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the voice (orion)
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Re: the voice (orion) | Sam 2 Mai - 20:08 Citer EditerSupprimer
Hak ne savait pas s’il avait envie de l’embarquer ou de le frapper jusqu’à ce que ses phalanges soient remplies de son sang. Il n’aimait pas réellement le son de sa voix ni même le ton qu’il employait. Encore moins quand il parla de se la prendre et il rit. « Jamais. Je suis pas du genre à me soumettre et encore moins à un gamin prétentieux. » ça c’était quelque chose qu’il ne ferait jamais. Il ne s’était jamais soumis à son père, à l’école, à la police, il n’allait pas commencer à le faire avec un petit vaurien. Il entendit clairement le gémissement mais ne dit rien sauf lui annoncer qu’il n’aurait pas sa queue. Ni aujourd’hui, ni demain, ni jamais. « J’en suis sûr. Je parie pas avec les criminels. » Le jeune homme se met alors à dire qu’il était innocent et qu’il avait bien fait de le frapper. Haknyeon le retourna pour le regarder droit dans les yeux. « Ecoute moi bien. C’est pas à toi de décider ça ou non. S’il a fait quelque chose de grave c’est à la police de faire son boulot. » Il le retourna et attrapa ses épaules pour le mener dans sa voiture de police à l’arrière. « Maintenant tu la fermes et on va au commissariat. Tu vas passer quelques temps en garde à vue. »
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Re: the voice (orion) | Dim 17 Mai - 16:57 Citer EditerSupprimer
« Moi un gamin prétentieux ? » s’étonna le tueur à gages un fin sourire aux lèvres « Vous me faites rire monsieur. » lui dit-il avant de tenter de s’approcher de son oreille pour venir y susurrer « Le temps fera son œuvre et croyez moi que vous en serez le premier étonné. » susurra-t-il au creux de son oreille avant de laisser un gémissement s’échapper de ses lèvres rosées, mais très vite le regard joueur d’Orion prit une toute autre teinte. Sa mâchoire se contracta et son regard se teinta d’une colère qu’il ne pouvait cacher. « Je ne suis pas un criminel. » lui répondit l’américain, sentant d’ores et déjà son cœur se serrer sous les mots du policier. Voilà bien des années qu’il avait quitté les Etats-Unis, s’éloignant de son passé pour mieux renaître de ses cendres. Mais maintenant le mot criminel revint siffler à son oreille, lui faisant l’effet d’un coup de poignard dans le cœur. Il n’aimait pas ce mot, non plus encore il le haïssait car Orion était sûr d’une chose … Il n’était pas un criminel. Il n’était pas mauvais. Non … Il ne faisait qu’essayer de survivre dans ce monde qui n’avait jamais voulu de lui. Puis soudainement il se mit à rire à gorge déployée tandis que des larmes vinrent rapidement rouler sur ses joues blanchâtres. « Son boulot ? » répéta-t-il entre deux ricanements. « La police n’a jamais su faire son boulot monsieur. Si c’était le cas, croyez-moi que tout aurait été différent. » répond-t-il froidement, peinant à se retenir de rire. Orion riait pour ne pas pleurer et retomber dans ses yeux souvenirs. Mais malheureusement, sur ses joues les larmes étaient belles et bien présentes. Très vite ces mêmes larmes redoublèrent sans prévenir, et il se laissa totalement manipulé sans dire un mot de plus hormis « J’ai l’habitude d’être celui que l’on coffre. » Silencieux il se laissa faire et s’installa sur le siège arrière de la voiture de police, tentant maladroitement de trouver une position confortable. Par la suite son regard se glissa sur le rétroviseur avant. De là il pouvait entrapercevoir le policier, et étonnamment il lui offrit un petit sourire, avant de détourner le regard pour se concentrer sur la vitre du véhicule.
