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in the still of the night ft miso
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in the still of the night ft miso | Jeu 7 Juil - 9:58
Tenue + Coiffure ♡ il aimait ces soirées calmes où seule sa respiration venait briser le silence présent dans la pièce. il venait tout juste de rentrer d'une mission à l'extérieur du campus; une entreprise spécialisé dans l'high tech avait fait appel à lui pour réparer un bug du système, chose qu'il avait accepté de faire au vu du salaire qui lui était proposé et chose qui ne lui avait guère pris plus de deux heures. de l'argent facile comme il l'aimait tant et un vendredi soir paisible, sans colocataires; probablement sortis rejoindre leur famille ou peut-être même leur petite amie qui sait. son sac posé au pied de son lit, il en avait sortis une poche de cheetos au fromage, une bouteille de coca et quelques friandises qu'il avait ensuite posé sur son bureau avant de ne s'étirer un sourire satisfait dessiné sur son visage. il allait enfin pouvoir consacrer un peu de temps pour sa propre personne. juste lui et son macbook; personne d'autre pour les déranger dans leur moment d'intimité entre codage et graphisme. des moments qui se faisaient de plus en plus rare, délaissé contre son grès et remplacé par des activités moins plaisantes tel que le tutorat. entrouvrant la poche de cheetos, il y plonge la main droite s'emparant des gateaux qu'il glisse vulgairement entre ses lèvres tout en allumant son ordinateur de sa main libre. perfectionniste certes, mais tout aussi affamé et flemmard que n'importe quel humain pouvait l'être par moment. assis sur la chaise de son bureau, il se laisse aller en arrière, l'esprit vide, machant délectablement les biscuits salés. qu'il faisait bon de se retrouver avec soi-même; de ne guère avoir besoin de parler; ni même de réagir à ce que l'on lui disait. le ronronnement de son ordinateur, la douce odeur du fromage et ... un bruit sourd en provenance de la porte de sa chambre; le faisant maladroitement sursauter, manquant presque de chuter de sa chaise. clignant des yeux; il se redresse les yeux rivés vers la porte du dortoir dans l'espoir d'avoir mal entendu et que cela n'ai été que l'objet de son imagination. mais le bruit se fait de nouveau entendre; lui arrachant un grognement de mécontentement tandis qu'il se relève quittant le confort de sa chaise pour se diriger vers la porte tout en trainant des pieds. " je vous ai déjà dis de ne pas oublier vos clés les mecs, sérieux vous avez vu l'heure qu'il est ? " gromelle t-il tout en portant ses doigts parsemé de fromage à sa bouche avant de ne les suçotter l'un après l'autre; ouvrant de sa main libre la porte du dortoir.
miso il s'arrête de respirer le temps d'un fraction de seconde, l'index en bouche et les sourcils froncés. que fait-elle là à une heure aussi tardive ? pourquoi ne l'a t-elle pas appelé et qu'est-ce qui l'amène ici ? retirant son doigt d'entre ses lèvres; il cache instinctivement sa main derrière son dos avant de s'humecter la lèvre inférieure d'un léger coup de langue; comme si de rien n'était. " miso ? qu'est-ce que tu fais là ? " prononce t-il de sa voix grave tout en l'observant queque peu intriguée. la jeune femme avait beau être une amie, il était rare de la voir venir le rejoindre dans son dortoir; pour tout avouer il s'agissait probablement de la première fois, chose qui laissait le jeune homme légèrement dubitatif. " ça a pas l'air d'aller fort; tu veux entrer ? " question rhétorique; bien entendu qu'elle désirait entrer ou ? il suffisait de poser son regard sur la demoiselle pour comprendre qu'il y avait quelque chose qui clochait et qu'elle avait probablement le coeur lourd, un coeur qu'elle avait besoin d'alléger en se confiant. c'était bien l'une des choses qu'il n'avait jamais compris avec la jeune imigrante; comment pouvait-elle apprécier se confier à lui; lui qui manquait tant d'empathie et qui ne comprenait pour la plus grande partie du temps pas pourquoi telles ou telles choses la tracassait. mais que vouliez-vous, les femmes avaient cette aisance à se laisser submerger par les émotions; les sentiments et toutes choses futiles que " l'amour " apportait à l'être humain.
in the still of the night
Feat Miso
Tenue + Coiffure ♡ il aimait ces soirées calmes où seule sa respiration venait briser le silence présent dans la pièce. il venait tout juste de rentrer d'une mission à l'extérieur du campus; une entreprise spécialisé dans l'high tech avait fait appel à lui pour réparer un bug du système, chose qu'il avait accepté de faire au vu du salaire qui lui était proposé et chose qui ne lui avait guère pris plus de deux heures. de l'argent facile comme il l'aimait tant et un vendredi soir paisible, sans colocataires; probablement sortis rejoindre leur famille ou peut-être même leur petite amie qui sait. son sac posé au pied de son lit, il en avait sortis une poche de cheetos au fromage, une bouteille de coca et quelques friandises qu'il avait ensuite posé sur son bureau avant de ne s'étirer un sourire satisfait dessiné sur son visage. il allait enfin pouvoir consacrer un peu de temps pour sa propre personne. juste lui et son macbook; personne d'autre pour les déranger dans leur moment d'intimité entre codage et graphisme. des moments qui se faisaient de plus en plus rare, délaissé contre son grès et remplacé par des activités moins plaisantes tel que le tutorat. entrouvrant la poche de cheetos, il y plonge la main droite s'emparant des gateaux qu'il glisse vulgairement entre ses lèvres tout en allumant son ordinateur de sa main libre. perfectionniste certes, mais tout aussi affamé et flemmard que n'importe quel humain pouvait l'être par moment. assis sur la chaise de son bureau, il se laisse aller en arrière, l'esprit vide, machant délectablement les biscuits salés. qu'il faisait bon de se retrouver avec soi-même; de ne guère avoir besoin de parler; ni même de réagir à ce que l'on lui disait. le ronronnement de son ordinateur, la douce odeur du fromage et ... un bruit sourd en provenance de la porte de sa chambre; le faisant maladroitement sursauter, manquant presque de chuter de sa chaise. clignant des yeux; il se redresse les yeux rivés vers la porte du dortoir dans l'espoir d'avoir mal entendu et que cela n'ai été que l'objet de son imagination. mais le bruit se fait de nouveau entendre; lui arrachant un grognement de mécontentement tandis qu'il se relève quittant le confort de sa chaise pour se diriger vers la porte tout en trainant des pieds. " je vous ai déjà dis de ne pas oublier vos clés les mecs, sérieux vous avez vu l'heure qu'il est ? " gromelle t-il tout en portant ses doigts parsemé de fromage à sa bouche avant de ne les suçotter l'un après l'autre; ouvrant de sa main libre la porte du dortoir.miso il s'arrête de respirer le temps d'un fraction de seconde, l'index en bouche et les sourcils froncés. que fait-elle là à une heure aussi tardive ? pourquoi ne l'a t-elle pas appelé et qu'est-ce qui l'amène ici ? retirant son doigt d'entre ses lèvres; il cache instinctivement sa main derrière son dos avant de s'humecter la lèvre inférieure d'un léger coup de langue; comme si de rien n'était. " miso ? qu'est-ce que tu fais là ? " prononce t-il de sa voix grave tout en l'observant queque peu intriguée. la jeune femme avait beau être une amie, il était rare de la voir venir le rejoindre dans son dortoir; pour tout avouer il s'agissait probablement de la première fois, chose qui laissait le jeune homme légèrement dubitatif. " ça a pas l'air d'aller fort; tu veux entrer ? " question rhétorique; bien entendu qu'elle désirait entrer ou ? il suffisait de poser son regard sur la demoiselle pour comprendre qu'il y avait quelque chose qui clochait et qu'elle avait probablement le coeur lourd, un coeur qu'elle avait besoin d'alléger en se confiant. c'était bien l'une des choses qu'il n'avait jamais compris avec la jeune imigrante; comment pouvait-elle apprécier se confier à lui; lui qui manquait tant d'empathie et qui ne comprenait pour la plus grande partie du temps pas pourquoi telles ou telles choses la tracassait. mais que vouliez-vous, les femmes avaient cette aisance à se laisser submerger par les émotions; les sentiments et toutes choses futiles que " l'amour " apportait à l'être humain.
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Re: in the still of the night ft miso | Jeu 7 Juil - 15:01
Tenue ♡ Il l’a fait. Encore. Chujung m’a défoncé le cœur. Encore. A coup de sentiments. A coups de mauvais coups. Il l’a fait. Encore. J’aurais beau m’enfiler les bouteilles les unes après les autres ca n’y changera rien. Il l’a encore fait. A quoi a-t-il pensé ? A rien, et surtout pas à moi. Comment a-t-il pu ? Des tonnes de questions m’assaillent l’esprit et me pourrissent le cœur. Il me détruit le cœur encore et encore et moi je suis là, à l’attendre, à l’attendre à tel point que ça fait mal d’arrêter de vivre pour lui … J’attends qu’il se décide à m’accepter, espérant qu’un jour il puisse surpasser toutes ces barrières qui s’érigent autour de nous … je suffoque à la simple idée qu’il puisse me laisser un jour et pourtant je le hais … je le hais tellement … J’ai envie de crever à cet instant. Ce sentiment de malheur et de tristesse, de dégoût, celui qui vous tiens éveiller et qui vous serre le ventre à vous en donner la nausée. Je suis fatiguée, crevée ouais, de devoir lui courir après … et si ça vaut pas le coup hein ? Parce qu’à tous les coups je ne serais jamais celle qu’il aimera … et s’il m’aime ? Il n’aura jamais les couilles de l’assumer parce qu’au final je serais toujours son second choix. Son putain de second choix. C’est un crève-cœur de t’aimer Chu Jung tu n’en as pas la moindre idée. J’avale une nouvelle fois cette bouteille en grimaçant sous l’amertume de cet alcool peu cher et dégueulasse. Il a couché avec cette fille, le soir de son anniversaire, ce soir où j’ai débarqué, si belle, si apprêté, rien que pour lui. Quelle conne tu fais ma pauvre Miso. Tu attendais tellement de lui … t’avais passé tellement de temps à te coiffer et te maquiller, toi qui ne le fais jamais, toi qui voulait juste être la plus belle à ses yeux. Quelle conne t’as été. Pathétique j’ai été pathétique. Je m’attendais à quoi ? Il allait quitter sa copine et tomberait dans mes bras. Moi j’ai cru qu’on pourrait … Que dalle. Arrête de rêver … arrête de croire en l’impossible. Je renifle piteusement en reprenant ma marche. J’aurais pu aller voir Na Wei mais il m’aurait bien fait comprendre que j’étais la seule conne à m’être attaché à ce mec pour rien. Je n’avais pas besoin de ça.
