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Surrounded by darkness, you still there w/ Jiliu ♥
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Re: Surrounded by darkness, you still there w/ Jiliu ♥ | Sam 16 Jan - 18:25 Citer EditerSupprimer
C’est son sourire qui me fait craquer je crois, son petit air sérieux qu’il arbore et qui façonne se charisme. Il n’est pas juste un vendeur à mes yeux, il est un vendeur de rêve. Et je dois avouer que si j’avais les moyens j’aurais craqué depuis longtemps à ses paroles. Mais je n’avais plus rien sur moi, ni argent, ni carte bleu, rien qui puisse m’aider dans ce genre de situation. Regardant la bague une dernière fois en rougissant, était-elle si insignifiante que ça ? Arrivait-il vraiment à me donner l’impression que cette bague avait quelque chose de si exceptionnelle que ça … ? J’aime l’idée. Aussi étrange que ça puisse paraitre. Je repose la bague doucement puisque de toute manière je ne pourrais pas m’en acheter une aujourd’hui. Je me tourne vers lui alors qu’il me parle du repas. J’affiche une petite moue amusée même si je dois avouer que j’aurais préféré déjeuné en tête ne tête, surtout parce que j’ai peur de ne pas réussir à être assez à l’aise avec tout le monde. J’ai pourtant un caractère sociable mais j’ai du mal à me sentir … dans élément quand je suis face à un groupe d’amis qui rient et s’amusent ensemble … Mais je sens déjà que cette Hana va me poser beaucoup de questions … Et je me vois déjà lui dire que je suis une danseuse qui vit de petit boulot pour pouvoir vivre son rêve … Je piétine sur place soudain gênée à l’idée d’être pas assez bien pour Jiro … pour l’image qu’il voudrait donner à ses amis. Mais après tout je ne suis qu’une amie … et je n’ai pas de honte à avoir … enfin je crois. Je secoue la tête pour lui signifier que tout me va et gratte doucement ma manche pour gâcher ma gêne. Je le laisse aller s’occuper de ce qu’il doit faire et m’amuse à trainer dans les rayons.
Je m’arrête bien évidemment au rayon chaussure et m’y installer après avoir regardé quelques paires qui sont, de toute évidence, de pur merveille. J’ai surement les yeux brillants d’une petite fille quand son collègue arrive et me montre quelques modèles qui me vont parfaitement. Lui aussi à ce don pour reconnaitre les choses qui pourraient me plaire dans ce magasin. « Elles te vont magnifiquement bien … ça te fait des jambes plus élancées et à tomber ! » m’assure-t-il. Je rougi avant de rire légèrement. « Soit pas bête … Mais merci …» Je repose une paire d’escarpin et les caresse du bout des doigts en me promettant qu’un jour j’aurais assez d’argent pour me payer ce genre de chaussure. C’était presque … rageant de devoir laissé une si belle paire … Mais c’est avec un sourire joyeux que je me tourne vers son collègue, je lui demande son prénom, pour apprendre un peu à le connaitre et sourit de la réponse. « Moi c’est Liu … Je suis d’origine chinoise, mais je crois que ça s’entends non ? » assurais-je avec un sourire doux. L’annonce au micro me fait relever la tête et je regarder les quelques clientes sortir du magasin et tente d’apercevoir Jiro. Leur chef quitta les lieux rapidement et son air pincé allez avec sa démarche pressée et rapide. Elle me fit sourire, elle ressemblait à ma tante, une vieille fille qui pensait qu’à vivre en ville lui donnait de grands airs … Malgré moi je marchais vers Jiro quand je le vis arriver et attrapa les pans de sa veste pour lui fermer sans laisser le temps de réagir. Les autres collègues s’en allaient dans ce que je devinais être la salle du personnel où leurs affaires personnelles devaient se trouver.
« Jiro … je n’ai pas d’argent sur moi du coup … Tu pourras m’avancer le repas de ce midi ? Je te promets de te rembourser dès que j’aurais réglé mes soucis de papiers … » assurais-je en papillonnant des yeux. L’entrainant à la sortie où sa collègue nous attendait je le pris par le bras en trébuchant légèrement au détour d’une allée. Et si dans un premier temps je voulais juste me retenir à quelques choses pour ne pas tomber, je dois avouer que j’aimais la sensation de rester contre lui tout en marchant. Mais Hana en décida autrement et s’immisça entre nous avec un sourire joyeux et un air foufou. Elle me tirait déjà dehors alors que je jetais un regard surpris vers Jiro. Elle ne cessait de parler en prenant les devants en commençant à marcher dans la rue. Trop loin pour pouvoir l’entendre je ne vis pas son collègue s’adresser à Jiro pour lui dire avec un sourire amusé « Je comprends pourquoi elle te fait craquer. Elle a l’air … simple et agréable. Totalement ton style pas vrai ? » rit-il en lui donnant une tape dans le dos. « Vous êtes ensemble depuis quand ? C’est dommage … Elle me plaisait bien ta copine. » Dit-il dans l’unique but de faire rager Jiro. Maintenant qu’il a trouvé un sujet pour pouvoir l’emmerder, ce collègue, ami et futur tortionnaire, n’allait pas se priver pour s’en servir. « Ouais vraiment, une jolie fille ! » ricane-t-il. Moi en attendant je devais faire face à la tornade Hana qui savait en moins de cinq minutes que j’étais danseuse, à la recherche d’un contrat et que j’étais la femme de ménage de Jiro. Elle souriait beaucoup, tout autant qu’elle parlait, et ça me donnait le tournis.
