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+ 18 - Une bouffée d'air frais - In Ha
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Re: + 18 - Une bouffée d'air frais - In Ha | Mar 26 Avr - 13:53 Citer EditerSupprimer
Une bouffée d'air frais.
In Ha & Dambi
Local de répétition
TENUE + Nina. Ah nina ! Si je la connaissais bien ? C’était bel et bien le cas, et même plus que bien. J’avais fais mon tatouage en même temps qu’elle, c’était un peu ainsi que l’on s’était rencontré par ailleurs. Un peu par hasard. Deux destins qui avaient besoin de marquer de leur corps un tournant important de leur vie. On travaillait aussi deux à trois fois par semaine ensemble. Avec les années, on était devenu inséparable avec Zoey. Et quelle n’avait pas été ma surprise quand j’avais appris qu’In Ha était sorti avec cette beauté. Le monde était petit tout de même. Secrètement, je rêvais de les revoir un jour se remettre ensemble. Il avait les yeux qui pétillait Inha quand il me parlait d’elle. Il avait le regard plein d’amour et de douceur. J’aimais l’entendre me raconter ses anecdotes de sa période de couple avec elle. Ca avait l’air si magique. Si naturelle. Si amour. J’y croyais presque le grand amour dont il ne cessait de me parler. Parfois, je m’imaginais à la place de la jeune femme dont il parlait pour voir ce que ca faisait. Pourtant, à mes yeux, ca ne restait qu’un conte de fée inaccessible. J’aimais tout le monde de la même manière, même si j’avais une plus grande dépendance ou affection pour certaines personnes que d’autres, mais rien de comparable. Je souris en entendant le titre de la chanson. «Oui, je la connais bien. Tu me la chanteras une fois pour voir ce dont de quoi tu as l’air ? » Je le taquinais, mais j’étais sincère. J’étais plutôt curieuse sur le sujet. Je lui pinçais le nez à l’aide de deux de mes fins doigts et riais aux éclats. J’aimais le voir nostalgique, repensant à Nina. Il était si beau le regard amoureux, comme il disait.
Je fis une moue faussement boudeuse alors qu’il menaçait de me laisser tomber si je ne le laissais pas voir son chemin. Je resserrais ma prise autour de son corps. « Me laisses pas tomber… » me plaignis-je presque comme une enfant, enfouissant mon visage dans son cou pour lui laisser la vison de libre. Vint ensuite le moment où le roi des singes m’emmenait dans la cuisine alors que je poussais son puissant cri de chef guerrier en riant. Pas très convainquant, mais j’étais en plein apprentissage. J’atterris les fesses sur le plan de travail, le regardant chercher un peu partout le caverne d’Ali baba qui se trouvait simplement dans le frigo. Pourtant, le voir fouiller un peu partout avait quelque chose d’amusant que j’aimais regarder pour l’embêter gentiment. Il me fit une belle frayeur en se prenant la porte du placard. Surprise, je poussais un cri de stupeur. J’avais mal pour lui. Il risquait d’avoir une vilaine bosse. Il fallait que je vois par moi-même si tout allait bien, et heureusement, il y avait plus de peur que de mal. J’essayais de lui faire oublier la douleur par une série de baiser qui parcourrait son visage entier. J’avais dans l’idée que la tendresse était le meilleur des médicaments pour les maux, quel qu’il soit. « On ne blessante jamais avec les blessés » dis-je un peu trop sérieusement avant de reprendre mon traitement spécial. Pas besoin de se rendre à l’hôpital avec ce diagnostic. Le front, les paupières, le nez, les joues, le menton … la moindre parcelle du visage y passait. Et pour terminer, un bisou esquimau. Je restais un moment mon front collé au sien, profitant du calme ambiant et de nos souffles qui s’entrelaçaient. J’ouvris les yeux, révélant mon regard derrière mes mèches blondes alors qu’il reculait, sa main posés sur ma joue, jouant avec ma peau. Je souris alors qu’il me disait que j’étais mignon. Je détournais les yeux un instant, gênée au moindre compliment que l’on pouvait bien me faire. Je le regardais à nouveau, alors que le ton de sa voix s’était faite tout autre, plus rauque, plus distraite, plus sensuelle. Le roi des singes n’était pas insensible. J’écarquillais les yeux de surprise alors que je sentis ses lèvres contre les miennes, me coupant le souffle. Un baiser chaste, doux. A son image. Je m’étais raidie sous l’effet de surprise, mais lentement, mes muscles se détendirent un à un alors que je sentais la main de In Ha passer dans mon dos. Instinctivement, j’écartais légèrement les jambes pour le laisser se glisser contre le plan de travail et nous donner une position plus confortable. Mais alors que je répondais enfin à son baiser, je le sentis y mettre fin et reculer. Je le fixais, un peu hébétée. Ce baiser, malgré léger, avait réussi à avoir rougi ses lèvres, et sans doute les miennes aussi. Je le fixais, un peu timide, mais aussi un peu déçue que ce soit déjà terminé alors que j’avais à peine gouté ses lèvres. « Ne t’excuse pas … » chuchotais-je alors que je détournais les yeux alors qu’il me complimentait à nouveau. « Arrêtes, je vais finir pas plus savoir où me mettre… » Arrivais-je à articuler tant bien que mal. Je le regardais sur le côté, remettant une mèche derrière mon oreille alors qu’il me disait être un faible homme. Je n’appelais pas un homme qui était aussi doux et tendre que lui, un faible homme, mais chacun son point de vue. Je souris en le voyant tambouriné son torse. « Parce que tu crois que le mien n’a pas fait boumboum ? » lâchais-je en riant. Il m’avait surprise et les battements de mon cœur avaient soudain accélérer. Il avait réussi à lui faire battre la chamade. Et ce regard intense qu’il posait la seconde suivante sur ma personne me fit remonter l’adrénaline qui était un rien redescendu lors de notre discussion, me faisait des guilis dans le ventre. Une part de moi en redemandait et en voulait plus, mais l’autre n’osait pas l’approcher d’avantage. Je secouais la tête alors qu’il me demandait de l’effet que je pouvais bien faire. Je réfléchis un instant avant de lever les épaules. « Je suis une femme comme une autre. » finis-je par conclure. J’avais mes qualités bien sûr, mais j’étais loin d’être une femme forte comme Cami, Haneul ou Nina. Je vivais la vie comme elle venait. J’allais là où le vent m’emportait. Je pris le verre qu’il me présentait, le portant à mes lèvres. Mes doigts s’enroulèrent autour et je le serrais un peu alors qu’il me disait de faire attention. Je relevais le visage vers lui, me léchant la lèvre inférieure encore imbibé de jus d’ananas. Et je le fixais un moment avant de finir par lâcher. « Faire attention à quoi ? Au roi des singes ? » Je le regardais peut être trop intensément, mais il avait piqué au vif ma curiosité. Je déposais le récipient sur le plan de travail à côté de moi, et l’attrapais à nouveau par le t-shirt pour l’approcher de moi. J’écartais légèrement les jambes pour qu’il se glisse contre l’armoire, puis je les refermais. Le voila prisonnier à présent. Je souris, car je ne savais rien faire d’autre. C’était dans ma nature d’être joyeuse et de sourire au bonheur ou à la tristesse. C’était un remède miracle, je vous dis. Je posais mon doigt sur le bout de son nez, pressant doucement. « Je n’ai pas peur, tu sais !? » Je lui pinçais doucement les joues avant de mettre mes mains à plan sur celles-ci. « Je suis certaine que tu essayes seulement de me faire peur ! » le taquinais-je avant d’effleurer ses lèvres des miennes. A peine une caresse. Comme une légère brise de vent venant frôler notre peau. Je laissais descendre mes mains sur son t-shirt et le serrait entre mes doigts alors que mon nez frôlait le sien sans que nos lèvres ne se touchent, juste nos souffles chauds qui s’entremêlait. « Tu t’es permis de gouter, mais moi j’en ai eu à peine le temps… » Dis-je d’une petite voix d’enfant plaintif. Puis, j’attrapais ses lèvres avec plus de franchise, me pressant un peu plus contre lui, l’empêchant de reculer avec mes cuisses. Je passais ma langue sur ses lèvres avant de me reculer et de rire aux éclats. « Tu as le gout d’ananas »
Je fis une moue faussement boudeuse alors qu’il menaçait de me laisser tomber si je ne le laissais pas voir son chemin. Je resserrais ma prise autour de son corps. « Me laisses pas tomber… » me plaignis-je presque comme une enfant, enfouissant mon visage dans son cou pour lui laisser la vison de libre. Vint ensuite le moment où le roi des singes m’emmenait dans la cuisine alors que je poussais son puissant cri de chef guerrier en riant. Pas très convainquant, mais j’étais en plein apprentissage. J’atterris les fesses sur le plan de travail, le regardant chercher un peu partout le caverne d’Ali baba qui se trouvait simplement dans le frigo. Pourtant, le voir fouiller un peu partout avait quelque chose d’amusant que j’aimais regarder pour l’embêter gentiment. Il me fit une belle frayeur en se prenant la porte du placard. Surprise, je poussais un cri de stupeur. J’avais mal pour lui. Il risquait d’avoir une vilaine bosse. Il fallait que je vois par moi-même si tout allait bien, et heureusement, il y avait plus de peur que de mal. J’essayais de lui faire oublier la douleur par une série de baiser qui parcourrait son visage entier. J’avais dans l’idée que la tendresse était le meilleur des médicaments pour les maux, quel qu’il soit. « On ne blessante jamais avec les blessés » dis-je un peu trop sérieusement avant de reprendre mon traitement spécial. Pas besoin de se rendre à l’hôpital avec ce diagnostic. Le front, les paupières, le nez, les joues, le menton … la moindre parcelle du visage y passait. Et pour terminer, un bisou esquimau. Je restais un moment mon front collé au sien, profitant du calme ambiant et de nos souffles qui s’entrelaçaient. J’ouvris les yeux, révélant mon regard derrière mes mèches blondes alors qu’il reculait, sa main posés sur ma joue, jouant avec ma peau. Je souris alors qu’il me disait que j’étais mignon. Je détournais les yeux un instant, gênée au moindre compliment que l’on pouvait bien me faire. Je le regardais à nouveau, alors que le ton de sa voix s’était faite tout autre, plus rauque, plus distraite, plus sensuelle. Le roi des singes n’était pas insensible. J’écarquillais les yeux de surprise alors que je sentis ses lèvres contre les miennes, me coupant le souffle. Un baiser chaste, doux. A son image. Je m’étais raidie sous l’effet de surprise, mais lentement, mes muscles se détendirent un à un alors que je sentais la main de In Ha passer dans mon dos. Instinctivement, j’écartais légèrement les jambes pour le laisser se glisser contre le plan de travail et nous donner une position plus confortable. Mais alors que je répondais enfin à son baiser, je le sentis y mettre fin et reculer. Je le fixais, un peu hébétée. Ce baiser, malgré léger, avait réussi à avoir rougi ses lèvres, et sans doute les miennes aussi. Je le fixais, un peu timide, mais aussi un peu déçue que ce soit déjà terminé alors que j’avais à peine gouté ses lèvres. « Ne t’excuse pas … » chuchotais-je alors que je détournais les yeux alors qu’il me complimentait à nouveau. « Arrêtes, je vais finir pas plus savoir où me mettre… » Arrivais-je à articuler tant bien que mal. Je le regardais sur le côté, remettant une mèche derrière mon oreille alors qu’il me disait être un faible homme. Je n’appelais pas un homme qui était aussi doux et tendre que lui, un faible homme, mais chacun son point de vue. Je souris en le voyant tambouriné son torse. « Parce que tu crois que le mien n’a pas fait boumboum ? » lâchais-je en riant. Il m’avait surprise et les battements de mon cœur avaient soudain accélérer. Il avait réussi à lui faire battre la chamade. Et ce regard intense qu’il posait la seconde suivante sur ma personne me fit remonter l’adrénaline qui était un rien redescendu lors de notre discussion, me faisait des guilis dans le ventre. Une part de moi en redemandait et en voulait plus, mais l’autre n’osait pas l’approcher d’avantage. Je secouais la tête alors qu’il me demandait de l’effet que je pouvais bien faire. Je réfléchis un instant avant de lever les épaules. « Je suis une femme comme une autre. » finis-je par conclure. J’avais mes qualités bien sûr, mais j’étais loin d’être une femme forte comme Cami, Haneul ou Nina. Je vivais la vie comme elle venait. J’allais là où le vent m’emportait. Je pris le verre qu’il me présentait, le portant à mes lèvres. Mes doigts s’enroulèrent autour et je le serrais un peu alors qu’il me disait de faire attention. Je relevais le visage vers lui, me léchant la lèvre inférieure encore imbibé de jus d’ananas. Et je le fixais un moment avant de finir par lâcher. « Faire attention à quoi ? Au roi des singes ? » Je le regardais peut être trop intensément, mais il avait piqué au vif ma curiosité. Je déposais le récipient sur le plan de travail à côté de moi, et l’attrapais à nouveau par le t-shirt pour l’approcher de moi. J’écartais légèrement les jambes pour qu’il se glisse contre l’armoire, puis je les refermais. Le voila prisonnier à présent. Je souris, car je ne savais rien faire d’autre. C’était dans ma nature d’être joyeuse et de sourire au bonheur ou à la tristesse. C’était un remède miracle, je vous dis. Je posais mon doigt sur le bout de son nez, pressant doucement. « Je n’ai pas peur, tu sais !? » Je lui pinçais doucement les joues avant de mettre mes mains à plan sur celles-ci. « Je suis certaine que tu essayes seulement de me faire peur ! » le taquinais-je avant d’effleurer ses lèvres des miennes. A peine une caresse. Comme une légère brise de vent venant frôler notre peau. Je laissais descendre mes mains sur son t-shirt et le serrait entre mes doigts alors que mon nez frôlait le sien sans que nos lèvres ne se touchent, juste nos souffles chauds qui s’entremêlait. « Tu t’es permis de gouter, mais moi j’en ai eu à peine le temps… » Dis-je d’une petite voix d’enfant plaintif. Puis, j’attrapais ses lèvres avec plus de franchise, me pressant un peu plus contre lui, l’empêchant de reculer avec mes cuisses. Je passais ma langue sur ses lèvres avant de me reculer et de rire aux éclats. « Tu as le gout d’ananas »
(c) fiche:WILD BIRD & gifs:gifs hunt c l o s e d
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Re: + 18 - Une bouffée d'air frais - In Ha | Sam 7 Mai - 22:46 Citer EditerSupprimer
Une bouffée d'air frais
Dambi & In Ha
TENUE & MUSIC | Si il fallait une explication à ce baiser... Eh bien, il y en aurait aucune. L'envie d'un instant. Parfois, il ne fallait pas trop réfléchir à ce que l'on faisait, et suivre simplement son impulsion du moment, tels étaient les dires de ma chère Nina. Quand le geste était honnête, le sentiment plein d'amour, autant le faire non ? Ahh son côté hippie avait, avec les années, déteins sur moi, je commençais à le comprendre au fil du temps. Trop d'influence de la part de cette américaine aux cheveux arc-en-ciel, l'arc-en-ciel de mon cœur. Dambi était à croquer, à croquer en général d'ailleurs mais pas autant qu'aujourd'hui. On aurait dit un petit marshmallow adorable, et je voulais y goûter, une bouchée, un parfum restant au creux de mes lèvres. Je m'en serais contenté. Vile tentation qu'étaient les femmes, toutes qu'elles étaient. Et nous, faibles hommes, les paupières en papillon, admirant silencieusement avec envie, d'un air bêtement hypnotisé. Je n'avais jamais eu aucune arrière pensée pour la jeune femme. Ses manières, sa manière de voir les choses de la vie étaient agréables à écouter, faisant sourire, faisant rire aussi, souvent par la naïveté des propos qui étaient peut-être les plus justes en réalité quand on y réfléchissait bien. Elle avait le corps d'une femme, et parfois parlait comme une enfant, si bien qu'on ne savait sur quel pied danser.
C'était voulu, ce baiser. Je le prenais comme ces "je t'aime" que l'on offrait parfois aux gens qu'on aimait, qu'on aimait, pas à ceux dont on était follement amoureux. Ce baiser était comme ça, un amour clamé, une affection démontrée en un geste qui voulait parfois en dire trop. Il voulait souvent dire trop, voilà pourquoi mon premier réflexe avait été de me pourfendre en excuse, dans mon impulsivité d'homme. Mais je ne pouvais non plus dire le contraire.. Dambi était attirante. Je la voyais comme quelque chose de lumineux, de sucré, quelque chose auquel vous devenez très vite dépendant. La première fois que je l'avais vu dans le groupe de Jax, je trouvais qu'elle avait des allures d'ange, avec ses longs cheveux blonds. J'avais un truc pour les étrangères, c'était nouveau, c'était atypique, c'était inspirant. Comme ma Reeva. J'admirais souvent son allure, ce qu'elle dégageait, souvent comme un artiste, sans aucun doute comme un homme de temps à autre. Et puis, j'avais appris à la connaître, j'avais apprécié sa douceur et sa personnalité, mon regard s'attardant un peu sur ses gestes, sa beauté naturelle, et un charisme indéniable qui attirait un peu tout le monde autour d'elle. Parfois, je m'avançais plus près pour fixer ses yeux, la mer s'y reflétant, mais le feu s'emparait de ses joues, et je la suppliais de me regarder afin de profiter un peu plus de cette particularité occidentale.
