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Surrounded by darkness, you still there w/ Jiliu ♥
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Re: Surrounded by darkness, you still there w/ Jiliu ♥ | Lun 28 Déc - 18:09 Citer EditerSupprimer
J’avais réussi à m’endormir après un long moment à caler mon souffle sur sa respiration. Je l’écoutais comme une berceuse. Un son régulier et lent qui m’arrachait un sourire rassurant. Poussant un soupire de bien être, témoin que je me laissais aller et que je me relaxais avec lui. Épuisée par les émotions de la soirée je m’endormis rapidement contre lui. Je ne sais pas vraiment combien de temps on a dormi, combien de temps je suis restée contre lui, à lui faire surement mal, mais j’eu l’impression de fermer les yeux pour les rouvrir. J’avais mal à la tête et je frissonnais. Il me secouait légèrement et moi je n’arrivais plus à discerner la réalité de mon rêve. Il était là dans les deux, à me serrer dans ses bras, sauf que ses lèvres se perdaient dans mon cou. J’en rougissais et je riais sous les chatouilles que ça me procurait. Si j’avais un peu de conscience à cet instant je me rendrais compte qu’il était loin d’agir de la même façon dans la réalité et qu’il me fallait me réveiller rapidement. Mais la douceur de mon rêve était trop agréable pour que je puisse vouloir le quitter. Je tentais de grappiller quelques secondes de plus avant de me rendre à l’évidence. Il fallait qu’il se lève. Emergeant enfin. Je me redresse pour lui laisser l’opportunité de se lever à son tour. Je ne sais pas quelle heure il est. Tôt, me cri mon corps mais il est déjà plus de 8h. Ce qui est tard pour moi. Je secoue la tête pour tenter de me réveiller et tourne le visage vers lui. « Pardon je t’ai retenue toute la nuit … » parce qu’au vu de la façon dont j’étais serrée contre lui, il avait peur de chance de pouvoir s’en libérer sans me réveiller.
Je me penchais vers lui pour déposer un baiser sur sa joue pour le remercier. Plus près que je ne l’imaginais je sentis la commissure de ses lèvres frôler la mienne. Pendant une seconde je me demandais ce qu’était cette sensation sur le coin de ma bouche. Réalisant mon erreur et ma maladresse je me recule soudain et bafouille quelques mots incompréhensibles. Si j’avais du mal à me réveiller là je le suis totalement. Repoussant les couvertures je descends du lit à quatre pattes en rougissant. Je cherche un pantalon dans mon sac et ne trouve qu’un legging que j’enfile rapidement pour fuir dans la cuisine. « Je vais te faire du café … » lâchais-je simplement en quittant la pièce. Une fois réfugié dans la cuisine je me maudis. Je grimace en m’insultant de tous les noms. J’espère qu’il n’a rien remarqué … et qu’il ne se dit pas que j’essaye de le séduire. Tu es nulle ma pauvre fille. Je soupire en lançant de quoi lui préparer un petit déjeuné. J’espère qu’il aura le temps de l’avaler … dans le doute je lui fais quelques choses de rapides qu’il pourra emporter. Je me passe de l’eau sur le visage en soupirant, que j’ai au moins l’air un minimum propre. Mes longs cheveux blonds tombant en cascade dans le creux de mon dos je sors le dernier pancake de la poêle que j’empile dans un sachet en plastique avant de lui verser son café dans un thermos. Je prépare tout pour qu’il puisse partir rapidement, osant à peine le croiser. Assise au mini bar pour manger mon assiette de pancake je me cache légèrement derrière mes cheveux. « J’espère que tu n’auras pas de problème au boulot pour hier … » Lui lançais-je en grattant mon doigt gênée.
© BANGERZ
I was scared, but I knew you will be there
ft. jirobbey&liu.
tenue + « Don't be afraid. »
J’avais réussi à m’endormir après un long moment à caler mon souffle sur sa respiration. Je l’écoutais comme une berceuse. Un son régulier et lent qui m’arrachait un sourire rassurant. Poussant un soupire de bien être, témoin que je me laissais aller et que je me relaxais avec lui. Épuisée par les émotions de la soirée je m’endormis rapidement contre lui. Je ne sais pas vraiment combien de temps on a dormi, combien de temps je suis restée contre lui, à lui faire surement mal, mais j’eu l’impression de fermer les yeux pour les rouvrir. J’avais mal à la tête et je frissonnais. Il me secouait légèrement et moi je n’arrivais plus à discerner la réalité de mon rêve. Il était là dans les deux, à me serrer dans ses bras, sauf que ses lèvres se perdaient dans mon cou. J’en rougissais et je riais sous les chatouilles que ça me procurait. Si j’avais un peu de conscience à cet instant je me rendrais compte qu’il était loin d’agir de la même façon dans la réalité et qu’il me fallait me réveiller rapidement. Mais la douceur de mon rêve était trop agréable pour que je puisse vouloir le quitter. Je tentais de grappiller quelques secondes de plus avant de me rendre à l’évidence. Il fallait qu’il se lève. Emergeant enfin. Je me redresse pour lui laisser l’opportunité de se lever à son tour. Je ne sais pas quelle heure il est. Tôt, me cri mon corps mais il est déjà plus de 8h. Ce qui est tard pour moi. Je secoue la tête pour tenter de me réveiller et tourne le visage vers lui. « Pardon je t’ai retenue toute la nuit … » parce qu’au vu de la façon dont j’étais serrée contre lui, il avait peur de chance de pouvoir s’en libérer sans me réveiller.
Je me penchais vers lui pour déposer un baiser sur sa joue pour le remercier. Plus près que je ne l’imaginais je sentis la commissure de ses lèvres frôler la mienne. Pendant une seconde je me demandais ce qu’était cette sensation sur le coin de ma bouche. Réalisant mon erreur et ma maladresse je me recule soudain et bafouille quelques mots incompréhensibles. Si j’avais du mal à me réveiller là je le suis totalement. Repoussant les couvertures je descends du lit à quatre pattes en rougissant. Je cherche un pantalon dans mon sac et ne trouve qu’un legging que j’enfile rapidement pour fuir dans la cuisine. « Je vais te faire du café … » lâchais-je simplement en quittant la pièce. Une fois réfugié dans la cuisine je me maudis. Je grimace en m’insultant de tous les noms. J’espère qu’il n’a rien remarqué … et qu’il ne se dit pas que j’essaye de le séduire. Tu es nulle ma pauvre fille. Je soupire en lançant de quoi lui préparer un petit déjeuné. J’espère qu’il aura le temps de l’avaler … dans le doute je lui fais quelques choses de rapides qu’il pourra emporter. Je me passe de l’eau sur le visage en soupirant, que j’ai au moins l’air un minimum propre. Mes longs cheveux blonds tombant en cascade dans le creux de mon dos je sors le dernier pancake de la poêle que j’empile dans un sachet en plastique avant de lui verser son café dans un thermos. Je prépare tout pour qu’il puisse partir rapidement, osant à peine le croiser. Assise au mini bar pour manger mon assiette de pancake je me cache légèrement derrière mes cheveux. « J’espère que tu n’auras pas de problème au boulot pour hier … » Lui lançais-je en grattant mon doigt gênée.
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Re: Surrounded by darkness, you still there w/ Jiliu ♥ | Lun 28 Déc - 22:07 Citer EditerSupprimer ft. liubby&jiro.
« Ce n'est rien. » Une main glissée contre l'une de mes joues, le regard quelque peu surpris. Je ne pouvais guère évincer l'idée qu'à quelques millimètres près, mes lippes auraient rencontrées les tiennes. Cette soudaine proximité me prenait quelque peu au dépourvu... Me poussant, alors, à rejoindre rapidement mon antre, tout du moins, plus communément connu sous l'appellation de « chambre ». Plongée au travers d'une obscurité sans nom, je me contentais d'appuyer férocement contre l'interrupteur afin de déclencher une source de lumière convenable avant que je ne puisse me permettre de vaquer à ce rituel matinal auquel je m'adonnais chaque jour. Ôtant ces quelconques vêtements collés à ma peau, je me retrouvais bien vite en sous-vêtements. Emportant avec moi ces nouveaux vêtements que je porterais en cette journée, je prenais la fuite au sein de la salle de bains afin de glisser sous ce simple et unique jet d'eau qui parviendrais à m'offrir ce sentiment de réconfort et d'éveil dont j'avais cruellement besoin.
« Ah. Bordel. » Ce léger murmure traversait mes lippes tandis que je me retrouvais finalement face à cette image que je reflétais au travers de ce miroir qui se trouvait, quant à lui, face à ma personne. Ces légères cernes nichées sous mes yeux. Cette mine fatiguée scotchée à mon faciès. Il est inévitable : je ne pouvais aucunement faire autrement que d'user de multiples stratagèmes en osant faire l'utilisation de ce maquillage masculin acheté au préalable afin de parfaire cette image que j'offrais de ma personne à l'égard d'autrui. Aussi étrange cela pouvait-il être, la population masculine asiatique semblait – au fil du temps – prendre d'avantage possession de ces créations magiques qui étaient auparavant uniquement destinées à la gent féminine. Stéréotypes balayés. Nous entrions à notre tour dans la cour des grands en matière de beauté et du simple fait de « prendre soin de sa personne ».
C'est alors, à la suite d'un simple coup de peigne et vêtements enfilés que je daignais sortir de cette pièce afin de parvenir à te rejoindre. Tu avais repris tes habitudes et ton rôle au sein de cette bâtisse. Petit-déjeuné offert et préparé pour un éventuel départ précipité je ne pouvais qu'être agréablement surpris de par ce fait. Moi qui avais pris la mauvaise habitude de me contenter d'un simple café et d'une dose de nicotine matinale, ces mauvaises habitudes semblaient être légèrement bousculés en cette matinée quelque peu spéciale. J'appréciais cette initiative et pris soin de te remercier. « Je n'ai jamais pris la fuite en plein travail avant hier, je suppose que je serais pleinement pardonné. S'il le faut, j'userais de mes charmes afin de soudoyer cette femme si désagréable qui osera me réprimander. » Te gratifiant d'un léger sourire et d'un doux ricanement suite à ces simples propos, je pris la peine de prendre un sac avec moi afin de glisser ces préparations au sein de celui-ci. Bientôt neuf heures.
J'allais être en retard. Et pourtant... Résidait en moi le désir de rester en ces lieux.
« Oh, suis-je bête. J'allais oublier. Puisque tu m'as promis de passer à la boutique, un jour, ce jour est arrivé. Je veux te voir, aujourd'hui, vers onze heures, sans faute. »
Cet ordre qui semblait en être véritablement un, énoncé, je pris une nouvelle fois la fuite tout en énonçant l'idée que j'allais véritablement finir par être en retard si je persistais à vouloir prolonger cette discussion, c'est donc, tout naturellement que je me retrouvais à l'extérieur. N'optant aucunement pour l'idée d'utiliser ma force physique afin de me déplacer jusqu'à la boutique en question, je pris l'initiative d'utiliser le moyen de locomotion le plus efficace dans ce type de cas : ma voiture.
