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Re: in the still of the night ft miso | Jeu 25 Aoû - 3:14
Tenue ♡ s'adossant contre la porte en bois de la cabine de douche, il écoute silencieusement l'eau coulé, son regard se perdant dans le vide. lui, il ne sait pas ce que c'est que de souffrir par amour. le seul amour qu'il possède c'est pour les chiffres, les codes, l'informatique. il n'a jamais aimé d'être humain dans le sens réel de l'amour pas simple le fait d'apprécier quelqu'un mais bien le fait de ne pouvoir vivre sans quelqu'un. non sincérement il ne sait pas. seojun il a grandis dans sa bulle, il a avancé seul sans réellement prêté attention aux gens autour. il a fait son petit bout de vie sans prendre la peine de s'attacher à une quelconque personne, non parce qu'il ne le voulait guère mais tout bonnement parce que l'occasion ne s'était pas présenté. seojun n'aime pas non plus se prendre la tête, lorsque cela devient trop compliqué et qu'il se sent opressé, il préfère lâcher l'affaire, passer son chemin, continuer en solitaire. il n'est pas comme miso, il n'est pas capable de s'accrocher à quelqu'un qui ne saurait lui rendre ses sentiments et ne lui montrerait aucun respect. il ne comprend pas, parcequ'il ne ressent pas ses sentiments et au fond il s'en veut d'être aussi dur avec elle. il l'entend pleurer et glisser contre la paroi pour rejoindre le sol, pourtant il ne dit pas un mot. il l'écoute parler de sa vie passée, raconter ses chose que seul l'alcool lui permet de dévoiler, ses choses que sobre elle n'aurait jamais désiré prononcer. il ne veut pas avoir pitié d'elle, pas miso et pourtant c'est plus fort que lui. parce que ce soir le peu qu'il puisse dire c'est qu'elle est pitoyable miso. c'est une sublime peinture en lambeau.
les minutes défilent et il reste silencieux, en soit il ne sait réellement pas ce qu'il pourrait bien dire. c'est pas son délire à seojun, qu'on lui demande de faire ses devoir oui, des cours de tutorat oui, hacker des sites, des programmes, des ordi oui mais rassurer, consoler et réconforter ? non. " mmh disons que t'as pas assez essayé. " oui c'est la seule chose qui s'échappe d'entre ses lèvres tandis qu'il penche la tête en arrière, tapant contre la porte en bois. " c'est trop dur toute seule ? donc en fait ta vie c'est ce mec, ça va pas avec lui direct t'es toute seule .. sympa pour tes potes miso. " sa voix est légèrement sarcastique, il a mal pour elle et pourtant ses paroles l'agacent. lui, assis dans les douches à s'occuper d'elle à du mal à digérer la pillule de l'entendre clamer qu'elle est " toute seule ". " si c'est une question d'endroit où aller, tu peux vivre chez ma mère un moment, si tu as des soucis je peux m'en charger , tu devrais le savoir. " mais fallait croire que seojun n'était rien pour la demoiselle vu que la seule absence de son pseudo mec réussisait à remettre en cause l'existence de la demoiselle. hors elle devrait savoir que jun avait les moyens de l'aider, autant financier qu'intellectuel. qu'elle pouvait reposer sa tête sur son épaule à condition de réellement vouloir aller mieux et non de se complaire dans sa tristesse. " tu ne perçois que le négatif miso, alors que de l'autre côté de la porte tu as un mec qui veille sur toi. pourquoi les meufs aiment tant les badboys, vous êtes sérieusement maso. " ce n'était pas nouveau toutes les femmes qu'il fréquentait de près ou de loin avaient ce besoin de fréquenter des hommes qui n'en avaient rien à faire d'elles si ce n'est lorqu'elles se glissaient sous leur couette. le pire c'est que la plupart en avait conscience. le masochisme - la recherche du plaisir dans la douleur.
in the still of the night
Feat Miso
Tenue ♡ s'adossant contre la porte en bois de la cabine de douche, il écoute silencieusement l'eau coulé, son regard se perdant dans le vide. lui, il ne sait pas ce que c'est que de souffrir par amour. le seul amour qu'il possède c'est pour les chiffres, les codes, l'informatique. il n'a jamais aimé d'être humain dans le sens réel de l'amour pas simple le fait d'apprécier quelqu'un mais bien le fait de ne pouvoir vivre sans quelqu'un. non sincérement il ne sait pas. seojun il a grandis dans sa bulle, il a avancé seul sans réellement prêté attention aux gens autour. il a fait son petit bout de vie sans prendre la peine de s'attacher à une quelconque personne, non parce qu'il ne le voulait guère mais tout bonnement parce que l'occasion ne s'était pas présenté. seojun n'aime pas non plus se prendre la tête, lorsque cela devient trop compliqué et qu'il se sent opressé, il préfère lâcher l'affaire, passer son chemin, continuer en solitaire. il n'est pas comme miso, il n'est pas capable de s'accrocher à quelqu'un qui ne saurait lui rendre ses sentiments et ne lui montrerait aucun respect. il ne comprend pas, parcequ'il ne ressent pas ses sentiments et au fond il s'en veut d'être aussi dur avec elle. il l'entend pleurer et glisser contre la paroi pour rejoindre le sol, pourtant il ne dit pas un mot. il l'écoute parler de sa vie passée, raconter ses chose que seul l'alcool lui permet de dévoiler, ses choses que sobre elle n'aurait jamais désiré prononcer. il ne veut pas avoir pitié d'elle, pas miso et pourtant c'est plus fort que lui. parce que ce soir le peu qu'il puisse dire c'est qu'elle est pitoyable miso. c'est une sublime peinture en lambeau.les minutes défilent et il reste silencieux, en soit il ne sait réellement pas ce qu'il pourrait bien dire. c'est pas son délire à seojun, qu'on lui demande de faire ses devoir oui, des cours de tutorat oui, hacker des sites, des programmes, des ordi oui mais rassurer, consoler et réconforter ? non. " mmh disons que t'as pas assez essayé. " oui c'est la seule chose qui s'échappe d'entre ses lèvres tandis qu'il penche la tête en arrière, tapant contre la porte en bois. " c'est trop dur toute seule ? donc en fait ta vie c'est ce mec, ça va pas avec lui direct t'es toute seule .. sympa pour tes potes miso. " sa voix est légèrement sarcastique, il a mal pour elle et pourtant ses paroles l'agacent. lui, assis dans les douches à s'occuper d'elle à du mal à digérer la pillule de l'entendre clamer qu'elle est " toute seule ". " si c'est une question d'endroit où aller, tu peux vivre chez ma mère un moment, si tu as des soucis je peux m'en charger , tu devrais le savoir. " mais fallait croire que seojun n'était rien pour la demoiselle vu que la seule absence de son pseudo mec réussisait à remettre en cause l'existence de la demoiselle. hors elle devrait savoir que jun avait les moyens de l'aider, autant financier qu'intellectuel. qu'elle pouvait reposer sa tête sur son épaule à condition de réellement vouloir aller mieux et non de se complaire dans sa tristesse. " tu ne perçois que le négatif miso, alors que de l'autre côté de la porte tu as un mec qui veille sur toi. pourquoi les meufs aiment tant les badboys, vous êtes sérieusement maso. " ce n'était pas nouveau toutes les femmes qu'il fréquentait de près ou de loin avaient ce besoin de fréquenter des hommes qui n'en avaient rien à faire d'elles si ce n'est lorqu'elles se glissaient sous leur couette. le pire c'est que la plupart en avait conscience. le masochisme - la recherche du plaisir dans la douleur.