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Feat Miso
Tenue ♡ Il l’a fait. Encore. Chujung m’a défoncé le cœur. Encore. A coup de sentiments. A coups de mauvais coups. Il l’a fait. Encore. J’aurais beau m’enfiler les bouteilles les unes après les autres ca n’y changera rien. Il l’a encore fait. A quoi a-t-il pensé ? A rien, et surtout pas à moi. Comment a-t-il pu ? Des tonnes de questions m’assaillent l’esprit et me pourrissent le cœur. Il me détruit le cœur encore et encore et moi je suis là, à l’attendre, à l’attendre à tel point que ça fait mal d’arrêter de vivre pour lui … J’attends qu’il se décide à m’accepter, espérant qu’un jour il puisse surpasser toutes ces barrières qui s’érigent autour de nous … je suffoque à la simple idée qu’il puisse me laisser un jour et pourtant je le hais … je le hais tellement … J’ai envie de crever à cet instant. Ce sentiment de malheur et de tristesse, de dégoût, celui qui vous tiens éveiller et qui vous serre le ventre à vous en donner la nausée. Je suis fatiguée, crevée ouais, de devoir lui courir après … et si ça vaut pas le coup hein ? Parce qu’à tous les coups je ne serais jamais celle qu’il aimera … et s’il m’aime ? Il n’aura jamais les couilles de l’assumer parce qu’au final je serais toujours son second choix. Son putain de second choix. C’est un crève-cœur de t’aimer Chu Jung tu n’en as pas la moindre idée. J’avale une nouvelle fois cette bouteille en grimaçant sous l’amertume de cet alcool peu cher et dégueulasse. Il a couché avec cette fille, le soir de son anniversaire, ce soir où j’ai débarqué, si belle, si apprêté, rien que pour lui. Quelle conne tu fais ma pauvre Miso. Tu attendais tellement de lui … t’avais passé tellement de temps à te coiffer et te maquiller, toi qui ne le fais jamais, toi qui voulait juste être la plus belle à ses yeux. Quelle conne t’as été. Pathétique j’ai été pathétique. Je m’attendais à quoi ? Il allait quitter sa copine et tomberait dans mes bras. Moi j’ai cru qu’on pourrait … Que dalle. Arrête de rêver … arrête de croire en l’impossible. Je renifle piteusement en reprenant ma marche. J’aurais pu aller voir Na Wei mais il m’aurait bien fait comprendre que j’étais la seule conne à m’être attaché à ce mec pour rien. Je n’avais pas besoin de ça.Alors j’ai laissé mes pas me mener chez les Gumiho. J’essuie mes joues maladroitement en sonnant à la porte. Une Gumi m’ouvre un peu surprise, me demande ce que je veux. « Voir Seo Jun. » C’est tout ce que j’arrive à articuler. Je titube légèrement, même pas sous l’alcool, mais sous le poids de la tristesse. J’avance dans le couloir en connaissant sa chambre par cœur. Je m’apprête à toquer mais les larmes me montent aux yeux. Je ne peux pas toquer dans cet état. Je laisse échapper un sanglot en me laissant glisser contre le mur d’en face. J’ai tellement mal au cœur que j’arrive même plus à respirer, ou bien est ce que mes larmes qui m’étouffent. J’attrape mon téléphone et regarde le prénom de Chu si longtemps sur mon écran que j’ai soudain l’envie furieuse de lui dire tout ce que je pense. J’écris un si long sms que j’en ai mal aux doigts. Je déverse ma colère et mon mal être dans ce sms. Je ne me relis même pas. Je fixe ses mots qui m’apparaissent si misérable. Ils ne devraient même pas lui être destinés, parce qu’il ne devrait même pas savoir à quel point ça m’a fait mal. J’efface tout et parce que c’est plus fort que moi je lui envoie un je te hais tellement … si douloureux. Je coupe mon téléphone et essuie mes joues. Je fais rouler ma bouteille jusqu’à la porte de Seo Jun pour qu’elle cogne. Elle me revient entement et je recommence mon manège jusqu’à ce qu’il ouvre la porte. Seo Jun est en face de moi. Aussi gêné que surpris je crois. Je me relève à ses mots et frissonne. Je passe la porte en laissant trainer ma bouteille à nos pieds. Je retire ma veste et la laisse trainer sur un des lits. Je vais directement me réfugier dans le lit de Seo Jun et pose ma joue sur son oreiller que je mouille de quelques larmes. « Seo.. tu pourrais faire de moi une machine … ? » murmurais je la voix cassée.
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Re: in the still of the night ft miso | Jeu 7 Juil - 19:49
Tenue + Coiffure ♡ elle était là, misérablement assise par terre; adossé au mur du couloir; une bouteille d'alcool roulant à ses pieds. il n'avait pas besoin de lui demander pour savoir ce qui l'amenait ici ce soir. la tristesse. il suffisait de voir son doux visage au maquillage légèrement ravagée par les larmes qui y avaient coulés pour comprendre qu'elle n'était guère venu le voir parcequ'il lui manquait et encore moins pour qu'il ne l'aide en mathématiques. le manque d'empathie avait beau être un défaut cela ne l'empêchait guère d'éprouver parfois de la compassion. il ne comprenait pas toujours ce qui pouvait pousser un être humain à pleurer et se détruire pour une personne qui visiblement n'était pas prête à faire la même chose en retour; mais encore une fois il ne s'agissait que d'un avis subjectif qu'il ne pouvait imposer à autrui. un effort qu'il tentait de faire lorsqu'il se trouvait confronter à ce genre de situation. quoiqu'il en pense; il le savait : elle n'avait pas besoin qu'il la rabaisse.
" rentre au chaud " lui dit-il de sa voix grave; la regardant se diriger vers son lit dans lequel elle s'engouffre. en temps normal il lui aurait sans aucun doute demander de ne pas le faire; ou du moins de prendre une douche et de revêtir un pijama avant de n'entreprendre de se glisser sous ses draps; mais une petite voix lui assenait de se taire; pour son bien. le regard légèrement perdu; il se dirige vers son bureau afin de s'emparer d'un mouchoir; s'essuyant lentement les doigts puis le jetant dans la poubelle avant de ne s'emparer d'une poignée d'autres mouchoirs. de sa main libre; il s'empare de sa poche de bonbon puis se dirige vers la demoiselle; prenant place à ses pieds avant de ne déposer les mouchoirs prêt d'elle ainsi que les sucreries. " théoriquement ce n'est pas réellement possible de te transformer en machine; quand bien même tu posséderais un coeur artificielle cela ne changerait rien, seul le cerveau est maître de tes émotions et sans cerveau; tu n'es plus. " il pince légèrement sa lèvre inférieure entre son index et son majeur; pensif. puis conscient de sa maladresse rajoute. " tu devrais essuyer tes larmes; ça ne changera rien que tu pleures ou non; puis bon mets toi à ma place, c'est un peu embarassant de réconforter une femme qui ne pleure guère pour soi. " tentative de blague numéro une. il lâche un faible rire, peu satisfait de sa blague avant de ne s'emparer de la poche de bonbon qu'il entrouvre et agite devant le visage de la demoiselle. " on sait tous que le meilleur remède c'est la bouffe; sois heureuse que je partage." il lui addresse un léger sourire tout en s'emparant d'un bonbon qu'il glisse entre ses propres lèvres. il faisait réellement des efforts quand bien même réconforté autrui n'avait jamais été son fort. mais il s'agissait là de miso; une jeune femme qui n'avait pas eu la vie facile et ne l'avait toujours pas. une gamine complétement perdue qui n'avait guère l'opportunité de profiter du statut de citoyen; considérée par l'état comme une simple immigrante qu'il ne faudrait guère tarder à expulser du pays. alors oui; il essayait de se montrer un peu plus compréhensif et quand bien même cela était difficilement décelable; il le faisait pour elle. " tu as besoin de parler ? " nouvelle question rhétorique mais n'était-ce pas ce que l'on disait lorsqu'un proche était dans le mal ? en temps normal jun lui aurait surement signalé à quel point elle puait l'alcool mais encore une fois il se retenait; le temps du moins qu'elle sèche ses larmes, ensuite il la guiderait vers les salles de bains; qu'elle se rafraichisse un peu avant de dormir; après tout ses colocataires n'y verraient aucun mal si il squattait l'un de leur lit et qu'elle dormait dans le sien.
