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What's the matter -- Azriel & Jiwoong
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Re: What's the matter -- Azriel & Jiwoong | Dim 15 Nov - 15:58 Citer EditerSupprimer
What's the matter
Kô + JiWoong
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@Hitoshio KôTenue | Tu esquisses un franc sourire alors qu'elle te dit que tu n'as même pas vu la moitié de ses capacités. Si elle savait que toi aussi tu caches bien ton jeu. Pendant une fraction de secondes tu te sens un peu coupable de lui mentir. Tu n'as pas le choix, tu dois préserver ta couverture et pourtant tu aurais envie de lui dire, de te dévoiler. A part ton meilleur ami, il n'y a pas beaucoup de monde qui te connaissait vraiment. Tu as passé trois ans en infiltration à, donc tu ne connais pas tes collègues de Seoul. Tu as bien des connaissances, des amis d'enfance, seulement tu ne peux pas te permettre de les voir ouvertement. Même Soo Jung, tu prends tes précautions lorsque tu lui rends visite. Tu n'as pas le droit d'avoir ta vie, tu dois jouer avec celle de ta fausse identité. Aussi les amis que tu te fais sous couverture sont faux et pourtant tes sentiments pour eux sont sincères, comme les moments agréables que tu passes avec Yon. Cependant tu n'as pas le droit de tout gâcher, tu dois continuer ta mascarade, alors tu continues de jouer, comme elle. Lorsqu'elle te caresse la cuisse, tu te mords la lèvre et laisse tes doigts glissés sur le dessus de sa main en lui jetant un regard ardent.
« Tu sais que ça aurait été avec plaisir mais je peux pas me le permettre. »
Encore un mensonge, une fausse excuse. Pourquoi tu ne te laisserais pas tenter, après tout ta petite amie est loin et elle n'en saurait jamais rien. Malgré tes principes étrangers, tu es loyal et couchait avec une femme ressemble à une trahison pour celle qui t'attend à l'autre bout du pays. Le jeu continue et tu as souri lorsqu'elle fronce les sourcils face à ta question pour le moins surprenante. Tu pouffes de rire en murmurant.
« Est-ce que tu es vraiment une demoiselle. Moi je dirais plus que tu ressembles à une femme fatale. »
Tu lui lances un clin d'œil, notant dans un coin de ta tête sa réponse. C'est vrai que tu savais son âge, cependant la date est importante, d'autant plus que c'est assez proche, toujours plus que le tien. Lorsqu'elle retourne la situation, te prenant de court avec une question très personnelle, tu entrouvres la bouche stupéfié. Tu ne t'es jamais posé cette question. En réalité tu n'as jamais fait cas de tes sentiments. Ils sont à tes yeux une faiblesse qui pourrait te mettre en danger. Depuis tout jeune tu t'es protégé, refusant de t'attacher aux gens. La seule personne qui fait exception est ton meilleur ami, car comme toi, il refuse de faire entrer l'amour dans sa vie. Tu as une conception de l'amour et plus particulière du sexe qui t'es propre, aussi tu n'es pas certain qu'une personne "normale" puisse accepter ta vision des choses. Cependant tu n'as pas envie d'étaler cela à Yon. Tu vas donc prendre le pendant de l'humour pour répondre à cette question un peu trop intime. Tu affiches un sourire dont tu as le secret, t'approchant d'elle pour lui répondre dans un murmure.
« Peut-être bien oui, hum peut être que c'est toi....pour l'instant c'est bien toi qui me rend fou. » Tu as plongé ton regard dans le sien avant de te mettre à rire doucement. « Et toi alors, t'es déjà tombé amoureuse ? Pourquoi tu n'as pas de petit ami ? »
« Tu sais que ça aurait été avec plaisir mais je peux pas me le permettre. »
Encore un mensonge, une fausse excuse. Pourquoi tu ne te laisserais pas tenter, après tout ta petite amie est loin et elle n'en saurait jamais rien. Malgré tes principes étrangers, tu es loyal et couchait avec une femme ressemble à une trahison pour celle qui t'attend à l'autre bout du pays. Le jeu continue et tu as souri lorsqu'elle fronce les sourcils face à ta question pour le moins surprenante. Tu pouffes de rire en murmurant.
« Est-ce que tu es vraiment une demoiselle. Moi je dirais plus que tu ressembles à une femme fatale. »
Tu lui lances un clin d'œil, notant dans un coin de ta tête sa réponse. C'est vrai que tu savais son âge, cependant la date est importante, d'autant plus que c'est assez proche, toujours plus que le tien. Lorsqu'elle retourne la situation, te prenant de court avec une question très personnelle, tu entrouvres la bouche stupéfié. Tu ne t'es jamais posé cette question. En réalité tu n'as jamais fait cas de tes sentiments. Ils sont à tes yeux une faiblesse qui pourrait te mettre en danger. Depuis tout jeune tu t'es protégé, refusant de t'attacher aux gens. La seule personne qui fait exception est ton meilleur ami, car comme toi, il refuse de faire entrer l'amour dans sa vie. Tu as une conception de l'amour et plus particulière du sexe qui t'es propre, aussi tu n'es pas certain qu'une personne "normale" puisse accepter ta vision des choses. Cependant tu n'as pas envie d'étaler cela à Yon. Tu vas donc prendre le pendant de l'humour pour répondre à cette question un peu trop intime. Tu affiches un sourire dont tu as le secret, t'approchant d'elle pour lui répondre dans un murmure.
