais ici, c’est compliqué. » « Je me suis toujours vu comme le super tonton qu’on adore. » Je crois que j’ai peur de faire des plans sur le futur… peur de laisser les gens que j’aime si ça se passe mal. « J’ai jamais dit que t’étais bête ou même pensé.» « Hn, je sais… T’en fais pas. » « Il a quel âge ton frère ? » « 23 ans. » « Vous avez l’air vraiment proche. Je pense que ça m’aurais plus d’avoir un frère. » « On a tout fait ensemble je crois. Enfin…. Presque. » Je ris un peu, puis le regarde longuement. « Je m’en fous de mes bouquins là. Y’a que toi qui compte. » Sa phase me fait tellement frissonner. « Oui je sais. Mais au moins ma classe sera toujours remplie ! T’aurais adoré m’avoir comme prof !» « Non, j’aurai détesté. Je serai tombé amoureux de toi et je me serai torturé la tête et le cœur en me disant que c’est impossible entre un prof et un élève et j’aurai écrit mes plus belles chansons en l’hommage de notre amour impossible… » « Encore dix minutes et je vais bosser. » « Menteur… » Je viens caresser ses lèvres des miennes dans un sourire tendre avant de lui voler un baiser doux au possible tout en nichant ma peau contre la sienne avant de l’embrasser encore un peu, dans un soupir heureux tandis que dehors, la pluie bat son plein, frappant les fenêtres avec une certaine force. « Dis... T'es pas obligée de me répondre maintenant mais... Il s’est passé quoi… dans ta vie, à part ce vilain qui t’a brisé le cœur… ? Il s’est passé quoi pour que tu aies peur de perdre les gens et de les aimer ? » Je ne sais pas s’il répondra. C’est lui qui choisit… mais j’avais besoin de demander et quelque chose me dit qu’il y a un lien avec l’absence de sa mère.(c) DΛNDELION
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Re: Tell me you love me # Juniel | Lun 29 Jan - 14:12
« Tu veux pas des enfants à toi ? » C’était un peu idiot comme question, mais la maladie n’empêchait pas d’être père. Ezechiel savait mieux que quiconque ce que c’était de perde un parent. Son père n’avait pas été à la hauteur mais lui s’était juré de l’être. Il se sentait un peu envieux de sa relation avec son frère. Tout le monde n’avait pas cette chance, d’avoir quelqu’un sur qui compter. L’argent n’avait comblé l’absence de sa mère et quant à ses amis, ils étaient beaucoup trop loin maintenant. « Et si j’étais tombé amoureux de toi aussi ? Ça ne serait plus les mêmes chansons non ? » Ezechiel n’avait jamais eu d’attirance pour ses professeurs, mais c’était quelque chose d’envisageable. Ce genre de situation état difficile à gérer et des carrières avaient déjà été facilement brisé. Il souriait contre ses lèvres. Menteur ? Peut-être cette fois ci. Il se raidissait légèrement en entendant sa question. Son passé était un sujet délicat. Il se redressait pour s’assoir, ramenant ses genoux près de sa poitrine. Jun avait le droit de savoir, mais le fait de le prononcer à voix haute voulait dire faire face à la réalité et il n’en n’avait pas envie. « Il m’a pas juste brisé le cœur. J’ai perdu toute confiance en moi et en les autres et j’ai plus ou moins foutu ma vie en l’air à cause de lui. C’est ma dernière chance ici. Si je ne m’en sors pas là, je ne m’en sortirai jamais. » Il prenait une grande respiration, prêt à parler de sa mère. « On s’est fait cambriolé quand on vivait en Suisse et j’ai retrouvé le corps de ma mère en rentrant de l’école. C’est pour ça que j’ai un peu de mal avec le sang. » Les psychologues ne l’avaient pas vraiment aidé. Il s’était débrouillé seul et avait fait de son mieux. Sa voix ne tremblait pas, ses yeux n’étaient pas humide et pourtant, il avait l’impression qu’on lui arrachait le cœur.
