((ootd) Tu t’étais dis que tu ne craquerais pas, que tu te conterais de sa présence ce soir. Connerie, tu le sais depuis la première fois où tu as croiser son regard, le premier son sortie de sa bouche. Tu es engloutie par cette femme, littéralement. Peut être est-ce que c’est le fait de savoir que tu ne vas pas la revoir, que vous vous êtes dit que c’était une soirée unique. Il est trop tard pour reculer, trop tard pour regretter quoi que ce soit. Mei Li n’aura fait qu’attiser un feu qui te dévorait depuis quelques semaines. Elle n’aura allumer que la dernière braise, souffler la dernière barrière qui te retenais. La tentation a son paroxisme, tu ne peux plus tenir. Tu te glisse contre elle, tu joues avec elle, avec sa peau. Tu te noies dans son parfum, dans le goût légèrement sucrée de sa peau alors que tes lèvres l’effleure. Elle s’appuie un peu plus contre toi, tu la sens frissonner contre toi. Merde. Tu ne tiens plus, tu ne veux plus. Mei Li bon sang, qu’elle démon peut être pour provoquer un tel chaos dans un esprit?  Le tiens sans doute. Elle ne t’aide clairement pas, peut être que tu pensais qu’elle allait t’envoyer balader, t’en coller une. Non elle ne fait rien que ça. Elle souffle une fois de plus sur les braises de cette soirée.  Je pensais que ça avait fait son petit effet pourtant.  Tu retiens juste un petit rire, alors que tes lèvres jouent encore un peu avec son cou. ”Tu as fais plus que ça sur moi…” Tu ne prend même plus la peine de réfléchir, tu coule dans ce moment sans penser aux conséquences. Une soirée, c’est tout ce qu’il te faudra ce soi, pour explorer ce que tu as refuser d’admettre depuis quelques semaines. Une soirée pour voir plus clair dans ce qu’elle provoque chez toi. Ta main sur sa cuisse continue doucement son exploration avant de stopper à ses mots aucun risque pour ça... Tu ne peux t’empêcher de sourire à cette remarque. Peut être en y voyant finalement plus clair sur la situation. La reine des glaces s’ouvre peut être un peu se soir…

C’était le dernier clous dans ton cercueil, cette idée que ce n’est pas que toi qui t’imagine des choses. Que peut être cette sensation elle l’a ressent également, que ce soir, elle peut être tout a toi. Rien que ce soir tu peux être capricieux.  Tu la retourne pour qu’elle te fasse face, pour pouvoir encore une fois te faire happer par sa beauté. Pour être sciée pour cette proximité que tu as pourtant créer. Pour la première fois, vous ne semblez pas vous défier du regard. Non, vous vous regardez peut être pour la première fois, tu peux voir a travers ses yeux qu’elle veut plus. ELle se serre un peu plus contre toi. Tu la voie détourner le regard, voir quelque chose, puis revenir vers toi. Tu t’en moque. A cette instant précis, il n’y a qu’elle contre toi qui compte, que sa chaleur contre toi. Que ce fruit interdit que tu t’es pourtant encore refusé de saisir. Ses mots, t’arrache un frisson. Tu es comme bloquer pas sa main sur ton visage, qui t’attire encore un peu plus. TU sens littéralement ses lèvres contre les tiennes quand elle parle. Tes lèvres entre ouverte, un peu surpris, avec trop d’attente.Divine tentatrice. Les secondes ont alors l’allure des heures. Tu pourrais t’emparer ses lèvres, là. Maintenant. Pourtant c’est elle qui brise cette dernière barrière. Cette tension qui semble enfin disparaitre alors que tu peu enfin sentir le goût de ses lèvres. Depuis combien de temps tu imagine cette instant? Honnêtement, tu ne sais pas, tu ne sais plus. Pulsion de luxure qui te libère d’un poids. Enfin.

Alors que vos lèvres s’entremêlent, tes mains glissent le long de ses hanches, puis sur ses fesses, attirant un peu plus la chanteuse vers toi. Non, tu ne veux pas laisser ce moment filer, alors que vos lèvres se séparent pour reprendre votre souffle. Non. Plus, il t’en faut plus, ton corps en réclame encore. ”Non, je ne crois pas avoir été assez convainquant…” Une de tes mains remonte vers la visage de la jeune femme, pour t’emparer a ton tour de ses lèvres. Comme si tu étais en manque, comme si tu en avait un besoin impérieux pour vivre. Cette sensation, tu voudrais qu’elle dure. Toujours, encore. Tu veux mourrir sur ses lèvres, que ce soit la dernière chose que tu aura ressentie. Elle est à toi, tout a toi. Rien que ce soir au moins. Tu relâches ses lèvres a contre coeur, sans se résigner a te décoller d’elle.  Tes lèvres se dépose discrètement sur les siennes, comme une dernière respiration avant de plaquer ton front contre le siens. Ta mains caresse doucement sa joue, alors que tu dois afficher un sourire difficile a cacher. ”La je crois que c’est déjà mieux, même si je crois que je risque d’y prendre goût.”  Tu écarte tu visage du siens, seulement pour t’attaquer a sa nuque que tu as libérer de ses cheveux juste avant. Sauf que cette fois, tes lèvres s’attaque vraiment a sa peau. Tu veux la rendre folle, tu veux marquer se moment. Même si ce n’est que ce soir, que ce n’est qu’une soirée, qu’une nuit, qu’une heure. Tu lui susurre alors doucement a l’oreille, de manière volontairement provocante. Peut être même que vais avoir du mal a m’arrêter. Peut être même que je devrais te dévorer là, maintenant…” Un sourire mutin s’affiche sur tes lèvres. Pourtant il faut peut être lui laisser un peu d’air. Après tout vous n’êtes pas seul non plus. Tu t’écarte finalement un peu, laissant tes mains explorer doucement le tissus de sa robe.  Tu sens de nouveau les regards sur vous, mais maintenant tu t’en moques.

code by kerushirei.