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Feat Miso
Tenue + Coiffure ♡ elle était là, misérablement assise par terre; adossé au mur du couloir; une bouteille d'alcool roulant à ses pieds. il n'avait pas besoin de lui demander pour savoir ce qui l'amenait ici ce soir. la tristesse. il suffisait de voir son doux visage au maquillage légèrement ravagée par les larmes qui y avaient coulés pour comprendre qu'elle n'était guère venu le voir parcequ'il lui manquait et encore moins pour qu'il ne l'aide en mathématiques. le manque d'empathie avait beau être un défaut cela ne l'empêchait guère d'éprouver parfois de la compassion. il ne comprenait pas toujours ce qui pouvait pousser un être humain à pleurer et se détruire pour une personne qui visiblement n'était pas prête à faire la même chose en retour; mais encore une fois il ne s'agissait que d'un avis subjectif qu'il ne pouvait imposer à autrui. un effort qu'il tentait de faire lorsqu'il se trouvait confronter à ce genre de situation. quoiqu'il en pense; il le savait : elle n'avait pas besoin qu'il la rabaisse." rentre au chaud " lui dit-il de sa voix grave; la regardant se diriger vers son lit dans lequel elle s'engouffre. en temps normal il lui aurait sans aucun doute demander de ne pas le faire; ou du moins de prendre une douche et de revêtir un pijama avant de n'entreprendre de se glisser sous ses draps; mais une petite voix lui assenait de se taire; pour son bien. le regard légèrement perdu; il se dirige vers son bureau afin de s'emparer d'un mouchoir; s'essuyant lentement les doigts puis le jetant dans la poubelle avant de ne s'emparer d'une poignée d'autres mouchoirs. de sa main libre; il s'empare de sa poche de bonbon puis se dirige vers la demoiselle; prenant place à ses pieds avant de ne déposer les mouchoirs prêt d'elle ainsi que les sucreries. " théoriquement ce n'est pas réellement possible de te transformer en machine; quand bien même tu posséderais un coeur artificielle cela ne changerait rien, seul le cerveau est maître de tes émotions et sans cerveau; tu n'es plus. " il pince légèrement sa lèvre inférieure entre son index et son majeur; pensif. puis conscient de sa maladresse rajoute. " tu devrais essuyer tes larmes; ça ne changera rien que tu pleures ou non; puis bon mets toi à ma place, c'est un peu embarassant de réconforter une femme qui ne pleure guère pour soi. " tentative de blague numéro une. il lâche un faible rire, peu satisfait de sa blague avant de ne s'emparer de la poche de bonbon qu'il entrouvre et agite devant le visage de la demoiselle. " on sait tous que le meilleur remède c'est la bouffe; sois heureuse que je partage." il lui addresse un léger sourire tout en s'emparant d'un bonbon qu'il glisse entre ses propres lèvres. il faisait réellement des efforts quand bien même réconforté autrui n'avait jamais été son fort. mais il s'agissait là de miso; une jeune femme qui n'avait pas eu la vie facile et ne l'avait toujours pas. une gamine complétement perdue qui n'avait guère l'opportunité de profiter du statut de citoyen; considérée par l'état comme une simple immigrante qu'il ne faudrait guère tarder à expulser du pays. alors oui; il essayait de se montrer un peu plus compréhensif et quand bien même cela était difficilement décelable; il le faisait pour elle. " tu as besoin de parler ? " nouvelle question rhétorique mais n'était-ce pas ce que l'on disait lorsqu'un proche était dans le mal ? en temps normal jun lui aurait surement signalé à quel point elle puait l'alcool mais encore une fois il se retenait; le temps du moins qu'elle sèche ses larmes, ensuite il la guiderait vers les salles de bains; qu'elle se rafraichisse un peu avant de dormir; après tout ses colocataires n'y verraient aucun mal si il squattait l'un de leur lit et qu'elle dormait dans le sien.
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Re: in the still of the night ft miso | Mar 12 Juil - 12:05
Tenue ♡ Seo Jun est particulier, un peu comme moi, deux êtres qui se fondent dans la masse et qui sont pourtant si différent. De caractères, de mode de vies, de passé. Je ne sais pas trop comment nos chemins ont pu se croiser. Avec le recul j’ai l’impression que si je n’avais décidé de m’amuser à piquer ces affaires aux hasards, jamais je n’aurais eue de vraies occasions pour le rencontrer. Nous n’avions rien en commun si ce n’est notre genre humain. Nous étions à la fois si différent, si similaire et tellement complémentaire. C’était surement ce dernier point qui nous avait fait nous rapprocher, resté, s’apprécier. C’était toujours un peu bancal mes relations, je n’étais pas comme les jeunes gens de mon âge. J’étais toujours méfiante, sur la défensive, un brin agressive, comme si le monde entier en avait après moi. Pourtant cette fois-là, quand je l’ai vu de loin, j’ai comme su que ça collerait entre lui et moi. Comme une évidence inhabituelle, comme le genre de rencontre qui n’arrive pas souvent mais qui est une certitude. Seo Jun et moi n’avions que peu de choses en commun quand on regardait de plus près mais nous étions si similaire sur nos réactions, notre relation aux autres. Nous n’étions sauvages que par pur envie. On ne cherchait pas à les fuir, juste peut être à trouver que notre petit coin était plus intéressant. C’était d’ailleurs bien étrange que notre petit jeu de voleur ait si bien fonctionné. C’était d’ailleurs l’une des rencontres les plus amusantes que j’ai jamais eu. Je pourrais rire à cette pensée mais j’ai le cœur trop lourd, trop triste. J’ai envie de dormir sans jamais ma réveiller. Pas avant que la douleur qui déchire mon cœur ne disparaisse. J’ai juste envie de tout oublier, la douleur, l’envie, l’amour, les sentiments, la colère … juste de retrouver un équilibre. Je ne suis même pas sûre d’en avoir déjà vraiment vécu. Est-ce que j’ai déjà été vraiment heureuse ? Il a toujours manqué une chose à mon bonheur, et parfois, quand je suis au plus bas comme ce soir, je me dis que vivre en Corée du Nord me manque. L’horreur, les meurtres, l’oppression et la peur pouvaient être plus supportable que la solitude et les cœurs brisés. Au moins j’y avais ma famille, mon frère, un tout. Je détourne le regard en ravalant mes larmes, j’aurais bien prit une nouvelle gorgée de cet alcool brûlant pour me brûler la gorge et m’enfumer l’esprit … je pose mon regard sur lui en tentant de comprendre le sens de ses paroles avant de réaliser qu’il s’agissait d’une blague. Drôle peut être mais je n’ai pas le cœur à rire, ni même à sourire. A vrai dire la seule chose que je retiens c’est de voir à quel point j’étais prisonnière de mes émotions et de mes sentiments … Prisonnière. C’est bien le mot. Je me sèche mes larmes machinalement en craignant de le saouler mais sans pouvoir retenir de nouvelles larmes. Je secoue la tête à sa question. Non je n’ai pas besoin de parler, ça ne servirait à rien … je renifle en tremblant doucement et attrape une bouteille dans mon sac qui trainait au pied du lit. Je la porte à mes lèvres et en boit une longue rasade. Je repousse ses bonbons, pas que je n’aime pas ça mais parce je risque de vomir si je les portes à mes lèvres … je le fixe sous mes paupières et me redresse pour venir poser ma joue sur sa cuisse, face à son ventre. Je laisse échapper un faible sanglot et porte à nouveau ma bouteille à mes lèvres. Je me sens moins seule en étant ici. Mais putain qu’est-ce que j’ai mal au cœur …
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Tenue ♡ Seo Jun est particulier, un peu comme moi, deux êtres qui se fondent dans la masse et qui sont pourtant si différent. De caractères, de mode de vies, de passé. Je ne sais pas trop comment nos chemins ont pu se croiser. Avec le recul j’ai l’impression que si je n’avais décidé de m’amuser à piquer ces affaires aux hasards, jamais je n’aurais eue de vraies occasions pour le rencontrer. Nous n’avions rien en commun si ce n’est notre genre humain. Nous étions à la fois si différent, si similaire et tellement complémentaire. C’était surement ce dernier point qui nous avait fait nous rapprocher, resté, s’apprécier. C’était toujours un peu bancal mes relations, je n’étais pas comme les jeunes gens de mon âge. J’étais toujours méfiante, sur la défensive, un brin agressive, comme si le monde entier en avait après moi. Pourtant cette fois-là, quand je l’ai vu de loin, j’ai comme su que ça collerait entre lui et moi. Comme une évidence inhabituelle, comme le genre de rencontre qui n’arrive pas souvent mais qui est une certitude. Seo Jun et moi n’avions que peu de choses en commun quand on regardait de plus près mais nous étions si similaire sur nos réactions, notre relation aux autres. Nous n’étions sauvages que par pur envie. On ne cherchait pas à les fuir, juste peut être à trouver que notre petit coin était plus intéressant. C’était d’ailleurs bien étrange que notre petit jeu de voleur ait si bien fonctionné. C’était d’ailleurs l’une des rencontres les plus amusantes que j’ai jamais eu. Je pourrais rire à cette pensée mais j’ai le cœur trop lourd, trop triste. J’ai envie de dormir sans jamais ma réveiller. Pas avant que la douleur qui déchire mon cœur ne disparaisse. J’ai juste envie de tout oublier, la douleur, l’envie, l’amour, les sentiments, la colère … juste de retrouver un équilibre. Je ne suis même pas sûre d’en avoir déjà vraiment vécu. Est-ce que j’ai déjà été vraiment heureuse ? Il a toujours manqué une chose à mon bonheur, et parfois, quand je suis au plus bas comme ce soir, je me dis que vivre en Corée du Nord me manque. L’horreur, les meurtres, l’oppression et la peur pouvaient être plus supportable que la solitude et les cœurs brisés. Au moins j’y avais ma famille, mon frère, un tout. Je détourne le regard en ravalant mes larmes, j’aurais bien prit une nouvelle gorgée de cet alcool brûlant pour me brûler la gorge et m’enfumer l’esprit … je pose mon regard sur lui en tentant de comprendre le sens de ses paroles avant de réaliser qu’il s’agissait d’une blague. Drôle peut être mais je n’ai pas le cœur à rire, ni même à sourire. A vrai dire la seule chose que je retiens c’est de voir à quel point j’étais prisonnière de mes émotions et de mes sentiments … Prisonnière. C’est bien le mot. Je me sèche mes larmes machinalement en craignant de le saouler mais sans pouvoir retenir de nouvelles larmes. Je secoue la tête à sa question. Non je n’ai pas besoin de parler, ça ne servirait à rien … je renifle en tremblant doucement et attrape une bouteille dans mon sac qui trainait au pied du lit. Je la porte à mes lèvres et en boit une longue rasade. Je repousse ses bonbons, pas que je n’aime pas ça mais parce je risque de vomir si je les portes à mes lèvres … je le fixe sous mes paupières et me redresse pour venir poser ma joue sur sa cuisse, face à son ventre. Je laisse échapper un faible sanglot et porte à nouveau ma bouteille à mes lèvres. Je me sens moins seule en étant ici. Mais putain qu’est-ce que j’ai mal au cœur …Invité
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Re: in the still of the night ft miso | Mar 19 Juil - 15:16
Tenue + Coiffure ♡ il n'est pas confortable avec ce genre de situation; pour tout dire le jeune étudiant a toujours tout fait pour éviter de se retrouver confronter aux pleurs d'autrui. cela ne le met pas seulement mal à l'aise; mais cela le rend aussi relativement rigide et froid. il ne comprends pas; quand bien même il essaierait qu'il ne comprendrait guère. pourquoi pleurer pour un homme/une femme ? à moins que cette personne ne soit décédée. le but d'être dans une relation amoureuse n'était-il pas d'être heureux ? si cela n'est guère le cas; pourquoi forcer les choses ? pourquoi se faire souffrir; perdre son temps; s'appitoyer sur son sort lorsque tourner la page semble être la meilleure solution possible. elle pleure et il ne dit rien; il n'a rien à dire qui puisse la consoler car quoiqu'il puisse dire rien ne saura la faire sourire; rien qui ne vienne de lui. puisque visiblement seul la présence d'un certain homme saurait calmer les pleurs de la demoiselle; un homme responsable de ceux-ci. contradiction. nombreux étaient les jeunes femmes et jeunes hommes à penser ainsi. l'on avait beau leur faire les pires coups bas; ils n'avaient de cesse de désirer votre présence à leur côté. non; il ne comprenait pas. et il ne voulait guère comprendre.