« Peut-être bien oui, hum peut être que c'est toi....pour l'instant c'est bien toi qui me rend fou. » Tu as plongé ton regard dans le sien avant de te mettre à rire doucement. « Et toi alors, t'es déjà tombé amoureuse ? Pourquoi tu n'as pas de petit ami ? »
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Re: What's the matter -- Azriel & Jiwoong | Dim 15 Nov - 17:21 Citer EditerSupprimer
Et encore, et encore cette même rengaine. Il ne pouvait pas se le permettre. Mais se permettre quoi, au juste ? N'était-il pas en train de flirter ouvertement avec Kô depuis la première fois qu'ils s'étaient vus ? Toutes ces attentions, tous ces messages sous-entendus, tout cela qui portait à confusion et qui, de loin, les faisait presque ressembler à un couple... Ce fut pour toutes ces raisons, à la fois un peu vexé et agacé, que le blondinet reprit sa main pour entourer son cocktail. C'était peut-être plus prudent ainsi. Mais il n'abandonnerait pas. Il n'abandonnerait pas cette partie qu'il souhaitait gagner, même si cela ne semblait pas aisé. Il devait quand même vraiment l'aimer, sa petite-amie à l'autre bout de la carte... Qu'importe, dans le fond, puisqu'il jouait avec la flamme et Kô n'aurait de cesse de s'approcher encore, tout doucement, pour qu'il finisse par se brûler avec elle.
« Je suis peut-être une femme fatale, mais tu es un homme bien difficile », soupira-t-il en arrangeant une mèche de ses cheveux.
Ce fut pour cela qu'il l'entraîna sur une question qui, pour sa part, le faisait secrètement rêvasser. Peut-être un peu bête, mais Kô pensait parfois à ces histoires de filles où le prince charmant se déguise sous une forme animale pour attendre un baiser. C'était ça qu'il désirait, lui aussi. Voir, au moins une fois, la véritable apparence d'un homme sous son déguisement. Qu'ils arrêtent de se fourvoyer en se pensant tout puissant. Car même si le plus jeune était aussi un homme, il songeait différemment. Il n'avait pas envie de montrer sa supérieur, d'assouvir avec violence ses désirs... pourtant, parfois, cela ressemblait à cet homme qu'il détestait encore avec une vigueur folle. Kô n'était qu'un gamin perdu qui cherchait encore la plus belle des routes qui pouvait s'ouvrir devant ses pupilles grandes ouvertes...
Pupilles grandes ouvertes quand Jiwoong se rapprocha avec danger de lui, le surprenant un peu dans ses pensées. Alors il rit, encore, et plaça l'une de ses mains sur le torse du brun pour le repousser doucement. Chacun son tour.
« Si je te rends fou, alors oui, poses-toi bien cette question-là : pourquoi est-ce que je n'ai personne dans ma vie ? Mmh, fit-il semblant de réfléchir, vous, les hommes, vous êtes tous pareils avec vos belles paroles. Vous promettez tellement pour seulement vouloir nous passer la corde au cou. Et la serrer bien fort. Es-tu aussi sincère avec ta petite-amie que tu l'es avec moi, Jiwoong ? »
Son regard venait de se replonger dans celui du sportif, une lueur brillant à l'intérieur de ceux-ci. Kô se mit alors à glousser en laissant son cocktail pour finir par s'asseoir sur les genoux de Jiwoong, ses lèvres se faufilant jusqu'à son oreilles.
« C'est bien ma question pour notre petit jeu... »
Et il redescendit pour se rasseoir comme si de rien n'était. Pas trop prêt, Kô. Sinon deviner serait trop aisé...
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Re: What's the matter -- Azriel & Jiwoong | Dim 15 Nov - 17:59 Citer EditerSupprimer
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Kô + JiWoong
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@Hitoshio KôTenue | Il est évident que tu joues avec elle, comme elle le fait avec toi. Depuis que vous vous êtes rencontré, c'est un jeu tacite entre vous que tu apprécies particulièrement. Cela fait longtemps que tu n'as pas eu l'occasion de jouer de tes charmes, de te faire désirer et languir sans passer à l'acte. Si tu aimes les parties de jambes en l'air, tu adores encore plus faire monter la température entre deux corps sans jamais assouvir le moindre désir. En général c'est pour mieux profiter de cette tension créé, cependant avec Yon c'est différent. Pourquoi ? Parce que tu ne couches pas facilement avec les filles, au fond tu préfères les mecs surtout pour t'envoyer en l'air vite fait bien fait. Aussi lorsqu'elle te dit que tu es bien difficile, tu hausses les épaules avec un sourire amusé, pas réellement désolé.
Tu continues d'ailleurs à la taquiner, sans réellement répondre à sa question. Sa réaction te fait sourire à nouveau. Tu fais une moue déçu lorsqu'elle te repousse alors qu'en réalité tu te saurais reculé seul si elle s'était approché. Ce jeu du chat et de la souris, suit moi je te fuis, fuis moi je te suis t'amuse comme un gamin qui joue aux billes. Oui dans ta tête cela ne veut rien dire de plus qu'une partie de foot ou les passes vont et viennent jusqu'à qu'un vainqueur soit déclaré. Ici la victoire à le gout sensuelle d'un baiser volé et tu ne comptes pas y succomber, cependant c'est divertissant de s'approcher du soleil sans l'atteindre. Cette soif d'adrénaline te perdra un jour mais pas ce soir. Tu fais une moue réellement vexé lorsqu'elle te met dans le même bateau que la plupart des hommes. Tu fronces même les sourcils en répondant.
« C'est blessant, j'ai toujours été honnête avec toi et je n'ai jamais voulu te passer la corde au cou, contrairement à toi. Tu t'es jamais dit que tu n'avais personne dans ta vie parce que tu pensais comme ça…»
Tu hausses un sourcil provocateur, encore un peu blessé par ses propos. Après tu as toujours joué franc jeu avec elle, acceptant ses avances et ce petit jeu tout en lui rappelant de temps en temps que tu n'es pas disponible. Libre à elle de continuer et tu ne l'as jamais forcé à te voir, aussi tu la trouves assez rude dans la considération qu'elle a pour toi. Malgré tout cela te met sur une autre piste, elle a déjà du avoir de mauvaises expériences avec la gente masculin, d’où son comportement. Finalement sans qu'elle ne s'en rende compte, tu amasses des pièces et même si tu n'as pas de vu d'ensemble du puzzle, petit à petit tu en apprends un peu plus.
