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    :: Défouloir :: 2017

[18] ‹ quand j'leur dis qu'j'suis un batard, c'est d'la prévention ›

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Re: [18] ‹ quand j'leur dis qu'j'suis un batard, c'est d'la prévention › | Lun 6 Fév - 21:55
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Il abusa de sa lèvre avec ses dents alors qu'il la regardait à nouveau se dénudé, observant sa poitrine tendre s'agiter légèrement alors qu'elle retirait le vêtement qui l'emprisonnait. Il se gorgeait de la vue sans dire un mot de plus, gardant sa main valide ancrée sur la chaire ferme de ses hanches, la laissant faire ce qu'elle voudrait, pour une fois, si ça continuait aussi bien que cela avait commencé. Il s'efforça de garder les yeux ouverts, de les cligner le plus rapidement possible pour ne pas perdre une miette du spectacle qui se déroulait sous ses yeux. Il la voyait masser son propre corps, devenant luisant sous l'huile qu'elle y avait appliqué. Elle avait l'air délicieuse, il voulait la dévorer, mais il se doutait qu'elle avait d'autres projets. Et sur ce point, pour une fois, il ne s'était pas trompé. Elle se colla à lui et il laissa échapper un grognement, serrant un peu plus sa main contre sa peau, la glissant plus bas sur une fesse pour la rapprocher encore plus de lui. Il appuya ses lèvres sur la nuque de la jeune femme, léchant ou mordillant la peau pour alterner les effets. Il laissait échapper les bruits de son plaisir, laissant les vagues de chaleur parcourir librement son corps, sachant que toutes se rejoignaient au même endroit : son bas ventre. Elle lui faisait un effet qui lui était presque agaçant, mais bien trop agréable pour protester. S'il avait eu ses deux mains il l'aurait attraper, mais avec une seule il se sentait moins habile. Il pressa une fesse dans sa paume, avant de la quitter pour aller faire voguer ses doigts plus bas, plus près de son sexe, qu'il titilla du bout de l'ongle à travers la lingerie qu'elle portait encore. Il sentait sa queue se gonfler plus, et il mordit sa lèvre à nouveau, lorsque le contact manqua de le faire gémir. C'était trop et à la fois pas assez. Il retira sa main, et, toujours avec le bout de ses ongles, il allait effleurer la taille puis les côtes. Il la redressa ensuite, prenant un sein en main, avant de prendre appui sur son bras pour se redresser. Il avait trop envie de goûter à tout ça, il ne pouvait plus attendre. Il prit un téton en bouche, le mordilla tout en torturant l'autre avec ses doigts, mais il ne voulait pas aller plus loin, il voulait la goûter lorsqu'elle sera vraiment couverte de mets.
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Re: [18] ‹ quand j'leur dis qu'j'suis un batard, c'est d'la prévention › | Lun 6 Fév - 22:08
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C’était presque complice qu’ils se retrouvaient ainsi à se mouvoir l’un contre l’autre. Les mains du garçon cherchaient son contact désespérément il lui semblait et avec un petit sourire amusé elle lui laissait à loisir s’immiscer entre leur deux corps. Ça serait mentir qu’elle ne voulait pas plus avec lui, quand bien même ils venaient de coucher ensemble, mais le jeu de la séduction et du plaisir était un tout autre univers qu’elle adorait explorer quand elle le pouvait. C’était toujours grisant e voir l’effet qu’elle pouvait avoir sur les hommes. Et soudain de prostituée elle passait à poupée habile entre les bras du garçon. Moins vulgaire, plus jolie. Elle était désirée et pas de cette façon primaire et animal. Elle l’était vraiment et c’était ça toute la différence ! Elle se pressait contre lui, faisait mourir des soupirs de bien être contre la peau glissante de Se Yun. Elle souriait sans cacher les sensations qu’il lui procurait. Elle se redressa sous l’impulsion qu’il donna à leur deux corps et tenu sa nuque pour l’aider à approfondir cette gourmandise sur son corps. Dévore-moi autant que tu veux, je suis à toi. Que tout son corps lui criait. Taquine, sans chercher plus, elle ondulait du bassin contre lui pour le maintenir en forme. Elle rit légèrement sous les chatouilles que lui procurent ses dents sur sa poitrine. C’est délicieux mais ça il le sait déjà. Elle l’enlace alors et vient griffer doucement le dos garçon en gémissant sensuellement. Elle avait beau le dominer d’une tête, on ne savait qui des deux dominaient le plaisir de l’autre. Avec