elle refuse les sucreries; y préférant sa bouteille d'alcool de sous marque. il esquisse une grimace de désaccord; posant la poche de bonbons au sol tandis qu'elle pose délicatement sa tête sur ses cuisses. alors c'était ça qu'être amoureux(se); c'était ça l'amour ? et bien; la solitude lui semblait soudainement beaucoup plus acceuillante et confortable. il ne dépendait que de lui-même; son bonheur était sien et l'attitude d'autrui ne saurait venir le baffouer. la compagnie; il la trouvait lorsqu'il la désirait et seulement lorsqu'il la désirait; les choses étaient claires. pas d'attaches pas de sentiments. beaucoup plus simple pour lui; pour elles. les yeux posés sur la jeune femme; il passe machinalement une main dans la chevelure de celle-ci; la carressant délicatement dans un geste qui se veut plus ou moins rassurant. au fond il n'en sait rien; c'est peut-être bien la première fois qu'il fait ça. elle porte de nouveau la bouteille à ses lèvres; lui arrachant un grognement de désapprobation tandis qu'il lui arrache la bouteille des mains; refermant celle-ci qu'il pose un peu plus loin de sorte à ce qu'elle ne puisse s'en emparer. " arrête de boire; la seule chose que cela te fera c'est te rendre malade; tu n'oublieras pas ce mec; ni les sentiments que tu as pour lui et aussi incroyable cela puisse paraître ça ne l'attirera pas dans mon dortoir; donc l'alcool tu arrêtes pour ce soir. " sa voix grave peut sembler dur pourtant il s'exprime d'une manière relativement calme; ses doigts s'emmêlant dans les cheveux bruns de la jeune femme. comment peut-on en arriver là pour un homme ? quel homme peut mettre une femme dans un tel état ? encore une fois, ce sont des choses qui lui sont extrêmement complexes à comprendre. " comment peux-tu aimer un homme qui te mets dans un tel état miso ? tu mérites tellement mieux. une femme mérite qu'on la traite comme une princesse pas comme un vulgaire objet que l'on jette après usage. " il soupire avant de continuer de sa voix grave et suave. "un jour tu comprendras qu'il ne te méritais pas; un jour." lorsqu'elle prendra enfin la peine d'ouvrir les yeux; de se confronter à la réalité; lorqu'elle prendra confiance que bonheur et douleur ne sont pas fait pour aller ensemble et qu'un homme qui vous fait pleurer n'est pas un homme pour vous. oui; un jour elle comprendra.
in the still of the night
Feat Miso
Tenue + Coiffure ♡ il n'est pas confortable avec ce genre de situation; pour tout dire le jeune étudiant a toujours tout fait pour éviter de se retrouver confronter aux pleurs d'autrui. cela ne le met pas seulement mal à l'aise; mais cela le rend aussi relativement rigide et froid. il ne comprends pas; quand bien même il essaierait qu'il ne comprendrait guère. pourquoi pleurer pour un homme/une femme ? à moins que cette personne ne soit décédée. le but d'être dans une relation amoureuse n'était-il pas d'être heureux ? si cela n'est guère le cas; pourquoi forcer les choses ? pourquoi se faire souffrir; perdre son temps; s'appitoyer sur son sort lorsque tourner la page semble être la meilleure solution possible. elle pleure et il ne dit rien; il n'a rien à dire qui puisse la consoler car quoiqu'il puisse dire rien ne saura la faire sourire; rien qui ne vienne de lui. puisque visiblement seul la présence d'un certain homme saurait calmer les pleurs de la demoiselle; un homme responsable de ceux-ci. contradiction. nombreux étaient les jeunes femmes et jeunes hommes à penser ainsi. l'on avait beau leur faire les pires coups bas; ils n'avaient de cesse de désirer votre présence à leur côté. non; il ne comprenait pas. et il ne voulait guère comprendre.elle refuse les sucreries; y préférant sa bouteille d'alcool de sous marque. il esquisse une grimace de désaccord; posant la poche de bonbons au sol tandis qu'elle pose délicatement sa tête sur ses cuisses. alors c'était ça qu'être amoureux(se); c'était ça l'amour ? et bien; la solitude lui semblait soudainement beaucoup plus acceuillante et confortable. il ne dépendait que de lui-même; son bonheur était sien et l'attitude d'autrui ne saurait venir le baffouer. la compagnie; il la trouvait lorsqu'il la désirait et seulement lorsqu'il la désirait; les choses étaient claires. pas d'attaches pas de sentiments. beaucoup plus simple pour lui; pour elles. les yeux posés sur la jeune femme; il passe machinalement une main dans la chevelure de celle-ci; la carressant délicatement dans un geste qui se veut plus ou moins rassurant. au fond il n'en sait rien; c'est peut-être bien la première fois qu'il fait ça. elle porte de nouveau la bouteille à ses lèvres; lui arrachant un grognement de désapprobation tandis qu'il lui arrache la bouteille des mains; refermant celle-ci qu'il pose un peu plus loin de sorte à ce qu'elle ne puisse s'en emparer. " arrête de boire; la seule chose que cela te fera c'est te rendre malade; tu n'oublieras pas ce mec; ni les sentiments que tu as pour lui et aussi incroyable cela puisse paraître ça ne l'attirera pas dans mon dortoir; donc l'alcool tu arrêtes pour ce soir. " sa voix grave peut sembler dur pourtant il s'exprime d'une manière relativement calme; ses doigts s'emmêlant dans les cheveux bruns de la jeune femme. comment peut-on en arriver là pour un homme ? quel homme peut mettre une femme dans un tel état ? encore une fois, ce sont des choses qui lui sont extrêmement complexes à comprendre. " comment peux-tu aimer un homme qui te mets dans un tel état miso ? tu mérites tellement mieux. une femme mérite qu'on la traite comme une princesse pas comme un vulgaire objet que l'on jette après usage. " il soupire avant de continuer de sa voix grave et suave. "un jour tu comprendras qu'il ne te méritais pas; un jour." lorsqu'elle prendra enfin la peine d'ouvrir les yeux; de se confronter à la réalité; lorqu'elle prendra confiance que bonheur et douleur ne sont pas fait pour aller ensemble et qu'un homme qui vous fait pleurer n'est pas un homme pour vous. oui; un jour elle comprendra.
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Re: in the still of the night ft miso | Mer 20 Juil - 22:25
Tenue ♡ Elle sait ce qu’il pense parce que c’est exactement ce qu’elle a l’habitude de penser. Elle ne s’encombre jamais de sentiments, de douleur, de peine. Elle les délaisse sur le bord de la route pour continuer plus sereine. Mais on ne comprendra jamais la douleur d’un cœur brisé jusqu’au jour où cette personne vous l’arrache de la poitrine. Elle n’aurait jamais cru tomber dans le piège, pas à nouveau. Elle a laissé tellement de moment dans sa vie la détruire, tellement d’homme lui briser le cœur, qu’elle s’était persuadée être plus forte. Quelle connerie. Elle n’est qu’une vulgaire et stupide idiote qui s’accroche à l’amour comme on s’accroche à une seringue d’héroïne. Ça fait mal putain. Et elle a la rage de ne pas réussir à décrocher. C’est vrai. C’est encore plus douloureux que de l’aimer en lui-même. Elle serre les dents, ferme les yeux en imaginant la chaleur de Chujung quand c’est celle de Seo Jun qu’elle rencontre. Quel gâchis de faire ça. Elle grogne quand il lui retire la bouteille des mains mais elle ne proteste pas. Elle n’en a plus la force. Elle aimerait voir Hwan ce soir mais il a disparu dans la nuit, à nouveau, et elle ne sait pas comment le joindre. Elle lui laisse sa liberté au détriment des morceaux de son cœur qui s’effrite. Elle renifle à nouveau, elle ne s’apitoie pas sur son sort puisque de toute façon elle est la seule à s’être détruite autant. Elle sait que c’est de sa faute. Qu’elle n’a été que l’idiote qui aime un homme qui n’assumera jamais de l’aimer en retour. Elle se redresse, écrase ses larmes sur ses joues qui lui paraissent si lourde. Elle soupire, tente de rassembler un tant soit peu ses pensées, mais l’alcool lui brouille le peu de lucidité qu’elle. Elle finit par se rallonger sur Seo Jun parce que sa tête lui tourne, mais surtout parce qu’elle réalise qu’elle a besoin de lui. Pas seulement parce qu’il était le seul sur sa liste à être disponible, mais parce que c’était lui qu’elle voulait. Lui et son calme. Lui qui arrive toujours à la faire rire. Lui qu’elle trouve bizarre mais attachant. Lui qu’elle pourrait écouter des heures quand il se lance dans des monologues. C’est lui qu’elle voulait voir ce soir, parce que c’est le seul, aussi étrange que ça puisse paraitre, qui pourrait l’apaiser. Avec son calme et son ton posé. Il ne s’apitoie pas sur son sort, mais il la ménage. Il ne la brusque pas mais il ne l’encourage pas à chouiner non plus. Plus tard, quand elle réalisera, elle se rendra compte de la gêne qu’elle lui cause ce soir. Elle s’excusera sûrement. Elle fixe le vide de la chambre avant de tourner son visage vers lui, laissant rouler une larme sur sa tempe. Elle le sait, à l’instant où elle a touché ses lèvres c’était foutu. Un poison oppressant à prit possession d’elle, et elle veut pouvoir l’oublier. S’en débarrasser. Elle tend la main vers le visage de Seo Jun. Elle caresse ses lèvres de la pulpe de ses doigts. Elle n’est ni intrusive, ni lascive, juste un peu trop curieuse, comme une enfant qui découvre. Quand il parle elle voudrait voir de la couleur sur ses mots. Elle se redresse et se rapproche de lui. Elle l’enjambe lentement, laissant ses cheveux fins glisser sur son visage. Elle attrape le visage de Seo Jun entre ses paumes frêles et tremblantes et lève son visage vers elle. « Parle … » murmure-t-elle de sa voix cassée en fixant la bouche du plus vieux. Parle-moi, dis-moi des mots, n’importe quoi. Laisse-moi voir ta couleur. Elle frôle ses lèvres comme un chat apeuré dans la nuit, elle les frôle de sa bouche rosée alcoolisée mais sucrée. Elle la frôle doucement comme pour en aspirer sa beauté. Elle pleure pour un homme mais se glisse contre un autre. Parce qu’il a raison, Chujung ne la mérite pas … mais ce soir elle veut qu’on l’aime. Aime moi Seo Jun, même si c’est pour de faux. Même si c’est jusqu’à demain. Aime moi.
