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1, 2, 3, 4don't you worry your pretty little mind ☾ ft. hong seol
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Re: don't you worry your pretty little mind ☾ ft. hong seol | Lun 9 Oct - 19:03
Je grogne légèrement quand elle appuie sur le plat de ma tête comme si j’étais une petite chose. Elle ne doit le comprendre à mon expression un peu hérissée que je n’aime pas trop me voir infantiliser même si l’habitude fait qu’avec mes joues toutes rondes, on me les pince plus souvent que de raison. Mais c’est Seol et pour cette raison je ne dirais rien qui pourrait la froisser. Elle est si gentille avec moi, sans doute qu’un peu d’alcool aide à mon jugement hâtif et intarissable en compliments. Mais je l’ai toujours trouvée très énigmatique et apprendre à la connaître me rend vraiment toute joyeuse.
Deux barquettes de poulet emballées et nos quelques bières jetées en pagaille dans le fond du sac pour agrémenter notre fringale nocturne, je ne sais même plus quelle heure il est lorsque nous rejoignons l’appartement de Seol. Tout est si propre et immaculé et bien rangé. C’est presque comme si personne n’habitait vraiment ici, quoi que je ne doute pas qu’elle vive entre ces murs dû à quelques effets personnels disséminés entre ici et là.
C’est juste très pur et très sobre. Vraiment chic et de bon goût. Je ne m’attendais à rien d’autre de la part de Seol et connaissant un peu Won Ho. Toutefois une question me brûle les lèvres « oh ! comment est-ce que tu savais que c’était exactement ce à quoi je pensais ? » J’ouvre de grands yeux. L’alcool aidant, je ne sais pas pourquoi je me bouche les oreilles à sa réponse. Comme si j’avais peur qu’en ne prenant pas mes précautions, mes questions fuitent par mes tympans et qu’elle puisse alors les entendre sans même que je les formule. Ça fait peur, un peu.
Néanmoins je comprends mieux le manque de photos d’eux dans le grand salon. Et je ne cherche pas plus loin, vu qu’elle semble vouloir éluder le sujet et moi, j’ai tout sauf envie de mettre mal à l’aise mon hôte. Je pense à manger, à vrai dire… le poulet frit sent si bon que j’en viens à saliver d’avance.
Jusqu’à ce qu’elle ne me propose un tour du propriétaire. Ah ! j’avoue qu’entre la faim et la curiosité, je suis tiraillée. J’irais bien visiter chacune des pièces un poulet dans une main, une bière dans l’autre mais vraiment, ce n’est pas une bonne idée. C’est une idée qui me vient minuit passé, un peu ivre et qui est tout sauf polie. « Ne dis pas que tu es une mauvaise hôte ! J’ai très envie de visiter l’appartement. » Il est à l’image de l’entrée : dans un design soft et épuré. Un peu froid sans doute parce que c’est la nuit. Mais avec un petit peu de vie en plus, j’adorerais vivre dans ce genre d’appartement plus tard… c’est vraiment beau. Je lui en fais la remarque à de nombreuses reprises d’ailleurs. Et je ne sais pas ce qu’il m’arrive, de m’amuser avec un interrupteur que j’allume et que j’éteins comme si c’était un jeu amusant alors qu’en fait… non. Je suis irrécupérable quand j’ai bu. Tout est prétexte à jouer.
« HAAAAA ! chimaek c’est ce qu’il y a de mieux, pas vrai ? » De retour au salon, j’ouvre les boîtes en grand et tire sur les languettes de deux canettes de bière dont le bruit de la mousse qui crépite me rend toute euphorique. « Allez, buvons ! » Je trinque ma bière contre la sienne et zioup ! emballé c’est pesé, j’en bois une grande lampée. Je marque une pause et puis, je me fais une réflexion. « Jungmin me manque vraiment. Lui, il tenait l’alcool encore moins bien que moi… il était marrant, ses joues devenaient toutes rouges dès qu’il buvait un peu ! » Je rigole doucement mais sans vraiment penser aux conséquences de ce que je dis et alors, sans être triste contrairement à tout à l’heure. « T’en fais pas ! Je ne vais pas me remettre à pleurer, hm ?! Ah… c’est embarrassant… tu ne le diras pas aux autres, hein ?! »
Don't you worry your pretty little mind
seol ♡ miran
Je grogne légèrement quand elle appuie sur le plat de ma tête comme si j’étais une petite chose. Elle ne doit le comprendre à mon expression un peu hérissée que je n’aime pas trop me voir infantiliser même si l’habitude fait qu’avec mes joues toutes rondes, on me les pince plus souvent que de raison. Mais c’est Seol et pour cette raison je ne dirais rien qui pourrait la froisser. Elle est si gentille avec moi, sans doute qu’un peu d’alcool aide à mon jugement hâtif et intarissable en compliments. Mais je l’ai toujours trouvée très énigmatique et apprendre à la connaître me rend vraiment toute joyeuse.Deux barquettes de poulet emballées et nos quelques bières jetées en pagaille dans le fond du sac pour agrémenter notre fringale nocturne, je ne sais même plus quelle heure il est lorsque nous rejoignons l’appartement de Seol. Tout est si propre et immaculé et bien rangé. C’est presque comme si personne n’habitait vraiment ici, quoi que je ne doute pas qu’elle vive entre ces murs dû à quelques effets personnels disséminés entre ici et là.
