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1, 2, 3Friday #Hara ❣
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Re: Friday #Hara ❣ | Mer 1 Jan - 16:53
tenue + Messes basses muettes à mes oreilles et curiosité déplacée ignorée par mes iris. Ainsi fixés sur toi, ces derniers ne se mouvaient alors que le bout de mes doigts tentaient d'apaiser ta colère. Un geste qui ne passait pas inaperçu à nos paparazzi improvisés du midi, un refus qui ferait tout autant parler que la tentative. De mes doigts tu t'échappais et ma main resta un instant immobile, gêné d'une telle réaction à laquelle s'ajoutait une réponse tranchante. Cinglante. Je ne comprenais rien. Effectivement. Et je te l'avais d'ailleurs bien dit : je ne comprenais pas ta mauvaise humeur, mais si tu refusais de me l'expliquer, comment avancer ? La question j'avais posé, l'intérêt j'avais poussé jusqu'à oser t'interroger, mais je n'avais un tempérament à insister. Pas sur l'instant en tout cas. Si un refus froid et clair tu prononçais une fois de plus, alors je m'en irais. Pas par abandon ou désir de m'éloigner mais par pure logique. Frapper contre un mur de glace à main nue était inutile…. Alors il me faudrait trouver un outil, une faille, user de mes neurones pour trouver ce qui pourrait me faire passer de l'autre côté sans en abîmer la surface pour autant. Forcer les choses à devenir n'était la bonne façon de faire, j'étais bien placé pour le savoir dans des domaines différents. A ton refus s'accompagnait un ordre, celui d'abandonner; peut-être celui-ci marchait efficacement sur ton ex, mais j'étais fait autrement. Jusqu'au moment où, enfin, tu me dirais pourquoi tu agissais ainsi, je n'abandonnerais pas. Si pour cela tu devais t'énerver ou m'insulter encore une fois, alors c'était un prix que je paierais. Je n'abandonnerais pour si peu.
Toutefois, il semblerait bien que le mur continuerait de se dresser devant moi. Infranchissable et gelé. Tu te renfermais sous mes yeux tandis que contre le dossier de la chaise je reposais mon dos. Ma main s'éloignait enfin pour se déposer entre mon coude et mon flanc. Bras croisés et main gauche posée sous le biceps droit, j'observais tes mouvements en silence sans toucher à mon plateau repas, incapable de le faire alors que tu paraissais vouloir avaler le contenu de ton assiette par pure fuite que par réelle faim. Peut-être fut-ce ma réaction qui te poussait à relever le nez sans rien avaler pour préférer l'accusation. Peut-être était-ce tout simplement dans ta nature de ne pas pouvoir t'empêcher de déballer ce qui ne te plaisait. Quoi qu'il en soit, enfin l'accusation tombait et j'avais une brève idée de ce qui n'allait pas. Je n'avais pourtant pas souvenir d'avoir demander un dessert à qui que ce soit et encore moins d'avoir usé de mes charmes pour cela… Sourcils froncés, la scène je reposais dans ma tête à la recherche de l'élément qui était venu perturbé ta bonne humeur. Bien que nombreux, je fus frappé par ma discussion avec la cuisinière à qui j'avais, effectivement, demandé de me donner les restes de cheesecake plutôt que de les jeter. Est-ce que tu étais sérieusement en train de me faire une scène à cause de ça ? Pour une ajumma et des restes ? « Woa… L'esprit féminin est vraiment surprenant. » commentais-je sans bouger et sans même savoir si tu entendrais cette constatation. Toute femme étaient-elles des rivales ? Même les grands-mères ?! Ma position précédente je reprenais, coude contre la table et mains pendantes dans le vide près de mon ventre. Légèrement penché en ta direction alors que tu commençais à manger, je jugeais qu'il était grand temps d'apporter ma réponse pour ce problème que je comprenais enfin. « T'es jalouse d'une ajumma ? Est-ce que j'ai demandé un dessert en plus ou autre ? « Si les cheesecake ne partent pas », c'est pourtant ce que j'ai dit. Ca signifie : plutôt que de jeter les non-vendus, vous pouvez me les donner, je les mangerais. Il est pas question de jouer de ma belle-gueule pour avoir des faveurs mais de ne pas voir de la nourriture jetée. » Soudainement, je réalisais que peut-être tu n'étais pas aussi sensible à cette cause. La nourriture avait quelque chose de sacré, ce n'était un droit que seuls certains élus pouvaient obtenir pourtant c'était en partie le cas… Un soupir passa mes lèvres alors que j'abassais enfin les pupilles sur mon plateau et attrapais mes baguettes de la main gauche. « Au moins par respect pour ceux qui ont fait ces gâteaux et pour ceux qui ne peuvent pas manger à leur faim.. » Sur ces derniers mots, j'entamais enfin mon repas tout en tâchant de l'apprécier au mieux malgré l'atmosphère et l'état d'esprit dans lequel je me trouvais.
