Content d’avoir, cette fois, réussi à envoyer de la peinture sur une demoiselle qu’il ne connaissait ni d’Adam ni d’Eve, Mingwei continua sa quête. Non sans ignorer la demoiselle qui semblait peinée d’avoir de la peinture sur elle. Le sino-coréen ne put s’empêcher de rire, d’un de ses rires faussement diabolique alors qu’il évita de nouveau un objet qui était lancé en sa direction. « Faut apprendre à viser ! Si tu veux je t’apprendrai un autre jour » Il avait un objectif en tête et allait s’y tenir même s’il devait affronter une jeune femme frêle et fragile (il ne violentait pas les femmes mais savait comment les maîtriser sans leur faire de mal). Le livre oublié au sol et ignorant complètement cette jeune femme, il reporta toute son attention sur la porte de la chambre 4.4. Il avait toujours dans l’idée d’exploser ces pétard car à deux reprises ça avait déjà échoué. Or, il se doutait bien que l’effet de surprise était déjà gâché de par le bruit ainsi que son échec mais il s’agissait du Mingwei et il n’allait pas abandonner. Fouillant dans son sac il remarqua qu’il ne lui restait plus beaucoup de pétards. Seulement alors qu’il allait ouvrir la porte, elle s’ouvrit d’elle-même et un jeune apparut. Mingwei n’eut pas le temps de comprendre ce qu’il se passait alors qu’ils commençait à se faire surpasser en nombre. Il reçut une lampe au visage et eut un mouvement de recul. « Putain mais calmez-vous ! » Il savait que ce qu’il disait n’avait aucun sens car c’était eux qui attaquaient. Lui voulait juste s’amuser, pas provoquer une guerre. Alors il prit des pétards qui trainaient encore dans son sac et les lança aux pieds et sango (shin nabi, kwon suoh & lee doha)

Réussite : ça pète.
Échec : ça pète pas.