The Voice
« Moi un gamin prétentieux ? » s’étonna le tueur à gages un fin sourire aux lèvres « Vous me faites rire monsieur. » lui dit-il avant de tenter de s’approcher de son oreille pour venir y susurrer « Le temps fera son œuvre et croyez moi que vous en serez le premier étonné. » susurra-t-il au creux de son oreille avant de laisser un gémissement s’échapper de ses lèvres rosées, mais très vite le regard joueur d’Orion prit une toute autre teinte. Sa mâchoire se contracta et son regard se teinta d’une colère qu’il ne pouvait cacher. « Je ne suis pas un criminel. » lui répondit l’américain, sentant d’ores et déjà son cœur se serrer sous les mots du policier. Voilà bien des années qu’il avait quitté les Etats-Unis, s’éloignant de son passé pour mieux renaître de ses cendres. Mais maintenant le mot criminel revint siffler à son oreille, lui faisant l’effet d’un coup de poignard dans le cœur. Il n’aimait pas ce mot, non plus encore il le haïssait car Orion était sûr d’une chose … Il n’était pas un criminel. Il n’était pas mauvais. Non … Il ne faisait qu’essayer de survivre dans ce monde qui n’avait jamais voulu de lui. Puis soudainement il se mit à rire à gorge déployée tandis que des larmes vinrent rapidement rouler sur ses joues blanchâtres. « Son boulot ? » répéta-t-il entre deux ricanements. « La police n’a jamais su faire son boulot monsieur. Si c’était le cas, croyez-moi que tout aurait été différent. » répond-t-il froidement, peinant à se retenir de rire. Orion riait pour ne pas pleurer et retomber dans ses yeux souvenirs. Mais malheureusement, sur ses joues les larmes étaient belles et bien présentes. Très vite ces mêmes larmes redoublèrent sans prévenir, et il se laissa totalement manipulé sans dire un mot de plus hormis « J’ai l’habitude d’être celui que l’on coffre. » Silencieux il se laissa faire et s’installa sur le siège arrière de la voiture de police, tentant maladroitement de trouver une position confortable. Par la suite son regard se glissa sur le rétroviseur avant. De là il pouvait entrapercevoir le policier, et étonnamment il lui offrit un petit sourire, avant de détourner le regard pour se concentrer sur la vitre du véhicule.
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Re: the voice (orion) | Ven 5 Juin - 23:15 Citer EditerSupprimer
« Oui un gamin prétentieux. » répéta Haknyeon, le regard sur ce gamin qui l’emmerdait royalement. Il avait envie de le faire taire parce que ça l’agaçait de l’entendre parler. Il releva les yeux vers le ciel en l’entendant reprendre la parole. Il croyait vraiment que Hak allait craquer et qu’il allait coucher avec lui ? S’il avait été plus vieux, peut-être. Mais pour le moment, ce n’était pas le cas. Surtout qu’il l’avait arrêté parce qu’il était en train de se battre avec un autre mec. Hors de question qu’il se tape un criminel. Il ne répondit d’ailleurs pas à ses provocations. Qu’il se fasse des idées sans que le policier ne l’aide à avoir l’espoir qu’il puisse un jour poser la main sur lui. « Et tu es quoi alors ? Un enfant de chœur ? » ironisa-t-il, le jeune homme tandis qu’il lui expliquait les bases de la justice et de la police. Ce n’était pas à lui de le faire lui-même. Il n’aurait pas du frapper presque à mort cet autre homme et aller voir les flics. Pourquoi ne l’avait-il pas fait ? Ca n’intéressait pas vraiment Haknyeon, parce qu’il savait juste une chose, c’était que c’était lui qui avait tapé le pauvre mec qui s’était enfui en courant. Hak relâcha doucement sa prise sur lui en le voyant pleuré surpris par ses larmes qui coulaient sur son visage. Que lui arrivait-il ? « Je sais pas ce qui t’es arrivé… Mais ici, la police fait son boulot. » Sympathisait-il avec ce gamin ? Peut-être. Il ne savait pas réellement parce que ce n’était pas dans ses habitudes de le faire. D’ordinaire, il était plus fermé à n’importe quelle discussion avec un suspect. Et là, ça faisait trop longtemps qu’il parlait avec lui. il le fit donc monter dans sa voiture sans relever son commentaire avant de se placer derrière le volant, les menant vers le commissariat. Il remarqua le sourire qu’il lui offrit, mais ne dit rien se concentrant sur la route. Ce n’est qu’arrivé devant l’établissement que Haknyeon prit la parole à nouveau. « Allez viens. » lança-t-il presque doucement à l’encontre de ce gamin qui semblait perdu. Il le fit entrer et le plaça devant son bureau. « Assis toi. »
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Re: the voice (orion) | Ven 17 Juil - 17:39 Citer EditerSupprimer
« Je ne dirai pas un enfant de cœur monsieur l’agent. Mais je ne suis pas un criminel, dans ce cas précis je suis même la victime d’une erreur policière. » lui répond avec arrogance le jeune tueur à gages. Bien entendu, Orion n’avait rien d’un enfant de cœur, ni d’une réelle victime … Peut-être même devait-il plus se rapprocher d’un criminel, ses actes étant le parfait témoin. Pourtant, il ne se voyait pas comme le méchant de l’histoire, Orion avait pour seul désir de survivre. Tous ses actes avaient et sont encore aujourd’hui guidés par le désir de vivre, par le désir de survivre. Ainsi il se devait de tuer pour ne pas être tuer, mais entendre le plus vieux le traiter de criminel le blesse plus qu’il n’avait voulu le croire. « Vous me malmenez alors que je n’ai rien fais de mal. Au lieu de poursuivre ce fils de pute vous m’avez attaqué moi. C’est profondément injuste de se fier à l’apparence. » lui dit-il, avant de sentir son cœur se comprimer dans sa poitrine. Orion avait mal, terriblement mal et sans même s’en rendre compte des larmes vinrent mouiller ses joues d’enfant. Lorsque l’agent essaye de le faire avancer, il tire violemment sur son propre bras, s’arrachant un gémissement de douleur tandis qu’il reste campé sur ses pieds. Orion ne semblait pas décider à bouger, ou du moins pas ainsi, il avait besoin de parler, d’avouer à ce gars en uniforme tout le dégoût que pouvait lui inspirer cette fausse autorité. « Ici ou là-bas … La police nous a abandonné. Vous nous avez abandonné. Je vous déteste tellement si vous saviez … Je vous déteste tant que j’en crève chaque jour un peu plus…Non, je n’en crève pas jour après jour … Vous me tuez jour après jours. Parce que vous … Vous vivez votre petite vie tranquille, sans vous souciez de ceux qui n’ont que pour seul espoir que vous veniez les sauver. Vous n’êtes qu’une bande d’hypocrites … Les larbins du gouvernement que vous sucez jusqu’à la moelle. » crache froidement le métis dont le regard baigné de larmes se trouve très vite empreint d’une colère sourde et d’une haine intense.
