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ShinBae ❤ Ils nous ont fait oublier qu'on s'aimait plus que tout.
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Re: ShinBae ❤ Ils nous ont fait oublier qu'on s'aimait plus que tout. | Dim 10 Jan - 11:40 Citer EditerSupprimer
Il m’avait à sa merci et c’était avec de forts gémissements que je me cambrais sous ses caresses. Je m’accrochais aux draps avec la sensation de tomber dans le vide. J’enfonçais ma tête dans le matelas et soupirais chaudement en fermant les yeux. Si mon homme avait une idée en tête c’était bien celle de me donner le plus de plaisir possible. Pendant une seconde, une terrible seconde que je me maudissais d’avoir, je me demandais s’il avait été ainsi avec d’autres femmes … s’il avait été aussi doux, aussi pressant, aussi passionné … ? Je fermais les yeux encore plus fort pour ne pas y penser et me concentra sur ses doigts. Mais c’était lui que je voulais, c’était son corps contre le mien. D’un geste brusque je le repousse, essoufflée, je me redresse sur le lit en posant mes mains en arrière. Je le fixe. Les yeux brillants. Je mordille ma lèvre alors que je pli mes jambes sous moi pour m’assoir sur les genoux. Je lui fais signe de grimper sur le lit à son tour et attrape sa nuque pour le forcer un peu plus. Je viens l’embrasser avant d’attraper sa main humide. Je l’oblige à venir caresser mes fesses et presse mon bassin contre le sien. Nous mettant totalement nu je viens caresser son torse du bout des doigts. A genoux sur le lit, redressée pour arriver à sa hauteur, je caresse ses joues. Un moment de tendresse pour me ressourcer. Je l’embrasse d’un chaste baiser en levant mon regard vers lui et mordille sa lèvre inférieure en tirant dessus avec mes dents. Mes mains glissent sur son corps pour en caresser chaque parcelle. Ses épaules, ses bras, ses cotes. Mes paumes chaudes redécouvrent son corps lentement, pour le faire patienter. Je viens frôler son torse de ma poitrine nue en levant vers lui un regard brûlant. J’ai d’autre surprise pour lui et je veux qu’il puisse en profiter. Collée à lui je glisse mes bras dans son dos et lui griffe le dos sur toute sa hauteur, ne m’arrêtant qu’à la cambrure de ses fesses. Je lui jette un regard provoquant, et mordille sa lèvre pour l’empêcher de parler. Je le repousse sur le lit brusquement et viens m’asseoir à califourchon sur lui avant d’attraper une bouteille d’huile de massage pour tout le corps. Je vide la bouteille sur le haut de ma poitrine que je masse devant lui pour l’exciter un peu plus et enduit mon corps d’huile. Je ne dis rien, je me contente de le regarder avec une pointe de mystère et de malice dans le regard. Je vide la bouteille sur son torse et vient me pencher en avant, me cambrant en avant pour le frôler de ma poitrine et glisse sur lui pour le masser avec mon corps. Je lui vole un énième baiser et murmure contre ses lèvres « Tu aimes mon bébé ? » Parce que malgré mon air de féline dominante j’ai besoin de l’entendre me dire qu’il aime, qu’il savoure et avec une certaine folie l’entendre penser qu’il est l’homme le plus heureux du monde avec moi. « Tourne toi sur le ventre bébé … je vais masser ton dos. » et avant qu’il n’ait pu protester ou me trouver une excuse je tends le bras pour éteindre la lumière. « On a pas besoin de ça … » murmurais-je. Je ne voulais pas le brusquer, le forcer à me parler de ces cicatrices, surtout pas dans un moment pareil … Je l’embrasse en me pressant d’avantage contre lui en murmurant « Bébé … laisse-moi te faire du bien … s’il te plait … » je veux juste … m’assurer qu’il joue le jeu … qu’il joue le jeu avec moi.