Elle était belle. Elle était belle là devant moi, et je lui disais, parce que je ne pouvais pas m'empêcher de le dire, quand c'était vrai. Les compliments sincères faisaient plaisir, non ? « Arrêtes, je vais finir par plus savoir où me mettre… » Elle remettait une mèche de cheveux derrière son oreille, ce geste semblait être au ralenti tellement j'en décortiquais chaque seconde. Elle devait être superbe à prendre en photo, pensais-je pour moi-même. « Mais c'est vrai. » lui assurais-je simplement, avant qu'elle ne rajoute que son cœur avait fait boumboum, ce qui me fît instantanément sourire, plutôt fier, partageant son doux rire. « Ahh tu n'es pas une femme comme une autre, ça non. Tu es comme un soleil et moi... comme une fleur.. Tu m'attires. » lui assurais-je, la tête penchée sur le côté, concentré dans la comparaison, avant de reposer mon regard sur elle à la fin de ma phrase, laissant passer quelques longues secondes, avant d'écarquiller les yeux et de me mettre à sourire. Est-ce que.. ça sonnait un peu bizarre ? Ce que je voulais dire avant tout c'est que.. « Tu.. as un charisme attirant. » rajoutais-je, mon regard plongé dans le sien, avant de l'esquiver, de le fuir, le reportant sur le jus d'ananas juste à côté. Je lui servais un verre qu'elle s'empressa de boire, j'en fis de même, alors que je lui disais de faire attention. De faire attention aux autres, aux irrespectueux, aux loups aux langues bien pendus et à l'égo démesuré. Et sans doute à moi qui, en la sentant aussi près, me donnait des envies soudaines, que je n'avais pas encore ressenti pour elle jusqu'alors. Des envies qui pouvaient dépasser certaines limites qui, à cet instant, me semblaient si fines.. Si bien, que je me décalais légèrement d'un pas en arrière. Mais c'était sans compter sur la jeune femme, qui m'agrippait littéralement par le tee-shirt, pour me rapprocher brusquement d'elle. Je déposais mes bras de chaque côté d'elle sur le plan de travail, alors que ses jambes se glissaient avec force autour de moi, un soupir m'échappant. « Dambi.. Joues-tu les petits singes avec moi ? » murmurais-je, faisant écho à son sourire léger. Elle s'amusait, elle me regardait d'un air enfantin, mignon, elle ne se rendait pas compte. C'était fou ! Son petit nez contre le mien, ses mains sur mes joues alors que je sentais sa respiration chatouiller la mienne. Elle n'avait pas peur, mais moi oui, peur d'aller trop loin et de ne pas savoir me tenir. Car je ne savais pas jusqu'où allait son air innocent.. « Je ne te dis pas d'avoir peur, je te dis de te méfier.. » lui susurrais-je du bout des lèvres, m'avançant légèrement lorsque sa bouche frôlait la mienne. Un léger frisson me parcourant, ses yeux clairs me transperçant avec intensité, son parfum léger se dissipant autour de moi.. Je sentais mes sens en éveil, à l'écoute, sur leur garde. Mes avants-bras étaient tendus alors qu'elle continuait à s'avancer de sa voix plaintive, toute mignonne, m'empêchant de m'éloigner. Magicienne. « Tu t’es permis de goûter, mais moi j’en ai eu à peine le temps… » « Dambi.. » Non, non il ne valait mieux pas ! Un mouvement en arrière, une tentative du moins, bien vite arrêtait. Trop.. tard. Mais avais-je vraiment voulu y échapper hm ? J'avais bien le double de sa force, voir plus, si je n'avais vraiment pas voulu, cela aurait été réglé en une seconde, n'est-ce pas ? A vrai dire, la surprise et la curiosité me dévoraient l'esprit. Alors.. elle avait un côté impétueux ? De prendre les devants, voilà quelque chose que je trouvais particulièrement attirant chez une femme, j'avais même tendance à m'avancer, pour mieux qu'on avance vers moi. Elle avait osée, avec plus de franchise, comme si elle me disait d'oser moi-même. Passée la surprise, un feu s'animait doucement en moi, la laissant diriger sa charmante initiative, alors que je me forçais à garder mes mains fermement agrippées au plan de travail en bois. Pourtant, peu à peu, elles glissaient vers les hanches de la blonde, les épousant avec envie, m'empêchant de monter plus loin. Je sentais que peu à peu je lui cédais, elle ne s'en rendait pas compte, et elle m'achevait avec une facilité déconcertante, sa langue glissant sur mes lèvres avec une sensualité extrême que je lui découvrais, m'électrisant en moins d'une seconde, ma bouche s'entrouvrant.
« Tu as le gout d’ananas. » Elle était partie dans un éclat de rire, un rire qui m'apparaissait tout bonnement sexy à cet instant précis alors que mes yeux la fixaient avec un soudain désir, mes mains caressant calmement ses cuisses. Et puis, sans prévenir, ma main sur sa joue, je réduisis sans gêne le peu de distance qu'elle nous avait laissé pour respirer, pour venir embrasser son rire. Comme si j'avais senti un délic inexplicable, ce déclic animal que l'on ne pouvait vraiment contrôler. Et je m'étais élancé vers elle, ma langue recherchant sa jumelle qui était venue titiller mes sens d'homme si sensibles, si aiguisés, affamés. Mon autre main remontait sur sa hanche, passant avec lenteur sous son haut blanc, effleurant du bout des doigts sa peau, avant de venir en peindre les contours, remontant vers sa taille si fine, si douce... Elle me donnait chaud avec ses cuisses qui me serraient contre elle, elle savait vraiment quoi faire hein ! Comment voulez-vous que je puisse me contrôler avec une telle position ? Mais avais-je encore une once de contrôle.. Mais oui.. Je ralentissais mon baiser, calmant ma soudaine dominance, déposant des petits baisers le long de sa mâchoire, puis sous son menton, et sa gorge offerte. « Je suis faible... » murmurais-je, presque à moi-même, me nichant dans son cou en un bref soupir. « Et tu es une ensorceleuse, une douce ensorceleuse... » continuais-je, le bout de ma langue redessinant la délicatesse de sa clavicule. Je continuais à parsemer quelques baisers légers sur sa peau qui n'était pas recouverte, alors que ma main sous son tee-shirt s'arrêtait juste à temps dans son ascension, n'ayant touché aucun autre tissu... Je papillonnais des paupières un bref instant. Elle ne portait pas de soutien-gorge, son haut cachant parfaitement ce qu'il fallait... Légèrement déstabilisé, je caressais le creux de ses reins, alors que je remontais jusqu'à son visage, son joli visage, mon souffle gonflant mon torse. « …On était ici pour quoi déjà ? » lui demandais-je, d'un large sourire amusé, avant de reprendre. « Ah oui, la musique. Boire puis faire de la musique. Non mais.. Non mais sérieux là, je ne suis absolument pas concentré. Je ne sais même pas si je vais me souvenir des accords de notre dernière chanson ! » J'exagérais.. même pas. Du bout des doigts, je m'attardais toujours dans son dos, mes yeux plongés dans les siens, toujours dans cette bulle, dans ce qui venait de se passer... « Et puis, c'était pas prévu ça ! Que mon petit ange joue de ses charmes trop près de moi ! Regarde, tu sens l'ananas partout maintenant, sur ta bouche, ton cou, sur ta peau.. » Mon regard traçait silencieusement le chemin sur elle. « T'es aussi belle que la musique, alors j'ai.. dû mal à choisir. » rajoutais-je, d'un air séduisant, un sourire en coin, même si c'était peut-être un drôle de compliment que j'étais le seul à comprendre.
C'était voulu, ce baiser. Je le prenais comme ces "je t'aime" que l'on offrait parfois aux gens qu'on aimait, qu'on aimait, pas à ceux dont on était follement amoureux. Ce baiser était comme ça, un amour clamé, une affection démontrée en un geste qui voulait parfois en dire trop. Il voulait souvent dire trop, voilà pourquoi mon premier réflexe avait été de me pourfendre en excuse, dans mon impulsivité d'homme. Mais je ne pouvais non plus dire le contraire.. Dambi était attirante. Je la voyais comme quelque chose de lumineux, de sucré, quelque chose auquel vous devenez très vite dépendant. La première fois que je l'avais vu dans le groupe de Jax, je trouvais qu'elle avait des allures d'ange, avec ses longs cheveux blonds. J'avais un truc pour les étrangères, c'était nouveau, c'était atypique, c'était inspirant. Comme ma Reeva. J'admirais souvent son allure, ce qu'elle dégageait, souvent comme un artiste, sans aucun doute comme un homme de temps à autre. Et puis, j'avais appris à la connaître, j'avais apprécié sa douceur et sa personnalité, mon regard s'attardant un peu sur ses gestes, sa beauté naturelle, et un charisme indéniable qui attirait un peu tout le monde autour d'elle. Parfois, je m'avançais plus près pour fixer ses yeux, la mer s'y reflétant, mais le feu s'emparait de ses joues, et je la suppliais de me regarder afin de profiter un peu plus de cette particularité occidentale.
Elle était belle. Elle était belle là devant moi, et je lui disais, parce que je ne pouvais pas m'empêcher de le dire, quand c'était vrai. Les compliments sincères faisaient plaisir, non ? « Arrêtes, je vais finir par plus savoir où me mettre… » Elle remettait une mèche de cheveux derrière son oreille, ce geste semblait être au ralenti tellement j'en décortiquais chaque seconde. Elle devait être superbe à prendre en photo, pensais-je pour moi-même. « Mais c'est vrai. » lui assurais-je simplement, avant qu'elle ne rajoute que son cœur avait fait boumboum, ce qui me fît instantanément sourire, plutôt fier, partageant son doux rire. « Ahh tu n'es pas une femme comme une autre, ça non. Tu es comme un soleil et moi... comme une fleur.. Tu m'attires. » lui assurais-je, la tête penchée sur le côté, concentré dans la comparaison, avant de reposer mon regard sur elle à la fin de ma phrase, laissant passer quelques longues secondes, avant d'écarquiller les yeux et de me mettre à sourire. Est-ce que.. ça sonnait un peu bizarre ? Ce que je voulais dire avant tout c'est que.. « Tu.. as un charisme attirant. » rajoutais-je, mon regard plongé dans le sien, avant de l'esquiver, de le fuir, le reportant sur le jus d'ananas juste à côté. Je lui servais un verre qu'elle s'empressa de boire, j'en fis de même, alors que je lui disais de faire attention. De faire attention aux autres, aux irrespectueux, aux loups aux langues bien pendus et à l'égo démesuré. Et sans doute à moi qui, en la sentant aussi près, me donnait des envies soudaines, que je n'avais pas encore ressenti pour elle jusqu'alors. Des envies qui pouvaient dépasser certaines limites qui, à cet instant, me semblaient si fines.. Si bien, que je me décalais légèrement d'un pas en arrière. Mais c'était sans compter sur la jeune femme, qui m'agrippait littéralement par le tee-shirt, pour me rapprocher brusquement d'elle. Je déposais mes bras de chaque côté d'elle sur le plan de travail, alors que ses jambes se glissaient avec force autour de moi, un soupir m'échappant. « Dambi.. Joues-tu les petits singes avec moi ? » murmurais-je, faisant écho à son sourire léger. Elle s'amusait, elle me regardait d'un air enfantin, mignon, elle ne se rendait pas compte. C'était fou ! Son petit nez contre le mien, ses mains sur mes joues alors que je sentais sa respiration chatouiller la mienne. Elle n'avait pas peur, mais moi oui, peur d'aller trop loin et de ne pas savoir me tenir. Car je ne savais pas jusqu'où allait son air innocent.. « Je ne te dis pas d'avoir peur, je te dis de te méfier.. » lui susurrais-je du bout des lèvres, m'avançant légèrement lorsque sa bouche frôlait la mienne. Un léger frisson me parcourant, ses yeux clairs me transperçant avec intensité, son parfum léger se dissipant autour de moi.. Je sentais mes sens en éveil, à l'écoute, sur leur garde. Mes avants-bras étaient tendus alors qu'elle continuait à s'avancer de sa voix plaintive, toute mignonne, m'empêchant de m'éloigner. Magicienne. « Tu t’es permis de goûter, mais moi j’en ai eu à peine le temps… » « Dambi.. » Non, non il ne valait mieux pas ! Un mouvement en arrière, une tentative du moins, bien vite arrêtait. Trop.. tard. Mais avais-je vraiment voulu y échapper hm ? J'avais bien le double de sa force, voir plus, si je n'avais vraiment pas voulu, cela aurait été réglé en une seconde, n'est-ce pas ? A vrai dire, la surprise et la curiosité me dévoraient l'esprit. Alors.. elle avait un côté impétueux ? De prendre les devants, voilà quelque chose que je trouvais particulièrement attirant chez une femme, j'avais même tendance à m'avancer, pour mieux qu'on avance vers moi. Elle avait osée, avec plus de franchise, comme si elle me disait d'oser moi-même. Passée la surprise, un feu s'animait doucement en moi, la laissant diriger sa charmante initiative, alors que je me forçais à garder mes mains fermement agrippées au plan de travail en bois. Pourtant, peu à peu, elles glissaient vers les hanches de la blonde, les épousant avec envie, m'empêchant de monter plus loin. Je sentais que peu à peu je lui cédais, elle ne s'en rendait pas compte, et elle m'achevait avec une facilité déconcertante, sa langue glissant sur mes lèvres avec une sensualité extrême que je lui découvrais, m'électrisant en moins d'une seconde, ma bouche s'entrouvrant.
« Tu as le gout d’ananas. » Elle était partie dans un éclat de rire, un rire qui m'apparaissait tout bonnement sexy à cet instant précis alors que mes yeux la fixaient avec un soudain désir, mes mains caressant calmement ses cuisses. Et puis, sans prévenir, ma main sur sa joue, je réduisis sans gêne le peu de distance qu'elle nous avait laissé pour respirer, pour venir embrasser son rire. Comme si j'avais senti un délic inexplicable, ce déclic animal que l'on ne pouvait vraiment contrôler. Et je m'étais élancé vers elle, ma langue recherchant sa jumelle qui était venue titiller mes sens d'homme si sensibles, si aiguisés, affamés. Mon autre main remontait sur sa hanche, passant avec lenteur sous son haut blanc, effleurant du bout des doigts sa peau, avant de venir en peindre les contours, remontant vers sa taille si fine, si douce... Elle me donnait chaud avec ses cuisses qui me serraient contre elle, elle savait vraiment quoi faire hein ! Comment voulez-vous que je puisse me contrôler avec une telle position ? Mais avais-je encore une once de contrôle.. Mais oui.. Je ralentissais mon baiser, calmant ma soudaine dominance, déposant des petits baisers le long de sa mâchoire, puis sous son menton, et sa gorge offerte. « Je suis faible... » murmurais-je, presque à moi-même, me nichant dans son cou en un bref soupir. « Et tu es une ensorceleuse, une douce ensorceleuse... » continuais-je, le bout de ma langue redessinant la délicatesse de sa clavicule. Je continuais à parsemer quelques baisers légers sur sa peau qui n'était pas recouverte, alors que ma main sous son tee-shirt s'arrêtait juste à temps dans son ascension, n'ayant touché aucun autre tissu... Je papillonnais des paupières un bref instant. Elle ne portait pas de soutien-gorge, son haut cachant parfaitement ce qu'il fallait... Légèrement déstabilisé, je caressais le creux de ses reins, alors que je remontais jusqu'à son visage, son joli visage, mon souffle gonflant mon torse. « …On était ici pour quoi déjà ? » lui demandais-je, d'un large sourire amusé, avant de reprendre. « Ah oui, la musique. Boire puis faire de la musique. Non mais.. Non mais sérieux là, je ne suis absolument pas concentré. Je ne sais même pas si je vais me souvenir des accords de notre dernière chanson ! » J'exagérais.. même pas. Du bout des doigts, je m'attardais toujours dans son dos, mes yeux plongés dans les siens, toujours dans cette bulle, dans ce qui venait de se passer... « Et puis, c'était pas prévu ça ! Que mon petit ange joue de ses charmes trop près de moi ! Regarde, tu sens l'ananas partout maintenant, sur ta bouche, ton cou, sur ta peau.. » Mon regard traçait silencieusement le chemin sur elle. « T'es aussi belle que la musique, alors j'ai.. dû mal à choisir. » rajoutais-je, d'un air séduisant, un sourire en coin, même si c'était peut-être un drôle de compliment que j'étais le seul à comprendre.
FICHE ET CODES PAR BROADSWORD.
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Re: + 18 - Une bouffée d'air frais - In Ha | Jeu 12 Mai - 16:28 Citer EditerSupprimer
Une bouffée d'air frais.
In Ha & Dambi
Local de répétition
TENUE +
Se laisser aller. Se laisser tenter. Succomber à ses envies. Sans chercher à y résister. Une envie. Une action. Pourquoi s’embêter à se prendre la tête quand on voulait simplement le faire ? Nous n’avions rien à nous reproché. Un baiser. Deux. Trois. ca n’avait rien de bien méchant. Juste un instant de tendresse volé. Une douceur extrême qui vous donnait des ailes le temps d’un moment. In Ha, il était un de ces hommes qui savait comment accueillir la douceur d’un ange et comment bien le rendre sur le même temps. Rare était ces hommes. La façon dont il avait réagi en était la preuve. Aucune brusquerie, aucune violence. Que des caresses d’une plume sur ma peau. Ne pas réfléchir, c’était ainsi qu’il fallait parfois agir quand le chant du cœur ronronnait et que les corps s’appelaient à danser. Je distribuais des baisers comme pour lui montrer mon affection. Tout le monde n’en avait pas droit. D’ailleurs, il devait être le seul homme à qui j’en donnais parce que j’en avais envie. Depuis que j’étais petite, j’avais toujours eu une nette préférence pour les femmes, sans doute à cause de cette histoire dans une des familles d’accueil dans lesquels j’avais passé quelques mois. Ca avait laissé quelques séquelles qu’on ne voyait pas forcement, mais je vivais avec sans m’en plaindre, m’en accommandant même.
J’avais agis, mais ses compliments me faisaient monter le rouge aux joues. Il était facile de me rendre timide et docile. La manière douce ou la manière forte. La manière douce était tellement mieux avec ces paroles flatteuses qui voulaient me décrire et qui me rendait gênée, car je n’avais pas conscience. Je n’avais pas encore conscience de ce que je pouvais provoquer chez un homme. Pour moi, tout ce qu’il disait, c’était juste pour me faire plaisir, j’avais du mal à croire que c’était vrai. J’avais toujours grandi au milieu d’enfant qui avait un tout autre physique que moi. J’avais de grands yeux de chats alors que les leurs étaient en forment d’amande. Ils étaient petits alors que j’étais plus grande. J’avais les cheveux blonds alors qu’ils les avaient noirs. J’étais telle une luciole trop lumineuse au milieu des ténèbres. J’avais souvent été la risée de mes semblables, car je ne leur ressemblais pas assez. Ma différence faisait de moi un monstre à rejeter. Si Nolan n’avait pas été la pour me prendre dans ses bras à chaque fois que je pleurais ou à hurler sur ceux qui s’en prenait à moi, je ne sais pas si j’aurais pu garder le sourire que j’avais encore aujourd’hui. Lui et moi étions pareils. Nos cheveux blonds et nos grands yeux nous avaient rapprochés pour ne plus jamais se quitter. Et aujourd’hui, ces différences qui m’avaient porté préjudices, le roi des singes me disait que j’étais belle grâce à eux. Comment ne pas rougir ? Il chantait mes louanges sur ce qui avait toujours été ma hantise, je ne pouvais que le regarder avec des yeux brillants de petites filles. Je le fixais, le visage légèrement pêchée vers l’avant, au travers de mes mèches rebelles alors qu’il me comparait à un soleil qui l’attirerait. Je pointais mon doigt vers son ventre avant de pousser doucement sur celui-ci en souriant. « C’est plutôt toi le soleil et moi la fleur. » je le fixais toujours alors que ses lèvres s’étiraient en un large sourire. Qu’il était beau quand il souriait. Il devrait toujours être ainsi. Le sourire aux lèvres, le visage détendu. Je le poussais un peu, avant de me cacher le visage à l’intérieur de mes mains alors qu’il continuait à m’achever à coup de compliments. « Arrêtes, je … je suis gênée. » Deux regards intenses s’étaient croisé, rendant le moment bien plus intime.je préférais fuir en me refugiant dans mon verre d’ananas que je bus d’une traite tellement j’avais la gorge sèche.