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« Tu veux pas des enfants à toi ? » C’était un peu idiot comme question, mais la maladie n’empêchait pas d’être père. Ezechiel savait mieux que quiconque ce que c’était de perde un parent. Son père n’avait pas été à la hauteur mais lui s’était juré de l’être. Il se sentait un peu envieux de sa relation avec son frère. Tout le monde n’avait pas cette chance, d’avoir quelqu’un sur qui compter. L’argent n’avait comblé l’absence de sa mère et quant à ses amis, ils étaient beaucoup trop loin maintenant. « Et si j’étais tombé amoureux de toi aussi ? Ça ne serait plus les mêmes chansons non ? » Ezechiel n’avait jamais eu d’attirance pour ses professeurs, mais c’était quelque chose d’envisageable. Ce genre de situation état difficile à gérer et des carrières avaient déjà été facilement brisé. Il souriait contre ses lèvres. Menteur ? Peut-être cette fois ci. Il se raidissait légèrement en entendant sa question. Son passé était un sujet délicat. Il se redressait pour s’assoir, ramenant ses genoux près de sa poitrine. Jun avait le droit de savoir, mais le fait de le prononcer à voix haute voulait dire faire face à la réalité et il n’en n’avait pas envie. « Il m’a pas juste brisé le cœur. J’ai perdu toute confiance en moi et en les autres et j’ai plus ou moins foutu ma vie en l’air à cause de lui. C’est ma dernière chance ici. Si je ne m’en sors pas là, je ne m’en sortirai jamais. » Il prenait une grande respiration, prêt à parler de sa mère. « On s’est fait cambriolé quand on vivait en Suisse et j’ai retrouvé le corps de ma mère en rentrant de l’école. C’est pour ça que j’ai un peu de mal avec le sang. » Les psychologues ne l’avaient pas vraiment aidé. Il s’était débrouillé seul et avait fait de son mieux. Sa voix ne tremblait pas, ses yeux n’étaient pas humide et pourtant, il avait l’impression qu’on lui arrachait le cœur.(c) DΛNDELION
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Re: Tell me you love me # Juniel | Lun 29 Jan - 14:23
« Tu veux pas des enfants à toi ? » « Je ne sais pas… j’ai du mal à penser au futur. » C’est pas faute d’essayer mais en général, c’est l’instant présent qui compte chez moi, un peu comme pour les chiens et je vis simplement. « Et si j’étais tombé amoureux de toi aussi ? Ça ne serait plus les mêmes chansons non ? » « Non mais elles seraient sans doute belles quand même. » Il se redresse et je le laisse faire, restant un peu en retrait au début pendant que lui, se mettait dans une position de défense. Comme si c’était le seul moyen de tenir face à ça. « Il m’a pas juste brisé le cœur. J’ai perdu toute confiance en moi et en les autres et j’ai plus ou moins foutu ma vie en l’air à cause de lui. C’est ma dernière chance ici. Si je ne m’en sors pas là, je ne m’en sortirai jamais. » Frissonnant un peu, je finis par venir dans son dos et poser délicatement mes mains sur ses épaules « On s’est fait cambriolé quand on vivait en Suisse et j’ai retrouvé le corps de ma mère en rentrant de l’école. C’est pour ça que j’ai un peu de mal avec le sang. » « Ez… je suis désolé...» C’est horrible. C’est… Lentement, je viens contre lui pour le câliner, mes bras entourant le haut de ses épaules, ma tête se posant sur la sienne. « C’est pas ta dernière chance. C’est une nouvelle chance. Il faut voir les choses positivement. La vie n’est pas faite de hasard qui n’ont aucun sens. Tu comprends ? On s’est pas rencontrés pour rien. Je suis pas… un miracle sur pattes… Mais à deux… Je suis sûr qu’on peut s’aider à se réparer. » Comment, je ne sais pas, mais un truc me dit que c’est pour ça que l’on est ensemble. Fermant mes yeux, j’embrasse sa tête doucement. « Tu sais quoi… Je crois que je commence vraiment… à tomber amoureux de toi. » C’est le début. Mais c’est un début. Et j’embrasse son épaule, puis sa joue et le berce doucement. Lorsque l’on tient à quelqu’un, on voudrait vraiment prendre toutes ses peines et les envoyer dans les étoiles. Je sais que ce n’est pas faisable. Mais j’aimerai le faire. Alors à la place, je fredonne une chanson dans le creux de son oreille, nos corps se balançant doucement en rythme.