in the still of the night
Feat Miso
Tenue ♡ Elle sait ce qu’il pense parce que c’est exactement ce qu’elle a l’habitude de penser. Elle ne s’encombre jamais de sentiments, de douleur, de peine. Elle les délaisse sur le bord de la route pour continuer plus sereine. Mais on ne comprendra jamais la douleur d’un cœur brisé jusqu’au jour où cette personne vous l’arrache de la poitrine. Elle n’aurait jamais cru tomber dans le piège, pas à nouveau. Elle a laissé tellement de moment dans sa vie la détruire, tellement d’homme lui briser le cœur, qu’elle s’était persuadée être plus forte. Quelle connerie. Elle n’est qu’une vulgaire et stupide idiote qui s’accroche à l’amour comme on s’accroche à une seringue d’héroïne. Ça fait mal putain. Et elle a la rage de ne pas réussir à décrocher. C’est vrai. C’est encore plus douloureux que de l’aimer en lui-même. Elle serre les dents, ferme les yeux en imaginant la chaleur de Chujung quand c’est celle de Seo Jun qu’elle rencontre. Quel gâchis de faire ça. Elle grogne quand il lui retire la bouteille des mains mais elle ne proteste pas. Elle n’en a plus la force. Elle aimerait voir Hwan ce soir mais il a disparu dans la nuit, à nouveau, et elle ne sait pas comment le joindre. Elle lui laisse sa liberté au détriment des morceaux de son cœur qui s’effrite. Elle renifle à nouveau, elle ne s’apitoie pas sur son sort puisque de toute façon elle est la seule à s’être détruite autant. Elle sait que c’est de sa faute. Qu’elle n’a été que l’idiote qui aime un homme qui n’assumera jamais de l’aimer en retour. Elle se redresse, écrase ses larmes sur ses joues qui lui paraissent si lourde. Elle soupire, tente de rassembler un tant soit peu ses pensées, mais l’alcool lui brouille le peu de lucidité qu’elle. Elle finit par se rallonger sur Seo Jun parce que sa tête lui tourne, mais surtout parce qu’elle réalise qu’elle a besoin de lui. Pas seulement parce qu’il était le seul sur sa liste à être disponible, mais parce que c’était lui qu’elle voulait. Lui et son calme. Lui qui arrive toujours à la faire rire. Lui qu’elle trouve bizarre mais attachant. Lui qu’elle pourrait écouter des heures quand il se lance dans des monologues. C’est lui qu’elle voulait voir ce soir, parce que c’est le seul, aussi étrange que ça puisse paraitre, qui pourrait l’apaiser. Avec son calme et son ton posé. Il ne s’apitoie pas sur son sort, mais il la ménage. Il ne la brusque pas mais il ne l’encourage pas à chouiner non plus. Plus tard, quand elle réalisera, elle se rendra compte de la gêne qu’elle lui cause ce soir. Elle s’excusera sûrement. Elle fixe le vide de la chambre avant de tourner son visage vers lui, laissant rouler une larme sur sa tempe. Elle le sait, à l’instant où elle a touché ses lèvres c’était foutu. Un poison oppressant à prit possession d’elle, et elle veut pouvoir l’oublier. S’en débarrasser. Elle tend la main vers le visage de Seo Jun. Elle caresse ses lèvres de la pulpe de ses doigts. Elle n’est ni intrusive, ni lascive, juste un peu trop curieuse, comme une enfant qui découvre. Quand il parle elle voudrait voir de la couleur sur ses mots. Elle se redresse et se rapproche de lui. Elle l’enjambe lentement, laissant ses cheveux fins glisser sur son visage. Elle attrape le visage de Seo Jun entre ses paumes frêles et tremblantes et lève son visage vers elle. « Parle … » murmure-t-elle de sa voix cassée en fixant la bouche du plus vieux. Parle-moi, dis-moi des mots, n’importe quoi. Laisse-moi voir ta couleur. Elle frôle ses lèvres comme un chat apeuré dans la nuit, elle les frôle de sa bouche rosée alcoolisée mais sucrée. Elle la frôle doucement comme pour en aspirer sa beauté. Elle pleure pour un homme mais se glisse contre un autre. Parce qu’il a raison, Chujung ne la mérite pas … mais ce soir elle veut qu’on l’aime. Aime moi Seo Jun, même si c’est pour de faux. Même si c’est jusqu’à demain. Aime moi.Invité
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Re: in the still of the night ft miso | Lun 25 Juil - 23:05
Tenue ♡ Il ne sait pas ce à quoi elle pense; comment pourait-il savoir ce qu'elle éprouve lui qui n'a eu que très rarement l'occasion de se retrouver dans une relation qualifiée d'amoureuse. il a toujours eu du mal à se laisser aller à ce genre d'émotions non pas qu'il ne le désire guère mais bien parce qu'il est trop complexe; trop exigeant et souvent bien trop obsédé par l'informatique pour octroyer à une possible partenaire le temps qu'elle nécessiterait à ses côtés. alors il se contente de l'observer, muet. il ne peut rien pour elle, et elle le sait. il n'ira guère frapper cet homme qui torture son coeur car seule elle même était en mesure de mettre fin à cette situation. il ne lui dira pas que tout rentrera dans l'ordre car il n'en sait réellement rien. et il ne lui affirmera pas que c'est normal; que l'amour blesse parceque non, ce n'est pas normal. alors il continue à poser ses prunelles sombres sur la jeune femme, sa main caressant la douce chevelure de celle-ci. un geste qui aurait presque pu paraître automatique si ce n'avait guère été la première fois qu'il l'octroyait à miso. elle se relève quelques secondes sous le regard curieux du jeune coréen puis se rallonge de nouveau sur ses cuisses. elle est ivre, peut-être est-ce cette ivresse qui la fait tant pleurer; peut-être pas. il ne s'y connait pas, ni en alcool ni en chagrin d'amour.
miso est une belle femme lorsqu'elle ne pleure pas. le genre de femme rafinnée et élégante, qui sait se tenir. une femme à la fois douce et caractérielle, qui n'a pas la langue dans poche mais sait pourtant respecter l'avis d'autrui. une femme qui a du vécu et que la vie n'a pas réellement gâtée. ce genre de femme que l'on penserait pouvoir tout surmonter mais qui finit par pleurer la tête posée sur vos cuisses. oui; elle est ce genre de femme qui semble si forte, si déterminée mais qui au final n'est qu'une âme perdue, détruire. et elle pleure; les larmes roulant le long de ses douces joues avant de ne venir s'écraser sur les jambes du jeune étudiant. elle tend sa main vers lui; caressant ses lèvres du bout des doigts; et il ne bouge pas. curieux. des femmes ivres, il en avait vu plus d'une. des femmes ivres et tristes ? elle était probablement la première; du moins la première qu'il autorisait à pleurer en sa présence.
elle l'enjambe lui arrachant une légère moue de surprise; alors qu'il pince les lèvres lorsqu'elle attrape son visage entre ses paumes. qu'il parle ? il n'a rien à dire; il n'y a rien à dire. il ne sait pas quoi dire. du moins ce qu'il pourrait dire qu'elle ne sait guère déja. ses prunelles plantées dans les siennes; sa respiration se coupe lorsqu'elle vient frôler ses lèvres, doucement, lentement, délicatement. il est surpris; légèrement dérouté. et bien qu'il soit un homme seul en compagnie d'une sublime jeune femme; cela lui semble inadapté. plaçant ses mains sur les épaules de son amie; il la repousse légèrement, sourcils froncés, un air réprobateur dessiné sur son visage.tu as trop bu miso. beaucoup trop pour qu'il n'accepte ses avances quand bien même elle aurait conscience de ce qu'elle faisait. tu ferais mieux de te reposer, tu vas le regretter demain matin si tu continues comme ça. si tu continues à boire, à pleurer mais surtout si tu continues à te montrer avenante. la faisant glisser sur le côté, il se dégage du lit, se relevant tout en se dirigeant vers son bureau avant de s'emparer d'une bouteille d'eau qu'il porte à ses lèvres avant de n'en boire une gorgée. c'était le soucis avec les femmes, elle pensait qu'en se faufilant sous les draps d'un homme elles en oublieraient la cause de leurs pleurs. et il était déçu de voir que miso était prête à s'offrir à lui pour en oublier un autre. je sais pas à quoi tu joues miso mais c'est une très mauvaise idée. sois reconnaissante que je n'en profite pas. elle était faible, ivre et émotionnellement perdue, tout ce qui faisait qu'il ne pouvait se permettre d'accepter les lèvres de la demoiselle et ce quand bien même elle n'aurait cherché à recevoir qu'un baiser pour l'apaiser. il avait du respect pour miso. se tournant vers la demoiselle; il se dirige vers le lit, s'agenouillant devant elle. tu devrais boire un peu d'eau ça te fera redescendre; à moins que tu veuilles prendre une bonne douche froide histoire de te remettre les idées en place. si elle était venue le retrouver c'est qu'elle avait besoin d'aide; et en choisissant de venir précisément chez seojun; elle devait probablement s'attendre à ce qu'il la secoue et ne se montre pas tendre envers elle. parce qu'elle le connaissait. elle savait qu'il ne savait pas gérer ce genre de situation; à moins qu'elle ne le guide; qu'elle ne lui dise précisément ce qu'elle voulait. si encore elle était en mesure de savoir ce qu'elle voulait réellement de lui.
