((ootd) Oh my god. Elle ne t’aide pas du tout a garder ton calme, mais alors PAS-DU-TOUT.  Surtout quand ce sourire étire ses lèvres. Tu pensais qu’elle allait bougé de tes genoux, qu’elle allait faire… Tu ne sais pas, mais ce libérer de toi, quelque chose. Mais non, elle en rajoute encore. Elle joue encore avec toi avec une facilité déconcertante. Chaque mots qui sort de sa bouche, chaque fois que ces lèvres rejoignent les tiennes, tu semble partir un peu dans les affres de ton imagination.  Lorsqu’elle te dit qu’il lui en faut plus que ça… Tu frissonne, ton imagination est alors beaucoup trop prolifique. Tu rêves encore plus de lui retirer cette fichu robe et de la dévorer.  Tu profite d’un moment délicieux avec sa peau. TU ne t’en lasse pas, surtout lorsque que tu sens ses doigts  s’affoler sur ta veste, puis sur tes cheveux. Tu continue tant que tu le peux, alors que tu lui fait ta proposition indécente.  Elle joue encore avec toi. Elle laisse planer les secondes, elle le fais volontairement, tu le sais. Tu es là comme un con, a te dire que tu as été un peu trop loin. Tu panique un peu, puis elle se penche vers toi, joue avec cette proximité. Elle joue avec toi encore, alors que ces mots te libère d’un poids.  Ton prénom dans sa bouche rallume le brasier que tu tente de contenir. Alors que tu dévore une nouvelle fois sa peau à ta porté, tu ne peux te retenir, alors que tu lui sussure furieusement. “Ne me donne pas plus envie de te retirer cette robe rapidement… Je veux pouvoir savourer ce moment.” Au diable les sous-entendus, tu n’as pas su te retenir.

Tu en as trop dit, encore, sauf que cette fois tu ne t’attendais pas à cette réaction. TU ne sais pas quoi en faire, tu ne sais pas quoi en penser alors que ces doigts te force à la regarder. Pourtant ses lèvres qui se repose sur les tiennes te font définitivement taire pour le coup. C’est un merveilleux moyen de ne pas dire d’ânerie.  Ce n’est que lorsqu’un fichu flash te sors du moment, tout comme Mei Li d’ailleurs. ”TU vois pourquoi je déteste ces fichu portables, ils me privent de tes merveilleuses lèvres.” Tu t’empare des lèvres de Mei Li encore contre les tiennes, mais rapidement . Puis tu tourne la tête pour regarder autour de vous. Bon est bien vous êtes le centre d’attention, mais tu ne veux pas que Mei Li ce retrouve mêlé à ça. Tu ne veux pas que des gens s’amuse a mettre ses photo sur internet et qu’elle ne se retrouve dans un nouveau tourbillon autour de toi. TU ne peux te retenir, alors que tu t’agaces clairement. TU ne peux que que cracher avec haine vers les portables trop curieux. ”Vous n’avez rien de mieux a faire? Rangez-ça bandes de tiques.” Bon est bien le moment est vraiment foirer maintenant.

Tu te contente de serre un peu plus Mei Li sans t’en rendre compte. Fais chier, tu as horreur d’être une bête de foire. Tu embrasse furtivement l’épaule de la jeune femme, avant de te replonger dans les yeux de la chanteuse. ”Ça te dirais… d’aller dans un endroit plus… calme.” Tu marques un temps d’arrêt avant d’embrasser de nouveau la peau de Mei li, la mordillant un peu au passage. Petite récompense avant de te replonger dans son regard dans le siens, clairement provocateur. ” Que je te fasse imaginer des tas de façon de te faire perdre la tête.”  Tu t’empares encore de ses lèvres avant de sortir ton téléphone de ta poche pour appeler une voiture.  Tu profite encore de la chaleur de Mei Li, avant de l’aider à descendre de tes genoux. Même maintenant, vous êtes la cible de bien trop de curiosité, ça t’agace, tu ne peux pas retenir un claquement de langue agacé. Bref, ce n’est pas ta priorité. Tu tend la mains pour Mei Li avant de prendre la direction de la sortie. Tu as soudainement envie de jouer encore un peu avec elle. Une fois que vous avez passez la porte, tu attires Mei Li contre toi et tu la plaques  contre le mur. Damn, elle est à tombé, et tu as envie de jouez dangereusement avec le brasier qui tu allume. ” Je me disais juste, que j’avais envie d’un petit avant goût. Surtout que la voiture n’est pas encore là…” TU laisse tes mains se balader un peau, une main dans sa nuque, alors que l’autre s’empare de sa jambes laisser accessible par sa robe. Tu t’empare de Mei Li, tu l’embrasses, peut être de manière un peu plus possessive. Ta main remonte le long de sa jambe, dangereusement, alors que tu quitte ses lèvres, un sourire au visage. ”Tiens… on dirait que la voiture n’est pas encore là. Peut-être qu’on devrait passer encore un peu le temps…”

