Young Justin - I solemny swear that I am up to no good
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Young Justin - I solemny swear that I am up to no good | Sam 12 Aoû - 21:06 Citer EditerSupprimer
nom : Young. prénom : Justin. âge : 26 ans. date et lieu de naissance : le 23 janvier 1991, à Boston (MA). origines : américaines et coréennes. nationalité : américain. cursus universitaire : droit (M2). métier : joueur de baseball chez les Doosan Bears. orientation sexuelle : bisexuel. classe sociale : aisée. code du règlement : ok par fluttershy tu veux t'investir ? oui. Justin est le champion quand il s'agit de s'investir. Il est plus habitué à sa fraternité américaine dont il a pu maintenir l'honneur en gagnant un championnat inter-universités de BeerPong... Mais peu importe le genre de la fraternité. Ce qu'il veut au fond, c'est faire partie d'un groupe, et s'inverstir pour les autres.
Young Justin
S'inquiéter c'est souffrir deux fois
AMBITIEUX (★★★★✰) | POSSESSIF (★★✰✰✰) | ENERGIQUE (★★★✰✰) | PRETENTIEUX (★✰✰✰✰) | LEADER (★★★★★) |
IRRESPONSABLE (★★★★✰) | SPONTANE (★★★★★) | SARCASTIQUE (★★✰✰✰) | HONNETE (★★✰✰✰) | DISTRAIT (★★★★✰) |
Rumour has it... Il collectionnerait les trophées, aussi bien sur le terrain qu'au lit. Cela fait peut-être de lui un tombeur, mais ça lui vaut aussi la réputation d'être un danger public en matière de MST. La rumeur voudrait qu'il en ai une différente chaque mois. Survole l'avatar, petit coquin. | My character « Justin, il a toujours débordé d'énergie. Peut-être un peu trop. Il a du manquer de me casser le bras deux ou trois fois ne serait-ce que l'année où on s'est rencontrés. On rentrait tout juste à l'école, on était des mômes. Ca a tout de suite marché entre nous. J'étais trop heureux d'être le meilleur copain du fils de Young, ça en jetait, et il avait plein de truc trop cools dédicacés chez lui, de pleins de joueurs différents. Et puis son père me filait des trucs quand j'allais dormir chez lui. Mais au bout de deux ans, j'en avais plus rien à faire de son père, c'était Justin qui m'intéressait le plus. Il est cool Justin, il manque jamais de m'envoyer de ses nouvelles et de demander des miennes. On se voit plus trop, mais il est toujours dispo quand ya besoin. Alors oui, son boulot reste prioritaire, mais en même temps, avec une carrière comme ça, on ne peut pas vraiment lui en tenir rigueur. » Jonah, 26 ans, ami d'enfance « Il jouait bien, Justin, c'était lui qui supportait l'équipe à l'époque. Il joue toujours bien, d'ailleurs. J'ai jamais rien eu contre lui, mais le courant n'est jamais trop passé entre nous. Il faut dire que le courant ne passait pas avec grand monde pour moi à l'époque. J'était un des rares gays du coin, et encore plus rare : je m'assumais. Justin ne faisait pas partie des idiots qui m'emmerdaient pour ça, ou des idiots qui ne faisaient rien du peur que je déteigne sur leur virilité. Il avait son petit côté Superman qui veut défendre la veuve et l'orphelin. Et les gens évitaient généralement de lui tenir tête. Les rares discussions que j'ai eu avec lui, il me tanait pour savoir pourquoi je m'assumais. Il ne comprenait pas parce que selon lui, c'était pas possible d'être gay et d'être un joueur pro. Je suppose que c'était ce que son père lui avait mis dans le crâne. Moi, je m'en foutais un peu, je jouais juste parce que le baseball ça me plaisait, j'avais pas une carrière comme la sienne de prévue. » Alex, 27 ans, ancien coéquipier de l'équipe de baseball du lycée « Avec Justin, tu sais généralement à quoi t'attendre. Mais il nous a quand même tous bien eu à nous lâcher pour la Corée avec sa blonde, là. Et reprendre des études avec ça? N'allez pas croire que je veuille dire du mal de lui, mais je le connais Justin, et il est stupide des fois. Adorable, certes, mais il ne brille pas par sa vivacité d'esprit. Son poste chez les Doosan Bears, c'est la chance de sa vie, certes, mais avec des études de droit en bonus, je vois vraiment pas comment il pourrait s'en sortir. Je le lui ai dit, il a eu l'air terrifié, du coup j'ai plus jamais abordé le sujet. Inutile de lui faire plus peur que nécessaire après tout, je pense qu'il n'a juste pas réfléchi. Comme d'habitude. » Kate, 24 ans, amie |
This is my story
The risk I took was calculated
but damn I am bad at maths
but damn I am bad at maths
Des fois, il n'avait vraiment pas l'impression de faire les choix importants dans sa vie. Il avait l'impression de se laisser porter par le courant, de se laisser faire, et de voir où ça le menait. Il n'était pourtant pas du genre à manquer de tempéramment. Il n'était pas un gosse tellement difficile, mais son premier mot avait définitivement été "non". Et il s'était fait plaisir à le répéter souvent. Mais en grandissant (et en apprenant d'autres mots), il avait commencé à se plier aux volontés des autres autour de lui. Peut-être parce qu'il se savait incapable de prendre une décision sage et réfléchie. Peut-être parce qu'il se connaissait suffisamment bien pour savoir qu'une décision de sa part engendrerait probablement des résultats catastrophiques.