Finalement, il détend ses muscles, semblant s’être vidé de toute son énergie. Sans se débattre il se laisse finalement emmener jusqu’à la voiture de police. Une fois à l’intérieur, il tente durant quelques secondes de trouver une position confortable, s’arrachant quelques gémissements d’inconfort. Contre toute attente il trouve la position presque idéale, et lentement son regard vient à la rencontre de celui du policier à travers le rétroviseur. Un sourire vint alors étirer ses lèvres tandis qu’il bascule sa tête en arrière et ferme les yeux. Tout le long du trajet, Orion se fait étrangement silencieux, seul le bruit de sa respiration venant rompre le silence présent dans la voiture. Après quelques minutes, le policier se gare et sort de la voiture. Lentement, le tueur à gages ouvre les yeux, il observe un instant le plafond de la voiture avant de tourner sa tête vers la portière qu’ouvre le plus vieux. Sans rechigner, Orion se laisse sortir de la voiture, il observe alors autour de lui et sans vraiment le vouloir ses muscles se crispent à la vue de tant de policiers. Tel un animal effrayé, il baisse la tête, regardant le sol tandis qu’il se laisse aveuglément guider par le jeune homme. Une fois devant le bureau de celui-ci, on lui ordonne de s’asseoir, mais Orion ne s’exécute pas. La tête toujours vers le sol, il la redresse pour ancrer son regard dans celui du policier. « Non merci. Je ne resterai pas ici très longtemps. Vous n’avez absolument rien contre moi, à part vos yeux et hum … Ce n’est pas une preuve ça, n’est-ce pas ? Donc, faîtes moi votre moral à dix balles, et finissons-en. Je n’ai personne pour venir me chercher. Pas d’amis. Pas de famille. Pas de connaissances. Alors ne nous fatiguons pas tous les deux, ça ne servirait à rien. Laissez-moi juste partir. »
The Voice
« Je ne dirai pas un enfant de cœur monsieur l’agent. Mais je ne suis pas un criminel, dans ce cas précis je suis même la victime d’une erreur policière. » lui répond avec arrogance le jeune tueur à gages. Bien entendu, Orion n’avait rien d’un enfant de cœur, ni d’une réelle victime … Peut-être même devait-il plus se rapprocher d’un criminel, ses actes étant le parfait témoin. Pourtant, il ne se voyait pas comme le méchant de l’histoire, Orion avait pour seul désir de survivre. Tous ses actes avaient et sont encore aujourd’hui guidés par le désir de vivre, par le désir de survivre. Ainsi il se devait de tuer pour ne pas être tuer, mais entendre le plus vieux le traiter de criminel le blesse plus qu’il n’avait voulu le croire. « Vous me malmenez alors que je n’ai rien fais de mal. Au lieu de poursuivre ce fils de pute vous m’avez attaqué moi. C’est profondément injuste de se fier à l’apparence. » lui dit-il, avant de sentir son cœur se comprimer dans sa poitrine. Orion avait mal, terriblement mal et sans même s’en rendre compte des larmes vinrent mouiller ses joues d’enfant. Lorsque l’agent essaye de le faire avancer, il tire violemment sur son propre bras, s’arrachant un gémissement de douleur tandis qu’il reste campé sur ses pieds. Orion ne semblait pas décider à bouger, ou du moins pas ainsi, il avait besoin de parler, d’avouer à ce gars en uniforme tout le dégoût que pouvait lui inspirer cette fausse autorité. « Ici ou là-bas … La police nous a abandonné. Vous nous avez abandonné. Je vous déteste tellement si vous saviez … Je vous déteste tant que j’en crève chaque jour un peu plus…Non, je n’en crève pas jour après jour … Vous me tuez jour après jours. Parce que vous … Vous vivez votre petite vie tranquille, sans vous souciez de ceux qui n’ont que pour seul espoir que vous veniez les sauver. Vous n’êtes qu’une bande d’hypocrites … Les larbins du gouvernement que vous sucez jusqu’à la moelle. » crache froidement le métis dont le regard baigné de larmes se trouve très vite empreint d’une colère sourde et d’une haine intense.