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((ootd)) Il fallait bien que quelqu’un ou quelque chose vienne interrompre ce moment hors du temps. Qu’un facteur extérieur vienne exploser la bulle dans laquelle ils se sont conjointement isolés. même brièvement. Bien qu’elle ne se soit pas imaginé une seule seconde que ça puisse être de cette manière. Que la pénombre dans laquelle ils sont situés n’a pas empêché les petits envieux d’être un peu trop curieux. De partir à la pêche aux ragots ou aux scandales. D’immortaliser un moment qui ne les regarde pas. en temps normal ça l’aurait peut être agacé plus que ça. mais étrangement, elle se trouve bien plus calme que d’habitude. l’effet jonah. L’alcool qui adoucit les sens. leur jeu si prenant qu’elle en a presque oublié tout le reste. Un mal pour un bien peut être finalement. Ça l’amuse deux minutes mei li, de se donner en spectacle. Elle le fait quand elle le veut. quand c’est initié et programmé. Quand elle cherche quelque chose de précis. comme à l’étage, par exemple. Ou tout a été fait pour être vu et en même temps obtenir ce qu’elle désirait elle. mais ces derniers instants n’en font pas partis. Elle n’a pas spécialement envie de se retrouver sur internet et de faire les gros titres. D’être cataloguée comme une femme parmi tant d’autres qu’un chanteur un peu trop connu a réussi à mettre dans son lit. Parce que c’est exactement comme ça que ça doit ressembler pour un œil extérieur. Et quand bien même mei li repousse cette pensée autant qu’elle le peut, c’est peut être exactement ce qu’elle est ce soir aussi. il n'empêche qu'elle n’a pas envie d’être affichée aux yeux du monde de la sorte.  Et quand même bien elle réagit avec beaucoup plus de calme que jonah, elle ne peut que comprendre son agacement, pour le coup. Peut être que les lèvres qui parcourent sa peau y sont pour beaucoup aussi. un calmant efficace contre le reste. Un léger soupir s’échappe de ses lèvres tandis qu’elle parcourt la salle des yeux, les replongeant dans ceux de jonah, lorsqu’il lui propose de s’en aller. Et la suite a le don de l’achever alors qu’elle sent tout son corps s’embraser un peu plus. « ça me paraît être une excellente idée. » soufflant contre ses lèvres juste avant qu’il ne l’embrasse de nouveau. mais les intrus dans cette équation ont mis un terme à la délicieuse atmosphère dans laquelle ils étaient lovés. Elle se sent épiée. Jonah est clairement agacé. Combo incompatible à cette douce tension qui régnait entre eux. Se pinçant les lèvres, mei li se relève finalement. Revenant sur terre un peu trop à contrecœur. D’une manière plus abrupte que voulue. Enfilant son manteau et attrapant son sac à main, elle fixe la main tendue de jonah pendant quelques secondes, avant de finalement y faire glisser la sienne tandis qu’il les entraine vers la sortie. Se prenant de plein fouet le choc thermique entre l’intérieur de la salle et la température hivernale. Mais la tension bouillante qui règne entre eux tempère d’une manière plutôt agréable le froid de ce mois de décembre. le corps de jonah qui se retrouve contre le sien la remplir d’une chaleur particulièrement bienvenue. Rallumant le feu ardent qui ne s’est absolument pas éteint malgré l’interruption dérangeante de tout à l’heure. Son corps cherchant le sien comme deux aimants incapables de se séparer. Insatiable de ce contact tandis qu’elle frissonne lorsqu’elle sent ses mains jouer de nouveaux les exploratrices. Ses yeux rivés sur ses lèvres, ses bras viennent instinctivement se glisser autour de son cou. Se plaquant un peu plus contre lui. tandis qu’elle lui lance de manière tout à fait ironique un sourire amusé au bords des lèvres. « j’hésite. Je ne sais pas si tu n’as aucune patience ou aucune pudeur. » parce qu’ils sont dehors. A la vue de tous. Bien qu’en réalité elle n’en a strictement rien à faire, là, maintenant, tout de suite. Et qu’elle se livre sans aucune résistance quand sa bouche retrouve la sienne. c’est bien plus avide. Possessif. Prémices de leur chute. Et un léger rire lui échappe presque parce qu’elle n’a aucune envie de juste le regarder dans le blanc des yeux. sa bouche retrouve le chemin de ses lèvres, tandis qu’une de ses jambes se glisse entre les siennes, appuyant un peu plus que nécessaire, juste pour le rendre fou. que ses mains se perdent dans ses cheveux. et que c'est une habitude qu'elle se prêterait bien à avoir. Qu’elle veut imprimer chaque seconde des moments qu’il lui offre dans sa mémoire. Dans sa peau. Qu’elle veut marquer la sienne. Qu’elle n’a aucune envie de redescendre de ce nuage brulant. Pourtant elle sent son téléphone vibrer contre sa cuisse au bout d’un moment. Se détachant de ses lèvres de quelques millimètres, elle relève les yeux avant de jeter un coup d’œil derrière lui. « elle est là. » et le simple fait de se décoller de lui laisse un vide glacial. Se dirigeant vers l’une des portières elle lui lance. « j’imagine qu’on va chez toi. Je doute fort que tu ais envie de faire une soirée pyjama avec mes colocataires. » un sourire narquois au bord des lèvres avant de s’engouffrer à l’arrière de la voiture. Pour autant, elle laisse la distance s’installer exprès, se tournant un peu pour se coller dos à la portière histoire de voir jonah un peu plus. créant le manque. Accentuant l’envie. Cruelle tentation dévastatrice tandis que la tension dans l’air est implacable. ses yeux vont du chauffeur au chanteur. penchant la tête, presque moqueuse de l’effet qu’elle a sur lui. elle souffle comme un murmure  «  j’espère que tu vas arriver à te tenir. Ça va aller ? » ce n’est peut être pas le cas de jonah. Mais si se donner en spectacle devant des inconnus est une chose, mei li a un minimum de pudeur vis-à-vis des autres quand il faut pousser le vice plus loin.