Voiture, qui, de toute évidence, me mena en ces lieux en quelques minutes, seulement. Ce qui me valut un retard bien moins important qu'il n'aurait pu l'être. Et pourtant, je sentais les regards surpris de mes camarades se diriger vers ma personne lorsque je fis mon entrée en ces lieux. Bien vite interpellé par cette femme qui dirigeait ces lieux, je me poussais à croire que mes capacités de persuasion allaient devoir m'aider et me sortir de cette mauvaise passe.
© BANGERZ
baby, i'm preying on you tonight.
nouvelle tenue + « get some air. »
« Ce n'est rien. » Une main glissée contre l'une de mes joues, le regard quelque peu surpris. Je ne pouvais guère évincer l'idée qu'à quelques millimètres près, mes lippes auraient rencontrées les tiennes. Cette soudaine proximité me prenait quelque peu au dépourvu... Me poussant, alors, à rejoindre rapidement mon antre, tout du moins, plus communément connu sous l'appellation de « chambre ». Plongée au travers d'une obscurité sans nom, je me contentais d'appuyer férocement contre l'interrupteur afin de déclencher une source de lumière convenable avant que je ne puisse me permettre de vaquer à ce rituel matinal auquel je m'adonnais chaque jour. Ôtant ces quelconques vêtements collés à ma peau, je me retrouvais bien vite en sous-vêtements. Emportant avec moi ces nouveaux vêtements que je porterais en cette journée, je prenais la fuite au sein de la salle de bains afin de glisser sous ce simple et unique jet d'eau qui parviendrais à m'offrir ce sentiment de réconfort et d'éveil dont j'avais cruellement besoin.
« Ah. Bordel. » Ce léger murmure traversait mes lippes tandis que je me retrouvais finalement face à cette image que je reflétais au travers de ce miroir qui se trouvait, quant à lui, face à ma personne. Ces légères cernes nichées sous mes yeux. Cette mine fatiguée scotchée à mon faciès. Il est inévitable : je ne pouvais aucunement faire autrement que d'user de multiples stratagèmes en osant faire l'utilisation de ce maquillage masculin acheté au préalable afin de parfaire cette image que j'offrais de ma personne à l'égard d'autrui. Aussi étrange cela pouvait-il être, la population masculine asiatique semblait – au fil du temps – prendre d'avantage possession de ces créations magiques qui étaient auparavant uniquement destinées à la gent féminine. Stéréotypes balayés. Nous entrions à notre tour dans la cour des grands en matière de beauté et du simple fait de « prendre soin de sa personne ».
C'est alors, à la suite d'un simple coup de peigne et vêtements enfilés que je daignais sortir de cette pièce afin de parvenir à te rejoindre. Tu avais repris tes habitudes et ton rôle au sein de cette bâtisse. Petit-déjeuné offert et préparé pour un éventuel départ précipité je ne pouvais qu'être agréablement surpris de par ce fait. Moi qui avais pris la mauvaise habitude de me contenter d'un simple café et d'une dose de nicotine matinale, ces mauvaises habitudes semblaient être légèrement bousculés en cette matinée quelque peu spéciale. J'appréciais cette initiative et pris soin de te remercier. « Je n'ai jamais pris la fuite en plein travail avant hier, je suppose que je serais pleinement pardonné. S'il le faut, j'userais de mes charmes afin de soudoyer cette femme si désagréable qui osera me réprimander. » Te gratifiant d'un léger sourire et d'un doux ricanement suite à ces simples propos, je pris la peine de prendre un sac avec moi afin de glisser ces préparations au sein de celui-ci. Bientôt neuf heures.
J'allais être en retard. Et pourtant... Résidait en moi le désir de rester en ces lieux.
« Oh, suis-je bête. J'allais oublier. Puisque tu m'as promis de passer à la boutique, un jour, ce jour est arrivé. Je veux te voir, aujourd'hui, vers onze heures, sans faute. »
Cet ordre qui semblait en être véritablement un, énoncé, je pris une nouvelle fois la fuite tout en énonçant l'idée que j'allais véritablement finir par être en retard si je persistais à vouloir prolonger cette discussion, c'est donc, tout naturellement que je me retrouvais à l'extérieur. N'optant aucunement pour l'idée d'utiliser ma force physique afin de me déplacer jusqu'à la boutique en question, je pris l'initiative d'utiliser le moyen de locomotion le plus efficace dans ce type de cas : ma voiture.
Voiture, qui, de toute évidence, me mena en ces lieux en quelques minutes, seulement. Ce qui me valut un retard bien moins important qu'il n'aurait pu l'être. Et pourtant, je sentais les regards surpris de mes camarades se diriger vers ma personne lorsque je fis mon entrée en ces lieux. Bien vite interpellé par cette femme qui dirigeait ces lieux, je me poussais à croire que mes capacités de persuasion allaient devoir m'aider et me sortir de cette mauvaise passe.
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Re: Surrounded by darkness, you still there w/ Jiliu ♥ | Mar 29 Déc - 2:08 Citer EditerSupprimer
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I was scared, but I knew you will be there
ft. jirobbey&liu.
tenue + « Don't be afraid. »
Buvant ma tasse de café en le voyant arriver je ne pus m’empêcher de le regarder de haut en bas, terriblement attirant. Il savait comment se mettre en valeur et faire agir son charme. Il était beau. Vraiment beau. Tellement beau. Je me cache derrière mes cheveux pour ne pas avoir l’impression de n’être qu’une ado amourachée de son professeur. Je mordille ma lèvre inférieure appréciant de voir que mon geste lui a plu et dégage un peu mon visage en glissant mes cheveux derrière mon oreille. Je lui souris en acquiesçant. Je me sentirais coupable de savoir qu’il se fait réprimander à cause de moi … Même si les circonstances sont atténuantes, j’espérais que sa supérieure soit dans un bon jour est encline à être conciliante avec lui … Au pire je viendrais présenter mes excuses et lui montrerais les photos de mon appartements pour voir le désastre que c’était. J’étais déjà prête à plaider sa cause et de le sauver. Passant une main sur ma nuque je me tournais vers lui et glissa hors de mon siège un pancake en bouche pour aller déposer ma tasse dans le lave-vaisselle et me tourna vers lui surprise. Vraiment ? Il me demandait de venir le voir au boulot ?! A 11H ? Devant tout le monde ? Pour … Je rougis et acquiesça vivement pour ne pas donner l’air d’être une idiote hébétée. J’ai le cœur qui s’emballe et je souris le regard soudain brillant. Il fait surement ça pour ne pas me laisser seul après un tel choc et je l’en remercie. J’essaye de garder les pieds sur terre et ne pas me faire de fausses idées sur son comportement. Je lui souhaite une bonne matinée joyeusement avant de foncer à la douche. J’ai envie d’être jolie, comme si je rencontrais des gens important pour lui. je frissonne en m’imaginant face à eux …
Lavant mes cheveux, les lissant, les ondulant, je m’assois à la lumière du salon pour me maquiller et noircir mes yeux pour leur donner plus d’intensité. Je fais briller mes lèvres d’un peu de gloss pour parfaire mon apparence. J’espérais ne pas en faire trop … lui qui a l’habitude de me voir après une journée de boulot fatiguée. Il allait me voir sous mon meilleur jour. Je mis un long moment avant de choisir la tenue idéale dans ce que m’avait pris Jiro. La tenue que je voulais était restée à l’appartement. Soufflant je fini par opter pour un pull noir original et un short noir. Mes chaussures feront l’affaire vu que j’avais laissé la plus part de mes escarpins chez moi. L’heure tournait et je ne m’étais pas rendu compte qu’il était déjà aussi tard. J’aurais aimé lui faire à manger mais j’avais préféré prendre du temps pour moi. J’avais même remis du vernis sur tous mes ongles. J’étais parfaite pour pouvoir le rejoindre, je l’espérais tout du moins. Qu’allait-il penser en me voyant ? J’aimerais parfois savoir ce qu’il pense, lui qui n’exprime jamais grand-chose avec son visage. Je me regardais une dernière fois dans le miroir et mis en place mes cheveux. Une touche de maquillage sur mes lèvres surtout et me voilà à partir en direction de sa boutique qu’il m’avait déjà décrite. J’étais un peu nerveuse mais j’avançais comme si de rien n’était. L’air était doux dehors, ce qui me surpris. Mais c’était à mon avantage, j’avais une excuse pour avoir un short en plein hiver.
Arrivée devant la boutique je mis quelques secondes avant de trouver le courage de rentrer. J’aperçus tout de suite Jiro qui était en conversation avec une cliente. Il était encore plus craquant au boulot. Il était si sérieux et si séduisant … Une jeune femme aux cheveux couleur cendre m’accueillit et surprise je lui dis sans réfléchir que je regardais simplement … Pourquoi est-ce que je ne me suis pas présenter, au moins prévenir que je venais voir Jiro ? La timidité m’avait fait dire n’importe quoi. Rougissant je m’enfonce dans une allée où je peux observer Jiro de lui et sourit touchée. Il est beau. Soudain son collègue que je devine être celui qui voulait me voir m’interpella et me demanda si j’avais besoin d’aide. Amusée j’acquiesçais et lui demanda où je pouvais trouver une robe noir pour les fêtes de Noël, je ne sais pas si ça faisait partie de son rôle de vendeur mais il avait l’air vraiment courtois et … enjôleur. Après quelques minutes je finis par lui dire « Vous savez si Jiro est disponible ? Je suis venue pour le voir … » Surpris il ouvre la bouche et se tourne vers son collègue de l’autre côté de l’allée et semble comprendre qui je suis. « Oh … Vous êtes la jeune femme sur snapchat. » Il sourit en me regardant brièvement de haut en bas. « Vous êtes très jolie mademoiselle, c’est le cœur d’un homme sincère qui vous parle. » me lance t il en me faisant un baise main qui me surprit. Gênée je rougie et rit doucement sans savoir quoi lui répondre, bégayant un simple « Merci.. » Il se redressa, avec une tête plus enfantine que j ene l’aurais cru et me dit « Vous l’êtes encore plus en rougissant. »
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Re: Surrounded by darkness, you still there w/ Jiliu ♥ | Mar 29 Déc - 2:55 Citer EditerSupprimer ft. liubby&jiro.