Finalement, il détend ses muscles, semblant s’être vidé de toute son énergie. Sans se débattre il se laisse finalement emmener jusqu’à la voiture de police. Une fois à l’intérieur, il tente durant quelques secondes de trouver une position confortable, s’arrachant quelques gémissements d’inconfort. Contre toute attente il trouve la position presque idéale, et lentement son regard vient à la rencontre de celui du policier à travers le rétroviseur. Un sourire vint alors étirer ses lèvres tandis qu’il bascule sa tête en arrière et ferme les yeux. Tout le long du trajet, Orion se fait étrangement silencieux, seul le bruit de sa respiration venant rompre le silence présent dans la voiture. Après quelques minutes, le policier se gare et sort de la voiture. Lentement, le tueur à gages ouvre les yeux, il observe un instant le plafond de la voiture avant de tourner sa tête vers la portière qu’ouvre le plus vieux. Sans rechigner, Orion se laisse sortir de la voiture, il observe alors autour de lui et sans vraiment le vouloir ses muscles se crispent à la vue de tant de policiers. Tel un animal effrayé, il baisse la tête, regardant le sol tandis qu’il se laisse aveuglément guider par le jeune homme. Une fois devant le bureau de celui-ci, on lui ordonne de s’asseoir, mais Orion ne s’exécute pas. La tête toujours vers le sol, il la redresse pour ancrer son regard dans celui du policier. « Non merci. Je ne resterai pas ici très longtemps. Vous n’avez absolument rien contre moi, à part vos yeux et hum … Ce n’est pas une preuve ça, n’est-ce pas ? Donc, faîtes moi votre moral à dix balles, et finissons-en. Je n’ai personne pour venir me chercher. Pas d’amis. Pas de famille. Pas de connaissances. Alors ne nous fatiguons pas tous les deux, ça ne servirait à rien. Laissez-moi juste partir. »
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Re: the voice (orion) | Lun 3 Aoû - 19:58 Citer EditerSupprimer
Haknyeon soupira à la réponse du plus jeune. « Vraiment une erreur policière ? De ce que j’ai vu, toi tu t’en es bien sorti par rapport à l’autre que tu étais en train de tabasser quand je suis arrivé. » Et il se félicitait presque d’être arrivé aussi rapidement. Il se disait que quelques minutes plus tard, voire même quelques secondes et il aurait pu découvrir un corps sans vie aux pieds de ce jeune homme. Il ne pouvait pas croire qu’il était la victime de l’histoire alors qu’il s’était clairement acharné sur le jeune homme qu’il avait sauvé. Donc ses remarques et le fait qu’il se fasse passer pour une victime ne l’atteignait pas du tout. « Ecoute, si ça avait été toi en train de te faire tabasser j’aurais eu le même comportement avec l’autre type que celui que j’ai avec toi. Alors ton discours de « je suis la victime, c’est moi qu’il faut protéger », il commence sérieusement à me taper sur le système. » Et encore c’était un mot bien faible. Il allait finir par s’énerver réellement. Il le tira pour aller vers la voiture. Mais il s’obstina à ne pas vouloir y aller, essayant de son côté de se défaire de l’emprise du plus vieux.
Les larmes qui coulaient sur son visage ne lui firent pas grand-chose. Certes, c’était triste pour le jeune homme d’avoir été dans une situation où il pensait que la police n’avait pas fait son travail. Mais c’était réellement réducteur de dire que c’était le cas de tous les policiers dans tous les pays. Il le laissa s’énerver tout seul dans son coin et leva à nouveau les yeux au ciel quand il eut fini. « Je sais pas ce qui t’es arrivé et je m’en moque. Mais ici, c’est pas comme ça. On ne suce pas le gouvernement et encore moins on est leurs larbins. On fait simplement notre travail comme il convient de le faire. Donc si ça te convient pas, bah arrête de faire en sorte que la police se retrouve sur ton chemin. » S’il ne voulait pas que les policiers entrent dans sa vie, pourquoi s’obstinait-il à faire en sorte que ce soit le cas ? Haknyeon était sûr que ce n’était pas la première fois qu’il faisait quelque chose dans le genre, donc il ne devait pas s’étonner après si on l’embarquait parce qu’il avait fait quelque chose de mal.
