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it’s alright i’ll hold you ((ae ra))
Im Han Jae
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it’s alright i’ll hold you ((ae ra)) | Mer 19 Mai - 20:25 Citer EditerSupprimer
Les notes s'élevaient doucement dans ton appartement, tes doigts frottant délicatement l'instrument comme si t'avais peur de le briser, comme si tu lui racontais tes secrets les plus intimes. Tu susurras ce que t'avais sur le cœur à chaque mouvement de doigts, à chaque son qui flottait dans l'air. T'avais commencé par suivre cette mélodie plutôt rythmée et joviale, les notes glissant petit à petit dans un air mélancolique. La nostalgie se dessinait et tu fermais les yeux, le visage bougeant à peine de gauche à droite, des frissons sur ta peau alors que tu criais sans ouvrir la bouche. Quand tu rouvris les paupières, ta vue était brouillée, floue, mais les gestes de tes doigts restaient stables et délicats. Tes prunelles se décalèrent naturellement vers cette photo sur ton meuble en face. Les visages souriants de tes grand-parents qui te fixaient et le coin de tes lèvres se leva en réponse. Mais l'amertume s'y lisait – le manque aussi. Tout sur cette photo te manquait. Ta grand-mère surtout. La délicatesse de sa voix, la douceur de ses gestes, la sagesse de ses mots. Ton cœur se serrait à chaque fois que tu pensais à elle, à chaque fois que tu songeais à ces choses que tu n'avais pas assez dites ou à celles que tu avais trop longuement prononcées. Elle avait encore tellement de choses à t'apprendre, à te montrer. Ton grand-père, même s'il était tout près, te manquait. T'aimerais l'avoir avec toi tous les jours, le garder précieusement à tes côtés même si tu savais que c'était égoïste. T'avais déjà perdu ton premier pilier, tu voulais pas perdre le second.
Et la campagne... Le calme, la nature, l'horizon dégagé, le son du vent dans les feuilles. Tout te manquait. Le lieu comme les personnes. La maison comme les souvenirs, les émotions. Rien n'était pareil en ville – trop de bruits, trop de monde. Trop de « trop » parfois trop déroutant pour tes oreilles habitués au bruit de la nature.
Tes phalanges s'arrêtèrent brusquement, le son ronronnant étrangement dans la pièce. Tu délaissas l'instrument, le posant avec douceur, pour aller ouvrir la porte, replaçant tes lunettes sur ton nez. L'humidité disparue de ton regard, tu jetas un regard curieux sur Ae Ra. « Entre, entre », susurras-tu en te décalant, refermant la porte derrière elle. « Tu vas bien ? », la conduisant au salon, tu la laissas s'installer sur le canapé, Frost et Luna gracieusement étalés non loin. Tu rangeas ta guitare sur son socle dans le coin. « Du thé ça te va ? », si elle te disait non, qu'elle voulait du café, t'irais faire du café – si elle te demandait un jus d'orange... t'avais pas de jus d'orange. T'avais des oranges cela dit donc tu pouvais les presser au pire pour lui faire un jus et... « Ou tu préfères un truc à manger ? », tu jetas un regard sur l'heure. « Quelque part dans le monde c'est l'heure du goûter », te défendis-tu dans un froncement léger des sourcils – parce qu'ici l'heure du goûter était déjà passée.felicis
@Jung Ae Ra
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i was far , i was far i was falling before you shine on me it was dark it was dark, it was dark before you woke me up a flower in your hand you smile brightly at me the curse disappears
It’s alright I’ll hold you
Though I can’t understand your breath
Les notes s'élevaient doucement dans ton appartement, tes doigts frottant délicatement l'instrument comme si t'avais peur de le briser, comme si tu lui racontais tes secrets les plus intimes. Tu susurras ce que t'avais sur le cœur à chaque mouvement de doigts, à chaque son qui flottait dans l'air. T'avais commencé par suivre cette mélodie plutôt rythmée et joviale, les notes glissant petit à petit dans un air mélancolique. La nostalgie se dessinait et tu fermais les yeux, le visage bougeant à peine de gauche à droite, des frissons sur ta peau alors que tu criais sans ouvrir la bouche. Quand tu rouvris les paupières, ta vue était brouillée, floue, mais les gestes de tes doigts restaient stables et délicats. Tes prunelles se décalèrent naturellement vers cette photo sur ton meuble en face. Les visages souriants de tes grand-parents qui te fixaient et le coin de tes lèvres se leva en réponse. Mais l'amertume s'y lisait – le manque aussi. Tout sur cette photo te manquait. Ta grand-mère surtout. La délicatesse de sa voix, la douceur de ses gestes, la sagesse de ses mots. Ton cœur se serrait à chaque fois que tu pensais à elle, à chaque fois que tu songeais à ces choses que tu n'avais pas assez dites ou à celles que tu avais trop longuement prononcées. Elle avait encore tellement de choses à t'apprendre, à te montrer. Ton grand-père, même s'il était tout près, te manquait. T'aimerais l'avoir avec toi tous les jours, le garder précieusement à tes côtés même si tu savais que c'était égoïste. T'avais déjà perdu ton premier pilier, tu voulais pas perdre le second.
Et la campagne... Le calme, la nature, l'horizon dégagé, le son du vent dans les feuilles. Tout te manquait. Le lieu comme les personnes. La maison comme les souvenirs, les émotions. Rien n'était pareil en ville – trop de bruits, trop de monde. Trop de « trop » parfois trop déroutant pour tes oreilles habitués au bruit de la nature.
Tes phalanges s'arrêtèrent brusquement, le son ronronnant étrangement dans la pièce. Tu délaissas l'instrument, le posant avec douceur, pour aller ouvrir la porte, replaçant tes lunettes sur ton nez. L'humidité disparue de ton regard, tu jetas un regard curieux sur Ae Ra. « Entre, entre », susurras-tu en te décalant, refermant la porte derrière elle. « Tu vas bien ? », la conduisant au salon, tu la laissas s'installer sur le canapé, Frost et Luna gracieusement étalés non loin. Tu rangeas ta guitare sur son socle dans le coin. « Du thé ça te va ? », si elle te disait non, qu'elle voulait du café, t'irais faire du café – si elle te demandait un jus d'orange... t'avais pas de jus d'orange. T'avais des oranges cela dit donc tu pouvais les presser au pire pour lui faire un jus et... « Ou tu préfères un truc à manger ? », tu jetas un regard sur l'heure. « Quelque part dans le monde c'est l'heure du goûter », te défendis-tu dans un froncement léger des sourcils – parce qu'ici l'heure du goûter était déjà passée.felicis
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Re: it’s alright i’ll hold you ((ae ra)) | Mar 25 Mai - 13:34 Citer EditerSupprimer
Dans le silence de ton appartement tu doutais, encore. Encore aujourd'hui tu te posais, laissant tomber ce masque presque éreintant qui laissait les autres haïr la femme que tu étais. Encore aujourd'hui ton dos se courbait de nouveau après avoir été beaucoup trop droit, tendu, de peur de sentir ce pique venir redressé ta colonne. De peur d'entendre sa voix cinglante qui te disait comme agir, comment parler, comment penser. Aujourd'hui encore quand tu rentrais tu cherchais un instant la compagnie, les mots rassurant d'un père inexistant. Aujourd'hui encore tu n'aurais rien de tout cela , laissant le meilleur et le pire derrière toi, te permettant d'avoir peur, de craindre ce noir qui menaçait de plus en plus ta vie. Cette ombre qui s'habatait lentement mais sûrement sur ta vie en couleur. Tu voulais continuer d'obérer ce bouquet fané en distinguant chaque pétale. Mais aujourd'hui tu ne pouvais plus, faisant tomber pour la énième fois cet objet invisible à tes yeux. Une fois de trop. Sentant ton coeur en proie à une panique que tu détestais tu prenais ton sac toujours à la même place et claquais la porte.
Aujourd'hui tu n'avais pas besoin de rester seule avec de la musique, tu avais besoin de chaleur, d'une voix qui te faisait oublier que tu ne reconnaissais plus son visage. Tu avais besoin de réconfort. Savoir que chaque mot que tu prononcerais serait compris, même si tu disais le contraire de ta pensée, même si tu continuais à faire cette femme que tu ne reconnaissais de moins en moins, forte, sarcastique ou juste incroyablement hautaine. Juste détectable pour ceux qui ne voulaient pas te connaître. Parce qu'il fallait rester seule, afin de ne pas entendre et sentir la pitié dans leur voix. Tu ne voulais pas de ce sentiment qui faisait de notre vie un berceau de lamentations et de pitié. Tu voulais trouver ta voie, ton chemin dans le plus difficile, comme tout le monde.
Mais aujourd'hui t'avait besoin d'être faible, d'être humaine, d'être toi, d'être comme les autres. Taxi , et patience te permirent d'arriver devant cette porte que tu reconnaissais pour le chiffre que tu arrivais à comprendre dans un regard flouté et un touché particulier. La sonnette poussée tu attendais, pas de coiffure aujourd'hui, pas de vêtements couteux, juste toi. La lumière, le son de sa voix tu te permettais d'entrer en retirant tes baskets connaissant maintenant la disposition de son appartement comme is c'était le tien. Mais il te guidait toujours, jusqu'à ce que ton corps soit posé, ne bougeant plus. "Comme toujours et toi ? Un thé se sera parfait merci. " Jamais très loquace, jamais enthousiaste ou surexcitée, tu semblais côtoyer ton ami en étant bien trop malheureuse. Tu t'excuserais surement un jour de lui avoir fait subir ta mauvaise humeur. " Je ne dis jamais non à quelque chose de bon. " Il savait, il connaissait ton ancienne haine pour la nourriture, celle ci tournant en amour progressif , en grignotage. alors tout t'allait, tant que c'était bon. "Que faisais tu ? Je te dérange ? Tu ne travailles pas .. " Est ce que tu n'étais plus que ça ? Son employeur? Tu savais que non, mais tu ne pouvais t'empêcher de t'inquiéter pour lui, et si tu étais un fardeau pour lui ? LEs idées noires ne t'aidant pas tu prenais simplement le thé avec un remerciement touchant doucement la tasse chaude.
felicis
@Im Han Jae
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Dans le silence de ton appartement tu doutais, encore. Encore aujourd'hui tu te posais, laissant tomber ce masque presque éreintant qui laissait les autres haïr la femme que tu étais. Encore aujourd'hui ton dos se courbait de nouveau après avoir été beaucoup trop droit, tendu, de peur de sentir ce pique venir redressé ta colonne. De peur d'entendre sa voix cinglante qui te disait comme agir, comment parler, comment penser. Aujourd'hui encore quand tu rentrais tu cherchais un instant la compagnie, les mots rassurant d'un père inexistant. Aujourd'hui encore tu n'aurais rien de tout cela , laissant le meilleur et le pire derrière toi, te permettant d'avoir peur, de craindre ce noir qui menaçait de plus en plus ta vie. Cette ombre qui s'habatait lentement mais sûrement sur ta vie en couleur. Tu voulais continuer d'obérer ce bouquet fané en distinguant chaque pétale. Mais aujourd'hui tu ne pouvais plus, faisant tomber pour la énième fois cet objet invisible à tes yeux. Une fois de trop. Sentant ton coeur en proie à une panique que tu détestais tu prenais ton sac toujours à la même place et claquais la porte.