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Re: ShinBae ❤ Ils nous ont fait oublier qu'on s'aimait plus que tout. | Lun 25 Jan - 4:17 Citer EditerSupprimer
Je grognais de mécontentement alors qu’elle m’avait repoussé, me forçant à reculer alors que je comptais la faire jouir avec les doigts alors que j’avais à peine terminé le traitement que je lui réservais avec ma bouche. Je la fixais d’un regard brillant d’excitation qui aurait aimé l’entendre gémir encore et encore, jusqu’à me supplier d’arrêter. Je restais néanmoins immobile, assis sur les genoux, encore sur le sol. Elle m’attrapait la nuque, m’invitant à grimper sur le lit la rejoindre. Je m’exécutais docilement pour une fois, faisant dont elle avait envie malgré ma contrariété d’avoir été forcé de stopper mon geste. Je ris doucement alors qu’elle prenait confiance peu à peu, prenant l’audace de me mettre ma main encore humide de son intimité sur une de ses fesses. Je me glissais donc à genou sur les draps, face à elle. Je la surplombais d’une bonne tête, alors que ma deuxième main rejoint son autre fesse. Je les malaxais doucement avant de les empoigner de la forcer à coller son bassin contre le mien en riant, lui laissant tout le loisir de sentir mon souffle chaud sur son visage, à peine à quelques centimètres l’un de l’autre. J’aimais sa douceur mélangée à sa sauvagerie du moment, ces coups de folie qui étaient un vrai délice. Comme à cet instant où elle me mordit la lèvre inférieure attisant mon désir, ou ses ongles qu’elle enfonçait dans la peau de mon dos, laissant sa marque rougit. Il avait déjà été marqué d’innombrable fois, et pas des manières les plus douces. Ces coups et ces brulures que mon père adoptif m’avait infligées. Je les détestais. Je détestais ce dos devenu un de ses derniers vestiges. Mais si c’était ma Bae, ma femme, mon trésor qui me marquait à sang, je l’endurerais comme la plus exquise des tortures. Je fermais les yeux, frémissant. Je me laissais allonger sur le lit, alors qu’elle se mettait à califourchon sur mes hanches, mon paquet bien gonflé suite à ce qu’elle m’infligeait. Mes mains se perdirent sur ses mollets, sur ses cuisses, dans le creux de ses reins, sur son ventre. Je souriais, un brin carnassier en la voyant se démener au-dessus de moi. Sa poitrine se mit à luire alors qu’elle s’induisait d’huile. Ma respiration devenait saccader à cause de l’excitation. J’avais envie de toucher, envie de les caresser, de les malaxer, de les titiller. Bon sang Bobae ! Qu’est-ce que tu me faisais subir là ? Elle ressemblait à l’une de ses déesses grecques ainsi nue et brillante. Je tremblais de plaisir alors qu’elle glissait sur moi, étalant l’huile avec ses seins sur ma poitrine. « Une vraie déesse. » murmurais-je alors que je répondais à son baiser avec la même douceur. Je la connais ma femme. Elle a beau joué à la femme féline et dominante, elle a besoin d’être rassurée sans cesse. Je lui souris pour la rassurer, alors que mes mains sur ses fesses les écartent doucement. Je crispais soudainement en l’endentant me demander de me mettre sur le ventre. Elle savait que je ne voulais pas qu’elle voit mon dos. Elle n’en connaissait pas la raison. Elle devait sans doute penser que c’était une de ces manies étranges dont nous en avions au moins tous une. Je ne voulais simplement pas qu’elle voit mon véritable état. Je ne voulais pas qu’elle me prenne en pitié en apprenant ce qu’il m’était arrivé. Je ne voulais pas qu’elle s’en veuille alors qu’elle n’y était pour rien. J’allais protester, la suppliant de ne pas me demander de faire ca. Mais face à sa supplique je cédais. Et puis, la lumière fermée, elle ne verrait rien, mais elle sentirait toujours les creux et les bosses parcourant mon dos, alors qu’elle les caresserait lentement, se demande de quelle origine elles étaient. Je me tournais à contre cœur sous elle, passant mes bras sous ma tête. « Tu n’ouvres pas la lumière alors hein ? » demandais-je pour être certain de ne pas devoir m’expliquer. Je déglutis péniblement. « Stp … ne me pose pas de questions bébé, par maintenant … »