Son attitude aguichante te fait sourire, décidément elle n'est pas prête à lâcher l'affaire et si l'interrogatoire est double. Cependant sur le sujet de ta petite amie tu n'as pas envie de t'étaler. Tu prends ton verre pour boire une bonne gorgée, signe que tu ne répondras pas à cette question.
« Désolé tu ne sauras rien à ce sujet. Tu serais capable de m'accuser de vouloir la tromper avec toi, je me trompes ? »
Tu pouffes de rire pour détendre l'atmosphère. Malgré tes paroles et ton refus de répondre, tu n'as pas envie qu'elle prenne la mouche et parte. Tu passes un bon moment et finalement ce jeu de questions réponses n'est peut-être pas la meilleure des idées que tu es eu. Néanmoins tu t'adosses au canapé, reprenant une distance correcte avec elle avant de reprendre.
« Ok, passons sur le sujet d'amour avant de s'engueuler hum ? Je connais deux de tes passions, la cuisine et la mode, tu en as d'autres ? »
Tu continues d'ailleurs à la taquiner, sans réellement répondre à sa question. Sa réaction te fait sourire à nouveau. Tu fais une moue déçu lorsqu'elle te repousse alors qu'en réalité tu te saurais reculé seul si elle s'était approché. Ce jeu du chat et de la souris, suit moi je te fuis, fuis moi je te suis t'amuse comme un gamin qui joue aux billes. Oui dans ta tête cela ne veut rien dire de plus qu'une partie de foot ou les passes vont et viennent jusqu'à qu'un vainqueur soit déclaré. Ici la victoire à le gout sensuelle d'un baiser volé et tu ne comptes pas y succomber, cependant c'est divertissant de s'approcher du soleil sans l'atteindre. Cette soif d'adrénaline te perdra un jour mais pas ce soir. Tu fais une moue réellement vexé lorsqu'elle te met dans le même bateau que la plupart des hommes. Tu fronces même les sourcils en répondant.
« C'est blessant, j'ai toujours été honnête avec toi et je n'ai jamais voulu te passer la corde au cou, contrairement à toi. Tu t'es jamais dit que tu n'avais personne dans ta vie parce que tu pensais comme ça…»
Tu hausses un sourcil provocateur, encore un peu blessé par ses propos. Après tu as toujours joué franc jeu avec elle, acceptant ses avances et ce petit jeu tout en lui rappelant de temps en temps que tu n'es pas disponible. Libre à elle de continuer et tu ne l'as jamais forcé à te voir, aussi tu la trouves assez rude dans la considération qu'elle a pour toi. Malgré tout cela te met sur une autre piste, elle a déjà du avoir de mauvaises expériences avec la gente masculin, d’où son comportement. Finalement sans qu'elle ne s'en rende compte, tu amasses des pièces et même si tu n'as pas de vu d'ensemble du puzzle, petit à petit tu en apprends un peu plus.
Son attitude aguichante te fait sourire, décidément elle n'est pas prête à lâcher l'affaire et si l'interrogatoire est double. Cependant sur le sujet de ta petite amie tu n'as pas envie de t'étaler. Tu prends ton verre pour boire une bonne gorgée, signe que tu ne répondras pas à cette question.
« Désolé tu ne sauras rien à ce sujet. Tu serais capable de m'accuser de vouloir la tromper avec toi, je me trompes ? »
Tu pouffes de rire pour détendre l'atmosphère. Malgré tes paroles et ton refus de répondre, tu n'as pas envie qu'elle prenne la mouche et parte. Tu passes un bon moment et finalement ce jeu de questions réponses n'est peut-être pas la meilleure des idées que tu es eu. Néanmoins tu t'adosses au canapé, reprenant une distance correcte avec elle avant de reprendre.
« Ok, passons sur le sujet d'amour avant de s'engueuler hum ? Je connais deux de tes passions, la cuisine et la mode, tu en as d'autres ? »
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Re: What's the matter -- Azriel & Jiwoong | Dim 15 Nov - 20:13 Citer EditerSupprimer
Ses paroles l'avaient blessé, Kô l'avait vu et Jiwoong n'avait pas manqué de le lui dire aussi clairement. Mais il ne pensait pas avoir à s'excuser de cela, n'ayant fait que dire ce qu'il en avait tiré de ses propres expériences au fil des années, à côtoyer toute sorte d'hommes. La conclusion qu'il en avait été plus ou moins la même à chaque fois, sans se rendre lui-même à l'évidence qu'il faisait partie de la catégorie des manipulateurs. Quoiqu'il en soit, il encaissa lui aussi la fin des propos de son interlocuteur. Etait-ce parce qu'il pensait ainsi que toutes les relations qu'il entrenait étaient comme elles étaient ? Ou était-ce d'abord un défaut dans les relations dans lesquelles il s'engageait ? D'abord corps, et parfois âme. Aujourd'hui, c'était une excellente interrogation qui s'imposait au jeune homme et il ne savait plus très bien s'il avait envie de faire face aux éventuelles réponses qu'il pourrait trouver. Jamais, jusqu'alors, il n'avait pu renverser la situation... mais la source, en y remontant, la source de tout cela, n'était que de la peine et de la douleur. Même près de dix ans plus tard. On s'était servi de lui comme d'un jouet et tout le monde avait fermé les yeux dessus. Les hommes tiraient sur la corde... que les femmes tendaient ?
« Je pense ainsi car j'ai toujours été déçu de ceux que j'ai trouvé en face de moi. »
Il se renfrogna également quelques secondes dans son coin, soutenant néanmoins le regard de Jiwoong. Il n'avait pas envie de s'embrouiller avec lui quand il venait tout juste de le faire avec cet autre garçon, Azriel, cet homme qui, vraisemblablement, rentrait dans les vils idéaux ancrés dans l'esprit de Kô.