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Re: in the still of the night ft miso | Sam 8 Oct - 18:56
Tenue ♡ Les paroles de Jun la réveillent autant qu’elles lui font mal. Comment peut-il dire ça ? Comment peut-il simplement lui balancer ça au visage ? Il faut dire qu’il ne connait rien de son passé, de cette vie qu’elle a caché, de ces racines qu’elle a arraché à sa vie pour ne plus jamais regarder en arrière. Et elle lui en veut de lui dire ça d’un ton presque banalisant. Et elle lui en veut de réduire ses efforts, ses sacrifices à une vulgaire peine de cœur pour un garçon. Il ne comprend pas, il ne comprend pas que ce n’est pas qu’un vulgaire Bad boy qui la fait pleurer, ni qu’il n’est qu’un garçon parmi tant d’autre, ni même LE garçon ! Elle ne pleure pas seulement parce qu’elle s’est faites avoir malgré les mises en garde … Elle pleure parce qu’elle est fatiguée Miso. Fatiguée de courir, fatiguée de refuser de se poser pour commencer sa vie tant qu’elle n’aura pas retrouvé son frère. Mais la vérité c’est qu’elle se sent minable. Que les mots de Jun lui donnent l’impression de n’être qu’une sombre idiote et ça … Ca Miso elle a du mal à l’avaler. Elle se redresse brusquement, glissant à moitié sur l’eau qui s’abat par petite vague sur le carrelage du sol. Elle attrape la serviette et s’enroule maladroitement dedans. Si elle avait été un peu plus sobre, elle aurait sûrement ravalé sa colère, elle serait surement parti parce qu’elle aurait été incapable de lui avouer, de lui faire comprendre. Mais là, elle sort de sa cabine, sentant le poids contre la porte du corps du garçon et l’enjambe presque pour venir se retrouver face à lui. Ses cheveux mouillés lui colle au visage et ses lèvres son bleuté de froid de l’eau qu’elle n’avait pas réglé comme il fallait. « Tu peux pas dire ça ! » crache-t-elle dans un souffle cassé, un sanglot dans la voix. Elle se tient devant lui, bancale, comme si son corps allait s’effondrer d’un instant à l’autre, pourtant elle résiste, debout, elle le fixe de son regard orage.
in the still of the night
Feat Miso
Tenue ♡ Les paroles de Jun la réveillent autant qu’elles lui font mal. Comment peut-il dire ça ? Comment peut-il simplement lui balancer ça au visage ? Il faut dire qu’il ne connait rien de son passé, de cette vie qu’elle a caché, de ces racines qu’elle a arraché à sa vie pour ne plus jamais regarder en arrière. Et elle lui en veut de lui dire ça d’un ton presque banalisant. Et elle lui en veut de réduire ses efforts, ses sacrifices à une vulgaire peine de cœur pour un garçon. Il ne comprend pas, il ne comprend pas que ce n’est pas qu’un vulgaire Bad boy qui la fait pleurer, ni qu’il n’est qu’un garçon parmi tant d’autre, ni même LE garçon ! Elle ne pleure pas seulement parce qu’elle s’est faites avoir malgré les mises en garde … Elle pleure parce qu’elle est fatiguée Miso. Fatiguée de courir, fatiguée de refuser de se poser pour commencer sa vie tant qu’elle n’aura pas retrouvé son frère. Mais la vérité c’est qu’elle se sent minable. Que les mots de Jun lui donnent l’impression de n’être qu’une sombre idiote et ça … Ca Miso elle a du mal à l’avaler. Elle se redresse brusquement, glissant à moitié sur l’eau qui s’abat par petite vague sur le carrelage du sol. Elle attrape la serviette et s’enroule maladroitement dedans. Si elle avait été un peu plus sobre, elle aurait sûrement ravalé sa colère, elle serait surement parti parce qu’elle aurait été incapable de lui avouer, de lui faire comprendre. Mais là, elle sort de sa cabine, sentant le poids contre la porte du corps du garçon et l’enjambe presque pour venir se retrouver face à lui. Ses cheveux mouillés lui colle au visage et ses lèvres son bleuté de froid de l’eau qu’elle n’avait pas réglé comme il fallait. « Tu peux pas dire ça ! » crache-t-elle dans un souffle cassé, un sanglot dans la voix. Elle se tient devant lui, bancale, comme si son corps allait s’effondrer d’un instant à l’autre, pourtant elle résiste, debout, elle le fixe de son regard orage.« Est-ce que t’as même écouté un seul mot de ce que je t’ai dit Seo Jun ?! » glapit-elle la gorge nouée. « Je viens de … .je te … » confie ma vie, mon passé et tu ramènes tout à Chujung comme si c’était la seule chose que tu remarquais. Elle secoue la tête, reprends son souffle quand elle se rend compte qu’elle retenait sa respiration de rage. Elle laisse éclater son souffle en riant amèrement avant de le pousser « Je te parle pas de lui ! Je ne te parle pas de ma solitude parce que ce connard préfère baiser d’autres filles que de rester avec moi ! » Sa voix cassé monte dans les aigues quand elle continue « J’ai pas de famille ! Pas de pays ! Pas de maison et je te parle pas juste d’un toit ! J’ai pas de foyer, je n’ai pas de personnes qui m’attends le soir et qui sa demande si j’ai passé une bonne soirée ! Je n’ai pas de famille, ni adoptive, ni qui me reste ! Alors heureusement que j’ai mes amis ! Ouais même s vous êtes peu au moins je vous ai et je vous serais jamais assez reconnaissante ! Mais je refuse que tu puisses me balancer ça à la gueule quand je te dis que j’en peux plus Seo Jun ! » Sa phrase se casse sur son prénom alors qu’un sanglot « Tu me regardes comme si tu savais tout, tu me regardes comme si tout ca c’était facile ! Comme si je n’avais qu’à juste à aller chez ta mère pour aller bien ! Mais ca va pas Seo Jun ! Ca ira jamais parce que j’ai perdu mon jumeau dans la nature, parce que je n’arrive même pas à le retrouver vu le temps que je passe à fuir la douane ! Parce que j’ai vu ma mère se faire violer devant moi parce que ce passeur chinois voulait sauter une petite coréenne du nord en fuite ! Parce que j’ai du enterrer mon père en pleine nuit sans qu’on puisse nous surprendre ! Parce que j’arrête pas de fuir ! Parce que je n’arrête pas de courir sans avoir nulle part où aller ! Parce que je me repose sur toi mais que demain je serais partie ! »
Elle est essoufflée, les joues baignées de larmes que l’alcool rend plus acide. « Parce que j’ne ai marre de tourner en rond … » elle a mal au cœur et elle ajoute d’une voix faible « Parce que c’est ma vie Seo Jun alors non … non t’as pas le droit de me dire que je n’ai pas assez essayé d’être forte … surtout pas quand je me confie à toi sur mon père … » Elle vacille et écarquille les yeux avant de courir dans la cabine pour vomir son trop plein d’alcool que l’émotion lui fait remonter. « T’as pas le droit de résumé tous mes sacrifices à ma peine de cœur pour Chujung » sanglote-t-elle misérablement mélangeant colère et tristesse. Sa serviette glisse et elle n’a pas le courage de retenir … elle essuie ses joues maladroitement et grimace face à son vomi. « Approche pas … c’est dégueulasse » gémit-elle en ne sachant comment nettoyer ça. Elle tremble de froid et tente d’utiliser l’eau. Ce qu’elle voulait dans le fond c’était juste quelqu’un qui la prenne dans ses bras et qui lui dirait que tout ira bien. Mais Seo Jun reste un de ses amis les plus fidèles qui sait la secouer et la ramener sur terre quand elle en a besoin … mais ce soir, elle voulait juste … juste ses bras.
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Re: in the still of the night ft miso | Dim 16 Oct - 15:48
Tenue ♡ trouble de la personnalité antisociale. c'est ce qui lui avait été diagnostiqué deux ans auparavant, lorsqu'il s'était décidé à consulter un psychiatre dans l'optique de comprendre pourquoi il lui était aussi difficile de se socialiser et de faire preuve d'empathie. Le trouble de la personnalité antisociale est un trouble de la personnalité caractérisé par une tendance générale à l'indifférence vis-à-vis des normes sociales, des émotions et droits d'autrui ainsi que par un comportement impulsif. C'est ce qui expliquait son manque d'empathie quand il se trouvait confronté à la souffrance des autres, témoignant d'une incapacité à ressentir l'émotion associée à l'empathie ou la souffrance. il essayait sincérement de comprendre, de se mettre à la place d'autrui, de percevoir leurs émotions mais c'était bien plus complexe que cela ne semblait paraître. il n'arrivait tout simplement pas à percevoir cette tristesse et à la comprendre. seuls les facteurs tel que ses gémissements, pleurs, ses paroles ou la manière dont elle fronçait les sourcils lui permettaient de déceler sa tristesse sans pour autant que cela ne l'atteigne réellement.