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Re: ShinBae ❤ Ils nous ont fait oublier qu'on s'aimait plus que tout. | Jeu 4 Fév - 11:04 Citer EditerSupprimer
Sa détresse me fait mal au cœur et sa question ne confirme que ce que je savais déjà. Mais je ne suis pas d’humeur à lui faire remarquer, ni même à poser ces questions qu’il redoute tant. Je veux tellement qu’il puisse se sentir libre entre mes bras. Qu’il n’ait plus cette retenue ... bébé … aime moi comme si j’étais la dernière chose qui te retenait envie sur cette terre. Aime moi comme si entre toi et moi, il n’y avait rien d’autre que de l’amour. Au moins pour ce soir. J’ai senti sa frustration, j’ai senti son envie d’aller plus loin et de m’envoyer aller me faire foutre avec mon massage. Mais je suis persuadée que si je l’approche doucement mais surement un jour il me dira … un jour il avouera … un jour il se confiera … il n’aura pas honte de lui, pas honte de moi … Un jour on sera aussi complice qu’avant, avant quand rien ne pouvait nous atteindre … « Aucune raison d’allumer la lumière … ça décuple les sens d’être dans le noir. » Je me glisse sur lui et passe de l’huile sur mes seins pour me pencher vers lui. Doucement je me frotte à lui en mordillant au passage ses épaules et sa nuque. Il me parait si crispé sous moi. « Bébé détends toi … je te toucherais pas avec les mains. Je veux tester une nouvelle façon de faire … » souriais-je contre sa peau. Je soupire chaudement contre lui pour qu’il se laisse aller et qu’il ressente mon plaisir. Mes mains se mettent à glisser le long de ses bras alors que mon ventre et ma poitrine se perdent sur son dos. C’est si délicieux. Mon amour … si secret, si apeurée que sa femme puisse découvrir son passé. Oublie tout ça … j’ondule contre lui sensuellement en n’oubliant pas de venir pousser de petits gémissement à son oreille pour lui montrer à quel point ça me plait. Je me glisse entre ses cuisses et dépose des baisers sur son dos. Des baisers tendre, doux, magique. Ils ne répareront pas les blessures physiques, mais peuvent soulager les maux de son cœur. Je souffle contre sa peau, ne le touche jamais avec mes mains que je glisse le long de ses côtes. Je mordille sa peau doucement, là où je crois deviner des cicatrices fines. Je dépose mes lèvres un peu partout, avant de venir frotter mon corps au sien avec douceur. Je glisse sur lui à l’aide de l’huile. « Tu aimes ? » finissais-je par demander après quelques minutes. Ma douceur et ma sensualité me paraissent plus exacerbée dans le noir. Puis décidé de cesser cette torture je finis par le tourner vers moi et attrape sa main que je place entre mes deux seins. « Tu veux découvrir le corps de ta déesse dans le noir ? » redécouvrir mes formes et qu’il puisse sentir mon ventre se creuser de désir à son passage. Je lâche un soupire impatient et murmure « j’aime tellement tes mains bébé, tu le savais ? Elles épousent la forme de mon corps si facilement … elles sont faites pour me caresser. » Lascive, pleine de désir j’ondule doucement contre son bassin pour l’emmener avec moi dans cet instant volé de plaisir.