Le premier non-choix de sa vie, ça avait été sa famille. Evidemment. Avec Alan Young comme père, il a des choses auxquelles on ne peut pas dire non. Comme les dimanches après-midi à jouer à Catch au parc. Cela avait quelque chose d'extrêmement cliché, mais Justin en a encore à ce jour un souvenir très doux. C'était des moments calmes, loin du reste du monde, avec son père qui était les autres jours bien trop occupés. Ce sont ces après-midi qui ont fait naître son amour du base-ball. L'admiration pour la carrière du paternelle, elle, a du venir avec les jours de match, quand sa mère l'emmenait avec elle et le portait sur ses épaules presque tout du long, pour être sûre qu'il n'en manque pas une miette. Il n'aurait pas pu trouver ça ennuyeux même s'il avait voulu : les strikes qui s'enchainent, les home-run imprévus, les spectateurs au bord de leurs chaises hurlant encouragements comme insultes. Et le regard de son père vers lui et sa mère, à chaque fin de match. Son sourire un peu trop satisfait. C'était ça, son but dans la vie. Ce sourire. Il voulait en arriver là. Sourire comme s'il n'avait rien à regretter, qu'il gagne ou qu'il perde.
Il y avait quelque chose de terriblement niais à le dire, mais il n'avait pas choisi le baseball, le baseball l'avait choisi. Le baseball l'avait emporté dès sa naissance. Le baseball avait formé sa jeunesse, ravi son adolescence et décidé de sa vie d'adulte. Et il s'en trouvait plutôt heureux.
Mais il n'y avait pas que son père. Avec une mère d'origine coréenne, stricte comme la sienne, il ne pouvait pas simplement jouer au baseball. Il devait y exceller. Il devait exceller quelque part, au moins. Et gamin, il avait du mal à suivre en cours. Légers soupçons d'hyperactivité, peut-être, il ne tenait simplement pas en place. Alors il s'est concentré sur le baseball. Ca, il savait qu'il pouvait le faire. Et puis avec le temps, il a réussi à se canaliser. Ses notes se sont améliorées, et au lieu d'être satisfaite, Jin-Ri Young a choisi de lui en demander toujours plus. Parce qu'elle le savait capable de se dépenser. Et parce que s'il voulait jouer au baseball à haut niveau, il avait plutôt intérêt à apprendre à gérer la pression.
Sa mère n'était pas un monstre. Il la surnomma "le tyran" durant une grande partie de son adolescence, mais elle savait se montrer très maternelle et être là pour lui quand son père n'avait de temps pour aucun d'entre eux. Et si son père avait fait naître sa passion pour le baseball et son envie d'en faire son métier, ce fut sa mère qui assura qu'il en fasse réellement sa carrière. Parce que tout seul, il ne serait pas allé bien loin.
Et sous les remarques constantes de Jin-Ri, il intégra un lycée avec une équipe de baseball décente et reconnue. Grâce aux entrainements incessants où celle-ci l'amenait, il se fit remarquer et décrocha la bourse d'études pour intégrer une université décente. C'était ses encouragements (et la pointe de terreur qu'elle faisait naître chez son fils) qui l'avaient mené là, alors Justin décida de suivre une formation de droit à l'Université. Pour lui faire plaisir. Ce n'était pas comme si cela comptait vraiment, puisqu'il avait l'intention être sportif professionnel quoi qu'il advienne. Pas grand chose ne pouvait l'en empêcher.
