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The End or the beginning. Ft. Seo Joon
Choi Sae Hee
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Re: The End or the beginning. Ft. Seo Joon | Dim 11 Déc - 19:09 Citer EditerSupprimer
D'un coup tout semblait silencieux. Les films les avaient dénis avec une précision qui n'était pas la bonne. Pas de son de cloche, pas de papillons même si ce sentiment de chatouilles au creux des entrailles ne te laissait pas sans indifférence. Quelques heures avaient suffit pour te séparer d'une vie où le regret régnait en maître pour finalement devenir une porte de découverte, de sensations qu'il ne cessait de te faire ressentir. Ces mains, réchauffant instantanément les zones de ton corps qu'elles frôlaient. Ses lèvres qui s'empressaient de mener un balai dont tu ignorais tout et qui pourtant semblait si clair. L'esprit perdu, se tenant en haleine face à chaque mouvement quand ton corps tentait de se tenir à ce pilier qu'il venait de représenter. Une respiration saccadée qui trahissait des battements affolant, loin de la peur que tu avais pu ressentir. C'était ça Seo Joon. Une déferlante de signaux, qui t'auraient fait fuir auparavant mais qui aujourd'hui, te faisaient rester.
Il avait été compliqué à comprendre, pariant que l'esprit le plus débrouillard n'aurait su l'interpréter. Il avait été presque impossible pour toi de te focaliser sur tes sentiments, sur une valeur sûre. Constamment à changer de direction, une crainte pénible affaissant tes épaules. Et pourtant, le naturel l'avait ramené à toi. secouer, frapper, crier, une réaction peut être démesurée qui avait su le réveiller pour le ramener à toi. Une main autrefois timide se glissant sur ses omoplates pour le serrer, bien trop grand, inutilement. Il avait ce pouvoir t'apaiser tes battements, de te faire sentir en sécurité. Ressentant une chaleur inconnue alors. Il avait ce pouvoir là de te faire perdre la tête. La notion du temps, et sûrement plus encore. D'autant quand son regard venait sondé le tien, réalisant là que tout ce que tu attendais se résumait à lui.
Peut être que les mots échangés avaient déclenché en lui un déclic. Une sorte de boîte de pandore qui venait fondre sur les lippes pour les posséder encore et encore. Rougies par d'inlassables caresses qui t'étaient il y a peu inconnues. C'était cette vérité là que tu cherchais, l'honnêteté de son être et non pas un garçon bien fait, bien éduqué, réfléchissant entre chaque action pour te plaire. Le naturel, c'était tout ce qu'il te fallait, quand bien même celui ci te fasse perdre la tête, manquant de perdre un équilibre qui semblait loin du début. Quand bien même ton corps ne voulait et ne cherchait plus à se détacher du sien.
Un souffle qui parvenait encore sur ta peau puis l'éloignement. C'était un vent plus frais qui faisait presque rougir tes joues, si elles n'avaient pas été teintées depuis son baiser. Ce fut un instant pour se reprendre, s'observer quelque peu, quand le regard cherchait à fuir. Une heure qui tournait trop vite et bientôt une sentence que tu préférais éloigner. Les lèvres venant se pincer délicatement se fut ta main qui glissa dans la sienne sous un silence on ne peut plus long. "Je peux rester jusqu'à ton service ? A moins que tu ne veuilles dormir. " Question idiote qui mènerait certainement à une réponse idiote. Rester éveillé avec toi ou dormir pour tenter de vaincre une journée, le choix était vite fait mais semblait garder une lueur d'espoir dans le regard. Peut être avait il la même sensation que toi, de ne vouloir lâcher ses doigts qui s'emmêlaient entre eux, trouver une chaleur réconfortante. De vouloir écoute encore et encore une voix apaisante, sous quelques gestes affectueux. "On peut y retourner tranquillement, tu peux dormir là bas c'est ça ? " Si les informations étaient exactes, tu n'aurais plus qu'à le laisser à son travail, une tâche qui semblait moins dure, moins éprouvante de par son caractère obligatoire. Bien que ses gestes faisaient douter chaque cellule de ton corps. Il ne t'en fallait pas plus pour prendre un élan ridicule les pointes de pieds levées afin de toucher ses lèvres avec les tiennes. Rien de long, rien de langoureux juste une légère caresse, agrémenter d'un sourire chaleureux. "Dis moi ce que tu préfères. "
" "
@Lee seo joon
D'un coup tout semblait silencieux. Les films les avaient dénis avec une précision qui n'était pas la bonne. Pas de son de cloche, pas de papillons même si ce sentiment de chatouilles au creux des entrailles ne te laissait pas sans indifférence. Quelques heures avaient suffit pour te séparer d'une vie où le regret régnait en maître pour finalement devenir une porte de découverte, de sensations qu'il ne cessait de te faire ressentir. Ces mains, réchauffant instantanément les zones de ton corps qu'elles frôlaient. Ses lèvres qui s'empressaient de mener un balai dont tu ignorais tout et qui pourtant semblait si clair. L'esprit perdu, se tenant en haleine face à chaque mouvement quand ton corps tentait de se tenir à ce pilier qu'il venait de représenter. Une respiration saccadée qui trahissait des battements affolant, loin de la peur que tu avais pu ressentir. C'était ça Seo Joon. Une déferlante de signaux, qui t'auraient fait fuir auparavant mais qui aujourd'hui, te faisaient rester.
