⇝ Maintenant qu'ils étaient arrivés chez les parents de la jeune femme, Seori et Kyungho ne pouvaient faire marche arrière, la musicienne entraînant son compagnon à l'intérieur de la maison en appelant ses parents, un sourire qui nait sur ses lèvres quand elle voit sa mère venir vers eux. La prenant dans ses bras, elle se sentait soudain comme quand elle était petite, trouvant du réconfort contre elle tout en faisant attention à ce que sa main ne lâche pas celle de son petit ami pour lui offrir une ancre à laquelle se raccrocher au cas où, mais elle était certaine que tout allait bien se passer. Sa mère semblait déjà sous le charme ! Plaisantant facilement avec eux, rassurant le jeune homme tout en se permettant une petite taquinerie envers sa propre fille au passage, un bon moyen de détendre l'atmosphère, Seori levant les yeux au ciel mais ne se débarrassant pas de son sourire affectueux. « Heyyy, tu es de quel côté ? » Elle se tourne vers son copain avec un air faussement outré.  Une fois sa mère partie pour aller chercher son père, la jeune femme se tourna vers Kyungho pour lui indiquer le salon, tentant encore une fois de calmer les nerfs de son petit ami, vraiment pas habituée à le voir ainsi. « Oui je trouve. » Si la nervosité de l'étudiante s'était calmée depuis qu'elle avait croisé le regard familier de son aînée ça ne semblait pas être encore le cas pour lui. Compréhensif. Quand ses parents revinrent vers eux, et qu'elle vit Kyungho se redresser droit comme un pique avant de saluer son père, ce dernier tentait rapidement de rendre le couple à l'aise même si pour l'instant le sportif restait encore nerveux, croisant son regard, elle l'encourage d'un signe de la tête et d'un sourire. « Oui, nous avons eu de la chance vu la période. » Elle murmure, venant lier son bras au sien. « Je suis tellement contente que vous puissiez le rencontrer, » Seori ajouta, sentant les émotions se coincer dans sa gorge. « La prochaine fois il faudra venir sur Séoul qu'on vous fasse visiter la ville. »

⇝ Ce n’était pas habituel de le voir aussi stressé. D’habitude, Kyungho était décontracté. Mais pas aujourd’hui, non. Car aujourd’hui, il rencontrait pour la première fois les parents de sa petite-amie. Sa nervosité ressortait par tous ses pores, ça devait même être inscrit sur son front, et il refusait de s’éloigner de Seori. Sa main dans la sienne, il échangea un peu avec la mère de l’étudiante, taquinant au passage cette dernière. Il haussa les épaules à sa question, lui adressant un sourire, avant qu’elle ne l’entraîne dans le salon. S’asseyant, il se retenait de taper du pied et d’agiter la jambe. Il en avait cruellement envie. A la place, il se tenait droit comme un I, les mains sagement posées sur ses cuisses. Même si la silla tentait de le détendre et le rassurer, ça ne fonctionnait pas tellement. Enfin, si, quand même. Et ça lui faisait plaisir de savoir qu’il était toujours parfait à ses yeux. Ce qu’il n’était pas, cela dit, mais ce n’était pas le débat. Il lui adressa un sourire, presque timide. Quand la mère de Seori revint avec son mari, le sportif se leva et s’inclina. Il se redressa après avoir salué l’homme et échangea un regard avec sa petite-amie, cherchant son réconfort et son soutien. Il reporta son attention sur les parents de l’étudiante, acquiesçant aux mots de leur fille. Quand elle lia son bras au sien, il eut un regard pour elle, un sourire ourlant ses lèvres et sa main se posa instinctivement sur la sienne. Partageant son bonheur de le présenter enfin à ses parents, Kyungho baissa la tête, lèvres pincées. Il était vraiment gêné et timide. Il releva la tête à la proposition de Seori. « Ça serait avec plaisir de vous faire visiter. » Ajouta-t-il à sa suite avec un doux sourire. « Seori m’a dit que vous étiez fan de football ? Vous devriez venir à un match. Je pourrais vous avoir des places. »