il n'arrivait pas à faire preuve d'empathie et ce, même lorsqu'elle en venait à parler de son passé, de sa vie il fût un temps en Corée du nord. Il avait appris à distinguer les attitudes qui blessaient et celles qui rassuraient, il avait appris à se montrer vigilant dans sa manière de répondre. ses paroles étaient trop souvent directes et beaucoup trop honnête, lorsque la situation aurait requis qu'il prenne des pincettes. il passe une main dans sa chevelure, tout en expirant délicatement. que pouvait-il répondre ? le moment même où elle avait quitté la cabine de douche, pour lui faire face, une expression meurtri dessiné sur son visage et ce regard empli de rage qu'elle avais posé sur lui, ce moment là, il avait suffis à lui faire comprendre qu'il n'avait pas eu les bons mots. ce n'était pas dans son optique de la blesser plus qu'elle ne l'était déjà, et il aurait préféré qu'elle se confit à lui sobre, lorsque l'alcool n'était guère présent pour envenimer chacune de ses émotions. il plisse les lèvres, silencieux lorsqu'elle lui déballe chacun des mauvais moment de sa vie, et quand bien même il ne ressent guère ses émotions, cela réussit à le mettre mal à l'aise. la situation de miso, il la connaissait, mais ce qui était arrivé à sa mère, son père, son frère jumeau ? non, tout cela lui était totalement inconnu. et au fond, il trouvait cela navrant qu'elle se doive de lui balancer au visage de la sorte, mais n'était-ce pas ainsi que les gens se confiaient ? sous l'effet de l'alcool et de la colère, n'était-ce pas normal de tout déballer lorsque la goutte de trop finissait pas faire déborder de verre ? alors sans même le ressentir, il comprenait un peu, du moins suffisamment pour ne pas en rajouter. la situation n'était guère propice à une conversation sérieuse, miso n'était pas en état de penser à des solutions rationnelles, solutions qu'il saurait lui offrir lorsqu'elle aurait évacué toutes traces d'alcool présent dans son corps.
je suis désolé miso. il ne le disait pas simplement parce que c'était ce qu'elle voulait entendre mais réellement parce qu'il le pensait. son trouble était un réel fardeau pour les personnes qui l'entourait, et plutôt que les soutenir, il avait tendance à enfoncer le couteau encore plus profond dans la plaie. il la regarde titubait de nouveau dans la cabine de douche, la suivant de près pour s'assurer qu'elle ne se blesse pas bêtement. il ne s'est pas réellement ce qui le perturba dans la continuité des choses: la serviette qui rejoignait le sol ou le fait qu'elle se mette soudainement à vomir. peut-être la combinaison des deux. dans un mouvement vif, il retire son propre t-shirt, la serviette étant d'hors et déjà imbibé d'eau et .. de vomis. s'assurant qu'elle est cessé de vomir, il la retourne délicatement, la forçant à lever les bras tandis qu'il lui enfile le t-shirt, veillant à détourner la tête de sorte à ne guère poser les yeux sur la poitrine nue de son amie. ce n'était guère le moment de s'attarder sur ce genre de détail, pas lorsqu'il s'agissait de miso et ce, dans un état pareil. son t-shirt bien trop grand pour la demoiselle finalement enfilée, il s'emparait du pommeau de douche afin de rincer le vomis de la jeune femme, se faisant violence pour ne guère afficher une expression de dégoût, bien conscient que cela ne ferait qu'empirer les choses. abaisses toi un peu et rinces toi la bouche, miso. appuyant légèrement sur le dos de son amie, il l'aidait à se rincer la bouche, plaçant de l'eau dans la paume de sa main qu'il apportait ensuite aux lèvres de la jeune fille. je n'étais pas au courant de tout ces détails miso, je suis désolé d'avoir été aussi dur, je pensais qu'il s'agissait d'une simple peine de coeur et cela me tue de te savoir ainsi pour un enfoiré de première. maintenant je comprend qu'il y a bien plus que cela. et je ferais tout pour que cela s'arrange, tu n'aurais plus à fuir. je vais t'offrir maison, famille et papiers. crois moi. peut-être ne se souviendrait-elle pas de tout cela demain matin, mais lui s'en souviendrait. l'argent peut tout résoudre disait-on, et seojun était plutôt confiant à ce sujet là. les papiers il pouvait les lui procurer aisément, quelques hackages ainsi qu'un éventuel contrat de mariage pour lui assurer la citoyenneté semblait être une possibilité raisonnable, un appartement ? c'était aussi dans ses finances et pour ce qui était de la famille, il pouvait très bien se comportait tout comme. miso était l'une de ses meilleures amies et l'amitié n'avait à ses yeux pas de prix. après tout c'est à ça que servait l'argent, à être dépensé non ?
aidant la jeune femme à se relever, il essorait ses longs cheveux, la plaquant contre lui se sorte à la réchauffer légèrement. on va aller dans la chambre, je te donnerais de quoi t'habiller puis je te sécherais les cheveux ! les autres élèves n'avaient qu'à se plaindre, il s'en contrefichait.
in the still of the night
Feat Miso
Tenue ♡ trouble de la personnalité antisociale. c'est ce qui lui avait été diagnostiqué deux ans auparavant, lorsqu'il s'était décidé à consulter un psychiatre dans l'optique de comprendre pourquoi il lui était aussi difficile de se socialiser et de faire preuve d'empathie. Le trouble de la personnalité antisociale est un trouble de la personnalité caractérisé par une tendance générale à l'indifférence vis-à-vis des normes sociales, des émotions et droits d'autrui ainsi que par un comportement impulsif. C'est ce qui expliquait son manque d'empathie quand il se trouvait confronté à la souffrance des autres, témoignant d'une incapacité à ressentir l'émotion associée à l'empathie ou la souffrance. il essayait sincérement de comprendre, de se mettre à la place d'autrui, de percevoir leurs émotions mais c'était bien plus complexe que cela ne semblait paraître. il n'arrivait tout simplement pas à percevoir cette tristesse et à la comprendre. seuls les facteurs tel que ses gémissements, pleurs, ses paroles ou la manière dont elle fronçait les sourcils lui permettaient de déceler sa tristesse sans pour autant que cela ne l'atteigne réellement.il n'arrivait pas à faire preuve d'empathie et ce, même lorsqu'elle en venait à parler de son passé, de sa vie il fût un temps en Corée du nord. Il avait appris à distinguer les attitudes qui blessaient et celles qui rassuraient, il avait appris à se montrer vigilant dans sa manière de répondre. ses paroles étaient trop souvent directes et beaucoup trop honnête, lorsque la situation aurait requis qu'il prenne des pincettes. il passe une main dans sa chevelure, tout en expirant délicatement. que pouvait-il répondre ? le moment même où elle avait quitté la cabine de douche, pour lui faire face, une expression meurtri dessiné sur son visage et ce regard empli de rage qu'elle avais posé sur lui, ce moment là, il avait suffis à lui faire comprendre qu'il n'avait pas eu les bons mots. ce n'était pas dans son optique de la blesser plus qu'elle ne l'était déjà, et il aurait préféré qu'elle se confit à lui sobre, lorsque l'alcool n'était guère présent pour envenimer chacune de ses émotions. il plisse les lèvres, silencieux lorsqu'elle lui déballe chacun des mauvais moment de sa vie, et quand bien même il ne ressent guère ses émotions, cela réussit à le mettre mal à l'aise. la situation de miso, il la connaissait, mais ce qui était arrivé à sa mère, son père, son frère jumeau ? non, tout cela lui était totalement inconnu. et au fond, il trouvait cela navrant qu'elle se doive de lui balancer au visage de la sorte, mais n'était-ce pas ainsi que les gens se confiaient ? sous l'effet de l'alcool et de la colère, n'était-ce pas normal de tout déballer lorsque la goutte de trop finissait pas faire déborder de verre ? alors sans même le ressentir, il comprenait un peu, du moins suffisamment pour ne pas en rajouter. la situation n'était guère propice à une conversation sérieuse, miso n'était pas en état de penser à des solutions rationnelles, solutions qu'il saurait lui offrir lorsqu'elle aurait évacué toutes traces d'alcool présent dans son corps.