Aujourd'hui tu n'avais pas besoin de rester seule avec de la musique, tu avais besoin de chaleur, d'une voix qui te faisait oublier que tu ne reconnaissais plus son visage. Tu avais besoin de réconfort. Savoir que chaque mot que tu prononcerais serait compris, même si tu disais le contraire de ta pensée, même si tu continuais à faire cette femme que tu ne reconnaissais de moins en moins, forte, sarcastique ou juste incroyablement hautaine. Juste détectable pour ceux qui ne voulaient pas te connaître. Parce qu'il fallait rester seule, afin de ne pas entendre et sentir la pitié dans leur voix. Tu ne voulais pas de ce sentiment qui faisait de notre vie un berceau de lamentations et de pitié. Tu voulais trouver ta voie, ton chemin dans le plus difficile, comme tout le monde.
Mais aujourd'hui t'avait besoin d'être faible, d'être humaine, d'être toi, d'être comme les autres. Taxi , et patience te permirent d'arriver devant cette porte que tu reconnaissais pour le chiffre que tu arrivais à comprendre dans un regard flouté et un touché particulier. La sonnette poussée tu attendais, pas de coiffure aujourd'hui, pas de vêtements couteux, juste toi. La lumière, le son de sa voix tu te permettais d'entrer en retirant tes baskets connaissant maintenant la disposition de son appartement comme is c'était le tien. Mais il te guidait toujours, jusqu'à ce que ton corps soit posé, ne bougeant plus. "Comme toujours et toi ? Un thé se sera parfait merci. " Jamais très loquace, jamais enthousiaste ou surexcitée, tu semblais côtoyer ton ami en étant bien trop malheureuse. Tu t'excuserais surement un jour de lui avoir fait subir ta mauvaise humeur. " Je ne dis jamais non à quelque chose de bon. " Il savait, il connaissait ton ancienne haine pour la nourriture, celle ci tournant en amour progressif , en grignotage. alors tout t'allait, tant que c'était bon. "Que faisais tu ? Je te dérange ? Tu ne travailles pas .. " Est ce que tu n'étais plus que ça ? Son employeur? Tu savais que non, mais tu ne pouvais t'empêcher de t'inquiéter pour lui, et si tu étais un fardeau pour lui ? LEs idées noires ne t'aidant pas tu prenais simplement le thé avec un remerciement touchant doucement la tasse chaude.
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Re: it’s alright i’ll hold you ((ae ra)) | Ven 11 Juin - 1:09 Citer EditerSupprimer
On pouvait te demander si c'était le lieu qui te manquait le plus. Les personnes, le calme, l'ambiance. Si c'étaient les souvenirs que tu avais là-bas que tu voulais revivre inlassablement ou si c'était ce sentiment de sécurité et de bien-être que tu voudrais sentir battre dans ton cœur toute ta vie. Et si tu devais répondre, tu dirais tout. Tout te manquait. Les paysages, l'horizon lointain, le bruit des animaux qui s'éveillaient, le bruit de la vie qui s'éveillait. Pouvoir observer les premiers rayons du soleil qui léchaient les plantes, qui caressaient ta peau. Sentir la chaleur de ton foyer, le regard tendre de ta grand-mère sur toi. Pouvoir profiter de la vie. Tu voulais retrouver l'insouciance que t'avais laissé là-bas. Celle dont on avait privé en arrivant en ville. Celle dont les autres se moquaient ouvertement en te voyant arriver. T'étais pas un gars de la ville, tu ne le seras jamais – et tu ne voulais pas l'être. Ton cœur était à la campagne, dans ces champs infinis et ces couleurs magiques. Ton cœur était dans cette maison, celle que tu avais connu depuis tout petit. Ton âme était là-bas, accrochée aux souvenirs, aux émotions. Accrochée au passé que tu ne pouvais plus revivre désormais. Et ton corps était là, assoiffé, le manque évident dans tes veines. La campagne n'était pas une drogue, elle était un besoin. Ton besoin. C'était pour ça que tu y allais souvent. Pour te ressourcer mais aussi pour permettre à ton grand-père de faire de même.
Et aussi, pour te rappeler. Parfois, quand tu fixais l'horizon, les feuilles dansant autour de toi à cause de la légère brise du vent, tu pouvais presque voir ta grand-mère, au loin, qui t'attendait.
T'avais tellement de choses à dire. A tes grand-parents, tes parents, tes ami.e.s. T'avais tellement de choses sur le cœur. « Comme toujours aussi », répondis-tu doucement. Comme toujours, t'étais paumé dans cette ville trop grande. Comme toujours t'étais accroché à ton passé. Comme toujours. « Je vais faire ça », dis-tu dans un petit mouvement du visage comme si tu notais tout sur une liste virtuelle. Un rire discret roula dans ta gorge. « Je vais faire ça aussi », quelque chose à manger, de rapide à cuisiner. T'avais des tas de recettes en tête. Tu l'observas un instant, muet, avant de pencher le visage. « Uh uh », tu secouas le visage de gauche à droite. « Je jouais un peu de guitare, c'est tout », tu partis dans la cuisine, préparer le thé et quelque chose à manger. « Tu ne me déranges jamais, tu le sais », affirmas-tu sans hésiter. Parfois tu supposais qu'il fallait poser des mots pour qu'on puisse mieux les comprendre – te comprendre. « Non je ne travaille pas. Et toi non plus », tu connaissais vos planning. « Alors ne parlons pas de travail. Détends-toi », tu lui donnais la tasse de thé dans la main, un sourire fin aux lèvres avant de repartir en cuisine pour terminer ta préparation. Une fois ceci fait, tu revins, déposant le tout sur la table basse, lui donnant une de tes préparations directement. « Dis-moi ce que t'en penses », tu pris place à ses côtés, tes doigts glissant sur Frost pendant que Luna se frottait tendrement à Ae Ra. « Tu devais lui manquer », dis-tu. Manière indirectement de dire qu'elle t'avait manqué, aussi. Tu la voyais tous les jours, certes. Mais ici c'était différent. Le cadre était différent. « J'ai trouvé une nouvelle série de livres la dernière fois, ça a l'air prometteur. Tu connais les Twisted Disney ? », oui bon... tu lisais tout, fallait pas oublier. Et tu trouvais les couvertures mignonnes – ainsi que le concept vraiment intéressant.felicis
@Jung Ae Ra
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On pouvait te demander si c'était le lieu qui te manquait le plus. Les personnes, le calme, l'ambiance. Si c'étaient les souvenirs que tu avais là-bas que tu voulais revivre inlassablement ou si c'était ce sentiment de sécurité et de bien-être que tu voudrais sentir battre dans ton cœur toute ta vie. Et si tu devais répondre, tu dirais tout. Tout te manquait. Les paysages, l'horizon lointain, le bruit des animaux qui s'éveillaient, le bruit de la vie qui s'éveillait. Pouvoir observer les premiers rayons du soleil qui léchaient les plantes, qui caressaient ta peau. Sentir la chaleur de ton foyer, le regard tendre de ta grand-mère sur toi. Pouvoir profiter de la vie. Tu voulais retrouver l'insouciance que t'avais laissé là-bas. Celle dont on avait privé en arrivant en ville. Celle dont les autres se moquaient ouvertement en te voyant arriver. T'étais pas un gars de la ville, tu ne le seras jamais – et tu ne voulais pas l'être. Ton cœur était à la campagne, dans ces champs infinis et ces couleurs magiques. Ton cœur était dans cette maison, celle que tu avais connu depuis tout petit. Ton âme était là-bas, accrochée aux souvenirs, aux émotions. Accrochée au passé que tu ne pouvais plus revivre désormais. Et ton corps était là, assoiffé, le manque évident dans tes veines. La campagne n'était pas une drogue, elle était un besoin. Ton besoin. C'était pour ça que tu y allais souvent. Pour te ressourcer mais aussi pour permettre à ton grand-père de faire de même.
Et aussi, pour te rappeler. Parfois, quand tu fixais l'horizon, les feuilles dansant autour de toi à cause de la légère brise du vent, tu pouvais presque voir ta grand-mère, au loin, qui t'attendait.