Quoiqu'il en soit, dès que le blond voulut parler de la petite-amie du brun, celui-ci choisit la solution de boire plutôt que de répondre à sa question. Son sous-entendu lui tira un sourire en coin, d'autant plus que, pour le blond, un homme blessé était un homme qui avait des choses à cacher. Qu'est-ce qui se renfermait sous la carapace de son interlocuteur qui l'adoucissait même malgré un semblant de début de dispute ?
Abandonnant un soupir, Kô se renfonça également dans la banquette.
« Okay, je passe mon tour pour la dispute, concilia-t-il en laissant échapper un petit soupir. Non, pas tellement d'autres passions... mais j'aimerais beaucoup voyager. En France surtout, pour la mode et la nourriture ! »
Il n'était pas en colère, alors il avait laissé toute l'animosité qui avait pu envenimer la conversation pourtant si agréable entre eux.
« Et toi, en-dehors de la natation et d'être un héros, qu'est-ce que tu aimes faire ? »
Kô repoussa son verre parce qu'il voyait bien que l'un et l'autre avait envie d'en apprendre davantage sur la vie de l'autre. Ils buvaient simplement pour se détendre plutôt que par vrai défi, et c'était encore mieux ainsi.
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Re: What's the matter -- Azriel & Jiwoong | Dim 15 Nov - 21:57 Citer EditerSupprimer
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@Hitoshio KôTenue | Tu ne regrettes pas les mots que tu as eu et tu entends ce qu'elle te dis. Tu ne sais rien d'elle et ce n'est pas ta faute si elle n'a rencontré que des connards. Dans ton cas, tu estimes être au-dessus de la moyenne. C'est vrai que tu as une conception de l'amour inexistante, un rapport au sexe particulier et une loyauté sélective, cependant tu n'as jamais manipulé les gens. Bon hormis pour ton boulot, c'est vrai que tu es un menteur invétéré, que tu parviens à te jouer des personnes pour atteindre tes objectifs. Au fond tu n'es pas si différent de ce qu'elle décrit, cependant dans ton cœur tu penses le faire pour de bonnes raisons. En tout cas c'est ce dont tu es convaincu. Néanmoins tu n'as pas envie de débattre sur le sujet de la tromperie, de la lutte de pouvoir entre hommes et femmes. C'est bien ce qui t'agace dans la société modère, ce combat acharné pour le pouvoir. Tu as toujours fuit les dogmes de la société et c'est aussi à cause de ça que tu es flic, pour protéger et servir tout le monde. Tu voues ta vie aux autres, la seule chose que tu te permets c'est une vie sexuelle libérée, ton seul plaisir aussi tu n'aimes pas te faire juger là-dessus. Malgré votre différent, tu n'es pas du genre rancunier, ni même réellement fâché. Il t'en faut vraiment plus pour te mettre en colère. Tu n'aimes pas les disputes, c'est pour ça que tu fais dériver la conversation sur un sujet moins houleux. Tu as assez de soucis et de complications dans la vie. Aussi tu veux que le temps que tu passes avec Yon soit agréable. Oh tu aimes parfois débattre mais pas ce soir, ce soir tu veux te détendre. Tu bois donc à nouveau, attendant sa réponse. Tu as bien vu qu'elle est froissée, qu'elle s'est renfermée un peu et tu ne lui en veux pas. Tu esquisses même un léger sourire lorsqu'elle parle de voyage.
« Tu as déjà plus voyagé que moi. » dis-tu en riant. « Qui sait tu pourrais peut être partie en voyage scolaire. Vous avez pensé à vendre des gâteaux pour lever des fonds et organiser un voyage avec le club de cuisine. Je suis peut-être pas doué aux fourreaux mais je sais être très vendeur. » termines tu avec un clin d'œil.
Lorsqu'elle te retourne la question, tu pouffes de rire. Si pour la plupart des gens c'est une question assez simple pour toi c'est compliqué. Dans ta vie tu n'as jamais eu de vraies passions à part la natation. Ce sont les seuls bons souvenirs que tu as des vacances passées en famille au borde l'eau. Le reste n'est qu'engueulades et bagarres à l'école. Tu n'as jamais été très sage, toujours turbulent et impoli, c'est d'ailleurs un comble que tu fasses régner l'ordre aujourd'hui alors que tu l'as toujours troublé étant jeune. Le mot héros pourtant te correspond bien, mais tu ne peux clairement pas avouer être un fan d'adrénaline, de combats, d'armes et de danger, elle te prendrait pour un fou. A bien y réfléchir, tu as d'autres passe-temps mais tu n'as jamais eu l'occasion d'en faire des passions.
« J'aime bien danser comme tu as pu le voir. Sinon je suis un mec normal tu sais, j'aime bien regarder la télé et trainer au lit le matin ça peut être considéré comme une passion ? » ajoutes tu en riant
« Tu as déjà plus voyagé que moi. » dis-tu en riant. « Qui sait tu pourrais peut être partie en voyage scolaire. Vous avez pensé à vendre des gâteaux pour lever des fonds et organiser un voyage avec le club de cuisine. Je suis peut-être pas doué aux fourreaux mais je sais être très vendeur. » termines tu avec un clin d'œil.
Lorsqu'elle te retourne la question, tu pouffes de rire. Si pour la plupart des gens c'est une question assez simple pour toi c'est compliqué. Dans ta vie tu n'as jamais eu de vraies passions à part la natation. Ce sont les seuls bons souvenirs que tu as des vacances passées en famille au borde l'eau. Le reste n'est qu'engueulades et bagarres à l'école. Tu n'as jamais été très sage, toujours turbulent et impoli, c'est d'ailleurs un comble que tu fasses régner l'ordre aujourd'hui alors que tu l'as toujours troublé étant jeune. Le mot héros pourtant te correspond bien, mais tu ne peux clairement pas avouer être un fan d'adrénaline, de combats, d'armes et de danger, elle te prendrait pour un fou. A bien y réfléchir, tu as d'autres passe-temps mais tu n'as jamais eu l'occasion d'en faire des passions.