((ootd)) tu as fait plus que ça sur moi. confession susurrée le long de sa peau. ne préférant pas imaginer qu’il puisse y avoir une autre signification derrière tout ça. surtout pas. son souffle contre son cou lui arrachant un frisson. la faisant vibrer jusqu’au plus profond de son âme. putain. elle le sait pourtant. mei li n’est pas quelqu’un de naïf, qui se voile la face. elle sait pertinemment l’effet qu’elle peut faire sur les gens. elle se rend compte très vite de l’attraction qu’elle procure. le désir dans les yeux des hommes. la jalousie dans ceux des femmes. mei li est un trophée que beaucoup cherche à obtenir. consécration ultime de cette déesse inaccessible. seulement le problème ici est la réciprocité des choses. ce fait aberrant qui la déstabilise. quand bien même elle erre de part et d’autres sans attaches, elle n’a jamais ressenti ça. pas à ce point là. ce désir brulant. c’est grisant. dévastateur. c’est peut-être la rareté de la chose qui rend cette situation si puissante. pourtant mei li est dans le déni. si c’était le cas elle n’aurait pas été hanté par son visage ces derniers jours. leur proximité quand il a quitté la salle de musique retardant l’inévitable. cette soirée n’est que la suite logique de tout ce qui n’aurait jamais dû démarrer. c’est un piège mortel dans lesquels ils sont en train de se perdre. et quand ses yeux plongent dans les siens elle sait qu’il n’y a pas de marche arrière possible. ce n’est pas ce qu’elle veut, de toute façon. et que cet inconnu qui a eu le malheur de venir la déranger n’a fait qu’accélérer un processus déjà bien enclenché. n’a fait que réduire le compte à rebours de l’inéluctable. qu’il lui sert clairement d’excuses quand ses doigts agrippent son beau visage. qu’il n’est qu’un prétexte tout trouvé à ce petit spectacle quand sa bouche se pose enfin sur sa consœur. explosion salvatrice à tout ce petit manège tandis qu’elle découvre enfin le goût que possèdent ses lèvres après en avoir tant rêvé à contrecœur. ses mains qui glissent le long de son corps pressé contre le sien sont comme une décharge qui l’ébranle de l’intérieur. son cœur tambourine bien trop fort dans sa poitrine. à deux doigts d'exploser. ses bras viennent s’enrouler autour de son cou, ses mains à elle viennent se perdre dans la douceur de ses cheveux. point d’ancrage à cette situation démentielle. elle est incapable de savoir combien de temps ça dure. quelques secondes. des minutes. plus. pourtant le manque est terrible quand leurs lèvres se séparent. ses yeux rivés sur sa bouche, elle ne peut s’empêcher de sourire, rentrant clairement dans son jeu. « j’ai trouvé ça très médiocre si tu veux mon avis.. tu peux mieux faire. »  c’est murmuré sur le même ton. et il ne faut pas plus longtemps pour qu’il reprenne possession de ses lèvres. telles deux âmes sœurs qui se sont quittés trop longtemps. cette fois c’est beaucoup plus assumé. possessif. comme un besoin insatiable. un manque vital. ses doigts se serrent dans les mèches de ses cheveux tandis qu’elle profite de ce qu’il lui donne. qu’elle n’a aucune envie que ça s’arrête. que le monde autour d’eux n’existe plus. qu’elle a complètement oublié pourquoi ils en sont arrivés là. mais il faut bien que ça cesse à un moment donné. redescendant une nouvelle fois sur terre quand sa bouche quitte sa jumelle à contrecœur. un dernier baiser volé. reconnexion avec la réalité. pourtant ni l'un ni l’autre ne semble enclin à se détacher de l’étreinte dans laquelle ils sont liés. son front collé contre le sien, sa langue passe sur ses lèvres. l’emprunte fantôme de celles de jonah continue d’hanter les siennes, comme marquées au fer rouge. le gout fruité de leur cocktail comme un écho terrible au manque qui la ronge  et le sourire qu’il lui offre est à se damner. il n’a pas le droit de faire ça. parce qu’il est surement à un monde de s’imaginer vraiment le bordel qu’il est en train de créer en elle. ravageant tout sur son passage. « légèrement mieux, oui. » alors qu’elle aurait pu se perdre des heures contre ses lèvres. pourtant elle ne relève pas la fin de se phrases qui la refroidit. car il n’y aura pas d’après. parce qu’elle s’étonne à ressentir la même chose et que c’est une raison supplémentaire pour qu’il n’y est qu’une représentation à ce spectacle. qu’elle n’a pas le temps de lui dire de ne pas trop y prendre goût.c'est une soirée à usage unique, car ses lèvres qui s’attaquent à sa peau lui ôtent les mots de la bouche. instinctivement sa tête se penche pour lui donner plus d’accès. ses mains à elle viennent se faufiler sous les pans de sa veste, glissent dans son dos, s’agrippent au tissu de son haut. et la suite la rend complètement dingue. cette partie de ping pong à qui rendra l’autre complètement fou. et cette fois-ci c’est jonah qui marque des points. parce que c’est exactement ce qu’elle veut. et il y a ce vide immense quand il se détache d’elle. cette perte de chaleur humaine. un manque cruel de contact malgré le fait qu’il ne soit pas si loin et que ses mains sont toujours là. pourtant elle reprend contenance comme elle le fait toujours. elle essaie du moins. car leurs yeux fiévreux les trahissent tous les deux. leurs pupilles sombres parlent pour eux. « ah.. et qu’est-ce qui t’en empêche ? » c’est susurré d’une manière si provocante, un sourire en coin couronnant le tout, tandis qu’elle s’éloigne volontairement. attisant le feu entre eux. créant le vide total. le manque cruel. s’appuyant contre le bar derrière elle. les coudes posés sur celui-ci. son sourire s’accentuant parce qu’il est hors de question que ça ne se joue que dans un sens. elle aussi, peut être doué pour faire tourner les têtes. c’est même ce qu’elle fait de mieux. la luxure qui émane par tous les pores de sa peau. ça ne fait pas longtemps qu’ils sont là et pourtant leur présence fait l’effet d’une bombe. pour eux. pour les autres. en témoigne les regards sur eux alors qu’ils n’ont rien fait de si spécial. mais l’aura qu’ils dégagent tous les deux rendent la tension douloureusement sensuelle pour quiconque pose les yeux sur ce duo dévastateur. mei li jette un œil rapide aux alentours et elle les voit. les yeux intrigués. envieux. jaloux. mais au moins le message est passé. même si au fond, ça n’était qu’un prétexte tout trouvé pour assouvir ses envies. son regard se repose sur le chanteur. sans quitter les yeux de jonah, mei li attrape son verre avant de reboire une gorgée « on a eu plus de public que prévu. ils ont l’air convaincu, bien joué. » c’est amusé. parce qu’il n’y a aucune chance pour qu’elle avoue qu’elle en veut encore. qu’elle a fait ça pour une autre raison que ce petit scénario fictif qui a servi de couverture à leur faiblesse.
code by kerushirei.

((ootd) La raison s’envole en même temps que tu t’empares de nouveau des lèvres de la jeune femme. Elle te cherchais juste avant, tu sais que c’est ce qu’elle voulait, même si elle ne l’admettra sans doute jamais. Ses bras autour de ton coup, sa robe contre toi, son rythme cardiaque que tu peu sentir contre toi. Tout te plonge un peu plus dans ce deuxième baiser, dans cette danse que vous mener depuis trop longtemps. Ce n’est pas ton genre de faire ça devant autant de monde. Mais tu t’en moque, il n’y a qu’elle. Juste elle qui compte en cette instant précis. Tu ne veux pas te séparer de ces lèvres, mais tu es bien obliger. Elle te rend fou, alors que tu vois sa langue effleurer ses lèvres. Tu résiste à l’idée de reprendre une réputation contre se piège rouge carmin. Non, tu veux lui rendre un peu la monnaie de sa pièces. Tu veux la rendre folle. Si ce n’est qu’une soirée, ce sera celle qu’elle n’oubliera pas de si tôt.

Elle te cherche encore, te provoque, et tu tombes dedans avec joie alors que tu joue avec son cou. Elle ne peut pas mentir, elle ne peut ignorer les réactions que son corps a contre toi. Tu la sens partir complètement. Tu n’as plus cette hésitation de faire quelque chose de complètement stupide à cette instant. Non, tu SAIS que c’est ce qu’elle veut, ce que tu veux.  Tu vas de damner avec le goût de sa peau contre tes lèvres, à la sentir s’accrocher à ton haut. Une victoire, peut être. Maintenant tu es juste sûr de toi, sûr de ce qu’elle veut. De ce que TU veux. Tu la veux elle, toute entière, même si ce n’es que ce soir. Même si tu regretteras plus tard. Même si tu dois te maudit pour le restant de tes jours. Tu ne veux qu’elle, tu ne veux que sa présence comme un mantra maudit. Comme les substances qui parcouraient tes veines jadis.

Puis elle en rajoute, revient à la charge. Elle joue encore avec toi. Un sourire mutin étire tes lèvres. Désolé Mei Li, mais ce soir tu n’es plus la seule à jouer à ça. Alors que sa présence te manque immédiatement lorsque s’accoude contre le bar, tu ne parviens pas à effacer ce sourire de tes lèvres. Surtout qu’elle affiche le même. La danse  reprend, qui va faire craquer l’autre en premier. Qui aura le plus de patience. Même maintenant elle joue de sa présence, tente de t’hypnotiser avec sa beauté. Sa marche en un sens, parce que tu reviens à la charge. Ta main reviens doucement chercher sa joue. « Tu sais, j’ai un tas d’idées tout de suite… » Alors que tu ne quitte pas la chanteuse des yeux, ta main descend lentement, vers son cou, effleurant la bretelle de sa robe, avant de descendre le long du tissu pour effleurer son décolleté démoniaque. Tu ne la quitte pas des yeux. Fait un pas vers elle, alors que ta main se ballade.  « Comme par exemple, à comment je pourrais te retirer cette merveille pour en découvrir une autre… Tu rapproches encore un peu, alors que ta main continue sa descente sur le tissus avant de le quitter. Tu pourra encre t’emparer d’elle si facilement, que tu dois lutter contre cette envie folle.  «Mais ce serait pousser ce petit spectacle un peu trop loin. » tu reprend ton verre, avant de t’écarter d’elle, reprenant distance avec l’objet de ton addiction. Tu voulais juste jouer un peu, mais clairement tu t’ai un peu trop pris à ton propre jeux. Tu t’imagines exactement ce que tu viens de lui dire. Oh oui, parfaitement. Mais tu gardera ça pour toi.