T'avais tellement de choses à dire. A tes grand-parents, tes parents, tes ami.e.s. T'avais tellement de choses sur le cœur. « Comme toujours aussi », répondis-tu doucement. Comme toujours, t'étais paumé dans cette ville trop grande. Comme toujours t'étais accroché à ton passé. Comme toujours. « Je vais faire ça », dis-tu dans un petit mouvement du visage comme si tu notais tout sur une liste virtuelle. Un rire discret roula dans ta gorge. « Je vais faire ça aussi », quelque chose à manger, de rapide à cuisiner. T'avais des tas de recettes en tête. Tu l'observas un instant, muet, avant de pencher le visage. « Uh uh », tu secouas le visage de gauche à droite. « Je jouais un peu de guitare, c'est tout », tu partis dans la cuisine, préparer le thé et quelque chose à manger. « Tu ne me déranges jamais, tu le sais », affirmas-tu sans hésiter. Parfois tu supposais qu'il fallait poser des mots pour qu'on puisse mieux les comprendre – te comprendre. « Non je ne travaille pas. Et toi non plus », tu connaissais vos planning. « Alors ne parlons pas de travail. Détends-toi », tu lui donnais la tasse de thé dans la main, un sourire fin aux lèvres avant de repartir en cuisine pour terminer ta préparation. Une fois ceci fait, tu revins, déposant le tout sur la table basse, lui donnant une de tes préparations directement. « Dis-moi ce que t'en penses », tu pris place à ses côtés, tes doigts glissant sur Frost pendant que Luna se frottait tendrement à Ae Ra. « Tu devais lui manquer », dis-tu. Manière indirectement de dire qu'elle t'avait manqué, aussi. Tu la voyais tous les jours, certes. Mais ici c'était différent. Le cadre était différent. « J'ai trouvé une nouvelle série de livres la dernière fois, ça a l'air prometteur. Tu connais les Twisted Disney ? », oui bon... tu lisais tout, fallait pas oublier. Et tu trouvais les couvertures mignonnes – ainsi que le concept vraiment intéressant.felicis
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Re: it’s alright i’ll hold you ((ae ra)) | Mar 6 Juil - 18:15 Citer EditerSupprimer
Un lieu pour se rattacher, ce n"était pas si fou, si bête et si incroyable. Ce n'était pas une chose perdue qui n'existait plus mais bel et bien un lieu, plus ou moins vaste, dans lequel chacun trouvait sa maison. Ce lieu de paix, ce havre qui ne quittait réellement jamais le cœur. Le tien, si tu pouvais dire en avoir un, n'était pas réel, pas matériel. Il n'était pas là tout en remplissant chaque espace où tu allais. Il était la musique, la mélodie et les sons qui faisaient vibrer ton cœur. Il n'était pas un endroit mais un état. Il était la seule chose que tu pouvais sentir même les yeux fermés, un état qui te rendait heureuse, bien mais surtout libre. Il n'avait cessé de guider tes pas, déjà petite, avait fait danser tes rêves, mélangés à ceux de ta mère. Il t'avait fait travailler, t'avait accompagné, réconforté et maintenant, il te permettait même de vivre. Etait ce vraiment ce lieu de paix ? Est ce que tu avais un endroit appeler « home » ? Sûrement pas, mais tu préférais le voir ainsi, présent. Que de te perdre dans ces idées sombres où rien ni personne n’avait de place, où tu étais perdue dans le noir, et chaque respiration brulait ta gorge. Tu voulais oublier le passé, et le futur sombre qui s'offrait à toi. Tu voulais créer ta maison, ton lieu où la joie pouvait se trouver.
Peut être que personne ne t'attendait, dans cet appartement que tu payais, que tu jetais comme étant le tien. Mais tu savais que tu trouvais refuge chez lui. Toujours la même réponse, qui suivait la tienne .Peut être que tu l'avais appris de lui. Un sourire te prenant il pouvait se vanter d'y arriver, sans rien faire. Il pouvait se pavaner à dire qu'il était ta maison, ton point calme et serein, ton abri. "Quel service cinq étoiles. " Et même plus. Tu ne pouvais oublier toutes les fois où il te rendait service, où il remplissait ce rôle de secrétaire avec brio, te laissant dépendante de lui. Il était la seule personne avec Ha Rang a possédé un titre qui ne s'effaçait jamais. Un besoin, de l'avoir, d'être avec lui, de te sentir entourée par des gens qui te comprenaient. La limite de l'amitié et du travail avait été complètement oubliée. "Oh tu veux en jouer là ? " Il connaissait ton amour pour la musique, pour ces notes douces qui embrassaient ton âme . Il connaissait également les mot que tu ne disaient pas , les pensées derrière le silence, rassurant chacune de tes peurs te laissant simplement sourire. " Bien chef. ". La chaleur doucement contre tes mains tu le remerciais soufflant sur la vapeur qui remontait. Quelques minutes, c'est ce qui lui fallait pour revenir. Prenant ce qu'il te donnait tu pouvait sentir quelques senteurs agréables avant de croquer dedans et d'hocher la tête. "Parfait ! J'adore. " L'appétit retrouvé, l'envie de découvrir faite tu cherchais de nouvelles saveurs. " Ils m'ont tous manqué aussi. " Ce moment de silence, ta campagne à toi se trouvait à ses côtés caressant le pelage de la belle. " Pas du tout .. je suppose que c'est des disney.. mais pas réellement disney " Ta logique était imparable. Tu en étais presque fière de ta connerie. " Alors .. qu'est ce qui change ? Ils ont fait les filles en garçons et vice versa ? " Un prince.. qui chantait. Un homme passant le balais pour sept naines.. c'était pas mal après tout. Tu n'étais pas loin mais pas près non plus, écoutant Han Jae et ses explications tout en continuant de boire et manger, une aisance presque déconcertante qui te permettait de dire que tu étais un peu chez toi. " Oh tu sais quoi ? J'ai pris un plat du jour dans un resto l'autre jour .. et ces débiles ont mis du CONCOMBRE ! Ouh... ignominie .. " Autant qu'il soit au courant de tes péripéties.. moins sympathique que des livres longuement réfléchis.
" "
felicis
@Im Han Jae
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Un lieu pour se rattacher, ce n"était pas si fou, si bête et si incroyable. Ce n'était pas une chose perdue qui n'existait plus mais bel et bien un lieu, plus ou moins vaste, dans lequel chacun trouvait sa maison. Ce lieu de paix, ce havre qui ne quittait réellement jamais le cœur. Le tien, si tu pouvais dire en avoir un, n'était pas réel, pas matériel. Il n'était pas là tout en remplissant chaque espace où tu allais. Il était la musique, la mélodie et les sons qui faisaient vibrer ton cœur. Il n'était pas un endroit mais un état. Il était la seule chose que tu pouvais sentir même les yeux fermés, un état qui te rendait heureuse, bien mais surtout libre. Il n'avait cessé de guider tes pas, déjà petite, avait fait danser tes rêves, mélangés à ceux de ta mère. Il t'avait fait travailler, t'avait accompagné, réconforté et maintenant, il te permettait même de vivre. Etait ce vraiment ce lieu de paix ? Est ce que tu avais un endroit appeler « home » ? Sûrement pas, mais tu préférais le voir ainsi, présent. Que de te perdre dans ces idées sombres où rien ni personne n’avait de place, où tu étais perdue dans le noir, et chaque respiration brulait ta gorge. Tu voulais oublier le passé, et le futur sombre qui s'offrait à toi. Tu voulais créer ta maison, ton lieu où la joie pouvait se trouver.
Peut être que personne ne t'attendait, dans cet appartement que tu payais, que tu jetais comme étant le tien. Mais tu savais que tu trouvais refuge chez lui. Toujours la même réponse, qui suivait la tienne .Peut être que tu l'avais appris de lui. Un sourire te prenant il pouvait se vanter d'y arriver, sans rien faire. Il pouvait se pavaner à dire qu'il était ta maison, ton point calme et serein, ton abri. "Quel service cinq étoiles. " Et même plus. Tu ne pouvais oublier toutes les fois où il te rendait service, où il remplissait ce rôle de secrétaire avec brio, te laissant dépendante de lui. Il était la seule personne avec Ha Rang a possédé un titre qui ne s'effaçait jamais. Un besoin, de l'avoir, d'être avec lui, de te sentir entourée par des gens qui te comprenaient. La limite de l'amitié et du travail avait été complètement oubliée. "Oh tu veux en jouer là ? " Il connaissait ton amour pour la musique, pour ces notes douces qui embrassaient ton âme . Il connaissait également les mot que tu ne disaient pas , les pensées derrière le silence, rassurant chacune de tes peurs te laissant simplement sourire. " Bien chef. ". La chaleur doucement contre tes mains tu le remerciais soufflant sur la vapeur qui remontait. Quelques minutes, c'est ce qui lui fallait pour revenir. Prenant ce qu'il te donnait tu pouvait sentir quelques senteurs agréables avant de croquer dedans et d'hocher la tête. "Parfait ! J'adore. " L'appétit retrouvé, l'envie de découvrir faite tu cherchais de nouvelles saveurs. " Ils m'ont tous manqué aussi. " Ce moment de silence, ta campagne à toi se trouvait à ses côtés caressant le pelage de la belle. " Pas du tout .. je suppose que c'est des disney.. mais pas réellement disney " Ta logique était imparable. Tu en étais presque fière de ta connerie. " Alors .. qu'est ce qui change ? Ils ont fait les filles en garçons et vice versa ? " Un prince.. qui chantait. Un homme passant le balais pour sept naines.. c'était pas mal après tout. Tu n'étais pas loin mais pas près non plus, écoutant Han Jae et ses explications tout en continuant de boire et manger, une aisance presque déconcertante qui te permettait de dire que tu étais un peu chez toi. " Oh tu sais quoi ? J'ai pris un plat du jour dans un resto l'autre jour .. et ces débiles ont mis du CONCOMBRE ! Ouh... ignominie .. " Autant qu'il soit au courant de tes péripéties.. moins sympathique que des livres longuement réfléchis.
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☆☆☆ FIRST WIN SHAKER
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Re: it’s alright i’ll hold you ((ae ra)) | Dim 18 Juil - 13:33 Citer EditerSupprimer
Si on te demandait quel pouvoir voulais-tu posséder, tu parlerais de celui pour voyager dans le temps. Tu savais que c'était ridicule, que ce n'était qu'un concept, qu'une idée pour faire rêver et espérer alors que ce n'était là que des « Et si ». Et si tu avais fait ça, et si tu avais dit ça, regardé là, répondu ceci... Ce n'était qu'une image pour permettre à la population d'imaginer un autre présent pour le façonner de la meilleure des façons. Quelque chose pour se rassurer, peut-être. Pour se donner la force de continuer. Et ce n'était pas que tu n'avais plus la force d'avancer... juste que tu ne voulais plus avancer. Pour le moment. C'était étrange à dire, tu en avais conscience. Mais tu savais que rien ne t'attendait au bout. Tout ce que tu désirais était d'ailleurs toi. Tout ce que tu voulais faisait parti du passé et aujourd'hui tout ça ne se résumait qu'en souvenirs et nostalgie. La présence d'Ae Ra te donnait toujours du baume au cœur. Un peu comme si le temps s'arrêtait pour te laisser souffler. Pas quand vous étiez au travail, car là-bas tout était différent. Tout allait trop vite. Tout allait toujours trop vite. Mais plutôt quand vous vous retrouviez en dehors, que vous pouviez vous arrêter. Comme en cet instant.