Heureusement, le plus jeune finit par se laisser faire et Hak put le mettre dans la voiture de police sans qu’il ne fasse de scandale. Il ne fit pas attention à lui pendant tout le trajet et une fois arrivé devant le commissariat, il fut content de ne pas avoir eu à le réprimander pendant la route. Il n’aurait pas apprécié de l’engueuler alors qu’il était en train de conduire. Haknyeon avait d’autres chats à fouetter. Il l’amena ensuite à son bureau et lui ordonna de s’asseoir. Seulement, il ne voulut pas le faire et un nouveau soupir s’échappa des lèvres de Hak alors qu’il recommença à prendre la parole. Ça allait être long avec lui, il le sentait. Il ancra son regard dans le sien et le fit devenir aussi noir que possible, ce qui n’était pas bien compliqué vu qu’il commençait à l’emmerder au plus haut point. « Soit, tu t’assieds maintenant et tu fais ce qu’on te dit. Soit, je te fais pourrir en cellule pour toute la nuit. » Un infime sourire mauvais, presque indétectable, s’afficha sur les lèvres du policier alors qu’il désignait à nouveau la chaise de la tête. « A toi de voir si tu veux sortir dans quelques minutes ou si tu veux le faire dans douze heures… C’est ton choix… »
Les larmes qui coulaient sur son visage ne lui firent pas grand-chose. Certes, c’était triste pour le jeune homme d’avoir été dans une situation où il pensait que la police n’avait pas fait son travail. Mais c’était réellement réducteur de dire que c’était le cas de tous les policiers dans tous les pays. Il le laissa s’énerver tout seul dans son coin et leva à nouveau les yeux au ciel quand il eut fini. « Je sais pas ce qui t’es arrivé et je m’en moque. Mais ici, c’est pas comme ça. On ne suce pas le gouvernement et encore moins on est leurs larbins. On fait simplement notre travail comme il convient de le faire. Donc si ça te convient pas, bah arrête de faire en sorte que la police se retrouve sur ton chemin. » S’il ne voulait pas que les policiers entrent dans sa vie, pourquoi s’obstinait-il à faire en sorte que ce soit le cas ? Haknyeon était sûr que ce n’était pas la première fois qu’il faisait quelque chose dans le genre, donc il ne devait pas s’étonner après si on l’embarquait parce qu’il avait fait quelque chose de mal.
Heureusement, le plus jeune finit par se laisser faire et Hak put le mettre dans la voiture de police sans qu’il ne fasse de scandale. Il ne fit pas attention à lui pendant tout le trajet et une fois arrivé devant le commissariat, il fut content de ne pas avoir eu à le réprimander pendant la route. Il n’aurait pas apprécié de l’engueuler alors qu’il était en train de conduire. Haknyeon avait d’autres chats à fouetter. Il l’amena ensuite à son bureau et lui ordonna de s’asseoir. Seulement, il ne voulut pas le faire et un nouveau soupir s’échappa des lèvres de Hak alors qu’il recommença à prendre la parole. Ça allait être long avec lui, il le sentait. Il ancra son regard dans le sien et le fit devenir aussi noir que possible, ce qui n’était pas bien compliqué vu qu’il commençait à l’emmerder au plus haut point. « Soit, tu t’assieds maintenant et tu fais ce qu’on te dit. Soit, je te fais pourrir en cellule pour toute la nuit. » Un infime sourire mauvais, presque indétectable, s’afficha sur les lèvres du policier alors qu’il désignait à nouveau la chaise de la tête. « A toi de voir si tu veux sortir dans quelques minutes ou si tu veux le faire dans douze heures… C’est ton choix… »
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Re: the voice (orion) | Ven 16 Oct - 22:42 Citer EditerSupprimer
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« Je vous l’ai dit ce connard méritait amplement d’être passé à tabac. » crache-t-il à nouveau avant de rire jaune lorsque le policier évoque sa conscience policière « Laissez-moi rire et gardez donc votre numéro du bon flic pour quelqu’un d’autres. Vous ne m’aurez pas comme ça. » lui dit-il avant que les larmes ne viennent inonder ses joues sans qu’il ne puisse rien y faire. « Ici ou ailleurs vous êtes tous les mêmes, vous jouez les super-héros en permanence, mais la vérité en est tout autre. Lorsque l’on a vraiment besoin de vous, vous ne nous écoutez pas et vous nous renvoyez chez nous … Un aller simple pour les Enfers. » explique-t-il d’une voix froide et dénuée de toute émotion « La police se trouve et se trouvera toujours sur mon chemin. Mais n’ayez crainte, un jour la tendance s’inversera et tout me reviendra de droit. »