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Re: ShinBae ❤ Ils nous ont fait oublier qu'on s'aimait plus que tout. | Mer 23 Mar - 1:26 Citer EditerSupprimer
J’avais toujours cette boule au ventre qu’elle puisse découvrir ce qu’il m’était arrivé au Japon, et qu’elle ne veuille plus de moi, ou bien même que son visage change en me voyant. Le pire serait qu’elle me prenne en pitié je crois. Qu’elle me prenne comme une malheureuse petite chose fragile de qui il faut s’occuper et avec laquelle elle devait prendre des pincettes. Je n’avais aucune envie de devenir ce Shin là à ses yeux. Alors je préférais lui cacher la vérité, et lui dire que j’avais vécu heureux comme n’importe quel enfant de notre âge à l’époque. Avec insouciance et allégresse. C’était tellement bien loin de la réalité. J’étais toujours craintif ces instants où elle voulait absolument voir mon dos pour une raison ou une autre. Et bien que je ne voulais pas la blesser, je n’arrivais pas lui céder aussi facilement que je l’aurais voulu. Je me détendis légèrement quand elle me confirmait qu’il n’y avait aucune raison d’allumer la lumière. Je soupirais longuement, essayant de détendre mes muscles. « Aish ! C’est froid ! » Grimais-je soudainement surpris par l’huile un peu froide au début, mais qui venait vite chaude avec les frottements de nos corps. Ses seins étaient moelleux ainsi s’écrasant sur ma peau meurtrie, et je sentais ses tetons pointer contre celle-ci, me donnant des frissons de plaisir. Mes muscles se relâchèrent à chacun de ses passages, au point que je sois tout mou de plaisir. Et ses gémissements réchauffaient quelque chose d’autre se trouvant un peu plus bas, entre mes cuisses. Ses lignes de baisers en contradiction à ses morsures me donnèrent des frisons de plaisir qui remontaient tout le long de ma colonne vertébrale. Je souris à l’entendre me demander si j’aimais ca. Cette femme qui savait vous faire tourner la tête la seconde d’avant en jouant les femmes fatales, et la seconde d’après devenait cette femme si fragile qu’il fallait protéger et rassurer sans cesse. « Evidemment que j’aime.. » murmurais-je alors que je me retournais sur le dos pour lui faire face. Je ris en la voyais m’attraper la main pour la placer entre ses deux seins. « Mais je le connais déjà par cœur, le cœur de ma déesse ! » la taquinais-je alors qu’elle était à califourchon sur moi, mes mains sur baladèrent sur ses seins avant de redescendre vers son ventre et de remonter le long de ses côtes, passant par sa nuque, finissant leur chemin en coupole autour de son visage alors que je la saisis pour l’amener à moi et l’embrasser longuement avant de la libérer. Mes mains vinrent attraper ses fesses d’un geste brusque, lui soulevant le bassin. La maintenant d’une main, l’autre se glissait en elle. Je vérifiais qu’elle était assez mouillé en passe deux doigts furtifs à l’intérieur de ses cuisses avant d’introduire mon engin qui était d’un plus gros calibre. Je la laissais redescendre doucement dessus pour qu’elle sente un maximum de la pénétration avant de finir en donnant un grand coup de rein pour l’enfoncer bien plus profondément et l’entendre gémir plus fort. « Ondule, bébé ! » ordonnes-je soudain d’une voix à la fois suave et autoritaire. Et sans la prévenir, je me redressais en position assis, venant lécher un de ses teton à ma portée. Je jouais un long moment avec avant de me mettre à la mordiller. « Plus vite. »
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Re: ShinBae ❤ Ils nous ont fait oublier qu'on s'aimait plus que tout. | Dim 10 Avr - 18:13 Citer EditerSupprimer