⇝ Seori tentait tant bien que mal de calmer les nerfs de son petit ami, d'abord devant sa mère puis quand son père arriva dans la pièce et que le jeune homme était droit comme un piquet, ça faisait doucement sourire la jeune femme qui lia son bras au sien pour lui apporter une sorte de touche réconfortante. De voir trois des personnes qu'elle aimait le plus au monde, ça faisait naître une telle vague d'affection en elle. Présenter son petit ami à ses parents c'était important et elle était contente que ce soit Kyungho, elle n'aurait pas pu imaginer un autre homme à ses côtés. « Il faudra en parler avec Unnie et Oppa, sinon ils vont râler qu'on les laisse de côté, déjà qu'ils n'ont pas pu venir. » La jeune femme sourit en échangeant un regard complice avec ses parents, après tout ils connaissaient leurs enfants mieux que personne. Quand Kyungho reprit la parole, elle observa les réactions de son père, voyant son visage s'illuminer et l'homme se mettre à sourire comme un gamin à qui on venait d'offrir des bonbons, acceptant avec joie l'idée du sportif avant de se tourner vers sa femme et glisser un tu vois qu'avoir un sportif dans la famille c'est génial ! qui fit rire les deux femmes Seong. « Je crois qu'il est complètement sous ton charme, » la musicienne souffla à Kyungho quand elle se rapprocha de lui, se hissant sur la pointe des pieds pour poser un baiser sur sa joue. « Bientôt je devrai me battre pour avoir ton attention avec lui comme rival. » Seori ajouta doucement, tournant son visage vers sa mère. « Nous allons aller chercher nos affaires et les monter dans ma chambre, tu as besoin d'aide pour le repas ? » Mais sa mère refusa, leur disant que la route avait dû être longue pour venir ici et qu'ils pouvaient se reposer. Allant récupérer les sacs, la jeune femme montra le reste de la maison à son compagnon sur le chemin de sa chambre, poussant la porte de cette dernière et souriant en pénétrant dans la pièce. « Rien n'a changé, maman a vraiment tout laissé comme c'était. » Rien n'avait changé depuis qu'elle était ado. Posant son sac sur son lit, elle se tourna vers Kyungho. « Soulagé ? »

⇝ Kyungho se pinça les lèvres, plutôt content que toute la famille ne soit pas là. Déjà qu’il était stressé devant les parents de Seori, qu’est-ce que ça aurait été avec tout le monde ? Il aurait été incapable d’aligner les mots sans bégayer. Déjà qu’il avait un peu de mal, là ! Le garçon préférait les voir petit à petit. Puis, les occasions ne manqueraient pas de toute façon. Le sportif proposa d’ailleurs d’offrir des places, connaissant la passion pour le football du paternel. « Vraiment ? » Souffla-t-il en la regardant, esquissant un sourire quand elle déposa un baiser sur sa joue. « N’importe quoi… » Répondit-il dans un chuchotement, l’air un peu boudeur, avant de reporter son attention sur les parents de sa petite-amie. Il écouta l’échange sans rien dire, suivant Seori pour récupérer leurs sacs. Il les porta jusqu’à la chambre, regardant et tentant de retenir tout ce qu’elle lui montrait et disait. Une fois dans la chambre, Kyungho posa les sacs et son regard parcourut la pièce, découvrant l’univers de la jeune femme. « C’est mignon. » Commenta-t-il, s’avançant ici et là pour regarder tout ce qui traînait. Le footballeur posa son regard sur sa petite-amie. « Soulagé de ne me retrouver qu’avec toi, là, maintenant, oui. » Répondit-il en s’approchant, ses bras venant doucement l’enlacer. Il posa sa tête contre la sienne. « C’est vraiment stressant. » Souffla-t-il. « Tu es certaine qu’ils m’aiment bien ? » Demanda-t-il en la regardant, moue aux lèvres. « Et si je dis une bêtise durant le repas ? » C’était vraiment son angoisse. « Et que ça jette un froid ? Je fais quoi ? Je m’enterre ? »