Lorsqu’elle ouvre la bouche, tu ne peu qu’échapper un rire. Tu tournes la tête, tu croises les regards sur cou. Well, au moins les personnes présentes ne semblent pas ce poser de question sur ce qui ce passe. Honnêtement tu te moque des regards pour l’instant, ça n’a plus d’importance ce soir. Tu t’approche de Mei Li, ton verre à la main. Tu le termines, avant de le poser sur le bar a côté d’elle. Tu en profite pour te coller contre elle, dangereuse proximité alors que ta main libre trouve naturellement sa place sur la jeune femme. « Je t’ai trouver particulièrement impliquer dans cette… mise en scène. Je suppose donc que l’on en reste là. »

Tu joue dangereusement Jonah. Beaucoup trop, surtout que tes yeux quittent les siens pour ses lèvres. Non… pas encore, pas tous de suite. Tu as bien trop envie de la faire craquer. De voir jusqu’où elle peut aller ce soir. Jusqu’à qu’elle point elle gardera sa fierté en avant. Jusqu’où tu dois aller pour la faire céder définitivement.  Tu t’approche , mais esquive ses lèvres pour embrasser son cou, puis de décoller d’elle. Honnêtement tu te frustre autant que tu veux la frustrer elle. Ses lèvres semblant n’être déjà qu’un doux souvenir sur les tiennes. Tu remet ton haut et ta veste en place. La jeune femme ayant décidé de te mettre sans dessus dessous. Enfin c’était un peu de ta faute, mais ça en valait clairement la peine.  Tu reprend un peu pied avec la soirée, les dernières minutes ayant été… riche en émotion.  Tu tend ton bras à la jeune femme, un sourire au coin des lèvres. « Si on descendait à notre table. Maintenant que tu es tranquille? » Gamin.


code by kerushirei.

((ootd)) C’est peut être parce que cette soirée est la première et la dernière à la fois qu'ils jouent au chat et à la souris. Que tout se joue sur la durée. Parce qu’il n’y aura pas de lendemain. Que l’atmosphère a un gout de fuis moi je te suis, suis-moi je te fuis. Qu’ils arrivent à craquer tout en restant dans la retenue provocante. cette question implicite de qui perdra ses moyens en premier. Qui capitulera une bonne fois pour toute. Alternant plaisir et torture. Tentation et frustration. la tension brûlante qui plane dans les airs ne laisse place à aucune supposition sur l’attraction qu’ils ont l’un sur l’autre. Qu’elle n’a pas eu envie de se livrer comme ça à quelqu’un depuis bien longtemps, tout comme elle ne compte pas lui faire ce cadeau si facilement. Mais c’est dur. Si dur de ne pas retourner chercher la chaleur de son corps. La douceur de ses lèvres contre les siennes. comme une droguée à qui ont vient d'administrer la première dose d'un poison létal. Et que les quelques secondes qui ont suivi ont crée un manque glacial. qu'elle en veut encore. et qu'Elle ne saurait absolument pas dire comment il arrive à faire ça. pourquoi. Mais elle est encore assez consciente des choses pour ne pas succomber. Assez maitresse d’elle-même pour garder sa fierté. bien que son cœur rate un battement quand elle sent sa main le long de sa joue. sa main qui descend, descend, et glisse le long de sa peau. Bordel de merde. il va la rendre complètement folle. Ne pas frémir. Ne pas bouger est un combat contre elle-même absolument colossal. et elle se remercie presque pour cette façade qu'elle a perfectionné au fil des années. Que ses yeux ne quittent pas les siens tandis qu’il s’amuse avec son petit manège. Se rapprochant un peu plus. et mon dieu elle n’a aucun mal à imaginer ce qu’il est en train de lui dire. ses doigts qui l’effleurent sont comme une décharge électrique réveillant tout ce qu’elle tente d’enfouir. Embrasant chaque parcelle de son âme. Et ne rien afficher lui demande une maîtrise complètement surnaturelle alors que tout son corps ne demande qu’à la trahir. Mais elle rentre dans son jeu sans trop de problème tandis qu’elle souffle « ah oui.. ? et qu’est-ce qui te dit que je te laisserai faire ? » penchant légèrement la tête sur le côté un sourire amusé aux bords des lèvres. alors qu’elle en crève d’envie. Se redressant un peu, elle attrape son verre à son tour, buvant une nouvelle gorgée. répondant sur le même ton. « effectivement. Alors Retiens-toi. Il y a des limites à mon exhibitionnisme. » parce que c’est comme ça qu’elle a toujours fait. le monde tombe comme des mouches pour ce qu’il ne peut pas posséder. Que les fantasmes sont bien plus forts quand ils ne peuvent pas être consumer. l’imagination est la pire des tortures. Et que le fait qu’il revienne près d’elle l’amuse tout comme ça lui plait. Comme un aimant dont le magnétisme est sans équivoque. oh oui, ça l’amuse, parce qu’entre eux deux, elle se sait la plus forte. Elle hausse un sourcil à sa remarque. avant de lâcher un léger rire le faisant paraître stupide alors qu’en réalité.. il a tout à fait raison. se collant un peu plus à lui, elle vient susurrer à son oreille. « c’est parce que je joue très bien la comédie. Qui sait, si la musique ne marche pas, je me reconvertirai dans le cinéma. » même si elle n’a pas eu besoin de se forcer beaucoup. Que c’est presque d’un naturel déroutant qu’elle a fini dans ses bras. Mais très bien, s’il veut en rester là, ils vont en rester là. Seulement, Oh jonah, tu es tombé sur le pire des adversaires. Parce que mei li est capable de se retenir. De se priver comme personne juste pour le prouver et qu’il ne fait pas le poids. quand bien Même il est redoutable ce soir. Que la partie la met en déroute, elle ne compte pas tomber la première. Avec pour objectif capital de lui faire perdre la tête d’abord. Et si dans un scénario improbable l’inverse se produit, elle fera tout pour l’entrainer dans sa chute. En témoigne ses lèvres qui retrouvent le chemin de son cou. Comme s’il ne pouvait pas s’en empêcher. Alors pour le torturer un peu plus elle ne peut s’empêcher de retirer sa main de son corps, à contrecoeur cela dit, et un sourire provocant au bord des lèvres elle lui lance « je croyais qu’on en restait là ? » pour lui prouver que c’est lui, qui ne peut pas se tenir. Alors qu’ils sont tout deux complètement engloutis dans ce jeu à double tranchant. Cet ascenseur émotionnel et cette tension dévastatrice. Terminant son verre, elle le repose derrière à son tour. Avant d’attraper le bras qu’il lui tend. « comme tu veux. C’est pour toi qu’on est monté. Mais si tu veux retourner dans la fosse aux lions, allons-y. » avant de redescendre. Parce que si jonah n’est pas à l’aise avec le regard des autres, il en est tout autre pour mei li qui se nourrit de ça. même si elle ne se rend pas spécialement compte du danger auquel elle s’expose. Alors qu’elle a toujours fait attention à différencier qui elle est et ce qu’elle veut qu’on voit. Qu’elle veut briller par elle-même et non à cause de qui elle est à la fille. Ou ce soir, de qui elle a au bras. Qu’elle plonge dans la gueule du loup. Et que l’effet qu’il lui fait la rend complètement inconsciente. De retour à leur table, mei li se rassoit à côté de jonah. Et s’il a osé la frustrer tout à l’heure, c’est à son tour. Et d’un air faussement innocent, elle recroise les jambes, le côté fendue de sa robe en dévoilant un peu plus tandis qu’elle se penche vers le chanteur. Ses yeux fixant dangereusement ses lèvres. et elle se rapproche, encore. suffisamment pour qu’il puisse penser qu’elle allait réclamer un second round. Tension maximale. sa main se pose doucement sur sa joue. Les secondes planent. Mais non.  tandis qu’un sourire amusé vint orner le bord de ses lèvres, son pouce vient frotter contre le bord de sa bouche, pour finalement se redresser comme si de rien était. « tu avais du rouge à lèvres. » très fière de son petit effet. s’il veut jouer, ils vont jouer.
code by kerushirei.