une moue de bien-être elle vint lui picorer le lobe de l’oreille en douceur. Léchant et mordillant pour lui arracher quelques frissons. Ils prennent leur temps, oubliant les secondes qui défilent, oubliant leur faim vorace qui cri famine dans le creux de leur bas ventre. La tentation et la frustration semble être des mets bien plus appétissant. Elle rejette la tête en arrière pour lui offrir son cou et souffle en pressant son intimité à nouveau mouillé contre l’érection du garçon sagement gardé sous le tissu du boxer. Puis dans un faible élan de lucidité elle lui demande « Tu voudras que j’aille ouvrir au livreur ? » Nue, s’entends. Certains de ses clients aimaient l’exhiber ainsi. La laisser ouvrir la porte pour que le livreur sache, voit à quel point ce corps tendu de désire était pour un autre homme, une certaine fierté qu’elle avait fini par s’accommoder. Mais elle ne savait pas si Se Yun voulait la garder pour lui, ou si dans le fond il se moquait bien de sa tenue et de ce que penserait le livreur tant qu’il avait sa bouffe. C’est d’ailleurs peu de temps après que les coups retentirent à la porte. C’était pourtant difficile pour Ten de se détacher de lui. esclave de son désir elle fixait le regarde Se Yun en attendant son ordre. Docile et bien éduqué, elle restait une femme qui savait où se trouvait sa place : à califourchon sur son bassin.
 
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Re: [18] ‹ quand j'leur dis qu'j'suis un batard, c'est d'la prévention › | Lun 6 Fév - 23:09
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Et il avait l'impression de la sentir partout sur lui. Il sentait ses dents, il sentait sa bouche, il sentait ses doigts contre sa peau. Il sentait aussi sa chaire, ses courbes et ses recoins intimes sous la paume de sa main. Il avait abusé de son corps par tout les moyens, et continuait à le faire en plantant ses dents dans son cou, y laissant une petite trace qui allait s'estomper dans la minute qui venait. Il ne comprit pas vraiment la question qu'elle lui adressa. N'avait-il pas déjà dis, à peine quelques minutes avant, ce qu'il souhaitait qu'elle fasse ? Il fronça ses sourcils, laissant encore sa bouche et sa main naviguer sur ce corps soumis à lui, et on toqua. Il soupira, ce n'était pas vraiment un bon moment. Il allait le faire attendre, de toute façon, il allait devoir rester devant la porte, il était sûr qu'il voulait bien trop son argent. Il observa le corps de la jeune femme, il observa le sien, et eut une soudaine idée. Peut être en était-ce une bonne, ou peut être une mauvaise, mais qu'importe la réponse, il allait quand même s'y laisser aller. Il attrapa une nouvelle fois les hanches de la jeune femme, et l'appuya vers le bas, et roula ses propres hanches frénétiquement pour que son sexe aille se frotter contre sa chatte, vite, fort, il sentit sa mouille à travers son vêtement. Puis commença un rythme plus lent, mais beaucoup plus appuyé, la faisant parcourir toute la longueur de sa bite avant de lui faire faire le chemin inverse. Il était dur, il avait envie de continuer, d'entrer en elle, de la faire sauter sur ses genoux jusqu'à ce qu'elle lui crie d'en finir, mais il la souleva pour la forcer à se lever. ‹ tu vas ouvrir ? › Il la regarda en levant un sourcil, un sourire malicieux animant les traits de son visage. Il aurait aimé voir la tête du livreur en voyant la femme dans cet état, il était si fier de l'y avoir mis. Mais il s'en empêcha, se levant étrangement à son tour du lit pour attraper son portefeuille dans une de ses poches. Il prit quelques beaux billets - il n'avait même pas pris la peine de regarder les chiffres qu'il y avait dessus - entre ses doigts avant de se diriger vers la porte. Il s'incrusta sur le seuil, passant devant la jeune femme pour récupérer la sainte nourriture, glisser les billets au creux de la main du gars, et de fermer la porte en claquant sans un merci ni un au revoir. Sans même attendre d'être installé, il ouvrit la boite pour en observer le contenu. ‹ enlève ça › dit-il en désignant le dernier vêtement qui séparait encore la jeune femme de la nudité la plus totale. ‹ et va t'allonger confortablement ›
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Re: [18] ‹ quand j'leur dis qu'j'suis un batard, c'est d'la prévention › | Lun 6 Fév - 23:26