Pourtant, je n’avais aucune envie qu’il s’éloigne de moi. Je voulais le garder tout près. J’étais si bien à l’instant que je ne voulais pas le voir partir. La seule chose qui me vint à l’esprit fut de l’agripper par le t-shirt. Je ris en l’entendant me comparer à un petit singe. « Un bébé singe pour le roi des singes. » Mon rire retentit à nouveau telle une douce musique. Mes aires enfantins pouvaient parfois rendre confus sans que je ne m’en aperçoive. La méfiance, je ne connaissais pas. C’était un mot qui m’était étranger. Mon comportement était insouciant, avec aucune notion du danger. Je ne savais pas où était les limites, ou plutôt, je ne cherchais pas à les comprendre. Car les limites voulaient dire contrainte, et je n’en voulais aucune. Je me laissais porter par le vent, allant là où il me menait. In Ha, si près de moi, mon cœur s’était légèrement accéléré. J’entendais ses battements résonner dans mes veines, faisant vibrer mon corps entier. Un frisson me parcouru quand nos lèvres se rencontrèrent à nouveau. J’aimais cette sensation. C’était si grisant. Mon prénom murmuré du bout des lèvres sur un ton de musique que nous pouvions connaitre à cet instant précis me donnait des ailes. Comme si j’étais sur un nuage de coton et que je ne voulais plus m’en relever. Et une seconde fois, on sombrait dans ce vil vice qu’était la luxure du plaisir. Je me collais un peu plus à lu pris dans mon élan, envoutée pas son parfum. Aventureuse, je partais à la découverte de ses lèvres de ma langue, m’ensorcelant de cette sensation si enivrante. Quand je nous séparais, je ris du gout d’ananas qu’il pouvait avoir, comme une enfant qui venait de comprendre une plaisanterie en décalage. Et mon rire se perdit à nouveau contre ses lèvres qui emprisonnaient les miennes. Mes yeux se fermèrent alors que ma tête se laissait aller légèrement vers l’arrière. Mon souffle s’accélérait alors que je goutais chaque seconde de ce baiser. Je laissais échapper un gémissement alors que je sentis sa main caressée ma peau, en contournant chaque courbe pour finir par passer en dessus de mon haut blanc. Une barrière de tissu qui m’avait paru bien futile sur le coup. Un bout de tissu dont on avait envie de se débarrasser. Et instinctivement, mon corps voulait se coller un peu plus contre le sien. Mes doigts se refermèrent sur son t-shirt, le chiffonnant. Je tirais un peu plus pour l’attirer plus près encore. Et il m’achevait à coup de baisers sur ma peau de nacre, alors que je fondais comme un marshmallow entre ses doigts. Mes yeux s’étaient voilés d’un désir nouveau. Ma respiration était devenue saccadé. Je frissonnais. Tout mon être en demandait plus. Une de mes mains remontait le long de sa colonne vertébrale pour venir se loger dans ses cheveux. Je les caressais doucement, pressant sa tête un peu plus dans mon cou au rythme de mon souffle chaud. « Si je suis une ensorceleuse, tu es un musicien-magicien. » murmurais-je sur le même ton, alors que mon autre bras s’enroulait autour de sa taille. Je lâchais un soupire en sentant sa langue dessiner ma clavicule. Je n’allais pas pouvoir lui résister longtemps si il continuait de me faire subir une si belle et douce torture. Je le fixais en papillonnant des cils, shooter à ses bisous, alors qu’il me demandait quelle était la raison de notre rencontre du jour. « Je sais plus.. » murmurais-je en souriant. « Tu m’avais perdre toute raison… » J’éclatais à nouveau de rire comme une enfant. Jolie femme-enfant. Mes doigts avec trouver une parcelle de peau dénudé dans son cou et s’y était attardé, faisant de petits ronds. Geste apaisant. Je suivis du regard le chemin qu’il avait fait pour que je sente l’ananas. Mon rire retentit à nouveau en secouant la tête. « J’aime l’ananas, ca ne me dérange donc pas. J’aurais presque envie de me manger maintenant. » J’entrais la tête dans les épaules alors qu’il me disait encore que j’étais belle. Il ne pourrait me faire plus beau compliment en me comparant à la musique. Doucement, je relevais le visage vers le sien, alors qu’il jouait de ses charmes. « Toi aussi tu es craquant quand tu souris ainsi.. » Et même en temps normal, mais plus à l’instant qu’à tout autre moment. Je posais ma main qui paraissait bien petite à côté de la sienne, sur sa joue, caressant doucement son sourire du pouce, la tête penchée sur le côté. « C’est une douce drogue à laquelle on pourrait bien vite devenir accroc. » Je souris avant de l’encercler de mes bras. Je les enroulais autour de son cou, enfouissant mon visage au creux de celui-ci dans un câlin tout doux. Je déposais mes lèvres dans son cou en remontant vers sa mâchoire, le picorant pas ci par le, lui volant un bisou chaste sur les lèvres et de m’écarter de lui de quelques centimètres. « Je suis bien dans tes bras. Je m’y sens en sécurité comme si c’était une couverture chaude et douce. ». Je ris avant de lorgner sur sa peau descendant sur son torse. J’écartais d’un doigt, son col pour y jeter un coup d’œil par curiosité. Pas de chance. Je ne voyais pas grand-chose. Je m’écartais complètement, desserrant l’emprise de mes jambes autour de sa taille pour le laisser partir si l’envie lui en prenait. La curiosité me gagnait. Je penchais la tête vivement sur le côté avant d’attraper les pans de son haut, les soulevant soudain vers le dessus. « Ho ? » m’écriais-je avec surprise. D’une main, je touchais du bout des doigts sa peau. « C’est que tu as du muscles la dessous. » Je regardais les tablettes de chocolat avec envie avant de relâcher subitement le t-shirt comme si il m’avait brulé. Un O se fermait au niveau de ma bouche que je cachais de mes mains sous la surprise de mon audace. Je finis par rire pour détendre l’atmosphère, secouant les pieds sur le plan de travail. « Désole, je crois que je me suis laissée emportée. » J’étais rarement si familière à ce point avec d’autres que mes frères, mais inha était si .. si diffèrent. On se s’entait à l’aise dès la première seconde à ses côtés. Ca avait été ainsi dès notre première rencontre. Il avait cet air léger sans prise de tête qui donnait des ailes. Qui nous mettait en confiance. Et puis, comment résister à du chocolat ?
Se laisser aller. Se laisser tenter. Succomber à ses envies. Sans chercher à y résister. Une envie. Une action. Pourquoi s’embêter à se prendre la tête quand on voulait simplement le faire ? Nous n’avions rien à nous reproché. Un baiser. Deux. Trois. ca n’avait rien de bien méchant. Juste un instant de tendresse volé. Une douceur extrême qui vous donnait des ailes le temps d’un moment. In Ha, il était un de ces hommes qui savait comment accueillir la douceur d’un ange et comment bien le rendre sur le même temps. Rare était ces hommes. La façon dont il avait réagi en était la preuve. Aucune brusquerie, aucune violence. Que des caresses d’une plume sur ma peau. Ne pas réfléchir, c’était ainsi qu’il fallait parfois agir quand le chant du cœur ronronnait et que les corps s’appelaient à danser. Je distribuais des baisers comme pour lui montrer mon affection. Tout le monde n’en avait pas droit. D’ailleurs, il devait être le seul homme à qui j’en donnais parce que j’en avais envie. Depuis que j’étais petite, j’avais toujours eu une nette préférence pour les femmes, sans doute à cause de cette histoire dans une des familles d’accueil dans lesquels j’avais passé quelques mois. Ca avait laissé quelques séquelles qu’on ne voyait pas forcement, mais je vivais avec sans m’en plaindre, m’en accommandant même.
J’avais agis, mais ses compliments me faisaient monter le rouge aux joues. Il était facile de me rendre timide et docile. La manière douce ou la manière forte. La manière douce était tellement mieux avec ces paroles flatteuses qui voulaient me décrire et qui me rendait gênée, car je n’avais pas conscience. Je n’avais pas encore conscience de ce que je pouvais provoquer chez un homme. Pour moi, tout ce qu’il disait, c’était juste pour me faire plaisir, j’avais du mal à croire que c’était vrai. J’avais toujours grandi au milieu d’enfant qui avait un tout autre physique que moi. J’avais de grands yeux de chats alors que les leurs étaient en forment d’amande. Ils étaient petits alors que j’étais plus grande. J’avais les cheveux blonds alors qu’ils les avaient noirs. J’étais telle une luciole trop lumineuse au milieu des ténèbres. J’avais souvent été la risée de mes semblables, car je ne leur ressemblais pas assez. Ma différence faisait de moi un monstre à rejeter. Si Nolan n’avait pas été la pour me prendre dans ses bras à chaque fois que je pleurais ou à hurler sur ceux qui s’en prenait à moi, je ne sais pas si j’aurais pu garder le sourire que j’avais encore aujourd’hui. Lui et moi étions pareils. Nos cheveux blonds et nos grands yeux nous avaient rapprochés pour ne plus jamais se quitter. Et aujourd’hui, ces différences qui m’avaient porté préjudices, le roi des singes me disait que j’étais belle grâce à eux. Comment ne pas rougir ? Il chantait mes louanges sur ce qui avait toujours été ma hantise, je ne pouvais que le regarder avec des yeux brillants de petites filles. Je le fixais, le visage légèrement pêchée vers l’avant, au travers de mes mèches rebelles alors qu’il me comparait à un soleil qui l’attirerait. Je pointais mon doigt vers son ventre avant de pousser doucement sur celui-ci en souriant. « C’est plutôt toi le soleil et moi la fleur. » je le fixais toujours alors que ses lèvres s’étiraient en un large sourire. Qu’il était beau quand il souriait. Il devrait toujours être ainsi. Le sourire aux lèvres, le visage détendu. Je le poussais un peu, avant de me cacher le visage à l’intérieur de mes mains alors qu’il continuait à m’achever à coup de compliments. « Arrêtes, je … je suis gênée. » Deux regards intenses s’étaient croisé, rendant le moment bien plus intime.je préférais fuir en me refugiant dans mon verre d’ananas que je bus d’une traite tellement j’avais la gorge sèche.
Pourtant, je n’avais aucune envie qu’il s’éloigne de moi. Je voulais le garder tout près. J’étais si bien à l’instant que je ne voulais pas le voir partir. La seule chose qui me vint à l’esprit fut de l’agripper par le t-shirt. Je ris en l’entendant me comparer à un petit singe. « Un bébé singe pour le roi des singes. » Mon rire retentit à nouveau telle une douce musique. Mes aires enfantins pouvaient parfois rendre confus sans que je ne m’en aperçoive. La méfiance, je ne connaissais pas. C’était un mot qui m’était étranger. Mon comportement était insouciant, avec aucune notion du danger. Je ne savais pas où était les limites, ou plutôt, je ne cherchais pas à les comprendre. Car les limites voulaient dire contrainte, et je n’en voulais aucune. Je me laissais porter par le vent, allant là où il me menait. In Ha, si près de moi, mon cœur s’était légèrement accéléré. J’entendais ses battements résonner dans mes veines, faisant vibrer mon corps entier. Un frisson me parcouru quand nos lèvres se rencontrèrent à nouveau. J’aimais cette sensation. C’était si grisant. Mon prénom murmuré du bout des lèvres sur un ton de musique que nous pouvions connaitre à cet instant précis me donnait des ailes. Comme si j’étais sur un nuage de coton et que je ne voulais plus m’en relever. Et une seconde fois, on sombrait dans ce vil vice qu’était la luxure du plaisir. Je me collais un peu plus à lu pris dans mon élan, envoutée pas son parfum. Aventureuse, je partais à la découverte de ses lèvres de ma langue, m’ensorcelant de cette sensation si enivrante. Quand je nous séparais, je ris du gout d’ananas qu’il pouvait avoir, comme une enfant qui venait de comprendre une plaisanterie en décalage. Et mon rire se perdit à nouveau contre ses lèvres qui emprisonnaient les miennes. Mes yeux se fermèrent alors que ma tête se laissait aller légèrement vers l’arrière. Mon souffle s’accélérait alors que je goutais chaque seconde de ce baiser. Je laissais échapper un gémissement alors que je sentis sa main caressée ma peau, en contournant chaque courbe pour finir par passer en dessus de mon haut blanc. Une barrière de tissu qui m’avait paru bien futile sur le coup. Un bout de tissu dont on avait envie de se débarrasser. Et instinctivement, mon corps voulait se coller un peu plus contre le sien. Mes doigts se refermèrent sur son t-shirt, le chiffonnant. Je tirais un peu plus pour l’attirer plus près encore. Et il m’achevait à coup de baisers sur ma peau de nacre, alors que je fondais comme un marshmallow entre ses doigts. Mes yeux s’étaient voilés d’un désir nouveau. Ma respiration était devenue saccadé. Je frissonnais. Tout mon être en demandait plus. Une de mes mains remontait le long de sa colonne vertébrale pour venir se loger dans ses cheveux. Je les caressais doucement, pressant sa tête un peu plus dans mon cou au rythme de mon souffle chaud. « Si je suis une ensorceleuse, tu es un musicien-magicien. » murmurais-je sur le même ton, alors que mon autre bras s’enroulait autour de sa taille. Je lâchais un soupire en sentant sa langue dessiner ma clavicule. Je n’allais pas pouvoir lui résister longtemps si il continuait de me faire subir une si belle et douce torture. Je le fixais en papillonnant des cils, shooter à ses bisous, alors qu’il me demandait quelle était la raison de notre rencontre du jour. « Je sais plus.. » murmurais-je en souriant. « Tu m’avais perdre toute raison… » J’éclatais à nouveau de rire comme une enfant. Jolie femme-enfant. Mes doigts avec trouver une parcelle de peau dénudé dans son cou et s’y était attardé, faisant de petits ronds. Geste apaisant. Je suivis du regard le chemin qu’il avait fait pour que je sente l’ananas. Mon rire retentit à nouveau en secouant la tête. « J’aime l’ananas, ca ne me dérange donc pas. J’aurais presque envie de me manger maintenant. » J’entrais la tête dans les épaules alors qu’il me disait encore que j’étais belle. Il ne pourrait me faire plus beau compliment en me comparant à la musique. Doucement, je relevais le visage vers le sien, alors qu’il jouait de ses charmes. « Toi aussi tu es craquant quand tu souris ainsi.. » Et même en temps normal, mais plus à l’instant qu’à tout autre moment. Je posais ma main qui paraissait bien petite à côté de la sienne, sur sa joue, caressant doucement son sourire du pouce, la tête penchée sur le côté. « C’est une douce drogue à laquelle on pourrait bien vite devenir accroc. » Je souris avant de l’encercler de mes bras. Je les enroulais autour de son cou, enfouissant mon visage au creux de celui-ci dans un câlin tout doux. Je déposais mes lèvres dans son cou en remontant vers sa mâchoire, le picorant pas ci par le, lui volant un bisou chaste sur les lèvres et de m’écarter de lui de quelques centimètres. « Je suis bien dans tes bras. Je m’y sens en sécurité comme si c’était une couverture chaude et douce. ». Je ris avant de lorgner sur sa peau descendant sur son torse. J’écartais d’un doigt, son col pour y jeter un coup d’œil par curiosité. Pas de chance. Je ne voyais pas grand-chose. Je m’écartais complètement, desserrant l’emprise de mes jambes autour de sa taille pour le laisser partir si l’envie lui en prenait. La curiosité me gagnait. Je penchais la tête vivement sur le côté avant d’attraper les pans de son haut, les soulevant soudain vers le dessus. « Ho ? » m’écriais-je avec surprise. D’une main, je touchais du bout des doigts sa peau. « C’est que tu as du muscles la dessous. » Je regardais les tablettes de chocolat avec envie avant de relâcher subitement le t-shirt comme si il m’avait brulé. Un O se fermait au niveau de ma bouche que je cachais de mes mains sous la surprise de mon audace. Je finis par rire pour détendre l’atmosphère, secouant les pieds sur le plan de travail. « Désole, je crois que je me suis laissée emportée. » J’étais rarement si familière à ce point avec d’autres que mes frères, mais inha était si .. si diffèrent. On se s’entait à l’aise dès la première seconde à ses côtés. Ca avait été ainsi dès notre première rencontre. Il avait cet air léger sans prise de tête qui donnait des ailes. Qui nous mettait en confiance. Et puis, comment résister à du chocolat ?
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Re: + 18 - Une bouffée d'air frais - In Ha | Sam 11 Juin - 18:46 Citer EditerSupprimer
Une bouffée d'air frais
Dambi & In Ha
TENUE & MUSIC | Mignonne. Dambi a toujours été quelqu'un de mignon, je l'ai toujours vu de cette manière. Un être qu'on a envie de protéger, dont on savourait les sourires gênés, adorables, un air enfantin qui adoucissait instantanément l'humeur, douce et agréable. Mon petit ange. Je n'arrivais même pas à imaginer que l'on ne puisse pas l'apprécier, l'aimer, inimaginable même. Elle faisait clairement partie des gens que tout le monde pouvait aimer, j'en étais persuadé. J'avais toujours envie de lui faire plaisir, je me sentais bien avec elle. Elle me traitait elle-même de nounours, je crois qu'elle était également mon petit nounours à moi, une petite poupée qu'on ne souhaitait que dorloter, et rendre heureuse. Oh je lui souhaitais de l'être. Je n'avais jamais pensé à dépasser la limite avec elle, non... Je reconnaissais m'être souvent arrêté sur sa beauté, la fixant un peu trop, comme une rareté que l'on ne pouvait voir qu'une fois dans sa vie. J'aimais bien ce qui était différent, ce qui sortait un peu de l'ordinaire ennuyant de la Corée. Du blond, j'en avais connu, Reeva aussi l'était mais plus jaunie par le soleil d'italie. Le blond de Dambi était plus blanc, comme enneigé, sa peau plus pâle encore que les asiatiques que nous étions. L'océan traçait des vagues dans ses yeux, si ils représentaient l'élément de l'eau, les miens représentaient la terre, légèrement ambrés à leurs heures. Elle était une jolie pupille sur laquelle tout le monde se retournait, et elle ne semblait pas s'en rendre compte à quel point les regards la détaillaient avec attention. Peut-être ne valait-il pas qu'elle le sache, le secret de sa beauté et de son charisme était bien gardé. Ses proches le savaient, je le savais, et je m'en délectais à chaque fois que je la voyais, m’enivrant de ce qu'elle dégageait naturellement, m'en inspirant d'ailleurs récemment pour une chanson, douce et sensuelle. Un jour, je lui montrerais cette chanson, les paroles me trottaient dans la tête. Aurora...