Bien heureusement pour moi, de simples explications ajoutées à de plus plates excuses parvinrent à faire flancher ma responsable. D'un simple hochement de tête et d'un léger sourire, elle se permit de repousser mon être afin de me laisser vaquer à mes occupations premières. Aussi froide pouvait-elle être parfois, elle n'en était pas moins clémente et je ne pouvais que la remercier indéfiniment au travers de mes pensées. Je ne m'imaginais pas une seule seconde perdre ce travail après une simple « erreur ». Aussi important cela pouvait-il être, j'avais toujours été là. Qu'importe le moment, le jour, ou l'heure. J'avais toujours apporté mon aide et offert ma personne face aux moindres demandes de cette femme, ainsi, elle me devait ce pardon. En quelque sorte. Mais c'est sans m'aventurer davantage au travers de ce chemin d’explications nécessaires que je pris l'initiative de rejoindre l'arrière-boutique afin de parvenir à mettre la main sur mes effets personnels. Prenant soin de ranger celles qui semblaient être de trop sur ma personne, c'est après une simple retouche de ma coiffure face à ce miroir bien trop infime pour représenter entièrement mon faciès, que je me sentais fin prêt. Je me devais d'être présentable malgré tout. Ainsi, et au travers d'un encouragement personnel énoncé à l'égard de ma propre personne ; j'osais faire mon retour au sein de la boutique. Endossant ainsi le rôle de vendeur comme je pouvais le faire à mon habitude, c'est malgré tout sous les multiples questionnements de mes camarades que je parvins à me frayer un chemin auprès des clients. Répliquant à l'égard de ceux-ci, que j'avais simplement dû faire face à un problème de dernière minute, cela n'avait guère d'importance à leurs yeux. Ils avaient simplement été inquiets d'un départ si précipité. Après tout. C'était bel et bien la première fois que j'osais agir de la sorte et cela n'avait en aucun cas échappé à leurs réflexions. Aussi idiots pouvaient-ils êtres, parfois, ils n'en étaient pas moins des camarades que je pouvais considérer comme des amis proches. Au fil des mois passés en cette boutique, il est inévitable de créer des liens auprès de ces personnes que je trouvais attachantes, en soi. J'appréciais chacun d'eux. Et ce, malgré l'idée que je ne démontrais que très peu mon intérêt à l'égard de ceux-ci, ils avaient très certainement compris ma manière de fonctionner et d'agir en matière de relations humaines.
Alors, plongé au travers de ce schéma répétitif : je m'occupais de cette horde de clients qui osaient faire, les uns après les autres, leur entrée au sein de cette bâtisse. Aussi différent, que similaire, j'étais parvenus à obtenir les connaissances nécessaires afin de parvenir à sustenter les désirs de ceux-ci sans commettre le moindre faux pas. Aide. Compliments. Travail d'équipe. Tels étaient les maîtres mots de cette « troupe de vendeurs » que nous formions à présent. Chacun possédant une place prédéfinie. Un travail prédéfini. Une attitude à tenir. Ce sourire si professionnel scotché contre mon faciès, je me contentais d'agir avec un certain automatisme, guidé au travers de ces minutes qui défilaient à vitesse grand V sans que je ne parvienne à me rendre compte.
M'occupant simplement d'une cliente qui semblait si difficile au vu de ses choix vestimentaires, je me retrouvais coincé face à cette véritable impasse et calvaire sans parvenir à prendre la fuite. Trop grand. Trop petit. Trop court et j'osais en passer, rien ne semblait convenir à cette jeune femme, et pourtant, je me devais d'agir en conséquence. À mon plus grand regret, par ailleurs. Enfin... C'était sans compter sur la présence de cette jeune femme qui vint se glisser à mes côtés. J'osais croire qu'elle parviendrait à m'apporter son aide. Non, la raison de sa venue semblait être tout autre : démontrant à l'aide de son index une situation qui se déroulait non loin de nous, je parvenais à discerner cette énième présence masculine jouer de ses charmes auprès d'une jeune femme. Rien d’inhabituel, en soi ; pensais-je.
« C'pas la fameuse Miss, là-bas, avec l'autre guignol ? » Ajouta-t-elle finalement. Laissant un doux ricanement se frayer au travers de ses lippes afin de démontrer un certain amusement face à cette situation qui semblait m'avoir échappé. « À l'évidence, oui. » Ces mots extirpés de mes pensées, je me délestais de ma tache afin d'intervenir. De la manière la plus amicale qu'il soit : un bras glissé contre les épaules de l'homme en question, une taquinerie glissée suite à mon arrivée, un large sourire arboré, je repris la parole avec le plus grand des calmes. « Travail et drague ne font pas bon ménage. Tu devrais l'avoir appris à tes dépens, me trompe-je ? Elle garde toujours un œil sur toi. Tu devrais te méfier. »
Tel un vautour perché sur son arbre. Elle observait. Observait nos moindres faits et gestes, se trouvant là, non loin de nous, jetant un œil sur chacune de nos actions au travers de cette journée de travail afin de juger si nous étions véritablement aptes à rester en ces lieux en tant qu’employés. Sans quoi, un remplacement se verrait réalisé. C'est d'ailleurs... La seule et unique raison qui parviendrait à faire fuir cet homme sans que je n'aie à argumenter davantage face à ce simple fait.
« Désolé. Il n'est pas toujours comme ça, mais. Il apprécie malgré tout les jeunes femmes et ne peut s'empêcher d'agir de la sorte lorsque l'une d'elles ose lui « taper dans l’œil » comme il dit si bien. »
Balayant vulgairement ma chevelure vers l'arrière de mon crâne, je semblais malgré tout quelque peu gêné face à un tel enchaînement d'actions. Pourquoi diable avais-je réagi si... Facilement face à la simple vue de l'une de mes connaissances portant un intérêt à l'égard de ta personne ? Je ne pouvais qu'être fier d'un tel engouement. Et pourtant. Je n'appréciais que très peu cette idée. Tout du moins, concernant la gent masculine. Allez savoir pourquoi. Je me retrouvais gêné... Gêné d'avoir agi ainsi. Mais aussi, de ta présence en ces lieux. C'était une grande première, après tout.
© BANGERZ
baby, i'm preying on you tonight.
nouvelle tenue + « get some air. »
Bien heureusement pour moi, de simples explications ajoutées à de plus plates excuses parvinrent à faire flancher ma responsable. D'un simple hochement de tête et d'un léger sourire, elle se permit de repousser mon être afin de me laisser vaquer à mes occupations premières. Aussi froide pouvait-elle être parfois, elle n'en était pas moins clémente et je ne pouvais que la remercier indéfiniment au travers de mes pensées. Je ne m'imaginais pas une seule seconde perdre ce travail après une simple « erreur ». Aussi important cela pouvait-il être, j'avais toujours été là. Qu'importe le moment, le jour, ou l'heure. J'avais toujours apporté mon aide et offert ma personne face aux moindres demandes de cette femme, ainsi, elle me devait ce pardon. En quelque sorte. Mais c'est sans m'aventurer davantage au travers de ce chemin d’explications nécessaires que je pris l'initiative de rejoindre l'arrière-boutique afin de parvenir à mettre la main sur mes effets personnels. Prenant soin de ranger celles qui semblaient être de trop sur ma personne, c'est après une simple retouche de ma coiffure face à ce miroir bien trop infime pour représenter entièrement mon faciès, que je me sentais fin prêt. Je me devais d'être présentable malgré tout. Ainsi, et au travers d'un encouragement personnel énoncé à l'égard de ma propre personne ; j'osais faire mon retour au sein de la boutique. Endossant ainsi le rôle de vendeur comme je pouvais le faire à mon habitude, c'est malgré tout sous les multiples questionnements de mes camarades que je parvins à me frayer un chemin auprès des clients. Répliquant à l'égard de ceux-ci, que j'avais simplement dû faire face à un problème de dernière minute, cela n'avait guère d'importance à leurs yeux. Ils avaient simplement été inquiets d'un départ si précipité. Après tout. C'était bel et bien la première fois que j'osais agir de la sorte et cela n'avait en aucun cas échappé à leurs réflexions. Aussi idiots pouvaient-ils êtres, parfois, ils n'en étaient pas moins des camarades que je pouvais considérer comme des amis proches. Au fil des mois passés en cette boutique, il est inévitable de créer des liens auprès de ces personnes que je trouvais attachantes, en soi. J'appréciais chacun d'eux. Et ce, malgré l'idée que je ne démontrais que très peu mon intérêt à l'égard de ceux-ci, ils avaient très certainement compris ma manière de fonctionner et d'agir en matière de relations humaines.
Alors, plongé au travers de ce schéma répétitif : je m'occupais de cette horde de clients qui osaient faire, les uns après les autres, leur entrée au sein de cette bâtisse. Aussi différent, que similaire, j'étais parvenus à obtenir les connaissances nécessaires afin de parvenir à sustenter les désirs de ceux-ci sans commettre le moindre faux pas. Aide. Compliments. Travail d'équipe. Tels étaient les maîtres mots de cette « troupe de vendeurs » que nous formions à présent. Chacun possédant une place prédéfinie. Un travail prédéfini. Une attitude à tenir. Ce sourire si professionnel scotché contre mon faciès, je me contentais d'agir avec un certain automatisme, guidé au travers de ces minutes qui défilaient à vitesse grand V sans que je ne parvienne à me rendre compte.
Mais... La réalité repris bien vite le dessus sur cette inattention dont je faisais part.
M'occupant simplement d'une cliente qui semblait si difficile au vu de ses choix vestimentaires, je me retrouvais coincé face à cette véritable impasse et calvaire sans parvenir à prendre la fuite. Trop grand. Trop petit. Trop court et j'osais en passer, rien ne semblait convenir à cette jeune femme, et pourtant, je me devais d'agir en conséquence. À mon plus grand regret, par ailleurs. Enfin... C'était sans compter sur la présence de cette jeune femme qui vint se glisser à mes côtés. J'osais croire qu'elle parviendrait à m'apporter son aide. Non, la raison de sa venue semblait être tout autre : démontrant à l'aide de son index une situation qui se déroulait non loin de nous, je parvenais à discerner cette énième présence masculine jouer de ses charmes auprès d'une jeune femme. Rien d’inhabituel, en soi ; pensais-je.
« C'pas la fameuse Miss, là-bas, avec l'autre guignol ? » Ajouta-t-elle finalement. Laissant un doux ricanement se frayer au travers de ses lippes afin de démontrer un certain amusement face à cette situation qui semblait m'avoir échappé. « À l'évidence, oui. » Ces mots extirpés de mes pensées, je me délestais de ma tache afin d'intervenir. De la manière la plus amicale qu'il soit : un bras glissé contre les épaules de l'homme en question, une taquinerie glissée suite à mon arrivée, un large sourire arboré, je repris la parole avec le plus grand des calmes. « Travail et drague ne font pas bon ménage. Tu devrais l'avoir appris à tes dépens, me trompe-je ? Elle garde toujours un œil sur toi. Tu devrais te méfier. »
Tel un vautour perché sur son arbre. Elle observait. Observait nos moindres faits et gestes, se trouvant là, non loin de nous, jetant un œil sur chacune de nos actions au travers de cette journée de travail afin de juger si nous étions véritablement aptes à rester en ces lieux en tant qu’employés. Sans quoi, un remplacement se verrait réalisé. C'est d'ailleurs... La seule et unique raison qui parviendrait à faire fuir cet homme sans que je n'aie à argumenter davantage face à ce simple fait.