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Elle s’apprêtait à se lever, cela faisait déjà quelques minutes que le livreur attendait et même s’il lui importait peu qu’il attende ainsi de façon irrespectueuse, elle pensait à son estomac. Tout fois il fallait admettre que la cruauté du garçon dépassait son imagination et qu’il savait jouer de son corps et de son désir. Elle esquisse un hoquet de surprise avant de suivre les rythmes effrénés que lui impose Se Yun pour la faire davantage mouiller. Quelle torture, elle sait ce qu’il pense et dieu qu’elle le déteste d’agir ainsi. Elle ondule malgré elle en sentant le plaisir monter et planterait presque ses ongles dans la chair du plus jeune avec un gémissement rauque. Pourtant, alors qu’elle s’apprêtait à se donner du plaisir en frottant son intimité trempé contre le sexe du garçon qu’elle devinait parfaitement sous son boxer, il la força à se relever. Elle grogne de protestation et se retient presque à lui pour ne pas quitter son bassin. Elle veut rester contre lui et rester là, à se frotter comme une animale en rut. Elle titube malgré tout jusqu’à la porte, les pommettes rouges et les yeux hagards. Elle ouvre la porte, peu consciente alors de sa nudité et n’esquisse pas un geste sous le regard médusé mais ravi et gêné du livreur. C’est Se Yun qui se charge du reste alors qu’elle se remet à peine de sa frustration. Elle s’oblige même à souffler pour redescendre son humeur et ne pas laisser la colère diriger ses gestes. Puis elle mentirait si elle disait que ce petit jeu ne lui plaisait pas. Elle affiche  un sourire amusé et lentement, très lentement, retire sa culotte qu’elle lui lance au torse avant de grimper sur le lit à quatre patte. Par-dessus son épaule elle lui lance un regard l’air de dire comme ça ? Ou … Comme ça ? Elle se laisse tomber sur le dos en se cambrant, caressant son corps dans une pose aguicheuse qui pourra accueillir les sushis sans soucis. Elle reste alors sagement allongée en le fixant sous ses cils sombres. Elle souffle, impatiente et lui offre son corps comme jamais.
 
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Re: [18] ‹ quand j'leur dis qu'j'suis un batard, c'est d'la prévention › | Mar 7 Fév - 0:29
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Et il la regarda s'éloigner de lui, se déshabiller, lui jetant ensuite le sous-vêtement qu'il rattrapa au vol. Il s'approcha lentement d'elle alors qu'elle tentait différentes pose, la première le faisant grogner, lui donnant des envies folles de la prendre comme ça, sans plus de préparation. Ce fut avec délicatesse qu'il prit un premier sushi entre ses doigts pour le guider jusqu'à sa bouche. Il avait trop faim pour attendre plus, surtout qu'il avait de beaux projets artistiques à executer sur le corps de la jeune femme. Il grimpa sur le lit, caressa le flanc blanc de Ten, puis déposa la boite sur la surface molle. Il prit un premier sushi, et le deposa sous ses seins, au milieu. Il continua ainsi, lentement, recouvrant avec dedication ses seins en premier, dessinant ensuite une ligne au centre de son ventre qui descendait plus bas, où il forma d'autres représentations. Parfois, il glissait un petit sushi dans la bouche de la jeune femme, parce qu'il savait qu'elle avait faim, elle le lui avait dit. Et parfois, il s'en octroyait un, parce qu'il n'arrivait pas à attendre d'avoir finis pour les déguster à même sa peau. Une fois qu'il eut fini, il contempla longuement son oeuvre, se demandant par quoi il allait commencer. Le ventre. Il se baissa, en attrapa un, laissant ses lèvres caresser doucement la peau avant de refermer la bouche pour mâcher. Une fois qu'il eut avalé, il se mit à sourire. ‹ c'est bien meilleur comme ça, dommage que tu ne puisses pas goûter. › Elle lui donnait un bien beau spectacle, comme ça. Soumise, allongée, dans l'incapacité de bouger puisqu'au moindre mouvement elle manquerait de faire tomber un des aliments, et ça serait du gâchis. Et il n'aimait pas ça, le gâchis. Il en attrapa un autre entre ses dents, mais cette fois-ci l'amena jusqu'à la bouche de la jeune femme pour qu'elle puisse se nourrir. Et il s'attarda ensuite sur ses seins, sur ses tétons, laissant ses dents, ses lèvres, ses doigts parfois les effleurer, les cajoler, n'y prêtant pas vraiment attention puisque tout ce qui semblait l'intéressait était la nourriture. Il en prit un entre ses doigts, l'amenant à nouveau jusqu'à la bouche de la jeune femme, pinçant un téton dévoilé avec amusement. Il en laissait souvent plus pour