Des petits baisers, encore, toujours... Légèrement entreprenants, affection démesurée. Je tenais le joli fruit défendu que Dambi était entre mes lèvres, dégustant un instant sa peau lisse, bien trop parfaite, y cherchant une imperfection qui ne semblait pas vouloir se montrer, la caressant doucement, patient, délicat comme si je craignais de salir quelque chose que je ne devrais pas toucher, quelque chose de bien trop précieux, trop unique, bien trop pur... Mais un léger soupir de sa part attisait mon attention à continuer un petit peu plus, sa main se pressant contre ma nuque m'incitant à continuer mon geste. Un creux, un autre, j'y déposais des touchers ananas là où, légèrement, j'osais m'aventurer, le nounours laissant sa place à l'homme envieux. L’ensorceleuse et le musicien-magicien, quelle rencontre ! Je me mettais à rire avec elle, nous ne savions plus la raison de notre venue ici, j'étais bien trop distrait, facilement distrait, pourtant peu de choses pouvaient me distraire de la musique. Si, les femmes. Quand mes deux faiblesses étaient réunies, ce n'était pas facile du tout ! Mais là, à cet instant, elle la surpassait. Elle riait dans mon cou, ma main caressant lentement sa taille dénudée, l'autre passant sur mon front, souriant comme gêné, mais surtout très surpris de la situation. « Toi aussi tu es craquant quand tu souris ainsi.. C’est une douce drogue à laquelle on pourrait bien vite devenir accroc. » me lançait-elle, sa main se posant sur ma joue, son regard azur creusant mes pupilles ténébreuses. Un silence, un silence. « …Yah.. Yah yah ! Mais quelle charmeuse ! Je sens mes joues qui s'enflamment, j'te jure ! » affirmais-je, mon sourire immense, en lui attrapant sa seconde main pour la poser sur ma joue droite. Je la fixais d'un air amusé, avant qu'elle n'enfouisse à nouveau son visage dans mon cou, se lovant un peu plus contre moi. « Il est vrai que je suis un vrai radiateur, idéal pour les nuits d'hiver. » lui affirmais-je, alors qu'elle me disait que j'étais comme une couverture chaude. « Je te protégerais des cauchemars, promis. » continuais-je, alors que je passais ma main dans ses cheveux blonds, mais il semblerait que mademoiselle m'écoutait d'une oreille.
Je sentais le col de mon tee-shirt s'entrouvrir alors qu'elle jouait avec ma peau. Mais qu'est-ce qu'elle faisait ? Tout d'un coup, elle me relâchait complètement et j'en fis de même, ma tête penchée sur le côté. « Qu'est-ce qu'il y a ? » Et tout d'un coup, voilà que la miss No soulevait mon haut, ses petits yeux détaillant mon ventre, et les dessins qui le parcouraient. Je restais un instant sans bouger, alors que je sentais le bout de ses doigts s'y balader, m'arrachant de légers frissons, avant de lâcher « …Hmm bonjour, c'est pour une visite ? » Elle avait fini par lâcher le tout, une expression surprise sur son visage, ce qui me fît plus rire qu'autre chose. « Oui, à force de trop sauter sur scène, ça a fini par me muscler ! Mais.. pourquoi es-tu si étonnée hm ? Ne m'as-tu pas déjà vu lors des concerts ? » lui demandais-je, ma main contre mon menton, en la détaillant. J'avais souvent l'habitude de finir torse-nu à la fin des concerts, pas vraiment pour montrer comment j'étais foutu, mais surtout parce qu'il faisait une putin de chaleur après deux heures de concert ! Bon.. Ok.. ça ameutait aussi un peu plus de monde quand je le faisais.. Autant faire plaisir à tout le monde ! « Ah ! Hier soir justement, on a fait un concert, et une pote m'a dessiné dessus avec des marqueurs pour que ça fasse comme des tatouages un peu. J'ai trouvé ça plutôt classe. J'ai envie de me faire tatouer, mais j'suis une vraie chochotte pour ça ! » Je riais à nouveau, passant ma main derrière ma nuque. « Attends, regarde. » Sans perdre de temps, j'ôtais mon tee-shirt noir, le faisant passer par-dessus ma tête, le laissant quelques instants devant moi, avant de le poser sur le comptoir. (here) Sur mon torse, on pouvait lire "Long live to the rock'n'roll", "be strong", un "chaos" sur ma clavicule, une croix sur mes omoplates, le nom du groupe au creux de mes reins, et même le dessin de lèvres rougies par une femme, discret, le long de mes côtes qui s'était peu à peu effacé. Je fis un tour lent sur moi-même pour qu'elle puisse tout voir. « Bon j'avoue, c'est pas du grand art, mais je sais pas.. ça m'a donné une certaine énergie, ça m'a fait marrer et voilà. J'ai un peu galéré à enlever ceux qui étaient sur mes avant-bras, alors je te dis pas le reste ! » lâchais-je, levant ma tête en l'air en soupirant, alors que je lui tournais le dos. Mais ça en jetait je trouvais ! Je me retournais vers elle, tout sourire, tout fier, reposant mes bras sur le plan de travail autour d'elle. Je la regardais sourire à son tour, un petit pincement au cœur et je me mordis la lèvre inférieure avant de faire semblant de m’effondrer sur le plan de travail à côté d'elle. Haaaaan trop mignonne... « You're a light in this noisy world.. » lui murmurais-je d'une voix grave, une phrase que j'avais mis dans une chanson qu'elle m'avait inspirée. Je fis une moue, comme frustré, avant de me redresser pour lui faire à nouveau face. « Tu es l'une de mes muses, mon petit ange. Tu attises beaucoup mon interêt et mon inspiration.. Tu me plais. » avouais-je tout à coup, d'une manière un peu trop directe peut-être, mais c'était plus naturel et spontané que calculé. Juste honnête, mon regard papillonnant devant l'aura de Dambi avec affection, admiration et une certaine envie qui jouait avec mes nerfs d'homme... « Tu ne sais pas l'effet que tu peux faire aux hommes, du moins, j'en doute... », rajoutai-je, mon regard glissant malicieusement sur ses petites lèvres fines qui s'entrouvraient en m'écoutant...
Des petits baisers, encore, toujours... Légèrement entreprenants, affection démesurée. Je tenais le joli fruit défendu que Dambi était entre mes lèvres, dégustant un instant sa peau lisse, bien trop parfaite, y cherchant une imperfection qui ne semblait pas vouloir se montrer, la caressant doucement, patient, délicat comme si je craignais de salir quelque chose que je ne devrais pas toucher, quelque chose de bien trop précieux, trop unique, bien trop pur... Mais un léger soupir de sa part attisait mon attention à continuer un petit peu plus, sa main se pressant contre ma nuque m'incitant à continuer mon geste. Un creux, un autre, j'y déposais des touchers ananas là où, légèrement, j'osais m'aventurer, le nounours laissant sa place à l'homme envieux. L’ensorceleuse et le musicien-magicien, quelle rencontre ! Je me mettais à rire avec elle, nous ne savions plus la raison de notre venue ici, j'étais bien trop distrait, facilement distrait, pourtant peu de choses pouvaient me distraire de la musique. Si, les femmes. Quand mes deux faiblesses étaient réunies, ce n'était pas facile du tout ! Mais là, à cet instant, elle la surpassait. Elle riait dans mon cou, ma main caressant lentement sa taille dénudée, l'autre passant sur mon front, souriant comme gêné, mais surtout très surpris de la situation. « Toi aussi tu es craquant quand tu souris ainsi.. C’est une douce drogue à laquelle on pourrait bien vite devenir accroc. » me lançait-elle, sa main se posant sur ma joue, son regard azur creusant mes pupilles ténébreuses. Un silence, un silence. « …Yah.. Yah yah ! Mais quelle charmeuse ! Je sens mes joues qui s'enflamment, j'te jure ! » affirmais-je, mon sourire immense, en lui attrapant sa seconde main pour la poser sur ma joue droite. Je la fixais d'un air amusé, avant qu'elle n'enfouisse à nouveau son visage dans mon cou, se lovant un peu plus contre moi. « Il est vrai que je suis un vrai radiateur, idéal pour les nuits d'hiver. » lui affirmais-je, alors qu'elle me disait que j'étais comme une couverture chaude. « Je te protégerais des cauchemars, promis. » continuais-je, alors que je passais ma main dans ses cheveux blonds, mais il semblerait que mademoiselle m'écoutait d'une oreille.
Je sentais le col de mon tee-shirt s'entrouvrir alors qu'elle jouait avec ma peau. Mais qu'est-ce qu'elle faisait ? Tout d'un coup, elle me relâchait complètement et j'en fis de même, ma tête penchée sur le côté. « Qu'est-ce qu'il y a ? » Et tout d'un coup, voilà que la miss No soulevait mon haut, ses petits yeux détaillant mon ventre, et les dessins qui le parcouraient. Je restais un instant sans bouger, alors que je sentais le bout de ses doigts s'y balader, m'arrachant de légers frissons, avant de lâcher « …Hmm bonjour, c'est pour une visite ? » Elle avait fini par lâcher le tout, une expression surprise sur son visage, ce qui me fît plus rire qu'autre chose. « Oui, à force de trop sauter sur scène, ça a fini par me muscler ! Mais.. pourquoi es-tu si étonnée hm ? Ne m'as-tu pas déjà vu lors des concerts ? » lui demandais-je, ma main contre mon menton, en la détaillant. J'avais souvent l'habitude de finir torse-nu à la fin des concerts, pas vraiment pour montrer comment j'étais foutu, mais surtout parce qu'il faisait une putin de chaleur après deux heures de concert ! Bon.. Ok.. ça ameutait aussi un peu plus de monde quand je le faisais.. Autant faire plaisir à tout le monde ! « Ah ! Hier soir justement, on a fait un concert, et une pote m'a dessiné dessus avec des marqueurs pour que ça fasse comme des tatouages un peu. J'ai trouvé ça plutôt classe. J'ai envie de me faire tatouer, mais j'suis une vraie chochotte pour ça ! » Je riais à nouveau, passant ma main derrière ma nuque. « Attends, regarde. » Sans perdre de temps, j'ôtais mon tee-shirt noir, le faisant passer par-dessus ma tête, le laissant quelques instants devant moi, avant de le poser sur le comptoir. (here) Sur mon torse, on pouvait lire "Long live to the rock'n'roll", "be strong", un "chaos" sur ma clavicule, une croix sur mes omoplates, le nom du groupe au creux de mes reins, et même le dessin de lèvres rougies par une femme, discret, le long de mes côtes qui s'était peu à peu effacé. Je fis un tour lent sur moi-même pour qu'elle puisse tout voir. « Bon j'avoue, c'est pas du grand art, mais je sais pas.. ça m'a donné une certaine énergie, ça m'a fait marrer et voilà. J'ai un peu galéré à enlever ceux qui étaient sur mes avant-bras, alors je te dis pas le reste ! » lâchais-je, levant ma tête en l'air en soupirant, alors que je lui tournais le dos. Mais ça en jetait je trouvais ! Je me retournais vers elle, tout sourire, tout fier, reposant mes bras sur le plan de travail autour d'elle. Je la regardais sourire à son tour, un petit pincement au cœur et je me mordis la lèvre inférieure avant de faire semblant de m’effondrer sur le plan de travail à côté d'elle. Haaaaan trop mignonne... « You're a light in this noisy world.. » lui murmurais-je d'une voix grave, une phrase que j'avais mis dans une chanson qu'elle m'avait inspirée. Je fis une moue, comme frustré, avant de me redresser pour lui faire à nouveau face. « Tu es l'une de mes muses, mon petit ange. Tu attises beaucoup mon interêt et mon inspiration.. Tu me plais. » avouais-je tout à coup, d'une manière un peu trop directe peut-être, mais c'était plus naturel et spontané que calculé. Juste honnête, mon regard papillonnant devant l'aura de Dambi avec affection, admiration et une certaine envie qui jouait avec mes nerfs d'homme... « Tu ne sais pas l'effet que tu peux faire aux hommes, du moins, j'en doute... », rajoutai-je, mon regard glissant malicieusement sur ses petites lèvres fines qui s'entrouvraient en m'écoutant...
FICHE ET CODES PAR BROADSWORD.
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Re: + 18 - Une bouffée d'air frais - In Ha | Jeu 8 Sep - 12:00 Citer EditerSupprimer
Une bouffée d'air frais.
In Ha & Dambi
Local de répétition
TENUE +
Inha, il était comme ca. Un musicien-magicien qui avait toujours su, même inconsciemment, m’ensorceler. Ca avait commencé par sa musique. Cette musique si enivrante, si touchante qu’elle vous prenait aux tripes et vous faisait ressentir des émotions qui n’auraient pas du. J’avais toujours des yeux admiratifs quand il montait sur scène. Il avait ce charisme qui parvenait à vous faire voler avec lui lors de ses chansons, vous faire voyager, ce que peu de chanteur avait encore aujourd’hui. Je rougis instantanément alors qu’il me complimente de charmeuse qui parvenait à enflammer ses joues. Mon petit cœur fit boumboum, accélérant ses battements. Si les siennes s’enflammaient, les miennes étaient aussi rouges qu’un volcan en irruption. « Arrêtes, je vais finir par fondre. » gémis-je dans un couinement de souris. Moi. Faire autant d’effet au grand In Ha. Incroyable ! Je me réfugiais à nouveau contre lui, cachant mon visage dans son cou pour ne pas devoir affronter ses yeux si doux qui me faisant tant d’effet. Je souris contre sa peau alors qu’il me promettait de me protéger des cauchemars. « Oublies pas ta promesse dans le futur… » Chuchotais-je un peu enfantine. Les cauchemars qui me travaillaient la nuit n’étaient pas rare. Je requerrais sans doute souvent de ses services.
Puis, une envie de voir son torse me prit, et je la laissais parler en appliquant une légère pression sur son t-shirt pour y jeter un coup d’œil. Juste un petit. Je détaillais ses tatouages plus que nécessaire. J’eus envie de les suivre du bout des doigts, et c’est ce que je fis, sans aucune gêne. Avant qu’il ne me fasse sursauter, alors que j’étais trop concentrée sur ce que je faisais. Par reflexe, je lâchais le tout. Je secouais la tête négativement. « Sur scène, c’est trop loin pour tout voir… et puis, c’est tellement mieux en vrai. » Je souris timidement. Je l’écoutais attentivement aux propos de son histoire pour se faire tatouer. Ils étaient donc aux marqueurs. Je ne pus m’empêcher de sourire quand il me dit être une vraie chochotte pour ca. « Ne t’en fais pas, ca ne fais pas si mal que cela. Enfin ca dépend où tu comptes le faire » je le regardais enlever son t-shirt sans prévenir, et l’admirais d’avantage d’un œil acquisiteur. Je fixais sa peau noircie par les traits noirs avant de poser mes doigts sur celui qui ressortait, un peu rouge, un peu effacée. « Je peux te le refaire celui la ! » le taquinais-je avant de lui tirer la langue. « C’est sexy les tatouages, je suis sure que ca plairait d’avantage aux filles à tes concerts. » ajoutais-je. Et à moi aussi bien évidemment. « tu veux voir le mien ? » sans attendre sa réponse, je relevais la manche de mon t-shirt, dévoilant une grosse fleur aux tons rouges et rose (cfr photo de profil) Elle avait une signification bien particulier pour moi. « Je l’ai fait pour marquer mon nouveau départ dans la famille No. » Gênée de parler de moi de la sorte, je reportais son attention sur lui alors qu’il s’écroulait à mes côtés. Soudain inquiète, je passais une main dans ses cheveux avant de comprendre qu’il jouait la comédie et de sourire. You’re a light in this noisy world… Je détournais à nouveau les yeux. Ce n’était pas la première fois qu’on me le disait, mais c’était la première fois qu’on ne me repoussait pas pour cela. A force, j’avais fini par l’assimiler à un défaut, sauf avec In Ha. Il était diffèrent. Il arrivait à me faire retrouver le sourire en un claquement de doigt. Avec lui, je n’avais pas peur d’être moi-même.
Je ne comptais plus les fois qu’il arrivait à me faire rougir par minute tellement la pression était forte. Mais celui qui pourpra le plus mes joues, et qui fut comme la plus douce des musiques à mes oreilles, fut celui où il m’avouait que je lui plaisais et que j’étais sa muse. Je ne savais plus où me mettre. Et j’étais d’autant plus surprise. J’étais une des muses d’In Ha. Son petit ange. Et je lui plaisais. Je relevais lentement le regard vers le sien, le fixant au travers de mes mèches rebelles. « C’est le plus beau compliment qu’on ne m’ait jamais fait, Inha … » je posais mes mains aux creux de ses reins où mes pouces formaient de petits cercles. Ca m’aidait à me calmer et à me concentrer. « Tu me plais aussi … beaucoup. » avouais-je à demi-mot. Je n’allais pas le cacher, j’avais toujours été plus attiré par les femmes. Plus douces. Plus calmes. Et les hommes qui m’attiraient de la sorte étaient vraiment rares. « Je ne sais pas l’effet que j’ai sur eux … » déclarais-je soudainement en réponse à sa dernière réflexion. « Mais je sais l’effet qu’ils ont sur moi… autrement dire, par grand-chose…sauf toi, tu es diffèrent. » murmurais-je en papillonnant des yeux, un sourire naissant aux coins des lèvres. Je capturais les siennes dans un baiser chaste pour donner de l’ampleur à mes mots. Puis je le lachais, attrapant ses mains pour les faire se balader sur ma tailler, pour les remonter doucement vers ma poitrine. Je les arretais à la naissance de mes seins, le fixant avant de les pousser plus loin, pour lui faire sentir quel effet il pouvait avoir sur moi, mes perles sacrés pointant sous ses doigts. Je les laissais faire connaissance, avant de retirer mon t-shirt à mon tour, me dévoilant aux jeunes hommes. Sans un mot, je le fixais, attendant la moindre de sa reaction…
Inha, il était comme ca. Un musicien-magicien qui avait toujours su, même inconsciemment, m’ensorceler. Ca avait commencé par sa musique. Cette musique si enivrante, si touchante qu’elle vous prenait aux tripes et vous faisait ressentir des émotions qui n’auraient pas du. J’avais toujours des yeux admiratifs quand il montait sur scène. Il avait ce charisme qui parvenait à vous faire voler avec lui lors de ses chansons, vous faire voyager, ce que peu de chanteur avait encore aujourd’hui. Je rougis instantanément alors qu’il me complimente de charmeuse qui parvenait à enflammer ses joues. Mon petit cœur fit boumboum, accélérant ses battements. Si les siennes s’enflammaient, les miennes étaient aussi rouges qu’un volcan en irruption. « Arrêtes, je vais finir par fondre. » gémis-je dans un couinement de souris. Moi. Faire autant d’effet au grand In Ha. Incroyable ! Je me réfugiais à nouveau contre lui, cachant mon visage dans son cou pour ne pas devoir affronter ses yeux si doux qui me faisant tant d’effet. Je souris contre sa peau alors qu’il me promettait de me protéger des cauchemars. « Oublies pas ta promesse dans le futur… » Chuchotais-je un peu enfantine. Les cauchemars qui me travaillaient la nuit n’étaient pas rare. Je requerrais sans doute souvent de ses services.