in the still of the night
Feat Miso
Tenue ♡ Il ne sait pas ce à quoi elle pense; comment pourait-il savoir ce qu'elle éprouve lui qui n'a eu que très rarement l'occasion de se retrouver dans une relation qualifiée d'amoureuse. il a toujours eu du mal à se laisser aller à ce genre d'émotions non pas qu'il ne le désire guère mais bien parce qu'il est trop complexe; trop exigeant et souvent bien trop obsédé par l'informatique pour octroyer à une possible partenaire le temps qu'elle nécessiterait à ses côtés. alors il se contente de l'observer, muet. il ne peut rien pour elle, et elle le sait. il n'ira guère frapper cet homme qui torture son coeur car seule elle même était en mesure de mettre fin à cette situation. il ne lui dira pas que tout rentrera dans l'ordre car il n'en sait réellement rien. et il ne lui affirmera pas que c'est normal; que l'amour blesse parceque non, ce n'est pas normal. alors il continue à poser ses prunelles sombres sur la jeune femme, sa main caressant la douce chevelure de celle-ci. un geste qui aurait presque pu paraître automatique si ce n'avait guère été la première fois qu'il l'octroyait à miso. elle se relève quelques secondes sous le regard curieux du jeune coréen puis se rallonge de nouveau sur ses cuisses. elle est ivre, peut-être est-ce cette ivresse qui la fait tant pleurer; peut-être pas. il ne s'y connait pas, ni en alcool ni en chagrin d'amour.miso est une belle femme lorsqu'elle ne pleure pas. le genre de femme rafinnée et élégante, qui sait se tenir. une femme à la fois douce et caractérielle, qui n'a pas la langue dans poche mais sait pourtant respecter l'avis d'autrui. une femme qui a du vécu et que la vie n'a pas réellement gâtée. ce genre de femme que l'on penserait pouvoir tout surmonter mais qui finit par pleurer la tête posée sur vos cuisses. oui; elle est ce genre de femme qui semble si forte, si déterminée mais qui au final n'est qu'une âme perdue, détruire. et elle pleure; les larmes roulant le long de ses douces joues avant de ne venir s'écraser sur les jambes du jeune étudiant. elle tend sa main vers lui; caressant ses lèvres du bout des doigts; et il ne bouge pas. curieux. des femmes ivres, il en avait vu plus d'une. des femmes ivres et tristes ? elle était probablement la première; du moins la première qu'il autorisait à pleurer en sa présence.
elle l'enjambe lui arrachant une légère moue de surprise; alors qu'il pince les lèvres lorsqu'elle attrape son visage entre ses paumes. qu'il parle ? il n'a rien à dire; il n'y a rien à dire. il ne sait pas quoi dire. du moins ce qu'il pourrait dire qu'elle ne sait guère déja. ses prunelles plantées dans les siennes; sa respiration se coupe lorsqu'elle vient frôler ses lèvres, doucement, lentement, délicatement. il est surpris; légèrement dérouté. et bien qu'il soit un homme seul en compagnie d'une sublime jeune femme; cela lui semble inadapté. plaçant ses mains sur les épaules de son amie; il la repousse légèrement, sourcils froncés, un air réprobateur dessiné sur son visage.tu as trop bu miso. beaucoup trop pour qu'il n'accepte ses avances quand bien même elle aurait conscience de ce qu'elle faisait. tu ferais mieux de te reposer, tu vas le regretter demain matin si tu continues comme ça. si tu continues à boire, à pleurer mais surtout si tu continues à te montrer avenante. la faisant glisser sur le côté, il se dégage du lit, se relevant tout en se dirigeant vers son bureau avant de s'emparer d'une bouteille d'eau qu'il porte à ses lèvres avant de n'en boire une gorgée. c'était le soucis avec les femmes, elle pensait qu'en se faufilant sous les draps d'un homme elles en oublieraient la cause de leurs pleurs. et il était déçu de voir que miso était prête à s'offrir à lui pour en oublier un autre. je sais pas à quoi tu joues miso mais c'est une très mauvaise idée. sois reconnaissante que je n'en profite pas. elle était faible, ivre et émotionnellement perdue, tout ce qui faisait qu'il ne pouvait se permettre d'accepter les lèvres de la demoiselle et ce quand bien même elle n'aurait cherché à recevoir qu'un baiser pour l'apaiser. il avait du respect pour miso. se tournant vers la demoiselle; il se dirige vers le lit, s'agenouillant devant elle. tu devrais boire un peu d'eau ça te fera redescendre; à moins que tu veuilles prendre une bonne douche froide histoire de te remettre les idées en place. si elle était venue le retrouver c'est qu'elle avait besoin d'aide; et en choisissant de venir précisément chez seojun; elle devait probablement s'attendre à ce qu'il la secoue et ne se montre pas tendre envers elle. parce qu'elle le connaissait. elle savait qu'il ne savait pas gérer ce genre de situation; à moins qu'elle ne le guide; qu'elle ne lui dise précisément ce qu'elle voulait. si encore elle était en mesure de savoir ce qu'elle voulait réellement de lui.
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Re: in the still of the night ft miso | Mer 27 Juil - 15:40
Tenue ♡ Il a raison, terriblement raison mais ça lui fait mal à Miso. Son cœur se serre un peu plus et elle s’écrase sur son lit lourdement en le laissant partir. Elle fait n’importe quoi parce ses sens sont troublés par le chagrin et l’envie de vengeance. Elle sait qu’elle va le regretter demain mais c’est comme une aura plus forte qu’elle. Une envie irrépressible qu’elle sait mauvaise et maladroite. Elle le laisse s’éloigner et pinçant ses lèvres pour retenir le gémissement qui perle sur sa bouche rosie à force de la lacérer de coups de dents. Elle roule sur le dos, laissant ses fines jambes pendre dans le vide. Elle pose son avant-bras sur son front fiévreux en laissant une larme rouler sur sa tempe. Elle tourne à peine son regard vers lui et ne l’écoute que d’une oreille. Elle passe une main sur sa joue pour écraser l’eau salé qui lui chatouille la joue et renifle doucement. Elle préfère ne pas l’écouter au risque de se sentir encore plus minable. Peut-être qu’elle aurait préféré qu’il en profite, aller se taper le premier mec qui passe. Ca n’aurait pas soulagé son cœur mais elle aurait sa vengeance. 1 partout. Elle aurait lâché un rire amer et triste mais elle aurait sa vengeance. Miso n’en peut plus de toujours rester à subir. Elle a l’impression d’avoir toujours laissé les autres décidés pour elle et quand elle se décide enfin à prendre ses propres décisions c’est encore les autres qui la poussent dans ses choix. N’était-elle donc pas capable de décider par elle-même ? Balloter entre le destin que les autres décident de lui créer. Elle se sent lâche, pathétique, faible. Elle se sent conne Miso, de laisser les autres lui briser le cœur. Elle tend la main vers la joue de Seo Jun. C’est fou comme les situations peuvent être ironiques. Elle caresse sa joue comme pour s’assurer qu’il est bien réel. Sa paume semble brulante sur la joue fraiche du jeune homme, lui qui pourtant, ne semble pas être plus froid que la normale. Elle reste de longue seconde à le regarder, comme s’il réfléchissait à sa proposition qu’elle n’a écouté que vaguement. Elle n’a retenu que le mot douche. Elle frissonne en se redressant, assise, sur le lit. Elle ne réfléchit pas vraiment, son esprit est trop loin pour qu’elle puisse avoir un semblait de lucidité. Elle glisse ses mains sur son ventre et retire d’un coup son haut dévoilant un soutient gorge délavé et usé. Elle pourrait en avoir honte, la jolie réfugiée nord-coréenne, mais elle n’est plus à ça près. Elle se lève et retire tout aussi rapidement son pantalon pour se retrouver en sous vêtement. Elle n’est pas pudique, ni même réellement lascive. Elle aime son corps généreusement proportionné qui lui a souvent valu quelques remarques et propos salaces de la part des hommes. Oh bien sûr elle les a toujours ignorés ces remarques déplacés et cette verve que les hommes se donnent le droit d’avoir. Elle n’est pas de ses femmes qui sont facilement choqués, ni de celle qui font de leur vertu un combat sacré à protéger sous des minauderies pathétique. Miso est une femme qui s’accepte et qui s’assume sans pour autant réellement trouver sa place dans la société. Elle se tourne vers Seo Jun et serre doucement ses bras sur sa poitrine. Son regard se pose sur lui l’espace d’une seconde l’air de dire si tu refuses de me faire du bien en m’embrassant, accepte au moins de m’aider à prendre une douche. Mais Miso est trop fière pour demander de l’aide de façon clair. Elle s’approche de lui et prends délicatement sa main, vacillant légèrement sous l’alcool qui brouille encore ses sens. Elle passe une main dans ses cheveux et le tire vers la salle de bain. Elle ne sait pas si c’est dans le couloir ou dans la chambre. Elle ne se souvient de rien, et ne voit pas vraiment ce qui l’entoure. Elle a surtout l’air d’une enfant perdue dans le corps d’une nymphe à la peau tannée. Elle trébuche doucement sur la chaussure d’un des colocataires et laisse tomber son dos contre le torse de Seo Jun. Elle n’émet qu’un faible son de surprise avant de secouer la tête.