⇝ Seori était toute émue de voir ses parents et Kyungho dans la même pièce, de les voir échanger avec tant de facilité en réalité même si elle savait que les nerfs de son petit ami étaient en mode alerte rouge à l'idée de cette rencontre. Mais tout se passait bien. Ses parents étaient sous le charme comme elle le murmura à l'oreille de son copain en déposant un baiser tendre sur sa joue. « Mais si, tu entends mon père ? » Elle ricane doucement, l'homme continuait les éloges de son gendre alors que ça faisait à peine cinq minutes qu'ils venaient de se rencontrer officiellement. Le couple finit par aller chercher leurs affaires dans la voiture, Seori montrant rapidement le reste de la maison à Kyungho alors qu'ils se dirigeaient vers la chambre de la musicienne. Celle-ci n'avait pas changé du tout, Seori sourit au compliment du garçon, posant son sac sur son lit avant de se tourner vers Kyungho. « À ce point ? » La jeune femme souffla, se lovant contre son petit ami avec plaisir, souriant en le sentant poser sa tête sur la sienne. « Je sais, chéri, et oui je suis certaine qu'ils t'aiment bien, tu les as entendu non ? » Seori recule légèrement son visage pour le regarder, secouant doucement son visage à ses paroles, il n'avait pas à s'en faire. Prenant ses mains dans les siennes, elle le conduisit jusqu'à son lit où elle le fit s'asseoir, restant debout entre ses jambes et se baissant pour venir embrasser son front. « Tout va bien se passer, Kyungho, je te le promets. » Elle vient s'asseoir à ses côtés ne lâchant toujours pas ses mains. « À moins qu'ils viennent à parler mariage et petits-enfants, là ok tu pourras rougir et bafouiller. » Même si elle le fera sûrement plus que lui.

⇝ Kyungho était soulagé de maintenant se diriger vers la chambre de sa petite-amie. Il avait besoin de souffler un coup. Même si Seori lui assurait que ses parents l’adoraient déjà, le footballeur n’en était pas totalement convaincu. Et puis, il stressait beaucoup trop devant eux. il avait besoin de quelques minutes seul à seul avec la silla. Pénétrant dans la chambre, ses yeux parcoururent aussitôt les lieux. C’était mignon et il ne manqua pas de le dire. Il n’hésita pas à avouer qu’il était soulagé de se retrouver qu’avec elle, en profitant pour se rapprocher et l’enlacer, déposant sa tête contre la sienne. « Oui, à ce point. » Souffla-t-il, révélant que c’était vraiment stressant comme situation. Et puis, était-elle vraiment certaine de chez certaine qu’ils l’aimaient bien ? « Ce n’est pas parce qu’on le dit qu’on le pense toujours. » Répliqua-t-il. Mais il pensait bien que les parents de la demoiselle n’étaient pas hypocrites. Non, définitivement, ils ne l’étaient pas alors… Ils ne mentaient pas. Ils l’aimaient réellement bien. Mais peut-être que ça ne serait plus le cas s’il faisait une bourde. Si ça arrivait, et qu’il jetait un froid ? Oh non, pitié, non ! Mais Seori n’était pas d’accord avec lui. Elle secoua la tête, le faisant s’asseoir sur le lit. Il esquissa un sourire quand elle embrassa son front. « Hm, si tu le dis… » Bougonna-t-il, ses pupilles suivant ses mouvements et il écarquilla les yeux quand elle mentionna le mariage et les enfants. « Parce qu’ils vont aborder le sujet ? » Demanda-t-il, abasourdi. « Non, quand même pas… Pas la première fois ? » Ajouta-t-il, priant qu’ils ne lui fassent pas ça pendant leur première rencontre. « Cela dit… Tu en veux combien ? » Demanda-t-il en la regardant, réalisant qu’ils n’avaient jamais réellement parlé de ça. si le sujet était amené sur la table – ce qu’il n’espérait pas – au moins, ils sauraient quoi répondre.