« J'aime bien danser comme tu as pu le voir. Sinon je suis un mec normal tu sais, j'aime bien regarder la télé et trainer au lit le matin ça peut être considéré comme une passion ? » ajoutes tu en riant
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Re: What's the matter -- Azriel & Jiwoong | Dim 29 Nov - 18:11 Citer EditerSupprimer
Le Japon et la Corée. C'était les deux seuls endroits où s'était rendu le blondinet depuis qu'il était arrivé sur terre. Oui, c'était déjà pas mal, mais sa curiosité, son avidité de connaissances sur certains sujets qui le passionnait, lui donnait envie de voir plus loin, de voir plus grand. La France, par exemple, mais aussi les Amériques. Il se voyait bien déambuler dans les rues de Los Angeles, sur la côte, où l'une de ses boutiques de vêtements se serait implantée. On le montrerait peut-être du doigt, on dirait "regarde, c'est le japonais qui a débarqué ici" et il offrirait son plus beau sourire rouge juché sur ses chaussures à talons compensées. Ca lui plaisait, à Kô, d'être un peu le centre de l'attention, qu'on s'occupe de lui, et c'était pour cette raison qu'il se sentait terriblement attiré par le brun assit en face de lui. Jiwoong lui manifestait suffisamment d'intérêt, même platonique, pour le faire revenir. Encore, et encore. Quitte même s'il finirait par en souffrir.
« C'est une bonne idée, répondit-il amusé du sous-entendu dont il ne doutait pas, mais je préfèrerais partir par mes propres moyens. Je ne veux pas dépendre de qui que ce soit et profiter comme je le voudrais de ce voyage. »
Il lui sourit doucement avant de lui demander ce qu'étaient les centres d'intérêt du plus âgé. Il acquiesça à ses propos et son sourire demeura sur ses lèvres quand il l'entendit dire qu'il était un "homme normal". Alors Kô aussi, aimerait être cet homme normal qu'il décrivait. Il aimerait s'étendre aux côtés de son petit ami et juste rester ainsi dans le lit, à discuter de tout et de rien, à refaire le monde, à regarder la télévision. Une relation normale. Sauf que Kô savait qu'il ne l'était pas, normal. Ce mot était surfait, et Jiwoong était tout sauf normal lui aussi. Du moins, à ses yeux, et c'était vraiment positif.
« Ta petite amie a vraiment de la chance d'être tombée sur un homme comme toi, soupira légèrement le japonais. Ca fait bien des années que je n'ai pas pu traîner au lit de la sorte, moi... »
Il se mordilla un peu la lèvre en songeant que, s'il n'avait pas traîné au lit ainsi, c'était parce qu'il partait toujours une fois la partie terminée. Il détestait s'éterniser, car s'éterniser voulait peut-être un peu dire s'investir, proposer. Et Kô avait peur de tout ça autant que de ne jamais pouvoir être capable de le faire.
« Au fait, je crois que tu connais bien mes rêves, toutes mes ambitions, mais quels sont tes rêves à toi, Jiwoong ? Ceux que tu n'as pas encore pu réaliser et qui te font vibrer au plus profond de ton âme ? »
Pupilles plantées dans celles de son camarade avec bienveillance, Kô ignorait bien quels pouvaient être les rêves les plus fous de Jiwoong. Qu'est-ce qu'un homme de son envergure désirait le plus ?
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Re: What's the matter -- Azriel & Jiwoong | Sam 5 Déc - 15:19 Citer EditerSupprimer
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@Hitoshio KôTenue | Lorsqu'elle mentionne à nouveau son indépendance, tu comprends qu'elle a du souffrir d'un paternel un peu trop directif. Bon nombre d'enfants sont voués à réaliser ce que les parents n'ont pas réussi et en souffrent énormément. Ce n'est pas ton cas, tes parents étaient tellement désespérés de toi qu'ils étaient déjà soulagés quand tu avais un petit boulot et ils n'ont jamais été aussi heureux en apprenant que tu intégrais l'école de police. Ils ont plus d'espoir pour tes sœurs qui sont plus sages. Tu as toujours été le canard noir de la famille, trop turbulent, trop insolent, trop tout. Cette rébellion t'a valu beaucoup de soucis avec les forces de l'ordre ce qui est assez ironique. En tout cas aujourd'hui tu as vu du pays et principalement grâce à ton boulot. Si tu n'es jamais sorti du pays, tu connais bien la Corée du sud et ses dessous les plus sombres. Aussi le rêve de voyage de ta partenaire te fait d'autant plus sourire. C'est un rêve idyllique de pouvoir prendre des vacances à l'étranger, les doigts de pieds en éventai sur une plage. Quoi que tu ne tiendrais pas en place. Pour toute réponse tu as lancé un sourire complique en ajoutant.
« Quand tu feras le tour du monde, pense à envoyer des photos aux copains hein. »
Tu termines par un clin d'œil avant de reprendre ton sérieux pour te décrire. Tu ne mens pas, juste que tu ne dis pas toute la vérité. Au fond tu aimerais pouvoir un jour te réveiller sans que ta journée soit un programme militaire, rempli d'obstacles et de danger. Cependant être flic et surtout infiltré ne te laisse que peu de répit. En effet même sur tes jours de repos, tu ne peux couper les ponts. Tu dois rester dans ton rôle 24h sur 24 et 7j sur 7. Encore une fois la réponse teintée de tristesse de Yon te donne à réfléchir. Cependant tu ne relèves pas, préférant éviter de tomber sur un sujet tendancieux. Cependant tu te permets une petite remarque, espérant qu'elle comprenne les gentillesses de tes paroles, car ce n'est en aucun cas accusateur
« Il ne tient qu'à toi te rester flemmarder au lit. On est responsable de notre bonheur tu sais. »
Tu lèves ton verre pour boire un peu alors qu'elle te questionne à nouveau sur toi. Cette fois ci le sujet est plus intime que le précédent. Tu t'accoudes à la table en réfléchissant un instant. Ce n'est qu'une façade car en réalité à ce genre de question, ta couverture a une réponse toute prête. Ce qui n'est clairement pas ton cas.