Friday
It’s too hard to wait
till the weekend
It’s too hard to wait
till the weekend
Perfect HaRa 
«What is this girl?
I can’t help but love her
Let’s meet this coming Friday
Time, please go faster,
I want to rush the clock
Take all of my heart on that day »
I can’t help but love her
Let’s meet this coming Friday
Time, please go faster,
I want to rush the clock
Take all of my heart on that day »
tenue Toutefois, il semblerait bien que le mur continuerait de se dresser devant moi. Infranchissable et gelé. Tu te renfermais sous mes yeux tandis que contre le dossier de la chaise je reposais mon dos. Ma main s'éloignait enfin pour se déposer entre mon coude et mon flanc. Bras croisés et main gauche posée sous le biceps droit, j'observais tes mouvements en silence sans toucher à mon plateau repas, incapable de le faire alors que tu paraissais vouloir avaler le contenu de ton assiette par pure fuite que par réelle faim. Peut-être fut-ce ma réaction qui te poussait à relever le nez sans rien avaler pour préférer l'accusation. Peut-être était-ce tout simplement dans ta nature de ne pas pouvoir t'empêcher de déballer ce qui ne te plaisait. Quoi qu'il en soit, enfin l'accusation tombait et j'avais une brève idée de ce qui n'allait pas. Je n'avais pourtant pas souvenir d'avoir demander un dessert à qui que ce soit et encore moins d'avoir usé de mes charmes pour cela… Sourcils froncés, la scène je reposais dans ma tête à la recherche de l'élément qui était venu perturbé ta bonne humeur. Bien que nombreux, je fus frappé par ma discussion avec la cuisinière à qui j'avais, effectivement, demandé de me donner les restes de cheesecake plutôt que de les jeter. Est-ce que tu étais sérieusement en train de me faire une scène à cause de ça ? Pour une ajumma et des restes ? « Woa… L'esprit féminin est vraiment surprenant. » commentais-je sans bouger et sans même savoir si tu entendrais cette constatation. Toute femme étaient-elles des rivales ? Même les grands-mères ?! Ma position précédente je reprenais, coude contre la table et mains pendantes dans le vide près de mon ventre. Légèrement penché en ta direction alors que tu commençais à manger, je jugeais qu'il était grand temps d'apporter ma réponse pour ce problème que je comprenais enfin. « T'es jalouse d'une ajumma ? Est-ce que j'ai demandé un dessert en plus ou autre ? « Si les cheesecake ne partent pas », c'est pourtant ce que j'ai dit. Ca signifie : plutôt que de jeter les non-vendus, vous pouvez me les donner, je les mangerais. Il est pas question de jouer de ma belle-gueule pour avoir des faveurs mais de ne pas voir de la nourriture jetée. » Soudainement, je réalisais que peut-être tu n'étais pas aussi sensible à cette cause. La nourriture avait quelque chose de sacré, ce n'était un droit que seuls certains élus pouvaient obtenir pourtant c'était en partie le cas… Un soupir passa mes lèvres alors que j'abassais enfin les pupilles sur mon plateau et attrapais mes baguettes de la main gauche. « Au moins par respect pour ceux qui ont fait ces gâteaux et pour ceux qui ne peuvent pas manger à leur faim.. » Sur ces derniers mots, j'entamais enfin mon repas tout en tâchant de l'apprécier au mieux malgré l'atmosphère et l'état d'esprit dans lequel je me trouvais.
(c) DΛNDELION
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