Il avait été compliqué à comprendre, pariant que l'esprit le plus débrouillard n'aurait su l'interpréter. Il avait été presque impossible pour toi de te focaliser sur tes sentiments, sur une valeur sûre. Constamment à changer de direction, une crainte pénible affaissant tes épaules. Et pourtant, le naturel l'avait ramené à toi. secouer, frapper, crier, une réaction peut être démesurée qui avait su le réveiller pour le ramener à toi. Une main autrefois timide se glissant sur ses omoplates pour le serrer, bien trop grand, inutilement. Il avait ce pouvoir t'apaiser tes battements, de te faire sentir en sécurité. Ressentant une chaleur inconnue alors. Il avait ce pouvoir là de te faire perdre la tête. La notion du temps, et sûrement plus encore. D'autant quand son regard venait sondé le tien, réalisant là que tout ce que tu attendais se résumait à lui.
Peut être que les mots échangés avaient déclenché en lui un déclic. Une sorte de boîte de pandore qui venait fondre sur les lippes pour les posséder encore et encore. Rougies par d'inlassables caresses qui t'étaient il y a peu inconnues. C'était cette vérité là que tu cherchais, l'honnêteté de son être et non pas un garçon bien fait, bien éduqué, réfléchissant entre chaque action pour te plaire. Le naturel, c'était tout ce qu'il te fallait, quand bien même celui ci te fasse perdre la tête, manquant de perdre un équilibre qui semblait loin du début. Quand bien même ton corps ne voulait et ne cherchait plus à se détacher du sien.
Un souffle qui parvenait encore sur ta peau puis l'éloignement. C'était un vent plus frais qui faisait presque rougir tes joues, si elles n'avaient pas été teintées depuis son baiser. Ce fut un instant pour se reprendre, s'observer quelque peu, quand le regard cherchait à fuir. Une heure qui tournait trop vite et bientôt une sentence que tu préférais éloigner. Les lèvres venant se pincer délicatement se fut ta main qui glissa dans la sienne sous un silence on ne peut plus long. "Je peux rester jusqu'à ton service ? A moins que tu ne veuilles dormir. " Question idiote qui mènerait certainement à une réponse idiote. Rester éveillé avec toi ou dormir pour tenter de vaincre une journée, le choix était vite fait mais semblait garder une lueur d'espoir dans le regard. Peut être avait il la même sensation que toi, de ne vouloir lâcher ses doigts qui s'emmêlaient entre eux, trouver une chaleur réconfortante. De vouloir écoute encore et encore une voix apaisante, sous quelques gestes affectueux. "On peut y retourner tranquillement, tu peux dormir là bas c'est ça ? " Si les informations étaient exactes, tu n'aurais plus qu'à le laisser à son travail, une tâche qui semblait moins dure, moins éprouvante de par son caractère obligatoire. Bien que ses gestes faisaient douter chaque cellule de ton corps. Il ne t'en fallait pas plus pour prendre un élan ridicule les pointes de pieds levées afin de toucher ses lèvres avec les tiennes. Rien de long, rien de langoureux juste une légère caresse, agrémenter d'un sourire chaleureux. "Dis moi ce que tu préfères. "
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Re: The End or the beginning. Ft. Seo Joon | Mar 10 Jan - 21:49 Citer EditerSupprimer
Le temps… ce vile traître. Celui qui m’avait donné l’impression d’avoir vécu plusieurs vies alors que j’errais le cœur en peine, celui-là même qui désormais me poignardait en accélérant le temps comme s’il n’y avait plus de lendemain. Je m’accrochais à elle comme à une bouée de sauvetage de peur qu’elle ne disparaisse. Et simplement évoquer la fin de cette soirée m’était un exercice difficile qu’elle balaya d’une question qui me laissa bouche bée. De son corps appuyé contre le mien, l’idée de ne pas quitter ses bras était l’une des plus grandes tentations qu’il m’ait été donné de vivre.
Les yeux arrondis par la surprise, mon subconscient imaginait déjà un déroulé bien moins innocent que nos baisers passionnés. Je déglutissais avec difficulté, forçant mon esprit à revenir à l’instant présent et plonger à nouveau mon regard dans le sien en tentant vainement ne pas rougir. « Re…rester ? Mais.. tu… » Les mots, encore ces fuyards qui m’abandonnaient dès lors qu’il fallait répondre par de longues phrases argumentées. Aussi me contentais-je de l’écouter, le rouge me mordant les joues d’un écarlate presque cramoisi. Quelques paroles, puis un baiser volé qui m’arracha un frisson. Le geste qui eut finalement raison de moi et auquel je ne pouvais plus rester insensible. C’est le sourire timide qui étira mes pulpeuses désormais orphelines de leurs jumelles. « Je… » Si d’un côté je mourrais d’envie de passer davantage de temps à ses côtés, la raison me rappelait à l’ordre en un écho que j’ignorais volontairement. La chaleur de sa paume sur la mienne m’envoutait et me rendait incapable de réfléchir correctement… si bien que je me demandais comment j’avais pu la repousser si longtemps. Je fis alors chuter mes yeux sur nos doigts entremêlés. « Je préfère… » Dormir avec toi pensais-je. « Je préfère que tu ne rentres pas seule en pleine nuit… » lâchais-je enfin.