Et quand il eut sa licence par un étrange miracle du ciel, et que la pression de sa mère sur ses épaules s'atténua, il se trouva un coach. Quelqu'un pour suivre sa carrière, trouver l'équipe qui lui convienne, guider ses pas. Quelqu'un d'autre dont le but principal était de prendre en main sa vie et son destin pour s'assurer que tout aille dans le bon sens, que tout se passe bien. Un parent de substitution, en quelque sorte. Coach Taylor était efficace, discret, et il ne faisait pas dans la dentelle. C'était son père qui le lui avait conseillé, et quand il s'agissait de trouver la crème de la crème du milieu du baseball, il n'y avait pas plus fin connaisseur que Alan Young.
C'est donc Coach Taylor qui lui trouva sa première équipe, qui vanta ses mérites aux personnes qui comptaient, qui s'assura que ceux qui l'avaient remarqué au lycée et à l'Université ne l'oublient pas, et qui fit en sorte que son nom apparaisse le plus souvent possible quand il était mention de baseball. Et autant que possible sans qu'il ne soit fait mention de son père.
Et pour se faire enfin vraiment un nom, il finit par lui conseiller de s'exhiler en Corée. Alan Young y était connu, évidemment, mais ce serait différent. Et comme Justin était incapable de faire un choix par lui-même, il se laissa convaincre. Après tout, il parlait déjà coréen. Et puis il pourrait revoir une partie de sa famille maternelle là-bas. Et puis il avait bien les moyens de faire l'aller-retour en avion quand il aurait le mal du pays. Il y avait trop d'arguments en faveur, et suffisamment peu d'argument contre. Du moins de ce qu'on lui disait. Son coach était pour, ses parents étaient pour, et la seule fille avec qui il se soit un jour vraiment considéré comme en couple était prête à le suivre jusque là-bas. C'était l'occasion.
La fille en question, c'était Aby. Aby, il avait choisi de se mettre avec elle. Ca ne faisait pas de doute. Et c'était rare qu'il soit aussi enthousiaste pour s'engager avec qui que ce soit. Elle avait réussi à s'installer dans sa vie sans qu'il y fasse attention. De vague connaissance à l'Université, à une relation purement professionnelle... Et puis il l'avait aidé à se faire sa place dans le milieu. Peut-être parce qu'il était gentil, peut-être parce qu'il était franchement intéressé. Surement un peu des deux. Et il avait réussi à la convaincre, il ne savait trop comment, de le suivre en Corée.
Se mettre avec Aby, partir avec elle à l'autre bout du monde... Tout ça, c'était lui qui l'avait voulu. Ce qu'il n'avait pas choisi, en revanche, c'était la façon dont ils s'étaient éloignés une fois arrivés en Corée. La façon dont leurs désaccords s'étaient manifestés, leurs disputes, sa jalousie...¨Peut-être que tout ça c'était de sa faute, même s'il refusait de se l'avouer. Il refusait surtout d'y penser. Parce qu'il avait beau adorer Aby, il n'était pas prêt à la faire passer avant le baseball. Rien ne pouvait passer avant son rêve, d'un jour arriver comme son père, suffisamment satisfait de sa vie pour ne plus s'inquiéter de la suite. Rien ne pouvait passer avant le baseball parce que tout dans sa vie avait fait que le sport, c'était la seule chose qu'il réussissait à tous les coups. Et personne ne pouvait lui assurait que ses histoires de coeur, ça fonctionnerait. Il se connaissait après tout, il n'était pas assez stable, il finirait par tout ruiner. Alors ils s'étaient quittés, d'un commun accord, même s'il ne savait pas trop quand il avait dit être d'accord pour ça. Parce que la seule chose dont il était persuadée, c'était qu'il n'avait pas envie de la laisser partir. Mais c'était une décision commune, et il était surement un peu trop fier pour admettre qu'elle était sûrement plus d'accord que lui.