⇝ Maintenant qu'ils étaient dans sa chambre, à nouveau seuls et dans une bulle qui n'appartenait qu'à eux, Seori pouvait sentir Kyungho se relâcher. Elle sourit tendrement à son petit ami, le rassurant une fois de plus que tout se passait à merveille, ses parents étaient complètement sous le charme, il n'avait vraiment pas à s'en faire ou à avoir peur de faire mauvaise impression. « On est tranquille maintenant, » elle murmura doucement avant de reprendre la parole quand Kyungho eut fini. « Je sais, Kyung, mais ils ne sont pas comme ça. Par le passé ils ont bien fait comprendre que certains choix de mon frère ou ma soeur n'allaient pas, je les connais. » Elle savait qu'il stressait autant car c'était important pour eux deux qu'il les rencontre mais Seori ne voulait vraiment pas qu'il pense qu'il n'était pas assez bien pour que ses parents l'apprécient réellement. Le faisant s'asseoir sur son lit avant de se pencher pour embrasser son front, Seori voulut le rassurer encore même si comme plus tôt Kyungho avait du mal penser comme elle, la jeune femme ne se laissa pas démonter, souriant au garçon puis prenant place à ses côtés. Pour une fois, Seori tenta une touche d'humour pour détendre l'atmosphère mais ça sembla plus surprendre son compagnon qu'autre chose, sa réaction la faisant rire. « Non, Kyung, je plaisantais. » Enfin, peut-être qu'ils le feront mais alors ça serait prendre au dépourvu leur gendre et leur fille. « Hein ? » La jeune femme sentit le rouge colorer ses joues, ok elle aurait dû savoir qu'il pourrait lui poser la question mais elle n'était prête pour autant, bafouillant quelques syllabes incompréhensibles avant de rougir encore plus. « Je, hm, je ne m'étais jamais vraiment posée la question, » elle murmura timidement, baissant le regard sur leurs mains toujours liées. « Et toi ? »

⇝ Kyungho était vraiment stressé et il se détendit uniquement quand il pénétra dans la chambre de sa petite-amie. Il souffla, enfin. Ses parents n’étaient pas présents, il était en tête à tête avec Seori. Pas que les parents de la jeune femme étaient méchants, loin de là, simplement… C’était la première fois qu’on le présentait et surtout, oui surtout, il voulait vraiment faire bonne impression. Parce que la silla comptait vraiment beaucoup pour lui, il en était vraiment fou amoureux et se voyait vivre avec elle jusqu’à la mort. Alors, oui, ce moment était vraiment important, comptait énormément aux yeux de Kyungho et le footballeur voulait vraiment que les parents de Seori l’apprécient. « Hm, d’accord, d’accord… » Capitula-t-il dans un souffle. Etait-il convaincu à 100% ? Non mais il était tout de même rassuré. Il s’assit sur le lit, levant la tête vers la jeune femme. Il ne savait pas si tout allait bien se passer. Et s’il disait quelque chose qu’il ne fallait pas ? Et que ses parents se fâchaient ? Ou en venaient à le détester ? Il recommençait à paniquer mais cette panique se stoppa bien net quand elle mentionna la possibilité qu’ils lui parlent de mariage et d’enfants. « C’était une plaisanterie ? » Demanda-t-il, clignant des yeux avant de lui poser la question. Ben, oui, finalement… Il ne savait pas. Ils n’en avaient jamais discuté et… l’occasion se présentait alors… « Combien veux-tu d’enfants ? » Redemanda-t-il, la regardant. Un petit sourire vint s’inscrire sur ses lèvres, ses yeux observant ses joues se tinter de rouge. Il ne s’était pas attendu à ce qu’elle mentionne tout ça mais elle ne s’était pas attendue non plus à ce qu’il pose la question. Mais pourquoi pas, après tout ? « Jamais ? » Répéta-t-il, faisant la moue. « Deux. Ou trois. » Répondit-il avec un sourire, serrant doucement ses mains. « Je suis fils unique et… C’est ennuyant. J’ai toujours voulu avoir un petit frère ou une petite sœur. C’est jamais arrivé. Du coup, j’aimerai que mes enfants, enfin, nos enfants ne vivent pas la même chose que moi. » Expliqua-t-il.