« T'as vu ça », rétorquas-tu, amusé. « Profites en pendant que c'est gratuit », parce qu'un jour le service allait devenir payant ? Non mais tu pouvais toujours le faire croire et plaisanter. Ae Ra savait que tu ne faisais que taquiner de toute façon, que t'étais le genre à courir et te plier en quatre pour tes proches parce que les actions parlaient plus que les mots. Tu savais que Ae Ra savait. « Là maintenant tout de suite ? », demandas-tu, clignant des paupières, penaud. Tes choix de mélodie ne sauraient-ils pas trop tristes ? Trop maussades ? En jouant tu laisserais parler ton cœur, hurlant tout ce que tu n'articulais jamais. Voulait-elle entendre ça ? « Tu veux que je joue ? », tu arquas quelque peu le sourcil. Si elle te disait oui, tu jouerais. Tu souris simplement à ses mots, espérant la détendre, lui faire plaisir. Avec un bon thé, des bons mets et ta présence. « Ca veut dire qu'il faut venir les voir plus souvent », tu parlais pour tes chats, oui, bien évidemment. Un léger rire dans la gorge tu bougeas quelque peu le visage. « On peut dire ça », des disney sans être des disney. Tu clignas vivement des paupières à ses paroles suivantes. « Euh non », tu ris quelque peu. « Les personnages restent les mêmes. Du moins dans ce que j'ai lus. Par exemple Peter Pan. Dans le film, Wendy part avec Peter au Pays imaginaire. Mais dans le livre, on suit l'histoire autrement : Wendy part avec le Capitaine Crochet. On suit ses motivations, pourquoi, comment, on découvre l'histoire sous un autre angle », tu tentas d'expliquer au mieux, te pinçant les lèvres, songeur. « J'explique peut-être mal mais c'est vraiment intéressant d'imaginer l'histoire comme ça. Ca donne une toute autre tournure aux films », tu supposais que c'était le but. Ca te donnait surtout envie de voir le film tel qu'il était dans le livre. « Mais comment ont-ils osé ? », déclaras-tu, pas du tout choqué mais plutôt amusé. « Les ignobles petits hommes », encore un peu et tu partais en révolution – ou pas. Tu gardais un sourire amusé en coin, le regard pétillant, taquin. « J'espère que tu leur as fait ravaler leur concombre. Comment ose-t-on mettre du concombre dans un plat franchement ? », tu avalas une gorgée de ta boisson. « T'as fait quoi du coup ? T'as réussi à manger quand même ? », la questionnas-tu. « T'es du genre à refuser de manger les aliments que le concombre a touché ou ça te dérange pas ? », t'avais des questions hautement intelligentes dis donc. Tu haussas quelque peu les épaules dans une petite grimace. « Pourquoi les concombres d'ailleurs... », marmonnas-tu, songeur, les sourcils froncés en fixant la table. L'avait-on menacé avec un concombre un jour ?felicis
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Si on te demandait quel pouvoir voulais-tu posséder, tu parlerais de celui pour voyager dans le temps. Tu savais que c'était ridicule, que ce n'était qu'un concept, qu'une idée pour faire rêver et espérer alors que ce n'était là que des « Et si ». Et si tu avais fait ça, et si tu avais dit ça, regardé là, répondu ceci... Ce n'était qu'une image pour permettre à la population d'imaginer un autre présent pour le façonner de la meilleure des façons. Quelque chose pour se rassurer, peut-être. Pour se donner la force de continuer. Et ce n'était pas que tu n'avais plus la force d'avancer... juste que tu ne voulais plus avancer. Pour le moment. C'était étrange à dire, tu en avais conscience. Mais tu savais que rien ne t'attendait au bout. Tout ce que tu désirais était d'ailleurs toi. Tout ce que tu voulais faisait parti du passé et aujourd'hui tout ça ne se résumait qu'en souvenirs et nostalgie. La présence d'Ae Ra te donnait toujours du baume au cœur. Un peu comme si le temps s'arrêtait pour te laisser souffler. Pas quand vous étiez au travail, car là-bas tout était différent. Tout allait trop vite. Tout allait toujours trop vite. Mais plutôt quand vous vous retrouviez en dehors, que vous pouviez vous arrêter. Comme en cet instant.
« T'as vu ça », rétorquas-tu, amusé. « Profites en pendant que c'est gratuit », parce qu'un jour le service allait devenir payant ? Non mais tu pouvais toujours le faire croire et plaisanter. Ae Ra savait que tu ne faisais que taquiner de toute façon, que t'étais le genre à courir et te plier en quatre pour tes proches parce que les actions parlaient plus que les mots. Tu savais que Ae Ra savait. « Là maintenant tout de suite ? », demandas-tu, clignant des paupières, penaud. Tes choix de mélodie ne sauraient-ils pas trop tristes ? Trop maussades ? En jouant tu laisserais parler ton cœur, hurlant tout ce que tu n'articulais jamais. Voulait-elle entendre ça ? « Tu veux que je joue ? », tu arquas quelque peu le sourcil. Si elle te disait oui, tu jouerais. Tu souris simplement à ses mots, espérant la détendre, lui faire plaisir. Avec un bon thé, des bons mets et ta présence. « Ca veut dire qu'il faut venir les voir plus souvent », tu parlais pour tes chats, oui, bien évidemment. Un léger rire dans la gorge tu bougeas quelque peu le visage. « On peut dire ça », des disney sans être des disney. Tu clignas vivement des paupières à ses paroles suivantes. « Euh non », tu ris quelque peu. « Les personnages restent les mêmes. Du moins dans ce que j'ai lus. Par exemple Peter Pan. Dans le film, Wendy part avec Peter au Pays imaginaire. Mais dans le livre, on suit l'histoire autrement : Wendy part avec le Capitaine Crochet. On suit ses motivations, pourquoi, comment, on découvre l'histoire sous un autre angle », tu tentas d'expliquer au mieux, te pinçant les lèvres, songeur. « J'explique peut-être mal mais c'est vraiment intéressant d'imaginer l'histoire comme ça. Ca donne une toute autre tournure aux films », tu supposais que c'était le but. Ca te donnait surtout envie de voir le film tel qu'il était dans le livre. « Mais comment ont-ils osé ? », déclaras-tu, pas du tout choqué mais plutôt amusé. « Les ignobles petits hommes », encore un peu et tu partais en révolution – ou pas. Tu gardais un sourire amusé en coin, le regard pétillant, taquin. « J'espère que tu leur as fait ravaler leur concombre. Comment ose-t-on mettre du concombre dans un plat franchement ? », tu avalas une gorgée de ta boisson. « T'as fait quoi du coup ? T'as réussi à manger quand même ? », la questionnas-tu. « T'es du genre à refuser de manger les aliments que le concombre a touché ou ça te dérange pas ? », t'avais des questions hautement intelligentes dis donc. Tu haussas quelque peu les épaules dans une petite grimace. « Pourquoi les concombres d'ailleurs... », marmonnas-tu, songeur, les sourcils froncés en fixant la table. L'avait-on menacé avec un concombre un jour ?felicis
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Re: it’s alright i’ll hold you ((ae ra)) | Sam 31 Juil - 0:03 Citer EditerSupprimer
Il osait même te faire rire, te donner ce bonheur en goutte que tu savourais chaque seconde. "Gratuit ? Pardon? Je ne paies pas ces services là. " Et pourtant tu signais le chèque chaque fin de mois, mais les tâches étaient loin ou pas. Finalement il était embauché comme yeux, secrétaire, mais également ami non ? Ou bien tu ne savais plus où était cette limite. "Là. Maintenant. Tout de suite. " Pourquoi attendre? Ne connaissait il pas ton amour pour la musique ? Peut être que ta demande était impromptue, violente et rapide mais tu voulais écouter chaque mélodie. Hochant doucement la tête, les lippes doucement étirées tu croisais tes bras en attendant une démo. " Toi oui. " C'était là tout l'intérêt. Entendre ce qu'il pensait, ce qu'il ressentait. Une magie que tu avais toujours bien compris sans jamais pouvoir la maitriser. "J'aimerai venir plus souvent. " le voir pour partager un thé plutôt que de lui demander le dernier nom d'un idiot qui venait signer un contrat. Partager des passions , et l'écouter parler de ses livres préférés. Un "ah" prenant place sur tes lèvres alors que tu avais lamentablement échoué au jeu des devinettes. " Ohhhh ! ça m'intéresse, peut être qu'ils seront moins niais. Je n'ai jamais vu des histoires avec tant de niaiseries ! "Connue pour ton franc parler tu n'étais pas reconnue pour ton romantisme ou la douceur. " Non je comprends ! J'aime bien, enfin le concept je chercherai ! " En espérant qu'ils aient été traduit à l'oral. Toucher les pages du'n livre, sentir cette senteur particulière, tu le pouvais toujours mais les marques noires n'avaient plus aucune distinction pour toi. Mais tu arrivais toujours à reconnaître un concombre quand ils croisaient ton chemin. "Tu te moques. Je ne vois pas mais j'entends, tu te fous de ma gueule Han Jae ! " Pointant du doigt le vide, loupant ton ami de quelques centimètres tu soupirais doucement de cette expérience traumatisante. "Ils auraient du prévenir ! " En même temps que voulais tu dans une salade ? On faisait vite le tour. "Bien sûr que non ! " Comment aurais tu pu ? tu étais partie le plus vite possible, importunant un voisin de table. " Je refuse de manger ou toucher ces choses. " pourquoi ? Telle était la grande question. Han Jae se posant la question que tu avais tant voulu comprendre depuis des années. " Voilà une bonne question, j'en sais rien... " Aucun traumatisme passé ne semblait pourtant associé, alors pourquoi ? Ca te gâchait la vie ce fichu concombre.
"un jour je trouverai ! " Comme tu retrouverais la vue. Tu en étais sûre. " Oh, je vais parler un peu boulot : je vais lancer des auditions. Il faudra que tu sois là. Sinon je vais passer pour une idiote. " A lancer des objets dans le vide ? Désigner quelqu'un qui était en fait un rideau ? Oui il valait mieux que tu sois entourée. " Tu es d'accord ? "avait il même le choix ?