Finalement, le policier se décide à l’embarquer et tout ceci sans la moindre contestation hormis quelques couinements d’inconforts. Durant le trajet, Orion se montre étrangement silencieux, ce silence en étant même inquiétant vis-à-vis de la situation. Le policier l’emmena ensuite à son bureau et lui ordonna de s’asseoir, ordre qui tinta aux oreilles d’Orion comme le son d’un poing s’abattant sur sa joue…La voix d’un père qu’il haïssait. « Je ne comptes pas m’asseoir, alors envoyez-moi tout de suite au trou et vous pourrez donc éviter de perdre plus de temps. J’en profiterai pour laisser libre court à mon imagination. » il s’approche du bureau, avant de s’y pencher pour sourire au policier « Celle-ci risque fortement d’inclure votre si beau visage … Et cette voix qui en ferait bander plus d’un. »
Finalement, le policier se décide à l’embarquer et tout ceci sans la moindre contestation hormis quelques couinements d’inconforts. Durant le trajet, Orion se montre étrangement silencieux, ce silence en étant même inquiétant vis-à-vis de la situation. Le policier l’emmena ensuite à son bureau et lui ordonna de s’asseoir, ordre qui tinta aux oreilles d’Orion comme le son d’un poing s’abattant sur sa joue…La voix d’un père qu’il haïssait. « Je ne comptes pas m’asseoir, alors envoyez-moi tout de suite au trou et vous pourrez donc éviter de perdre plus de temps. J’en profiterai pour laisser libre court à mon imagination. » il s’approche du bureau, avant de s’y pencher pour sourire au policier « Celle-ci risque fortement d’inclure votre si beau visage … Et cette voix qui en ferait bander plus d’un. »
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Re: the voice (orion) | Jeu 29 Oct - 22:09 Citer EditerSupprimer
« Et toi tu mérites amplement d’aller croupir en cellule quelques heures. » Haknyeon espérait que le type qu’il avait frappé se retournerait contre lui et porterait plainte contre lui. Parce que même si le jeune homme clamait qu’il l’avait mérité, rien ne justifiait son geste déplacé. Il n’aurait pas du le tabasser. Il ne flancherait pas sur ça. « Crois ce que tu veux. Je m’en moque. » soupira-t-il devant le discours de l’inconnu qu’il avait empêché de tuer quelqu’un. Ses larmes ne l’émurent pas vraiment et il leva les yeux au ciel. « Oui bien sûr, je suis un monstre qui ne pense qu’à me mettre en travers de ton chemin. Pour faire de ta vie un enfer. » Hak aurait pu rire, ironiquement, de la situation et de ses mots. Mais n’en fit rien. A la place il l’amena dans sa voiture pour l’amener au commissariat. Il en avait marre de l’entendre se plaindre pour qu’au final que ce ne soit pas grand-chose.
Haknyeon resta silencieux, mais lançait des regards en coin au jeune homme assis sur la banquette arrière. Il ne fit donc aucun commentaire et finit par le sortir de là pour l’amener dans son bureau. Le policier aurait aimé qu’il se taise jusqu’à ce qu’il souffle un peu. Mais c’était sans compter sur le fait qu’il n’était encore une fois pas coopératif. Un long soupir audible s’échappa des lèvres de Hak alors qu’il le fusilla du regard alors qu’il se montrait arrogant. Il le laissa parler et une nouvelle fois, ses yeux se levèrent au ciel. « C’est dommage que ma voix qui en ferait bander plus d’un comme tu dis, ne te sois pas destiné. » S’il avait été expressif, Haknyeon lui aurait adressé un sourire, à la place, il n’eut qu’un visage lisse et stoïque. « Puis qu’est-ce qui te dit que tu m’attires gamin ? Tu sembles bien trop sûr de toi. » C’était vrai ça. Jamais le policier ne lui avait laissé penser qu’il était de ce bord. Il ne pouvait cependant pas nier le fait qu’il était canon, mais c’était, à en juger par son comportement, un gamin. « Alors assis toi de suite, avant que je ne le fasse de force. Et crois moi, tu n’apprécieras pas. » Hak n’était pas connu pour faire dans la dentelle quand on le poussait à bout. Il ne fallait donc pas trop que ce jeune homme ne le chauffe.