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((ootd) Tu n’es pas comme cela d’ordinaire, a t’exhiber ainsi, a faire des démonstrations… D’affection de la sorte en publique. Mais ce soir, c’est plus fort que toi. Non, tu ne prends même plus la peine de réfléchir a ce que tu fais. Tu la veux juste elle, rien qu’elle. Le preuve, tu ne résistes pas longtemps alors que vous êtes dehors. Le froid hivernal qui vient mordre tes lèvres et bien vite remplacer par la chaleur de la jeune femme. Ça rend la sensation encore plus agréable. Elle ne semble pas non contre l’idée, étant donné qu’elle t’enlace. Le frisson que tu lui arrache est délicieux, t’enivre un peu plus. ”Comme tu n’adorais pas ça… C’est juste pour t’empêcher d’avoir froid. Une technique de survie tu comprend…” Un rire t’échappe, tes propres bêtises d’exaspère. Pourtant elle fait la belle, joue avec toi, mais elle n’est clairement pas mieux que toi.  La preuve, sa jambe qui vient jouer dangereusement avec toi, ses mains qui se perdent dans tes cheveux. Tu frissonnes alors que tu est contre ses lèvres. C’est sûr, tu vas avoir un mal fou a te passer de cette sensation, de te passer de ce moment. Sa chaleur, son odeur, son goût. God, tu pourrais juste rester ainsi des heures. Non, tu mens. A l’heure actuelle, tu es en train d’imaginer bien plus, tu es en train de brûler encore plus. La vibration dans ta poche sonne la fin de la récréation. Vous êtes tellement collé l’un a l’autre qu’elle le sens également. Une dernière caresse, un dernier baiser furtif sur les lèvres qui sont encore tout prêt des tiennes. Comme une dose avant le sevrage. ”Je n’ai jamais autant maudit la rapidité d’un service.” Tu te sépare d’elle a contre coeur, mais il le faut. Tu la regarde avancée, féline, prédatrice, comme toujours, encore plus. Elle te fait rire, tu lui lance alors sur le même ton ironique. ”Dommage, j’ai toujours rêver de m’incruster dans une soirée pyjama étudiante. Même si pour ce que je prévois, je préfère avoir… toute ton attention.” Tu lui ouvre la portière, avant de monter dans la voiture derrière elle.

Tu donnes ton adresse au chauffeur, avant de te rendre compte de la position de que prend Mei Li. Elle instaure volontairement le vide, le manque, cette tension palpable qui reprend de plus belle sa place. Même le chauffeur semble la sentir, vus le sourire qu’il te lance avant de reprendre la route. Vous êtes vraiment lisible à ce point ce soir? Tu soupire en revenant t’appuyer sur la banquette.  Elle te cherche, te provoque, sauf qu’en cet instant, tu refuse de la laisser gagner gratuitement. Tu te tournes vers, volontairement provocateur, alors que tu ne cherche même pas a combler cette distance. ”Je ne suis pas un animal Mei Li. Mais je suis sûr que tu adorerais ça, que je craque encore et encore.”  Tu la regarde amusé, avant de lui lancé presque dans un murmure.”Il faut bien que j’en garde pour plus tard ma belle…”  Tu n’as pas le temps de jouer plus que tu es interrompu par ton téléphone. Tu jure un peu, frustrée d’être déranger à ce moment précis, mais quand tu vois le nom qui s’affiche tu dois répondre. ”Désolé, j’ai oublié de prévenir que j’avais une… priorité ce soir. Ouai… non je vais pas pouvoir répété ce soir, désolé. Non c’est vraiment… important… Ok, a plus tar.” Oui, tu priorise Mei Li ce soir, c’est elle le plus important, au point que tu en a oublier d’annuler tes engagements, un eu trop impatient de cette soirée. Tu range ton téléphone avant de sentir de regard de la jeune femme sur toi. ”Tu ne vas pas te plaindre d’être ce qui est important ce soir non?”