((ootd) Tu es un peu en roue libre, il faut le reconnaitre, mais c’est plus fort que toi. C’est l’effet qu’elle te fait, c’est la résultante de cette soirée unique. Après tout, il le meilleur moyen de ne pas regretter, c’est d’y aller franco non? Tu es presque déçu par son manque de réaction alors que ta main joue avec sa peau. Pourtant, la reine de glaces est maitre dans l’art de la façade, tu l’as bien compris.  Elle joue encore plus que toi. TU sais qu’elle sera toujours plus forte que toi à a ce jeu là, tu l’as déjà démontré. Pourtant il y a un peu de fierté en toi qui te dicte de la rendre folle. Tu as envie qu’elle craque autant que toi, tu veux la voir en réclamé autant que toi. TU en veux encore mais tu te retiens juste pour ce petit jeu entre-vous. Depuis votre tandem, cette tension entre vous semble c’être un peu dissiper, tout de moins elle c’est transformer en… autre choses. Quelque chose de plus charnel en tout cas. Elle te cherche, elle te taquine, elle veut t’emmener au bout, tu le sais. Mais tu lui rend son sourire amusé. Ok, très bien Mei Li, jouant un peu plus alors. Alors qu’elle parle, sa mains continue son exploration, jouant dangereusement avec les bords de sa robes. Tu n’as aucune intention de faire quelque chose d’obscène en public, tu veux juste lui arracher un frisson, une réaction. Alors que tes doigts se glisse le long du tissus, entre sa peau et sa robe, fleurtant avec le bordure du tissus. ”Le simple fait que tu ne te laisse faire est déjà un indice. Mais qui sait, je peux peut être…” Alors que tes doigts filent un peu plus, jouent encore un peu plus, tu t’arrête. Sourire mutin aux lèvres, tu retire tes doigts de sa peau, revenant sagement sur le tissus. Tu soutiens son regard, ce jeu est un peu trop grisant. ”…trouver des arguments convaincant…”  La simple idée de ce que tu avance te ferais perdre la tête, mais il te faut rester sereins, pour le moment.

Pourtant tu as l’impression d’être dans la gueule d’une lionne lorsqu'elle revient ce coller contre toi. Honnêtement, elle peut te dire ce qu’elle veut, ses lèvres contre les tiennes était tous, sauf quelque chose qu’elle a pu singer. Non, tu l’as sentie partir contre toi, elle y a mis beaucoup trop du siens pour te dire que ce n’était qu’un jeu. Mais soit, jouons a ce petit jeu Mei Li. Elle t’arrache pourtant un frisson lorsqu’elle susurre dans ton oreille. Cette voix si proche, ce ton, elle veut te rendre fou. Elle y arrive parfaitement, mais elle le sait. Tous le problème est là. Pourtant sa mains se fiche doucement dans son dos, la retenant quelques instants, histoire de lui rendre l’appareil. ” Ce serait presque convainquant, je vais devoir me méfier alors…”  Tu ne résiste pas, alors qu’elle est contre toi, son cou à ta porter. Elle te fait remarquer que tu continue pourtant. Elle n’a pas tord, mais c’est plus fort que toi, beaucoup trop tentant. Alors qu’elle retira ta mains et qu’elle n’est plus contre toi, le manque est immédiat. Bordel, tu pourrais rester des heures contre elle. Ce ne serait pas si mal comme plans de soirée à y penser. ” Oups…” Tu es volontairement provocateur. Tu es volontairement joueur. Même si tu craque en premier, tu l’emmènera avec toi, c’est certains.  ”Disons simplement que le regards des gens est le dernier de mes problèmes maintenant. Il y a quelque chose de plus important.”  Sous entendu c’est elle, tu ne le caches pas. Ce serais  franchement mentir, Mei Li est clairement la priorité du soir, quoi qu’il se passe. Non, elle l’était déjà devenue ces dernier temps, c’est juste que tu ne voulais pas l’admettre.

Tu sens un peu les regards sur vous, peut être moins que tout a l’heure. Mais tu t’en moque maintenant, la soirée a pris une tournure bien plus intéressante que de te soucier de l’avis des gens.  Tu n’avais par contre pas anticipé le retour de baton. Mei Li joue avec toi, elle t’hypnotise alors qu’elle s’assoie. Elle sait ce qu’elle fait, elle en joue beaucoup trop. Tu n’as pas vraiment le temps  de profiter de la vue que sa robe t’offre qu’elle attaque. Elle se penche dangereusement vers toi. Est-ce que tu pense qu’elle viens réclamer à nouveau tes lèvres? Oui, parfaitement.  Démone. Elle joue avec la tension, te laisse en suspend alors qu’elle est déjà si proche, tu sens son souffle contre tes lèvres. Avant que ce ne soit son pouce qu’elle sente. Damn, bien joué, tu as parfaitement réussi ton coup. TU es clairement frustré, tu fronce sans doute un peu les sourcils. Quelques secondes passent, alors qu’elle c’est parfaitement remise en plus. Très bien. Jouons tous les deux alors. ”Ça aurait été dommage en effet, les femmes ici auraient pu croire que quelqu’un m’avait mis le grappin dessus.”  Gamin. Tu joues dangereusement avec elle, tu le sais. Pourtant c’est une petite vengeance innocente. Elle ne va pas jouer comme cela impunément. Tu interpelle le serveur qui passe près de votre table. ”Vous pouvez nous emmenez une… non, deux flûtes de champagne s’il vous plait. Je vais faire une petite transgression.” Tu ne devrais pas, même un seul verre, mais bizarrement tu te dis que ce soir tu ne risque rien. Que ton attention et ton addiction du moment sont bien plus intéressante.

Tu reporte a nouveau sur le jeune femme. Honnêtement il y a longtemps qu’un sourire n’avais pas été sur ton visage aussi longtemps au côté de quelqu’un. Cette soirée est bien meilleur que ce que tu aurais imaginé, et de loin. En attendant le serveur, tu te tournes un peu vers elle. Ta main glisse sur le tissus de sa robe, venant jouer avec sa jambe mise a nue par la fente. Si cette robe est une arme contre toi, elle peu bien le devenir un peu contre elle non? Tu remonte doucement le long de la peau mise a nue, a la limite du tissus. Tu joue un peu trop, étant parfois sur le tissus, parfois directement sur l’objet de tentation qu’est sa peau. ”Ce serai bête d’attraper froid non?” Tu t’approche d’elle, encore un peu. alors que ton autre mains effleure son bras. Un jeu dangereux, c’est certain, mais tu veux provoquer une réaction, même juste un peu, tu veux voir son masque s’effriter ne serais-ce qu’un peu. ”C’est robe te va décidément à ravir, je dois avouer que j’apprécie particulièrement la coupe…” Tes mains dessine sur le tissus, sur la peau de Mei Li au fil des monts et des vallées sur son corps qui te sont accessible. Tu ne la lâche pas tu regard, tu reste aventureux dans la limite du raisonnable. ” un délice à regarder, à toucher, à explorer….” Tu te surprends à t’imaginer comment tu pourrais la lui retirer en la faisant languir, presque te supplier de continuer. Mais tu pars beaucoup trop loin. Reste Calme Jonah. Au fur et à mesure des mots, tu t’approches encore d’elle. Une de tes mains retourne sur la cuisse lentement, jouant avec la douceur de sa peau ”… Vraiment une oeuvre d’art qui te va comme un gant…”

code by kerushirei.