Puis, une envie de voir son torse me prit, et je la laissais parler en appliquant une légère pression sur son t-shirt pour y jeter un coup d’œil. Juste un petit. Je détaillais ses tatouages plus que nécessaire. J’eus envie de les suivre du bout des doigts, et c’est ce que je fis, sans aucune gêne. Avant qu’il ne me fasse sursauter, alors que j’étais trop concentrée sur ce que je faisais. Par reflexe, je lâchais le tout. Je secouais la tête négativement. « Sur scène, c’est trop loin pour tout voir… et puis, c’est tellement mieux en vrai. » Je souris timidement. Je l’écoutais attentivement aux propos de son histoire pour se faire tatouer. Ils étaient donc aux marqueurs. Je ne pus m’empêcher de sourire quand il me dit être une vraie chochotte pour ca. « Ne t’en fais pas, ca ne fais pas si mal que cela. Enfin ca dépend où tu comptes le faire » je le regardais enlever son t-shirt sans prévenir, et l’admirais d’avantage d’un œil acquisiteur. Je fixais sa peau noircie par les traits noirs avant de poser mes doigts sur celui qui ressortait, un peu rouge, un peu effacée. « Je peux te le refaire celui la ! » le taquinais-je avant de lui tirer la langue. « C’est sexy les tatouages, je suis sure que ca plairait d’avantage aux filles à tes concerts. » ajoutais-je. Et à moi aussi bien évidemment. « tu veux voir le mien ? » sans attendre sa réponse, je relevais la manche de mon t-shirt, dévoilant une grosse fleur aux tons rouges et rose (cfr photo de profil) Elle avait une signification bien particulier pour moi. « Je l’ai fait pour marquer mon nouveau départ dans la famille No. » Gênée de parler de moi de la sorte, je reportais son attention sur lui alors qu’il s’écroulait à mes côtés. Soudain inquiète, je passais une main dans ses cheveux avant de comprendre qu’il jouait la comédie et de sourire. You’re a light in this noisy world… Je détournais à nouveau les yeux. Ce n’était pas la première fois qu’on me le disait, mais c’était la première fois qu’on ne me repoussait pas pour cela. A force, j’avais fini par l’assimiler à un défaut, sauf avec In Ha. Il était diffèrent. Il arrivait à me faire retrouver le sourire en un claquement de doigt. Avec lui, je n’avais pas peur d’être moi-même.
Je ne comptais plus les fois qu’il arrivait à me faire rougir par minute tellement la pression était forte. Mais celui qui pourpra le plus mes joues, et qui fut comme la plus douce des musiques à mes oreilles, fut celui où il m’avouait que je lui plaisais et que j’étais sa muse. Je ne savais plus où me mettre. Et j’étais d’autant plus surprise. J’étais une des muses d’In Ha. Son petit ange. Et je lui plaisais. Je relevais lentement le regard vers le sien, le fixant au travers de mes mèches rebelles. « C’est le plus beau compliment qu’on ne m’ait jamais fait, Inha … » je posais mes mains aux creux de ses reins où mes pouces formaient de petits cercles. Ca m’aidait à me calmer et à me concentrer. « Tu me plais aussi … beaucoup. » avouais-je à demi-mot. Je n’allais pas le cacher, j’avais toujours été plus attiré par les femmes. Plus douces. Plus calmes. Et les hommes qui m’attiraient de la sorte étaient vraiment rares. « Je ne sais pas l’effet que j’ai sur eux … » déclarais-je soudainement en réponse à sa dernière réflexion. « Mais je sais l’effet qu’ils ont sur moi… autrement dire, par grand-chose…sauf toi, tu es diffèrent. » murmurais-je en papillonnant des yeux, un sourire naissant aux coins des lèvres. Je capturais les siennes dans un baiser chaste pour donner de l’ampleur à mes mots. Puis je le lachais, attrapant ses mains pour les faire se balader sur ma tailler, pour les remonter doucement vers ma poitrine. Je les arretais à la naissance de mes seins, le fixant avant de les pousser plus loin, pour lui faire sentir quel effet il pouvait avoir sur moi, mes perles sacrés pointant sous ses doigts. Je les laissais faire connaissance, avant de retirer mon t-shirt à mon tour, me dévoilant aux jeunes hommes. Sans un mot, je le fixais, attendant la moindre de sa reaction…
(c) fiche:WILD BIRD & gifs:gifs hunt c l o s e d
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Re: + 18 - Une bouffée d'air frais - In Ha | Dim 11 Sep - 20:12 Citer EditerSupprimer
Une bouffée d'air frais
Dambi & In Ha
TENUE & MUSIC (AURORA ♥) | Nope, moi et les tatouages, j'étais pas sûr qu'un jour on puisse être réunis. Une fois pourtant, j'avais tenté de passer le cap, bien que ce fût une envie impulsive. Je me revoyais encore en Californie entrer à je ne sais quelle heure de la nuit dans ce salon de tatouage encore ouvert, comment était-ce possible d'ailleurs ? Ils avaient rien d'autres à faire la nuit ? Oh quand j'avais vu la taille de l'aiguille, ça ne m'avait pas beaucoup plu. Pourtant, j'allais me lancer, me concentrant tant bien que mal sur le mec tatoué de la tête aux pieds, chancelant sous divers alcools, mes potes installés sur d'autres tables non loin. Dieu merci, ce jour-là, je bougeais trop, j'étais intenable ! Je riais, j'avais sauté sur le divan où je devais me coucher, on m'avait vite viré dehors haha. J'voulais me faire un truc cool, rock'n'roll mais j'étais pas en état. Et si ça avait été le cas, si j'avais été sobre, j'aurais déjà déchiré le cuir de leurs chaises tellement j'aurais stressé... Mais pourtant, je les admirais, de plus en plus même. Ils avaient tous plus au moins une histoire, une signification, alors que d'autres ornaient seulement la peau en bijou indélébile. Je suivais du regard Dambi qui abaissait sa manche pour me dévoiler le sien. C'est vrai, elle en avait un, je l'avais remarqué sur scène, mais je n'avais jamais vraiment eu l'occasion de le voir de près. C'était une splendide fleur, rouge et rose, épousant délicatement son épaule. Je me rapprochais un peu plus pour en admirer les détails, glissant mon index sur le travail des ombres et des contrastes qui étaient étonnants. « … Hmmm tu as raison, c'est assez sexy sur toi. » murmurais-je d'une voix plus grave. Plus sexy sur elle que sur moi d'ailleurs. La naissance d'une fleur, un nouveau départ. « C'est bien choisi, ça te va à ravir. » affirmais-je en replongeant mes yeux dans les siens.
Elle avait encore souri, rougi, cute. Me voilà effondré à côté d'elle, le petit cœur tout mou. Si elle savait faire des aegyos, je crois que je pourrais en mourir, alors pitié, faites qu'elle ne sache pas en faire ! Comment pouvait-elle avoir cette aura si attirante ? J'avais l'impression de ne pas pouvoir en sortir, entièrement captivé. Elle m'inspirait, sa présence en elle-même me faisait quelque chose, le moindre de ses gestes et de ses expressions semblaient être calculés pour me distraire d'une quelconque manière. Je ne savais pas vraiment quoi en penser, j'en avais conclu qu'elle me plaisait, et qu'elle faisait partie des femmes que je considérais comme mes idéaux. Il n'y en avait pas eu tant que ça, Reeva et Nina demeuraient des inspirations constantes, et Dambi commençait également à le devenir. Je devais écrire du rock'n'roll, pourquoi m'attardais-je autant sur les femmes, alors que quand je pensais à elles, il n'y avait que des mots doux et mélancoliques qui en ressortaient ? Ça manquait de rage tout ça ! Je détaillais la jolie muse, ma jolie muse. Le terme lui avait plu, elle n'avait pas ri, trouvé ça bizarre ou cliché. Je lui souriais en retour, car cela avait semblé vraiment la toucher et j'étais ravi d'avoir choisi les bons mots pour lui plaire. C'était juste comme ça que je l'expliquais. On avait tous déjà rencontré une personne qui nous a fasciné dès le premier regard non ? C'était un peu comme un coup de foudre, un coup de foudre artistique. Non, un coup de cœur, c'était ça. Dambi était mon coup de cœur. Bien que je n'avais jamais pensé à plus avec Dambi, ça ne s'était pas présenté de cette manière et finalement, ça commençait peu à peu à se révéler aujourd'hui. Je lui plaisais.. beaucoup ? Je sentais ses mains fines se nicher au creux de mes reins, leur chaleur chatouillant ma peau. Biensûr, j'avais déjà remarqué la préférence de Dambi pour les femmes, bien qu'elle soit assez discrète là-dessus, mais je ne savais pas vraiment ce qui en était des hommes. Étaient-ils complètement radiés de tout sentiment ? Car si j'étais allé trop loin, mieux valait que je le sache maintenant, avant que je ne m'avance un peu trop. J'arquais les sourcils à ces derniers mots. « .. Différent, comment ça.. ? » lui demandais-je d'un fin sourire en coin, délibérément intéressé. La réponse fût rapide, spontané, ses lèvres rencontrant quelques secondes les miennes. Etais-je donc une exception ? L'idée me plaisait assez, et je me laissais guider sans broncher, alors qu'elle prenait mes mains pour les mettre sur sa taille, les montant un peu plus, son regard cherchant le mien, alors qu'elle les plaçait sous sa poitrine. J'aimais bien ce silence, son regard, sensualité naturelle. Et le fait qu'elle prenait les devants, m'invitant à la suivre, à attendre, puis à réagir. Elle posa d'elle même mes mains sur ses seins. Je n'osais pour le moment les bouger, un frisson pourtant me parcourra au simple effleurement de ses petites perles, pointant sous son tee-shirt blanc. Est-ce que je lui faisais.. de l'effet ? Rien que cette idée me faisait quelque chose. M'excitait. Elle ôtait ce vêtement à moitié transparent, comme si elle avait senti ma soudaine curiosité pour elle, et pour ce qu'il y avait en dessous. Les yeux dans les yeux d'abord, l'azur face au chocolat, quelques secondes, de longues secondes, avant que mon regard ne s'abaisse, silencieusement, sur la féminité qu'elle me dévoilait. Mes lèvres doucement s'entrouvraient, déglutinant un instant. Elle était vraiment.. vraiment très belle..
Je papillonnais des paupières, avant d'avancer ma main derrière sa nuque, l'autre sur la courbe de sa taille. « Alors.. Tu avais aussi un côté entreprenant ? Vous êtes très érotique, mademoiselle No. » murmurais-je d'une voix enjôleuse, avant de m'avancer de plus en plus vers elle pour venir l'embrasser, avec tout autant d'assurance qu'elle. Je m'en détachais de longues secondes plus tard, un sourire taquin aux lèvres, pas vraiment rassasié. Mon regard plongé dans le sien, je laissais ma main qui était dans sa nuque caresser celle-ci, glissant jusqu'à son épaule du bout des doigts. Je venais déposer un baiser sur la fleur rouge ancrée en elle, mon autre main allant vers son dos. J'en déposais d'autres, une flopée, glissant ma langue le long de ses clavicules si bien marquées que j'avais déjà salué un peu plus tôt. Je continuais mon ascension sous son cou, observant les petites tâches sur sa peau, tâches de rousseur, tâches de soleil. Patient, je suivais leur chemin jusqu'au creux de sa poitrine offerte. Je me reculais légèrement, relevant mes yeux vers ceux de Dambi, attentif à ce qu'elle pensait de mes gestes. Je me demandais soudainement si elle l'avait déjà fait avec un homme ? Je n'en étais pas sûr, peut-être. En tout cas, mieux valait faire doucement. « Voyons voir si je suis si différent. » sussurais-je, avant de venir longer de l'index la courbe de l'un de ses seins, avec une lenteur calculée pour voir la réaction de la jeune femme, avant de finalement le nicher pleinement dans le creux de ma main. Je tâtais délicatement la rondeur de celui-ci, m'accrochant aux expressions de Dambi, caressant de mon pouce sa petite perle tendue. Je m'avançais pour la lécher du bout de la langue, alors que son corps se tendait, n'hésitant pas à venir la suçoter avec attention, l'une de mes mains creusant ses reins, l'autre s'occupant de cajoler le sein délaissé. Je sentais sa poitrine se gonfler, son souffle accélérer, et.. des soupirs lui échapper. Lui donner du plaisir me poussait encore plus à continuer, j'en devenais même.. gourmand. Gourmand de l'entendre se tendre et se relâcher sous mes caresses, gourmand de son corps que je commençais tout juste à découvrir. Je relâchais sa courbe féminine, mon souffle chaud longeant son ventre de nouveaux baisers, m'accroupissant devant elle, m'arrêtant à la limite de son jean dont j'entrouvris sans gêne le premier bouton, relevant la tête vers Dambi. Un sourire plein de provocation. Je me redressais contre elle, sa peau me donnait bien trop chaud, pourtant je délaissais une main sur ses reins, une main sur sa hanche, ma bouche venant effleurer la sienne, venant effleurer son souffle que j'aimais faire accélérer par mes soins. « … Je ne vais pas pouvoir te relâcher. Dis-moi, dis-moi que vous n'avez pas de répétitions aujourd'hui ici.. ? » demandais-je comme une supplication, avant de venir déposer plusieurs petits baisers chastes sur sa bouche pulpeuse, souriant d'un air joueur et impatient, alors que je passais doucement la main sous son jean, pour venir laisser mon empreinte sur la peau douce de ses hanches...
Elle avait encore souri, rougi, cute. Me voilà effondré à côté d'elle, le petit cœur tout mou. Si elle savait faire des aegyos, je crois que je pourrais en mourir, alors pitié, faites qu'elle ne sache pas en faire ! Comment pouvait-elle avoir cette aura si attirante ? J'avais l'impression de ne pas pouvoir en sortir, entièrement captivé. Elle m'inspirait, sa présence en elle-même me faisait quelque chose, le moindre de ses gestes et de ses expressions semblaient être calculés pour me distraire d'une quelconque manière. Je ne savais pas vraiment quoi en penser, j'en avais conclu qu'elle me plaisait, et qu'elle faisait partie des femmes que je considérais comme mes idéaux. Il n'y en avait pas eu tant que ça, Reeva et Nina demeuraient des inspirations constantes, et Dambi commençait également à le devenir. Je devais écrire du rock'n'roll, pourquoi m'attardais-je autant sur les femmes, alors que quand je pensais à elles, il n'y avait que des mots doux et mélancoliques qui en ressortaient ? Ça manquait de rage tout ça ! Je détaillais la jolie muse, ma jolie muse. Le terme lui avait plu, elle n'avait pas ri, trouvé ça bizarre ou cliché. Je lui souriais en retour, car cela avait semblé vraiment la toucher et j'étais ravi d'avoir choisi les bons mots pour lui plaire. C'était juste comme ça que je l'expliquais. On avait tous déjà rencontré une personne qui nous a fasciné dès le premier regard non ? C'était un peu comme un coup de foudre, un coup de foudre artistique. Non, un coup de cœur, c'était ça. Dambi était mon coup de cœur. Bien que je n'avais jamais pensé à plus avec Dambi, ça ne s'était pas présenté de cette manière et finalement, ça commençait peu à peu à se révéler aujourd'hui. Je lui plaisais.. beaucoup ? Je sentais ses mains fines se nicher au creux de mes reins, leur chaleur chatouillant ma peau. Biensûr, j'avais déjà remarqué la préférence de Dambi pour les femmes, bien qu'elle soit assez discrète là-dessus, mais je ne savais pas vraiment ce qui en était des hommes. Étaient-ils complètement radiés de tout sentiment ? Car si j'étais allé trop loin, mieux valait que je le sache maintenant, avant que je ne m'avance un peu trop. J'arquais les sourcils à ces derniers mots. « .. Différent, comment ça.. ? » lui demandais-je d'un fin sourire en coin, délibérément intéressé. La réponse fût rapide, spontané, ses lèvres rencontrant quelques secondes les miennes. Etais-je donc une exception ? L'idée me plaisait assez, et je me laissais guider sans broncher, alors qu'elle prenait mes mains pour les mettre sur sa taille, les montant un peu plus, son regard cherchant le mien, alors qu'elle les plaçait sous sa poitrine. J'aimais bien ce silence, son regard, sensualité naturelle. Et le fait qu'elle prenait les devants, m'invitant à la suivre, à attendre, puis à réagir. Elle posa d'elle même mes mains sur ses seins. Je n'osais pour le moment les bouger, un frisson pourtant me parcourra au simple effleurement de ses petites perles, pointant sous son tee-shirt blanc. Est-ce que je lui faisais.. de l'effet ? Rien que cette idée me faisait quelque chose. M'excitait. Elle ôtait ce vêtement à moitié transparent, comme si elle avait senti ma soudaine curiosité pour elle, et pour ce qu'il y avait en dessous. Les yeux dans les yeux d'abord, l'azur face au chocolat, quelques secondes, de longues secondes, avant que mon regard ne s'abaisse, silencieusement, sur la féminité qu'elle me dévoilait. Mes lèvres doucement s'entrouvraient, déglutinant un instant. Elle était vraiment.. vraiment très belle..
Je papillonnais des paupières, avant d'avancer ma main derrière sa nuque, l'autre sur la courbe de sa taille. « Alors.. Tu avais aussi un côté entreprenant ? Vous êtes très érotique, mademoiselle No. » murmurais-je d'une voix enjôleuse, avant de m'avancer de plus en plus vers elle pour venir l'embrasser, avec tout autant d'assurance qu'elle. Je m'en détachais de longues secondes plus tard, un sourire taquin aux lèvres, pas vraiment rassasié. Mon regard plongé dans le sien, je laissais ma main qui était dans sa nuque caresser celle-ci, glissant jusqu'à son épaule du bout des doigts. Je venais déposer un baiser sur la fleur rouge ancrée en elle, mon autre main allant vers son dos. J'en déposais d'autres, une flopée, glissant ma langue le long de ses clavicules si bien marquées que j'avais déjà salué un peu plus tôt. Je continuais mon ascension sous son cou, observant les petites tâches sur sa peau, tâches de rousseur, tâches de soleil. Patient, je suivais leur chemin jusqu'au creux de sa poitrine offerte. Je me reculais légèrement, relevant mes yeux vers ceux de Dambi, attentif à ce qu'elle pensait de mes gestes. Je me demandais soudainement si elle l'avait déjà fait avec un homme ? Je n'en étais pas sûr, peut-être. En tout cas, mieux valait faire doucement. « Voyons voir si je suis si différent. » sussurais-je, avant de venir longer de l'index la courbe de l'un de ses seins, avec une lenteur calculée pour voir la réaction de la jeune femme, avant de finalement le nicher pleinement dans le creux de ma main. Je tâtais délicatement la rondeur de celui-ci, m'accrochant aux expressions de Dambi, caressant de mon pouce sa petite perle tendue. Je m'avançais pour la lécher du bout de la langue, alors que son corps se tendait, n'hésitant pas à venir la suçoter avec attention, l'une de mes mains creusant ses reins, l'autre s'occupant de cajoler le sein délaissé. Je sentais sa poitrine se gonfler, son souffle accélérer, et.. des soupirs lui échapper. Lui donner du plaisir me poussait encore plus à continuer, j'en devenais même.. gourmand. Gourmand de l'entendre se tendre et se relâcher sous mes caresses, gourmand de son corps que je commençais tout juste à découvrir. Je relâchais sa courbe féminine, mon souffle chaud longeant son ventre de nouveaux baisers, m'accroupissant devant elle, m'arrêtant à la limite de son jean dont j'entrouvris sans gêne le premier bouton, relevant la tête vers Dambi. Un sourire plein de provocation. Je me redressais contre elle, sa peau me donnait bien trop chaud, pourtant je délaissais une main sur ses reins, une main sur sa hanche, ma bouche venant effleurer la sienne, venant effleurer son souffle que j'aimais faire accélérer par mes soins. « … Je ne vais pas pouvoir te relâcher. Dis-moi, dis-moi que vous n'avez pas de répétitions aujourd'hui ici.. ? » demandais-je comme une supplication, avant de venir déposer plusieurs petits baisers chastes sur sa bouche pulpeuse, souriant d'un air joueur et impatient, alors que je passais doucement la main sous son jean, pour venir laisser mon empreinte sur la peau douce de ses hanches...