L’égoïsme n’avait pu écraser à ce point la raison, et l’envie de passer plus de temps avec me paraissait alors déraisonnable. Comment accepter de l’emmener pour la laisser seule au beau milieu de la nuit ? Comment simplement me concentrer sur les interventions en ne sachant pas si elle était chez elle, à l’abri ? Mais si intérieurement je lui avouais l’envie folle de l’enlacer jusqu’à m’endormir dans ses bras, je me contentais seulement de me montrer raisonnable. « Lorsque je serais dans l’hôpital… mon téléphone restera dans mon casier… » L’annoncer à voix haute rendait l’explication bien plus ridicule que je ne l’avais imaginé, la montagne se dégonflait soudainement comme un ballon de baudruche. Et je m’en voulais de ne pas savoir répondre comme je le voulais à des questions si simples. « Je préférerais être avec toi… mais… » tentais-je de me rattraper. « Demain ? » ajoutais-je sondant ses perles de mes onyx brillants d’anticipation.
@Choi Sae Hee
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Le temps… ce vile traître. Celui qui m’avait donné l’impression d’avoir vécu plusieurs vies alors que j’errais le cœur en peine, celui-là même qui désormais me poignardait en accélérant le temps comme s’il n’y avait plus de lendemain. Je m’accrochais à elle comme à une bouée de sauvetage de peur qu’elle ne disparaisse. Et simplement évoquer la fin de cette soirée m’était un exercice difficile qu’elle balaya d’une question qui me laissa bouche bée. De son corps appuyé contre le mien, l’idée de ne pas quitter ses bras était l’une des plus grandes tentations qu’il m’ait été donné de vivre.
Les yeux arrondis par la surprise, mon subconscient imaginait déjà un déroulé bien moins innocent que nos baisers passionnés. Je déglutissais avec difficulté, forçant mon esprit à revenir à l’instant présent et plonger à nouveau mon regard dans le sien en tentant vainement ne pas rougir. « Re…rester ? Mais.. tu… » Les mots, encore ces fuyards qui m’abandonnaient dès lors qu’il fallait répondre par de longues phrases argumentées. Aussi me contentais-je de l’écouter, le rouge me mordant les joues d’un écarlate presque cramoisi. Quelques paroles, puis un baiser volé qui m’arracha un frisson. Le geste qui eut finalement raison de moi et auquel je ne pouvais plus rester insensible. C’est le sourire timide qui étira mes pulpeuses désormais orphelines de leurs jumelles. « Je… » Si d’un côté je mourrais d’envie de passer davantage de temps à ses côtés, la raison me rappelait à l’ordre en un écho que j’ignorais volontairement. La chaleur de sa paume sur la mienne m’envoutait et me rendait incapable de réfléchir correctement… si bien que je me demandais comment j’avais pu la repousser si longtemps. Je fis alors chuter mes yeux sur nos doigts entremêlés. « Je préfère… » Dormir avec toi pensais-je. « Je préfère que tu ne rentres pas seule en pleine nuit… » lâchais-je enfin.
L’égoïsme n’avait pu écraser à ce point la raison, et l’envie de passer plus de temps avec me paraissait alors déraisonnable. Comment accepter de l’emmener pour la laisser seule au beau milieu de la nuit ? Comment simplement me concentrer sur les interventions en ne sachant pas si elle était chez elle, à l’abri ? Mais si intérieurement je lui avouais l’envie folle de l’enlacer jusqu’à m’endormir dans ses bras, je me contentais seulement de me montrer raisonnable. « Lorsque je serais dans l’hôpital… mon téléphone restera dans mon casier… » L’annoncer à voix haute rendait l’explication bien plus ridicule que je ne l’avais imaginé, la montagne se dégonflait soudainement comme un ballon de baudruche. Et je m’en voulais de ne pas savoir répondre comme je le voulais à des questions si simples. « Je préférerais être avec toi… mais… » tentais-je de me rattraper. « Demain ? » ajoutais-je sondant ses perles de mes onyx brillants d’anticipation.
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Re: The End or the beginning. Ft. Seo Joon | Dim 29 Jan - 21:46 Citer EditerSupprimer
Moult fois tu avais cru entendre des paroles de chansons à l'eau de rose. Entendre parler les autres de leurs histoires d'amour rendait ton être blasé d'une romance qu'il ne connaissait pas. Mais aujourd'hui tu semblais prendre conscience de cette dépendance irrationnelle qui venait éprendre tous ceux qui décidaient de donner leur coeur à quelqu'un. Tant d'actions stupides mais douces qui faisaient de ta nuit une source de douceur. Elle enlevait ces doutes, ces peurs que tu ne cessais d'avoir à chaque fois que la lune montrait le bout de son nez. Pour aujourd'hui simplement tu ne voulais pas qu'elle s'en aille, qu'elle laisse de nouveau sa place. " Je ? ... Je travaille mais je pourrai me reposer un peu c'est surtout pour toi. " Parce qu'il ne pourrait pas se reposer, une idée qui venait brutalement secouer tes sens, ta logique et ta rationalité. La rougeur de ses joues appelant alors tes doigts plus froids qui venaient caresser l'une de ses joues. La réponse n'avait pas besoin d'être positive. Au vue de la difficulté de ses lèvres à se séparer pour former le moindre mot tu supposais rapidement la suite. Laissant tout de même ce futur médecin exprimer ce qui se passait dans sa tête, sachant pertinemment qu'il ne cessait de réfléchir pour ne rien te dire. Un premier malentendu avait failli vous séparer, tu espérais donc que la leçon soit retenue pour vous. Il semblait qu'elle l'avait été, sans non plus lui donné le courage, et la folie de penser irrationnellement avec toi. "Tu as peur pour moi ? Je pense t'avoir montré à quel point je pouvais me débrouiller seule. " Et même si ce refus sonnait la fin de la conversation, faisant rapprocher le moment du départ, tu ne pouvais empêcher ce sourire sur tes lèvres, tandis que tes doigts serraient les siens ou jouaient avec son haut. " Mais je comprends, c'était débile de demander alors que je sais qu'il faut qeu tu te reposes. Je suis égoïste hm ? " Le nez frôlant le sien ce ne fut que pour mieux prendre cette légère distance qui te donnerait sûrement la force de le laisser partir.