Haknyeon resta silencieux, mais lançait des regards en coin au jeune homme assis sur la banquette arrière. Il ne fit donc aucun commentaire et finit par le sortir de là pour l’amener dans son bureau. Le policier aurait aimé qu’il se taise jusqu’à ce qu’il souffle un peu. Mais c’était sans compter sur le fait qu’il n’était encore une fois pas coopératif. Un long soupir audible s’échappa des lèvres de Hak alors qu’il le fusilla du regard alors qu’il se montrait arrogant. Il le laissa parler et une nouvelle fois, ses yeux se levèrent au ciel. « C’est dommage que ma voix qui en ferait bander plus d’un comme tu dis, ne te sois pas destiné. » S’il avait été expressif, Haknyeon lui aurait adressé un sourire, à la place, il n’eut qu’un visage lisse et stoïque. « Puis qu’est-ce qui te dit que tu m’attires gamin ? Tu sembles bien trop sûr de toi. » C’était vrai ça. Jamais le policier ne lui avait laissé penser qu’il était de ce bord. Il ne pouvait cependant pas nier le fait qu’il était canon, mais c’était, à en juger par son comportement, un gamin. « Alors assis toi de suite, avant que je ne le fasse de force. Et crois moi, tu n’apprécieras pas. » Hak n’était pas connu pour faire dans la dentelle quand on le poussait à bout. Il ne fallait donc pas trop que ce jeune homme ne le chauffe.
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Re: the voice (orion) | Dim 8 Nov - 18:45 Citer EditerSupprimer
The Voice
De toute la route Orion ne prit plus une seule fois la réponse, son regard suffisant à dire tout haut ce qu’il gardait pour lui. A plusieurs reprises ce même regard croisa celui de son aîné et un sourire taquin se dessina sur ses lèvres à chaque occasion. Par ailleurs, ce même sourire ne s’effrita guère, même lorsqu’ils pénétrèrent tous les deux dans l’enceinte du commissariat. Au contraire, il n’eut de cesse de s’agrandir, plus encore lorsque le policier lui ordonna de s’asseoir. Bien entendu Orion n’en fit rien, se penchant même sur le bureau pour murmurer quelques mots à destination du beau policier. Sa réponse le fit rire et il haussa vaguement les épaules « C’est ce que vous dîtes maintenant monsieur. » lui dit-il lorsque celui-ci évoqua que cette voix était bien loin de lui être destinée. « Pourquoi je pense ça ? Tout simplement parce que je vous êtes entré dans mon jeu, aussi facilement que l’on attire une souris dans un piège. » lui dit-il avant de rouler des yeux lorsqu’il le menace de faire usage de la force. Il ricane à nouveau, avant de s’asseoir sur la chaise, positionnant ses pieds sur le bureau d’un mouvement souple et arrogant. Les pieds sur le bureau du policier il lui offre un doux sourire, penchant sa tête un instant sur le côté avant de demander « Alors content ? » questionne-t-il, tandis qu’il commença à mordiller sa lèvre inférieure. « Vous savez, si vous ne ressentiez aucun intérêt pour moi vous ne seriez pas là à tenter de vous dédouaner d’une quelconque attirance. A me questionner ainsi vous avez creusé votre propre tombe. » déclare-t-il, bien sûr de ce qu’il était entrain d’avancer, avant de jeter un coup d’œil à l’horloge murale non loin de là. « Aish déjà si tard ? Et si on se débarrassait de toute la paperasse maintenant, histoire d’avoir tout le reste de la nuit rien que pour nous deux. »
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Re: the voice (orion) | Mar 24 Nov - 0:03 Citer EditerSupprimer
Ce gamin en face de lui commençait sérieusement à l’emmerder. Il aurait aimé pouvoir le foutre en cellule et ne plus l’entendre seulement ce ne fut pas le cas. Il refusait de s’asseoir et maintenant, il lui faisait un discours sur sa voix. Il leva les yeux au ciel en l’entendant parler et il aurait pu grimacer si son visage n’était pas, la plupart du temps, vierge de toute expression. « C’est ce que tu crois ça gamin. T’es bien trop prétentieux. » Haknyeon n’était tombé dans aucun piège. Le jeune homme en face de lui était beau, il ne pouvait pas le nier, mais c’était tout. Il était bien trop jeune pour. Il ne devait pas être majeur ou alors tout juste et ça ce n’était pas possible. Hak ne faisait pas dans le gamin alors que lui avait le quart de siècle. Puis, s’il voulait penser qu’il avait le contrôle de la situation grand bien lui faisait. Il lui ordonna de prendre place à nouveau et il se sentit sur le point d’exploser, et de se lever pour lui faire goûter une soupe de phalanges. A la place, il prit une grande inspiration et le laissa parler, vantant les mérites de son esprit. Haknyeon soupira et il s’enfonça dans son fauteuil pour le regarder. « Vas y je t’écoute alors… Qu’est-ce qui te prouve que je suis attiré par toi ? » Il plongea son regard sombre dans le sien avant de laisser un très léger et discret sourire s’afficher sur ses lèvres. Il était imperceptible, donc il ne le verrait pas. « Non attends laisse-moi faire. » Il croisa les bras sur son ventre et ne le lâcha pas du regard. « Donc selon toi, je suis attiré par toi. Mais en fait même si t’es pas mal, on va pas mentir. Les criminels ne m’attirent pas et encore moins les adolescents. Donc tu n’as pas ta chance avec moi. Laisse tomber avant de te casser les dents sur un os. » Il s’avança vers son bureau et alluma son pc, détournant son attention de lui comme s’il n’existait plus. « Maintenant, retire tes pieds de mon bureau et décris-moi ce qui s’est passé là-bas. J’ai pas de temps à perdre. » Il ouvrit la page des déclarations prêt à écrire ce qu’il avait à dire.