Les minutes défilent rapidement, et vous arrivez en bas de ton immeuble, enfin, pas vraiment du tiens. Bref. Tu payes le chauffeur, avant de sortir de la voiture, tendant la mains a Mei Li pour l’aider a s’extirper du véhicule. ”Je te préviens ce n’est pas un palace. C’était l’appartement de mon père, donc c’est plutôt vide maintenant.” Tu tend ton bras à la jeune femme pour l’inviter a te suivre. Alors qu’elle le prend tu embrasse furtivement son cou en te penchant vers elle. ”Je n’ai pas dis que je ne te torturais pas un peu au passage…” Tu ne veux pas lui en donner plus, tu veux l’énerver un peu, juste lui donner un avant goût. Tu profite de sa chaleur contre toi jusque dans la cage d’ascenseur. Une fois que tu as appuyé sur le bon étage, tu attires un peu plus la jeune femme vers toi lâchant son bras par l’attraper par la hanche. Tu es joueur, peut être trop. ”J’espère que tu ne commences pas a regretter ta soirée.”  La porte de l’ascenseur s’ouvre, et tu t’empare de la main de la chanteuse, l’entrainant doucement vers l’appartement. Tu lui jette un regard provocateur alors que tu ouvre la porte et que tu l’invite a rentrer. ”Si vous voulez vous donnez la peine.” L’appartement est simple, il ne reste que des meubles et quelques photo par ci par là. Clairement impersonnel maintenant qu’il ne reste que les photo que tu n’as pas eu le coeur de jeter et tes propres affaires. Pourtant ce n’est pas son soucie maintenant. Alors que tu referme la porte, tu te glisse derrière Mei Li, laissant tes mains arrivé sur ses hanches alors que tu colle contre son dos. Tu embrasse sa joue doucement. tes mains se fraye un chemin sous son manteau, remontant un peu le long de sa robe, l’attirant un peu plus contre toi. Tu viens alors lui susurrer à l’oreille, avant de la mordiller furtivement. ”Est-ce que tu voudrais bien me laisser ton manteau, que te débarrasse… juste de ça pour le moment…” On dirait bien que tu n’aura pas tenue beaucoup plus longtemps.

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((ootd)) ça l’amuse d’une manière bien particulière tout ça. d’un sentiment qui réchauffe son âme bien trop froide et son cœur bancal. lui fait tourner la tête comme on ne l’a pas enivré depuis longtemps. peut être jamais, en réalité. pas de cette manière-là en tout cas. pas à ce point-là.  en témoigne le léger sourire fugace sur ses lèvres alors qu’elles sont déjà pleinement occupées à jouer avec les siennes. se prenant au jeu aveuglément. suivant son petit ménage les yeux fermés sans se poser de questions. il n’a pas tort. elle adore ça. bien trop grisée par ce qui se passe sous les caresses de ses doigts. par toutes les sensations qui la traversent comme un ouragan et le brasier bouillant qu’il réveille en elle.. bien vite interrompu par le chauffeur arrivé plus vite que prévu. pause décisive avant le grand final. et la fraicheur qui l’envahit quand le corps de jonah se décolle du sien ne donne qu’envie de le retrouver encore plus ardemment. pourtant elle se prive d’elle-même. s’éloignant volontairement pour rejoindre la chaleur de la voiture. son petit commentaire lui fait encore une fois lever les yeux. « je t’en prie, tu t’y amuseras surement plus que moi. » pas qu’elle n’aimes pas ses colocataires. bon, l’une plus que l’autre peut être. mais les soirées de ce genre ne sont pas au gout de la chanteuse. du moins, l’image qu’elle a de ce types d'événements – surement complètement faussée, mais là n’est pas la question parce que la fin de sa phrase a le don de lui arracher une vague de chaleur en plus. la faisant languir à coups de mots bien placés tandis que son imagination ne fait qu'un tour. c’est bien joué. balle au centre. seulement mei li est joueuse ce soir. bien plus qu'à l'accoutumée. elle qui d’habitude est bien plus passive que ça. n'ayant pas le cœur ni l'envie spécifique à vouloir en faire plus. poupée trophée  dans les mains de ceux qui la désirent. et son adversaire est de taille parce qu’il ne cède pas, à sa grande surprise. mais ce n’est pas plus mal. elle n’a aucune envie de s’afficher avec un inconnu à moins d’un mètre d’eux. il y a des limites. pourtant son sourire amusé ne la quitte pas « peut être bien. »  ses yeux ne quittent pas les siens, la tension palpable, tandis qu’elle s’installe un peu plus confortablement, prête à renchérir dans ce duel où chacun cherche à déposséder l’autre du peu de terrain qu’il parvient à gagner... Interrompu brutalement par le téléphone de jonah et l’appel entrant. ses yeux glissent sur l’écran qu’elle