elle que pour lui, n'ayant pas envie qu'elle crie famine. ‹ c'est vraiment amusant. on dit toujours que les japonais sont bizarres, mais parfois, ils ont plutôt des bonnes idées. › Il laissa échapper un petit rire, comme un enfant qui s'amusait bien devant ses nouveaux jouets. Il ne restait plus grand chose encore disposé sur le corps, juste un, posé au niveau de son pubis. Il changea de place, se décalant lentement pour se placer entre les jambes de la brune, lui écartant encore les cuisses pour se placer entre elles. Il allait s'attarder, sur celui là. C'était le dernier, il lui était reservé. Un coup de langue sur son sexe, un doigt qui s'y glissa pour s'amuser avec la chaire qu'il écarta ensuite pour y faire plus de place. Et encore une fois, sa langue retrouva le même bouton sur lequel il aimait tant appuyer. Puis il remonta encore, embrassant bout de peau après bout de peau, pour finir par attraper le sushi entre ses lèvres, et le manger. ‹ est ce que tu en veux plus ? › il ne parlait pas de la nourriture, quelques sushis étaient encore disposés dans la boite, et il se fit bien comprendre en laissant son doigt faire quelques allés retour sur sa chatte.
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Re: [18] ‹ quand j'leur dis qu'j'suis un batard, c'est d'la prévention › | Mar 7 Fév - 14:32
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Elle entrouvrait  les lèvres pour accueillir le Sushi et se surprenait à retenir son souffle pour rester aussi immobile que possible ; jamais un homme avec un fait aussi simple n’avait réussi à la dominer ainsi. Elle était totalement à sa merci. Dans le fond, elle aimait ça, ce petit jeu qui la plaçait si bas que terre et qui pourtant faisait d’elle la pièce maitresse. Elle était la reine d’un jeu d’échec. Qu’on n’utilisait que très peu, mais qui avait toute son importance, pas comme le roi qui pouvait mourir sans qu’on s’en soucie. Elle l’observait se délecter de ses sushis avec un sourire qui ourlait ses lèvres d’impatience. Elle mordillait sa bouche rosie et se tendait vers lui par spasmes quand ses jeux taquins étaient soudain trop pour elle. Mais dieux que c’était bon … elle ne pouvait s’en cacher sous les soupires qui perlaient sur ses lèvres. Elle lâche quelques petits rires gênées et serre le drap soyeux entre ses mains pour contenir ses émotions. La façon qu’il avait de jouer avec son corps dévoilait une nouvelle facette de sa personnalité. Plus … Doux, plus taquin aussi … Elle se saisit de ce sushi qu’il tenait entre ses dents en plongeant son regard dans le sien. Encore plus intime. Encore plus proche. Cette lente torture n’est supportable que grâce à la nourriture qu’il lui donne. Comme s’il n’oubliait pas de la choyer. Cette délicate attention ne faisait qu’attiser son plaisir. Accepter la soumission pour mieux savourer  son plaisir, c’était là toute l’attention qu’elle lui portait. Soufflant un  gémissant d’impatience quand elle peut enfin redresser le haut de son corps, elle fixe Se Yun se prendre entre ses cuisses et dévorer son intimité comme il dévorait ce sushi. C’était presque encore plus jouissif de savoir qu’il avait déjà couché ensemble et qu’il dévorait à cet instant le jus de son désir. Elle lâche un gémissement plus rauque sous les baisers qui remonte jusqu’à ce Sushi et à la sensation de ses doigts en elle, elle doit se retenir de ne pas lui sauter dessus comme la féline qu’elle se retenait d’être. « Oui ! » lâcha-t-elle comme une évidence, offusquée. Evidemment que oui ! Et c’était d’ailleurs en tendant son bassin davantage vers lui qu’elle lui fit comprendre. Elle se redresse même sans son accord et vient se placer à genoux devant lui. Ainsi placée à la même hauteur que son bourreau, elle reprend contenance et ses envies prennent le dessus. Elle plonge sa main sans attendre dans le boxer du garçon et se saisie de son érection qui lui parait si dur entre ses doigts pour le masser de va et vient sensuels et tortueux. Elle lui attrape la nuque et vient attraper sa lèvre inférieure entre ses dents. Lentement elle recule sa tête sans quitter cette lèvre qu’elle mordille avec fièvre. Ça n’a rien d’un baiser, mais les frissons qui s’en résultent ne font qu’attiser leur désir. « Tu ne vas pas te contenter du missionnaire cette fois, pas vrai ? » Le provoque-t-elle sans moquerie, soufflant ses mots comme une supplique que la chienne qu’elle était retenait depuis trop longtemps.