((ootd))  Bordel. Sa main. Ses mots. C’est un tout qui est à deux doigts de la faire succomber. Pourtant elle tient bon. Il n’a pas tort cependant. Il tombe même un peu trop juste. Le simple fait qu’elle le laisse s’amuser, qu’elle l’autorise à se balader un peu trop sur sa personne est un argument de poids. Si ce n’était pas le cas, elle ne l’aurait jamais laissé poser ne serait-ce qu’un doigt sur elle. et ce jeu délicieusement dangereux laisse son imagination faire son bout de chemin. Ses fameux arguments convaincants n’ayan aucun mal à se frayer un chemin dans son esprit. Pour le meilleur comme pour le pire. et ils savent tout deux qu’elle ment sans aucun scrupule quand elle lui susurre doucement à l’oreille que tout ceci n’est que de la comédie pour attiser la foule. Une petite mise en scène parfaitement orchestrée pour éloigner les vautours qui lui tournent autour. Et un sourire satisfait orne ses lèvres alors qu’elle l’entend répondre dans le creux de son cou, sa main contre elle. encore. car visiblement il ne peut s’empêcher de la toucher. Et cet effet qu’elle a sur lui a quelque chose de terriblement addictif. Qu’il assouvit pour elle le besoin qu’elle-même retient. Elle en crève aussi, de rester là. La chaleur de son corps contre le sien. De retrouver l’état de plénitude dans lequel ils étaient un peu plus tôt. Mais non. Il y a toujours cette fierté mal placée qui l’empêche de se livrer pleinement. Et qu’elle se frustre elle-même quand elle recule, retirant la main qui avait naturellement retrouver sa place sur elle. comme une pièce manquante à ce puzzle jamais complété qu’est sa personne. Bien que son bras se reglisse dans le sien, la proximité n’est pas la même. le manque est cruel. « ravie de t’avoir divertie dans ce cas. »  qu’elle murmure près de lui. Et si la foule n’est pas un problème pour elle, elle ne peut s’empêcher d’éprouver une certaine fierté à l’idée qu’il est si obnubilé par elle qu’il en oublie le monde qui l'entoure. Le poids de leurs yeux et de leur jugement. leur envie et de leur curiosité. seulement le problème ici c’est qu’ils se rejettent la balle à tour de rôle. Frôlent la capitulation avant de faire marche arrière. Jouent avec le feu mais reculent avant de se brûler les ailes. S’enfonçant de plus en plus loin. jusqu’au point de rupture. En témoigne ce petit jeu qui reprend une fois de retour à table. Sa robe qui en dévoile un peu trop, mais pas assez en même temps. Dans un mouvement parfaitement millimétré. De cette tension palpable quand elle reprend le contrôle de cette manche-ci. Si proche de succomber et pourtant endossant le doux rôle de tortionnaire tandis qu’elle recule après avoir un peu trop approché son visage du sien. Ses yeux rivés sur ses lèvres qui ne demandent qu’à rejoindre leurs jumelles. Ne lui accordant pas cette récompense divine. S’en privant, elle aussi, au passage, pour un sentiment de victoire temporaire. Parce qu’elle le voit, elle le sent, qu’il n’attend que ça. en témoigne son visage contrarié avant qu’il ne reprenne contenance. et cette fois, c’est elle qui tique. Ses sourcils à elle, qui se froncent légèrement tandis qu’elle s’assoit un peu plus droite dans sa chaise. Abordant un sujet qu’elle n’aime pas. le simple fait qu’il puisse évoquer d’autres femmes l’agace. La relance dans un engrenage déplaisant. « oh oui quel dommage. Pourquoi, tu avais d’autres projets peut-être ? » la ramenant un peu trop à la réalité de la chose. Elle n’en a pas envie. Pas ce soir. Elle ne veut pas penser à tout ça. à ce que représente réellement les hommes comme lui. la dangerosité de leur mode de vie. pas encore. non, elle veut juste tout oublier, se laisser aller à l’attraction inexplicable qui les lie. et demain sera un autre jour. Fort heureusement le serveur coupe court à tout ça. et elle ne peut s’empêcher de hausser un sourcil. Parce que si elle a bien remarqué qu’il n’a pas touché une goutte d’alcool depuis le début de la soirée, elle n’en a fait aucune remarque parce que ça ne la regarde pas. cependant, le terme transgression la rend curieuse. Et elle ne peut s’empêcher de dire  «  une transgression ?  tu as besoin d’un petit coup de main pour tenir le coup peut être ? » amusée. Sourire narquois au bord des lèvres. Dévoilant clairement la bataille qui se joue entre eux sans artifice. Qu’il a visiblement besoin d’un peu de courage pour continuer la partie. Pourtant mei li se garde bien de dire que de son côté elle n’en mène pas large. Parce que généralement, elle ne boit pas beaucoup. Restant maitresse d’elle-même quoiqu’il arrive. Et ce troisième verre sera clairement le dernier – normalement . L’état d’ivresse est quelque chose qui a du lui arriver une fois dans sa vie. Yo han doit s’en rappeler encore, d’ailleurs. elle a si honte de cette soirée dont ils n’ont jamais reparlé. alors faire des mélanges ? très mauvaise idée. Mais elle ne dit rien. Fierté oblige. Elle suivra. Ses yeux replongent dans ceux de jonah qui a décidément décidé que cette fois-ci la balle était dans son camp. En témoigne sa main qui retrouve le contact de sa cuisse. Jouant dangereusement entre le tissu et sa peau. Son rythme cardiaque s’accélérant tandis que ses yeux se baissent sur la petite maligne qui s’amuse à se balader un peu trop librement sur son corps. Suivant du regard le chemin qu’elle prend sans réellement rencontrer d’obstacles. lui arrachant des sensations bien trop plaisantes. replongeant ses yeux dans les siens quand elle le sent se pencher de nouveau près d’elle. haussant un sourcil elle finit par murmurer sur le même ton provocateur. « froid ? pour quelqu’un qui est à deux doigts de me déshabiller sur place je te trouve bien contradictoire. » c’est lâché comme une bombe. Alors que la chaleur de sa main lui procure une brûlure délicieuse le long de son épiderme. Et elle scille presque quand il commente le reste. Putain de merde. lui procurant mille et unes sensations dans tout le corps. Comme un volcan embrasant tout sur son passage. Qu’elle a presque envie que sa main se balade un peu plus. que ce combo dévastateur de ses doigts contre sa peau et de ses remarques beaucoup trop sensuelles sont en train de lui faire perdre pied. « je sais. elle est magnifique hein ? il faut croire que j’ai bon goût. » en témoigne son désir pour l'homme face à elle. et parce que mei li ne laisse rien au hasard. Et que cette robe, elle l’a choisi pour lui. que tout a été calculé pour qu’il ne puisse pas tourner la tête ailleurs ce soir. Le rythme cardiaque de mei li battant à tout rompre, elle serait capable de se laisser aller à ce doux contact contre elle. mais elle ne va pas lui laisser ce plaisir. pas tout de suite. Sa main attrape donc la sienne un peu trop partie à l’aventure. Ses doigts emprisonnant les siens doucement sans pour autant les lâcher avant de lui lancer un regard amusé.. « tu as les mains bien baladeuses pour quelqu’un qui voulait en rester là.. tu as des choses à prouver ici aussi peut être ? » c’est ironique et pourtant rempli d’un sous-entendu facilement discernable, remettant sur la table leur petite mise en scène de tout à l’heure qui n’en était pas vraiment une, en soi. Le serveur finit par revenir avec les deux flutes de champagne. Et mei li récupère la sienne sans lâcher jonah du regard. La tension douloureusement lourde dans l’air tandis que son verre vient cogner contre le sien. « je ne sais pas si on peut trinquer au fait que tu brises tes propres règles pour moi, mais ça peut être un prétexte. je suis censée me sentir honorée ? »  avant de boire une gorgée de ce liquide pétillant salvateur.

code by kerushirei.