⇝ Seori voulait rassurer Kyungho, il n'avait pas à s'en faire car ses parents ne feront pas semblant avec lui, si il y avait quelque chose chez lui qui pouvait leur déplaire, ils l'auraient dit déjà depuis le temps que leur fille leur parlait du sportif, les fois où ils avaient pu le voir en passant lors des appels avec Seori. Mais elle ne voyait pas pourquoi ses parents ne l'aimeraient pas, Kyungho n'avait jamais rien fait pour blesser la silla, il était adorable avec elle, Seori était épanouie avec lui et ça se voyait comme le nez au milieu de la figure, ils n'avaient aucune raison de ne pas l'aimer. Une fois assis sur le lit de la brune, celle-ci tenta une touche d'humour pour détendre l'atmosphère bien que Kyungho sembla plus surpris par le sujet qu'elle avait choisi qu'amusé, et si il fut troublé par ce dernier il ne tarda pas à renvoyer la balle du côté de sa petite amie qui rougit à son tour quand il lui demanda combien d'enfants elle voulait, elle. Kyungho répéta sa question, accentuant le rouge sur les joues de la musicienne, passant une main sur sa nuque avant de venir jouer avec ses cheveux. « Enfin gamine avec ma soeur on jouait avec les poupées en forme de bébés mais c'est loin, on y pense pas sérieusement. » Elle bafouille avant de reprendre, « et je n'ai pas eu de copains avec qui imaginer une vie ensemble jusqu'à toi. » Seori sourit à cette confession, avant d'écouter son compagnon se confier à son tour, son sourire s'étirant quand Kyungho parla de leurs enfants. Elle aimait le son de ces mots. Nos enfants. « D'accord, pour deux ou trois, après tout si mes parents ont bien réussi à nous gérer, pourquoi on ne pourrait pas nous ? » Elle murmura, venant embrasser délicatement la joue de son compagnon, un rire glissant entre ses lèvres quand elle vient cacher son visage contre son cou. « Nos enfants. J'aime bien. »

⇝ Kyungho était bien évidemment inquiet quant à l’appréciation des parents de sa petite-amie. Il voulait qu’ils l’apprécient car il comptait bien rester longtemps dans la vie de leur fille… Seori était confiante, ce que n’était pas spécialement le footballeur. Étonnement, d’ailleurs ! Lui qui était toujours à l’aise, ce n’était pas le cas aujourd’hui. Le stress était grand et il voulait et devait faire bonne impression. Heureusement, il put souffler quand elle l’emmena dans sa chambre pour y déposer leurs affaires. Ils finirent par s’installer sur le lit, Seori le rassurant comme elle le pouvait avant de plaisanter sur une question que ses parents pourraient possiblement poser. Question qui n’était pas anodine. Question à laquelle Kyungho avait déjà réfléchi mais il n’en avait jamais discuté avec Seori. C’était peut-être le moment ? Il se présentait alors autant en profiter… « à cet âge-là, non, c’est normal. » Dit-il en la regardant jouer avec ses cheveux. Elle était toute timide maintenant qu’ils abordaient le sujet des enfants. Un sourire étira ses lèvres à sa confession. Il n’y avait jamais réellement pensé non plus jusqu’à elle. « Pareil pour moi… » Souffla-t-il avant de se confier. Il voulait deux ou trois enfants. Il détestait être fils unique alors… il ne voulait pas que ça arrive à leurs enfants. « On y arrivera. J’en suis sûr. » Répondit-il, confiant. Oui, c’était sûr et certain. Peut-être qu’ils seraient un peu débordés au début mais c’était normal, non ? Son bras passa dans le dos de Seori, la tenant contre lui. « Nos enfants, oui… » Répéta-t-il. « Tu seras une maman géniale, j’en suis persuadé. » Dit-il, posant sa tête contre celle de la jeune femme. « Tes parents vont se questionner si on reste trop longtemps, non… ? » Demanda-t-il, ne voulant pas qu’ils s’imaginent des choses. « On devrait y retourner. » Dit-il, l’inquiétude et le stress le reprenant. Il préférait être ici, dans sa bulle avec Seori mais… Il n’allait pas pouvoir éviter ses beaux-parents toute sa vie, non ? Il se leva, entraînant la jeune femme avec lui. « J’ai besoin d’un bisou pour me donner du courage. » Réclama-t-il, les lèvres tendues.