« Désolé. Il n'est pas toujours comme ça, mais. Il apprécie malgré tout les jeunes femmes et ne peut s'empêcher d'agir de la sorte lorsque l'une d'elles ose lui « taper dans l’œil » comme il dit si bien. »
Balayant vulgairement ma chevelure vers l'arrière de mon crâne, je semblais malgré tout quelque peu gêné face à un tel enchaînement d'actions. Pourquoi diable avais-je réagi si... Facilement face à la simple vue de l'une de mes connaissances portant un intérêt à l'égard de ta personne ? Je ne pouvais qu'être fier d'un tel engouement. Et pourtant. Je n'appréciais que très peu cette idée. Tout du moins, concernant la gent masculine. Allez savoir pourquoi. Je me retrouvais gêné... Gêné d'avoir agi ainsi. Mais aussi, de ta présence en ces lieux. C'était une grande première, après tout.
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Re: Surrounded by darkness, you still there w/ Jiliu ♥ | Mar 29 Déc - 3:22 Citer EditerSupprimer
I was scared, but I knew you will be there
ft. jirobbey&liu.
tenue + « Don't be afraid. »
C’était à la fois gênant et plaisant de voir son collègue me draguer si ouvertement. C’était un jeu pour lui ? Parfois je me le demandais. C’était amusant, me demandant jusqu’où il serait capable d’aller et surtout, comment le vivrait Jiro ? Je le fixais avec un sourire gênée et récupéra ma main sans avoir l’air d’une sauvage qui refuse d’être touchée. Je n’eus pas le temps de tourner mon visage pour chercher Jiro du regard qu’il apparut dans mon champ de vision se chargeant de rapidement faire disparaitre son collègue. Ce dernier s’éclipsa après un dernier clin d’œil dans ma direction et m’arracha un sourire alors que je levais mon regard, qui ne voyait pourtant que Jiro, dans la direction de mon ami. Je ne savais pas quoi lui dire et ses propos me firent rire. « Oh ? vraiment ? Je lui plais … étrange. » Je regardais autour de nous en touchant quelques vêtements et les trouva magnifique. Ce n’est quand voyant le prix sur l’étiquette que je me rendis compte qu’une boutique de luxe portait vraiment son nom. Si cher. Si exorbitant pour ma simple personne qui subvenait à ses besoins avec quelques ménages et autres petits boulots pour arrondir mes fins de mois. « La boutique est magnifique … » Un blanc nacré et épuré, quelques touches de marbre et d’or, par ci par là rendait le tout classe, reposant et agréable à regarder. Mais dans cette boutique je me sentais loin d’être à ma place. Mes vêtements me firent presque honte et je détournais le visage en rougissant repoussant l’étiquette discrètement. Les vêtements sont si beaux ici …
M’avançant dans l’allée je regarde les robes qui s’y trouvent et décrochent certaines d’elles pour mieux les regarder demandant des conseils à Jiro, testant ses qualités de vendeur. Après quelques instants je finis par me tourner vers lui « Tu pourrais me faire acheter n’importe quoi tu sais ça ? » riais-je en reposant une énième robe. « Tu as un don pour ça … et tu sais de quoi tu parles, ça se sent. Tu mets en confiance. » Assurais-je le couvrant de compliments bien mérités. Passant une main sur son torse pour lui retirer une peluche je relevais la visage vers lui troublé de me retrouver dans cet univers qui est le sien. « C’est étrange de t’imagine ici tous les jours … répondant aux demandes et exigences de certains client qui n’ont pas l’air … de bonne humeur. » Au détour d’une allée je tombe sur une robe coraye. Un tissu fin, soyeux, qui glisse entre mes doigts. Si belle … J’ose à peine l’effleurer du bout du doigt. Elle est magnifique. Rougissant je me tourne vers lui « Tu crois que je peux l’essayer … ? » me risquais à demander avec une certaine impatience que je contenais. Ravi de voir que cette chance m’était permise je lui donnais ma taille, si fine, et le suivis rapidement jusqu’à la cabine où je m’engouffrais. « Tu restes ici d’accord ? » demandais-je comme une enfant qui apeuré de se retrouver seule dans un endroit qu’il ne connait pas. Dans ma précipitation je ne voyais pas que le rideau était mal fermé et je commençais à me déshabiller rapidement.
Sans apercevoir que ce bout de rideaux entrouvert laissait apparaitre son corps à quiconque se plaçait dans le couloir à la bonne hauteur, elle releva ses cheveux négligemment offrant un aperçu de ses courbes harmonieuses et délicieuses à regarder. C’était d’ailleurs le genre de spectacle que ce collègue ne se privait pas de regarder. Juste quelques secondes, sans être grossier ou importun, seulement hypnotisés par la peau nacré et pâle de la jeune chinoise. Il se tourna vers Jiro et lui souffla rapidement « C’est vraiment une très jolie fille, vous êtes amis ? Vous êtes quoi ? Parce que si tu me l’accordes, j’aimerais pouvoir passer du temps avec elle. » Et c’est après ses mots, quelques secondes tout du moins, que Liu passa la tête à travers le rideau, sans s’imagine un instant de la scène qui venait de se dérouler. « Jiro … ? Tu peux m’aide s’il te plait, la fermeture coince … » Lui faisant signe d’approcher, je me mis dos aux rideaux pour qu’il puisse avec accès à ma chute de rein dénudée que cette robe ne tarderait pas à cacher grâce à ses soins. Remonter la fermeture suffisait à cacher mon corps. J’avais retiré mon soutient gorge et rabattu mes cheveux d’un côté de mon visage lui offrant à loisir l’opportunité de m’aider dans me blesser. La tête légèrement penchée je patientais sagement lissant cette robe sous mes doigts qui me paraissait bien trop pour moi.
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Re: Surrounded by darkness, you still there w/ Jiliu ♥ | Mar 29 Déc - 15:25 Citer EditerSupprimer ft. liubby&jiro.
« Oh, vraiment... Je lui plais ? Étrange... » Non, Liu. Cela n'avait rien d'étrange. Je me ravisais du moindre commentaire, néanmoins, je n'en pensais pas moins. Une jeune femme telle que toi ne pouvait aucunement laisser la gent masculine indifférente. Quel que soit l'homme en question face à toi. Les standards de beauté asiatique se retrouvaient bien vite balayés au tréfonds de nos esprits lorsque tu osais faire ton apparition. Cette peau, blanche, immaculée. Cette longue chevelure. Cette mine enjouée et enfantine scotchée à ton faciès qui, déconnectait totalement avec ces vêtements quelque peu suggestifs que tu osais porter. Et tout cela : l'air de rien. Peut-être n'avais-tu pas conscience de ces simples faits... Peut-être était-ce l'un des faits qui poussaient davantage ton charme face auquel aucun homme parviendrait à rester impassible. Peut-être, oui. Cependant, cela semblait me déranger quelque peu. Non pas que ta personne puisse m'appartenir, loin de là. Mais j'avais un certain engouement à l'égard des hommes qui osaient agir de la sorte à la distinction de ta personne.
C'est donc, au travers d'un doux instant de partage entre « cliente et vendeur » que nous prolongions cette nouvelle rencontre au travers de cette journée qui allait – très certainement – s'annoncer haute en couleur. Arborant ainsi, cette image professionnelle que j'osais afficher face à la moindre jeune femme qui osait se frayer un chemin au sein de cette bâtisse, je me contentais d'exprimer mon avis face à chacune des pièces qui osaient se frayer un chemin au creux de tes mains. Que ce soit au travers de multiples compliments, attentions, ou conseils, je me devais d'agir ainsi. Tel était mon travail, aussi idiot cela pouvait-il être d'après certains. « J'ai souvent cru entendre que mes dons des vendeurs faisaient défaut aux clientes qui pensaient ne rien acheter en passant le pas de la porte. Ce qui, en soi, est un compliment que j'apprécie grandement. » Gratifiant ces propos d'un léger sourire. Il est vrai que malgré mon avenir qui semblait avoir été tout tracé suite à ma naissance, j'appréciais l'idée de travailler en ces lieux. Tel un homme convenable. Ce qu'il y a de plus « normal » au fond. J'appréciais cette simple vision du monde et des choses que ce train de vie parvenait à m'offrir et, au travers d'un certain point de vue, je me retrouvais à souhaiter uniquement celui-ci. Balayer ces idées noires que mon paternel osait créer au travers de mon esprit. Balayer cet homme. Balayer ces ordres. Balayer chaque fait qui parvenait à me remémorer mon véritable statut au sein de cette communauté. Je n'étais pas un homme parmi tant d'autres. J'étais cet homme. Cet homme voué à reprendre le flambeau de ce fléau.
Quelle ironie du sort. Moi qui osais rêver d'une vie, tout ce qu'il y a de plus « normale », je me retrouvais à devoir diriger au creux de mes propres mains et de mes paroles un véritable Empire infâme. Pourris jusqu'à la moindre personne osant se frayer un chemin au travers de ce groupe d'hommes.
Je maudissais intérieurement ce destin qui avait daigné m'offrir cela à ma naissance.
« Tu sais, Liu. J'ai pris l'habitude, et puis... Pour une fois, tu m'as sauvé. J'étais justement face à un cas des plus irritables qui soit, mais je l'ai offert à Hana. Avec toute ma gratitude. Elle me fusille du regard depuis quelques minutes, déjà, ahah. » D'un simple ricanement, j'osais jeter un coup d’œil à l'égard de cette jeune femme qui allait sûrement m'en vouloir, ou simplement, me quémander un remerciement face à cet acte de bonté. Elle avait toujours été ainsi et je ne pouvais que m'en amuser. « Tu sais. Tu peux essayer chaque vêtement présenté ici. Qu'importe ton statut et l'effectif qui se trouve sur ton compte en banque, cela n'a que très peu d'importance. Fais-moi confiance. » Cette robe corail ne pouvait que ravir à la perfection ta personne, après tout.
Et c'est ainsi que nous parvenions à nous retrouver face à ces cabines, et ce, tandis que tu te frayas un chemin au sein de l'une d'entre elles, je me retrouvais bien vite entouré de ces camarades, le tout, ponctué de ces propos quelque peu dérangeant qu'osais m'offrir ce collègue qui semblait pas trop intrigué par ta personne, à mon goût. « Chut. N'ose même pas. Pas une seule seconde. » Usant de ces propos simples, clairs, et nets, c'est malgré tout au travers de cette langue que nous partagions en commun que j'avais pris soin de m'exprimer. Sous l’incompréhension de celui-ci et l’abandon de parvenir à comprendre, il démontra simplement un air mécontentement face à ces paroles avant qu'il ne parvienne à s'éloigner. « Bien. » Quant à moi, j'osais m'approcher afin de sustenter tes désirs, de la manière la plus professionnel qu'il soit, les fermetures au travers du dos concernant la gent féminine n'avaient – apparemment – plus aucun secret pour moi.