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« Tu veux pas des enfants à toi ? » « Je ne sais pas… j’ai du mal à penser au futur. » C’est pas faute d’essayer mais en général, c’est l’instant présent qui compte chez moi, un peu comme pour les chiens et je vis simplement. « Et si j’étais tombé amoureux de toi aussi ? Ça ne serait plus les mêmes chansons non ? » « Non mais elles seraient sans doute belles quand même. » Il se redresse et je le laisse faire, restant un peu en retrait au début pendant que lui, se mettait dans une position de défense. Comme si c’était le seul moyen de tenir face à ça. « Il m’a pas juste brisé le cœur. J’ai perdu toute confiance en moi et en les autres et j’ai plus ou moins foutu ma vie en l’air à cause de lui. C’est ma dernière chance ici. Si je ne m’en sors pas là, je ne m’en sortirai jamais. » Frissonnant un peu, je finis par venir dans son dos et poser délicatement mes mains sur ses épaules « On s’est fait cambriolé quand on vivait en Suisse et j’ai retrouvé le corps de ma mère en rentrant de l’école. C’est pour ça que j’ai un peu de mal avec le sang. » « Ez… je suis désolé...» C’est horrible. C’est… Lentement, je viens contre lui pour le câliner, mes bras entourant le haut de ses épaules, ma tête se posant sur la sienne. « C’est pas ta dernière chance. C’est une nouvelle chance. Il faut voir les choses positivement. La vie n’est pas faite de hasard qui n’ont aucun sens. Tu comprends ? On s’est pas rencontrés pour rien. Je suis pas… un miracle sur pattes… Mais à deux… Je suis sûr qu’on peut s’aider à se réparer. » Comment, je ne sais pas, mais un truc me dit que c’est pour ça que l’on est ensemble. Fermant mes yeux, j’embrasse sa tête doucement. « Tu sais quoi… Je crois que je commence vraiment… à tomber amoureux de toi. » C’est le début. Mais c’est un début. Et j’embrasse son épaule, puis sa joue et le berce doucement. Lorsque l’on tient à quelqu’un, on voudrait vraiment prendre toutes ses peines et les envoyer dans les étoiles. Je sais que ce n’est pas faisable. Mais j’aimerai le faire. Alors à la place, je fredonne une chanson dans le creux de son oreille, nos corps se balançant doucement en rythme. (c) DΛNDELION
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Re: Tell me you love me # Juniel | Lun 29 Jan - 14:49
Ezechiel se laissait aller contre lui pour se rassurer. C’était la première fois depuis longtemps qu’il se sentait en sécurité. Sean l’avait complètement foutu en l’air et sa haine restait intarissable. S’il le revoyait, il lui collerait sûrement son poing en pleine gueule, sans un mot, ni aucune explication. Ses mains sur son corps le faisaient frissonner et il remerciait le ciel d’avoir mis Jun sur sa route. Sans lui, il aurait sûrement déjà envoyé sa moto dans un arbre. Il aimait son optimisme, mais il se connaissait trop bien. « Tu sais pourquoi je travaille dans un bar Jun ? Pour me tester, pour essayer de guérir. Je vais aux réunions des alcooliques anonymes presque tous les jours. C’est le deal avec mon père. Si j’arrête de m’y rendre, il me fait rentrer aux Etats Unis. Si je replonge je suis foutu. Alors je ne sais pas si tu peux me réparer ou non. Mais tu me fais du bien en tout cas. » Il était bien dans ses bras et c’était tout ce qui lui importait à cet instant. « J’étais pas comme ça avant. Détestable et jaloux. C’est lui qui m’a rendu comme ça. » Et il lui en voulait Ezechiel. Enormément. Il penchait la tête en arrière pour essayer de le regarder. « Vraiment ? » Amoureux. Il n’avait pas envie de l’être mais c’était déjà trop tard. Il était déjà fou de lui. « Alors continue de m’aimer Jun. Etouffe-moi d’amour à en crever. » C’était ça dont il avait réellement besoin. Il se laissait bercer par sa voix et attrapait une de ses mains pour mêler ses doigts aux siens. C’était bien plus intense qu’avant, que n’importe laquelle de ses relations. Si Jun lui brisait le cœur aussi, il ne se relèverait pas. « Je suis pas prêt pour dire je t’aime à quelqu’un encore mais… je te le montrerais. »
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feat Jun bébé
J’ai pas envie de te voir t’en aller, parce que merde, j’t’aime beaucoup trop.