je suis désolé miso. il ne le disait pas simplement parce que c'était ce qu'elle voulait entendre mais réellement parce qu'il le pensait. son trouble était un réel fardeau pour les personnes qui l'entourait, et plutôt que les soutenir, il avait tendance à enfoncer le couteau encore plus profond dans la plaie. il la regarde titubait de nouveau dans la cabine de douche, la suivant de près pour s'assurer qu'elle ne se blesse pas bêtement. il ne s'est pas réellement ce qui le perturba dans la continuité des choses: la serviette qui rejoignait le sol ou le fait qu'elle se mette soudainement à vomir. peut-être la combinaison des deux. dans un mouvement vif, il retire son propre t-shirt, la serviette étant d'hors et déjà imbibé d'eau et .. de vomis. s'assurant qu'elle est cessé de vomir, il la retourne délicatement, la forçant à lever les bras tandis qu'il lui enfile le t-shirt, veillant à détourner la tête de sorte à ne guère poser les yeux sur la poitrine nue de son amie. ce n'était guère le moment de s'attarder sur ce genre de détail, pas lorsqu'il s'agissait de miso et ce, dans un état pareil. son t-shirt bien trop grand pour la demoiselle finalement enfilée, il s'emparait du pommeau de douche afin de rincer le vomis de la jeune femme, se faisant violence pour ne guère afficher une expression de dégoût, bien conscient que cela ne ferait qu'empirer les choses. abaisses toi un peu et rinces toi la bouche, miso. appuyant légèrement sur le dos de son amie, il l'aidait à se rincer la bouche, plaçant de l'eau dans la paume de sa main qu'il apportait ensuite aux lèvres de la jeune fille. je n'étais pas au courant de tout ces détails miso, je suis désolé d'avoir été aussi dur, je pensais qu'il s'agissait d'une simple peine de coeur et cela me tue de te savoir ainsi pour un enfoiré de première. maintenant je comprend qu'il y a bien plus que cela. et je ferais tout pour que cela s'arrange, tu n'aurais plus à fuir. je vais t'offrir maison, famille et papiers. crois moi. peut-être ne se souviendrait-elle pas de tout cela demain matin, mais lui s'en souviendrait. l'argent peut tout résoudre disait-on, et seojun était plutôt confiant à ce sujet là. les papiers il pouvait les lui procurer aisément, quelques hackages ainsi qu'un éventuel contrat de mariage pour lui assurer la citoyenneté semblait être une possibilité raisonnable, un appartement ? c'était aussi dans ses finances et pour ce qui était de la famille, il pouvait très bien se comportait tout comme. miso était l'une de ses meilleures amies et l'amitié n'avait à ses yeux pas de prix. après tout c'est à ça que servait l'argent, à être dépensé non ?
aidant la jeune femme à se relever, il essorait ses longs cheveux, la plaquant contre lui se sorte à la réchauffer légèrement. on va aller dans la chambre, je te donnerais de quoi t'habiller puis je te sécherais les cheveux ! les autres élèves n'avaient qu'à se plaindre, il s'en contrefichait.
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Re: in the still of the night ft miso | Ven 2 Déc - 21:21
Tenue ♡ Tout lui semblait tellement compliqué ces derniers jours qu’elle aurait aimé s’endormir et ne se réveiller qu’à l’instant où ces jours sombres seraient derrière elle. Sa fatigue n’a d’égal que sa tristesse et pour dire vrai elle ne sait pas où elle serait aujourd’hui si elle n’avait pas rencontré Seo Jun ou Yindee. Min Soo l’avait aidé en l’aidant à se sortir de la monotonie de sa vie, Wei, c’était tout un monde qu’il lui avait fait découvrir et aimer mais Seo Jun lui avait fait croire que tout était possible et son calme ainsi que sa grandeur d’âme lui avait donné l’impression de pouvoir résister à tous les vents et marées. Elle s’était accrochée à lui, se servant de lui comme modèle pour apprendre à gérer ses émotions comme il le fait. Elle ne réalisait pas que le soit disant masque que portait Seo Jun n’était en réalité que l’expression d’une maladie méconnue que peu de personnes ne pouvaient comprendre. Elle n’a même plus la force de le repousser, de lui demander de la laisser, peut-être parce que dans le fond, elle n’en a pas envie. Dans un sens lui raconter son histoire lui aura fait du bien, il comprend, c’est ce qu’elle se dit. Il comprend et elle peut se laisser aller, rien qu’une fois. tu n'aurais plus à fuir. je vais t'offrir maison, famille et papiers. Crois-moi. C’était sûrement là les seules paroles qu’elle avait envie d’entendre alors quand il prononça ces mots elle releva le visage vers lui, un voile de reconnaissance posé sur le regard. Elle déglutit. Se revoit boire dans le creux de cette paume que son ami lui tend. Elle a rincé sa bouche mais le goût amer de la solitude ne la quitte pas. Il y a des prix à payer pour la liberté et ça, elle l’a bien compris. A ses dépends, et au dépend de cette vie rêvée qu’elle s’était façonnée et imaginée. Elle redresse vers Seo Jun un visage frêle que ses cheveux mouillés et collés à ses joues rendent plus délicat encore. Elle se redresse, réchauffée dans les bras du gumiho qui la serre contre lui. Elle ferme les yeux et se blottit un peu plus entre ses bras profitant de cette étreinte si rare et pourtant si délicieuse. Elle soupire d’aise, comme une enfant trouvant enfin le réconfort tant attendu. Elle ferme les yeux en soufflant un faible « Merci » qu’elle n’est pas sûre d’avoir prononcé assez fort. Elle n’arrive pas encore à sourire mais son cœur lui parait un brin moins lourd. Elle fini par rejoindre la chambre de Seo Jun en tremblant de froid, n’attendant pas son accord pour se glisser dans un gros pull et pour enfiler un jogging trop grand pour elle. Son corps glacé cherche la chaleur sans la trouver. Levant un regard de chien perdu vers le jeune garçon elle se glisse jusqu’à lui et attrape sa main pour le tirer avec elle dans le lit. Ce n’était que sa chaleur qui arrivait à lui retirer cette sensation de froid. Elle le force un peu, rapide et inquiète à l’idée qu’il puisse refuser son étreinte chaste. Elle pose la tête sur l’oreiller et s’approche de lui. Elle hésite un instant avant de lui demander « Y a quoi dans ta tête Seo Jun quand tu vois les gens … ? » Si déroutante et inhabituelle question, elle ne saurait comment la traduire et lui expliquer, mais qu’importe l’interprétation qu’il en fera, sa réponse piquera sa curiosité.
in the still of the night
Feat Miso
Tenue ♡ Tout lui semblait tellement compliqué ces derniers jours qu’elle aurait aimé s’endormir et ne se réveiller qu’à l’instant où ces jours sombres seraient derrière elle. Sa fatigue n’a d’égal que sa tristesse et pour dire vrai elle ne sait pas où elle serait aujourd’hui si elle n’avait pas rencontré Seo Jun ou Yindee. Min Soo l’avait aidé en l’aidant à se sortir de la monotonie de sa vie, Wei, c’était tout un monde qu’il lui avait fait découvrir et aimer mais Seo Jun lui avait fait croire que tout était possible et son calme ainsi que sa grandeur d’âme lui avait donné l’impression de pouvoir résister à tous les vents et marées. Elle s’était accrochée à lui, se servant de lui comme modèle pour apprendre à gérer ses émotions comme il le fait. Elle ne réalisait pas que le soit disant masque que portait Seo Jun n’était en réalité que l’expression d’une maladie méconnue que peu de personnes ne pouvaient comprendre. Elle n’a même plus la force de le repousser, de lui demander de la laisser, peut-être parce que dans le fond, elle n’en a pas envie. Dans un sens lui raconter son histoire lui aura fait du bien, il comprend, c’est ce qu’elle se dit. Il comprend et elle peut se laisser aller, rien qu’une fois. tu n'aurais plus à fuir. je vais t'offrir maison, famille et papiers. Crois-moi. C’était sûrement là les seules paroles qu’elle avait envie d’entendre alors quand il prononça ces mots elle releva le visage vers lui, un voile de reconnaissance posé sur le regard. Elle déglutit. Se revoit boire dans le creux de cette paume que son ami lui tend. Elle a rincé sa bouche mais le goût amer de la solitude ne la quitte pas. Il y a des prix à payer pour la liberté et ça, elle l’a bien compris. A ses dépends, et au dépend de cette vie rêvée qu’elle s’était façonnée et imaginée. Elle redresse vers Seo Jun un visage frêle que ses cheveux mouillés et collés à ses joues rendent plus délicat encore. Elle se redresse, réchauffée dans les bras du gumiho qui la serre contre lui. Elle ferme les yeux et se blottit un peu plus entre ses bras profitant de cette étreinte si rare et pourtant si délicieuse. Elle soupire d’aise, comme une enfant trouvant enfin le réconfort tant attendu. Elle ferme les yeux en soufflant un faible « Merci » qu’elle n’est pas sûre d’avoir prononcé assez fort. Elle n’arrive pas encore à sourire mais son cœur lui parait un brin moins lourd. Elle fini par rejoindre la chambre de Seo Jun en tremblant de froid, n’attendant pas son accord pour se glisser dans un gros pull et pour enfiler un jogging trop grand pour elle. Son corps glacé cherche la chaleur sans la trouver. Levant un regard de chien perdu vers le jeune garçon elle se glisse jusqu’à lui et attrape sa main pour le tirer avec elle dans le lit. Ce n’était que sa chaleur qui arrivait à lui retirer cette sensation de froid. Elle le force un peu, rapide et inquiète à l’idée qu’il puisse refuser son étreinte chaste. Elle pose la tête sur l’oreiller et s’approche de lui. Elle hésite un instant avant de lui demander « Y a quoi dans ta tête Seo Jun quand tu vois les gens … ? » Si déroutante et inhabituelle question, elle ne saurait comment la traduire et lui expliquer, mais qu’importe l’interprétation qu’il en fera, sa réponse piquera sa curiosité.Invité
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Re: in the still of the night ft miso | Sam 18 Fév - 17:21