Cependant il avait ce pouvoir assez incroyable de te faire perdre la tête. A chaque parole, à chaque regard, gêné ou fuyant, chaque moment où sa respiration s'accélérait, ou bien ralentissait. Il avait cette attitude qui donnait envie de rester, de comprendre. Les explications valides et compréhensibles tu ne souhaitais pas le tourmenter plus. Ce n'est qu'en l'entendant avouer son envie à lui que tu repris cet égoïsme partagé. " Et si on allait pas travailler ? " Après avoir été vu. Alors que rien ne le justifiait. Quelle merveilleuse idée pour vous faire culpabiliser. Cet air sérieux sur ton visage ne durait d'ailleurs pas longtemps le regardant plus amusée. " Je rigole. Demain c'est très bien. Demain alors. " Tu patienterais, tu apprendrais. Il te fallait bien ça pour comprendre ce qu'il se passait, faire face à des sentiments jamais ressentis, une relation jamais tenté. Il te fallait bien quelques heures pour digérer, pour analyser, profiter même. " Reposes toi quand même.. tu ne dois pas faire d'erreur au travail. " Plus vrai encore que toi, la vie des gens dépendaient de son jugement, de sa rapidité, sa concentration. A aucun moment tu ne voulais perturber cette responsabilité. " Tu finis à quelle heure ? " Encore étrangère à ce rythme particulier tu ne demandais qu'à apprendre, à voir. Evitant ainsi de créer tes propres histoires.
" "
@Lee seo joon
Moult fois tu avais cru entendre des paroles de chansons à l'eau de rose. Entendre parler les autres de leurs histoires d'amour rendait ton être blasé d'une romance qu'il ne connaissait pas. Mais aujourd'hui tu semblais prendre conscience de cette dépendance irrationnelle qui venait éprendre tous ceux qui décidaient de donner leur coeur à quelqu'un. Tant d'actions stupides mais douces qui faisaient de ta nuit une source de douceur. Elle enlevait ces doutes, ces peurs que tu ne cessais d'avoir à chaque fois que la lune montrait le bout de son nez. Pour aujourd'hui simplement tu ne voulais pas qu'elle s'en aille, qu'elle laisse de nouveau sa place. " Je ? ... Je travaille mais je pourrai me reposer un peu c'est surtout pour toi. " Parce qu'il ne pourrait pas se reposer, une idée qui venait brutalement secouer tes sens, ta logique et ta rationalité. La rougeur de ses joues appelant alors tes doigts plus froids qui venaient caresser l'une de ses joues. La réponse n'avait pas besoin d'être positive. Au vue de la difficulté de ses lèvres à se séparer pour former le moindre mot tu supposais rapidement la suite. Laissant tout de même ce futur médecin exprimer ce qui se passait dans sa tête, sachant pertinemment qu'il ne cessait de réfléchir pour ne rien te dire. Un premier malentendu avait failli vous séparer, tu espérais donc que la leçon soit retenue pour vous. Il semblait qu'elle l'avait été, sans non plus lui donné le courage, et la folie de penser irrationnellement avec toi. "Tu as peur pour moi ? Je pense t'avoir montré à quel point je pouvais me débrouiller seule. " Et même si ce refus sonnait la fin de la conversation, faisant rapprocher le moment du départ, tu ne pouvais empêcher ce sourire sur tes lèvres, tandis que tes doigts serraient les siens ou jouaient avec son haut. " Mais je comprends, c'était débile de demander alors que je sais qu'il faut qeu tu te reposes. Je suis égoïste hm ? " Le nez frôlant le sien ce ne fut que pour mieux prendre cette légère distance qui te donnerait sûrement la force de le laisser partir.
Cependant il avait ce pouvoir assez incroyable de te faire perdre la tête. A chaque parole, à chaque regard, gêné ou fuyant, chaque moment où sa respiration s'accélérait, ou bien ralentissait. Il avait cette attitude qui donnait envie de rester, de comprendre. Les explications valides et compréhensibles tu ne souhaitais pas le tourmenter plus. Ce n'est qu'en l'entendant avouer son envie à lui que tu repris cet égoïsme partagé. " Et si on allait pas travailler ? " Après avoir été vu. Alors que rien ne le justifiait. Quelle merveilleuse idée pour vous faire culpabiliser. Cet air sérieux sur ton visage ne durait d'ailleurs pas longtemps le regardant plus amusée. " Je rigole. Demain c'est très bien. Demain alors. " Tu patienterais, tu apprendrais. Il te fallait bien ça pour comprendre ce qu'il se passait, faire face à des sentiments jamais ressentis, une relation jamais tenté. Il te fallait bien quelques heures pour digérer, pour analyser, profiter même. " Reposes toi quand même.. tu ne dois pas faire d'erreur au travail. " Plus vrai encore que toi, la vie des gens dépendaient de son jugement, de sa rapidité, sa concentration. A aucun moment tu ne voulais perturber cette responsabilité. " Tu finis à quelle heure ? " Encore étrangère à ce rythme particulier tu ne demandais qu'à apprendre, à voir. Evitant ainsi de créer tes propres histoires.