((ootd) Est-ce que tu savais que le fait de parler d’autres femmes allait la faire réagir? Oh oui. À ce point? Pas vraiment. Pourtant tu t’amuse de sa réaction, qui semble parfaitement sincère, enfin, au moins l’agacement que tes mots ont causés. Mademoiselle Mei Li n’aime décidément pas ne pas être le centre de ton attention, ne serais-ce que l’espace de quelques secondes. Tu penche un peu la tête, porte ta mains instinctivement contre tes lèvres quelques instant, avant de prendre doucement son visage, la forçant a te regarder dans les yeux. ”Détend-toi. Mon seul projet de ces dernières semaines a été de comment t’exorciser de ma tête. Visiblement j’en ai été bien incapable puisqu’on est ici. Je te l’ai dit, je suis TOUT a toi. Rien qu’à toi, même si ce n’est qu’une soirée.” Un genre d’aveu dissimulé, pourtant le simple fait qu’elle t’imagine courir les femmes t’irrite, t’agace, te révulse. TU n’as jamais fait ça, pourquoi est-ce que tu commencerais maintenant?  Le serveur vous interrompt, encore. Ils ont décidément un sens du timing ceux-là. Tu la relâche, tentant de reprendre contenance, de reprendre tes esprits alors que tu commandes. Tu te rend soudain compte que tu en as trop dit, que tu as sans le vouloir vouloir dévoiler une part de tes démons que tu tentes de cacher a la face du monde. Alors qu’elle te fait la remarque, tu joue avec une décoration de la table, n’osant pas vraiment regarder la chanteuse. Le regard dans le vide de la salle, tu te contente de dire doucement”Disons simplement que j’ai tendance à avoir une relations… compliqué avec certaines substances…” Tu marque un temps d’arrêt, puis tu te tourne vers elle, un sourire au coin des lèvres. ”Mais je crois que ce soir, j’ai une autre obsession bien plus puissante”

Tu ne peux pas t’en empêcher, te ne peux pas résister, il faut que tu joue avec elle. Il faut que tu tente de la faire craquer. Tu n’y arrive pas vraiment, elle est bien plus résistante que toi. Toi tu ne demande qu’à nouveau t’emparer d’elle. Tu pensais réussir cette fois, mais non, elle tiens bon. ”Oh crois moi, si voulais te déshabiller sur place, je ne ferais pas comme ça. J’irais horriblement doucement, profitant de chaque parcelle de ta peau que je mettrais a nue, centimètres… après centimètres.” Oui tu as parfaitement réfléchit a la question. Coupable. Pourtant tu ponctue des propos avec ta mains, qui avancement doucement à chaque fois. Oui tu en profite encore un peu trop. Pourtant tu commences à entrevoir une faille dans l’armure. ”Je dirais plutôt que la combinaison de cette robe SUR toi est magnifique Mei Li. Depuis que je t’ai vus sortir de cette voiture, je n’arrive littéralement pas à te quitter du regard.” D’accord, tu profites peut-être un peu trop de l’accès que cette merveilleuse robe te laisse. En même temps c’est elle qui l’a choisi cette robe, un peu pour toi non? Tu est presque déçus quand elle arrête ta petite excursion se termine, lorsqu’elle attrape ta main dans la sienne. Bon ce n’était la réaction espéré, mais ce n’est pas si mal. Tu  te penche vers elle, un peu trop provocateur sur le coup. Un peu trop à porter de ce que tu désire temps. ”Qui sait, peut être que cet homme nous vous depuis l’étage. Hors de question que quelqu’un ne puisse seulement penser que tu n’es pas a moi ce soir.” Bon tu n’est clairement pas subtil cette fois. Mais tu t’en moque. Le serveur arrive, alors tu recules, laissant de l’air à la jeune femme. Vous ne vous lâchez pas du regard, encore. Cette tension revient, et tu n’aime pas vraiment ça. Alors que vous trinquez, elle te cherche encore. Tu porte le verre a tes lèvres, et tu bois juste une gorgée. Ce goût amer, tu déteste ça. TU ne vas pas lui dire, mais le champagne est ta némésis, tu étais sûr de ne pas finir de ce verre. Sure de ne pas ruiner cette soirée avec tes démons. ”Non, en vérité on trinque au fait que je suis sur le point de faire ce que j’aurais dû faire depuis un moment.”

Tu t’apprêtes a faire quelque chose d’un peu stupide, mais tu t’en moque. Si tu n’arrive pas à la faire craquer, alors c’est toi qui va plier. Tu repose ton verre sur la table, prend le siens d’entre ses doigts pour le repose également. Tu ne lui laisse pas le temps de réfléchir, pas le temps d’objecter. Tu la tires par la main qui est rester dans la tienne. Presque brutalement. Tu l’attire vers toi comme dans la salle de musique, sauf que cette fois elle finis littéralement sur tes genoux. Tu bras libre l’accompagne, glissant de se sa cuisse pour remonter lentement. ”Je crois bien que je ne veux pas en rester là finalement…” Tu lui faire un sourire provocateur, au diable si tu es faible face a elle ce soir. TU t’empare de ses lèvres, plus passionnément que la première fois, comme si tu étais en manque. Tu n’attendais que ça depuis que vous vous êtes séparé a l’étage. Il n’y a qu’elle de toute façon, tu pourrais rester la des heures alors que tu la serre un peu plus contre toi. La tension disparait enfin, tu reprends ta respiration contre ses lèvres, un sourie surement jusqu’au oreilles. ”Non ce n’est pas encore ça…” Tu reprend possession de Mei Li, après ses mots. Comme si tu voulais imprimer cette sensation en toi, tu veux que ce moment devienne comme un mantra. Que même Mei Li ne puisse pas l’oublier si facilement.

code by kerushirei.