Ça faisait comme une éternité que je n’avais pas laissé mon homme découvrir mon corps. Ce corps qu’il connait par cœur. Ce corps qu’il a été le seul à voir … ce corps qui lui appartient. Glissant contre lui avec une fougue et une sensualité que je voulais ardente je rejette la tête en arrière en gémissant de plaisir. Shin a toujours su comment me faire prendre mon pied et si notre première fois avait été timide et maladroite, nous étions désormais à l’aise avec la nudité de l’autre et je n’éprouvais aucune gêne à onduler sur lui ainsi. La pénombre de la chambre rendait à nos ébats des airs de mystères qui me fascinaient. Shin et moi étions faits l’un pour l’autre. Il n’y aura jamais sur cette terre quelqu’un qui l’aimer autant que moi, tout comme je ne laisserais jamais personne d’autre m’aimer comme il le fait. Alors parfois je pense à Kan et je regrette, je regrette d’avoir ainsi trébuché. Un baiser, un simple baiser mais qui pourrait détruire tout ce que j’avais avec lui. Et je ne pourrais me trouver des excuses. Et je pourrais lui dire que ces absences m’ont pété le cœur à coup de pioches. Je pourrais lui dire que je me sentais seule, que je me sentais perdue. Cherchant un sens à ma vie autre que sa présence. J’ai cru qu’en découvrant le monde je pourrais devenir une femme plus forte. La vérité c’est que j’ai été faible. J’ai oublié l’essentiel. J’ai oublié que c’était Shin et moi contre le reste du monde. J’ai oublié d’où il venait et je ne savais pas, je ne savais pas encore ce qu’il me cachait et tous ces mensonges qui pesaient sur notre couple m’a fait flancher. Alors je pourrais lui dire que j’ai eu mal, que je me suis sentie seule. Mais la vérité c’est que ça m’allait. Ces excuses que je me trouvais quand je fixais Kan et que je lui souriais comme je n’aurais jamais dû. J’étais cruelle, égoïste, parce que j’aurais dû m’accrocher à notre amour et que je n’aurais jamais, jamais, du douter. Mais ce soir je ne voulais plus y penser, ce soir je ne voulais que lui. Cette vérité détruira notre couple bien assez tôt … Mes lèvres se perdent sur les siennes à cette pensée alors qu’il me triturait les seins en me faisant bouger plus vite. Je ne veux que lui … je n’ai jamais voulu que lui, même si je l’avais oublié une fraction de secondes … je souffle contre ses lèvres et gémit avec le cœur défoncé de mon secret, de mes mensonges qui exacerbe mais sentiments pour lui « Je t’aime … » je t’aime Shin … j’aimerais que jamais, ni maintenant, ni dans l’avenir, tu ne puisses un jour douter de ça … Je crèverais sans lui. Je crèverais de le perdre. Et c’est ça qui nous résume, l’excès de nos sentiments, l’excès de nos vies. Sous une brusque colère dirigée contre moi je me montre plus fougueuse et le plaque au lit en appuyant sur son torse. Je ferme les yeux et crispe mon visage dans une grimace de plaisir avant de rouler sur le dos et de l’attirer à moi sans un mot. Je l’embrasse à nouveau et glisse une cuisse à ses hanches pour l’inciter à venir en moi à nouveau. « Fait moi l’amour. » soufflais-je en tremblant entre ses bras. Aime moi bébé … aime moi …
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Re: ShinBae ❤ Ils nous ont fait oublier qu'on s'aimait plus que tout. | Dim 1 Mai - 13:07 Citer EditerSupprimer
J’avais l’impression que ca faisait une éternité que je n’avais pas été aussi bien avec BoBae. Cette nuit, on oubliait tout le reste, et il n’y avait plus nous deux. On ne pensait qu’à nous. Tous nos petits tracas du quotidien nous avaient fait oublié à quel point nous nous aimions et que nous avions besoin l’un de l’autre. J’avais besoin de la retrouver. Vraiment. Et elle ne savait pas à quel point. J’avais cru un moment la perdre sans vraiment comprendre les raisons, mais les conséquences étaient visibles. Mes mensonges, ma distance, mes allers-retours au Japon, mon père… j’avais décidé de laisser tout ce de côté pour me consacrer totalement à mon premier amour. Je me disais parfois que je ferais mieux de la laisser partir, qu’elle serait mieux sans moi et tous mes problèmes, qu’elle serait plus heureuse dans cette vie sans un homme