ne voit pas vraiment, avant de remonter vers le chanteur qui a décidé de répondre. et son sourire joueur disparait. son visage se décompose presque en une expression de surprise et de douleur à la fois. complètement pris au dépourvue par ces quelques phrases. son cœur rate un battement et se serre d’une manière si désagréable face à une excuse qu’elle a rêvé entendre toute sa vie et qui sort de la bouche de celui qui balaye tout ce en quoi elle croit depuis le début. et que ça soit jonah qui, stéréotype même du type d’homme qu’elle s’est toujours interdit qui le lui dise, est un non sens total. le regard qu’elle lui jette est indescriptible. Perdue. qu’elle met quelques secondes de trop avant de reprendre contenance quand ses yeux te tournent vers elle. « je.. n’ai rien dit. » heureusement pour elle, le trajet est de courte durée. parce qu’elle n’a pas le courage de faire semblant, complètement troublée par ces quelques paroles qui sont surement d'une banalité sans nom pour lui. s’ils n’étaient pas dans cette foutue voiture elle se serait jeter sur lui sans aucune hésitation pour s’oublier. pour le faire taire lui et ses foutus mots. incapable de savoir si cette franchise aiguisée au couteau est une vérité dévastatrice ou de doux mensonges.. le froid de l’extérieur a le don de lui remettre les idées en place. mei li redresse la tête, reprend la partie là où lls l’ont laissé. elle ne veut pas se laisser désarmer une nouvelle fois aussi soudainement. lui jetant un regard alors qu'elle prend le bras qu'il lui tend « tu ne dors pas par terre non ? je pense que ça devrait amplement suffire, du coup ». un regard lourd de sens, brulant alors qu’elle le suit. parce qu’elle se fiche bien de savoir comment jonah décore son appartement. au contraire, c’est peut être mieux comme ça. qu’elle ne puisse pas se dire qu’elle rentre un peu dans sa tête, en pénétrant dans sa bulle personnelle.. c’est plus simple. réduit à son utilité primaire. leur corps retrouvant bien vite le chemin l’un vers l’autre dans l’ascenseur, ses mains glissant le long de ses bras, elle hausse un sourcil. « si je regrettais, je t’assure que je t’aurais planté sans hésitation depuis un moment et je ne serais pas ici. » mei li n’est pas du genre à s’infliger une torture dont elle n’a pas envie. et celle si est bien trop délicieuse pour ne pas être savourée. sa main retrouvant le chemin de la sienne, elle le suit jusqu’à son appartement. les quelques secondes qui suivent lui permettent de parcourir la pièce des yeux. effectivement, il n’y a pas grand-chose. et elle se force à ne pas s’attarder sur les photos. jonah ne lui en laisse pas le temps de toute façon. elle le sent se glisser derrière. et son cœur s’accélère de nouveau tandis qu’elle peut sentir son souffle sur son visage. si près. ses mains qui se faufilent sur sa robe. son corps contre le sien. se mordant la lèvre tandis qu’il joue un peu trop avec ses nerfs à vifs. si elle se laisse un peu aller contre lui, elle finit par accéder à sa requête. faisant glisser le long de ses bras son manteau d’un mouvement d’épaules habile. sa peau mise à nue retrouvant la fraicheur de l’air ambiant avant de se retourner vers lui. ses yeux retrouvant les siens tandis que ses doigts glissent dans sa ceinture pour le ramener un peu plus vers elle d'un geste sec. murmurant dans un souffle. « il y a quelque chose qui me dérange depuis un moment.. »  ses mains glissent sous les pans de sa veste. remontant de manière parfaitement symétriques à une lenteur toute calculée, avant de faire glisser doucement les manches le long de ses bras. le vêtement se retrouvant au sol en un bruit sourd. « c’est que je te trouve particulièrement couvert par rapport à moi.. » en témoigne le haut qui le recouvre encore intégralement. et contrairement à lui qui s’est amusé un peu trop avec sa peau toute la soirée, elle n’en a encore pas vu la couleur, de la sienne.  ses mains venant chercher le bord de son haut avant de se glisser en dessous. ses doigts découvrant la douceur de sa peau tandis qu’elle se faufile un peu plus haut, remontant le tissu au passage. révélant son épiderme à une lenteur cruelle, ses yeux accrochant la peau dévoilée, et l’œuvre d’art qui est en train de se révéler à elle juste en dessous. « et qu’il faudrait peut être rééquilibrer un peu tout ça.. » continuant son petit manège en remontant de plus en plus, ses mains caressant sa peau. prenant absolument tout son temps afin de marquer et imprimer chaque centimètre carré de jonah sous ses doigts.