Ezechiel se laissait aller contre lui pour se rassurer. C’était la première fois depuis longtemps qu’il se sentait en sécurité. Sean l’avait complètement foutu en l’air et sa haine restait intarissable. S’il le revoyait, il lui collerait sûrement son poing en pleine gueule, sans un mot, ni aucune explication. Ses mains sur son corps le faisaient frissonner et il remerciait le ciel d’avoir mis Jun sur sa route. Sans lui, il aurait sûrement déjà envoyé sa moto dans un arbre. Il aimait son optimisme, mais il se connaissait trop bien. « Tu sais pourquoi je travaille dans un bar Jun ? Pour me tester, pour essayer de guérir. Je vais aux réunions des alcooliques anonymes presque tous les jours. C’est le deal avec mon père. Si j’arrête de m’y rendre, il me fait rentrer aux Etats Unis. Si je replonge je suis foutu. Alors je ne sais pas si tu peux me réparer ou non. Mais tu me fais du bien en tout cas. » Il était bien dans ses bras et c’était tout ce qui lui importait à cet instant. « J’étais pas comme ça avant. Détestable et jaloux. C’est lui qui m’a rendu comme ça. » Et il lui en voulait Ezechiel. Enormément. Il penchait la tête en arrière pour essayer de le regarder. « Vraiment ? » Amoureux. Il n’avait pas envie de l’être mais c’était déjà trop tard. Il était déjà fou de lui. « Alors continue de m’aimer Jun. Etouffe-moi d’amour à en crever. » C’était ça dont il avait réellement besoin. Il se laissait bercer par sa voix et attrapait une de ses mains pour mêler ses doigts aux siens. C’était bien plus intense qu’avant, que n’importe laquelle de ses relations. Si Jun lui brisait le cœur aussi, il ne se relèverait pas. « Je suis pas prêt pour dire je t’aime à quelqu’un encore mais… je te le montrerais. »(c) DΛNDELION
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Re: Tell me you love me # Juniel | Lun 29 Jan - 15:04
« Tu sais pourquoi je travaille dans un bar Jun ? Pour me tester, pour essayer de guérir. Je vais aux réunions des alcooliques anonymes presque tous les jours. C’est le deal avec mon père. Si j’arrête de m’y rendre, il me fait rentrer aux Etats Unis. Si je replonge je suis foutu. Alors je ne sais pas si tu peux me réparer ou non. Mais tu me fais du bien en tout cas. » Je fais une petite moue. Je crois que je n’aime pas son père… Enfin non, j’ai pas le droit de penser ça. « J’étais pas comme ça avant. Détestable et jaloux. C’est lui qui m’a rendu comme ça. » Et j’aime pas non plus… mon… Fermant les yeux, je pousse un petit soupir en me nichant tout contre lui. « Vraiment ? » « Hn… » « Alors continue de m’aimer Jun. Etouffe-moi d’amour à en crever. » « Promis… » « Je suis pas prêt pour dire je t’aime à quelqu’un encore mais… je te le montrerais. » « Dis-le quand tu te sentiras prêt à le dire et si tu le dis pas, c’est pas grave. Rien n’est grave dans les cas là… » Je souris et embrasse encore sa joue avant de faire en sorte qu’il détende ses jambes pour que je puisse enfin me mettre assis sur lui. « Je pourrai venir avec toi aux séances. » Doucement, je