" "
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Crier à en perdre un poumon, la voix, à perdre tout ce que tu possédais juste pour qu'on te remarque. Les yeux rivés sur toi personne ne t'avait réellement jamais regardé. pas avant d'avoir ces gens un peu spéciaux dans ta vie. Tu avais essayé de t'accrocher à ton père, piètre faible qui suivait sa femme pour la gloire et l'argent. Montrer la plus belle à son bras, la réussite du bout des doigts. Mais toi ? Qui étais tu ? Qu'étais tu ? Tu avais crié, tu avais subi, tu avais tenté d'exciter de la pire des manières avant de les connaitre. Avant de rencontre Han Jae, un homme aux antipodes de qui tu étais, de qui tu pouvais être. Un homme qui t'avait fait comprendre que ta voix était importante. Elle était là, entendue et comprise. Tu n'avais plus besoin de pousser la voix, parfois simplement un geste suffisait. Il était aussi important pour toi, que ce souffle que tu avais perdu à force de crier.Il osait même te faire rire, te donner ce bonheur en goutte que tu savourais chaque seconde. "Gratuit ? Pardon? Je ne paies pas ces services là. " Et pourtant tu signais le chèque chaque fin de mois, mais les tâches étaient loin ou pas. Finalement il était embauché comme yeux, secrétaire, mais également ami non ? Ou bien tu ne savais plus où était cette limite. "Là. Maintenant. Tout de suite. " Pourquoi attendre? Ne connaissait il pas ton amour pour la musique ? Peut être que ta demande était impromptue, violente et rapide mais tu voulais écouter chaque mélodie. Hochant doucement la tête, les lippes doucement étirées tu croisais tes bras en attendant une démo. " Toi oui. " C'était là tout l'intérêt. Entendre ce qu'il pensait, ce qu'il ressentait. Une magie que tu avais toujours bien compris sans jamais pouvoir la maitriser. "J'aimerai venir plus souvent. " le voir pour partager un thé plutôt que de lui demander le dernier nom d'un idiot qui venait signer un contrat. Partager des passions , et l'écouter parler de ses livres préférés. Un "ah" prenant place sur tes lèvres alors que tu avais lamentablement échoué au jeu des devinettes. " Ohhhh ! ça m'intéresse, peut être qu'ils seront moins niais. Je n'ai jamais vu des histoires avec tant de niaiseries ! "Connue pour ton franc parler tu n'étais pas reconnue pour ton romantisme ou la douceur. " Non je comprends ! J'aime bien, enfin le concept je chercherai ! " En espérant qu'ils aient été traduit à l'oral. Toucher les pages du'n livre, sentir cette senteur particulière, tu le pouvais toujours mais les marques noires n'avaient plus aucune distinction pour toi. Mais tu arrivais toujours à reconnaître un concombre quand ils croisaient ton chemin. "Tu te moques. Je ne vois pas mais j'entends, tu te fous de ma gueule Han Jae ! " Pointant du doigt le vide, loupant ton ami de quelques centimètres tu soupirais doucement de cette expérience traumatisante. "Ils auraient du prévenir ! " En même temps que voulais tu dans une salade ? On faisait vite le tour. "Bien sûr que non ! " Comment aurais tu pu ? tu étais partie le plus vite possible, importunant un voisin de table. " Je refuse de manger ou toucher ces choses. " pourquoi ? Telle était la grande question. Han Jae se posant la question que tu avais tant voulu comprendre depuis des années. " Voilà une bonne question, j'en sais rien... " Aucun traumatisme passé ne semblait pourtant associé, alors pourquoi ? Ca te gâchait la vie ce fichu concombre.
"un jour je trouverai ! " Comme tu retrouverais la vue. Tu en étais sûre. " Oh, je vais parler un peu boulot : je vais lancer des auditions. Il faudra que tu sois là. Sinon je vais passer pour une idiote. " A lancer des objets dans le vide ? Désigner quelqu'un qui était en fait un rideau ? Oui il valait mieux que tu sois entourée. " Tu es d'accord ? "avait il même le choix ?
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Re: it’s alright i’ll hold you ((ae ra)) | Mar 10 Aoû - 17:07 Citer EditerSupprimer
« Peut-être qu'un jour, si », dis-tu, haussant les épaules. Et le ton de ta voix amusé contredisait tes paroles. Tu ne feras pas payer. Pas à Ae Ra, en tout cas. C'était même ainsi que tu lui montrais à quel point elle comptait. Par les attentions, les gestes. T'étais pas doué avec les mots. Tu clignas quelque peu des paupières, penaud, marmonnant un petit « Euh okay » mal assuré, observant les alentours comme si tu cherchais quelque chose. Il te faudrait juste un petit temps de préparation. Très léger... Le temps que tu trouves quoi lui jouer. « Moi oui », répétas-tu bêtement. « D'accord. Juste... », tu agitas quelque peu la main, t'humectant les lèvres. T'allais bien finir par trouver un truc sympa à jouer. Tu souris simplement à ses mots, bougeant quelque peu le visage. C'était difficile, avec le travail et le reste, de se dégager du temps pour soi parfois. « La porte est toujours ouverte, tu le sais », peu importait le jour, l'heure. La porte serait grande ouverte pour elle. Un rire léger quitta tes lèvres alors que tu l'observais, amusé. « C'est pour permettre aux enfants de rêver, je suppose ? Et parfois aux adultes aussi », parce que certains adultes restaient des enfants et certains d'entre vous avaient encore besoin de rêves pour tenir. « Mais c'est moins niais, je trouve. Ca reste du Disney cela dit », tu supposais que ça résumait bien la chose non ? « Je peux t'en lire un passage si tu veux », proposas-tu. Tu supposais qu'il n'y avait pas d'audio book pour ces livres-là. Du moins t'avais pas vraiment cherché mais ça lui éviterait de payer pour un service qu'elle pouvait avoir gratuitement. Pas vrai ?
« Moi ? Me moquer ? Jamais », pourtant un sourire étirait tes lèvres et ta voix était légère. Tu lui décalas quelque peu la main pour que son doigt te pointe toi et pas le vide. « Ils devraient même le préciser à chaque fois », ajoutas-tu, pour en remettre une couche. « Hmm je comprends », tu souris, attendri. T'avais l'impression de faire face à une môme qui refusait de manger ses légumes. C'était attachant. Ca le rendait plus insouciante d'une certaine façon. « Peut-être que ça a un rapport avec ton ancienne vie ? », émis-tu, les sourcils froncés, sérieux. « Comme les marques de naissance qui sont les cicatrices qui montrant comment on est morts dans une ancienne vie », tout était relié en fait ! … mais du coup c'était quoi le rapport avec les concombres ?? T'en savais rien du tout. Tu émis un simple son. Elle trouvera, t'en étais sûr. « Je serai là », dis-tu sans hésiter. C'était ton rôle, après tout. C'était pour ça que tu étais payé. Mais même si tu ne l'étais pas, tu viendrai. Pour elle. « C'était pas noté dans le planning ça par contre, si ? », lanças-tu, perplexe. « Il va falloir l'ajouter sinon tout le reste va être décalé », et il était hors de question que le planning ne soit pas organisé. Pas sous tes yeux. Ja-mais.
Tu t'installas tranquillement sur le canapé, attrapant ta guitare, laissant tes doigts glisser sur les cordes, laissant quelques sons faibles se libérer. Tu ne savais toujours pas quoi jouer mais.. tu allais improviser. Tu gardas le silence, laissant tes phalanges faire le reste, laissant les sons devenir un peu plus appuyés à chaque seconde qui filait. Et la mélodie s'éleva, tes doigts voyageant sur l'instrument pour venir le frôler. La musique résonna, douce, à la saveur nostalgique. C'était ton histoire que tu écrivais en musique. Ce manque dont tu parlais. La campagne, ta grand-mère... Cette peur que t'avais, de perdre ton grand-mère. Ce mal être qui t'habitait à chaque fois que tu regardais par la fenêtre. Tout était là. Et les notes devinrent plus fines, plus fluides. Le son devint plus lisse, stable. Puis plus rien. Tu redressas le visage vers Ae Ra. « Voilà », soufflas-tu, l'esquisse fine. « Tu veux que je joue encore ? Tu peux proposer une chanson », tu faisais jukebox aussi. « Ou je peux te lire un bout du livre... tout en passant un cd de chansons acoustiques », tu mélangeais les genres, les passions. T'avais pas de limites apparemment. « Si je trouve comment fonctionne le lecteur, j'ai changé il y a pas longtemps, l'ancien était cassé... », enfin si, t'avais des limites.felicis
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« Peut-être qu'un jour, si », dis-tu, haussant les épaules. Et le ton de ta voix amusé contredisait tes paroles. Tu ne feras pas payer. Pas à Ae Ra, en tout cas. C'était même ainsi que tu lui montrais à quel point elle comptait. Par les attentions, les gestes. T'étais pas doué avec les mots. Tu clignas quelque peu des paupières, penaud, marmonnant un petit « Euh okay » mal assuré, observant les alentours comme si tu cherchais quelque chose. Il te faudrait juste un petit temps de préparation. Très léger... Le temps que tu trouves quoi lui jouer. « Moi oui », répétas-tu bêtement. « D'accord. Juste... », tu agitas quelque peu la main, t'humectant les lèvres. T'allais bien finir par trouver un truc sympa à jouer. Tu souris simplement à ses mots, bougeant quelque peu le visage. C'était difficile, avec le travail et le reste, de se dégager du temps pour soi parfois. « La porte est toujours ouverte, tu le sais », peu importait le jour, l'heure. La porte serait grande ouverte pour elle. Un rire léger quitta tes lèvres alors que tu l'observais, amusé. « C'est pour permettre aux enfants de rêver, je suppose ? Et parfois aux adultes aussi », parce que certains adultes restaient des enfants et certains d'entre vous avaient encore besoin de rêves pour tenir. « Mais c'est moins niais, je trouve. Ca reste du Disney cela dit », tu supposais que ça résumait bien la chose non ? « Je peux t'en lire un passage si tu veux », proposas-tu. Tu supposais qu'il n'y avait pas d'audio book pour ces livres-là. Du moins t'avais pas vraiment cherché mais ça lui éviterait de payer pour un service qu'elle pouvait avoir gratuitement. Pas vrai ?
« Moi ? Me moquer ? Jamais », pourtant un sourire étirait tes lèvres et ta voix était légère. Tu lui décalas quelque peu la main pour que son doigt te pointe toi et pas le vide. « Ils devraient même le préciser à chaque fois », ajoutas-tu, pour en remettre une couche. « Hmm je comprends », tu souris, attendri. T'avais l'impression de faire face à une môme qui refusait de manger ses légumes. C'était attachant. Ca le rendait plus insouciante d'une certaine façon. « Peut-être que ça a un rapport avec ton ancienne vie ? », émis-tu, les sourcils froncés, sérieux. « Comme les marques de naissance qui sont les cicatrices qui montrant comment on est morts dans une ancienne vie », tout était relié en fait ! … mais du coup c'était quoi le rapport avec les concombres ?? T'en savais rien du tout. Tu émis un simple son. Elle trouvera, t'en étais sûr. « Je serai là », dis-tu sans hésiter. C'était ton rôle, après tout. C'était pour ça que tu étais payé. Mais même si tu ne l'étais pas, tu viendrai. Pour elle. « C'était pas noté dans le planning ça par contre, si ? », lanças-tu, perplexe. « Il va falloir l'ajouter sinon tout le reste va être décalé », et il était hors de question que le planning ne soit pas organisé. Pas sous tes yeux. Ja-mais.