Le premier non-choix de sa vie, ça avait été sa famille. Evidemment. Avec Alan Young comme père, il a des choses auxquelles on ne peut pas dire non. Comme les dimanches après-midi à jouer à Catch au parc. Cela avait quelque chose d'extrêmement cliché, mais Justin en a encore à ce jour un souvenir très doux. C'était des moments calmes, loin du reste du monde, avec son père qui était les autres jours bien trop occupés. Ce sont ces après-midi qui ont fait naître son amour du base-ball. L'admiration pour la carrière du paternelle, elle, a du venir avec les jours de match, quand sa mère l'emmenait avec elle et le portait sur ses épaules presque tout du long, pour être sûre qu'il n'en manque pas une miette. Il n'aurait pas pu trouver ça ennuyeux même s'il avait voulu : les strikes qui s'enchainent, les home-run imprévus, les spectateurs au bord de leurs chaises hurlant encouragements comme insultes. Et le regard de son père vers lui et sa mère, à chaque fin de match. Son sourire un peu trop satisfait. C'était ça, son but dans la vie. Ce sourire. Il voulait en arriver là. Sourire comme s'il n'avait rien à regretter, qu'il gagne ou qu'il perde.
Il y avait quelque chose de terriblement niais à le dire, mais il n'avait pas choisi le baseball, le baseball l'avait choisi. Le baseball l'avait emporté dès sa naissance. Le baseball avait formé sa jeunesse, ravi son adolescence et décidé de sa vie d'adulte. Et il s'en trouvait plutôt heureux.
Mais il n'y avait pas que son père. Avec une mère d'origine coréenne, stricte comme la sienne, il ne pouvait pas simplement jouer au baseball. Il devait y exceller. Il devait exceller quelque part, au moins. Et gamin, il avait du mal à suivre en cours. Légers soupçons d'hyperactivité, peut-être, il ne tenait simplement pas en place. Alors il s'est concentré sur le baseball. Ca, il savait qu'il pouvait le faire. Et puis avec le temps, il a réussi à se canaliser. Ses notes se sont améliorées, et au lieu d'être satisfaite, Jin-Ri Young a choisi de lui en demander toujours plus. Parce qu'elle le savait capable de se dépenser. Et parce que s'il voulait jouer au baseball à haut niveau, il avait plutôt intérêt à apprendre à gérer la pression.
Sa mère n'était pas un monstre. Il la surnomma "le tyran" durant une grande partie de son adolescence, mais elle savait se montrer très maternelle et être là pour lui quand son père n'avait de temps pour aucun d'entre eux. Et si son père avait fait naître sa passion pour le baseball et son envie d'en faire son métier, ce fut sa mère qui assura qu'il en fasse réellement sa carrière. Parce que tout seul, il ne serait pas allé bien loin.
Et sous les remarques constantes de Jin-Ri, il intégra un lycée avec une équipe de baseball décente et reconnue. Grâce aux entrainements incessants où celle-ci l'amenait, il se fit remarquer et décrocha la bourse d'études pour intégrer une université décente. C'était ses encouragements (et la pointe de terreur qu'elle faisait naître chez son fils) qui l'avaient mené là, alors Justin décida de suivre une formation de droit à l'Université. Pour lui faire plaisir. Ce n'était pas comme si cela comptait vraiment, puisqu'il avait l'intention être sportif professionnel quoi qu'il advienne. Pas grand chose ne pouvait l'en empêcher.
Et quand il eut sa licence par un étrange miracle du ciel, et que la pression de sa mère sur ses épaules s'atténua, il se trouva un coach. Quelqu'un pour suivre sa carrière, trouver l'équipe qui lui convienne, guider ses pas. Quelqu'un d'autre dont le but principal était de prendre en main sa vie et son destin pour s'assurer que tout aille dans le bon sens, que tout se passe bien. Un parent de substitution, en quelque sorte. Coach Taylor était efficace, discret, et il ne faisait pas dans la dentelle. C'était son père qui le lui avait conseillé, et quand il s'agissait de trouver la crème de la crème du milieu du baseball, il n'y avait pas plus fin connaisseur que Alan Young.
C'est donc Coach Taylor qui lui trouva sa première équipe, qui vanta ses mérites aux personnes qui comptaient, qui s'assura que ceux qui l'avaient remarqué au lycée et à l'Université ne l'oublient pas, et qui fit en sorte que son nom apparaisse le plus souvent possible quand il était mention de baseball. Et autant que possible sans qu'il ne soit fait mention de son père.