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Re: The End or the beginning. Ft. Seo Joon | Jeu 9 Fév - 22:16 Citer EditerSupprimer
L’exercice demeurait difficile : avouer, exprimer ses pensées et ses émotions restait un domaine dans lequel j’étais loin d’exceller. Et pourtant… quel soulagement alors que les mots effleuraient mes pulpeuses pour lui arracher finalement un sourire. L’idée même de passer la nuit avec elle m’écrasait tant elle était séduisante, et nul doute que j’aurais piétiné toutes mes obligations personnelles juste pour satisfaire cette envie… ou presque. La fuite en avant était un art dans lequel j’étais passé maître, à tel point que peu importait mes désirs, je les niais et les ignorais comme un chef. Nos emplois du temps ne savaient coïncider, et si elle pouvait jouir d’heures fixes, j’avais fait le choix d’une carrière au rythme aléatoire. Je ne pus retenir le demi sourire d’étirer à nouveau mes pulpeuses alors qu’elle soulignait l’absurde. Aussi enserrais-je davantage sa taille. « Je sais que tu peux te débrouiller seule… » Et si je lui faisais entièrement confiance, il n’en était pas de même pour les quelques énergumènes qui sévissaient particulièrement une fois la nuit tombée.
Je succombais à chaque seconde qui passait, et un peu plus alors que je sentais le coton de mon haut être malmené. Et mon cœur explosa une nouvelle fois alors que de son nez elle effleura le mien m’arrachant un sourire franc et sincère : celui de l’amoureux transit incapable de lui résister. « Alors n’allons pas travailler !! » lâchais-je avec plus de force que je ne l’aurais voulu. Pris d’un rire nerveux et heureux, je m’imaginais facilement sécher une journée de travail pour la passer à ses côtés. Mais la raison se fraya un chemin dans nos consciences et d’une phrase, l’hypothèse de cette journée s’évapora aussitôt. « Demain ! » affirmais-je le cœur serré. Quelques heures… il ne s’agissait que de quelques heures et déjà je les exécrais, ces minutes qui fileraient sans que je n’aie le temps de les voir et ces patients qui défileraient les uns derrières les autres. « Tu as peur pour moi ? » plaisantais-je. Un écho volontaire dans le seul but de lui arracher une moue qui fit à nouveau éclater le muscle battant. Chaque secondes passées à ses côtés étaient puissantes, et mon cœur si longtemps déconnecté n’en finissait plus de frémir à chacun de ses gestes et de ses sourires. « Si tout se passe bien et qu’il n’y a pas d’urgence… je pense finir vers 19h. Est-ce… » Fichue timidité qui faisait son retour au galop. « Est-ce que tu veux aller manger quelque part ? » Je l'ignorais alors.... mais j'avançais une promesse qu'il m'était impossible de tenir...
La moindre question me paraissait presque insurmontable, et attendre sa réponse pire encore. J’imaginais déjà son refus et la meilleure façon de rattraper cette fausse hardiesse qui m’avait poussé à lui demander. « Sauf si c’est trop tard ! Il faut que tu te reposes aussi… » ajoutais-je précipitamment. Ce fut alors mon tour de jouer avec ses longues mèches d’ébène, nerveux à l’idée d’une réponse négative.
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L’exercice demeurait difficile : avouer, exprimer ses pensées et ses émotions restait un domaine dans lequel j’étais loin d’exceller. Et pourtant… quel soulagement alors que les mots effleuraient mes pulpeuses pour lui arracher finalement un sourire. L’idée même de passer la nuit avec elle m’écrasait tant elle était séduisante, et nul doute que j’aurais piétiné toutes mes obligations personnelles juste pour satisfaire cette envie… ou presque. La fuite en avant était un art dans lequel j’étais passé maître, à tel point que peu importait mes désirs, je les niais et les ignorais comme un chef. Nos emplois du temps ne savaient coïncider, et si elle pouvait jouir d’heures fixes, j’avais fait le choix d’une carrière au rythme aléatoire. Je ne pus retenir le demi sourire d’étirer à nouveau mes pulpeuses alors qu’elle soulignait l’absurde. Aussi enserrais-je davantage sa taille. « Je sais que tu peux te débrouiller seule… » Et si je lui faisais entièrement confiance, il n’en était pas de même pour les quelques énergumènes qui sévissaient particulièrement une fois la nuit tombée.