Tenue ♡ son propre malheur était celui de ne guère ressentir les émotions d'autrui, cela lui donnait l'horrible impression d'être hypocrite et ce, même lorsqu'il y mettait tout son coeur. Mais les émotions ne se copiaient guère à la perfection et ce quand bien même il les reproduisait fréquemment, il suffisait de le connaître pour comprendre que lui ne comprenait guère. il l'entraîne dans la chambre tout en frictionnant les cheveux de la demoiselle à l'aide d'une serviette. elle était bien trop ivre pour se préoccuper de ses cheveux mais l'idée qu'elle puisse tomber malade poussait seojun à les lui sécher d'abord à l'aide de la serviette et probablement par la suite à l'aide du sèche cheveux. Cependant elle le devance en le tirant sur le lit, action à laquelle il n'oppose aucune résistance ayant bien compris que la moindre contrariété saurait la détruire en mille morceaux. lui relevant délicatement la tête il passe la serviette de bain sous celle-ci puis enroule tant bien que mal la serviette autour des cheveux de sa jeune amie, histoire de s'assurer qu'elle n'attrape pas froid. son corps s'affaissant sur le lit, il tourne la tête pour la regarder, ses paroles lui arrachant un léger sourire. " ça dépend des gens miso, certains m'intriguent d'autres m'irritent. en soit je suis pas bien différent lorsqu'il s'agit de rencontrer des personnes, là où ça dérape c'est quand les relations sont plus approfondis, lorsqu'autrui est suffisamment à l'aise avec moi pour se montrer émotionnel. fin c'est la même pour les inconnus, à partir du moment où les émotions se présentent, mon cerveau entre en mode veille. " c'était complexe à exprimer par des mots, de un parce qu'il ne trouvait pas les bons mots et de deux, parce qu'elle aurait surement du mal à assimiler ses paroles, peut-être ne le croirait-elle pas ou finirait par être effrayé par lui. relevant la tête de Miso, il glisse son bras en dessous de celle-ci, la forçant à se rapprocher de lui tandis qu'il déposait sa tête sur son bras. " tu vas attraper froid, quelle idée d'avoir mouillé tes cheveux sérieux. " il remonte la couverture sur les épaules de la jeune femme avant de ne reprendre la parole. " je crois que le sentiment que je comprend le moins c'est la tristesse ... je n'arrive pas à l'éprouver tout comme la jalousie ou même la colère. mais j'ai appris à comprendre visuellement à défaut de ne pouvoir le faire émotionnellement. "Oui, il avait appris à observer autrui, à apprendre les expressions faciales qui représentait une émotion, les réactions à avoir et celle à éviter, il avait même finis par déceler les personnes qui lui mentaient de celles qui se montraient honnêtes avec lui. mais c'était un processus lent et fatiguant qu'il n'adoptait guère tout le temps, certaines personnes méritaient qu'ils se plient en quatre pour elles, certaines au contraire ne méritait rien et il estimait de pas avoir à agir devant eux puis qu'il ne les reverrait que très rarement voir jamais. " et toi Miso, tu ressens quoi quand tu vois d'autres personnes " il cligne des yeux tout en la fixant délicatement. il ne ressentait peut-être que trop peu mais il était sincèrement curieux d'en savoir plus sur la jeune femme; de savoir si avec un peu de chance, elle était quelque peu similaire avec lui ou si bien au contraire, elle n'avait rien entendu de tout son charabia, ce qui se révélait bien fort possible puisqu'encore sous l'effet de l'alcool.
in the still of the night
Feat Miso
Tenue ♡ son propre malheur était celui de ne guère ressentir les émotions d'autrui, cela lui donnait l'horrible impression d'être hypocrite et ce, même lorsqu'il y mettait tout son coeur. Mais les émotions ne se copiaient guère à la perfection et ce quand bien même il les reproduisait fréquemment, il suffisait de le connaître pour comprendre que lui ne comprenait guère. il l'entraîne dans la chambre tout en frictionnant les cheveux de la demoiselle à l'aide d'une serviette. elle était bien trop ivre pour se préoccuper de ses cheveux mais l'idée qu'elle puisse tomber malade poussait seojun à les lui sécher d'abord à l'aide de la serviette et probablement par la suite à l'aide du sèche cheveux. Cependant elle le devance en le tirant sur le lit, action à laquelle il n'oppose aucune résistance ayant bien compris que la moindre contrariété saurait la détruire en mille morceaux. lui relevant délicatement la tête il passe la serviette de bain sous celle-ci puis enroule tant bien que mal la serviette autour des cheveux de sa jeune amie, histoire de s'assurer qu'elle n'attrape pas froid. son corps s'affaissant sur le lit, il tourne la tête pour la regarder, ses paroles lui arrachant un léger sourire. " ça dépend des gens miso, certains m'intriguent d'autres m'irritent. en soit je suis pas bien différent lorsqu'il s'agit de rencontrer des personnes, là où ça dérape c'est quand les relations sont plus approfondis, lorsqu'autrui est suffisamment à l'aise avec moi pour se montrer émotionnel. fin c'est la même pour les inconnus, à partir du moment où les émotions se présentent, mon cerveau entre en mode veille. " c'était complexe à exprimer par des mots, de un parce qu'il ne trouvait pas les bons mots et de deux, parce qu'elle aurait surement du mal à assimiler ses paroles, peut-être ne le croirait-elle pas ou finirait par être effrayé par lui. relevant la tête de Miso, il glisse son bras en dessous de celle-ci, la forçant à se rapprocher de lui tandis qu'il déposait sa tête sur son bras. " tu vas attraper froid, quelle idée d'avoir mouillé tes cheveux sérieux. " il remonte la couverture sur les épaules de la jeune femme avant de ne reprendre la parole. " je crois que le sentiment que je comprend le moins c'est la tristesse ... je n'arrive pas à l'éprouver tout comme la jalousie ou même la colère. mais j'ai appris à comprendre visuellement à défaut de ne pouvoir le faire émotionnellement. "Oui, il avait appris à observer autrui, à apprendre les expressions faciales qui représentait une émotion, les réactions à avoir et celle à éviter, il avait même finis par déceler les personnes qui lui mentaient de celles qui se montraient honnêtes avec lui. mais c'était un processus lent et fatiguant qu'il n'adoptait guère tout le temps, certaines personnes méritaient qu'ils se plient en quatre pour elles, certaines au contraire ne méritait rien et il estimait de pas avoir à agir devant eux puis qu'il ne les reverrait que très rarement voir jamais. " et toi Miso, tu ressens quoi quand tu vois d'autres personnes " il cligne des yeux tout en la fixant délicatement. il ne ressentait peut-être que trop peu mais il était sincèrement curieux d'en savoir plus sur la jeune femme; de savoir si avec un peu de chance, elle était quelque peu similaire avec lui ou si bien au contraire, elle n'avait rien entendu de tout son charabia, ce qui se révélait bien fort possible puisqu'encore sous l'effet de l'alcool.Invité
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Re: in the still of the night ft miso | Lun 15 Mai - 11:16
Tenue ♡ C’était presque irréel ce qu’il pouvait lui expliquer, elle avait même du mal à comprendre qu’il puisse être incapable de ressentir ce genre d’émotion. Pendant une seconde elle s’était même surprise à l’envier. Elle aurait aimé, elle aussi, ne pas avoir à sentir la peur, la jalousie, la colère … mais elle réalisait aussi que c’était tout ça qui la rendait humaine. Que sans cette … partie d’elle si féroce elle n’aurait pas pu être ce qu’elle était aujourd’hui. Elle savait Miso qu’elle était faible, qu’à cet instant elle devait sembler bien pathétique et misérable mais dans le fond … elle savait aussi qu’elle avait la chance de pouvoir ressentir le bonheur, la joie … qu’elle pouvait rire et être heureuse. Parce qu’elle l’avait été un jour et qu’elle n’avait jamais oublié ce sentiment, cette chaleur … alors dans le fond elle se sentait désolée pour Seo Jun ne pas pouvoir ressentir ces émotions. Elle glisse sa main sur la sienne pour en capturer la chaleur. C’était bien étrange, pour son esprit fatigué et embrouillé, de l’imaginer insensible. Bêtement Miso se met en tête qu’elle pourrait changer ça, que sa maladie n’est qu’une façade, une barrière pour se protéger, parce que pour la jeune fille c’est impensable de rester … vide, sans émotion forte, sans émotion tout courte. Elle l’écoute sagement, elle tentait malgré l’alcool de retenir sa réponse, de la comprendre, bien que tout soit confus, elle s’accroche à ces mots qu’elle comprend. Elle baisse les yeux à sa question. Les gens ? Elle fronce légèrement les sourcils, témoignant de l’intense réflexion dans laquelle elle se plonge pour répondre à sa question avec autant de sérieux qu’il lui a répondu. Mais la vérité elle l’a connait déjà. « Je suis morte de peur. » avoue-t-elle. Parce que chaque nouvelle personne qu’elle rencontre, qui la remarque, qu’elle ne peut fuir, est une personne qui risque de la renvoyer d’où elle vient. De briser un peu plus sa vie. Alors oui, elle est morte de trouille. Mais elle sait aussi qu’elle peut se cacher derrière ses amis, comme elle peut se reposer sur Seo Jun. La tête nichée sur son bras elle relève le visage vers elle et caresse sa joue. Quand il parle elle peut sentir son souffle sur elle et jamais elle ne s’est rendu compte à quel point c’était chaud. Elle aimerait qu’il continue de parler pour qu’elle puisse sentir sa chaleur encore un peu … elle ancre son regard au sien en glissant le bout de ses doigts sur les lèvres pleines de l’étudiant. « Et quand je fais ça … tu ressens quoi ? » murmure-t-elle. Elle se rapproche de lui, nouant ses jambes aux siennes pour une certaine familiarité. Elle se rapproche encore, assez pour que leur deux corps soient collés et que son souffle soit proche du sien. Sa main libre vient se glisser dans la nuque du garçon pour le griffer doucement et l’attirer un peu plus de son visage. « Moi j’ai pas peur » murmure-t-elle tout bas en écho à leur discussion. Moi quand je te vois je n’ai pas peur. L’innocence de son regard et la douceur de ses gestes trahissaient le bien être dans lequel elle glissait doucement. Oh bien sûr elle avait toujours le cœur brisé et cette haine dans le creux du ventre, mais il n’en restait pas moins qu’aidée par l’alcool et la douceur du garçon, elle s’éloignait de sa tristesse et de la peine qu’elle trainait depuis des années, pour juste se sentir bien. Ses doigts délicats parcours la peau du jeune homme persuadée qu’elle pourra lui faire … du bien.