croise mes bras derrière sa nuque et me tiens contre lui. « Ou juste attendre dehors… hm… oh et je bois que des bières, de temps en temps, mais je peux arrêter d’en boire sans problèmes parce que l’alcool c’est pas important. Pas comme toi. Et je te botterai le cul si je te vois regarder une bouteille de vodka amoureusement et pas moi… » Je souris et reviens l’embrasser longuement. « Elle est courte la vie… ça te dit qu’on essaie d’être heureux… ? Juste heureux ? Oh et... » Je lui mords doucement son nez. « Tu n’es PAS détestable… jamais. D’accord ? Arrête de te voir si négativement… Promis ? » Je tends mon petit doigt devant lui et le regarde dans les yeux. « T’es juste maso… » Parce qu’il faut l’être pour bosser dans un bar en ayant son souci. Et je souris devant lui en l'embrassant encore. J'aime ses lèvres.
TELL ME YOU LOVE ME
feat Ez bébé
J’ai pas envie de te voir t’en aller, parce que merde, j’t’aime beaucoup trop.
« Tu sais pourquoi je travaille dans un bar Jun ? Pour me tester, pour essayer de guérir. Je vais aux réunions des alcooliques anonymes presque tous les jours. C’est le deal avec mon père. Si j’arrête de m’y rendre, il me fait rentrer aux Etats Unis. Si je replonge je suis foutu. Alors je ne sais pas si tu peux me réparer ou non. Mais tu me fais du bien en tout cas. » Je fais une petite moue. Je crois que je n’aime pas son père… Enfin non, j’ai pas le droit de penser ça. « J’étais pas comme ça avant. Détestable et jaloux. C’est lui qui m’a rendu comme ça. » Et j’aime pas non plus… mon… Fermant les yeux, je pousse un petit soupir en me nichant tout contre lui. « Vraiment ? » « Hn… » « Alors continue de m’aimer Jun. Etouffe-moi d’amour à en crever. » « Promis… » « Je suis pas prêt pour dire je t’aime à quelqu’un encore mais… je te le montrerais. » « Dis-le quand tu te sentiras prêt à le dire et si tu le dis pas, c’est pas grave. Rien n’est grave dans les cas là… » Je souris et embrasse encore sa joue avant de faire en sorte qu’il détende ses jambes pour que je puisse enfin me mettre assis sur lui. « Je pourrai venir avec toi aux séances. » Doucement, je croise mes bras derrière sa nuque et me tiens contre lui. « Ou juste attendre dehors… hm… oh et je bois que des bières, de temps en temps, mais je peux arrêter d’en boire sans problèmes parce que l’alcool c’est pas important. Pas comme toi. Et je te botterai le cul si je te vois regarder une bouteille de vodka amoureusement et pas moi… » Je souris et reviens l’embrasser longuement. « Elle est courte la vie… ça te dit qu’on essaie d’être heureux… ? Juste heureux ? Oh et... » Je lui mords doucement son nez. « Tu n’es PAS détestable… jamais. D’accord ? Arrête de te voir si négativement… Promis ? » Je tends mon petit doigt devant lui et le regarde dans les yeux. « T’es juste maso… » Parce qu’il faut l’être pour bosser dans un bar en ayant son souci. Et je souris devant lui en l'embrassant encore. J'aime ses lèvres. (c) DΛNDELION
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