Tu t'installas tranquillement sur le canapé, attrapant ta guitare, laissant tes doigts glisser sur les cordes, laissant quelques sons faibles se libérer. Tu ne savais toujours pas quoi jouer mais.. tu allais improviser. Tu gardas le silence, laissant tes phalanges faire le reste, laissant les sons devenir un peu plus appuyés à chaque seconde qui filait. Et la mélodie s'éleva, tes doigts voyageant sur l'instrument pour venir le frôler. La musique résonna, douce, à la saveur nostalgique. C'était ton histoire que tu écrivais en musique. Ce manque dont tu parlais. La campagne, ta grand-mère... Cette peur que t'avais, de perdre ton grand-mère. Ce mal être qui t'habitait à chaque fois que tu regardais par la fenêtre. Tout était là. Et les notes devinrent plus fines, plus fluides. Le son devint plus lisse, stable. Puis plus rien. Tu redressas le visage vers Ae Ra. « Voilà », soufflas-tu, l'esquisse fine. « Tu veux que je joue encore ? Tu peux proposer une chanson », tu faisais jukebox aussi. « Ou je peux te lire un bout du livre... tout en passant un cd de chansons acoustiques », tu mélangeais les genres, les passions. T'avais pas de limites apparemment. « Si je trouve comment fonctionne le lecteur, j'ai changé il y a pas longtemps, l'ancien était cassé... », enfin si, t'avais des limites.felicis
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Re: it’s alright i’ll hold you ((ae ra)) | Sam 21 Aoû - 23:09 Citer EditerSupprimer
"Im Han Jae vous filez un mauvais coton. " Même s'il acceptait de remettre ton doigt silencieusement, même s'il te laissait être exécrable, être toi. " Bien sur que oui ! " L'ironie n'était pas bonne, les concombres non plus. Et tu refusais d'avoir à faire à ces choses démoniaques. La raison restant inconnue quant à ta peur irrationnelle, tu aimais croire que tu étais faite comme ça. Et que le concombre était mauvais. Point. Tu n'allais pas aussi loin que Han Jae qui voyait ta vie passé reliée à un concombre, ou plusieurs même. " T'es en train de me dire que je me suis faite frapper avec des concombres ? C'est ridicule. " Pas autant que ta peur en elle même, mais tu aimais dire que c'était pire. Il valait mieux parler travail, puisqu'il ne quittait jamais ton esprit. "Parfait. Non il n'y ait pas encore. Ce n'est pas de suite. par contre vendredi je vois Ha Rang. Justement pour lui en parler. Si j'ai des choses de prévu il faut décaler. " La vie semblait aller dans ton sens, faisant la pluie et le beau temps, tu n'étais pourtant toujours pas libre. "Je te fais confiance pour l'organisation je t'enverrai le plan d'action et l'idée par mail. "
Autre l'organisation Han Jae avait d'autres talents. Dont celui de jouer. Tu voulais comprendre comment tout ça marchait; Pourquoi les notes résonnaient en toi depuis toujours ? Comment chaque mélodie affectait ta vie, ton ressenti. Tu voulais réellement comprendre ce qui se passait chez toi. Mais cette mélodie te faisait voyager ailleurs, perdre cette joie pour partager l'anxiété de ton interlocuteur. Elle te calmait pourtant, te rendant nostalgique mais légère. Lorsqu'elle prit fin tu sortais de cette sorte de transe réfléchissant plus lentement. " Je n'ai pas d'idée pour le moment allons y pour la lecture. Je vais simplement écouter le son de ta voix, ça ira très bien. " Cela n'avait jamais été un secret; la voix de Han Jae était la raison première de son embauche. "Aya ... ça ne va toujours pas mieux avec la technologie ? Je suis sûre de mieux faire même sans rien voir. " Tu te moquais doucement, mais tu n'étais pas mieux dans d'autres domaines. Tu étais celle qui n'arrivais pas à voir, s'effrayais des concombres et ne savais exprimer ses sentiments. Ca en faisait des handicaps pour une seule et même personne. Fermant les yeux tu laissais ta tête reposer sur le canapé. " Je t'écoute. " Le repos lui même t'évitait avec précaution, te demandant de tenir, les nerfs à vif, le corps au bord du gouffre. Le repos n'ayant jamais croisé ta route.
" "
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Ton expression voulait tout dire : tu ne le croyais pas. Lui, ses paroles, le sourire qu'il avait et que tu entendais dans ses paroles. Oui tu avais réussi à développer une technique en imaginant les expressions grâce au ton de la voix. Et tu savais qu'il t'embêtait mais ne le pensais pas le moins du monde. Tout comme il ne s'attendait pas à ce que tu lui demandes de jouer maintenant. Mais il avait proposé. Dire non à la musique était un crime. Pourtant il ne semblait pas avoir pris cela en compte et attendait sûrement une réponse négative. La panique le prit surement tandis que tu attendais presque impatiente. " La mienne aussi... je ne ferme jamais à clef. " Si tu avais été des plus douce pendant trois secondes tu n'osais jamais réellement rester dans cette douceur. Comme si l'être t'était fatal. On t'avait appris à mordre, non pas à caresser. Pourtant tu étais sérieuse avec Han Jae. " Ca ne sert à rien de rêver. Ca nous brise quand on se rend compte que c'est impossible. " Briser le rêve des autres, tu étais douée pour ça. Car tu savais à quel point il était douloureux de comprendre que son rêve était irréalisable. " Alors je veux bien essayer. Et puis tu as bon goût je suppose que ce n'est pas mauvais. " Un moyen de lui dire que tu lui faisais confiance, que tu voulais rentrer dans son univers, un moyen de partager quelques moments ensemble également."Im Han Jae vous filez un mauvais coton. " Même s'il acceptait de remettre ton doigt silencieusement, même s'il te laissait être exécrable, être toi. " Bien sur que oui ! " L'ironie n'était pas bonne, les concombres non plus. Et tu refusais d'avoir à faire à ces choses démoniaques. La raison restant inconnue quant à ta peur irrationnelle, tu aimais croire que tu étais faite comme ça. Et que le concombre était mauvais. Point. Tu n'allais pas aussi loin que Han Jae qui voyait ta vie passé reliée à un concombre, ou plusieurs même. " T'es en train de me dire que je me suis faite frapper avec des concombres ? C'est ridicule. " Pas autant que ta peur en elle même, mais tu aimais dire que c'était pire. Il valait mieux parler travail, puisqu'il ne quittait jamais ton esprit. "Parfait. Non il n'y ait pas encore. Ce n'est pas de suite. par contre vendredi je vois Ha Rang. Justement pour lui en parler. Si j'ai des choses de prévu il faut décaler. " La vie semblait aller dans ton sens, faisant la pluie et le beau temps, tu n'étais pourtant toujours pas libre. "Je te fais confiance pour l'organisation je t'enverrai le plan d'action et l'idée par mail. "
Autre l'organisation Han Jae avait d'autres talents. Dont celui de jouer. Tu voulais comprendre comment tout ça marchait; Pourquoi les notes résonnaient en toi depuis toujours ? Comment chaque mélodie affectait ta vie, ton ressenti. Tu voulais réellement comprendre ce qui se passait chez toi. Mais cette mélodie te faisait voyager ailleurs, perdre cette joie pour partager l'anxiété de ton interlocuteur. Elle te calmait pourtant, te rendant nostalgique mais légère. Lorsqu'elle prit fin tu sortais de cette sorte de transe réfléchissant plus lentement. " Je n'ai pas d'idée pour le moment allons y pour la lecture. Je vais simplement écouter le son de ta voix, ça ira très bien. " Cela n'avait jamais été un secret; la voix de Han Jae était la raison première de son embauche. "Aya ... ça ne va toujours pas mieux avec la technologie ? Je suis sûre de mieux faire même sans rien voir. " Tu te moquais doucement, mais tu n'étais pas mieux dans d'autres domaines. Tu étais celle qui n'arrivais pas à voir, s'effrayais des concombres et ne savais exprimer ses sentiments. Ca en faisait des handicaps pour une seule et même personne. Fermant les yeux tu laissais ta tête reposer sur le canapé. " Je t'écoute. " Le repos lui même t'évitait avec précaution, te demandant de tenir, les nerfs à vif, le corps au bord du gouffre. Le repos n'ayant jamais croisé ta route.
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Re: it’s alright i’ll hold you ((ae ra)) | Dim 5 Sep - 17:46 Citer EditerSupprimer
@Jung Ae Ra
« Un peu dangereux quand même », commentas-tu dans un léger rire bien que tu le pensais vraiment. T'espérais qu'elle racontait juste ça pour plaisanter, pour répondre à tes mots dans un ton plus léger et moins sérieux. Dans un ton qui lui était propre. Tu clignas un peu des paupières à ses mots, levant le regard dans le vide comme si tu étudiais chaque syllabe. « Petit, ça sert », dis-tu simplement. Petit, c'était agréable de rêver, d'imaginer, de penser. Petit, c'était chouette de vivre des tas d'aventures, de s'inventer des tas d'aventures. C'était beau de pouvoir penser que l'on pouvait voler et que l'on était invincibles. Même si la chute était brutale quand la vérité venait nous frapper. « Ils auront le temps en grandissant de se rendre compte que ça sert plus à rien », rêvais-tu encore aujourd'hui ? Oui et non. T'avais plus les mêmes rêves que quand t'étais gosse. C'était normal, en soit. T'avais grandi. T'avais appris que la vie était difficile, que tout était compliqué. Que perdre quelqu'un était une sensation horrible, que te perdre était tout aussi insurmontable. Mais tu supposais que c'était mieux pour un enfant de rester un enfant, et d'y croire. T'aurais pas voulu qu'on te brise tout ça, petit, même si ça aurait pu te préparer à la suite. « Merci », lâchas-tu simplement, un sourire fin aux lèvres. Il était vrai que ce n'était pas la meilleure lecture que tu aurais pu lui offrir mais... cela donnait une perspective différente à l'histoire. A toutes les histoires – celles des contes mais aussi celles que vous viviez.