((ootd))  Jonah est bien loin de s’imaginer les sentiments contradictoires et négatifs qui sommeillent en elle. qu’il parvient à réveiller en une toute petite phrase. l’image néfaste qu’elle a des hommes de manière générale. Suggérant la possibilité, même infime, même ironique, qu’il puisse se laisser tenter ailleurs. Réveillant des émotions enfouies et terriblement pénibles. Et ça l’agace. Elle a beau réussir à maintenir cette armure indéchiffrable à longueur de temps, elle ne parvient pas à masquer l’amertume dans sa voix à la simple idée que ça puisse lui traverser l’esprit. Alors qu’en réalité, il ne lui doit rien. Elle non plus. pourtant il y a une part d’elle qui a envie de s’autoriser à être une foutue égoïste le temps ce soir. Que ses yeux ne la quittent pas. qu’il ne voit qu’elle, rien qu’elle, au moins le temps d’une soirée. et oh comme ça l’énerve encore plus quand il comprend, que ça a l’air de l’amuser. Ses sourcils se froncent. A deux doigts de cracher son venin quand ses doigts saisissent son visage. la prenant par surprise. La coupant net dans son élan et ses ambitions. à deux doigts de tout détruire, comme elle sait si bien le faire.  Ses mots ont le don de calmer le feu ardent qui était en train de se propager en elle. elle a envie de s’y raccrocher. D’y croire. même si ce ne sont que de belles paroles. de se dire que pour une fois, elle pourrait être la priorité dans les yeux de quelqu’un. même juste un soir. C’est l’impression qu’il lui donne, et ça la trouble plus que de raison. quand il la lâche, elle recule à son tour, tentant de reprendre contenance face à sa franchise qui La met en déroute depuis leur première rencontre. Aidé par le serveur qui lui permet de changer drastiquement de sujet. elle ne s’attend pas à ça mei li quand elle lui balance cette remarque moqueuse. Son sourire se fane pour beaucoup plus de sérieux. Elle ne peut pas dire qu’elle comprend. C’est faux. Elle ne l’a jamais vécu. Ni elle. ni son entourage. elle ne peut qu’imaginer. Et respecter l’abstinence qu’il s’inflige pour ne pas sombrer. Alors elle acquiesce doucement, sans rien dire. parce qu’il n’y a pas grand-chose à ajouter à ça. les mots superflus ne sont pas son genre. seulement, le fait qu’il brise ses propres règles en sa compagnie lui donne un arrière-gout étrange. Comme une victoire et un échec. Elle n’a pas spécialement envie d’être la cause de sa déchéance – pas celle-ci, en tout cas -  tout comme il est capable de prendre ses décisions tout seul. son sourire narquois revient. Parce qu’il n’a pas tort. s’il faut qu’elle soit son obsession pour qu’il n’y pense pas, elle allait jouer le rôle de poison avec plaisir. seulement plus le temps passe. Plus les minutes défilent et plus mei li a du mal à maintenir cette façade. Parce que l’effet qu’il lui fait est sans commune mesure. Que tous les mots qui sortent de sa bouche n’ont aucun mal à s’immiscer dans sa tête. que son esprit se représente parfaitement la scène. que son corps réagit un peu trop à ses doigts contre sa peau. Elle se sent presque flancher. Et il n’en est pas question. Sa fierté bien trop mal placée le lui interdit. un sourire amusé au coin des lèvres elle finit par rétorquer. « mission réussie, dans ce cas. » c’était le but depuis le moment où il lui a proposé cette soirée. lui faire comprendre dans quoi il s’embarque. Le rendre fou dès la première seconde. Sauf qu’elle ne s’attendait pas à ce qu’elle aussi, se mange de plein fouet son attraction. qu’elle soit prise au piège dans son propre jeu. Attrapant sa main pour la stopper dans son périple. La capturant de ses doigts pour l’empêcher de lui faire perdre pied car il est n’est pas loin d’obtenir gain de cause. Et c’est de plus en plus difficile. haussant un sourcil à sa remarque, le simple fait qu’il répète encore et encore cette possessivité vis-à-vis de l’autre lui réchauffe l’âme. C’est dangereux. Elle le sait. Parce que la redescente sera terrible et qu’on prend vite goût à ces doux mensonges. Mais elle a envie d’en profiter. Rien qu’une fois. elle hausse les épaules avant de susurrer sur le même ton. «  je te l’ai déjà dit… aucun risque. » Le regard chargé de tout ce que ça peut sous-entendre. Parce que si jonah et sa franchise extrême lui ont fait comprendre à de multiples reprises qu’elle l’obsède, l’inverse est tout aussi vrai. Bien que mei li soit bien plus discrète et secrète sur ce qu’elle peut penser et ressentir. L’alcool lui réchauffe le corps alors qu’elle voit son verre lui échapper des mains. Elle n’a pas le temps de comprendre ce qu’il se passe. Et la surprise doit se lire clairement sur son visage quand elle se sent littéralement tirée avec une force qui ne permet pas d’objection. En une fraction de seconde, sa place est désormais sur les genoux de jonah. Son cœur s’accélérant tandis qu’elle retrouve la chaleur de son corps, emprisonnée entre ses bras.  Ses yeux replongent dans les siens et avant même qu’elle n’est le temps de répondre à ça, ses lèvres se retrouvent sur les siennes. Une nouvelle fois. et bordel, elle n’attendait que ça, finalement. Comme une droguée qui s'est retenue le plus longtemps possible pour savourer pleinement la chute. Son corps se presse contre le sien tandis que ses mains glissent dans son cou, dans ses cheveux. Il ne lui faut pas bien longtemps pour se perdre à son tour dans ce baiser dans lequel elle est en train de succomber. Rendant les armes. Et si ils se séparent, c’est uniquement pour reprendre leur souffle, un léger sourire sur les lèvres tandis qu’elle souffle contre les siennes « je ne suis pas sûre d’avoir bien saisi l’idée non plus. » avant que dans une nouvelle danse ils viennent s'enivrer l'un de l'autre. et ça dure des secondes. Des minutes. Des heures. Toute notion du temps complètement détraquée. A se perdre sur ses lèvres. à se perdre contre lui. s’imprégnant de tout son être. A bout de souffle, mei li finit par achever cette étreinte un peu trop passionnée sans pour autant s’éloigner plus que de quelques centimètres. Ses mains glissent sur sa peau tandis que l’un de ses pouces vint caresser le bas de sa lèvre encore prisonnière de sa bouche quelque seconde plus tôt. Et ses yeux parcourent ce visage, imprimant chaque millimètre carré en elle. avant de finalement plonger dans les siens. une atmosphère étrange dans l'air. le silence qui plane est difficile à interpréter. Elle-même n’y arrive pas. comme tout un tas de vérités non assumées. De non dits cachés qu’elle ne veut pas comprendre. et tandis que ses lèvres frôlent de nouveau les siennes sans céder, les yeux rivés sur leurs consœurs, elle finit par murmurer contre elles, comme une douce tentation. « si c'était l'une des fameuses surprises de la soirée.. je crois que c'est définitivement ma préférée. » un peu trop même. si elle fait planer quelques secondes dans l’air pour ne pas avoir l’air complètement en manque, il ne faut pas vraiment longtemps avant que ça ne soit elle qui cède pour de bon. en réclamant encore tandis qu’elle prend une nouvelle fois possession de lui, comme si elle avait attendu ça toute sa vie.

code by kerushirei.

((ootd)
Tu te noies dans cette soirée, beaucoup trop, tu perds littéralement le fil, tu te moque de tous. Même de tes principes. La seule chose qui t’importe, la seule chose qui mérite ton attention est Mei Li. Pourtant cette soirée ressemble étrangement à un doux mensonge entre vous deux. Comme un rêve partagé qui disparaitra au première lueur du jour. Alors pourquoi est-ce que lorsqu’elle de répète qu’elle n’est qu’à toi, tu rêves de lui sauter dessus. Bref sa suffit, reste zen Jonah.  Ce petit jeu à déjà beaucoup trop durer.  Tu as beau lutter contre toi même, tu en as assez. Tu en veux plus, beaucoup plus. Tu es un drogué, mais ce soir tu sais exactement dans quoi tu veux plonger. Elle est le poison qui dévore ton esprit. La substance que ton corps réclame depuis que vos lèvres se sont rencontrée à l’étage. Cette sensation, bon sang, tu ne peux pas l’oublier. Ton cerveau en réclame plus, il veut encore cette sensation,  il la veut encore… elle. Tu ne réfléchis plus, tu ne peux plus. Tu as besoin de ta dose.  Comme un aimant, tu l’attires vers toi, peut être un peu trop alors qu’elle finit littéralement sur tes genoux. Tu reprends alors ta dose, avec avidité alors que tu la serre un peu plus contre toi au fûr et à mesure des secondes.  Ses mains sur toi n’aident pas a te calmer. Tu ne sais pas quoi lui dire, tu ne sais pas quoi répondre, alors tu ne dis rien et tu t’empare a nouveau de ses lèvres.

Un shot, une dose dans laquelle tu te perd complètement. Tu te laisse complètement aller contre elle alors que tes mains se place dans son dos, en profitant pour la serrer un peu plus contre toi.  Alors que vous vous séparez de nouveau son pouce contre tes lèvres, sa mains sur ton visage t’arrache un frisson. Tu as du mal à quitter ses lèvres du regard. La proximité entre vous n’est plus vraiment gênante, elle n’est que tentation supplémentaire. Tu ne veux pas briser le silence, tu ne veux pas briser le moment. Tu te contente de l’admirer encore, alors que ta main quitte son dos pour caresser doucement ses flans. Tu finis par reposer sa mains sur sa cuisse, alors que tu cales un peu plus la jeune femme contre toi. Elle est là, si proche, alors qu’elle parle tu peux presque sentir les lèvres de Mei Li contre les tiennes. ”Alors je crois bien qu’on est deux… Mei LI… et ce n’est visiblement pas finis…”  Vous restez tous les deux en suspend. Les secondes son longues avant qu’elle ne cède de nouveau. Alors qu’elle s’empare de tes lèvres, un sourire doit étirer tes lèvres. Elle ne peut plus nier cette fois. Ta mains attrape sa nuque, prolongeant un peu ce shoot. Cette drogue est décidément ta préférée. Tu t’écartes un peu d’elle, presque à contre coeur. ”C’est la défaite la plus agréable que j’ai jamais subit. Mais si tu continue comme ça… je vais avoir en plus de mal a me tenir.” Tu ne peux t’empêcher de rire, alors que les notes de Jazz te parviennent tandis que tu admires la jeune femme. Combinaison gagnante c’est certain, surtout que le groupe joue des rythmes un peu plus entrainant. Tu détache ton regard avec peine de la jeune femme, juste pour observer la salle. Inconsciemment ta main dans le dos de la jeune femme se ballade au rythme des accords. Tu ne fais même pas attention aux regard des tables autours, alors que vous êtes clairement le centre d’attention.