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Re: the voice (orion) | Ven 4 Déc - 20:42 Citer EditerSupprimer
« Je ne suis pas prétentieux. Juste réaliste. » fit remarquer le plus jeune, alors qu’il s’installa sur la chaise, non sans positionner ses jambes sur le bureau du jeune policier. Sourire arrogant aux bords des lèvres il s’apprêtait à lui répondre mais son interlocuteur lui coupa l’herbe sous les pieds. Immédiatement, Orion émit un grognement agacé avant de poser son regard de braise sur le visage du jeune policier. Il l’écoute attentivement, buvant ses paroles avant que sa mâchoire ne se crispe de rage. Orion tente de ne rien laisser paraître mais très rapidement la colère s’empare de lui. Il retire subitement ses pieds de sur la table, se redresse et tire nerveusement sur ses menottes, la rage illuminant son regard. « Je ne suis pas un criminel ! » crache-t-il fou de rage, tandis qu’il tire à nouveau sur ses liens prêts à se rompre les poignets pour sauter à la gorge du flic. « Enfoiré ! Attendez que je sorte d’ici. » lui dit-il, le menaçant ouvertement alors qu’il finit par s’incliner, n’arrivant pas à retirer ses liens. Enragé, il s’assoit sur sa chaise sans aucune délicatesse, tandis qu’il pose son regard ailleurs que sur le policier. « A quoi bon, vous avez déjà en tête que je suis le fautif. Le criminel comme vous le dîtes si bien. Alors foutez-moi en cellule qu’on en finisse. Votre sale gueule et votre baratin de bon flic me dégoûte. » lui dit-il froidement, avant de baisser la tête et serrer les dents pour ne pas craquer à nouveau. Si il y avait bien une chose qui pouvait blesser Orion c’était de se faire injustement traiter de criminel. Il n’était pas un ange, il le savait … Mais il n’était pas un criminel. Il ne faisait que survivre et tout ça semblait passer bien au-dessus des représentants de l’ordre et de la loi. On ne semblait voir en lui qu’un criminel, qu’un fautif…Personne ne pouvait voir la victime qui sommeillait derrière cette allure de mauvais garçon. Cette même victime dont l’excès de rage avait écorché à sang ses frêles poignets.
The Voice
« Je ne suis pas prétentieux. Juste réaliste. » fit remarquer le plus jeune, alors qu’il s’installa sur la chaise, non sans positionner ses jambes sur le bureau du jeune policier. Sourire arrogant aux bords des lèvres il s’apprêtait à lui répondre mais son interlocuteur lui coupa l’herbe sous les pieds. Immédiatement, Orion émit un grognement agacé avant de poser son regard de braise sur le visage du jeune policier. Il l’écoute attentivement, buvant ses paroles avant que sa mâchoire ne se crispe de rage. Orion tente de ne rien laisser paraître mais très rapidement la colère s’empare de lui. Il retire subitement ses pieds de sur la table, se redresse et tire nerveusement sur ses menottes, la rage illuminant son regard. « Je ne suis pas un criminel ! » crache-t-il fou de rage, tandis qu’il tire à nouveau sur ses liens prêts à se rompre les poignets pour sauter à la gorge du flic. « Enfoiré ! Attendez que je sorte d’ici. » lui dit-il, le menaçant ouvertement alors qu’il finit par s’incliner, n’arrivant pas à retirer ses liens. Enragé, il s’assoit sur sa chaise sans aucune délicatesse, tandis qu’il pose son regard ailleurs que sur le policier. « A quoi bon, vous avez déjà en tête que je suis le fautif. Le criminel comme vous le dîtes si bien. Alors foutez-moi en cellule qu’on en finisse. Votre sale gueule et votre baratin de bon flic me dégoûte. » lui dit-il froidement, avant de baisser la tête et serrer les dents pour ne pas craquer à nouveau. Si il y avait bien une chose qui pouvait blesser Orion c’était de se faire injustement traiter de criminel. Il n’était pas un ange, il le savait … Mais il n’était pas un criminel. Il ne faisait que survivre et tout ça semblait passer bien au-dessus des représentants de l’ordre et de la loi. On ne semblait voir en lui qu’un criminel, qu’un fautif…Personne ne pouvait voir la victime qui sommeillait derrière cette allure de mauvais garçon. Cette même victime dont l’excès de rage avait écorché à sang ses frêles poignets.
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