toujours collé à ses basques. Et pourtant, je ne pouvais faire que l’égoïste et la garder auprès de moi, car je l’aimais de trop pour la perdre à nouveau. Je la gardais jalousement contre moi. J’aimais la voir gémir alors que je la caressais, j’aimais voir l’effet que je lui faisais alors que je jouais avec ses zones érogènes. Je grognais alors qu’elle se mettait à onduler sur moi, augmentant mon plaisir et grandissait à grand pas. Nous étions bien plus à l’aise avec nos corps. Même si j’avais pris le temps de le découvrir lors de nos premiers ébats, je prenais toujours autant de temps et de plaisir à partir à sa découverte, laissant mes mains parcourir ses courbes qui avaient bien évolués en cinq ans. Elle était devenue une femme, une vraie et belle femme. Je ne doutais pas que d’autres hommes aimeraient être à ma place et la posséder comme je le faisais à l’instant. Mais jamais je ne laisserais un autre homme touché à ce trésor que j’avais mis tant de temps à conquérir. Il pouvait bien crever pour essayer. Et je promettais de mettre fin à ses jours de mes propres mains si il le fallait. Comme je l’avais toujours fais au fond, même si Bobae n’en avait pas conscience. Doucement, mais surement, j’apprenais à accepter ou tout du moins, à cohabiter avec le monstre qui était en moi et qui me faisait si peur. Quand j’étais enfant, j’avais peur du monstre qui dormait tapis sous mon lit, ce que je ne savais pas, c’était qu’il n’était pas sous le lit, mais bien plus proche encore. Il était en moi. C’était moi. Et je ne voulais pas qu’il effraye ma Bobae, alors je lui cachais. Je le lui avais toujours caché. C’était sans doute le plus lourd de mes secrets, et celui que je mettrais le plus temps à lui avouer. Si un jour j’en trouvais le courage. Elle m’embrassait, emportant avec son baiser toutes mes pensées, me faisant sombrer dans le désir brulant que j’éprouvais pour elle. « Je t’aime, Bobae… » Mes paroles faisaient écho aux siennes, alors que le lit commençait à grincer sous ses assauts répétés, plus vifs et plus rapides. J’ouvris les yeux, soudainement surpris par un de ces gestes brusques que je ne lui connaissais pas alors qu’elle me plaquait au lit, m’empêchant de bouger. La surprise passé, je lui souris d’un de ces sourires qui voulaient tout dire et qui n’appartenait qu’à nous. J’adorais la voir se crisper sous un spasme de plaisir. Je la laissais dominer nos ébats un moment, la laissant rouler sur elle-même tout m’en emmener avec elle. Je rigolais alors que je me trouvais dessus elle, venant lui voler un baiser avant de murmurer. « C’est toi qui donne les ordres maintenant ? » je ris doucement avec de lui mordre la lèvre inférieure et d’ajouter : « Tu sais que tu es bandante quand tu te la joue sauvage et dominatrice. Tu n’as même pas conscience de l’effet que ca me fait. » Mon ton était raque à cause de la jouissance toute proche et de l’excitation qu’elle provoquait en moi. il n’y avait qu’avec elle que je me permettait parfois un tel vocabulaire. La douceur et la tendresse, ca allait un temps. Parfois, j’avais besoin d’un peu plus pour assouvir la violence qui sommeillait à moi, mais je ne voulais pas trop la brusquer. Je levais une de ses jambes et sans prévenir, je la pénétrais d’un coup de bassin. Un rapide. Trois lents. Deux rapides. Un lent. Un rapide. Deux lents. Je jouais sur l’irrégularité pour la faire gémir et grogner de frustration de ne pas avoir immédiatement ce qu’elle voulait. A genou devant elle, je faisais tout pour lui donner le paradis qu’elle méritait. N’arretes jamais de m’aime, mon amour …
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Re: ShinBae ❤ Ils nous ont fait oublier qu'on s'aimait plus que tout. | Jeu 12 Mai - 21:56 Citer EditerSupprimer
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Re: ShinBae ❤ Ils nous ont fait oublier qu'on s'aimait plus que tout. | Mer 27 Juil - 0:55 Citer EditerSupprimer