La chaleur de Mei Li contre toi te ramène a la réalité, tu attrape la coupe de la jeune femme pour lui  tendre. Une sourire volontairement provocateur aux lèvres. ”Tiens, ça m’embêterais que tu te dessèche a cause de nos petit… corps a corps…”  Mais tu n’en a encore pas assez, ce sentiment que tu as avec elle, contre elle, GOD. Plus, tu en veux encore plus. Elle porte la coupe a ses lèvres, tu l’observes, taquin. Tu veux jouer, cette unique soirée tu te dois de faire tomber tes propres barrières. Tes lèvres explores  l’épaules de la chanteuse, remontant doucement  le long de sa clavicule, pour venir jouer avec son coup, puis mordiller son oreille. Oui, tu la provoques, oui tu es complètement noyer dans ton propre jeux. La goût de sa peau, oh damn, tu te damnerais si elle te le demandais maintenant. ”Non, j’ai menti tout a l’heure, je ne peux pas arrêter…” Tu marques un temps d’arrêt, embrassant une dernière fois sa peau avant de prendre doucement son visage pour le tourner vers toi. ”Reste avec moi ce soir Mei Li.” La proposition peut sembler indécentes. Elle l’est. Mais c’est une soirée, et tu tentes le tout pour le tout. Tes lèvres descendent le long de son cou, continuant leurs descentes encore quelques baiser, profitant allègrement de la peau laisser a nue par sa robe. ”C’est de ta faute tous ça… Tu me rend complètement fous… ce soir… depuis la fois où je t’ai croisé dans ce parc…”

code by kerushirei.

((ootd)) Ses lèvres contre les siennes. Ses mains sur son corps. Les mots qui coulent de sa bouche comme une chanson addictive. Ce tout harmonieux forme un cocktail explosif à deux doigts de la faire succomber complètement. qu’à partir du moment où ils se sont détachés l’un de l’autre à l’étage, le suspens insoutenable du round deux n’a fait que planer dans les airs. Une attente insupportable. Une tension critique à qui ferait craquer l’autre en premier. Et si mei li ne voulait pas céder malgré l’envie irradiant toute son âme, il serait mentir de dire qu’elle n’était pas à deux doigts de le faire avant que jonah finisse par rendre les armes. Abattant une bonne fois pour toute toutes les barrières qu’elle a pu ériger. Faisant exploser en mille morceaux cette tension destructrice qui planait dans les airs. Enclenchant une nouvelle phase dans ce jeu dévastateur dont elle sait pertinemment quelle en sera l’issue. Mais elle n’a pas envie d’y penser. Pas maintenant. Elle n'a pas envie de se poser de questions. encore moins quand ses ses lèvres retrouvent une nouvelle fois ses jumelles. Incapable de se retenir plus longtemps. comme l’impression que c’est là qu’elles sont censées se trouver. L’impression que c’est là qu’elle est censée se trouver. et si toute chose à un terme, elle ne s’éloigne pas plus que ça. profitant encore quelques instants de cette proximité qui les lie. De cette atmosphère qui plane encore entre eux. elle n’arrive pas à retenir le doux sourire qui prend place sur son visage. ni même le rire amusé qui lui échappe. « parce que tu trouves que tu sais te tenir ? mais je suis ravie d’apprendre que cette défaite soit à ton goût. tu avais perdu d'avance. j'espère que tu le sais.  » c’est susurré contre ses lèvres. en témoigne mei li sur ses genoux. Ses mains délicieusement baladeuses et le spectacle qu’ils offrent malgré la pénombre dans laquelle ils sont à moitié tapis, contrairement à tout à l’heure, à l'étage, en plein milieu de la foule. A contrecœur, mei li finit par reculer un peu plus sans pour autant amorcer un quelconque mouvement qui pourrait donner à penser qu’elle veuille retourner sur sa chaise. Non, elle a beau se sentir minuscule dans son étreinte, il serait de mauvaise foi de dire qu’elle ne se sent pas bien là. Un peu trop même. ses yeux parcourent légèrement la salle, bien vite ramenés vers jonah qui lui tend son verre. Attrapant sa coupe entre ses doigts, elle ne peut s’empêcher d’hausser un sourcil. « je t’assure qu’il m’en faut bien plus que ça.. mais je suis presque touchée par tant de sollicitude. » c’est cynique. Ironique. Bourrés de sous-entendus. avant de boire une gorgée du champagne sans le lâcher des yeux. duel de regard grisant. l’alcool fait son petit effet. Douce chaleur enivrante dans son corps sans pour autant accaparer tous ses sens. ce verre sera le dernier. Elle le repose finalement sur la table à côté quand elle sent la bouche de jonah s’amuser avec la peau de son cou, jouer avec elle tout court. Rester maitresse de soi est un défi terrible. Ne pas laisser paraître plus que de raison l’explosion qui la ravage est un challenge des plus difficiles. Ses doigts se resserrent légèrement sur le bord de sa veste, tandis qu’ils remontent dans ses cheveux. Ses yeux accrochent la foule par-dessus l’épaule de jonah pour trouver un point d’ancrage afin de ne pas perdre pied alors qu’ils s’amuse clairement avec elle. « je vois ça.. » tant mieux. Parce qu’elle n’a aucune envie qu’il arrête cette douce torture. Son visage revient face à lui, ses yeux replongent dans les siens, glissent sur ses lèvres. elle sent toute son âme s’embraser à ce qu’il lui propose. Proposition indécente avouer du bout des lèvres. son nom dans sa bouche est comme une offrande dont elle se sent incapable de se rassasier. La tension est plus que palpable quand elle sait exactement tout ce que cela comprend derrière. Laissant les secondes planer de manière intentionnelle, un sourire provocateur tandis qu’elle ne répond pas tout de suite. Le laissant mariner quelques instants. Parce qu’l n’y a pas de raison qu’il n’y ait que lui, qui joue. Qu’il n’y ait que lui qui lui fasse perdre la tête. alors son visage se rapproche, ses lèvres frôlent ses lèvres, glissent doucement sur le long sa joue, jusqu’à son oreille avant de murmurer contre elle, retrouvant la proximité de son corps. Ses doigts se serrant un peu plus dans les mèches de ses cheveux. « je ne comptais aller nulle part ailleurs.. jonah. »  parce qu’elle savait d’ores et déjà comment tout ceci allait se terminer, au fond. Elle l’a clairement provoqué. lui aussi. conséquences inéluctables depuis la minute où elle a accepté cette soirée. qu’elle pourrait se noyer sur ses lèvres. pourrait mourir sous son contact tellement elle a l’impression de brûler. elle se fige pourtant légèrement à la suite, sans le vouloir. Son cœur rate un battement dans son rythme effréné. Ne fais pas ça jonah. Ne gâche pas tout. pas maintenant. Sous-entendant ce qu’elle repousse le plus. la confrontant à des vérités qu’elle ne veut pas admettre. Qu’il lui a littéralement retourné le cerveau depuis ce moment-là aussi. s’est infiltré dans son esprit comme un virus contaminant tout sur son passage. Ses sourcils se froncent tandis que c’est à son tour d’attraper son visage entre ses doigts. « tais toi. » elle ne peut pas entendre ça. pourtant elle a rendu fou plus d’un homme dans sa vie. Seulement, cette fois-ci, ça la bouleverse beaucoup trop. et elle ne comprend pas pourquoi. elle ne saisit pas l'impact. « tu parles trop. » alors ses lèvres se reposent sur les siennes un peu trop rapidement, pour le faire taire. Qu’elle prend une nouvelle fois possession de lui comme pour l’imprimer définitivement en elle. comme une noyée s'accrochant à sa bouée de sauvetage. perdue. Pour qu’il arrête le déluge de troubles qu’il déverse en elle. rappel cuisant qu’il faut qu’elle mette un terme à tout ça. que cette soirée n’a que pour but ultime de clore ce chapitre qui ne peut pas démarrer. Que c’est la seule raison pour laquelle ils en sont là et qu’elle ne veut pas penser à l’après. Car il n’y en aura pas... et si il a littéralement captivé toute son attention. qu'elle s'oublie complètement contre lui. prisonnière de sa bulle. ce n'est pas le cas de la foule autour qui elle, ne voit que ce couple qui pourrait être digne d'un de leur fantasme. à des années lumières de remarquer certains téléphones de sorties. peut être depuis un moment déjà. c'est seulement le flash de l'un d'entre eux, qui la stoppe net. elle finit par lâcher contre la bouche de jonah. « hm. on est peut être un peu trop convaincant visiblement.. » tiraillée entre un sentiment d'agacement et celui de n'en avoir rien à faire. celui de faire voler en éclats tous les principes qu'elle a érigé autour de sa vie privée jusqu'à maintenant. c'est dire l'effet qu'il a sur elle.

code by kerushirei.