Je succombais à chaque seconde qui passait, et un peu plus alors que je sentais le coton de mon haut être malmené. Et mon cœur explosa une nouvelle fois alors que de son nez elle effleura le mien m’arrachant un sourire franc et sincère : celui de l’amoureux transit incapable de lui résister. « Alors n’allons pas travailler !! » lâchais-je avec plus de force que je ne l’aurais voulu. Pris d’un rire nerveux et heureux, je m’imaginais facilement sécher une journée de travail pour la passer à ses côtés. Mais la raison se fraya un chemin dans nos consciences et d’une phrase, l’hypothèse de cette journée s’évapora aussitôt. « Demain ! » affirmais-je le cœur serré. Quelques heures… il ne s’agissait que de quelques heures et déjà je les exécrais, ces minutes qui fileraient sans que je n’aie le temps de les voir et ces patients qui défileraient les uns derrières les autres. « Tu as peur pour moi ? » plaisantais-je. Un écho volontaire dans le seul but de lui arracher une moue qui fit à nouveau éclater le muscle battant. Chaque secondes passées à ses côtés étaient puissantes, et mon cœur si longtemps déconnecté n’en finissait plus de frémir à chacun de ses gestes et de ses sourires. « Si tout se passe bien et qu’il n’y a pas d’urgence… je pense finir vers 19h. Est-ce… » Fichue timidité qui faisait son retour au galop. « Est-ce que tu veux aller manger quelque part ? » Je l'ignorais alors.... mais j'avançais une promesse qu'il m'était impossible de tenir...
La moindre question me paraissait presque insurmontable, et attendre sa réponse pire encore. J’imaginais déjà son refus et la meilleure façon de rattraper cette fausse hardiesse qui m’avait poussé à lui demander. « Sauf si c’est trop tard ! Il faut que tu te reposes aussi… » ajoutais-je précipitamment. Ce fut alors mon tour de jouer avec ses longues mèches d’ébène, nerveux à l’idée d’une réponse négative.
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Re: The End or the beginning. Ft. Seo Joon | Dim 5 Mar - 22:58 Citer EditerSupprimer
Rien n'était évident pour une première. Cette démonstration de force qui datait de quelques heures ne saurait faire écho à ton comportement habituel. Les sentiments ayant annihilés toutes les forces les plus grandes et les plus têtues qui te permettait de répondre sans faillir. Il avait su détruire chaque barrière au point de te rendre à l'évidence. Venir lui tirer les vers du nez tout en affichant ta vulnérabilité. Un exploit que tu ne pouvais que lui attribuer. Tout comme il était bien l'un des seuls à s'inquiéter, sentir son palpitant se serrer à l'idée de te voir seule. L'idée paraissant absurde devenait plaisante, le sourire s'arrachant à l'idée même. Il le savait mais il ne pouvait s'empêcher de s'inquiéter. Il le savait mais il gardait ce sentiment doux à ton égard. Mieux encore, il avait expérimenté plus d'une de tes facettes sans partir, sans fuir, du moins plus maintenant. Il été finalement resté pour tenir ta main à ce moment, un pas que tu ne pensais pas possible. Imaginant devoir devenir quelqu'un d'autre pour séduire.
Les mots seuls faisaient dérivés votre conscience, la ramenant dans un tréfond qui se voulait égoiste. Les gestes accompagnés ne vous faisaient que perdre un peu plus la tête pour ne trouver que l'autre. Un entremêlement qui malmenait vos buts, vos principes, vos obligations. " Attention je pourrai te prendre aux mots. " Ceux là même que tu arrachais délicatement en venant effleurer ses lèvres des tiennes. "Demain. " Que tu répétais une fois de plus, dans l'espoir de convaincre cet esprit rebelle, adolescent même qui pensait voir ses jours de cours. La vie d'adulte n'était plus aussi drôle, aussi flexible. Vos métiers ne se ressemblant aucunement et pourtant, ils ne laissaient que peu de place à l'imprévu de la vie personnelle. Comme dévorer par un métier pour lequel vous aviez si durement étudié. " Bien sûr c'est normal non ? " Si la fragilité n'avait jamais été ton fort, dévoiler aux autres les sentiments les plus profonds que tu ressentais, il n'y avait pourtant aucune raison pour toi de lui cacher. Ainsi l'honnêteté venait toujours répondre à ses demandes. Pendue à ses lèvres l'attente était à la fois longue et courte, jugeant par ses joues qui rougissaient à vue d'oeil. Une proposition inattendue qui signait les premiers pas d'un homme qui prenait de la place.
Il n'était pas du genre à s'imposer, à s'exposer, dévoiler ce qu'il pensait ou ressentait. Et pourtant ce soir tu semblais voir un panel d'expression, de douceurs qu'il t'avait été impossible d'imaginer auparavant. Une situation qui faisait étirer tes lèvres d'un bonheur tout nouveau. La proposition était intéressante même alléchante. Pour peu qu'il ne veuille pas déjà la retirer. La peur du rejet devait être mutuelle, mais bien trop prononcée chez lui. " C'est une bonne heure pour manger. Je te laisse trouver le restaurant. Fais moi découvrir ce que tu aimes. " Le regard s'accrochant au sien tu reculais quelque peu ton corps, inspirant lentement pour retenir la chaleur qui venait à te manquer. Comme une ombre chaleureuse, l'habitude de son corps contre le sien avait été rapide. " On y va tranquillement ? Avant que je ne te propose de nouveau une sortie de rebelle. " Riant doucement c'est ta main qui venait attraper la sienne. Les doigts venant alors s'entremêlés dans un balais improvisé. " Dis moi.. tu me parleras un peu plus de toi ? Tout ce que tu ne m'as pas encore dit.. " Comme deux étrangers, il semblait que beaucoup de pièces manquaient au grand puzzle qu'était Seo Joon. Aujourd'hui tu osais enfin lui demander d'en apprendre plus.