« Je veux intégrer l'équipe nationale de natation et pouvoir porter les couleurs de notre pays dans le monde. Qui sait tu me verras peut être aux jeux olympique. A côté de ma carrière de nageur pro, j'aimerais ouvrir une école de natation dans ma ville natation, abordable à tous. »
Tu enflammes ton regard de passion, comme si tout ce que tu dis été vrai alors qu'en fait c'est bien loin de la réalité. La triste vérité c'est que tu as des ambitions bien au-dessus de tes moyens. Tu rêves d'un monde plus juste ou chacun serait accepté. Tu aspires à ce que le commerce du sexe, secret en Corée du sud, soit légalisé, contrôlé pour éradiquer les horreurs commises en sous-main. Tu veux que les méchants soient sous les verrous et que le monde ne soit qu'amour et plaisir. Un monde d'utopie pour lequel tu luttes malgré tout chaque jour. Tu veux plus de transparence alors que tu mens quotidiennement. D'ailleurs tu reprends, pour sortir un mensonge mais tu n'as pas le choix. Au moins dans celui-ci il y a une part de vérité, tu es altruiste.
« Je...j'aime bien aider les autres. J'aimerais aussi travailler avec des enfants handicapés et les aider avec la natation. J'ai eu la chance de faire un stage à Séoul avec une association, ça m'a beaucoup plu et j'aimerais pouvoir continuer à les aider après mes études. »
« Quand tu feras le tour du monde, pense à envoyer des photos aux copains hein. »
Tu termines par un clin d'œil avant de reprendre ton sérieux pour te décrire. Tu ne mens pas, juste que tu ne dis pas toute la vérité. Au fond tu aimerais pouvoir un jour te réveiller sans que ta journée soit un programme militaire, rempli d'obstacles et de danger. Cependant être flic et surtout infiltré ne te laisse que peu de répit. En effet même sur tes jours de repos, tu ne peux couper les ponts. Tu dois rester dans ton rôle 24h sur 24 et 7j sur 7. Encore une fois la réponse teintée de tristesse de Yon te donne à réfléchir. Cependant tu ne relèves pas, préférant éviter de tomber sur un sujet tendancieux. Cependant tu te permets une petite remarque, espérant qu'elle comprenne les gentillesses de tes paroles, car ce n'est en aucun cas accusateur
« Il ne tient qu'à toi te rester flemmarder au lit. On est responsable de notre bonheur tu sais. »
Tu lèves ton verre pour boire un peu alors qu'elle te questionne à nouveau sur toi. Cette fois ci le sujet est plus intime que le précédent. Tu t'accoudes à la table en réfléchissant un instant. Ce n'est qu'une façade car en réalité à ce genre de question, ta couverture a une réponse toute prête. Ce qui n'est clairement pas ton cas.
« Je veux intégrer l'équipe nationale de natation et pouvoir porter les couleurs de notre pays dans le monde. Qui sait tu me verras peut être aux jeux olympique. A côté de ma carrière de nageur pro, j'aimerais ouvrir une école de natation dans ma ville natation, abordable à tous. »
Tu enflammes ton regard de passion, comme si tout ce que tu dis été vrai alors qu'en fait c'est bien loin de la réalité. La triste vérité c'est que tu as des ambitions bien au-dessus de tes moyens. Tu rêves d'un monde plus juste ou chacun serait accepté. Tu aspires à ce que le commerce du sexe, secret en Corée du sud, soit légalisé, contrôlé pour éradiquer les horreurs commises en sous-main. Tu veux que les méchants soient sous les verrous et que le monde ne soit qu'amour et plaisir. Un monde d'utopie pour lequel tu luttes malgré tout chaque jour. Tu veux plus de transparence alors que tu mens quotidiennement. D'ailleurs tu reprends, pour sortir un mensonge mais tu n'as pas le choix. Au moins dans celui-ci il y a une part de vérité, tu es altruiste.
« Je...j'aime bien aider les autres. J'aimerais aussi travailler avec des enfants handicapés et les aider avec la natation. J'ai eu la chance de faire un stage à Séoul avec une association, ça m'a beaucoup plu et j'aimerais pouvoir continuer à les aider après mes études. »
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Re: What's the matter -- Azriel & Jiwoong | Mar 8 Déc - 21:50 Citer EditerSupprimer
Ce n'était pas tant que Kô avait eu un père trop directif, puisque depuis le divorce de ses parents, à douze ans, il n'avait pour ainsi dire plus vraiment de père. Il avait eu un beau-père, il avait sa mère, mais son père avait fini abonné aux absents. Kô avait un peu appris à se débrouiller tout seul dès son adolescence, à se prendre en charge du mieux qu'il le pouvait, à se sauver tout seul. C'était un poids qui l'avait accablé, qui ne lui avait pas fait faire que des bons choix, mais il avait fait de son mieux jusqu'à présent. Aujourd'hui, oui, s'il devait voyageait, il le ferait pour lui et sans rien devoir à personne. Alors, en un sourire, il acquiesça doucement aux paroles de Jiwoong.