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Feat Miso
Tenue ♡ C’était presque irréel ce qu’il pouvait lui expliquer, elle avait même du mal à comprendre qu’il puisse être incapable de ressentir ce genre d’émotion. Pendant une seconde elle s’était même surprise à l’envier. Elle aurait aimé, elle aussi, ne pas avoir à sentir la peur, la jalousie, la colère … mais elle réalisait aussi que c’était tout ça qui la rendait humaine. Que sans cette … partie d’elle si féroce elle n’aurait pas pu être ce qu’elle était aujourd’hui. Elle savait Miso qu’elle était faible, qu’à cet instant elle devait sembler bien pathétique et misérable mais dans le fond … elle savait aussi qu’elle avait la chance de pouvoir ressentir le bonheur, la joie … qu’elle pouvait rire et être heureuse. Parce qu’elle l’avait été un jour et qu’elle n’avait jamais oublié ce sentiment, cette chaleur … alors dans le fond elle se sentait désolée pour Seo Jun ne pas pouvoir ressentir ces émotions. Elle glisse sa main sur la sienne pour en capturer la chaleur. C’était bien étrange, pour son esprit fatigué et embrouillé, de l’imaginer insensible. Bêtement Miso se met en tête qu’elle pourrait changer ça, que sa maladie n’est qu’une façade, une barrière pour se protéger, parce que pour la jeune fille c’est impensable de rester … vide, sans émotion forte, sans émotion tout courte. Elle l’écoute sagement, elle tentait malgré l’alcool de retenir sa réponse, de la comprendre, bien que tout soit confus, elle s’accroche à ces mots qu’elle comprend. Elle baisse les yeux à sa question. Les gens ? Elle fronce légèrement les sourcils, témoignant de l’intense réflexion dans laquelle elle se plonge pour répondre à sa question avec autant de sérieux qu’il lui a répondu. Mais la vérité elle l’a connait déjà. « Je suis morte de peur. » avoue-t-elle. Parce que chaque nouvelle personne qu’elle rencontre, qui la remarque, qu’elle ne peut fuir, est une personne qui risque de la renvoyer d’où elle vient. De briser un peu plus sa vie. Alors oui, elle est morte de trouille. Mais elle sait aussi qu’elle peut se cacher derrière ses amis, comme elle peut se reposer sur Seo Jun. La tête nichée sur son bras elle relève le visage vers elle et caresse sa joue. Quand il parle elle peut sentir son souffle sur elle et jamais elle ne s’est rendu compte à quel point c’était chaud. Elle aimerait qu’il continue de parler pour qu’elle puisse sentir sa chaleur encore un peu … elle ancre son regard au sien en glissant le bout de ses doigts sur les lèvres pleines de l’étudiant. « Et quand je fais ça … tu ressens quoi ? » murmure-t-elle. Elle se rapproche de lui, nouant ses jambes aux siennes pour une certaine familiarité. Elle se rapproche encore, assez pour que leur deux corps soient collés et que son souffle soit proche du sien. Sa main libre vient se glisser dans la nuque du garçon pour le griffer doucement et l’attirer un peu plus de son visage. « Moi j’ai pas peur » murmure-t-elle tout bas en écho à leur discussion. Moi quand je te vois je n’ai pas peur. L’innocence de son regard et la douceur de ses gestes trahissaient le bien être dans lequel elle glissait doucement. Oh bien sûr elle avait toujours le cœur brisé et cette haine dans le creux du ventre, mais il n’en restait pas moins qu’aidée par l’alcool et la douceur du garçon, elle s’éloignait de sa tristesse et de la peine qu’elle trainait depuis des années, pour juste se sentir bien. Ses doigts délicats parcours la peau du jeune homme persuadée qu’elle pourra lui faire … du bien. Invité
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Re: in the still of the night ft miso | Sam 20 Mai - 19:28
Tenue ♡ Il n’avait guère conscience de l’anormalité de sa condition. il s’était souvent remis en questions, essayant de comprendre pourquoi ce qui semblait normal pour son entourage ne l’était guère pour lui. Il lui avait fallu des années avant de ne se décider à consulter, avant de n’admettre que quelque chose clochait chez lui. Cela ne rendait guère sa vie complexe; ne guère être jaloux, ne guère pleurer ou ne guère se brusquer à la moindre parole de travers lui semblait être des avantages plutôt que des désavantages. Néanmoins son entourage ne le vivait pas aussi bien que lui. Son manque d’empathie était pesant, l’attitude qu’il adoptait face à la souffrance d’autrui, frustrante et ses paroles bien trop fréquemment dur. Il en avait conscience, c’est d’ailleurs pour cela qu’il se donnait autant de mal à feindre des réactions et des expressions qui n’étaient guère siennes mais qui avait l’utilité d’apaiser autrui. Quand bien même ces réactions étaient fréquemment superficielles cela lui évitait bien des maux ; et en soit il ne perdait pas grand chose, cela lui évitait les engueulades et les pleurs qui n’avaient généralement pour seul et unique effet de l’agacer. Parce qu’il y avait bien une émotion qu’il réussissait à naturellement éprouver, l’agacement.