" "
@Lee seo joon
Rien n'était évident pour une première. Cette démonstration de force qui datait de quelques heures ne saurait faire écho à ton comportement habituel. Les sentiments ayant annihilés toutes les forces les plus grandes et les plus têtues qui te permettait de répondre sans faillir. Il avait su détruire chaque barrière au point de te rendre à l'évidence. Venir lui tirer les vers du nez tout en affichant ta vulnérabilité. Un exploit que tu ne pouvais que lui attribuer. Tout comme il était bien l'un des seuls à s'inquiéter, sentir son palpitant se serrer à l'idée de te voir seule. L'idée paraissant absurde devenait plaisante, le sourire s'arrachant à l'idée même. Il le savait mais il ne pouvait s'empêcher de s'inquiéter. Il le savait mais il gardait ce sentiment doux à ton égard. Mieux encore, il avait expérimenté plus d'une de tes facettes sans partir, sans fuir, du moins plus maintenant. Il été finalement resté pour tenir ta main à ce moment, un pas que tu ne pensais pas possible. Imaginant devoir devenir quelqu'un d'autre pour séduire.
Les mots seuls faisaient dérivés votre conscience, la ramenant dans un tréfond qui se voulait égoiste. Les gestes accompagnés ne vous faisaient que perdre un peu plus la tête pour ne trouver que l'autre. Un entremêlement qui malmenait vos buts, vos principes, vos obligations. " Attention je pourrai te prendre aux mots. " Ceux là même que tu arrachais délicatement en venant effleurer ses lèvres des tiennes. "Demain. " Que tu répétais une fois de plus, dans l'espoir de convaincre cet esprit rebelle, adolescent même qui pensait voir ses jours de cours. La vie d'adulte n'était plus aussi drôle, aussi flexible. Vos métiers ne se ressemblant aucunement et pourtant, ils ne laissaient que peu de place à l'imprévu de la vie personnelle. Comme dévorer par un métier pour lequel vous aviez si durement étudié. " Bien sûr c'est normal non ? " Si la fragilité n'avait jamais été ton fort, dévoiler aux autres les sentiments les plus profonds que tu ressentais, il n'y avait pourtant aucune raison pour toi de lui cacher. Ainsi l'honnêteté venait toujours répondre à ses demandes. Pendue à ses lèvres l'attente était à la fois longue et courte, jugeant par ses joues qui rougissaient à vue d'oeil. Une proposition inattendue qui signait les premiers pas d'un homme qui prenait de la place.
Il n'était pas du genre à s'imposer, à s'exposer, dévoiler ce qu'il pensait ou ressentait. Et pourtant ce soir tu semblais voir un panel d'expression, de douceurs qu'il t'avait été impossible d'imaginer auparavant. Une situation qui faisait étirer tes lèvres d'un bonheur tout nouveau. La proposition était intéressante même alléchante. Pour peu qu'il ne veuille pas déjà la retirer. La peur du rejet devait être mutuelle, mais bien trop prononcée chez lui. " C'est une bonne heure pour manger. Je te laisse trouver le restaurant. Fais moi découvrir ce que tu aimes. " Le regard s'accrochant au sien tu reculais quelque peu ton corps, inspirant lentement pour retenir la chaleur qui venait à te manquer. Comme une ombre chaleureuse, l'habitude de son corps contre le sien avait été rapide. " On y va tranquillement ? Avant que je ne te propose de nouveau une sortie de rebelle. " Riant doucement c'est ta main qui venait attraper la sienne. Les doigts venant alors s'entremêlés dans un balais improvisé. " Dis moi.. tu me parleras un peu plus de toi ? Tout ce que tu ne m'as pas encore dit.. " Comme deux étrangers, il semblait que beaucoup de pièces manquaient au grand puzzle qu'était Seo Joon. Aujourd'hui tu osais enfin lui demander d'en apprendre plus.
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Lee Seo Joon
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Re: The End or the beginning. Ft. Seo Joon | Lun 7 Aoû - 15:14 Citer EditerSupprimer
La tentation de tout lâcher, de fuir cette journée de travail et de paresser en sa compagnie était plus que séduisante. Si seulement ma conscience ne mettait pas un point d’honneur à respecter mes engagements. Et ce, même si la séparation me déchirait le cœur. Après cette révélation, cette proximité, comment pouvais-je seulement la quitter sereinement ? Une heure ou une journée, où était la différence ? Je savais d’ores et déjà qu’elle me manquerait, que mon cœur sursauterait de son absence, que mon corps entier tremblerait à l’idée que toute cette soirée n’a été qu’un rêve… Et pourtant, je fus celui qui décidais d’y mettre un terme.
Je découvrais l’empathie, l’envie et les sentiments partagés là où je n’avais pu expérimenter que l’attente, la douleur et l’abandon de relation à sens unique. Et si je mourrais d’envie de poursuivre la soirée avec elle, de repousser l’échéance du quotidien, je restais incroyablement raisonnable. « Demain. » répétais-je la gorge nouée. Je lui promettais un repas, que je ne pouvais sans doute pas honorer, mais avec cet engagement, je voulais aussi me persuader qu’elle ne fuirait pas… Je fis écho à son sourire communicatif, à la fois soulagé de l’entendre répondre par la positive, mais terriblement déçu de ne pas la voir opposé de résistance à cette séparation imminente. Qu’est-ce que tu attendais…. Tu vas travailler, pas t’amuser ! Mon subconscient se moquais allègrement des myriades d’émotions qui me transperçaient de part en part et dont je n’étais plus que le pantin. « Je t’enverrais un message dans ce cas. » affirmais-je.