« Moi qui pensais que tu aimerais venir avec moi... »
Nouveau sourire, parce que même s'il avait de plus en plus peur de ce qu'il était en train de tisser avec son interlocuteur, il y allait pourtant droit dedans. Il y fonçait même avec ardeur sans se rendre compte de tout le reste. Qu'elle était la force d'attraction que possédait Jiwoong pour que Kô soit comme aimanté à sa personne ? Il se mordilla légèrement la lèvre, songeur, tandis que les paroles suivantes du sportif lui résonnèrent à l'esprit. Il n'avait pas tort, d'une certaine façon, mais jamais Kô n'avait-il eu envie de s'étendre plus d'une nuit auprès de la même personne. Cela faisait des années qu'il vagabondait à droite et à gauche et le jeu l'amusait. Pourtant, pour la première fois depuis tout ce temps, il sentait cette petite flamme qui vibrait dans sa poitrine. Et il se doutait que Jiwoong y était pour quelque chose.
« Je n'y arrive pas, lui dit-il alors en toute sincérité. Alors j'essaie de me créer d'autres bonheurs. »
Comme la mode dans laquelle il se plongeait avec délice. Comme le dessin qui lui permettait d'oublier bien souvent le monde autour de lui alors qu'il le traçait pourtant sur ses feuilles. Comme les soirées, les rencontres d'une fois, les jeux, les mensonges... Il abandonna un petit soupir, se concentrant ensuite sur les rêves du sportif. Cela le fit sourire de l'entendre parler de la sorte. Il l'imaginait bien dans ce rôle, avec cette générosité d'offrir les mêmes choses à tout le monde ; Jiwoong était peut-être un héros, d'une certaine manière. Cette image qu'il avait de lui à cet instant, il était loin de se douter qu'elle était complètement erronée. Mais sa propre image, celle que Kô offrait en retour à Jiwoong, ne l'était-elle pas tout autant ?
« Je trouve que c'est très altruiste de ta part, et même moi qui ne suis pas doué en sport, ça me donne envie de m'y mettre, rit-il. Un peu pour le sport, et beaucoup pour le professeur... »
Il lui adressa un clin d'œil amusé avant de reprendre sa boisson délaissée depuis quelques minutes. Il la termina en sentant ses joues un peu chaudes et vint déposer sa tête sur l'épaule du jeune homme. Le blondinet demeura silencieux un instant avant de reprendre la parole :
« Est-ce que tu crois en quelque chose, Jiwoong ? En quelque chose, peu importe ce que c'est ? Moi... réfléchit-il, je crois en l'amour. C'est peut-être idiot, mais c'est la seule chose en laquelle je crois encore malgré tout. »
Comme certains pouvaient croire en la religion ou au destin, c'était ce qui faisait encore rêver Kô. Il conserva la position qu'il avait prise, laissant juste sa tête pivoter pour regarder le visage de son camarade.
@suh ji woong
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Re: What's the matter -- Azriel & Jiwoong | Ven 11 Déc - 23:26 Citer EditerSupprimer
What's the matter
Kô + JiWoong
▼▲▼
@Hitoshio KôTenue | Tu esquisses un sourire à sa réplique sur ta présence lors de ses voyages. Il est évident que tu as envie de voir du pays, de découvrir le monde, pourtant tu es certain de ne jamais pouvoir le faire. Ton boulot ne te permet pas de prendre des vacances tous les ans comme les personnes normales. En attendant tu te contentes de profiter de la vie que tu as. Elle n'est pas parfaite mais c'est la tienne et la seule que tu as, alors autant la vivre. C'est ce que tu lui fais comprendre, qu'elle est responsable de son bonheur et sa réponse te serre le cœur.
« Tu trouveras chaussure à ton pied, vous êtes toutes des cendrillons après tout non ? »
Une pointe d'humour pour atténuer le triste aveux qu'elle vient de te faire. Heureusement la conversation dérive et tu te prends au jeu, révélant des rêves faux sur un fond de vérité. Ton but est surtout d'éloigner le sujet précédent. Cela fonctionne d'ailleurs puisqu'elle reprend avec un clin d'œil qui te fait sourire. Elle te taquine, ceux à quoi tu réponds en t'approchant d'elle un peu.
« En plus y parait que je suis un bon prof…»
Tu pouffes de rire, conscient des sous-entendu que vous employez. Tu te recules pour attraper aussi ton verre et boire une gorgée. Décidément la discussion houleuse est passée et vous avez reprit votre petit jeu naturellement. Malgré la légèreté de cette soirée, les sujets sont plutôt intime, comme celui qu'elle lance. Tu t'adosses confortablement en réfléchissant un instant avant de répondre.
« Ah l'amour, c'est une belle religion, mais cela reste une croyance avec des règle, des principes et des attentes. J'aime pas tout ce qui est codifié. C'est juste bon pour empêcher les gens de penser par eux même, d'espérer des choses qui n'existent pas, de rêver...Je ne suis pas un rêveur....enfin je préfère vivre l'instant présent plutôt que d'idéaliser le futur. »
Tu es venu chercher son regard, comme pour appliquer tes paroles et te perdre dans ses yeux. Tu ne sais pas ce qu'elle va penser de tout ça. Tu ne sais même pas pourquoi tu lui racontes. Tu sais que tu as une vision de l'amour particulière, ce que tu t'es bien gardé d'expliquer. Préférant éviter le sujet au vu de vos points de vue différents. Aussi tu reprends pour lui exposer tes propres croyances, sans te cacher sous celle de ta couverture. Le sujet l'implique rien, mis à part toi et elle.
« Je préfère croire au présent, aux relations, comme ces instants qu'on partage ensemble par exemple. Plus que ça je crois en l'Homme, en l'être-humain je veux dire, te sent pas vexé hein ?! Je pense que chaque personne est différente et peut apporter quelques choses, bon ou mauvais. Les gens ne naissent pas foncièrement mauvais, ils le deviennent à cause des autres ou de la société. Je crois que chacun devait pouvoir être libre d'être lui-même et de faire son chemin comme il l'entend. Je crois qu'on a tous droit au bonheur et est-ce que c'est pas ce qu'on cherche tous ? »
« Tu trouveras chaussure à ton pied, vous êtes toutes des cendrillons après tout non ? »
Une pointe d'humour pour atténuer le triste aveux qu'elle vient de te faire. Heureusement la conversation dérive et tu te prends au jeu, révélant des rêves faux sur un fond de vérité. Ton but est surtout d'éloigner le sujet précédent. Cela fonctionne d'ailleurs puisqu'elle reprend avec un clin d'œil qui te fait sourire. Elle te taquine, ceux à quoi tu réponds en t'approchant d'elle un peu.