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((ootd) Tu ne remarque pas le trouble qui anime Mei Li dans le taxi, trop occuper a scruter le paysage pour ne pas la regarder elle. Parce que tu le sais, si tu plonge a nouveau ton regard dans le siens, tu vas vouloir lui sauter dessus. Tu ne veux pas lui donner cette victoire, pas encore. Tout ce que tu vois, c’est que dès qu’elle sort de la voiture, que son bras attrape le siens, elle te rend de nouveau fou. De simple mots qui affole ton imagination déjà embrasé par cette soirée.  Tu te contente de la regarder, un sourire en coin au lèvres, alors que tu serres un peu plus son bras contre toi. ”Si ce n’est que ça, je vais aussi m’assurer que tu dorme bien, complètement… détendu…” Tu lui murmures tes derniers mots au creux de l’oreille. Tu ne la laissera pas être la seule à danser ce soir. Votre petit ballet reprend bien vite dans l’ascenseur, enfin, TU le fait reprendre. Pour être tout a fait honnête, alors qu’elle te répond, tu es… rassuré. Non, peut être pas, c’est peut être juste pour t’assurer que cette soirée n’était pas que la tienne. Que c’était la votre, que tu ne l’entrainais pas dans quelque chose contre son grès.

Une fois dans ton appartement, elle est comme un phare, et tu ne peux pas t’empêcher de recommencer a jouer. Mais cette fois les règles sont plus claire, alors que n’êtes plus que tous les deux. Enfin. Non pas que tu te retenais jusque là. Mais ici, pas de téléphone, juste vous deux, dans un corps a corps qui t’embrase depuis qu’elle est descendu de cette voiture tout a l’heure. Tu lui as promis que tu allais lui retirer cette robe d’une façon qu’elle allait adoré. Tu comptes bien tenir cette promesse. Mais elle a du répondant, et c’est peut être elle qui tiens les rennes de tout cela. Alors qu’elle se laisse aller un peu contre toi, les hostilités sont lancer. TU finis par lui retirer son manteau, qu’elle fait tomber dans tes mains d’un geste d’épaule délicat. Tu le déposes sur le porte manteau à côté de toi, et tu peux de nouveau l’admirer, revoir al superbe de Mei Li, dans cette robe. Honnêtement tu as hâte, hâte de poser tes doigts sur la sculpture qu’est son corps. Hâte de pouvoir la sentir tout contre toi. Mais elle ne te laisse pas mener cette danse. Elle prend le contrôle de la situation avant même que tu ne t’en rende compte.

Elle t’attire vers elle par la ceinture, alors que votre duel de regard recommence. Damn, tu rêve de t’emparer d’elle, dans son entièreté, là, maintenant. Tu te contente de lui jeter un regard provocateur, alors que ses doigts, que ses doigts d’arrache un frisson délicieux. Elle sait parfaitement ce qu’elle fait. Tu la laisse faire, appréciant le déluge de sensation qu’elle t’offre. Ta veste finis bien vite sur le sol. Tu t’en moque. Tu es comme hypnotiser par le bal que ses doigts sur toi organisent. C’est de bonne guerre, et plutôt, très, agréable. Ses doigts tracent des traits de feu sur ta peau, elle attise avec attention la tension. Mais elle est d’une lenteur calculé, son plan machiavélique est délicieux, tu en veux plus, tu en demandes plus. Mais tu sais qu’elle ne te le donnera pas, et que c’est bien mieux comme cela.  ”J’ai toujours été pour l’équité tu sais mais …” Sauf que tellement obnubilé par ta peau, elle en oublie que tu peu répliqué. Un peu. Alors que tu frissonnes sous ses doigts, tu l’attrape par les fesses, la collant contre toi ”…Tu n’as fait tous ça  juste pour voir mes tatouages j’espère?”  Tu attrape ses lèvres, venant jouer avec ses lèvres, avec sa langue alors que ses doigts sont a mi-chemin de ton haut. Tes mains viennent jouer avec la limite de sa robe alors que tu la distraits avec ta bouche. Tu finis par la relâcher, sourire provocateur aux lèvres, et tu lèves les bras au ciel, lui laissant le champs libre pour qu’elle continu son petit manège délicieux. ”Désolé, je crois que je t’ai interrompu.”