Je goûtais à la simplicité de sa main dans la mienne, de son sourire sincère et doux que j’avais envie de dévorer encore et encore. J’espérais qu’elle ne se rende pas compte des tremblements qui me secouaient par moment, et je finis même par me rasséréner à mesure que nous avancions. Le chemin qui me séparait de l’hôpital se réduisait comme peau de chagrin et ce fut à cet instant qu’une nouvelle question effleura ses lèvres encore gonflées de nos échanges passionnés. Me parler un peu plus de toi… Je la mirais en tentant de contrôler l’expression de mon visage, soudain apeuré qu’elle ne découvre ce que je voulais garder enfoui. Comment réagirait-elle ? Est-ce qu’elle aussi me quitterait en apprenant la vérité de mon existence ? « Il n’y a pas grand-chose à savoir sur moi. » tentais-je d’une moue tendue. J’espérais que cette simple réplique lui suffise, et comme si le monde décidait de m’aider, l’hôpital apparut finalement devant nous. Je masquais le soulagement de ne pas avoir à dévoiler plus et l’enlaçais une dernière fois. Les bras enroulés autour de sa taille, elle se hissa sur la pointe des pieds et nos lèvres se rencontrèrent à nouveau. J’écrouais son inférieure et humait une dernière fois son parfum avant de ne lui rendre sa liberté. « À demain ? » L’incertitude me paralysait, et si elle se rendait compte qu’elle ne veut pas plus ? Et comme si elle pouvait lire dans mes pensées, elle hocha la tête en souriant. C’était ce sourire qui m’avait fait tomber, son sourire, ses yeux, la douceur de sa peau… tout, absolument tout d’elle était parfait, et je marchais à reculons simplement pour ne pas avoir à tourner le dos à celle dont j’étais tombé éperdument amoureux.
@Choi Sae Hee
La tentation de tout lâcher, de fuir cette journée de travail et de paresser en sa compagnie était plus que séduisante. Si seulement ma conscience ne mettait pas un point d’honneur à respecter mes engagements. Et ce, même si la séparation me déchirait le cœur. Après cette révélation, cette proximité, comment pouvais-je seulement la quitter sereinement ? Une heure ou une journée, où était la différence ? Je savais d’ores et déjà qu’elle me manquerait, que mon cœur sursauterait de son absence, que mon corps entier tremblerait à l’idée que toute cette soirée n’a été qu’un rêve… Et pourtant, je fus celui qui décidais d’y mettre un terme.
Je découvrais l’empathie, l’envie et les sentiments partagés là où je n’avais pu expérimenter que l’attente, la douleur et l’abandon de relation à sens unique. Et si je mourrais d’envie de poursuivre la soirée avec elle, de repousser l’échéance du quotidien, je restais incroyablement raisonnable. « Demain. » répétais-je la gorge nouée. Je lui promettais un repas, que je ne pouvais sans doute pas honorer, mais avec cet engagement, je voulais aussi me persuader qu’elle ne fuirait pas… Je fis écho à son sourire communicatif, à la fois soulagé de l’entendre répondre par la positive, mais terriblement déçu de ne pas la voir opposé de résistance à cette séparation imminente. Qu’est-ce que tu attendais…. Tu vas travailler, pas t’amuser ! Mon subconscient se moquais allègrement des myriades d’émotions qui me transperçaient de part en part et dont je n’étais plus que le pantin. « Je t’enverrais un message dans ce cas. » affirmais-je.
Je goûtais à la simplicité de sa main dans la mienne, de son sourire sincère et doux que j’avais envie de dévorer encore et encore. J’espérais qu’elle ne se rende pas compte des tremblements qui me secouaient par moment, et je finis même par me rasséréner à mesure que nous avancions. Le chemin qui me séparait de l’hôpital se réduisait comme peau de chagrin et ce fut à cet instant qu’une nouvelle question effleura ses lèvres encore gonflées de nos échanges passionnés. Me parler un peu plus de toi… Je la mirais en tentant de contrôler l’expression de mon visage, soudain apeuré qu’elle ne découvre ce que je voulais garder enfoui. Comment réagirait-elle ? Est-ce qu’elle aussi me quitterait en apprenant la vérité de mon existence ? « Il n’y a pas grand-chose à savoir sur moi. » tentais-je d’une moue tendue. J’espérais que cette simple réplique lui suffise, et comme si le monde décidait de m’aider, l’hôpital apparut finalement devant nous. Je masquais le soulagement de ne pas avoir à dévoiler plus et l’enlaçais une dernière fois. Les bras enroulés autour de sa taille, elle se hissa sur la pointe des pieds et nos lèvres se rencontrèrent à nouveau. J’écrouais son inférieure et humait une dernière fois son parfum avant de ne lui rendre sa liberté. « À demain ? » L’incertitude me paralysait, et si elle se rendait compte qu’elle ne veut pas plus ? Et comme si elle pouvait lire dans mes pensées, elle hocha la tête en souriant. C’était ce sourire qui m’avait fait tomber, son sourire, ses yeux, la douceur de sa peau… tout, absolument tout d’elle était parfait, et je marchais à reculons simplement pour ne pas avoir à tourner le dos à celle dont j’étais tombé éperdument amoureux.
vmicorum.
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©️crackintime
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