La jeune femme logée contre lui, il inspire délicatement. Elle semble s’être calmée et les larmes ont cessés de couler sur son visage, une aubaine pour ce jeune homme qui n’aurait su que faire de plus pour qu’elle se reprenne en main. Elle avait peur et en soit, il réussissait en quelque sorte à la comprendre. Il ne pouvait pas attendre d’autrui d’entreprendre la vie comme il le faisait, ce qu’elle éprouvait lui était propre et c’est avec objectivité qu’il arrivait à compatir pour sa jeune amie. Ce qu’elle avait vécu n’était aucunement simple et sa vie ne le serait probablement jamais. Silencieux, il écarquille les yeux lorsqu’elle relève son visage vers lui, caressait ses lèvres du bout des doigts, une expression quelque peu fasciné sur le visage de la jeune femme, une expression à laquelle il n’est guère familier. Elle le questionne sur ce qu’il ressent et il en reste bouche bée, quelque peu décontenancé par son soudain changement d’attitude. Ses jambes qui se glissent autour des siennes et son corps qui vient se coller au sien le rende perplexe. Que voulait-elle ? Seojun n’avait jamais été bien doué pour percevoir les motifs qui se cachaient derrière les actions d’autrui, tout ce qu’il savait c’est qu’elle regretterait sans aucun doute ses gestes une fois l’alcool évaporé. « ce n’est pas parce que je ne ressens pas certaines émotions que cela fait de moi un asexué miso. je suis un homme, entier. donc ce que je ressens là n’a rien de très raisonnable. Et ça, c’est surement la pire idée de la soirée. » la prenant par les épaules, il la repousse légèrement de sorte à ce que son corps ne soit plus collé au sien. Miso lui avait toujours plu ; en dehors du simple fait qu’il s’agissait de son amie, il s’agissait aussi d’une très belle jeune femme que la nature avait su gâter. Il aurait donc était hypocrite de dire que le contact de son corps contre le sien ne lui faisait aucun effet. « tu devrais faire plus attention miso. t’imagines pas le nombre de gars qui aimerait être à ma place maintenant tout de suite et qui ne chercherait guère à se contrôler. Tête de linotte va. » il fait mine de lui voler son nez tout en plissant les sourcils dans une expression qui se veut faussement réprimandante. Sex deepens love and love deepens sex, so physical intimacy transforms everything and playing with it is playing with fire.
in the still of the night
Feat Miso
Tenue ♡ Il n’avait guère conscience de l’anormalité de sa condition. il s’était souvent remis en questions, essayant de comprendre pourquoi ce qui semblait normal pour son entourage ne l’était guère pour lui. Il lui avait fallu des années avant de ne se décider à consulter, avant de n’admettre que quelque chose clochait chez lui. Cela ne rendait guère sa vie complexe; ne guère être jaloux, ne guère pleurer ou ne guère se brusquer à la moindre parole de travers lui semblait être des avantages plutôt que des désavantages. Néanmoins son entourage ne le vivait pas aussi bien que lui. Son manque d’empathie était pesant, l’attitude qu’il adoptait face à la souffrance d’autrui, frustrante et ses paroles bien trop fréquemment dur. Il en avait conscience, c’est d’ailleurs pour cela qu’il se donnait autant de mal à feindre des réactions et des expressions qui n’étaient guère siennes mais qui avait l’utilité d’apaiser autrui. Quand bien même ces réactions étaient fréquemment superficielles cela lui évitait bien des maux ; et en soit il ne perdait pas grand chose, cela lui évitait les engueulades et les pleurs qui n’avaient généralement pour seul et unique effet de l’agacer. Parce qu’il y avait bien une émotion qu’il réussissait à naturellement éprouver, l’agacement.La jeune femme logée contre lui, il inspire délicatement. Elle semble s’être calmée et les larmes ont cessés de couler sur son visage, une aubaine pour ce jeune homme qui n’aurait su que faire de plus pour qu’elle se reprenne en main. Elle avait peur et en soit, il réussissait en quelque sorte à la comprendre. Il ne pouvait pas attendre d’autrui d’entreprendre la vie comme il le faisait, ce qu’elle éprouvait lui était propre et c’est avec objectivité qu’il arrivait à compatir pour sa jeune amie. Ce qu’elle avait vécu n’était aucunement simple et sa vie ne le serait probablement jamais. Silencieux, il écarquille les yeux lorsqu’elle relève son visage vers lui, caressait ses lèvres du bout des doigts, une expression quelque peu fasciné sur le visage de la jeune femme, une expression à laquelle il n’est guère familier. Elle le questionne sur ce qu’il ressent et il en reste bouche bée, quelque peu décontenancé par son soudain changement d’attitude. Ses jambes qui se glissent autour des siennes et son corps qui vient se coller au sien le rende perplexe. Que voulait-elle ? Seojun n’avait jamais été bien doué pour percevoir les motifs qui se cachaient derrière les actions d’autrui, tout ce qu’il savait c’est qu’elle regretterait sans aucun doute ses gestes une fois l’alcool évaporé. « ce n’est pas parce que je ne ressens pas certaines émotions que cela fait de moi un asexué miso. je suis un homme, entier. donc ce que je ressens là n’a rien de très raisonnable. Et ça, c’est surement la pire idée de la soirée. » la prenant par les épaules, il la repousse légèrement de sorte à ce que son corps ne soit plus collé au sien. Miso lui avait toujours plu ; en dehors du simple fait qu’il s’agissait de son amie, il s’agissait aussi d’une très belle jeune femme que la nature avait su gâter. Il aurait donc était hypocrite de dire que le contact de son corps contre le sien ne lui faisait aucun effet. « tu devrais faire plus attention miso. t’imagines pas le nombre de gars qui aimerait être à ma place maintenant tout de suite et qui ne chercherait guère à se contrôler. Tête de linotte va. » il fait mine de lui voler son nez tout en plissant les sourcils dans une expression qui se veut faussement réprimandante. Sex deepens love and love deepens sex, so physical intimacy transforms everything and playing with it is playing with fire.
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Re: in the still of the night ft miso | Dim 11 Juin - 11:47
Tenue ♡ Miso avait mis ses émotions sur off. Elle tentait d’imiter le garçon pour ne laisser libre cours qu’à la seule émotion quel était capable de ressentir à cet instant. Elle pince ses lèvres, laisse Seo Jun la repousser doucement sans pour autant lui cacher son attirance pour elle. Etait-ce si mal ? Vraiment Seo Jun ? On pourrait juste se faire du bien. Elle n’offusque pas, ne rougit pas, n’en a ni honte, ni peur. Elle laisse l’alcool désinhiber ses envies. Pourquoi n’aurait-elle pas le droit d’être bien juste une nuit elle aussi ? Elle se rapproche de lui sans lui laisser le choix. Elle parait lointaine, comme si elle observait une œuvre d’art. Elle guette ses réactions. Comme une sauvageonne qui ne comprendrait pas les codes des autres humains autour d’elle. Finalement ils sont pareils se rend-t-elle compte. Elle caresse sa joue avant de venir caresser sa lèvre de son pouce. Elle se surprend à vouloir les goûter. Juste une fois ? Pour savoir ce que ça fait … elle se surprend à être curieuse, à ne penser à rien d’autres qu’à ses lèvres et son corps. Elle est timide Miso quand ça concerne le sexe. Disons qu’elle n’a pas l’habitude de vouloir coucher avec un inconnu. Mais Seo Jun n’est pas un inconnu, c’est son ami, et c’est d’autant plus étrange. Elle ne pense pas à l’après. Elle ne pense pas que ça puisse changer leur relation, la gâcher ou la sublimer ? Elle n’est pas encore capable de réfléchir à tout ça … au contraire, elle se sent soudain libre, sereine. C’est ce qu’elle veut, tout du moins pour ce soir. Elle n’a pas envie de se dire qu’elle va regretter. Elle a juste besoin de sentir ses bras autour d’elle. Elle se redresse sur un coude et le pousse doucement en arrière pour l’allonger. « Arrête de réfléchir. » murmure-t-elle. Elle se penche doucement vers lui et supplie presque d’une voix légèrement cassée « T’en as envie Seo Jun et … moi aussi … moi aussi j’en ai envie … je te jure … » dit-elle comme pour le convaincre. Elle se penche doucement vers lui et frôle ses lèvres une première fois. Comme pour le tester. Puis une seconde fois en déglutissant. Elle croise son regard et colle doucement ses lèvres aux siennes. C’est timide, presque doux. Elle se hisse sur lui, l’écrasant de son faible poids en caressant son cou. « Embrasse-moi Seo Jun … » murmure-t-elle tout bas … pour le faire craquer, pour lui donner envie, pour lui faire comprendre qu’il avait le droit … et surtout pour qu’il réalise à quel point là tout de suite elle en avait envie … elle se presse contre lui un peu impatiente et désireuse. « Embrasse-moi ! » sa voix se perd dans un souffle sur les lèvres de Seo Jun. Ils n’auront pas besoin d’aller plus loin que les limites du garçon mais s’il pouvait au moins l’embrasser … ça serait un échappatoire doux et terriblement rassurant pour Miso …