« Je vois pas de quoi tu parles », tu haussas quelque peu les épaules, faussement innocent. Tu te moquais très bien et tu le savais tout aussi bien qu'elle. Mais c'était bon enfant, jamais méchant. « Bien sûr », soufflas-tu en bougeant le visage. Toujours inscrire s'il y avait du concombre dans une recette, ça devrait être obligatoire partout dans le monde. Et même ailleurs encore. Tu tentais d'expliquer sa peur comme tu le pouvais, même si tes explications étaient plus qu'étranges et douteuses. Plissant le nez, tu émis un léger son. « Pas frappée... Mais peut-être empoisonnée », murmuras-tu, les sourcils un brin froncés. « Pas plus ridicule que d'avoir peur des concombres pour une raison inconnue », commentas-tu. T'essayais de trouver une explication. Même si parfois, il y en avait pas. « Toute peur est rationnelle et vient bien de quelque part donc... pourquoi pas », tu levas les épaules. Ceci expliquerait cela, la boucle serait bouclée, voilà. Poussant les lèvres en avant, tu mimas un petit air contrarié. T'allais devoir décaler tout le planning, en fait. Autant dire les choses simplement. « Je verrais ce que je peux faire », dis-tu, sachant déjà que tu ferais tout pour le planning soit parfaitement organisé. Elle le savait aussi. « D'accord », parce que de toute façon t'allais pas refuser.
Tu jouas un morceau ensuite, à sa demande. Tu voulais lui faire plaisir et même si les notes paraissaient tristes, tu ne faisais que t'exprimer sans parler. C'était ce que tu appréciais dans la musique, cette façon de pouvoir dire les choses sans avoir besoin d'ouvrir la bouche. Tu pouvais tout aussi bien jouer une mélodie plus joyeuse ou plus sombre. C'était magique, la musique. « La lecture alors », soufflas-tu dans un mouvement de tête. Tu pouvais presque dire que ta voix était un outil utile pour ton travail. « Non », avouas-tu sans hésiter, gêné sans vraiment l'être. « J'y peux rien si ça change tout le temps », râlas-tu comme un vieux retraité. « C'est juste parce que t'as l'habitude », que tu marmonnas comme un gosse, une petite grimace boudeuse au visage. T'y pouvais rien si t'étais nul. Tu allas récupérer le livre, t'installant lentement sur le canapé, l'observant en silence pendant quelques secondes, le sourire discret. Tu t'humectas les lèvres, ouvrant le livre, t'arrêtant sur la première et tu commenças : « Certes, c'est une scène qui a été dépeinte maintes et maintes fois, au point d'en devenir un cliché. Il est pourtant nécessaire de recommencer pour les besoins de notre histoire. Ce n'est pas une « couverture nuageuse » qui recouvre le ciel. Cela évoquerait trop de confort douillet. Non, ces nuages masquent le ciel. Ils l'envahissant. Ils l'étouffent... », que tu articulas doucement, soigneusement, laissant les mots brûler tes lèvres. Et ces quelques paroles donnaient le ton de l'histoire non ? Cela changeait des Disney ordinaire où l'on aurait tendance à dire que le ciel était recouvert de ce manteau de coton, ne laissant pas penser que les boules blanches pouvaient étouffer le ciel si bleu. Tu continuas ta lecture, ni trop lente, ni trop rapide. Ni trop bruyante, non plus. Tu gardais ta voix à une volume que tu supposais agréable. « Voilà », fis-tu ensuite. « C'étaient les trois premiers chapitres », ils étaient courts, en plus. « Tu veux un plaid pour faire ta sieste ? », demandas-tu, amusé, le regard vers elle. « Ce serait bien, non ? Si on pouvait réécrire notre histoire nous aussi », chuchotas-tu, les phalanges glissant sur la couverture du bouquin, l'esquisse triste. Tu savais même pas si elle écoutait ce que tu disais ou si elle s'était endormie. Tes iris se mirent à détailler son visage, patient, attendant qu'elle te dise de continuer, d'arrêter ou de faire autre chose.
Pseudo : Stitchy (( She ))
Célébrité : SeoYe Ji
Crédits : avatar : @Bambi / Signa : @Astra
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Âge : 32
@Jung Ae Ra
« Un peu dangereux quand même », commentas-tu dans un léger rire bien que tu le pensais vraiment. T'espérais qu'elle racontait juste ça pour plaisanter, pour répondre à tes mots dans un ton plus léger et moins sérieux. Dans un ton qui lui était propre. Tu clignas un peu des paupières à ses mots, levant le regard dans le vide comme si tu étudiais chaque syllabe. « Petit, ça sert », dis-tu simplement. Petit, c'était agréable de rêver, d'imaginer, de penser. Petit, c'était chouette de vivre des tas d'aventures, de s'inventer des tas d'aventures. C'était beau de pouvoir penser que l'on pouvait voler et que l'on était invincibles. Même si la chute était brutale quand la vérité venait nous frapper. « Ils auront le temps en grandissant de se rendre compte que ça sert plus à rien », rêvais-tu encore aujourd'hui ? Oui et non. T'avais plus les mêmes rêves que quand t'étais gosse. C'était normal, en soit. T'avais grandi. T'avais appris que la vie était difficile, que tout était compliqué. Que perdre quelqu'un était une sensation horrible, que te perdre était tout aussi insurmontable. Mais tu supposais que c'était mieux pour un enfant de rester un enfant, et d'y croire. T'aurais pas voulu qu'on te brise tout ça, petit, même si ça aurait pu te préparer à la suite. « Merci », lâchas-tu simplement, un sourire fin aux lèvres. Il était vrai que ce n'était pas la meilleure lecture que tu aurais pu lui offrir mais... cela donnait une perspective différente à l'histoire. A toutes les histoires – celles des contes mais aussi celles que vous viviez.
« Je vois pas de quoi tu parles », tu haussas quelque peu les épaules, faussement innocent. Tu te moquais très bien et tu le savais tout aussi bien qu'elle. Mais c'était bon enfant, jamais méchant. « Bien sûr », soufflas-tu en bougeant le visage. Toujours inscrire s'il y avait du concombre dans une recette, ça devrait être obligatoire partout dans le monde. Et même ailleurs encore. Tu tentais d'expliquer sa peur comme tu le pouvais, même si tes explications étaient plus qu'étranges et douteuses. Plissant le nez, tu émis un léger son. « Pas frappée... Mais peut-être empoisonnée », murmuras-tu, les sourcils un brin froncés. « Pas plus ridicule que d'avoir peur des concombres pour une raison inconnue », commentas-tu. T'essayais de trouver une explication. Même si parfois, il y en avait pas. « Toute peur est rationnelle et vient bien de quelque part donc... pourquoi pas », tu levas les épaules. Ceci expliquerait cela, la boucle serait bouclée, voilà. Poussant les lèvres en avant, tu mimas un petit air contrarié. T'allais devoir décaler tout le planning, en fait. Autant dire les choses simplement. « Je verrais ce que je peux faire », dis-tu, sachant déjà que tu ferais tout pour le planning soit parfaitement organisé. Elle le savait aussi. « D'accord », parce que de toute façon t'allais pas refuser.
Tu jouas un morceau ensuite, à sa demande. Tu voulais lui faire plaisir et même si les notes paraissaient tristes, tu ne faisais que t'exprimer sans parler. C'était ce que tu appréciais dans la musique, cette façon de pouvoir dire les choses sans avoir besoin d'ouvrir la bouche. Tu pouvais tout aussi bien jouer une mélodie plus joyeuse ou plus sombre. C'était magique, la musique. « La lecture alors », soufflas-tu dans un mouvement de tête. Tu pouvais presque dire que ta voix était un outil utile pour ton travail. « Non », avouas-tu sans hésiter, gêné sans vraiment l'être. « J'y peux rien si ça change tout le temps », râlas-tu comme un vieux retraité. « C'est juste parce que t'as l'habitude », que tu marmonnas comme un gosse, une petite grimace boudeuse au visage. T'y pouvais rien si t'étais nul. Tu allas récupérer le livre, t'installant lentement sur le canapé, l'observant en silence pendant quelques secondes, le sourire discret. Tu t'humectas les lèvres, ouvrant le livre, t'arrêtant sur la première et tu commenças : « Certes, c'est une scène qui a été dépeinte maintes et maintes fois, au point d'en devenir un cliché. Il est pourtant nécessaire de recommencer pour les besoins de notre histoire. Ce n'est pas une « couverture nuageuse » qui recouvre le ciel. Cela évoquerait trop de confort douillet. Non, ces nuages masquent le ciel. Ils l'envahissant. Ils l'étouffent... », que tu articulas doucement, soigneusement, laissant les mots brûler tes lèvres. Et ces quelques paroles donnaient le ton de l'histoire non ? Cela changeait des Disney ordinaire où l'on aurait tendance à dire que le ciel était recouvert de ce manteau de coton, ne laissant pas penser que les boules blanches pouvaient étouffer le ciel si bleu. Tu continuas ta lecture, ni trop lente, ni trop rapide. Ni trop bruyante, non plus. Tu gardais ta voix à une volume que tu supposais agréable. « Voilà », fis-tu ensuite. « C'étaient les trois premiers chapitres », ils étaient courts, en plus. « Tu veux un plaid pour faire ta sieste ? », demandas-tu, amusé, le regard vers elle. « Ce serait bien, non ? Si on pouvait réécrire notre histoire nous aussi », chuchotas-tu, les phalanges glissant sur la couverture du bouquin, l'esquisse triste. Tu savais même pas si elle écoutait ce que tu disais ou si elle s'était endormie. Tes iris se mirent à détailler son visage, patient, attendant qu'elle te dise de continuer, d'arrêter ou de faire autre chose.
vmicorum.