© BANGERZ
I was scared, but I knew you will be there
ft. jirobbey&liu.
Nouvelle Tenue + « Don't be afraid. »
C’est son sourire qui me fait craquer je crois, son petit air sérieux qu’il arbore et qui façonne se charisme. Il n’est pas juste un vendeur à mes yeux, il est un vendeur de rêve. Et je dois avouer que si j’avais les moyens j’aurais craqué depuis longtemps à ses paroles. Mais je n’avais plus rien sur moi, ni argent, ni carte bleu, rien qui puisse m’aider dans ce genre de situation. Regardant la bague une dernière fois en rougissant, était-elle si insignifiante que ça ? Arrivait-il vraiment à me donner l’impression que cette bague avait quelque chose de si exceptionnelle que ça … ? J’aime l’idée. Aussi étrange que ça puisse paraitre. Je repose la bague doucement puisque de toute manière je ne pourrais pas m’en acheter une aujourd’hui. Je me tourne vers lui alors qu’il me parle du repas. J’affiche une petite moue amusée même si je dois avouer que j’aurais préféré déjeuné en tête ne tête, surtout parce que j’ai peur de ne pas réussir à être assez à l’aise avec tout le monde. J’ai pourtant un caractère sociable mais j’ai du mal à me sentir … dans élément quand je suis face à un groupe d’amis qui rient et s’amusent ensemble … Mais je sens déjà que cette Hana va me poser beaucoup de questions … Et je me vois déjà lui dire que je suis une danseuse qui vit de petit boulot pour pouvoir vivre son rêve … Je piétine sur place soudain gênée à l’idée d’être pas assez bien pour Jiro … pour l’image qu’il voudrait donner à ses amis. Mais après tout je ne suis qu’une amie … et je n’ai pas de honte à avoir … enfin je crois. Je secoue la tête pour lui signifier que tout me va et gratte doucement ma manche pour gâcher ma gêne. Je le laisse aller s’occuper de ce qu’il doit faire et m’amuse à trainer dans les rayons.
Je m’arrête bien évidemment au rayon chaussure et m’y installer après avoir regardé quelques paires qui sont, de toute évidence, de pur merveille. J’ai surement les yeux brillants d’une petite fille quand son collègue arrive et me montre quelques modèles qui me vont parfaitement. Lui aussi à ce don pour reconnaitre les choses qui pourraient me plaire dans ce magasin. « Elles te vont magnifiquement bien … ça te fait des jambes plus élancées et à tomber ! » m’assure-t-il. Je rougi avant de rire légèrement. « Soit pas bête … Mais merci …» Je repose une paire d’escarpin et les caresse du bout des doigts en me promettant qu’un jour j’aurais assez d’argent pour me payer ce genre de chaussure. C’était presque … rageant de devoir laissé une si belle paire … Mais c’est avec un sourire joyeux que je me tourne vers son collègue, je lui demande son prénom, pour apprendre un peu à le connaitre et sourit de la réponse. « Moi c’est Liu … Je suis d’origine chinoise, mais je crois que ça s’entends non ? » assurais-je avec un sourire doux. L’annonce au micro me fait relever la tête et je regarder les quelques clientes sortir du magasin et tente d’apercevoir Jiro. Leur chef quitta les lieux rapidement et son air pincé allez avec sa démarche pressée et rapide. Elle me fit sourire, elle ressemblait à ma tante, une vieille fille qui pensait qu’à vivre en ville lui donnait de grands airs … Malgré moi je marchais vers Jiro quand je le vis arriver et attrapa les pans de sa veste pour lui fermer sans laisser le temps de réagir. Les autres collègues s’en allaient dans ce que je devinais être la salle du personnel où leurs affaires personnelles devaient se trouver.
« Jiro … je n’ai pas d’argent sur moi du coup … Tu pourras m’avancer le repas de ce midi ? Je te promets de te rembourser dès que j’aurais réglé mes soucis de papiers … » assurais-je en papillonnant des yeux. L’entrainant à la sortie où sa collègue nous attendait je le pris par le bras en trébuchant légèrement au détour d’une allée. Et si dans un premier temps je voulais juste me retenir à quelques choses pour ne pas tomber, je dois avouer que j’aimais la sensation de rester contre lui tout en marchant. Mais Hana en décida autrement et s’immisça entre nous avec un sourire joyeux et un air foufou. Elle me tirait déjà dehors alors que je jetais un regard surpris vers Jiro. Elle ne cessait de parler en prenant les devants en commençant à marcher dans la rue. Trop loin pour pouvoir l’entendre je ne vis pas son collègue s’adresser à Jiro pour lui dire avec un sourire amusé « Je comprends pourquoi elle te fait craquer. Elle a l’air … simple et agréable. Totalement ton style pas vrai ? » rit-il en lui donnant une tape dans le dos. « Vous êtes ensemble depuis quand ? C’est dommage … Elle me plaisait bien ta copine. » Dit-il dans l’unique but de faire rager Jiro. Maintenant qu’il a trouvé un sujet pour pouvoir l’emmerder, ce collègue, ami et futur tortionnaire, n’allait pas se priver pour s’en servir. « Ouais vraiment, une jolie fille ! » ricane-t-il. Moi en attendant je devais faire face à la tornade Hana qui savait en moins de cinq minutes que j’étais danseuse, à la recherche d’un contrat et que j’étais la femme de ménage de Jiro. Elle souriait beaucoup, tout autant qu’elle parlait, et ça me donnait le tournis.
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