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Re: [18] ‹ quand j'leur dis qu'j'suis un batard, c'est d'la prévention › | Mar 7 Fév - 15:06
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Comme un enfant, il aimait jouer. Mais ses jeux à lui étaient ceux des grands. On aurait cru qu'en grandissant, les adultes arrêtent de s'amuser autant, mais ceux qui disent ça sont aussi ceux qui ne baisent pas suffisamment. Parce que la situation dans laquelle il était l'éclatait totalement. C'était peut être une histoire de dominance, de la voir se laisser autant faire, ou peut être simplement qu'il aimait manipuler les chaires, il ne savait pas. Il laissa échapper un rire léger lorsqu'il l'entendit dire oui, mais pourtant n'esquissa aucun geste pour approfondir les choses. Il la laisserait venir à lui. Et cela ne fut pas bien long avant qu'elle ne se redresse, et, que quelques secondes après, elle s'emparre de son membre. Un gémissement teinté de surprise s'échappa de sa gorge, et il ne pu contrôler un léger mouvement de son bassin. Des soupirs et des râles s'enchaînèrent, et il glissa une main sur la nuque de la jeune femme, la serrant un peu, lorsqu'elle prit entre ses dents une de ses lèvres. Il haussa un sourcil amusé à la question de la jeune femme. ‹ pourquoi, ça t'a pas plu ? › Ce n'était pas une question qui attendait réponse, simplement une remarque pour lui rappeler l'orgasme qu'elle avait eu juste avant grâce à cette pose. Il la fit se retourner, l'installant dos à lui sur ses genoux, glissant sa queue contre ses fesses, entre ses fesses, et laissa la jeune femme se reposer dessus. Il déposa ses lèvres sur une épaule, dans un cou, pour attraper un lobe d'oreille entre ses dents. ‹ tu préfère peut être que je te prenne à quatre patte, comme une chienne ? › lui susurra-t-il au creux de l'oreille. Il glissa ensuite sa main sur son corps. S'il avait eu les deux à disponibilité, il l'aurait empoigné depuis longtemps pour lui imposer la position, mais ce n'était pas le cas. Il la glissa tout doucement vers l'avant, la reposant quelques instants sur son ventre plat avant de descendre pour lui masser simplement son sexe, faisant des petits mouvement circulaire. Et il l'enleva, la glissant dans le dos de la jeune femme pour la replacer ensuite près de sa chatte. ‹ baise toi sur mes doigts › Il lui souffla.
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Re: [18] ‹ quand j'leur dis qu'j'suis un batard, c'est d'la prévention › | Mar 7 Fév - 20:36
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Re: [18] ‹ quand j'leur dis qu'j'suis un batard, c'est d'la prévention › | Mer 8 Fév - 20:45
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Re: [18] ‹ quand j'leur dis qu'j'suis un batard, c'est d'la prévention › | Sam 11 Fév - 15:00
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Re: [18] ‹ quand j'leur dis qu'j'suis un batard, c'est d'la prévention › | 
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