Et pour se faire enfin vraiment un nom, il finit par lui conseiller de s'exhiler en Corée. Alan Young y était connu, évidemment, mais ce serait différent. Et comme Justin était incapable de faire un choix par lui-même, il se laissa convaincre. Après tout, il parlait déjà coréen. Et puis il pourrait revoir une partie de sa famille maternelle là-bas. Et puis il avait bien les moyens de faire l'aller-retour en avion quand il aurait le mal du pays. Il y avait trop d'arguments en faveur, et suffisamment peu d'argument contre. Du moins de ce qu'on lui disait. Son coach était pour, ses parents étaient pour, et la seule fille avec qui il se soit un jour vraiment considéré comme en couple était prête à le suivre jusque là-bas. C'était l'occasion.
La fille en question, c'était Aby. Aby, il avait choisi de se mettre avec elle. Ca ne faisait pas de doute. Et c'était rare qu'il soit aussi enthousiaste pour s'engager avec qui que ce soit. Elle avait réussi à s'installer dans sa vie sans qu'il y fasse attention. De vague connaissance à l'Université, à une relation purement professionnelle... Et puis il l'avait aidé à se faire sa place dans le milieu. Peut-être parce qu'il était gentil, peut-être parce qu'il était franchement intéressé. Surement un peu des deux. Et il avait réussi à la convaincre, il ne savait trop comment, de le suivre en Corée.
Se mettre avec Aby, partir avec elle à l'autre bout du monde... Tout ça, c'était lui qui l'avait voulu. Ce qu'il n'avait pas choisi, en revanche, c'était la façon dont ils s'étaient éloignés une fois arrivés en Corée. La façon dont leurs désaccords s'étaient manifestés, leurs disputes, sa jalousie...¨Peut-être que tout ça c'était de sa faute, même s'il refusait de se l'avouer. Il refusait surtout d'y penser. Parce qu'il avait beau adorer Aby, il n'était pas prêt à la faire passer avant le baseball. Rien ne pouvait passer avant son rêve, d'un jour arriver comme son père, suffisamment satisfait de sa vie pour ne plus s'inquiéter de la suite. Rien ne pouvait passer avant le baseball parce que tout dans sa vie avait fait que le sport, c'était la seule chose qu'il réussissait à tous les coups. Et personne ne pouvait lui assurait que ses histoires de coeur, ça fonctionnerait. Il se connaissait après tout, il n'était pas assez stable, il finirait par tout ruiner. Alors ils s'étaient quittés, d'un commun accord, même s'il ne savait pas trop quand il avait dit être d'accord pour ça. Parce que la seule chose dont il était persuadée, c'était qu'il n'avait pas envie de la laisser partir. Mais c'était une décision commune, et il était surement un peu trop fier pour admettre qu'elle était sûrement plus d'accord que lui.
About me
Je suis...
kyu
Moi, c'est Claire, je tente de me remettre au rp et on m'a indiqué le chemin jusqu'ici. J'ai quasi la même date de naissance que mon perso, je vis au pays de la moutarde, j'suis une chieuse et j'aime squatter les CB (surtout au boulot). Voilà, vous savez tout.
PV pris
- Code:
[url=http://www.shaketheworld.net/u1290][b]▲[/b][/url][url=http://www.shaketheworld.net/t13747-ross-butler-acteur-young-justin]▼[/url] <taken><upper>KI HONG LEE ( YOUNG JUSTIN, GROUPE)</upper></taken> ✎ <lower>kyu</lower>
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Re: Young Justin - I solemny swear that I am up to no good | Sam 12 Aoû - 21:07 Citer EditerSupprimer FIRST
j'édite après :$
T'es tout beau toi dis-moi
welcome here my love, hâte de voir ce que tu vas faire de ce petit Justin qui a une sacré descente pour quelqu'un qui ne tient pas l'alcool
courage pour ta fiche
j'édite après :$
T'es tout beau toi dis-moi
welcome here my love, hâte de voir ce que tu vas faire de ce petit Justin qui a une sacré descente pour quelqu'un qui ne tient pas l'alcool
courage pour ta fiche
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Re: Young Justin - I solemny swear that I am up to no good | Sam 12 Aoû - 21:16 Citer EditerSupprimer
KI HONG LEE + LE TITRE :bago: :bago: :bago:
Je suis shooketh, trop de bons choix, trop de perfection
Bienvenue parmi nous
Et bonne continuation pour ta fiche
Je suis shooketh, trop de bons choix, trop de perfection
Bienvenue parmi nous
Et bonne continuation pour ta fiche
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Re: Young Justin - I solemny swear that I am up to no good | Sam 12 Aoû - 21:20 Citer EditerSupprimer
KI HONG LEEEE !! /meurt/
Bienvenue ici, bonne continuation pour ta fiche
Bienvenue ici, bonne continuation pour ta fiche
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Re: Young Justin - I solemny swear that I am up to no good | Sam 12 Aoû - 21:27 Citer EditerSupprimer
Je connais pas ta célébrité désolée... :bago:
MAIS BIENVENUE !!