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Re: ShinBae ❤ Ils nous ont fait oublier qu'on s'aimait plus que tout. | Mar 11 Oct - 17:17 Citer EditerSupprimer
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Re: ShinBae ❤ Ils nous ont fait oublier qu'on s'aimait plus que tout. | Mer 12 Oct - 14:42 Citer EditerSupprimer
Voir ma femme si réceptive à mes faits et gestes étaient si jouissifs. Qui pouvait se vanter d’avoir une petite femme à la fois aussi douce qu’un chaton et aussi sauvage qu’une tigresse au lit ? Elle voulait que je me laisse aller. A ces mots, la bête en moi avait voulu sortir, mais je la maintenais sous surveillance. Si j’en perdais le contrôle, je n’étais pas certains que les conséquences me plairait. Je devais contrôler ma folie, même si elle perçait mes remparts en se laissant voir au travers de mes regards. Les yeux sont le miroir de l’âme disait-on. Cette citation prenait tout son sens dans cette situation. Tapie à la surface de ma peau, elle attendait de pouvoir s’exprimer d’une façon ou d’une autre. Trouver un juste milieu. L’idée des menottes me semblaient une bonne alternative. Et ca avait l’air de ravir BoBae. On ne va pas se le cacher, c’était assez nouveau. Deux ans qu’on cherche à se retrouver de cinq années d’absence. On y allait doucement, cherchant encore ce que l’autre aimait. Douceur et tendresse était souvent au rendez-vous. J’avais tellement peur de la blesser en faisant quelque chose de travers qu’il m’arrivait souvent de me retenir dans mes gestes. Je m’abstenais à être trop fougueux, trop passionné. Il y avait parfois des dérapés, mais je me rattrapais. Je voulais que ma femme se sente reine, qu’elle soit telle la dame qu’elle n’avait jamais pu être, maintenant mes propres envies de côté. Mais peut être que je me trompais ? Peut-être qu’elle attendait que cela, que je me libère, au fond ? Je ris sur un ton franc qu’elle gémit en sentant la froideur du métal coulé sur son corps parcourut de frissons. Et quand elle répondit à l’affirmation face à ma demande, un sourire élargit mes lèvres alors que j’avançais vers elle à quatre pattes, alors que la féline m’entravait de ses jolies jambes. « Hé là ! C’est toi ma prisonnière, pas l’inverse. » Je ris doucement, venant caresser ses cuisses, y déposant un baiser avant de me pencher en avant et de grogner alors qu’elle s’attaquait à mon coup. Délicatement, j’attrapais un de ses poignets autour du quel je mis le premier lien. Je le passais par un des barreaux de lit et fit de même avec sa deuxième main. La manœuvre ne fut pas facile, car la chipie ne cessait de me déconcentrer. Ainsi prisonnière de ses liens, je caressais les courbes de son corps, déposant un collier de baiser autour de son cou pour y laisser ma marque bien en vue. J’attrapais ensuite ses lèvres que je mordis doucement, venant griffer ses flans alors que je la pénétrais à nouveau d’un puissant coup de bassin que j’en tremblais presque. J’étouffais un de ses gémissements entre mes lèvres, un sourire malsain ourlant ma bouche. Je voulais la faire hurler de plaisir au point qu’elle en redemande encore et encore. Ma main libre vint titiller son intimité, accentuant la cadence. Je l’assainis de plusieurs coups de reins bien placés avant de me retirer à nouveau et de descendre accroupis entre ses cuisses. Je levais les yeux vers elle alors que ma langue entreprenait de torturer délicieusement son bouton de chair que je pris en bouche, le léchant, le suçant, le mordant parfois. Je maintenais ses cuisses en place tout en les griffant doucement, laissant de jolies marques rougies. Et pas un seul instant je ne la quittais du regard tel un fauve raffolant de sa proie, qui se délectait du supplice qu’il lui faisait subir.
© charney
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