FICHE ET CODES PAR BROADSWORD.
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Re: + 18 - Une bouffée d'air frais - In Ha | Mer 9 Nov - 3:15 Citer EditerSupprimer
Une bouffée d'air frais.
In Ha & Dambi
Local de répétition
TENUE +
J’avais baisé la manche de mon haut pour que Inha puisse mieux voir mon tatouage en détails. J’avais rencontré Nina ce jour-là justement. J’étais partie chez le tatoueur pour marquer un tournant dans mon histoire. J’avais une nouvelle famille. Une famille rien qu’à moi avec deux mamans en prime, des sœurs à gogo et un unique frère. Une famille qui m’aimait pour ce que j’étais et qui n’essayait pas de profiter de moi ou qui ne m’oubliait pas dans un coin. Un nouveau départ dans ma vie, et je voulais l’encrer sur ma peau pour ne jamais l’oublier. Il avait pris la forme d’une fleur ouvrant ses pétales. Symbole de mon développement personnel, qu’enfin, j’allais pouvoir pleinement m’épanouir. Je fermais les yeux, poussant un soupir d’aise alors que de micro-frissons parcourraient mon bras pour remonter le long de mon échine, provoqués par les caresses de Inha qui suivait le contour de l’encre noire. Je rougis instantanément à sa réflexion alors que je plissais les yeux pour le voir au travers de mes paupières. Il me disait que c’était sexy sur moi… avec ce flot de compliments qu’il m’infligeait j’allais finir par fondre comme un bonhomme de neige au soleil. Le regard qu’il replongeait dans le mien était si intense que j’étais comme hypnotisée, je m’y perdais comme dans un océan. Je murmurais un pathétique « merci » alors que je tentais de détourner les yeux pour ne pas succomber, mais sans succès.
Inha était un des rares hommes qui m’attirait autant pour ne pas dire le seul au premier coup d’œil. Autant j’avais été magnétisé par sa musique dans un premier temps, autant plus j’apprenais à le connaitre, plus j’avais envie d’en savoir plus sur lui. Jamais je n’aurais pensé que la situation se présenterait de la sorte entre nous, mais parfois, la vie nous réservait de bonne surprise non ? Contrairement à ce qu’on pourrait croire suite à sa carrière de rockeur, il avait un tempérament très doux, qui ne faisait que renforcer son charme, me faisant craquer d’autant plus. Rare était ceux qui se montrait si tendre avec moi sans rien attendre en retour ou avoir de mauvaises pensées derrières la tête. Si je prenais Bom Chan comme exemple, mon côté lumineux l’attirait tout comme il le repoussait. Il voulait s’emparer de cette lumière, mais comme il en était incapable, il tentait de l’éteindre le temps d’un instant avec ses jeux malsains. Et je ne pouvais pas dire que je le détestais, car je tenais à lui. Il avait été là à un moment de ma vie où ca allait mal et je me suis accroché à lui comme a une bouée de sauvetage, et sans vraiment m’en rendre compte, je me suis retrouvé à lui appartenir d’une certaine manière sans aucun échappatoire en vue. Donc forcément, le neugdae me paraissait comme un coin de paradis, reposant et calme, avec un brin de passion. Il était bien un des seuls que mon innocence n’agaçait pas. Et parfois, même si je n’en parlais jamais, et n’en laissais rien apercevoir, ca faisait du bien, de pouvoir être accepté tel qu’on était vraiment sans marcher sur des œufs avec son interlocuteur. Je lui fis d’ailleurs comprendre timidement qu’il avait un effet différemment sur moi que les autres hommes. Maladroitement je le reconnaissais, mais ce n’était pas évident à expliquer. Et comme les gestes avaient souvent plus d’ampleur que de simples mots, je le lui montrais à quel point il était diffèrent. Je capturais ses lèvres quelques secondes avant de laisser parler mon corps pour moi, le guider de mes mains, puis par finir par me dévoiler à lui. J’attends sa réaction, quel qu’elle soit, parce qu’au fond, moi aussi j’étais curieuse de savoir ce qu’il pensait. Je souris alors que je le voyais à son tour surpris, un peu gêner, peinant à déglutir. Pour la première fois, les rôles étaient inversés et cela me fit sourire.
J’émis un rire cristallin alors qu’il s’apercevait que je pouvais aussi être entreprenante. « Il m’arrive de prendre les devants oui. » confirmais-je avec un brin de malice dans la voix, alors que mes mains se posaient sur son torse pour le caresser aisément. Le érotique me fit cependant rougir à nouveau. C’était bien la première fois qu’on utilisait ces mots pour me décrire. A nouveau nos lèvres se rencontrèrent avec plus de passion cette fois. J’avais comme un gout de manque sur ma langue, comme si je voulais en gouter beaucoup plus déjà, telle une drogue auxquelles on était déjà accro dès la première dose. Je fermais les yeux, profitant des frissons qu’il m’offrait de ses caresses chauffant ma peau, de ses lèvres goutant mon corps. Je le laissais faire en silence. Je rouvrais les yeux quand il voulut vérifier si il était si différent des autres, tournant la tete sur le côté, sans cesser de le fixer, curieuse de ce qu’il allait se passer ensuite. Je le regardais faire avec une certaine fascination. Aucun homme ni femme n’avait pris le temps de découvrir mon cœur de la sorte. Et je devais admettre que ca en était que plus agréable. Quand il entreprit de caresser ma perle pointant entre ses doigts, je ne pus m’empêcher de lâcher un soupir dans une longue inspiration. Plusieurs gémissements le suivirent rapidement alors que sa langue jouait à chat et qu’il devenait plus entreprenant toujours avec cette extrême lenteur. Mon corps se tendait aux creux de ses bras. J’avais posées mes mains sur le plan de travail derrière moi, cambrant ma poitrine d’avantage vers Inha pour m’offrir complètement à lui et lui facilité la tâche. Ce qui avait tendance également à me faire gémir un peu plus. Mon corps se relâchait un peu quand il abandonna mon sein pour s’aventurer sur mon ventre avec ses baisers. Plus doux, mais tout aussi agréable. Je baissais les yeux vers lui quand je le vis s’accroupir et qu’il entreprit d’ouvrir un des boutons de mon jeans. Je croisais son regard provocateur qui m’excita d’avantage, et une lueur de malice se glissa dans le mien, comme si je le mettais au défi d’essayer. Mon souffle s’accélérait, comme si on avait monté une vitesse. Pourtant quand il se redressa, mon cœur ne fit qu’un bond de mécontentement. Mon corps le réclamait déjà et en voulait beaucoup plus. Je me relevais pour me rapprocher du bord alors qu’il me poussait vers lui, venant titiller mes lèvres, mon bas ventre jouant aux montagnes russes, vacant entre envie et frustration. Je déglutis péniblement, venant prendre délicatement son visage entre mes deux paumes bien à plat, plongeant mon regard bleu dans le sien. « Les garçons ne doivent arriver que ce soir. De toute façon, j’ai ferme de l’intérieur, personne ne peut entrer sans qu’on ne leur ouvre. » Murmurais-je sur une voix légèrement enrouée par le désir qu’il m’avait laissé entrevoir sans m’y avoir vraiment fait gouter. je mélangeais nos souffles sans pour autant sceller nos lèvres pour un pacte. Mes mains descendirent le long de son corps, venant à mon tour décrocher un bouton qui me gêner. Mes lèvres s’élargirent en voyant sa réaction alors que nos visages étaient toujours à quelques centimètres de l’autre. J’y allais à tâtons, faisant glisser mes doigts sur la bosse bien enflée au travers de son jeans. « Alors ne me lâche plus. » lui lançais-je comme défis, avec une fusion de provocation et d’innocence. Je déboutonnais une deuxième bouton avant de le taquiner encore un peu par-dessus le tissu devenu gênant…
J’avais baisé la manche de mon haut pour que Inha puisse mieux voir mon tatouage en détails. J’avais rencontré Nina ce jour-là justement. J’étais partie chez le tatoueur pour marquer un tournant dans mon histoire. J’avais une nouvelle famille. Une famille rien qu’à moi avec deux mamans en prime, des sœurs à gogo et un unique frère. Une famille qui m’aimait pour ce que j’étais et qui n’essayait pas de profiter de moi ou qui ne m’oubliait pas dans un coin. Un nouveau départ dans ma vie, et je voulais l’encrer sur ma peau pour ne jamais l’oublier. Il avait pris la forme d’une fleur ouvrant ses pétales. Symbole de mon développement personnel, qu’enfin, j’allais pouvoir pleinement m’épanouir. Je fermais les yeux, poussant un soupir d’aise alors que de micro-frissons parcourraient mon bras pour remonter le long de mon échine, provoqués par les caresses de Inha qui suivait le contour de l’encre noire. Je rougis instantanément à sa réflexion alors que je plissais les yeux pour le voir au travers de mes paupières. Il me disait que c’était sexy sur moi… avec ce flot de compliments qu’il m’infligeait j’allais finir par fondre comme un bonhomme de neige au soleil. Le regard qu’il replongeait dans le mien était si intense que j’étais comme hypnotisée, je m’y perdais comme dans un océan. Je murmurais un pathétique « merci » alors que je tentais de détourner les yeux pour ne pas succomber, mais sans succès.
Inha était un des rares hommes qui m’attirait autant pour ne pas dire le seul au premier coup d’œil. Autant j’avais été magnétisé par sa musique dans un premier temps, autant plus j’apprenais à le connaitre, plus j’avais envie d’en savoir plus sur lui. Jamais je n’aurais pensé que la situation se présenterait de la sorte entre nous, mais parfois, la vie nous réservait de bonne surprise non ? Contrairement à ce qu’on pourrait croire suite à sa carrière de rockeur, il avait un tempérament très doux, qui ne faisait que renforcer son charme, me faisant craquer d’autant plus. Rare était ceux qui se montrait si tendre avec moi sans rien attendre en retour ou avoir de mauvaises pensées derrières la tête. Si je prenais Bom Chan comme exemple, mon côté lumineux l’attirait tout comme il le repoussait. Il voulait s’emparer de cette lumière, mais comme il en était incapable, il tentait de l’éteindre le temps d’un instant avec ses jeux malsains. Et je ne pouvais pas dire que je le détestais, car je tenais à lui. Il avait été là à un moment de ma vie où ca allait mal et je me suis accroché à lui comme a une bouée de sauvetage, et sans vraiment m’en rendre compte, je me suis retrouvé à lui appartenir d’une certaine manière sans aucun échappatoire en vue. Donc forcément, le neugdae me paraissait comme un coin de paradis, reposant et calme, avec un brin de passion. Il était bien un des seuls que mon innocence n’agaçait pas. Et parfois, même si je n’en parlais jamais, et n’en laissais rien apercevoir, ca faisait du bien, de pouvoir être accepté tel qu’on était vraiment sans marcher sur des œufs avec son interlocuteur. Je lui fis d’ailleurs comprendre timidement qu’il avait un effet différemment sur moi que les autres hommes. Maladroitement je le reconnaissais, mais ce n’était pas évident à expliquer. Et comme les gestes avaient souvent plus d’ampleur que de simples mots, je le lui montrais à quel point il était diffèrent. Je capturais ses lèvres quelques secondes avant de laisser parler mon corps pour moi, le guider de mes mains, puis par finir par me dévoiler à lui. J’attends sa réaction, quel qu’elle soit, parce qu’au fond, moi aussi j’étais curieuse de savoir ce qu’il pensait. Je souris alors que je le voyais à son tour surpris, un peu gêner, peinant à déglutir. Pour la première fois, les rôles étaient inversés et cela me fit sourire.
J’émis un rire cristallin alors qu’il s’apercevait que je pouvais aussi être entreprenante. « Il m’arrive de prendre les devants oui. » confirmais-je avec un brin de malice dans la voix, alors que mes mains se posaient sur son torse pour le caresser aisément. Le érotique me fit cependant rougir à nouveau. C’était bien la première fois qu’on utilisait ces mots pour me décrire. A nouveau nos lèvres se rencontrèrent avec plus de passion cette fois. J’avais comme un gout de manque sur ma langue, comme si je voulais en gouter beaucoup plus déjà, telle une drogue auxquelles on était déjà accro dès la première dose. Je fermais les yeux, profitant des frissons qu’il m’offrait de ses caresses chauffant ma peau, de ses lèvres goutant mon corps. Je le laissais faire en silence. Je rouvrais les yeux quand il voulut vérifier si il était si différent des autres, tournant la tete sur le côté, sans cesser de le fixer, curieuse de ce qu’il allait se passer ensuite. Je le regardais faire avec une certaine fascination. Aucun homme ni femme n’avait pris le temps de découvrir mon cœur de la sorte. Et je devais admettre que ca en était que plus agréable. Quand il entreprit de caresser ma perle pointant entre ses doigts, je ne pus m’empêcher de lâcher un soupir dans une longue inspiration. Plusieurs gémissements le suivirent rapidement alors que sa langue jouait à chat et qu’il devenait plus entreprenant toujours avec cette extrême lenteur. Mon corps se tendait aux creux de ses bras. J’avais posées mes mains sur le plan de travail derrière moi, cambrant ma poitrine d’avantage vers Inha pour m’offrir complètement à lui et lui facilité la tâche. Ce qui avait tendance également à me faire gémir un peu plus. Mon corps se relâchait un peu quand il abandonna mon sein pour s’aventurer sur mon ventre avec ses baisers. Plus doux, mais tout aussi agréable. Je baissais les yeux vers lui quand je le vis s’accroupir et qu’il entreprit d’ouvrir un des boutons de mon jeans. Je croisais son regard provocateur qui m’excita d’avantage, et une lueur de malice se glissa dans le mien, comme si je le mettais au défi d’essayer. Mon souffle s’accélérait, comme si on avait monté une vitesse. Pourtant quand il se redressa, mon cœur ne fit qu’un bond de mécontentement. Mon corps le réclamait déjà et en voulait beaucoup plus. Je me relevais pour me rapprocher du bord alors qu’il me poussait vers lui, venant titiller mes lèvres, mon bas ventre jouant aux montagnes russes, vacant entre envie et frustration. Je déglutis péniblement, venant prendre délicatement son visage entre mes deux paumes bien à plat, plongeant mon regard bleu dans le sien. « Les garçons ne doivent arriver que ce soir. De toute façon, j’ai ferme de l’intérieur, personne ne peut entrer sans qu’on ne leur ouvre. » Murmurais-je sur une voix légèrement enrouée par le désir qu’il m’avait laissé entrevoir sans m’y avoir vraiment fait gouter. je mélangeais nos souffles sans pour autant sceller nos lèvres pour un pacte. Mes mains descendirent le long de son corps, venant à mon tour décrocher un bouton qui me gêner. Mes lèvres s’élargirent en voyant sa réaction alors que nos visages étaient toujours à quelques centimètres de l’autre. J’y allais à tâtons, faisant glisser mes doigts sur la bosse bien enflée au travers de son jeans. « Alors ne me lâche plus. » lui lançais-je comme défis, avec une fusion de provocation et d’innocence. Je déboutonnais une deuxième bouton avant de le taquiner encore un peu par-dessus le tissu devenu gênant…
(c) fiche:WILD BIRD & gifs:gifs hunt c l o s e d
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Re: + 18 - Une bouffée d'air frais - In Ha | Ven 11 Nov - 0:25 Citer EditerSupprimer
Une bouffée d'air frais
Dambi & In Ha
TENUE & MUSIC (AURORA ♥) | Maintenant que je la tenais entre mes bras, je n'avais plus envie de la lâcher. L'avant goût qu'elle m'offrait, était comme une dégustation délicieuse que je ne voulais plus interrompre. Mon petit amuse-bouche, mes lèvres contre ses seins pointant sous le désir, elle ne pouvait me le cacher. Et elle sentait bon.. Sa peau si pâle à faire pâlir une asiatique, vanillé, langue sucrée, doux ange mi-femme mi-enfant. Ma petite gourmandise, qui semblait si fragile, si faible, mais qui avait pourtant cet air si entreprenant, sensuel, érotique. Elle avait plus d'audace qu'elle ne le pensait, et que je le pensais, j'en restais ébahi. Hypnotisé. Je mourrais d'envie de faire encore plus ressortir cette confiance en elle, c'était d'un charme incroyable, elle était d'une charme incroyable. Elle était comme un marshmallow que l'on avait envie de dévorer près d'un feu sans pouvoir s'arrêter.. Elle m'avait ouverte les portes, envie partagée, et c'était fini, nous étions fini. Nous ne pouvions plus faire marche arrière. Je voulais encore entendre ses soupirs résonner dans le silence de la pièce, un son que j'apprenais à connaître de sa bouche. Pourquoi était-ce si attirant ? Peut-être parce qu'elle aimait ça, parce que je sentais que ça lui faisait du bien, et que j'en étais l'unique responsable. L'initiateur. Laisse moi encore t'entendre, voir ton corps se cambrer, c'était beau, ça me donnait encore plus envie de toi, de t'avoir..