« Je ne peux qu'énoncer l'idée, en toute sincérité tu vas à ravir. Mais, il manque quelque chose. Attends-moi. » Telle une possession de mon corps au travers de cette femme prénommée Cristina Cordula, je me hâtais à la tache de mettre la main sur les accessoires et la paire de chaussures qui allaient parfaire cette tenue. Traversant étalages après, étalages, mes mains s'emplissaient – peu à peu – de ces futilités tandis que mon goût prononcé pour les touches de subtilité osait de nouveau faire surface avant que ne puisse – à nouveau – te rejoindre. « Enfile cela. Tu verras, ce sera... Parfait. »
© BANGERZ
baby, i'm preying on you tonight.
nouvelle tenue + « get some air. »
« Oh, vraiment... Je lui plais ? Étrange... » Non, Liu. Cela n'avait rien d'étrange. Je me ravisais du moindre commentaire, néanmoins, je n'en pensais pas moins. Une jeune femme telle que toi ne pouvait aucunement laisser la gent masculine indifférente. Quel que soit l'homme en question face à toi. Les standards de beauté asiatique se retrouvaient bien vite balayés au tréfonds de nos esprits lorsque tu osais faire ton apparition. Cette peau, blanche, immaculée. Cette longue chevelure. Cette mine enjouée et enfantine scotchée à ton faciès qui, déconnectait totalement avec ces vêtements quelque peu suggestifs que tu osais porter. Et tout cela : l'air de rien. Peut-être n'avais-tu pas conscience de ces simples faits... Peut-être était-ce l'un des faits qui poussaient davantage ton charme face auquel aucun homme parviendrait à rester impassible. Peut-être, oui. Cependant, cela semblait me déranger quelque peu. Non pas que ta personne puisse m'appartenir, loin de là. Mais j'avais un certain engouement à l'égard des hommes qui osaient agir de la sorte à la distinction de ta personne.
C'est donc, au travers d'un doux instant de partage entre « cliente et vendeur » que nous prolongions cette nouvelle rencontre au travers de cette journée qui allait – très certainement – s'annoncer haute en couleur. Arborant ainsi, cette image professionnelle que j'osais afficher face à la moindre jeune femme qui osait se frayer un chemin au sein de cette bâtisse, je me contentais d'exprimer mon avis face à chacune des pièces qui osaient se frayer un chemin au creux de tes mains. Que ce soit au travers de multiples compliments, attentions, ou conseils, je me devais d'agir ainsi. Tel était mon travail, aussi idiot cela pouvait-il être d'après certains. « J'ai souvent cru entendre que mes dons des vendeurs faisaient défaut aux clientes qui pensaient ne rien acheter en passant le pas de la porte. Ce qui, en soi, est un compliment que j'apprécie grandement. » Gratifiant ces propos d'un léger sourire. Il est vrai que malgré mon avenir qui semblait avoir été tout tracé suite à ma naissance, j'appréciais l'idée de travailler en ces lieux. Tel un homme convenable. Ce qu'il y a de plus « normal » au fond. J'appréciais cette simple vision du monde et des choses que ce train de vie parvenait à m'offrir et, au travers d'un certain point de vue, je me retrouvais à souhaiter uniquement celui-ci. Balayer ces idées noires que mon paternel osait créer au travers de mon esprit. Balayer cet homme. Balayer ces ordres. Balayer chaque fait qui parvenait à me remémorer mon véritable statut au sein de cette communauté. Je n'étais pas un homme parmi tant d'autres. J'étais cet homme. Cet homme voué à reprendre le flambeau de ce fléau.
Quelle ironie du sort. Moi qui osais rêver d'une vie, tout ce qu'il y a de plus « normale », je me retrouvais à devoir diriger au creux de mes propres mains et de mes paroles un véritable Empire infâme. Pourris jusqu'à la moindre personne osant se frayer un chemin au travers de ce groupe d'hommes.
Je maudissais intérieurement ce destin qui avait daigné m'offrir cela à ma naissance.
« Tu sais, Liu. J'ai pris l'habitude, et puis... Pour une fois, tu m'as sauvé. J'étais justement face à un cas des plus irritables qui soit, mais je l'ai offert à Hana. Avec toute ma gratitude. Elle me fusille du regard depuis quelques minutes, déjà, ahah. » D'un simple ricanement, j'osais jeter un coup d’œil à l'égard de cette jeune femme qui allait sûrement m'en vouloir, ou simplement, me quémander un remerciement face à cet acte de bonté. Elle avait toujours été ainsi et je ne pouvais que m'en amuser. « Tu sais. Tu peux essayer chaque vêtement présenté ici. Qu'importe ton statut et l'effectif qui se trouve sur ton compte en banque, cela n'a que très peu d'importance. Fais-moi confiance. » Cette robe corail ne pouvait que ravir à la perfection ta personne, après tout.
Et c'est ainsi que nous parvenions à nous retrouver face à ces cabines, et ce, tandis que tu te frayas un chemin au sein de l'une d'entre elles, je me retrouvais bien vite entouré de ces camarades, le tout, ponctué de ces propos quelque peu dérangeant qu'osais m'offrir ce collègue qui semblait pas trop intrigué par ta personne, à mon goût. « Chut. N'ose même pas. Pas une seule seconde. » Usant de ces propos simples, clairs, et nets, c'est malgré tout au travers de cette langue que nous partagions en commun que j'avais pris soin de m'exprimer. Sous l’incompréhension de celui-ci et l’abandon de parvenir à comprendre, il démontra simplement un air mécontentement face à ces paroles avant qu'il ne parvienne à s'éloigner. « Bien. » Quant à moi, j'osais m'approcher afin de sustenter tes désirs, de la manière la plus professionnel qu'il soit, les fermetures au travers du dos concernant la gent féminine n'avaient – apparemment – plus aucun secret pour moi.
« Je ne peux qu'énoncer l'idée, en toute sincérité tu vas à ravir. Mais, il manque quelque chose. Attends-moi. » Telle une possession de mon corps au travers de cette femme prénommée Cristina Cordula, je me hâtais à la tache de mettre la main sur les accessoires et la paire de chaussures qui allaient parfaire cette tenue. Traversant étalages après, étalages, mes mains s'emplissaient – peu à peu – de ces futilités tandis que mon goût prononcé pour les touches de subtilité osait de nouveau faire surface avant que ne puisse – à nouveau – te rejoindre. « Enfile cela. Tu verras, ce sera... Parfait. »
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Re: Surrounded by darkness, you still there w/ Jiliu ♥ | Lun 4 Jan - 21:31 Citer EditerSupprimer
J’aime sa façon de parler, la façon dont ses lèvres bougent. Sa voix grave et ses yeux qui se mettent à briller étrangement quand il s’adresse à moi. Sa prestance me rend accroc et son charisme me rend faible. Je ne devrais pas, je le sais, mais c’est plus fort que moi. Je ne devrais pas sombrer dès que je croise son regard noir ni même avoir le cœur qui bat quand il frôle ma main de ces phalanges. Les comptes de fée n’existent pas, et je n’ai pas le droit de rêver à une fin qui serait contre tous les principes de notre monde. L’amour ne se contrôle pas et jusqu’ici je ne m’étais jamais jeté à corps et âme dans une relation qui n’aboutirait à rien. J’avais toujours su garder le contrôle, garder une certaine distance. Mais qu’est-ce que je pouvais y faire, moi, si dès qu’il approchait j’avais envie d’être dans ses bras. Si chacune de ses blagues m’arrachaient un rire. Si avec lui, je me sentais en sécurité. Si j’avais envie de prendre soin de lui, de trainer un peu pour avoir la chance de le croiser, si je ne résistais jamais en voyant ses sms, ses snaps. Il me rendait dingue et plus les jours avançaient plus je me rendais compte de mon erreur. Je ne peux pas tomber amoureuse de lui, il est le prince de mon histoire et je ne suis que la servante. Jamais on n’a vu une histoire d’amour s’épanouir en partant ainsi. Je veux pouvoir … être libre et j’avais le pressentiment quand succombant à son charme j’allais plus en souffrir qu’autre chose. Un homme riche, qu’importe sa réelle nature, ne peut jamais être longtemps avec une servante. Jamais.
Je chasse ses pensées en me regardant dans le miroir et lisse cette robe qu’il vient de refermer. Si professionnelle, pas un seul geste qui pourrait me laisser penser que je lui plais dans cette robe, pas un seul rapprochement. Un doigt qui trainerait sur ma peau. Un regard un peu trop appuyé dans le revers de ce miroir. Je ne sais pas vraiment ce que je cherche. La folie surement. Jiro doit agir ainsi avec toutes les femmes qu’il croise. Il est juste courtois, polie, gentleman et … parfois il doit juste se sentir seul. Et je suis l’idiote qui succombe à son charme sans même chercher à s’en débattre. Je tombe, je coule, et je me laisse avoir avec un plaisir coupable. Cet homme me plait. Mais cet homme ne veut pas de moi. Dormir toute une nuit allongée à côté de moi sans rien tenter. Me secourir mais agir ainsi comme pour n’importe quelle femme de sa connaissance, j’en étais persuadée. Il prend soin de moi parce qu’il est ce genre d’homme … pas parce que je lui plais, c’est là les conclusions que je tirais sur cette séances essayages. Nous sommes proches, on s’échange beaucoup de sms, parfois même me laissant entendre que je lui manque, qu’il a envie de me voir … mais n’est-il pas simplement un homme qui a besoin de compagnie ? Une part de mystère se cache dans sa vie, comme ces soirs où il discute avec son père il me semble et que je ne comprends pas vraiment le sens de ses propos. Il me perd dans cet océan d’émotions. Et je suis l’idiote qui s’y noie en plongeant.