in the still of the night
Feat Miso
Tenue ♡ Miso avait mis ses émotions sur off. Elle tentait d’imiter le garçon pour ne laisser libre cours qu’à la seule émotion quel était capable de ressentir à cet instant. Elle pince ses lèvres, laisse Seo Jun la repousser doucement sans pour autant lui cacher son attirance pour elle. Etait-ce si mal ? Vraiment Seo Jun ? On pourrait juste se faire du bien. Elle n’offusque pas, ne rougit pas, n’en a ni honte, ni peur. Elle laisse l’alcool désinhiber ses envies. Pourquoi n’aurait-elle pas le droit d’être bien juste une nuit elle aussi ? Elle se rapproche de lui sans lui laisser le choix. Elle parait lointaine, comme si elle observait une œuvre d’art. Elle guette ses réactions. Comme une sauvageonne qui ne comprendrait pas les codes des autres humains autour d’elle. Finalement ils sont pareils se rend-t-elle compte. Elle caresse sa joue avant de venir caresser sa lèvre de son pouce. Elle se surprend à vouloir les goûter. Juste une fois ? Pour savoir ce que ça fait … elle se surprend à être curieuse, à ne penser à rien d’autres qu’à ses lèvres et son corps. Elle est timide Miso quand ça concerne le sexe. Disons qu’elle n’a pas l’habitude de vouloir coucher avec un inconnu. Mais Seo Jun n’est pas un inconnu, c’est son ami, et c’est d’autant plus étrange. Elle ne pense pas à l’après. Elle ne pense pas que ça puisse changer leur relation, la gâcher ou la sublimer ? Elle n’est pas encore capable de réfléchir à tout ça … au contraire, elle se sent soudain libre, sereine. C’est ce qu’elle veut, tout du moins pour ce soir. Elle n’a pas envie de se dire qu’elle va regretter. Elle a juste besoin de sentir ses bras autour d’elle. Elle se redresse sur un coude et le pousse doucement en arrière pour l’allonger. « Arrête de réfléchir. » murmure-t-elle. Elle se penche doucement vers lui et supplie presque d’une voix légèrement cassée « T’en as envie Seo Jun et … moi aussi … moi aussi j’en ai envie … je te jure … » dit-elle comme pour le convaincre. Elle se penche doucement vers lui et frôle ses lèvres une première fois. Comme pour le tester. Puis une seconde fois en déglutissant. Elle croise son regard et colle doucement ses lèvres aux siennes. C’est timide, presque doux. Elle se hisse sur lui, l’écrasant de son faible poids en caressant son cou. « Embrasse-moi Seo Jun … » murmure-t-elle tout bas … pour le faire craquer, pour lui donner envie, pour lui faire comprendre qu’il avait le droit … et surtout pour qu’il réalise à quel point là tout de suite elle en avait envie … elle se presse contre lui un peu impatiente et désireuse. « Embrasse-moi ! » sa voix se perd dans un souffle sur les lèvres de Seo Jun. Ils n’auront pas besoin d’aller plus loin que les limites du garçon mais s’il pouvait au moins l’embrasser … ça serait un échappatoire doux et terriblement rassurant pour Miso … Invité
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Re: in the still of the night ft miso | Sam 7 Oct - 21:33
Tenue ♡ Miso lève son regard vers lui en plissant ses yeux en amande. Elle inspire doucement, comme si elle cherchait son souffle, le baiser la laissant pantoise. Miso se fait plus féline, arborant cette expression de chat sauvage qu’elle a toujours eu. Elle a pu sentir le désir de Seo Jun pour elle, son envie et cette passion leur brûler la bouche. Elle sait qu’il a envie d’elle, et c’est bien rare ce plaisir qu’elle donne ainsi. A vrai dire c’est la première fois qu’elle s’offre ainsi à un ami pour un besoin de réconfort … Vont-ils le regretter demain ? Sûrement, ou peut-être pas. Pourquoi regretter ? La vie semble si courte, autant la vivre à l’en dévorer pas vrai ? Elle se glisse sur ses genoux suivant le mouvement que lance le garçon. Mauvaise idée pas vrai ? Elle le voit à son regard qui se voile. Elle passe une main dans les cheveux du garçon et penche sa tête en arrière … « Regarde-moi … » souffle-t-elle en venant caresser sa lèvre basse de son pousse. « Je sais que t’en a envie Seo Jun et que si tu avais réellement voulu me repousser tu ne m’aurais pas dit je devrais mais tu l’aurais simplement fait. » elle esquisse un petit sourire brumeux « Je te connais … » elle l’embrasse à nouveau pour le faire taire. Le faire céder. « J’en ai envie Seo Jun. » souffle-t-elle comme pour lui assurer qu’elle avait conscience de ce qu’elle faisait, de ce qu’ils allaient faire … Elle tire déjà sur le gilet du garçon pour le lui retirer, sa main fine se glissant dans sa nuque et l’attirant à elle pour le décoller du mur. Elle mordille sa peau et se montre plus pressante. Elle ne veut rien brusquer, juste lui prouver qu’elle a envie de lui. Elle se glisse à califourchon sur lui et se redresse légèrement pour faire tomber la serviette qu’elle ouvre délicatement en la faisant tomber sur ses hanches. Elle dévoile son corps nu sans honte et laisse son souffle se perdre sur la bouche du plus vieux. Ses courbes fines mais agréables se reflètent sur la pénombre de la chambre. Elle mordille sa lèvre, tremblant légèrement de froid bien que son corps soit brûlant. Elle passe ses deux mains sur le torse de l’étudiant avant de venir lui retirer son haut … délicatement, en prenant son temps elle vient embrasser ses clavicules, remontant à son cou, sa mâchoire qu’elle dévore et ses lèvres avec un sourire triste mais doux. « Arrête de réfléchir pour une fois … » le taquine-t-elle. N’y a-t-il pas une femme qui plait à Seo Jun ? Une femme qu’il voudrait avoir … une femme qu’il voudrait pouvoir posséder … rien qu’une nuit ils peuvent prétendre, rien qu’une nuit ils peuvent s’étendre, et demain sera bien meilleur. Miso sait ce qu’elle fait, Miso sait ce qu’elle veut, et ce soir l’objet de ses désirs avait les traits de Seo Jun.
in the still of the night
Feat Miso
Tenue ♡ Miso lève son regard vers lui en plissant ses yeux en amande. Elle inspire doucement, comme si elle cherchait son souffle, le baiser la laissant pantoise. Miso se fait plus féline, arborant cette expression de chat sauvage qu’elle a toujours eu. Elle a pu sentir le désir de Seo Jun pour elle, son envie et cette passion leur brûler la bouche. Elle sait qu’il a envie d’elle, et c’est bien rare ce plaisir qu’elle donne ainsi. A vrai dire c’est la première fois qu’elle s’offre ainsi à un ami pour un besoin de réconfort … Vont-ils le regretter demain ? Sûrement, ou peut-être pas. Pourquoi regretter ? La vie semble si courte, autant la vivre à l’en dévorer pas vrai ? Elle se glisse sur ses genoux suivant le mouvement que lance le garçon. Mauvaise idée pas vrai ? Elle le voit à son regard qui se voile. Elle passe une main dans les cheveux du garçon et penche sa tête en arrière … « Regarde-moi … » souffle-t-elle en venant caresser sa lèvre basse de son pousse. « Je sais que t’en a envie Seo Jun et que si tu avais réellement voulu me repousser tu ne m’aurais pas dit je devrais mais tu l’aurais simplement fait. » elle esquisse un petit sourire brumeux « Je te connais … » elle l’embrasse à nouveau pour le faire taire. Le faire céder. « J’en ai envie Seo Jun. » souffle-t-elle comme pour lui assurer qu’elle avait conscience de ce qu’elle faisait, de ce qu’ils allaient faire … Elle tire déjà sur le gilet du garçon pour le lui retirer, sa main fine se glissant dans sa nuque et l’attirant à elle pour le décoller du mur. Elle mordille sa peau et se montre plus pressante. Elle ne veut rien brusquer, juste lui prouver qu’elle a envie de lui. Elle se glisse à califourchon sur lui et se redresse légèrement pour faire tomber la serviette qu’elle ouvre délicatement en la faisant tomber sur ses hanches. Elle dévoile son corps nu sans honte et laisse son souffle se perdre sur la bouche du plus vieux. Ses courbes fines mais agréables se reflètent sur la pénombre de la chambre. Elle mordille sa lèvre, tremblant légèrement de froid bien que son corps soit brûlant. Elle passe ses deux mains sur le torse de l’étudiant avant de venir lui retirer son haut … délicatement, en prenant son temps elle vient embrasser ses clavicules, remontant à son cou, sa mâchoire qu’elle dévore et ses lèvres avec un sourire triste mais doux. « Arrête de réfléchir pour une fois … » le taquine-t-elle. N’y a-t-il pas une femme qui plait à Seo Jun ? Une femme qu’il voudrait avoir … une femme qu’il voudrait pouvoir posséder … rien qu’une nuit ils peuvent prétendre, rien qu’une nuit ils peuvent s’étendre, et demain sera bien meilleur. Miso sait ce qu’elle fait, Miso sait ce qu’elle veut, et ce soir l’objet de ses désirs avait les traits de Seo Jun. Contenu sponsorisé
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