Tu mens, tu sais parfaitement ce que tu fais, tu ne veux juste pas lui donner l’impression qu’elle est la seule a guider ce jeu. Mais la façon qu’elle a de jouer avec toi… Elle t’arrache des frissons, elle embrase ta peau, c’est un mélange d’envie et de frustration. Tu ne sais plus si tu déteste ça, ou si tu adores. Elle finit enfin par te libérer de ton haut, qui te semblait être devenue une sorte de camisole encombrante. Tu la regarde, elle espère surement continuer à te martyriser, mais il est temps pour toi de lui rendre un peu de frustration. ”Maintenant qu’on est presque à égalité, j’ai le droit de jouer un peu.” Tu l’agrippes de nouveau par les fesses, sauf que cette fois tu la soulève en la collant contre toi, alors que tu par en balade dans son cou. Tes lèvres parcours sa peau, le tissus de sa robe contre ta peau nue est une sensation nouvelle se soir. Tes lèvres descendent lentement, commençant d’embrasser la peau de du décolleté. Tu veux lui rendre un peu de son traitement, tu veux embraser la jeune femme. Tes lèvres descendent lentement le long de sa robe, jouant avec sa peau, jouant avec ses réactions. Alors que tu la maintien avec un bras sous ses fesses, l’autre remonte lentement le long de colonne. Douce opposition avec ta bouche qui tire doucement sur le bords de son décolleté, histoire de la teaser un peu plus.  Ta main dans son dos s’arrête juste avant l’attache des bretelles de sa robe. Tu stoppe ta douce torture, levant la tête pour lui jeter un regard mutin. ”Cette robe à décidément été bien pensé…”

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((ootd)) Mei li ne répond pas. ne voulant pas briser l’instant. car ce que jonah ne sait pas, c’est qu’elle ne dormira pas avec lui ce soir. Qu’elle fera ce qu’elle fait toujours. Elle se volatilisera une fois qu’il sera endormi. S’évaporant comme si elle n’avait jamais existé. Ne laissant de son passage que des draps froissés et l’odeur de son parfum sur un oreiller. Mei li ne reste pas. jamais. S’interdisant toute attache potentielle. Toute possibilité d’un après balayé une fois la porte d’entrée franchie et refermée. Mais avant ça, elle a l’intention d’en profiter pleinement. le sourire qu’il lui offre la fait fondre un peu plus. le regard qu’il lui lance ne cesse de faire augmenter sa température corporelle. tension maximale à mesure qu’ils se rapprochent de l’appartement. De cette bulle dans laquelle plus rien ne pourra empêcher quoique ce soit. pas de facteurs extérieurs. Pas de curieux en train de jouer les voyeurs. Rien que jonah, mei li et le brasier ardent qui brûle entre eux. il n’y a rien d’autre qui compte en cet instant tandis que tout se lit dans leurs regards qui s’affrontent. qui ne se lâchent pas alors que ses mains à elle décident de prendre le contrôle. De rétablir un peu d’équilibre vestimentaire. Qu’il n’y a aucune raison pour qu’il s’amuse plus qu’elle. qu’il en profite d’avantage. A son tour. la première barrière tombe. un obstacle de moins. ses doigts partent enfin à la découverte de sa peau brûlante. Douce récompense après cette attente insoutenable. elle prend son temps mei li. remontant centimètre par centimètre le tissu qui recouvre son torse. Dévoilant les dessins qui ornent sa peau alors que ses yeux se sentent automatiquement captivés, fascinés par ce qu’elle voit pour la première fois. un peu trop peut être. Ramenée brutalement sur terre par les mains de jonah qui décident de répliquer. plaquant son corps contre le sien dans un choc possessif. Sa bouche retrouvant sa jumelle avant qu’elle ne puisse répondre. C’est avide. Presque vital. A chaque séparation, les retrouvailles entre elles sont telles deux âmes sœurs qu’on a éloigné bien trop longtemps. ça n’empêche pas mei li de continuer son exploration en même temps. Ses mains grimpant le long de son torse, soulevant son haut dans son sillage. Lorsque leurs lèvres se séparent, le vide qui en résulte est une torture qu’elle a envie de venir recombler aussitôt. Mais non. Elle a autre chose à faire avant. Un sourire contre ses lèvres, elle finit par souffler, amusée « si c’était le cas. Je ne m’embêterai pas avec tout ça. j’irai juste sur internet.. j’imagine que ça doit se trouver. tu as bien du t'exhiber une fois ou deux. » elle mettrait sa main à couper qu’il y a plus d’une photo de jonah torse nu qui traînent. Ses tatouages, c’est du bonus qu’elle prend avec plaisir mais c’est son corps dans son entièreté qui l’intéresse vraiment. « c’est bien ce que je disais tout à l’heure. Tu ne sais décidément pas te tenir. » alors qu’elle-même n’en mène pas large non plus. tiraillée entre l’envie de prendre son temps, de savourer chaque seconde, et celle de lui arracher ses vêtements. Ses mains continuant leur petite ascension un peu plus rapidement. Et dieu merci, elle a encore ses escarpins aux pieds. sans eux elle aurait eu bien du mal à lui retirer ce bout de tissu terriblement gênant jusqu’en haut. Deuxième obstacle abattu, les yeux de mei li accrochent ce tableau vivant qu’elle vient de déballer d’un regard brulant. Hypnotisée par ce qu’elle voit. si elle y a pensé un peu trop de fois, elle était bien loin de la réalité qui surpasse tout ce que son esprit avait pu imaginer. Tentant d’en mémoriser chaque