Je le regarde revenir avec ces bijoux que je passe autour de mon cou et sur mes poignets, agrémentant ici et là mon corps pour sublimer cette robe. Je me regarde et fini par sortir de la cabine pour me voir dans le grand miroir au bout du petit salon d’essayage. Elle est magnifique, bien loin du genre de robe que je peux me permettre, mais l’espace d’un instant je me sens comme une princesse. Je me trouve même jolie et bêtement j’espère que Jiro le pensera aussi, mais quand je me tourne vers lui, sa collègue le prend d’assaut et le supplie de prendre cette cliente insupportable … elle le pousse même jusqu’à la vieille femme qui s’accapare de lui. J’affiche une mine déçu et tripote bêtement les pan de cette robe sans savoir quoi faire. Sa collègue arrive soudain et m’entraine dans une cabine. « Tiens ! Essaye cette robe bustier bleu ciel elle t’ira beaucoup mieux ! Et retire ces bijoux, ne garde que le naturelle, tu es tellement jolie. » Elle sourit et je ne comprends pas son manège, pourquoi me fait-elle faire ça. « Il va t’adorer dans cette robe crois-moi ! » chuchote-t-elle avec un sourire complice. Est-ce que je peux la croire ? Naïvement je décide de suivre son conseil en m’habillant de cette robe dix fois plus magnifique que la précédente et surement trois fois plus cher. Le prix me fit rougir alors qu’il avoisine deux mois de salaires … Je veux lui plaire … alors je fais ce qu’il faut. Je l’enfile et ajuste la tenue alors que la jeune femme entre dans ma cabine pour m’attacher les cheveux légèrement et y glisser quelques fleurs. « Tu es magnifique comme ça … » assure-t-elle comme si elle s’apprêtait à faire le plus merveilleux des cadeaux à quelqu’un. Rougissant je me laisse faire en sentant le tissu soyeux de la robe. C’est beau … et à l’instant où je sors de la cabine, je vois Jiro se tourner vers nous à l’autre bout de l’allée. Dis moi que tu me trouves belle Jiro … ça ravirait un peu plus mon cœur de pauvre idiote amoureuse de tes beaux yeux.
© BANGERZ
I was scared, but I knew you will be there
ft. jirobbey&liu.
Nouvelle Tenue + « Don't be afraid. »
J’aime sa façon de parler, la façon dont ses lèvres bougent. Sa voix grave et ses yeux qui se mettent à briller étrangement quand il s’adresse à moi. Sa prestance me rend accroc et son charisme me rend faible. Je ne devrais pas, je le sais, mais c’est plus fort que moi. Je ne devrais pas sombrer dès que je croise son regard noir ni même avoir le cœur qui bat quand il frôle ma main de ces phalanges. Les comptes de fée n’existent pas, et je n’ai pas le droit de rêver à une fin qui serait contre tous les principes de notre monde. L’amour ne se contrôle pas et jusqu’ici je ne m’étais jamais jeté à corps et âme dans une relation qui n’aboutirait à rien. J’avais toujours su garder le contrôle, garder une certaine distance. Mais qu’est-ce que je pouvais y faire, moi, si dès qu’il approchait j’avais envie d’être dans ses bras. Si chacune de ses blagues m’arrachaient un rire. Si avec lui, je me sentais en sécurité. Si j’avais envie de prendre soin de lui, de trainer un peu pour avoir la chance de le croiser, si je ne résistais jamais en voyant ses sms, ses snaps. Il me rendait dingue et plus les jours avançaient plus je me rendais compte de mon erreur. Je ne peux pas tomber amoureuse de lui, il est le prince de mon histoire et je ne suis que la servante. Jamais on n’a vu une histoire d’amour s’épanouir en partant ainsi. Je veux pouvoir … être libre et j’avais le pressentiment quand succombant à son charme j’allais plus en souffrir qu’autre chose. Un homme riche, qu’importe sa réelle nature, ne peut jamais être longtemps avec une servante. Jamais.
Je chasse ses pensées en me regardant dans le miroir et lisse cette robe qu’il vient de refermer. Si professionnelle, pas un seul geste qui pourrait me laisser penser que je lui plais dans cette robe, pas un seul rapprochement. Un doigt qui trainerait sur ma peau. Un regard un peu trop appuyé dans le revers de ce miroir. Je ne sais pas vraiment ce que je cherche. La folie surement. Jiro doit agir ainsi avec toutes les femmes qu’il croise. Il est juste courtois, polie, gentleman et … parfois il doit juste se sentir seul. Et je suis l’idiote qui succombe à son charme sans même chercher à s’en débattre. Je tombe, je coule, et je me laisse avoir avec un plaisir coupable. Cet homme me plait. Mais cet homme ne veut pas de moi. Dormir toute une nuit allongée à côté de moi sans rien tenter. Me secourir mais agir ainsi comme pour n’importe quelle femme de sa connaissance, j’en étais persuadée. Il prend soin de moi parce qu’il est ce genre d’homme … pas parce que je lui plais, c’est là les conclusions que je tirais sur cette séances essayages. Nous sommes proches, on s’échange beaucoup de sms, parfois même me laissant entendre que je lui manque, qu’il a envie de me voir … mais n’est-il pas simplement un homme qui a besoin de compagnie ? Une part de mystère se cache dans sa vie, comme ces soirs où il discute avec son père il me semble et que je ne comprends pas vraiment le sens de ses propos. Il me perd dans cet océan d’émotions. Et je suis l’idiote qui s’y noie en plongeant.
Je le regarde revenir avec ces bijoux que je passe autour de mon cou et sur mes poignets, agrémentant ici et là mon corps pour sublimer cette robe. Je me regarde et fini par sortir de la cabine pour me voir dans le grand miroir au bout du petit salon d’essayage. Elle est magnifique, bien loin du genre de robe que je peux me permettre, mais l’espace d’un instant je me sens comme une princesse. Je me trouve même jolie et bêtement j’espère que Jiro le pensera aussi, mais quand je me tourne vers lui, sa collègue le prend d’assaut et le supplie de prendre cette cliente insupportable … elle le pousse même jusqu’à la vieille femme qui s’accapare de lui. J’affiche une mine déçu et tripote bêtement les pan de cette robe sans savoir quoi faire. Sa collègue arrive soudain et m’entraine dans une cabine. « Tiens ! Essaye cette robe bustier bleu ciel elle t’ira beaucoup mieux ! Et retire ces bijoux, ne garde que le naturelle, tu es tellement jolie. » Elle sourit et je ne comprends pas son manège, pourquoi me fait-elle faire ça. « Il va t’adorer dans cette robe crois-moi ! » chuchote-t-elle avec un sourire complice. Est-ce que je peux la croire ? Naïvement je décide de suivre son conseil en m’habillant de cette robe dix fois plus magnifique que la précédente et surement trois fois plus cher. Le prix me fit rougir alors qu’il avoisine deux mois de salaires … Je veux lui plaire … alors je fais ce qu’il faut. Je l’enfile et ajuste la tenue alors que la jeune femme entre dans ma cabine pour m’attacher les cheveux légèrement et y glisser quelques fleurs. « Tu es magnifique comme ça … » assure-t-elle comme si elle s’apprêtait à faire le plus merveilleux des cadeaux à quelqu’un. Rougissant je me laisse faire en sentant le tissu soyeux de la robe. C’est beau … et à l’instant où je sors de la cabine, je vois Jiro se tourner vers nous à l’autre bout de l’allée. Dis moi que tu me trouves belle Jiro … ça ravirait un peu plus mon cœur de pauvre idiote amoureuse de tes beaux yeux.
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Re: Surrounded by darkness, you still there w/ Jiliu ♥ | Lun 4 Jan - 22:07 Citer EditerSupprimer ft. liubby&jiro.
Ce goût si désagréable qu'est celui de l'amertume que je pouvais discerner au travers de mon esprit lorsque cette jeune femme parvint à faire irruption au sein de cet agréable qui se déroulait entre ma personne et la tienne. Me poussant à rejoindre cette femme que j'avais auparavant abandonnée pour un conseil davantage féminin venait de faire à nouveau apparition sous mes yeux. Que pouvais-je bien dire ? Que faire face a cette impasse . Je me contentais de balayer ma chevelure vers l'arrière de mon crâne tandis que mon regard ne cessait de se jeter vaguement envers ses multiples cabines d'essayage qui paraissaient à présent... Si loin. « Très cher, pourriez-vous me conseiller, une énième fois ? » Avais-je véritablement le choix ? Je maudissais intérieurement cette femme. Néanmoins, j'arborais cet air professionnel et enjoue afin de parvenir à convenir à ses attentes. Tenues. Pièces spéciales. Accessoires et, j'ose en passer. Je parvenais difficilement à discerner les goûts de cette jeune femme. Bien trop occupé à jeter de simple coup d’œil en direction de ma droite afin de discerner ce qu'il se trimait au travers de ce qui s'avérait être hors de m'a porté. « Jeune homme ? » Une main glissée à l'égard de mon faciès me fit automatiquement réagir. Me poussant à reporter mon attention envers cette quelconque cliente quelque peu difficile. Je m'excusais bien vite de cette inattention avant que je ne puisse me permettre de reprendre ce doux calvaire. Parcourant inlassablement les rayons mis en place afin de mettre la main sur ces fameuses pièces qui parviendraient à attirer l'attention de cette femme en question. Je lui proposai, bien vite, d'aller essayer tout ceci au sein d'une cabine afin de parvenir à se faire un avis convenable sur l'achat, ou non, de ces fameuses pièces. De toutes évidences... C'était uniquement un moyen efficace afin de parvenir à m'approcher de nouveau. Et ce, tandis que la créatrice de mes tourments osait – à nouveau – me rendre fébrile face à cet essayage. Cette robe était l'une des pièces les plus agréables de la collection. Produite en seulement une dizaine d'exemplaires, je ne pouvais aucunement dénigrer l'idée que tu portais celle-ci à ravir.
Tout naturellement, je gratifiais cet essayage d'un large sourire tandis qu'un doux murmure se laissait entendre. « Magnifique. Vraiment, vraiment. » Ces simples mots énoncés au travers de cette langue que seuls nous parvenions à comprendre, je me contentais d'agir. L'air de rien. Vêtements sous les bras tandis que je restais là, non loin de ta personne et de cette chère amie qui ne cessait de vouloir te pousser au travers de cette cabine afin de parvenir à te faire essayer toute sorte de tenue. Telle une enfant face à sa poupée, elle semblait reprendre du poil de la bête. Il est inévitable que j'aurais – moi-même – favoriser l'idée de m'occuper d'une cliente telle que toi, plutôt que cette femme. Mais, le destin en avait décidé ainsi. Usant de charmes quelconques afin de faire fléchir celle-ci sous les choix quelque peu judicieux que j'avais pu faire, je ne manquais pas d'énoncer l'idée que ce vêtement lui allait à ravir. Un semblant de sincérité. Le secret de tout vendeur afin de parvenir à se débarrasser de cet être si désagréable qui ose leur coller à la peau.