MAIS BIENVENUE !!
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Re: Young Justin - I solemny swear that I am up to no good | Sam 12 Aoû - 21:53 Citer EditerSupprimer
BIENVENUE PAR ICI CHER EX PETIT AMI
Si tu as encore des questions, tu sais où me trouver, n'hésite pas
Je suis ravie que mon scena te plaise
Si tu as encore des questions, tu sais où me trouver, n'hésite pas
Je suis ravie que mon scena te plaise
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Re: Young Justin - I solemny swear that I am up to no good | Sam 12 Aoû - 21:54 Citer EditerSupprimer
bienvenue
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Re: Young Justin - I solemny swear that I am up to no good | Sam 12 Aoû - 22:17 Citer EditerSupprimer
Ninie : MARCI, j'en ai besoin de courage avec ce clavier belge bizarre
Il ne nous reste plus qu'à nous trouver un lien, j'suis sûre qu'n va gérer ça comme des pros
Min : Contente que tout te plaise jusque là, j'espère que le reste de la fiche sera à la hauteur
Tae Woo : Ne meurs pas C'est cool que Ki Hong Lee plaise
Kyung Ae : Je ne suis pas au point sur la Kpop de nos jours, je ne connais pas un dixième des avatars du forum, donc tu as le droit de ne pas connaitre mon avatar
Abygail : Oui, Justin me plait, j'espère que je me l'approprierai comme il faut! Si tu vois un truc qui ne te plait pas trop, tu n'hésite pas à me faire signe, et en attendant, je vais continuer à t'embêter par mp
Sam Yong : Merci! :04:
Il ne nous reste plus qu'à nous trouver un lien, j'suis sûre qu'n va gérer ça comme des pros
Min : Contente que tout te plaise jusque là, j'espère que le reste de la fiche sera à la hauteur
Tae Woo : Ne meurs pas C'est cool que Ki Hong Lee plaise
Kyung Ae : Je ne suis pas au point sur la Kpop de nos jours, je ne connais pas un dixième des avatars du forum, donc tu as le droit de ne pas connaitre mon avatar
Abygail : Oui, Justin me plait, j'espère que je me l'approprierai comme il faut! Si tu vois un truc qui ne te plait pas trop, tu n'hésite pas à me faire signe, et en attendant, je vais continuer à t'embêter par mp
Sam Yong : Merci! :04:
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Re: Young Justin - I solemny swear that I am up to no good | Sam 12 Aoû - 22:30 Citer EditerSupprimer
bienvenue parmi nous un homme de 26 ans nous faudra un lien avec hyunki
j'espere que tu te plairas parmi nous la petite souris qui t'a murmure le chemin jusqu'ici à bien fait on est content que tu nous ais choisi pour ton grand retour dans ton mp si tu as des questions ou des doutes, on est la pour t'aider, n'hésites pas
j'espere que tu te plairas parmi nous la petite souris qui t'a murmure le chemin jusqu'ici à bien fait on est content que tu nous ais choisi pour ton grand retour dans ton mp si tu as des questions ou des doutes, on est la pour t'aider, n'hésites pas
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Re: Young Justin - I solemny swear that I am up to no good | Sam 12 Aoû - 22:31 Citer EditerSupprimer
HELLOOOOOOOO
BIENVENUE
JE SAIS PAS POURQUOI JE CRIE MAIS JE LE FAIS QUAND MÊME
Bon courage pour ta fiche
Hâte d'en savoir plus
BIENVENUE
JE SAIS PAS POURQUOI JE CRIE MAIS JE LE FAIS QUAND MÊME
Bon courage pour ta fiche
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