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i was far , i was far i was falling before you shine on me it was dark it was dark, it was dark before you woke me up a flower in your hand you smile brightly at me the curse disappears
Jung Ae Ra
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Re: it’s alright i’ll hold you ((ae ra)) | Dim 12 Sep - 23:12 Citer EditerSupprimer
@Im Han Jae
Une belle métaphore que tu suivais avec lui pour dire qu'il avait toujours sa place, chez toi, dans ton coeur. Toujours. Bien que la phrase en elle même, terre à terre était vrai. Dangereux peut être, ou alors tu n'avais pas peur ? "J'attends qu'on essaie de me faire du mal tiens.. " Cette personne sera bien accueillie. Bien ou mal voyante tu allais lui foutre la raclée de sa vie. C'est ce que tu aimais dire. La vérité? Personne ne le savait. Mais fermer ta porte t'était angoissant dans un sens. Tu avais peur d'appeler à l'aide, et que personne ne puisse entrer. Comme cette barrière que tu avais mise après des années sur ton coeur. Tu avais crié à l'aide tellement de fois, rêver de te voir sauver, que tu n'allais plus faire la même erreur. Du moins physiquement. Ton coeur restant une forteresse protégée par quelques personnes de confiance. " C'est vrai. " Petite tu avais rêvé aussi, avant de redescendre lamentablement. Tu lui offrais ce débat en sachant à quel point il était douloureux de se réveiller de ce rêve. Mais après tout, ne continuais tu pas de rêver ? Han Jae avait dans un sens raison; ils avaient le temps, parfois certains moins que d'autres, mais ils avaient le temps avant de souffrir. "Tu crois qu'on peut rêver encore adulte? " Avais tu le droit de rêver à retrouver la vue ? Tu clamais que ça arriverait, que c'était impossible du contraire, devenant un fait réel, mais n'était ce pas un rêve ?
La lecture, une activité qui te plaisait bien que tu ne pouvais te contenter de le faire toi même, écoutant alors les mots devenir des sons pour apprécier chaque syllabe. Han Jae avait bon goût pour les livres mais également une belle voix. Mais elle se moquait éperdument de toi faisant froncer tes sourcils. "Je te connais tu te fous de ma tête. " Et allègrement tu le savais. Cela te dérangeait ? Pas le moins du monde, c'était Han Jae. D'ailleurs son explication commençait à prendre sens. Empoisonnée. Qui avait osé ? Malautru que tu châtierai avec plaisir. Si tu ne semblais pas du tout y croire aux premiers abords, tu devais avouer que ce qu'il disait avait un sens. Te faisant fermer la bouche quelques minutes. " Soit. C'est vrai ! .. peut être que quelqu'un m'a tué avec ces esprits démoniaques de concombres... " Qui avait osé ? te voilà maintenant curieuse, prête à venger ton ancienne toi. "Merci mon cher ami. T'en fais pas je n'ai pas foutu la merde comme avant. " Tu t'étais clairement calmée. on pouvait dire même que tu avais fait des efforts, que tu prenais du temps pour déranger le moins possible Han Jae. Au mieux possible. Parfois.
Un moment de paix dans une vie remplie de chaos. Un moment où le son guidait ton coeur, calant un rythme parfaitement coordonné. TEs yeux fermés comme si tu les rouvrirais sur un monde coloré. La tête posée sur ton bras, prête à t'endormir si jamais. Un moment presque trop court bien que la mélodie ait provoqué en toi un élan de tristesse. La voix de Han Jae saurait apaisé cette mélancolie, tu le savais. " Tu te cherches des excuses. Ca fait combien de temps que tu es sorti de la campagne Han Jae ? Tu abuses voilà tout. "Un ton accusateur et pourtant un léger sourire taquin aux lèvres. Il saurait, que chaque mot était une taquinerie douce et amicale. Parce que tout était doux chez Han Jae. Sa voix, ses mimiques, son tempérament, ces moments avec lui, qui te laissait dans un confort spécial même dans le silence. Silence brisé par sa voix. tranchant l'air pour évoquer une scène. Te plonger dans une ambiance qui te fis réfléchir. Et si tu regardais autrement? Et si les gens regardaient autrement? Une pensée populaire et la vérité pouvait être éclipsée. Et si le ciel pleurait d'être incompris? et s'il était comme toi? Une lecture pleine de sens qui s'arrêtait trop vite pour toi. "C'était rapide. Ils sont courts ces livres ? " A quel point ? Tu les aimais bien toi, ces histoires. " Tu m'as prise pour une grand mère ? " Quelques secondes de silence et tu relevais la tête. " Je veux bien un plaid. " Dis tu presque avec dignité. Il t'avait pourtant posé une question qui t'intriguait, autant qu'elle te blessait. Tout comme il devait être blessé. " Ce serait beau hein? Mais rien ne serait pareil. Est ce qu'on serait les mêmes ? Est ce qu'on réécrirait réellement notre histoire ? Ou juste l'histoire de quelqu'un ? " Si on vivait autre chose, on voudrait quelque chose d'autre non? Un cercle sans fin. Bien sûr, que tu voudrais faire revenir ses proches, sa tranquillité. Que tu aurais aimé que tout soit différent pour lui, mais tu ne l'aurais pas à tes côtés. Il ne serait pas l'homme qui fuit la technologie. Et toi ? Si tu n'avais jamais patiné, que tu avais reçu beaucoup d'amour.. aurais tu réussi dans la vie ? Aurais tu pus juste te battre pour ce que tu valais? Ce que tu voulais ? " Tu peux continuer ? S'il te plait. " rare étaient ces fois où la politesse te frappait. Autant en profiter, de ce moment de faiblesse.
" "
@Im Han Jae
Une belle métaphore que tu suivais avec lui pour dire qu'il avait toujours sa place, chez toi, dans ton coeur. Toujours. Bien que la phrase en elle même, terre à terre était vrai. Dangereux peut être, ou alors tu n'avais pas peur ? "J'attends qu'on essaie de me faire du mal tiens.. " Cette personne sera bien accueillie. Bien ou mal voyante tu allais lui foutre la raclée de sa vie. C'est ce que tu aimais dire. La vérité? Personne ne le savait. Mais fermer ta porte t'était angoissant dans un sens. Tu avais peur d'appeler à l'aide, et que personne ne puisse entrer. Comme cette barrière que tu avais mise après des années sur ton coeur. Tu avais crié à l'aide tellement de fois, rêver de te voir sauver, que tu n'allais plus faire la même erreur. Du moins physiquement. Ton coeur restant une forteresse protégée par quelques personnes de confiance. " C'est vrai. " Petite tu avais rêvé aussi, avant de redescendre lamentablement. Tu lui offrais ce débat en sachant à quel point il était douloureux de se réveiller de ce rêve. Mais après tout, ne continuais tu pas de rêver ? Han Jae avait dans un sens raison; ils avaient le temps, parfois certains moins que d'autres, mais ils avaient le temps avant de souffrir. "Tu crois qu'on peut rêver encore adulte? " Avais tu le droit de rêver à retrouver la vue ? Tu clamais que ça arriverait, que c'était impossible du contraire, devenant un fait réel, mais n'était ce pas un rêve ?
La lecture, une activité qui te plaisait bien que tu ne pouvais te contenter de le faire toi même, écoutant alors les mots devenir des sons pour apprécier chaque syllabe. Han Jae avait bon goût pour les livres mais également une belle voix. Mais elle se moquait éperdument de toi faisant froncer tes sourcils. "Je te connais tu te fous de ma tête. " Et allègrement tu le savais. Cela te dérangeait ? Pas le moins du monde, c'était Han Jae. D'ailleurs son explication commençait à prendre sens. Empoisonnée. Qui avait osé ? Malautru que tu châtierai avec plaisir. Si tu ne semblais pas du tout y croire aux premiers abords, tu devais avouer que ce qu'il disait avait un sens. Te faisant fermer la bouche quelques minutes. " Soit. C'est vrai ! .. peut être que quelqu'un m'a tué avec ces esprits démoniaques de concombres... " Qui avait osé ? te voilà maintenant curieuse, prête à venger ton ancienne toi. "Merci mon cher ami. T'en fais pas je n'ai pas foutu la merde comme avant. " Tu t'étais clairement calmée. on pouvait dire même que tu avais fait des efforts, que tu prenais du temps pour déranger le moins possible Han Jae. Au mieux possible. Parfois.
Un moment de paix dans une vie remplie de chaos. Un moment où le son guidait ton coeur, calant un rythme parfaitement coordonné. TEs yeux fermés comme si tu les rouvrirais sur un monde coloré. La tête posée sur ton bras, prête à t'endormir si jamais. Un moment presque trop court bien que la mélodie ait provoqué en toi un élan de tristesse. La voix de Han Jae saurait apaisé cette mélancolie, tu le savais. " Tu te cherches des excuses. Ca fait combien de temps que tu es sorti de la campagne Han Jae ? Tu abuses voilà tout. "Un ton accusateur et pourtant un léger sourire taquin aux lèvres. Il saurait, que chaque mot était une taquinerie douce et amicale. Parce que tout était doux chez Han Jae. Sa voix, ses mimiques, son tempérament, ces moments avec lui, qui te laissait dans un confort spécial même dans le silence. Silence brisé par sa voix. tranchant l'air pour évoquer une scène. Te plonger dans une ambiance qui te fis réfléchir. Et si tu regardais autrement? Et si les gens regardaient autrement? Une pensée populaire et la vérité pouvait être éclipsée. Et si le ciel pleurait d'être incompris? et s'il était comme toi? Une lecture pleine de sens qui s'arrêtait trop vite pour toi. "C'était rapide. Ils sont courts ces livres ? " A quel point ? Tu les aimais bien toi, ces histoires. " Tu m'as prise pour une grand mère ? " Quelques secondes de silence et tu relevais la tête. " Je veux bien un plaid. " Dis tu presque avec dignité. Il t'avait pourtant posé une question qui t'intriguait, autant qu'elle te blessait. Tout comme il devait être blessé. " Ce serait beau hein? Mais rien ne serait pareil. Est ce qu'on serait les mêmes ? Est ce qu'on réécrirait réellement notre histoire ? Ou juste l'histoire de quelqu'un ? " Si on vivait autre chose, on voudrait quelque chose d'autre non? Un cercle sans fin. Bien sûr, que tu voudrais faire revenir ses proches, sa tranquillité. Que tu aurais aimé que tout soit différent pour lui, mais tu ne l'aurais pas à tes côtés. Il ne serait pas l'homme qui fuit la technologie. Et toi ? Si tu n'avais jamais patiné, que tu avais reçu beaucoup d'amour.. aurais tu réussi dans la vie ? Aurais tu pus juste te battre pour ce que tu valais? Ce que tu voulais ? " Tu peux continuer ? S'il te plait. " rare étaient ces fois où la politesse te frappait. Autant en profiter, de ce moment de faiblesse.
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