« En plus y parait que je suis un bon prof…»
Tu pouffes de rire, conscient des sous-entendu que vous employez. Tu te recules pour attraper aussi ton verre et boire une gorgée. Décidément la discussion houleuse est passée et vous avez reprit votre petit jeu naturellement. Malgré la légèreté de cette soirée, les sujets sont plutôt intime, comme celui qu'elle lance. Tu t'adosses confortablement en réfléchissant un instant avant de répondre.
« Ah l'amour, c'est une belle religion, mais cela reste une croyance avec des règle, des principes et des attentes. J'aime pas tout ce qui est codifié. C'est juste bon pour empêcher les gens de penser par eux même, d'espérer des choses qui n'existent pas, de rêver...Je ne suis pas un rêveur....enfin je préfère vivre l'instant présent plutôt que d'idéaliser le futur. »
Tu es venu chercher son regard, comme pour appliquer tes paroles et te perdre dans ses yeux. Tu ne sais pas ce qu'elle va penser de tout ça. Tu ne sais même pas pourquoi tu lui racontes. Tu sais que tu as une vision de l'amour particulière, ce que tu t'es bien gardé d'expliquer. Préférant éviter le sujet au vu de vos points de vue différents. Aussi tu reprends pour lui exposer tes propres croyances, sans te cacher sous celle de ta couverture. Le sujet l'implique rien, mis à part toi et elle.
« Je préfère croire au présent, aux relations, comme ces instants qu'on partage ensemble par exemple. Plus que ça je crois en l'Homme, en l'être-humain je veux dire, te sent pas vexé hein ?! Je pense que chaque personne est différente et peut apporter quelques choses, bon ou mauvais. Les gens ne naissent pas foncièrement mauvais, ils le deviennent à cause des autres ou de la société. Je crois que chacun devait pouvoir être libre d'être lui-même et de faire son chemin comme il l'entend. Je crois qu'on a tous droit au bonheur et est-ce que c'est pas ce qu'on cherche tous ? »
CODAGE PAR AMATIS
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Re: What's the matter -- Azriel & Jiwoong | Ven 11 Déc - 23:52 Citer EditerSupprimer
Toutes des cendrillons... C'était bien une réplique d'homme ça et ça ne manqua pas de le faire légèrement sourire. Il ne répliqua cependant rien, n'ayant pas envie de remettre le feu aux poudres. Après tout, il commençait à bien comprendre les paroles de Jiwoong et il n'avait pas envie de mal prendre quelque chose qu'il lançait juste pour s'amuser ; même si on ne pouvait pas s'amuser de tout non plus, à l'évidence. Quoiqu'il en soit la conversation reprit de bon train et ils purent parler de leurs rêves et Kô apprécia entendre ce que désirait son camarade. Il trouvait que c'était quelque chose qui lui allait bien et il se l'imagina plusieurs secondes avant de rire à son sous-entendu rendu.
« J'aimerais beaucoup le savoir... »
Kô saisit alors sa boisson, la terminant, puis il vint déposer sa tête sur l'épaule de Jiwoong, ses paroles dépassant un peu ses pensées. Il l'interrogea sur sa croyance la plus intime, en quelque sorte. Et Kô parla de l'amour.
« Je suis peut-être plus fleur bleue que toi dans ce cas, car je rêve un peu bêtement du grand amour. Tu sais, celui avec un grand A ? rit-il doucement. Je trouve que l'amour est quelque chose que l'on peut donner gratuitement, même s'il fait mal et qu'il est parfois violent. La sensation qu'on ressent quand on le reçoit est formidable... »
Et il se perdit quelques instants dans ses propres pensées. Cela faisait longtemps qu'il n'avait pas ressenti une telle plénitude, un sentiment de protection et de confiance mutuelle. Lui était-ce d'ailleurs arrivé un jour ? Bien sûr, il était déjà tombé amoureux, il avait eu des sentiments pour des hommes dans le passé, sauf que ce n'était rien de plus que des histoires de plusieurs jours. Les flammes s'éteignaient et il repartait de zéro. Peut-être était-ce une des raisons pour lesquelles Kô ne s'engageait pas, pour lesquelles il aimait juste être désiré et repartir. Donner, recevoir, sans contrepartie.
Il se redressa quand il entendit Jiwoong déclarer qu'il croyait en l'être humain. Il lui sourit doucement, un peu envieux dans le fond.
« C'est une belle vision des choses que tu as... murmura-t-il. Finalement, l'amour et le bonheur, ce ne sont peut-être que des concepts qui sont donnés par la société, tu ne crois pas ? Est-ce que tu es heureux, Jiwoong ? Vraiment, heureux ? Moi, je ne le suis pas. J'aime faire croire que c'est le cas, que je vis à fond, et ça, c'est un peu le cas, mais il y a toujours ça... ce... ce passé qui me tue. »
Il soupira en secouant doucement la tête puis agitant un peu la main en se rendant compte que c'était très intime, tout ça, qu'il n'en parlait pas comme ça, et qu'il n'avait pas envie d'en parler ce soir-là.
« Ah ! Mais ne va pas croire que je suis en dépression, ce n'est pas ça du tout, rit-il alors. Est-ce qu'on sort prendre l'air ? Ca me fera du bien. »
Qu'y avait-il dans ce cocktail pourtant si fruité ? Mais il tendit sa main à Jiwoong comme pour l'inviter à le suivre.
@suh ji woong
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