J'avais entrouvert son jean, d'un bouton ou deux, je luttais contre moi-même pour ne pas l'ôter tout de suite, et l'explorer autant que je le souhaitais. Ça n'allait pas tarder.. Mais c'était Dambi, je prenais mon temps, comme si je craignais inconsciemment de la brusquer, de la faire fuir, de peur que cette étrange.. situation ne devienne un mauvais souvenir. J'y tenais à mon petit ange, je ne voulais pas lui faire peur, la froisser, la perdre. Je remontais jusqu'à ses lèvres, la suppliant de me confirmer que son groupe n'allait pas prochainement nous rendre une petite visite. Je n'étais pas sûr que Jax apprécierait que je fricote avec sa batteuse, mais après tout, cela ne le concernait pas, nous n'allions pas le clamer sur tous les toits. C'était entre elle et moi, un secret, une aventure, une affection passionnée. L'une de mes mains creusait sa hanche dénudée si élancée, passant sous son jean, geste d'une pensée possessive inavouée. Non, ils n'étaient pas là avant ce soir m'avoua t-elle, ses mains se refermant sur mon visage, je pouvais entendre son souffle encore agité. Je ne voulais pas qu'il arrête de s'agiter, j'avais envie d'entendre son souffle s'emballer, s'entremêler avec le mien, et nos cœurs dans un rythme effréné. Essouffle toi avec moi. Je souriais simplement en l'entendant dire qu'elle était la seule à pouvoir ouvrir, la seule à décider, alors que nos souffles se mélangeait à nouveau comme je l'attendais, lèvres à quelques centimètres. Ses mains se baladaient sur moi, jouant à son tour avec les boutons de mon pantalon. J'esquissais un sourire, surpris, l'invitant sans peine à faire ce qu'elle voulait. Je m'offrais aussi. Je sentais son soudain empressement, elle prenait les devants, et ce n'était pas pour me déplaire. J'adorais faire ça.. Titiller sans aller trop vite, incitant la jeune femme à réagir, et à venir me chercher elle-même. Regardez-la, ma jolie louve.. Je me crispais instantanément en sentant ses doigts fins s'aventurer sur ma virilité à travers mon jean, une douce torture qui me fît lâcher un long soupir, mes lèvres entrouvertes contre les siennes. « Tels sont vos ordres. » murmurais-je à ses mots, avant de tout à coup, bondir, affamé, capturant sa bouche avec avidité, la dévorant entièrement.
J'attrapais brusquement ses hanches pour les plaquer contre moi, l'incitant à se tenir à mon cou, la portant à nouveau jusque dans la salle principale. Sa chaleur contre moi, le frottement de nos bassins, j'avais peiné à la déposer sur le canapé, mon corps l'a réclamé encore.. Je la fis doucement basculer en arrière, avant de lui susurrer « Mets-toi sur le ventre.. » Cela sonnait comme un ordre, un ordre dans un soupir enflammé. Je la laissais s'allonger sur le ventre, alors que j'étais accroupi à côté du canapé, près d'elle, la regardant avec douceur. Le silence, le silence joue avec notre désir. Je penchais ma tête sur le côté, mon regard rencontrant le sien, avant de glisser vers ses omoplates, dont je dégageais lentement ses cheveux blonds, les mettant sur l'une de ses épaules. Je mordillais ma lèvre inférieure, détaillant la ligne de son dos, passant le bout de mes doigts le long de sa colonne vertébrale jusqu'au creux de ses reins dans une lenteur calculée. Je me rapprochais, m'avançant au-dessus d'elle pour venir lui embrasser la peau, sa nuque sensible, les mains baladeuses attrapant les côtés de son jean pour le faire peu à peu descendre, dévoilant une fine culotte claire en dentelle. Lentement, je le lui ôtais, reculant derrière elle, pour lui retirer entièrement. Je la regardais quelques secondes, on aurait dit un petit ange endormi. J'en profitais pour virer mon jean qui me gênait plus qu'autre chose, avant de venir me faire une petite place sur le canapé avec elle, remontant le long de ses jambes, déposant des baisers sur l'arrière de ses cuisses, épousant de mes mains le contour de son corps, mon souffle sur ses fesses rebondies, le bout de ma langue sur ses reins, la cambrant un peu plus, sensuellement.. Je continuais mon ascension jusqu'à son cou, la surplombant entièrement alors qu'elle était toujours allongée sur le ventre, veillant à ne pas m'appuyer trop sur elle. Je lui mordillais le cou, pelotant mon torse contre son dos. « .. T'es belle.. T'es tellement belle, Dambi.. » Je passais ma main sur sa taille pour l'inviter à se retourner, avant de laisser ma bouche rejoindre sa jumelle, qui m'avait tant manqué. Je me collais un peu plus contre elle, son corps était chaud, je voulais le posséder entre mes bras. Puis, je m'aventurais à nouveau vers sa poitrine, le long de son ventre, tout me tentait, trop de choses délicieuses. J'explorais. J'explorais entre ses jambes, embrassant l'intérieur de ses cuisses, avant de passer ma langue sur sa féminité à travers le fin tissus qui la recouvrait encore.. Mes yeux cherchaient les siens d'un air provocateur, dominant, alors que je sentais ses jambes se crisper quand je refis une seconde fois ma petite action. Cet endroit semblait fort sensible.. Je remontais jusqu'à elle, réclamant sa bouche ananas. « .. Tu as dit que je ne devais plus te lâcher, alors.. c'est ce que je fais.. » murmurais-je, d'un fin sourire en coin sensuel frôlant ses lèvres, avant de venir glisser ma main entre ses cuisses, mes doigts venant titiller son intimité à travers le tissus dentelé..
J'avais entrouvert son jean, d'un bouton ou deux, je luttais contre moi-même pour ne pas l'ôter tout de suite, et l'explorer autant que je le souhaitais. Ça n'allait pas tarder.. Mais c'était Dambi, je prenais mon temps, comme si je craignais inconsciemment de la brusquer, de la faire fuir, de peur que cette étrange.. situation ne devienne un mauvais souvenir. J'y tenais à mon petit ange, je ne voulais pas lui faire peur, la froisser, la perdre. Je remontais jusqu'à ses lèvres, la suppliant de me confirmer que son groupe n'allait pas prochainement nous rendre une petite visite. Je n'étais pas sûr que Jax apprécierait que je fricote avec sa batteuse, mais après tout, cela ne le concernait pas, nous n'allions pas le clamer sur tous les toits. C'était entre elle et moi, un secret, une aventure, une affection passionnée. L'une de mes mains creusait sa hanche dénudée si élancée, passant sous son jean, geste d'une pensée possessive inavouée. Non, ils n'étaient pas là avant ce soir m'avoua t-elle, ses mains se refermant sur mon visage, je pouvais entendre son souffle encore agité. Je ne voulais pas qu'il arrête de s'agiter, j'avais envie d'entendre son souffle s'emballer, s'entremêler avec le mien, et nos cœurs dans un rythme effréné. Essouffle toi avec moi. Je souriais simplement en l'entendant dire qu'elle était la seule à pouvoir ouvrir, la seule à décider, alors que nos souffles se mélangeait à nouveau comme je l'attendais, lèvres à quelques centimètres. Ses mains se baladaient sur moi, jouant à son tour avec les boutons de mon pantalon. J'esquissais un sourire, surpris, l'invitant sans peine à faire ce qu'elle voulait. Je m'offrais aussi. Je sentais son soudain empressement, elle prenait les devants, et ce n'était pas pour me déplaire. J'adorais faire ça.. Titiller sans aller trop vite, incitant la jeune femme à réagir, et à venir me chercher elle-même. Regardez-la, ma jolie louve.. Je me crispais instantanément en sentant ses doigts fins s'aventurer sur ma virilité à travers mon jean, une douce torture qui me fît lâcher un long soupir, mes lèvres entrouvertes contre les siennes. « Tels sont vos ordres. » murmurais-je à ses mots, avant de tout à coup, bondir, affamé, capturant sa bouche avec avidité, la dévorant entièrement.
J'attrapais brusquement ses hanches pour les plaquer contre moi, l'incitant à se tenir à mon cou, la portant à nouveau jusque dans la salle principale. Sa chaleur contre moi, le frottement de nos bassins, j'avais peiné à la déposer sur le canapé, mon corps l'a réclamé encore.. Je la fis doucement basculer en arrière, avant de lui susurrer « Mets-toi sur le ventre.. » Cela sonnait comme un ordre, un ordre dans un soupir enflammé. Je la laissais s'allonger sur le ventre, alors que j'étais accroupi à côté du canapé, près d'elle, la regardant avec douceur. Le silence, le silence joue avec notre désir. Je penchais ma tête sur le côté, mon regard rencontrant le sien, avant de glisser vers ses omoplates, dont je dégageais lentement ses cheveux blonds, les mettant sur l'une de ses épaules. Je mordillais ma lèvre inférieure, détaillant la ligne de son dos, passant le bout de mes doigts le long de sa colonne vertébrale jusqu'au creux de ses reins dans une lenteur calculée. Je me rapprochais, m'avançant au-dessus d'elle pour venir lui embrasser la peau, sa nuque sensible, les mains baladeuses attrapant les côtés de son jean pour le faire peu à peu descendre, dévoilant une fine culotte claire en dentelle. Lentement, je le lui ôtais, reculant derrière elle, pour lui retirer entièrement. Je la regardais quelques secondes, on aurait dit un petit ange endormi. J'en profitais pour virer mon jean qui me gênait plus qu'autre chose, avant de venir me faire une petite place sur le canapé avec elle, remontant le long de ses jambes, déposant des baisers sur l'arrière de ses cuisses, épousant de mes mains le contour de son corps, mon souffle sur ses fesses rebondies, le bout de ma langue sur ses reins, la cambrant un peu plus, sensuellement.. Je continuais mon ascension jusqu'à son cou, la surplombant entièrement alors qu'elle était toujours allongée sur le ventre, veillant à ne pas m'appuyer trop sur elle. Je lui mordillais le cou, pelotant mon torse contre son dos. « .. T'es belle.. T'es tellement belle, Dambi.. » Je passais ma main sur sa taille pour l'inviter à se retourner, avant de laisser ma bouche rejoindre sa jumelle, qui m'avait tant manqué. Je me collais un peu plus contre elle, son corps était chaud, je voulais le posséder entre mes bras. Puis, je m'aventurais à nouveau vers sa poitrine, le long de son ventre, tout me tentait, trop de choses délicieuses. J'explorais. J'explorais entre ses jambes, embrassant l'intérieur de ses cuisses, avant de passer ma langue sur sa féminité à travers le fin tissus qui la recouvrait encore.. Mes yeux cherchaient les siens d'un air provocateur, dominant, alors que je sentais ses jambes se crisper quand je refis une seconde fois ma petite action. Cet endroit semblait fort sensible.. Je remontais jusqu'à elle, réclamant sa bouche ananas. « .. Tu as dit que je ne devais plus te lâcher, alors.. c'est ce que je fais.. » murmurais-je, d'un fin sourire en coin sensuel frôlant ses lèvres, avant de venir glisser ma main entre ses cuisses, mes doigts venant titiller son intimité à travers le tissus dentelé..
FICHE ET CODES PAR BROADSWORD.
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Re: + 18 - Une bouffée d'air frais - In Ha | Ven 18 Nov - 22:42 Citer EditerSupprimer
Une bouffée d'air frais.
In Ha & Dambi
Local de répétition
TENUE +Je découvrais à Inha ce côté sauvage que je ne soupçonnais, cacher sous ces couches de tendresses et de gentillesse. Un loup encore indompté que je pensais libre que sur scène, lors de musique déchainée, image de la grande plaine où il pouvait courir sans limite. Mais aujourd’hui, je m’apercevais qu’il pouvait se manifester dans l’intimité également. Délicat, tendre, un brin sauvage et autoritaire. A ce rythme, je ne pouvais plus lui cacher à quel point ses caresses et sa proximité me plaisait plus qu’il n’aurait du. Il m’attirait, et je désirais bien plus encore maintenant que nous avions franchis ce cap nouveau pour nous. Nos respirations se font de plus en plus fortes, et mes gémissements s’y perdent telle une promesse lointaine aussi fragile et fugace que les ailes d’un papillon éphémère. Il manipulait mon corps avec une telle agilité et délicatesse que j’avais envie de lui faire remarquer que je n’étais fait de sucre, ni étais-je une poupée de porcelaine, que je ne risquais pas de me briser aux moindres de ses touchers. Mais c’était justement cela qui était si attirant, si attachant. C’était si plaisant que je ne pouvais pas m’en défaire, je ne pouvais pas renoncer à une telle attention qu’on me refusait si souvent dans l’intimité des draps de satin. Ses lèvres qui taquinaient les miennes me donnaient des bouffées de chaleur du à un désir grandissant à l’égard du jeune homme. Les mains baladeuses qui se perdirent sur le tissu qui masquait un joli trésor dont je n’avais pas encore eu l’honneur de voir, mais qui ne demandait qu’à se montrer. Mon sourire s’élargit en tâtant l’effet que je lui faisais, et que le neugdae soupirait d’aise à nouveau par ma faute. Et ca en était grisant de pouvoir posséder quelqu’un de temps à autre, sans arrière-pensée, juste pour voir l’effet qu’on pouvait avoir sur lui. Douce créature ne voulait pas dire innocente. J’aimais entendre son souffle accélérer ou diminuer selon mes envies rendant la chose que plus attrayante. Le chenapan ne me laissa pourtant pas profiter du peu de dessus que j’avais sur lui pour m’amuser à ma guise. Il reprenait déjà les rennes, le regard avide, affamé, ses gestes témoignant de son impatience.
Mon rire cristallin retentit soudainement dans le silence de la pièce, ma réponse à le voir pris d’un désir inassouvi à mon égard. Un moment passionné de légèreté que je ne pensais pas possible il y avait quelques heures encore. Une aspiration secrète qui avait décidé de voir le jour sans qu’on ne s’en rende compte, mais dans lequel nous avons plongé tous deux la tête baissée, les yeux fermés, nous y noyant dans une totale confiance. Mais ne devions nous pas nous en douter ? Apres tous, la plupart des artistes finissaient par avoir une relation plus qu’ambiguë avec leur muse. J’en roulais mes jambes autour de sa taille alors que mes bras trouvèrent son cou et mes doigts rencontrèrent ses cheveux que je démêlais – ou que j’emmêlais. Je me laissais transporter jusqu’au canapé où je fus séparer à contre cœur de ces bras si cher à mon cœur. Mais c’était pour un bien. Je relevais les yeux vers lui à la fois surprise par ce ton autoritaire emplis d’affection qui m’ordonnait de me tourner sur le ventre. De tel ordre, je voulais bien les exécuter tous les jours sans jamais défaillir. Je glissais en avant sans jamais le quitter du regard, curieuse de la suite. Les bras sous mon menton, je tournais le visage sur le côté pour accompagner son geste qui me balayait ma chevelure blonde sur mon épaule. Des frissons me parcourraient alors qu’il descendait le long de mon échine, découvrant les courbes de mon corps qui faisait de moi une femme-enfant. Je fermais les yeux pour mieux profiter des sensations qu’il m’offrait, s’aventurant sur des terres encore étrangères pour lui. Son investigation était des plus minutieuses, il n’en oubliait pas un bout, jouant avec mes nerfs déjà bien rendu sensibles par ses soins. Un gémissement s’échappait d’entre mes lèvres quand les siennes à lui étaient de nouveau de la partie. Je soulevais mon bassin pour l’aider à se débarrasser de mon jeans devenu trop encombrant. Je me cambrais contre lui, cédant à l’appel de ma peau contre sa peau. Un couinement de souris se délogeait de ma gorge quand il marquait mon cou de ses dents, donnant un coup de pousse au papillon dans mon ventre pour s’envoler d’avantage. J’aimais le sentir si proche. J’aimais les émotions qu’il éveillait en moi. Je voulais qu’il me possède entièrement sans oublier une seule parcelle de mon être. alors quand il me retournait vers lui, je me blottis contre lui, je le sentis trouver un nouveau jouet assez sensible au creux de ma féminité, j’écarquillais les yeux de plaisir. Par reflexe, mes ongles griffèrent doucement le dos musclé du jeune homme alors que je venais sceller à nouveau nos lèvres, écartant les cuisses un peu plus pour lui laisser un meilleur angle de manœuvre. « Inha… » Soufflais-je à bout de souffle comme si je venais de courir un marathon. J’allais finir par céder avant même qu’on ait commencé à véritablement jouer. Alors que mes doigts dansaient avec élégance et frénésie sur sa peau dénudée, parcourant chacun de ses muscles qui tressaillaient sous mon toucher. Son torse et son dos n’auraient plus qu’un secret pour mes doigts et mes lèvres qui y déposaient un collier de baisers. Je me faisais plus pressante, me cambrant contre lui alors qu’il titillait ce qu’il y avait de plus sensible chez moi. Avec un brin d’audace, et un sourire provocateur, j’attrapais doucement sa main, que j’aidais à s’aventurer un peu plus loin sous le tissu de dentelle. Je le guidais quand il se perdait trop en route pour le mener là où j’avais envie qu’il soit, pour qu’il sente à quel point j’étais prête à l’accueillir, à quel point j’étais excité, et tout cela seulement, et uniquement grâce à lui. Je voulais qu’il prenne les consciences des conséquences paradisiaques de ses actes. « In Ha ? Tu sais à quel point j’ai envie de toi en ce moment ? … » Murmurais-je un brin enfantin. Douce créature, innocence abandonnée pour la luxure. Je retirais mes doigts, le laissant inspecter à sa manière quelques instants qui me firent frissonner toute entière. Je me redressais subitement, changeant nos positions, je m’installais à califourchon sur le jeune homme, lui retirant le droit à ma perle de chair pour le moment. A mon tour de le faire languir un peu. Je me penchais en avant pour déposer un baiser sur le bout de son nez, avant de descendre sur sa mâchoire, dans son cou que je marquais également à ma manière, plus douce, à la couleur d’un bonbon coloré rose. Il avait un gout sucré qui me donnait d’avantage envie de continuer. Une ligne de baiser sur ses pectoraux que je griffais doucement de mes ongles pour varier les sensations émis, pour arriver à son boxer où je donnais un coup de langue sous l’élastique, touchant au passant quelque chose de plus osée. Un seul frôlement. Je relevais un regard sauvage vers lui, attendant sa réaction avant de reprendre mon lapage. Avant de doucement y glisser mes doigts et de reculer en arrière sur les genoux, avec une lenteur calculée, je lui retirais ce qui gênait encore. Un anaconda sauvage apparu pour mon plus grand bonheur, m’arrachant un hoquet de surprise. Les mains sur la bouche, je ris. Pas un de ces rires moqueurs ou enfantins, mais un rire sensuelle que seul un amant pouvait entendre et partagé. « Tu m’avais caché ca ! » sous entendais-je rougissant subitement comme si j’étais prise la main dans le sac…