C’est juste très pur et très sobre. Vraiment chic et de bon goût. Je ne m’attendais à rien d’autre de la part de Seol et connaissant un peu Won Ho. Toutefois une question me brûle les lèvres « oh ! comment est-ce que tu savais que c’était exactement ce à quoi je pensais ? » J’ouvre de grands yeux. L’alcool aidant, je ne sais pas pourquoi je me bouche les oreilles à sa réponse. Comme si j’avais peur qu’en ne prenant pas mes précautions, mes questions fuitent par mes tympans et qu’elle puisse alors les entendre sans même que je les formule. Ça fait peur, un peu.
Néanmoins je comprends mieux le manque de photos d’eux dans le grand salon. Et je ne cherche pas plus loin, vu qu’elle semble vouloir éluder le sujet et moi, j’ai tout sauf envie de mettre mal à l’aise mon hôte. Je pense à manger, à vrai dire… le poulet frit sent si bon que j’en viens à saliver d’avance.
Jusqu’à ce qu’elle ne me propose un tour du propriétaire. Ah ! j’avoue qu’entre la faim et la curiosité, je suis tiraillée. J’irais bien visiter chacune des pièces un poulet dans une main, une bière dans l’autre mais vraiment, ce n’est pas une bonne idée. C’est une idée qui me vient minuit passé, un peu ivre et qui est tout sauf polie. « Ne dis pas que tu es une mauvaise hôte ! J’ai très envie de visiter l’appartement. » Il est à l’image de l’entrée : dans un design soft et épuré. Un peu froid sans doute parce que c’est la nuit. Mais avec un petit peu de vie en plus, j’adorerais vivre dans ce genre d’appartement plus tard… c’est vraiment beau. Je lui en fais la remarque à de nombreuses reprises d’ailleurs. Et je ne sais pas ce qu’il m’arrive, de m’amuser avec un interrupteur que j’allume et que j’éteins comme si c’était un jeu amusant alors qu’en fait… non. Je suis irrécupérable quand j’ai bu. Tout est prétexte à jouer.
« HAAAAA ! chimaek c’est ce qu’il y a de mieux, pas vrai ? » De retour au salon, j’ouvre les boîtes en grand et tire sur les languettes de deux canettes de bière dont le bruit de la mousse qui crépite me rend toute euphorique. « Allez, buvons ! » Je trinque ma bière contre la sienne et zioup ! emballé c’est pesé, j’en bois une grande lampée. Je marque une pause et puis, je me fais une réflexion. « Jungmin me manque vraiment. Lui, il tenait l’alcool encore moins bien que moi… il était marrant, ses joues devenaient toutes rouges dès qu’il buvait un peu ! » Je rigole doucement mais sans vraiment penser aux conséquences de ce que je dis et alors, sans être triste contrairement à tout à l’heure. « T’en fais pas ! Je ne vais pas me remettre à pleurer, hm ?! Ah… c’est embarrassant… tu ne le diras pas aux autres, hein ?! »
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Re: don't you worry your pretty little mind ☾ ft. hong seol | Mar 10 Oct - 19:47 
Arrivées chez moi je souris légèrement lorsque Mi Ran me demande comment j’ai devancé sa question. Ce n’est pas bien compliqué, j’ai simplement l’habitude qu’on me fasse cette remarque alors forcément je la prévois avant même qu’elle soit posée. Bien sûr je ne dis jamais la vérité, ne préférant pas nuire aux représentations faites sur notre soi-disant couple. « Et bien . . . disons juste que plusieurs personnes avant toi me l’ont posé alors j’ai supposé que tu allais me la poser aussi » dis-je en regardant les murs vides d’une quelconque photo. J’aimerai pourtant en avoir mais de mon futur véritable mari et pas qu’un supposé mari. Moi qui rêvais d’orner mes murs de magnifiques photos de mariage, ressentant un certain bonheur chaque fois que je les aurai regardées mais finalement ce n’est pas le cas, du moins pas encore. Le sujet des photos ne s’attarde, fort heureusement, pas, passant alors à la visite des lieux, avant même de pouvoir goûter aux saveurs de notre repas. En tant qu’hôte je me dois d’être respectable et donc lui faire un tour de la propriété, petite soit-elle. Je rigole en la voyant s’amuser avec les lumières, rendant les pièces plus impressionnantes, « contente que ça te plaise et sache que si parfois tu veux venir ici, pour dormir, il n’y a aucun souci. Je sais que normalement tu n’en as pas le droit mais personne ne saura, je te rassure ». Ou du moins je l’espère et puis ça me ferait de la compagnie. Vient enfin l’heure de se ruer sur la nourriture, l’odeur