in the still of the night
Feat Miso
Tenue ♡ Il a raison, terriblement raison mais ça lui fait mal à Miso. Son cœur se serre un peu plus et elle s’écrase sur son lit lourdement en le laissant partir. Elle fait n’importe quoi parce ses sens sont troublés par le chagrin et l’envie de vengeance. Elle sait qu’elle va le regretter demain mais c’est comme une aura plus forte qu’elle. Une envie irrépressible qu’elle sait mauvaise et maladroite. Elle le laisse s’éloigner et pinçant ses lèvres pour retenir le gémissement qui perle sur sa bouche rosie à force de la lacérer de coups de dents. Elle roule sur le dos, laissant ses fines jambes pendre dans le vide. Elle pose son avant-bras sur son front fiévreux en laissant une larme rouler sur sa tempe. Elle tourne à peine son regard vers lui et ne l’écoute que d’une oreille. Elle passe une main sur sa joue pour écraser l’eau salé qui lui chatouille la joue et renifle doucement. Elle préfère ne pas l’écouter au risque de se sentir encore plus minable. Peut-être qu’elle aurait préféré qu’il en profite, aller se taper le premier mec qui passe. Ca n’aurait pas soulagé son cœur mais elle aurait sa vengeance. 1 partout. Elle aurait lâché un rire amer et triste mais elle aurait sa vengeance. Miso n’en peut plus de toujours rester à subir. Elle a l’impression d’avoir toujours laissé les autres décidés pour elle et quand elle se décide enfin à prendre ses propres décisions c’est encore les autres qui la poussent dans ses choix. N’était-elle donc pas capable de décider par elle-même ? Balloter entre le destin que les autres décident de lui créer. Elle se sent lâche, pathétique, faible. Elle se sent conne Miso, de laisser les autres lui briser le cœur. Elle tend la main vers la joue de Seo Jun. C’est fou comme les situations peuvent être ironiques. Elle caresse sa joue comme pour s’assurer qu’il est bien réel. Sa paume semble brulante sur la joue fraiche du jeune homme, lui qui pourtant, ne semble pas être plus froid que la normale. Elle reste de longue seconde à le regarder, comme s’il réfléchissait à sa proposition qu’elle n’a écouté que vaguement. Elle n’a retenu que le mot douche. Elle frissonne en se redressant, assise, sur le lit. Elle ne réfléchit pas vraiment, son esprit est trop loin pour qu’elle puisse avoir un semblait de lucidité. Elle glisse ses mains sur son ventre et retire d’un coup son haut dévoilant un soutient gorge délavé et usé. Elle pourrait en avoir honte, la jolie réfugiée nord-coréenne, mais elle n’est plus à ça près. Elle se lève et retire tout aussi rapidement son pantalon pour se retrouver en sous vêtement. Elle n’est pas pudique, ni même réellement lascive. Elle aime son corps généreusement proportionné qui lui a souvent valu quelques remarques et propos salaces de la part des hommes. Oh bien sûr elle les a toujours ignorés ces remarques déplacés et cette verve que les hommes se donnent le droit d’avoir. Elle n’est pas de ses femmes qui sont facilement choqués, ni de celle qui font de leur vertu un combat sacré à protéger sous des minauderies pathétique. Miso est une femme qui s’accepte et qui s’assume sans pour autant réellement trouver sa place dans la société. Elle se tourne vers Seo Jun et serre doucement ses bras sur sa poitrine. Son regard se pose sur lui l’espace d’une seconde l’air de dire si tu refuses de me faire du bien en m’embrassant, accepte au moins de m’aider à prendre une douche. Mais Miso est trop fière pour demander de l’aide de façon clair. Elle s’approche de lui et prends délicatement sa main, vacillant légèrement sous l’alcool qui brouille encore ses sens. Elle passe une main dans ses cheveux et le tire vers la salle de bain. Elle ne sait pas si c’est dans le couloir ou dans la chambre. Elle ne se souvient de rien, et ne voit pas vraiment ce qui l’entoure. Elle a surtout l’air d’une enfant perdue dans le corps d’une nymphe à la peau tannée. Elle trébuche doucement sur la chaussure d’un des colocataires et laisse tomber son dos contre le torse de Seo Jun. Elle n’émet qu’un faible son de surprise avant de secouer la tête. Invité
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Re: in the still of the night ft miso | Sam 6 Aoû - 23:41
Tenue ♡ il avait l'impression d'avoir affaire à une gamine; une jeune enfant d'une dizaine d'année si ce n'est moins; une enfant qui découvrait douloureusement que le monde ne nous appartenait guère et que tout n'allait pas toujours dans notre sens. une enfant qui ne trouvait dans les larmes l'unique manière d'extérioriser la douleur quand bien même cela ne changerait rien; peut-être cela suffirait à la fatiguer sufisamment pour qu'elle cède à la fatigue et oublies le temps d'une nuit la raison de ses tracas. il a de l'espoir. parce qu'il ne sait sincérement pas combien de temps il lui faudra avant de ne perdre patience. il aime beaucoup miso, et il ne lui veut que du bien, cependant c'était bien au delà de ses moyens. oui, elle lui faisait de la peine mais non il ne la prendrait guère en pitié, parce que seojun c'est ce genre d'homme qui se dit qu'il y a toujours pire; ce genre d'homme qui éjecte chaque élèment déplaisant de sa vie et qui donc s'attend à ce qu'autrui fasse de même. il ne se prend pas la tête avec des choses ou même des personnes qui ne lui veulent guère du bien et malgrè les efforts qu'il fait pour se montrer plus compatissant, il a des limites. c'est à peine si elle a conscience d'où elle se trouve; et au fond il est sur qu'elle ne se souviendra de rien demain matin. c'est ça qui l'agace et ne cessera jamais de l'agacer. les bons gars comme lui n'étaient bons qu'à ramasser les pots cassés par d'autres gars inconscients de la valeur des pots en questions. agenouillé devant la jeune femme; il la laissait passer une main sur son visage. peut-être imaginait-elle qu'il s'agissait d'un autre homme lui faisant face. les femmes étaient relativement doués pour cela : se voiler la face.
elle semble réagir à sa proposition; quittant le lit sur lequel elle était précédemment allongée. il pivote légèrement dans sa direction; toujours agenouillé au sol; un hoquet s'échappant d'entre ses lèvres lorsque la jeune femme entreprend de se déshabiller. encore une chose que seule les femmes pouvaient se permettre de faire ivre non sans réellement risquer des représailles. qu'en aurait-il été si elle avait été en face d'un homme mal intentionné ? un homme que ses délicieuses courbes auraient su alléchées; que ses douces fesses rebondies que son petit sous vêtement laissé parfaitement se dévoiler et cette généreuse poitrine aurait rendu fou. oui que ferait-elle si un tel homme se tenait face à elle ?
clignant des yeux, le jeune étudiant dégluttit tout en balayant de son esprit ses idées déplacées qui, le temps d'un court instant s'était insinué en lui. miso était une amie à laquelle il tenait sincèrement, pas une vulgaire inconnue sur laquelle il était bon de fantasmer. se relevant délicatement; il fait mine de regarder ailleurs; par respect mais aussi pour s'empêcher de lorgner sur les courbes généreuses de la demoiselle. seojun est un homme; chose que ses amies avaient tendances à oublier tout comme miso semblait le faire ce soir. lorsqu'elle glisse sa main dans la sienne; c'est naturellement qu'il se laisse faire; suivant la demoiselle titubante avant de ne la rattraper juste à temps lorsqu'elle trébuche sur une paire de basket. tu vas avoir une sacrée gueule de bois toi demain. lâche t'il un sourire en coin à son amie. bouges pas. relâchant la main de la jeune femme, il se dirige vers son placard d'où il en sort une serviette propre et un gel douche. puis revenant vers miso il l'envelloppe de la serviette de bain avant de la pousser délicatement en dehors de la chambre; direction les douches. allez, j'suis sur que ça te fera un bien fou; par contre évites de te mouiller les cheveux; sinon on va passer deux heures à les sécher et tout le monde dort. il vaut mieux prévenir que guérir disait-on même si en soit il douter fortement qu'elle l'eût écouter.
une fois arrivé dans les douches; le jeune homme y enclenche les lumières, se dirigeant vers un cabine de douche qu'il entrouvre avant de n'y glisser miso à qui il retire la serviette sans ménage; son regard posé sur son visage. tu sais te doucher n'est-ce pas ? tu ne risques pas de tomber ? déconnes pas j'ai pas envie d'appeler le samu. donc je vais fermer la porte; hop hop tu retires tes sous vêtements; tu te douches sans mouiller tes cheveux; puis tu te sèches avec la serviette; tu remets tes sous vêtements et tu t'enveloppes dans la serviette; easy non ? beaucoup de blabla pour pas grand chose, il avait clairement l'impression de parler à une gamine mais avec le taux d'alcoolémie de la demoiselle cela était relativement justifiable. posant le gel douche à l'intérieur de la cabine, il accrochait la serviette à la porte avant de ne refermer celle-ci tout en faisant un petit signe de la main à miso; un sourire moqueur sur les lèvres. ne restait plus qu'à attendre que madame ce soit lavé. bras croisés face à la porte en bois cabine de douche.
in the still of the night
Feat Miso
Tenue ♡ il avait l'impression d'avoir affaire à une gamine; une jeune enfant d'une dizaine d'année si ce n'est moins; une enfant qui découvrait douloureusement que le monde ne nous appartenait guère et que tout n'allait pas toujours dans notre sens. une enfant qui ne trouvait dans les larmes l'unique manière d'extérioriser la douleur quand bien même cela ne changerait rien; peut-être cela suffirait à la fatiguer sufisamment pour qu'elle cède à la fatigue et oublies le temps d'une nuit la raison de ses tracas. il a de l'espoir. parce qu'il ne sait sincérement pas combien de temps il lui faudra avant de ne perdre patience. il aime beaucoup miso, et il ne lui veut que du bien, cependant c'était bien au delà de ses moyens. oui, elle lui faisait de la peine mais non il ne la prendrait guère en pitié, parce que seojun c'est ce genre d'homme qui se dit qu'il y a toujours pire; ce genre d'homme qui éjecte chaque élèment déplaisant de sa vie et qui donc s'attend à ce qu'autrui fasse de même. il ne se prend pas la tête avec des choses ou même des personnes qui ne lui veulent guère du bien et malgrè les efforts qu'il fait pour se montrer plus compatissant, il a des limites. c'est à peine si elle a conscience d'où elle se trouve; et au fond il est sur qu'elle ne se souviendra de rien demain matin. c'est ça qui l'agace et ne cessera jamais de l'agacer. les bons gars comme lui n'étaient bons qu'à ramasser les pots cassés par d'autres gars inconscients de la valeur des pots en questions. agenouillé devant la jeune femme; il la laissait passer une main sur son visage. peut-être imaginait-elle qu'il s'agissait d'un autre homme lui faisant face. les femmes étaient relativement doués pour cela : se voiler la face. elle semble réagir à sa proposition; quittant le lit sur lequel elle était précédemment allongée. il pivote légèrement dans sa direction; toujours agenouillé au sol; un hoquet s'échappant d'entre ses lèvres lorsque la jeune femme entreprend de se déshabiller. encore une chose que seule les femmes pouvaient se permettre de faire ivre non sans réellement risquer des représailles. qu'en aurait-il été si elle avait été en face d'un homme mal intentionné ? un homme que ses délicieuses courbes auraient su alléchées; que ses douces fesses rebondies que son petit sous vêtement laissé parfaitement se dévoiler et cette généreuse poitrine aurait rendu fou. oui que ferait-elle si un tel homme se tenait face à elle ?