« Hana. » Soufflais-je vulgairement, à de multiples reprises tandis que celle-ci semblait si intéressée par l'idée de te faire essayer une bonne partie de la boutique. « Hana, bordel. » Cette jeune femme ne manquait pas d'ignorer « naïvement » mes appels avant que je puisse me permettre d'agripper l'un de ses bras afin de parvenir à captiver son attention. « Ne joue pas l'innocente... Je n'ai pas l'intention de m'occuper de cette femme toute la mâtiné. Rends-moi ma « cliente », débrouilles toi avec la tienne. Refile là à l'autre idiot, que sais-je. » De simple murmures glissés au creux de l'une de ses oreilles. Un sourire amusé, elle ne manquait pas de se moquer de moi au travers de ces simples paroles que j'avais osé lui offrir tandis qu'elle me gratifiait d'une tape contre l'une de mes épaules. « J'ai compris le message Monsieur Zhang Jiro, mais... Attendez-nous pour manger, ce midi. Sinon, fait gaffe à ton cul, je te préviens. »
Si fin. Si doux. Elle ne manquait pas de franchise.
« Liu, je suis vraiment désolé pour tout ce... Bazar. Si je puis dire. Elle ne t'a pas trop ennuyée, j'espère ? »
© BANGERZ
baby, i'm preying on you tonight.
nouvelle tenue + « get some air. »
Ce goût si désagréable qu'est celui de l'amertume que je pouvais discerner au travers de mon esprit lorsque cette jeune femme parvint à faire irruption au sein de cet agréable qui se déroulait entre ma personne et la tienne. Me poussant à rejoindre cette femme que j'avais auparavant abandonnée pour un conseil davantage féminin venait de faire à nouveau apparition sous mes yeux. Que pouvais-je bien dire ? Que faire face a cette impasse . Je me contentais de balayer ma chevelure vers l'arrière de mon crâne tandis que mon regard ne cessait de se jeter vaguement envers ses multiples cabines d'essayage qui paraissaient à présent... Si loin. « Très cher, pourriez-vous me conseiller, une énième fois ? » Avais-je véritablement le choix ? Je maudissais intérieurement cette femme. Néanmoins, j'arborais cet air professionnel et enjoue afin de parvenir à convenir à ses attentes. Tenues. Pièces spéciales. Accessoires et, j'ose en passer. Je parvenais difficilement à discerner les goûts de cette jeune femme. Bien trop occupé à jeter de simple coup d’œil en direction de ma droite afin de discerner ce qu'il se trimait au travers de ce qui s'avérait être hors de m'a porté. « Jeune homme ? » Une main glissée à l'égard de mon faciès me fit automatiquement réagir. Me poussant à reporter mon attention envers cette quelconque cliente quelque peu difficile. Je m'excusais bien vite de cette inattention avant que je ne puisse me permettre de reprendre ce doux calvaire. Parcourant inlassablement les rayons mis en place afin de mettre la main sur ces fameuses pièces qui parviendraient à attirer l'attention de cette femme en question. Je lui proposai, bien vite, d'aller essayer tout ceci au sein d'une cabine afin de parvenir à se faire un avis convenable sur l'achat, ou non, de ces fameuses pièces. De toutes évidences... C'était uniquement un moyen efficace afin de parvenir à m'approcher de nouveau. Et ce, tandis que la créatrice de mes tourments osait – à nouveau – me rendre fébrile face à cet essayage. Cette robe était l'une des pièces les plus agréables de la collection. Produite en seulement une dizaine d'exemplaires, je ne pouvais aucunement dénigrer l'idée que tu portais celle-ci à ravir.
Tout naturellement, je gratifiais cet essayage d'un large sourire tandis qu'un doux murmure se laissait entendre. « Magnifique. Vraiment, vraiment. » Ces simples mots énoncés au travers de cette langue que seuls nous parvenions à comprendre, je me contentais d'agir. L'air de rien. Vêtements sous les bras tandis que je restais là, non loin de ta personne et de cette chère amie qui ne cessait de vouloir te pousser au travers de cette cabine afin de parvenir à te faire essayer toute sorte de tenue. Telle une enfant face à sa poupée, elle semblait reprendre du poil de la bête. Il est inévitable que j'aurais – moi-même – favoriser l'idée de m'occuper d'une cliente telle que toi, plutôt que cette femme. Mais, le destin en avait décidé ainsi. Usant de charmes quelconques afin de faire fléchir celle-ci sous les choix quelque peu judicieux que j'avais pu faire, je ne manquais pas d'énoncer l'idée que ce vêtement lui allait à ravir. Un semblant de sincérité. Le secret de tout vendeur afin de parvenir à se débarrasser de cet être si désagréable qui ose leur coller à la peau.
« Hana. » Soufflais-je vulgairement, à de multiples reprises tandis que celle-ci semblait si intéressée par l'idée de te faire essayer une bonne partie de la boutique. « Hana, bordel. » Cette jeune femme ne manquait pas d'ignorer « naïvement » mes appels avant que je puisse me permettre d'agripper l'un de ses bras afin de parvenir à captiver son attention. « Ne joue pas l'innocente... Je n'ai pas l'intention de m'occuper de cette femme toute la mâtiné. Rends-moi ma « cliente », débrouilles toi avec la tienne. Refile là à l'autre idiot, que sais-je. » De simple murmures glissés au creux de l'une de ses oreilles. Un sourire amusé, elle ne manquait pas de se moquer de moi au travers de ces simples paroles que j'avais osé lui offrir tandis qu'elle me gratifiait d'une tape contre l'une de mes épaules. « J'ai compris le message Monsieur Zhang Jiro, mais... Attendez-nous pour manger, ce midi. Sinon, fait gaffe à ton cul, je te préviens. »
Si fin. Si doux. Elle ne manquait pas de franchise.
« Liu, je suis vraiment désolé pour tout ce... Bazar. Si je puis dire. Elle ne t'a pas trop ennuyée, j'espère ? »
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Re: Surrounded by darkness, you still there w/ Jiliu ♥ | Mar 5 Jan - 21:31 Citer EditerSupprimer
Rassemblant les vêtements un à un sur les cintres pour les rendre je fus surprise par Jiro qui me demandait si ça allait. Ouvrant la cabine après avoir retrouvé mes vêtements. Je le fixe en serrant cette robe bleu contre moi avec un sourire rassurant. « Tout va très bien ! J’ai l’impression de vivre un conte de fée ! » Avouais-je avec les yeux brillants. « J’aime beaucoup toutes ces tenues, et cette robe bleu est mon coup de cœur. Elle est tellement magnifique … » j’en parle avec une certaine douceur, comme si ce tissu méritait tout traitement délicat. Je rassemble toutes les tenues sans trop savoir quoi en faire les bras chargés. C’est timidement que je m’approche de lui pour oser lui demander « Si je n’achète rien ce n’est pas grave … ? Je ne veux pas avoir donné l’impression d’abuser mais ta collègue a tellement insisté … je n’ai pas su lui dire non. » Avouais-je avec un sourire en coin. Je dépose les affaires sur la pendant prévu à cet effet et me tourne vers Jiro. « Je peux aller voir les sacs, j’en ai aperçu quelques-uns plutôt sympa ! » Je le tirais déjà enjouée vers les sacs ayant glissé ma main dans la sienne sans même l’apercevoir et me stoppa devant de grand sac qui me faisait rêver. Au moins dedans je pourrais y ranger tout mon bazar. Ils étaient tous magnifique, mais un en particulier m’attira, il était en cuir, si beau, si classique mais tellement attirant. Une simplicité que j’appréciais.
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I was scared, but I knew you will be there
ft. jirobbey&liu.
Nouvelle Tenue + « Don't be afraid. »
Son murmure me fait craquer. Je relève le regard vers lui presque surprise qu’il puisse s’adresser à moi … je mordille ma lèvre pour ne pas sourire bêtement devant lui. Je savoure un instant son regard sur moi en l’imaginant le cœur fou, craquant un peu pour moi … Et me voilà à enchainer les tenues, les vêtements qui puissent un jour ravir le jeune homme. Il est toujours là, à regarder chacune des tenues que je peux essayer. Est-ce que je lui fais autant d’effet que lui, dans sa chemise noire … son t-shirt blanc et ce simple pantalon semblaient le sublimer à mes yeux. Ils sont si … je frissonne en le regardant, je suis parfois agacée de me sentir aussi faible devant lui. Engueulant mon cœur mentalement d’être aussi ridicule. Ce n’est qu’un homme, un homme de plus sur cette terre alors pourquoi je réagissais comme ça dès que ça le concernait, j’avais l’impression de redevenir adolescente. De vivre mes premiers émois et d’être totalement … fan de cet homme. Ridicule au possible. Secouant la tête je restais dans ma cabine un moment pour reprendre contenance. Je le vis juste tirer sa collègue par le bras sans trop chercher à comprendre la situation. Bien trop occupée par mes pensées. Je passe une main dans mes cheveux et me fixe dans le miroir avec cet ensemble tailleur près du corps. J’étais jolie dedans, peut-être parce que le prix de cet ensemble le rendait magnifique à mes yeux. Je lissais les tissu sur mon ventre plat et sourit en coin. Un jour je pourrais m’acheter ce genre de vêtements magnifique …
Rassemblant les vêtements un à un sur les cintres pour les rendre je fus surprise par Jiro qui me demandait si ça allait. Ouvrant la cabine après avoir retrouvé mes vêtements. Je le fixe en serrant cette robe bleu contre moi avec un sourire rassurant. « Tout va très bien ! J’ai l’impression de vivre un conte de fée ! » Avouais-je avec les yeux brillants. « J’aime beaucoup toutes ces tenues, et cette robe bleu est mon coup de cœur. Elle est tellement magnifique … » j’en parle avec une certaine douceur, comme si ce tissu méritait tout traitement délicat. Je rassemble toutes les tenues sans trop savoir quoi en faire les bras chargés. C’est timidement que je m’approche de lui pour oser lui demander « Si je n’achète rien ce n’est pas grave … ? Je ne veux pas avoir donné l’impression d’abuser mais ta collègue a tellement insisté … je n’ai pas su lui dire non. » Avouais-je avec un sourire en coin. Je dépose les affaires sur la pendant prévu à cet effet et me tourne vers Jiro. « Je peux aller voir les sacs, j’en ai aperçu quelques-uns plutôt sympa ! » Je le tirais déjà enjouée vers les sacs ayant glissé ma main dans la sienne sans même l’apercevoir et me stoppa devant de grand sac qui me faisait rêver. Au moins dedans je pourrais y ranger tout mon bazar. Ils étaient tous magnifique, mais un en particulier m’attira, il était en cuir, si beau, si classique mais tellement attirant. Une simplicité que j’appréciais.