Mon rire cristallin retentit soudainement dans le silence de la pièce, ma réponse à le voir pris d’un désir inassouvi à mon égard. Un moment passionné de légèreté que je ne pensais pas possible il y avait quelques heures encore. Une aspiration secrète qui avait décidé de voir le jour sans qu’on ne s’en rende compte, mais dans lequel nous avons plongé tous deux la tête baissée, les yeux fermés, nous y noyant dans une totale confiance. Mais ne devions nous pas nous en douter ? Apres tous, la plupart des artistes finissaient par avoir une relation plus qu’ambiguë avec leur muse. J’en roulais mes jambes autour de sa taille alors que mes bras trouvèrent son cou et mes doigts rencontrèrent ses cheveux que je démêlais – ou que j’emmêlais. Je me laissais transporter jusqu’au canapé où je fus séparer à contre cœur de ces bras si cher à mon cœur. Mais c’était pour un bien. Je relevais les yeux vers lui à la fois surprise par ce ton autoritaire emplis d’affection qui m’ordonnait de me tourner sur le ventre. De tel ordre, je voulais bien les exécuter tous les jours sans jamais défaillir. Je glissais en avant sans jamais le quitter du regard, curieuse de la suite. Les bras sous mon menton, je tournais le visage sur le côté pour accompagner son geste qui me balayait ma chevelure blonde sur mon épaule. Des frissons me parcourraient alors qu’il descendait le long de mon échine, découvrant les courbes de mon corps qui faisait de moi une femme-enfant. Je fermais les yeux pour mieux profiter des sensations qu’il m’offrait, s’aventurant sur des terres encore étrangères pour lui. Son investigation était des plus minutieuses, il n’en oubliait pas un bout, jouant avec mes nerfs déjà bien rendu sensibles par ses soins. Un gémissement s’échappait d’entre mes lèvres quand les siennes à lui étaient de nouveau de la partie. Je soulevais mon bassin pour l’aider à se débarrasser de mon jeans devenu trop encombrant. Je me cambrais contre lui, cédant à l’appel de ma peau contre sa peau. Un couinement de souris se délogeait de ma gorge quand il marquait mon cou de ses dents, donnant un coup de pousse au papillon dans mon ventre pour s’envoler d’avantage. J’aimais le sentir si proche. J’aimais les émotions qu’il éveillait en moi. Je voulais qu’il me possède entièrement sans oublier une seule parcelle de mon être. alors quand il me retournait vers lui, je me blottis contre lui, je le sentis trouver un nouveau jouet assez sensible au creux de ma féminité, j’écarquillais les yeux de plaisir. Par reflexe, mes ongles griffèrent doucement le dos musclé du jeune homme alors que je venais sceller à nouveau nos lèvres, écartant les cuisses un peu plus pour lui laisser un meilleur angle de manœuvre. « Inha… » Soufflais-je à bout de souffle comme si je venais de courir un marathon. J’allais finir par céder avant même qu’on ait commencé à véritablement jouer. Alors que mes doigts dansaient avec élégance et frénésie sur sa peau dénudée, parcourant chacun de ses muscles qui tressaillaient sous mon toucher. Son torse et son dos n’auraient plus qu’un secret pour mes doigts et mes lèvres qui y déposaient un collier de baisers. Je me faisais plus pressante, me cambrant contre lui alors qu’il titillait ce qu’il y avait de plus sensible chez moi. Avec un brin d’audace, et un sourire provocateur, j’attrapais doucement sa main, que j’aidais à s’aventurer un peu plus loin sous le tissu de dentelle. Je le guidais quand il se perdait trop en route pour le mener là où j’avais envie qu’il soit, pour qu’il sente à quel point j’étais prête à l’accueillir, à quel point j’étais excité, et tout cela seulement, et uniquement grâce à lui. Je voulais qu’il prenne les consciences des conséquences paradisiaques de ses actes. « In Ha ? Tu sais à quel point j’ai envie de toi en ce moment ? … » Murmurais-je un brin enfantin. Douce créature, innocence abandonnée pour la luxure. Je retirais mes doigts, le laissant inspecter à sa manière quelques instants qui me firent frissonner toute entière. Je me redressais subitement, changeant nos positions, je m’installais à califourchon sur le jeune homme, lui retirant le droit à ma perle de chair pour le moment. A mon tour de le faire languir un peu. Je me penchais en avant pour déposer un baiser sur le bout de son nez, avant de descendre sur sa mâchoire, dans son cou que je marquais également à ma manière, plus douce, à la couleur d’un bonbon coloré rose. Il avait un gout sucré qui me donnait d’avantage envie de continuer. Une ligne de baiser sur ses pectoraux que je griffais doucement de mes ongles pour varier les sensations émis, pour arriver à son boxer où je donnais un coup de langue sous l’élastique, touchant au passant quelque chose de plus osée. Un seul frôlement. Je relevais un regard sauvage vers lui, attendant sa réaction avant de reprendre mon lapage. Avant de doucement y glisser mes doigts et de reculer en arrière sur les genoux, avec une lenteur calculée, je lui retirais ce qui gênait encore. Un anaconda sauvage apparu pour mon plus grand bonheur, m’arrachant un hoquet de surprise. Les mains sur la bouche, je ris. Pas un de ces rires moqueurs ou enfantins, mais un rire sensuelle que seul un amant pouvait entendre et partagé. « Tu m’avais caché ca ! » sous entendais-je rougissant subitement comme si j’étais prise la main dans le sac…
(c) fiche:WILD BIRD & gifs:gifs hunt c l o s e d
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Re: + 18 - Une bouffée d'air frais - In Ha | Mer 7 Déc - 16:54 Citer EditerSupprimer
Une bouffée d'air frais
Dambi & In Ha
TENUE & MUSIC (AURORA ♥) | Fasciné. J'étais fasciné par la touche rosée que prenaient de plus en plus ses joues. Un peu timide, un peu fiévreuse. Aucun des deux ne me plaisait plus que l'autre. Peignant sa peau blanche de quelques bouffées de chaleur, que je partageais avec elle, ne voulant pas les laisser s'atténuer. Bien au contraire. Augmentons tout ça. J'avais déjà vu, je voulais voir un peu plus, encore plus. J'aimais cette étincelle dans son regard, c'était autre chose, un autre regard, une autre vision de sa personnalité, quelque chose que je mourrais d'envie de libérer. Mon petit ange, si frêle, si délicate, serais-tu plus sauvage à l'intérieur, si je viens te réveiller ? Je m'en ferais un plaisir, montre-moi, montre-moi.. Dambi... Curiosité avide, diabolique, obsédante. Lâche-toi, n'aie pas peur, je ne serais que plus intéressé. Qui aurait cru que l'on partirait tous les deux sur ce terrain-là ? Il est vrai que je la dessinais souvent dans mon esprit, une muse de pensée pour quelques chansons, quelques écrits sur une femme aux allures angéliques que je voulais un peu ébouriffer, de la douceur au rock'n'roll. De là à m'imaginer dans ce genre de proximité avec elle.. Je ne pouvais nier de n'avoir jamais réagi à sa beauté, à ses petites expressions quand elle se penchait vers moi, me retenant quelques fois de ne pas m'avancer davantage pour l'atteindre. Mais elle venait toute seule, aucune méfiance, elle semblait avoir totalement confiance en moi, et elle le pouvait. Jamais je ne lui ferais du mal. Elle donnait cette impression de fille à protéger, à enlacer aux moindres mots qu'elle prononçait, tant elle était adorable et faisait fondre le cœur. Dieu que j'étais faible devant les aegyos comme ça.. Elle le faisait même pas exprès en plus, c'était dans sa nature, c'était ça le pire ! Mignon, je trouvais ça mignon, admirant ma muse, un des visages de mes femmes idéales. Mais ce qui avait réveillé le loup, ce qui m'avait réveillé, c'était cette lueur ambré, fauve dans ses yeux. Fais semblant de ne pas savoir ce que tu fais, alors que tu t'y prends si bien, mon petit ange. Quel est cet animal indompté que tu sais si bien nous cacher ? Je veux le voir, je veux le laisser sortir. Laisse-moi le découvrir.
Femme-enfant, femme mi-chiot, mi-louve. Je marquais d'une morsure légère sa peau de porcelaine, comme si je voulais qu'elle se souvienne pendant un moment de ce qu'on avait partagé à deux ce jour-là, que ce soit gravé par mes soins. Un geste de possession non-dissimulé. Je glissais ma main entre ses cuisses, atteignant aisément la zone sensible qui l'avait fait lâcher un soupir de surprise dans un nouveau baiser enflammé, ses griffes s'agrippant à mon dos, le rougissant certainement de quelques traits. Douleur agréable dans ces circonstances, n'est-ce pas ? La baiser s'arrêta, nos souffles entremêlés, mon regard dans le sien, émerveillé, mes lèvres entrouvertes s'étirant en un sourire arrogant, dominant, alors que la jeune femme avait pris l'initiative de guider ma main sous son sous-vêtement, nichant d'elle-même mes doigts là où elle les souhaitait. Je léchais sa lèvre inférieure, alors qu'elle se cambrait brusquement dans une nouvelle caresse, mon nom lui échappant dans un halètement démontrant les méfaits de la charmante torture que je lui imposais. Voilà ce que je voulais voir, viens me surprendre. J'esquissais un petit rire sensuel, alors qu'elle prenait la parole. « .. Crois-moi, je le sais. » murmurais-je avec provocation, sentant qu'elle devenait de plus en plus humide sous mes attentions. « Et moi, qu'est-ce que je devrais dire.. » Ce que je faisais me plaisait au plus haut point, et en même temps, je partageais silencieusement sa propre torture, ma virilité se faisant plus pressante à chaque action qu'effectuaient mes mains de musicien. Il faut dire que j'étais à ses ordres à cet instant précis, sa main me dictant le rythme qu'elle voulait que je suive, la zone qu'elle voulait que je touche, et j'obéissais, plein d’intérêt à connaître son corps que je découvrais comme une délicate surprise. On avait le même but en commun de toute façon, la satisfaire, alors autant s'associer non ? Elle relâchait finalement sa prise, comme si elle voulait voir si j'avais bien retenue la leçon qu'elle venait de m'enseigner. Oh crois-moi que je n'allais pas l'oublier de si tôt.. Des frissons la parcourant. Frissons d'extase. Petite mise en bouche.
La voilà qui reprenait les rennes, avec plaisir, je te laisse faire. Je la regardais me faire reculer pour s'installer à califourchon sur moi, un sourire en coin qui s'étirait alors qu'elle déposait un baiser sur mon nez d'un geste enfantin, s'aventurant près de ma mâchoire aiguisée, aspirant la peau de mon cou d'une manière à laisser certainement à son tour une marque. « .. Tu souhaites faire savoir à tout le monde que tu es passée par-là.. ? » susurrais-je d'une voix grave, charmeur, mon torse se soulevant sous ma respiration fiévreuse, alors qu'elle passait le long de mon ventre, me faisant pencher la tête en arrière en sentant les petits frissons me parcourir. Ce que la peau pouvait être sensible.. Je suivais ses mouvements félins qui descendaient lentement le long de mon corps, curieux de ce qu'elle allait faire. Hypnotisé par sa soudaine envie de guider, de m'avoir à son tour. Je sentais chaque partie de mon corps se crisper alors qu'elle soulevait mon boxer, rapprochant sa langue de la zone la plus sensible à cet instant précis. J'eus un léger sursaut, léger frisson, alors qu'elle relevait son regard vers moi. L'ambre. Revoilà la couleur ambrée de la louve indomptée. « .. Dambi.. ! » lâchais-je comme une plainte. Qu'elle arrête d'aller par là.. Non.. N'arrête pas.. L'ennui, c'est que la voir comme cela m'excitait encore plus. Je penchais un peu plus la tête en arrière en sentant qu'elle enlevait entièrement mon boxer. Oh tuez-moi, bon sang... Je lâchais un rire à sa remarque, capturant le sien dans mon esprit, le tournant en boucle comme une chanson interdite mais qu'on ne cessait de vouloir écouter. Il est vrai que je ne pouvais nier non plus l'effet qu'elle me faisait, vu l'état de monsieur au garde à vous en contrebas. « La faute à qui à ton avis hmm.. ? » susurrais-je, mes mains possessives sur ses hanches, s'accrochant aux extrémités de son sous-vêtement, que je fis à son tour glisser et disparaître sur le sol. Je la fixais longuement pendant ce qui paraissait de longues secondes. Intensément. Elle était nue, elle était nue sur moi, avec ses longs cheveux blonds sagement placés de part et d'autre de son visage, cachant joliment ses deux petites rondeurs de femme, petite bouche pas si innocente que ça.. Je me redressais, passant une main contre ses reins, une main sur l'une de ses hanches, la capturant d'un geste brusque contre moi, venant capturer ses lèvres qui m'avaient manqué, baiser doux, sucré. « Prête.. ? » murmurais-je avec douceur, près de son oreille, avant de venir glisser ma virilité en elle, alors que je la laissais faire, la laissant lentement la pénétrer, jusqu'à ce que ses hanches viennent parfaitement épouser les miennes. Délivrance.. Je poussais un long soupir rauque, embrassant son cou, sa mâchoire, avant de revenir jusqu'à sa bouche. Ce qu'elle était étroite.. Bon sang.. Je n'allais pas tenir... « .. Dambi, mon ange.. Montre-moi comment tu remues tes jolies hanches.. Je suis sûr que tu es.. encore plus belle quand tu prends les rennes.. » lui affirmais-je, déposant des petits baisers sur sa bouche, avant d'y glisser ma langue, mes doigts capturant la courbure de ses hanches, l'incitant à m'imposer à nouveau son rythme, les légers vas et vient ne commençant déjà plus à me suffire... Je te laisse champ libre, ma douceur, profite-en, profite-en avant que je reprenne à nouveau le dessus...
Femme-enfant, femme mi-chiot, mi-louve. Je marquais d'une morsure légère sa peau de porcelaine, comme si je voulais qu'elle se souvienne pendant un moment de ce qu'on avait partagé à deux ce jour-là, que ce soit gravé par mes soins. Un geste de possession non-dissimulé. Je glissais ma main entre ses cuisses, atteignant aisément la zone sensible qui l'avait fait lâcher un soupir de surprise dans un nouveau baiser enflammé, ses griffes s'agrippant à mon dos, le rougissant certainement de quelques traits. Douleur agréable dans ces circonstances, n'est-ce pas ? La baiser s'arrêta, nos souffles entremêlés, mon regard dans le sien, émerveillé, mes lèvres entrouvertes s'étirant en un sourire arrogant, dominant, alors que la jeune femme avait pris l'initiative de guider ma main sous son sous-vêtement, nichant d'elle-même mes doigts là où elle les souhaitait. Je léchais sa lèvre inférieure, alors qu'elle se cambrait brusquement dans une nouvelle caresse, mon nom lui échappant dans un halètement démontrant les méfaits de la charmante torture que je lui imposais. Voilà ce que je voulais voir, viens me surprendre. J'esquissais un petit rire sensuel, alors qu'elle prenait la parole. « .. Crois-moi, je le sais. » murmurais-je avec provocation, sentant qu'elle devenait de plus en plus humide sous mes attentions. « Et moi, qu'est-ce que je devrais dire.. » Ce que je faisais me plaisait au plus haut point, et en même temps, je partageais silencieusement sa propre torture, ma virilité se faisant plus pressante à chaque action qu'effectuaient mes mains de musicien. Il faut dire que j'étais à ses ordres à cet instant précis, sa main me dictant le rythme qu'elle voulait que je suive, la zone qu'elle voulait que je touche, et j'obéissais, plein d’intérêt à connaître son corps que je découvrais comme une délicate surprise. On avait le même but en commun de toute façon, la satisfaire, alors autant s'associer non ? Elle relâchait finalement sa prise, comme si elle voulait voir si j'avais bien retenue la leçon qu'elle venait de m'enseigner. Oh crois-moi que je n'allais pas l'oublier de si tôt.. Des frissons la parcourant. Frissons d'extase. Petite mise en bouche.
La voilà qui reprenait les rennes, avec plaisir, je te laisse faire. Je la regardais me faire reculer pour s'installer à califourchon sur moi, un sourire en coin qui s'étirait alors qu'elle déposait un baiser sur mon nez d'un geste enfantin, s'aventurant près de ma mâchoire aiguisée, aspirant la peau de mon cou d'une manière à laisser certainement à son tour une marque. « .. Tu souhaites faire savoir à tout le monde que tu es passée par-là.. ? » susurrais-je d'une voix grave, charmeur, mon torse se soulevant sous ma respiration fiévreuse, alors qu'elle passait le long de mon ventre, me faisant pencher la tête en arrière en sentant les petits frissons me parcourir. Ce que la peau pouvait être sensible.. Je suivais ses mouvements félins qui descendaient lentement le long de mon corps, curieux de ce qu'elle allait faire. Hypnotisé par sa soudaine envie de guider, de m'avoir à son tour. Je sentais chaque partie de mon corps se crisper alors qu'elle soulevait mon boxer, rapprochant sa langue de la zone la plus sensible à cet instant précis. J'eus un léger sursaut, léger frisson, alors qu'elle relevait son regard vers moi. L'ambre. Revoilà la couleur ambrée de la louve indomptée. « .. Dambi.. ! » lâchais-je comme une plainte. Qu'elle arrête d'aller par là.. Non.. N'arrête pas.. L'ennui, c'est que la voir comme cela m'excitait encore plus. Je penchais un peu plus la tête en arrière en sentant qu'elle enlevait entièrement mon boxer. Oh tuez-moi, bon sang... Je lâchais un rire à sa remarque, capturant le sien dans mon esprit, le tournant en boucle comme une chanson interdite mais qu'on ne cessait de vouloir écouter. Il est vrai que je ne pouvais nier non plus l'effet qu'elle me faisait, vu l'état de monsieur au garde à vous en contrebas. « La faute à qui à ton avis hmm.. ? » susurrais-je, mes mains possessives sur ses hanches, s'accrochant aux extrémités de son sous-vêtement, que je fis à son tour glisser et disparaître sur le sol. Je la fixais longuement pendant ce qui paraissait de longues secondes. Intensément. Elle était nue, elle était nue sur moi, avec ses longs cheveux blonds sagement placés de part et d'autre de son visage, cachant joliment ses deux petites rondeurs de femme, petite bouche pas si innocente que ça.. Je me redressais, passant une main contre ses reins, une main sur l'une de ses hanches, la capturant d'un geste brusque contre moi, venant capturer ses lèvres qui m'avaient manqué, baiser doux, sucré. « Prête.. ? » murmurais-je avec douceur, près de son oreille, avant de venir glisser ma virilité en elle, alors que je la laissais faire, la laissant lentement la pénétrer, jusqu'à ce que ses hanches viennent parfaitement épouser les miennes. Délivrance.. Je poussais un long soupir rauque, embrassant son cou, sa mâchoire, avant de revenir jusqu'à sa bouche. Ce qu'elle était étroite.. Bon sang.. Je n'allais pas tenir... « .. Dambi, mon ange.. Montre-moi comment tu remues tes jolies hanches.. Je suis sûr que tu es.. encore plus belle quand tu prends les rennes.. » lui affirmais-je, déposant des petits baisers sur sa bouche, avant d'y glisser ma langue, mes doigts capturant la courbure de ses hanches, l'incitant à m'imposer à nouveau son rythme, les légers vas et vient ne commençant déjà plus à me suffire... Je te laisse champ libre, ma douceur, profite-en, profite-en avant que je reprenne à nouveau le dessus...
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