clignant des yeux, le jeune étudiant dégluttit tout en balayant de son esprit ses idées déplacées qui, le temps d'un court instant s'était insinué en lui. miso était une amie à laquelle il tenait sincèrement, pas une vulgaire inconnue sur laquelle il était bon de fantasmer. se relevant délicatement; il fait mine de regarder ailleurs; par respect mais aussi pour s'empêcher de lorgner sur les courbes généreuses de la demoiselle. seojun est un homme; chose que ses amies avaient tendances à oublier tout comme miso semblait le faire ce soir. lorsqu'elle glisse sa main dans la sienne; c'est naturellement qu'il se laisse faire; suivant la demoiselle titubante avant de ne la rattraper juste à temps lorsqu'elle trébuche sur une paire de basket. tu vas avoir une sacrée gueule de bois toi demain. lâche t'il un sourire en coin à son amie. bouges pas. relâchant la main de la jeune femme, il se dirige vers son placard d'où il en sort une serviette propre et un gel douche. puis revenant vers miso il l'envelloppe de la serviette de bain avant de la pousser délicatement en dehors de la chambre; direction les douches. allez, j'suis sur que ça te fera un bien fou; par contre évites de te mouiller les cheveux; sinon on va passer deux heures à les sécher et tout le monde dort. il vaut mieux prévenir que guérir disait-on même si en soit il douter fortement qu'elle l'eût écouter.
une fois arrivé dans les douches; le jeune homme y enclenche les lumières, se dirigeant vers un cabine de douche qu'il entrouvre avant de n'y glisser miso à qui il retire la serviette sans ménage; son regard posé sur son visage. tu sais te doucher n'est-ce pas ? tu ne risques pas de tomber ? déconnes pas j'ai pas envie d'appeler le samu. donc je vais fermer la porte; hop hop tu retires tes sous vêtements; tu te douches sans mouiller tes cheveux; puis tu te sèches avec la serviette; tu remets tes sous vêtements et tu t'enveloppes dans la serviette; easy non ? beaucoup de blabla pour pas grand chose, il avait clairement l'impression de parler à une gamine mais avec le taux d'alcoolémie de la demoiselle cela était relativement justifiable. posant le gel douche à l'intérieur de la cabine, il accrochait la serviette à la porte avant de ne refermer celle-ci tout en faisant un petit signe de la main à miso; un sourire moqueur sur les lèvres. ne restait plus qu'à attendre que madame ce soit lavé. bras croisés face à la porte en bois cabine de douche.
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Re: in the still of the night ft miso | Ven 19 Aoû - 18:01
Tenue ♡ Elle se laisse guider, comme un pantin à qui on aurait coupé les fils. Elle trébuche, avance d’un pas mal assuré, incapable d’ailleurs de s’orienter. Elle ne sait pas où elle va, elle sait juste qu’elle y va, protéger dans l’étreinte de Seo Jun. Elle vacille et entre dans la salle de bain. Depuis combien de temps n’a-t-elle pas prit le peine de se laver dans une salle de bain aussi bien équipé ? Elle rêverait de pouvoir prendre un bain, de se laisser couler dans l’eau et de se couper du monde, rien qu’un instant. L’eau a toujours eu un effet étrange sur elle, bien qu’elle ne s’en plaigne pas. Elle laisse tomber la serviette à ses pieds et acquiesce aux paroles de Seo Jun sans pourtant l’avoir vraiment écouté. Elle se glisse dans la douche et retire maladroitement ses sous-vêtements avant de les jeter au sol, surement aux pieds de Seo Jun. Elle fixe le pommeau de douche comme incapable de réaliser cet effort. Elle le laisse accrocher en hauteur et baisse lentement son regard. Elle allume l’eau, d’abord chaude, puis froide. Elle lève ses deux mains à la hauteur de son ventre pour en tester la température. Elle serait presque fascinée par les perles d’eau qui giclent sur son corps. Elle appuie dessus d’un geste délicat et les efface lentement. L’eau est trop chaude et rougi sa peau. Elle grimace, suffoque légèrement sous la buée qui se forme. Elle tente de régler l’eau à nouveau mais son esprit est las, lourd. Ses gestes sont empotés et lents. Elle souffle avant de finalement capitulé et se doucher sous cette eau un coup trop chaude, un coup trop froide. Elle frissonne, grimace et oublie la demande de Seo Jun. Elle plonge sa tête sous l’eau et mouille ses cheveux. Elle pousse un soupire d’aise et reste ainsi un long moment. Tout est confus dans sa tête, tout se bouscule. Elle repense à Chujung et fait le bilan de sa vie. Minable. Elle gâche sa vie pour un homme. Elle a vécu tellement de choses et là voilà si misérable pour une peine de cœur ? Miso devrait être forte maintenant, elle devrait avoir appris, elle devrait ne plus se laisser blesser comme ça … Mais Miso n’est qu’une enfant, elle n’apprend pas de ses erreurs …
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in the still of the night
Feat Miso
Tenue ♡ Elle se laisse guider, comme un pantin à qui on aurait coupé les fils. Elle trébuche, avance d’un pas mal assuré, incapable d’ailleurs de s’orienter. Elle ne sait pas où elle va, elle sait juste qu’elle y va, protéger dans l’étreinte de Seo Jun. Elle vacille et entre dans la salle de bain. Depuis combien de temps n’a-t-elle pas prit le peine de se laver dans une salle de bain aussi bien équipé ? Elle rêverait de pouvoir prendre un bain, de se laisser couler dans l’eau et de se couper du monde, rien qu’un instant. L’eau a toujours eu un effet étrange sur elle, bien qu’elle ne s’en plaigne pas. Elle laisse tomber la serviette à ses pieds et acquiesce aux paroles de Seo Jun sans pourtant l’avoir vraiment écouté. Elle se glisse dans la douche et retire maladroitement ses sous-vêtements avant de les jeter au sol, surement aux pieds de Seo Jun. Elle fixe le pommeau de douche comme incapable de réaliser cet effort. Elle le laisse accrocher en hauteur et baisse lentement son regard. Elle allume l’eau, d’abord chaude, puis froide. Elle lève ses deux mains à la hauteur de son ventre pour en tester la température. Elle serait presque fascinée par les perles d’eau qui giclent sur son corps. Elle appuie dessus d’un geste délicat et les efface lentement. L’eau est trop chaude et rougi sa peau. Elle grimace, suffoque légèrement sous la buée qui se forme. Elle tente de régler l’eau à nouveau mais son esprit est las, lourd. Ses gestes sont empotés et lents. Elle souffle avant de finalement capitulé et se doucher sous cette eau un coup trop chaude, un coup trop froide. Elle frissonne, grimace et oublie la demande de Seo Jun. Elle plonge sa tête sous l’eau et mouille ses cheveux. Elle pousse un soupire d’aise et reste ainsi un long moment. Tout est confus dans sa tête, tout se bouscule. Elle repense à Chujung et fait le bilan de sa vie. Minable. Elle gâche sa vie pour un homme. Elle a vécu tellement de choses et là voilà si misérable pour une peine de cœur ? Miso devrait être forte maintenant, elle devrait avoir appris, elle devrait ne plus se laisser blesser comme ça … Mais Miso n’est qu’une enfant, elle n’apprend pas de ses erreurs …Elle souffle doucement en se tournant dos au mur pour que l’eau puisse venir frapper ses cheveux, sa nuque, puis son dos. Elle cligne des paupières et fixe le carrelage du sol. « Tu sais … » dit-elle de sa voix cassée en venant doucement serrer ses bras contre elle. « Dans mon pays on tue des gens pour avoir regardé un film d’Hollywood. » Ca sort un peu de nulle part, mais c’est bien là la suite de ses idées. Elle revient de loin Miso mais elle ne parle jamais de son passé. Elle ne parle jamais de la Corée du nord. A quoi bon ? Elle frotte doucement sa peau en laissant couler les larmes sur ses joues. « J’avais une amie, je la connaissais depuis bébé, c’était ma voisine de palier. Je pouvais lui confier tous mes secrets. On était si liées toutes les deux. On était dans la même classe. On faisait tout ensemble. Puis un jour, elle a disparu. » Elle marque une pause en essuyant ses joues d’un geste maladroit et enfantin. « Quand les gens disparaissaient personnes ne faisaient rien parce que … parce que généralement c’était la police qui les emmenait. » Elle entend encore la voix de son amie et son murmure un jour on partira d’ici … Elle y croyait Miso a cette promesse. Elle y croyait Miso, elle avait réussi à se persuader qu’elles pourraient s’enfuir loin d’ici. Mais elle avait perdu son amie. Elle avait perdu son père. Sa mère. Son frère. Et maintenant … elle enfouit son visage dans ses avant-bras et aimerait juste disparaitre à son tour. Etre la seule qui reste quand tout le monde part … quel douloureux fardeau. C’est avec des sanglots dans la voix « J’ai essayé d’être forte Seo Jun. J’ai essayé de tout faire pour ne pas rendre le sacrifice de mon père vain. Mais c’est trop dur … c’est trop dur toute seule … qu’est-ce que je suis supposée faire maintenant ? Je ne sais même pas où aller … » elle n’est qu’une enfant fatiguée. Jamais elle n’avait pris le temps de parler de son passé à Seo Jun mais ce soir tout sortait maladroitement parce que ce soir elle n’arrivait plus à rien. Accroupie dans la douche elle retenait ses sanglots, camouflant sa bouche dans le creux de son coude.
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