« Ce sac est magnifique ! » souriais-je en lui tendant pour qu’il le regarde. Je pris quelques minutes avant de lui demander soudain « Et pour manger … tu veux qu’on aille quelque part ? » je rougis légèrement et fis mine de regarder d’autres sacs comme si c’était plus intéressant que la réponse. Je ne savais pas ce qu’il comptait faire, je ne sais même pas quand est sa pause déjeuné. Si ça se trouve il n’a pas le temps et m’a simplement demandé de venir pour … voir, juste comme ça. Réalisant mon erreur j’écarquillais doucement les yeux sans oser le regarder « Ou quand tu auras le temps … » bafouillais-je maladroitement en me reculant doucement pour aller voir quelques accessoires et surtout les bagues … les midrings sont magnifique … mais même leur prix me donne des sueurs froides. Je les essaye tout de même avec un certain plaisir je dois avouer. J’avais envie de passer du temps avec lui … c’est fou ça, je pourrais me faire passer pour une cliente des heures et des heures pour juste pouvoir trainer à ses côtés, souriant à ses mots. Et dieu seul savait à quel point j’avais envie de l’embrasser quand je le voyais aussi sérieux et concernés par mon shopping dans cette boutique.
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Re: Surrounded by darkness, you still there w/ Jiliu ♥ | Mer 6 Jan - 16:58 Citer EditerSupprimer ft. liubby&jiro.
Un léger soupir traversait mes lippes tandis que je balayais, pour la énième fois, ma chevelure vers l'arrière de mon crâne. Suivant alors les traces de ta personne sans véritablement me soucier de ce qui parvenait à m'entourer. Que ce soit les regards incessants de mes collègues. L’incompréhension de certains clients face à mon ignorance la plus totale à leur égard. Ou, simplement, l'idée que je parvenais à rester calmer face à une jeune femme telle que toi qui osais parcourir la boutique çà et là sans la moindre retenue. Néanmoins, je pris appui contre l'une des étagères mise en place à tes côtés. Et ce, tandis que j'observais avec attention chaque geste que tu réalisais. Écoutant avec attention chaque parole que tu daignais m'offrir. Ce doux sentiment de fatigue planait au-dessus de mon esprit. J'avais beau me convaincre que ces quelques minutes de sommeil au travers de la nuit dernière étaient parvenues à me redonner cette ardeur et ce courage nécessaire à une telle journée, mais... Je me voilais très certainement la face. Tel un véritable idiot, je ne pouvais aucunement me permettre de faire marche arrière, et pourtant, résidais au travers de mes espoirs l'idée que cette pause déjeuné allait bientôt m'emporter avec elle. Déglutissant difficilement, c'est en réajustant vulgairement ces vêtements peu convenables que je portais actuellement que j'osais relever mon attention à l'égard de ces multiples objets qui obtenaient un bon nombre de compliments de ta part. Que ce soit, cette robe, ces sacs, ces accessoires et, j'osais en passer. Je ne put réprimer ce sourire amusé avant que l'une de mes mains ne parvienne à trouver refuge contre le haut de ton crâne. « Ne doute pas de nos capacités, Liu. Tout a été calculé, tout a été installé de manière à parvenir à faire craquer la clientèle. Ajoutant à cela la présence de personnes telles que nous, c'est... Inévitable. Je connais les méthodes de travail de ma supérieure, elle ne laisse rien au hasard. Rien. Alors, qu'importe si cette bague est insignifiante, aux yeux des clients, elle sera exceptionnelle. » D'une douce confession, je ne put m'empêcher de poursuivre cela au travers d'un ricanement semblable à un murmure afin que celle-ci toi puisse entendre celui-ci.
« En ce qui concerne le repos, enfin, le repas... Changement de plans. Nous ne parviendrons pas à fuir, seuls. Ils nous attendent tous. Ils veulent le partager avec nous, surtout Hana. Je crois qu'elle t'apprécie. Et si jamais j'ose t'emporter avec moi loin d'eux, je risque d'en pâtir. Enfin, surtout mon fessier. » Mes mains vinrent automatiquement rejoindre celui-ci avant que je ne puisse y affliger de légers frottements en guise de simple geste qui parviendrait à me rassurer.
« Dans tous les cas, il devrait très certainement nous rester une dizaine, ou vingtaine de minutes avant que nous ne puissions nous y rendre. Nous avons la mauvaise habitude de nous rendre dans un restaurant du coin, j'espère que ça ira. Pour toi. » Inévitablement, nous n'avions guère le temps de faire la fine bouche. Aussi longue la pause pouvait-elle être, nous nous contentions de peu afin de parvenir à davantage profiter de celle-ci. Discutions en tous genres, rires et j'ose en passer. Un moment chaleureux et agréable, entre amis. Si je puis me permettre. « En parlant de cela, j'ai quelque chose à faire. Je reviens, rapidement. Et n'ose pas t'approcher de cet autre vendeur, sous peine de le voir souffrir dans d’atroces souffrances suite à son cirque de don juan à deux balles. » Cette expression quelque peu ringarde venait malgré tout de traverser mes lippes avant que je ne puisse prendre la poudre d'escampette. J'avais, dans l'optique, de parvenir à régler un « problème » quelconque. Et ce, après de l'une des jeunes femmes qui se trouvait à la caisse. Ainsi, je me frayais un chemin aux côtés de celle-ci. Mimant le simple geste de lui venir en aide, rangeant fort rapidement ces vêtements qui osaient traîner à ses côtés tandis qu'une discussion se laissait entendre au travers de multiples murmures. « Tu te souviens, de cette fameuse robe, hein ? […] Bien. Tu sais ce que tu dois en faire ? […] Oui. Ce soir, je viendrais la récupérer et payer avant la fermeture. C'est promis. » D'un simple geste affectif, j'osais gratifier celle-ci d'un remerciement.
Les femmes sont parfois dures en affaires. Mais, pas celles-ci. Apparemment.
C'est d'ailleurs après m'être permis de jeter un quelconque regard envers cette horloge plutôt impressionnante qui surplombais l'un des murs de la bâtisse où je pris l'initiative de me rendre auprès des bureaux. Lieu où résidaient ses multiples machines afin de parvenir à offrir une douce mélodie et ainsi, sustenter les désirs des clients. Je pris la parole : exprimant l'idée que la boutique allait fermer, incessamment sous peu.
© BANGERZ
baby, i'm preying on you tonight.
nouvelle tenue + « get some air. »
Un léger soupir traversait mes lippes tandis que je balayais, pour la énième fois, ma chevelure vers l'arrière de mon crâne. Suivant alors les traces de ta personne sans véritablement me soucier de ce qui parvenait à m'entourer. Que ce soit les regards incessants de mes collègues. L’incompréhension de certains clients face à mon ignorance la plus totale à leur égard. Ou, simplement, l'idée que je parvenais à rester calmer face à une jeune femme telle que toi qui osais parcourir la boutique çà et là sans la moindre retenue. Néanmoins, je pris appui contre l'une des étagères mise en place à tes côtés. Et ce, tandis que j'observais avec attention chaque geste que tu réalisais. Écoutant avec attention chaque parole que tu daignais m'offrir. Ce doux sentiment de fatigue planait au-dessus de mon esprit. J'avais beau me convaincre que ces quelques minutes de sommeil au travers de la nuit dernière étaient parvenues à me redonner cette ardeur et ce courage nécessaire à une telle journée, mais... Je me voilais très certainement la face. Tel un véritable idiot, je ne pouvais aucunement me permettre de faire marche arrière, et pourtant, résidais au travers de mes espoirs l'idée que cette pause déjeuné allait bientôt m'emporter avec elle. Déglutissant difficilement, c'est en réajustant vulgairement ces vêtements peu convenables que je portais actuellement que j'osais relever mon attention à l'égard de ces multiples objets qui obtenaient un bon nombre de compliments de ta part. Que ce soit, cette robe, ces sacs, ces accessoires et, j'osais en passer. Je ne put réprimer ce sourire amusé avant que l'une de mes mains ne parvienne à trouver refuge contre le haut de ton crâne. « Ne doute pas de nos capacités, Liu. Tout a été calculé, tout a été installé de manière à parvenir à faire craquer la clientèle. Ajoutant à cela la présence de personnes telles que nous, c'est... Inévitable. Je connais les méthodes de travail de ma supérieure, elle ne laisse rien au hasard. Rien. Alors, qu'importe si cette bague est insignifiante, aux yeux des clients, elle sera exceptionnelle. » D'une douce confession, je ne put m'empêcher de poursuivre cela au travers d'un ricanement semblable à un murmure afin que celle-ci toi puisse entendre celui-ci.
« En ce qui concerne le repos, enfin, le repas... Changement de plans. Nous ne parviendrons pas à fuir, seuls. Ils nous attendent tous. Ils veulent le partager avec nous, surtout Hana. Je crois qu'elle t'apprécie. Et si jamais j'ose t'emporter avec moi loin d'eux, je risque d'en pâtir. Enfin, surtout mon fessier. » Mes mains vinrent automatiquement rejoindre celui-ci avant que je ne puisse y affliger de légers frottements en guise de simple geste qui parviendrait à me rassurer.
« Dans tous les cas, il devrait très certainement nous rester une dizaine, ou vingtaine de minutes avant que nous ne puissions nous y rendre. Nous avons la mauvaise habitude de nous rendre dans un restaurant du coin, j'espère que ça ira. Pour toi. » Inévitablement, nous n'avions guère le temps de faire la fine bouche. Aussi longue la pause pouvait-elle être, nous nous contentions de peu afin de parvenir à davantage profiter de celle-ci. Discutions en tous genres, rires et j'ose en passer. Un moment chaleureux et agréable, entre amis. Si je puis me permettre. « En parlant de cela, j'ai quelque chose à faire. Je reviens, rapidement. Et n'ose pas t'approcher de cet autre vendeur, sous peine de le voir souffrir dans d’atroces souffrances suite à son cirque de don juan à deux balles. » Cette expression quelque peu ringarde venait malgré tout de traverser mes lippes avant que je ne puisse prendre la poudre d'escampette. J'avais, dans l'optique, de parvenir à régler un « problème » quelconque. Et ce, après de l'une des jeunes femmes qui se trouvait à la caisse. Ainsi, je me frayais un chemin aux côtés de celle-ci. Mimant le simple geste de lui venir en aide, rangeant fort rapidement ces vêtements qui osaient traîner à ses côtés tandis qu'une discussion se laissait entendre au travers de multiples murmures. « Tu te souviens, de cette fameuse robe, hein ? […] Bien. Tu sais ce que tu dois en faire ? […] Oui. Ce soir, je viendrais la récupérer et payer avant la fermeture. C'est promis. » D'un simple geste affectif, j'osais gratifier celle-ci d'un remerciement.
Les femmes sont parfois dures en affaires. Mais, pas celles-ci. Apparemment.
C'est d'ailleurs après m'être permis de jeter un quelconque regard envers cette horloge plutôt impressionnante qui surplombais l'un des murs de la bâtisse où je pris l'initiative de me rendre auprès des bureaux. Lieu où résidaient ses multiples machines afin de parvenir à offrir une douce mélodie et ainsi, sustenter les désirs des clients. Je pris la parole : exprimant l'idée que la boutique allait fermer, incessamment sous peu.
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