traits, chaque forme, chaque courbe. Elle a envie de passer ses doigts dessus et d’en retracer chaque dessin. de marquer sa peau d’une emprunte qu’il sera incapable d’oublier. ce qu’elle voit l’embrase de plus belle. L’impression de prendre feu alors qu’elle n’a pas le temps de s’amuser un peu. d’en profiter. Elle se sent terriblement frustrée. Jouer un peu ? vraiment jonah ? bah voyons. elle ne cache pas son agacement. Mais on peut lui offrir ça, il sait se rattraper alors qu’elle s’envole bien vite pour finir dans ses bras. Soulevée telle une plume qui ne pèse rien du tout. « sérieusement, tu ne vas vraiment pas me laisser en profiter hein.. » son corps pressé contre sa peau brulante. elle se sent minuscule malgré qu'elle puisse désormais le regarder de haut, – et encore – l’envie clairement visible dans les yeux, qu’elle ne cherche même pas à cacher. « il faut vraiment qu’on revoit ton concept d’égalité, ça ne va pas du tout.. » ça manque de mordant pourtant parce qu’elle est bien trop occupée à ne pas chavirer sous les assauts de ses lèvres qui sont en train de lui faire perdre la tête. réveillant des sensations enfouies au plus profond d’elle-même. son cœur bat à tout rompre dans sa poitrine alors que ses mains qui ont retrouvés leur place attitrée autour de son cou viennent caresser le haut de son dos. S’y agrippant presque pour y trouver un point d’ancrage face à ce brasier infernal qui la consume de l’intérieur. cette portion de douceur comme un amuse-bouche temporaire puisqu’elle a été privée du reste. Se livrant presque totalement face au délicieux traitement qu’il est train de lui infliger. L’une de ses mains se perd de nouveau dans ses cheveux. Elle tire un peu dessus pour pour lui faire redresser la tête vers elle. ce teasing qui est en train de la renverser doit cesser. l’interrompant dans sa course, ses yeux plongent dans les siens tandis qu'elle sent sa main jouer dangereusement avec le haut de sa robe. elle n’en peut plus. Elle a envie de lui arracher son sourire. Cette inversion des rôles la bouleverse. cette perte de contrôle aussi. ses lèvres frôlant les siennes, elle souffle contre elles « c’est pour que tu évites de réfléchir et que ça ne soit pas trop compliqué pour toi et ta patience limitée.. même si je te trouve particulièrement lent.. » belle ironie alors que c'est elle, qui réclame presque. le temps semble suspendu avant l’ultime bascule. Les yeux rivés sur ses lèvres, sa bouche continue de frôler la sienne quelques secondes, le faisant languir comme il a pu la torturer elle, la main dans ses cheveux l’empêchant de faire le premier mouvement. avant que ça ne soit elle qui vienne reposer ses lèvres sur les siennes. tout doucement. Au début. Mais l’envie qui irradie tout son être rend les choses compliquées. Et elle vient bien vite accentuer la danse. reprenant possession de lui. jouant avec ses lèvres. son corps se pressant un peu plus au sien comme une droguée en manque et elle ne sait pas comment elle va pouvoir se passer de ça.

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((ootd) Te voilà débarrasser de ton haut, mais le regard de Mei Li sur toi. La c’est clairement un autre impact sur toi. Elle sait ce qu’elle fait, c’est certain, mais ce regard? Elle peut cacher bien des choses, mais ce regard là, même toi tu ne peux pas te tromper en le voyant. L’envie, la luxure dans ses yeux. Ça t’amuse au plus haut point, ça t’embrase au plus au point. ”Crois moi, je vais te laisser tous le temps de profiter…” Tu l’agace volontairement, tu veux la frustrer un peu, u-tu ne veux pas juste lui donner ce qu’elle veux. Tu ne veux pas être comme tous les hommes qu’elle a pu connaitre et qui lui on céder pour l’ajouter à leur salles des trophées. Non. Tu veux la faire complètement tienne, mais tu veux surtout marquer au fer rouge cette soirée dans sa mémoire. Alors que tes lèvres commencent à explorer, tu as bien du mal a rester calme. Tu ne lèves même pas la tête vers elle, juste entre deux baiser sur sa peau, tu continues de l’agacer un peu.”mais pour le moment, je vais juste te faire profiter… autrement…” Tu réussi ton coup, tu le sais au moment où elle s’agrippe à toi. Mais la jeune femme n’est visiblement pas spécialement contente de cette perte de contrôle. Elle te fait clairement comprendre qu’elle veut ton attention ailleurs que dans son décolté. Elle joue avec toi, frôlant tes lèvres. Tu reste bloquer sur la tentation a ta porté, un sourire aux lèvres alors que tu rêve de l’embrasser pour la faire taire. Ta mains remonte toujours dangereusement vers le noeuds qui retiens les bretelles de sa robe alors qu’elle te parle. Mais tu ne peux pas. Est-ce tu comprend vraiment ce qu’elle te dit là? Mei Li, Mei Li, tu ne peux pas juste dire clairement ce que tu réclame hein? ”Vos désirs sont des ordres….” Le temps semble bien trop long, alors que tu fixes ses lèvres, suspendue a son bon vouloir. Elle reprend le pouvoir dès qu’elle en a l’occasion. Ce jeu de ping pong est grisant. Alors qu’elle vous délivre enfin de se suspens, tu ne peux qu’apprécier encore plus ses lèvres.  Mais elle devient bien vite beaucoup plus possessive dans se baiser. Ton petite manège semble l’avoir plus qu’attisé.



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