du poulets frits remplissant mes narines, me rendant joyeuse. Je me sens déjà transcendée par le goût du poulet sans même avoir pris une seule bouchée. Je crois bien que c’est ma plus grande faiblesse et même en tant que personne raffinée je ne peux qu’apprécier quelques bons morceaux de poulets frits. « T’as raison, le poulet et la bière, c’est tout un mythe » dis-je en tendant ma canette vers elle, trinquant à notre santé. Je bois quelques gorgées et pousse un long soupir alors qu’elle évoque de nouveau son ex petit-ami, précisant alors qu’il tenait mieux qu’elle l’alcool et qu’il était particulièrement mignon. Je l’envie tellement d’avoir connu cet innocent amour et même s’il a eu une tournure bien triste il reste quand même beau et marquant. « Ne t’en fais pas Mi Ran je ne vais pas le crier sur tous les toits que tu as, toi aussi, quelques faiblesses. Tu as le droit de pleurer et même encore si tu le souhaites. C’est dur de perdre l’homme qu’on aimait. Je le sais », Je lui tends un morceau de poulet un grand sourire aux lèvres, « mais les peines d’amour ça se soigne, ne t’en fais pas. Tu en retrouveras un rapidement et le temps d’en trouver un autre, tu as la nourriture pour t’accompagner, c’est ton meilleur allié ». J’en enfile un aussi, le mâchant à pleine bouche, heureuse d’avoir la nourriture comme réconfort.
Arrivées chez moi je souris légèrement lorsque Mi Ran me demande comment j’ai devancé sa question. Ce n’est pas bien compliqué, j’ai simplement l’habitude qu’on me fasse cette remarque alors forcément je la prévois avant même qu’elle soit posée. Bien sûr je ne dis jamais la vérité, ne préférant pas nuire aux représentations faites sur notre soi-disant couple. « Et bien . . . disons juste que plusieurs personnes avant toi me l’ont posé alors j’ai supposé que tu allais me la poser aussi » dis-je en regardant les murs vides d’une quelconque photo. J’aimerai pourtant en avoir mais de mon futur véritable mari et pas qu’un supposé mari. Moi qui rêvais d’orner mes murs de magnifiques photos de mariage, ressentant un certain bonheur chaque fois que je les aurai regardées mais finalement ce n’est pas le cas, du moins pas encore. Le sujet des photos ne s’attarde, fort heureusement, pas, passant alors à la visite des lieux, avant même de pouvoir goûter aux saveurs de notre repas. En tant qu’hôte je me dois d’être respectable et donc lui faire un tour de la propriété, petite soit-elle. Je rigole en la voyant s’amuser avec les lumières, rendant les pièces plus impressionnantes, « contente que ça te plaise et sache que si parfois tu veux venir ici, pour dormir, il n’y a aucun souci. Je sais que normalement tu n’en as pas le droit mais personne ne saura, je te rassure ». Ou du moins je l’espère et puis ça me ferait de la compagnie. Vient enfin l’heure de se ruer sur la nourriture, l’odeur du poulets frits remplissant mes narines, me rendant joyeuse. Je me sens déjà transcendée par le goût du poulet sans même avoir pris une seule bouchée. Je crois bien que c’est ma plus grande faiblesse et même en tant que personne raffinée je ne peux qu’apprécier quelques bons morceaux de poulets frits. « T’as raison, le poulet et la bière, c’est tout un mythe » dis-je en tendant ma canette vers elle, trinquant à notre santé. Je bois quelques gorgées et pousse un long soupir alors qu’elle évoque de nouveau son ex petit-ami, précisant alors qu’il tenait mieux qu’elle l’alcool et qu’il était particulièrement mignon. Je l’envie tellement d’avoir connu cet innocent amour et même s’il a eu une tournure bien triste il reste quand même beau et marquant. « Ne t’en fais pas Mi Ran je ne vais pas le crier sur tous les toits que tu as, toi aussi, quelques faiblesses. Tu as le droit de pleurer et même encore si tu le souhaites. C’est dur de perdre l’homme qu’on aimait. Je le sais », Je lui tends un morceau de poulet un grand sourire aux lèvres, « mais les peines d’amour ça se soigne, ne t’en fais pas. Tu en retrouveras un rapidement et le temps d’en trouver un autre, tu as la nourriture pour t’accompagner, c’est ton meilleur allié ». J’en enfile un aussi, le mâchant à pleine bouche, heureuse d’avoir la nourriture comme réconfort. made by neon demon
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