Que vais-je faire, si mon ordinateur a besoin d’être remplacé ? Transférer tous mes fichiers et espérer que le prochain ne soit pas aussi mauvais que celui-ci ? Après tout, il n’est pas très ancien, ça m’étonne qu’il ait déjà des ratés… C’est peut-être lié à l’obsolescence programmée, tout ça. Ça ne m’étonnerait pas, franchement. Mais il est encore trop tôt pour baisser les bras. On va peut-être m’annoncer une très bonne nouvelle, après tout ? « Je vois… » Je n’y connais rien du tout en matière d’ordinateurs et d’informatique, du moins, je ne suis pas une spécialiste, loin de là, alors je hoche la tête en l’écoutant. « Oh, bien ! Ça prend longtemps ? » La question se pose, après tout. Je réfléchis un instant, les yeux posés sur l’écran, rassurée par cette nouvelle qui, en effet, est plus agréable que ce que j’imaginais. « Je peux t’offrir un café ou quelque chose du genre, pour la peine ? » La pauvre, je ne sais pas ce qu’elle venait faire ici, mais je l’exploite depuis je ne sais pas combien de temps… Elle mérite bien ça, ! Les yeux posés sur mon écran, je me sens en partie soulagée de ne pas avoir à faire trop de frais pour cette foutue machine. « T’étudies l’informatique, du coup ? » L’avait-elle déjà rencontrée ? Elle n’en était pas certaine, mais si elle était étudiante, ce n’était pas impossible. Maintenant qu’elle prenait le temps de la regarder, son visage lui était vaguement familier.

tu ne l'aurais pas fait habituellement, venir en aide à une inconnue, ce n'était pas vraiment ta personnalité. il n'y avait que quand tu acceptais un boulot que tu t'en foutais de l'identité de ton employeur, de toute façon tu piratais toujours pour trouver pour qui tu bossais. et pourtant tu étais là, tu l'aidais. pour te changer les idées de ton devoir qui ne se déroulait pas comme tu le voulais, pour retrouver une certaine aisance, tu savais pas trop, tu t'en fichais surtout. tu lui expliques rapidement ce que tu comptes faire après avoir branché ta tablette à son ordinateur, laissant tes programmes prendre ta place, il y avait des choses que l'être humain ne pouvait pas faire alors autant laisser parler ta tablette. « ça dépend, parfois ça peut prendre une dizaine de minutes parfois plus. mais ça ne devrait pas dépasser une heure d'attente, » tu réponds en haussant une épaule, tu ne pouvais pas forcer les choses non plus, tu aurais peur que ça fasse l'effet inverse que ce que ton programme devait faire. tu tournes ton visage vers la jeune femme, ne t'attendant pas à une proposition de sa part, tu n'avais pas fait ça pour un quelconque remerciement. « ce n'est pas obligé tu sais, » tu lui dis dans un souffle, tu ne voulais pas qu'elle se sente forcée de le faire. un sourire qui nait quand elle s'adresse de nouveau à toi, comme à chaque fois que tu pensais à tes études, ce n'était pas facile tous les jours mais tu adorais ce que tu faisais. « oui, je ne sais pas encore ce que j'en ferais mais j'adore ça. et toi, tu fais quoi dans la vie ? » tu lui demandes à ton tour, avant d'ajouter. « je t'ai déjà vu chez les pyobeom, tu fais partie de la fraternité ? »

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Une heure. Ça me semble raisonnable. C’est de toute façon moins de temps que si j’avais continué à m’obstiner en essayant de connecter l’appareil maudit à cette connexion tout aussi maudite. Alors je hoche la tête pour approuver. J’ai eu beaucoup de chance de tomber sur quelqu’un qui s’y connaissait, franchement. « Je ne me sens pas obligée. Ça me fait plaisir, puis tout travail mérite salaire, non ? Sauf si tu préfères de l’argent ?» Après tout, elle fait quand même quelque chose qu’elle n’aurait pas dû faire normalement. Elle n’est sûrement pas venue ici pour réparer l’ordinateur d’une meuf dont elle ne connaît rien. Je peux me tromper, mais ce n’est personnellement pas ce que je ferais. Sans compter que le gueux de l’entrée est toujours occupé à draguer. « C’est intéressant en tout cas... Puis ça doit être vachement important, à l’heure actuelle. » Je n’ai jamais été un génie de l’informatique, mais je crois qu’en savoir un peu est un must, à notre époque. « J’étudie la psychologie. » dis-je en souriant. Je n’ai pas trop le look cliché d’une future psychologue, avec mon maquillage, mes petits bijoux et ma tenue. En fait, je dois avoir l’air d’une meuf superficielle qui a atterri là par hasard. Une apparence. D’ailleurs, je me crispe malgré moi à la mention de la fraternité. « Oui… tu y es aussi ? » C’est là que je l’ai vue. Sûrement. Je me déteste pendant un instant. J’ai cette boule qui se forme au travers de ma gorge. La peur d’être jugée. C’est stupide, je le sais parfaitement. « C’est fou quand même, comment on ne se connait pas tous. » Je ris un peu. Parfois, je devrais me retenir. « Mais du coup, tu veux quelque chose ? » Je ne compte pas la laisser travailler dans la remercier d'une façon ou d'une autre...

tu étais peut-être étrange pour certaines personnes, mais t'aimais penser qu'au moins tu commençais à faire des efforts pour aller vers les autres et ne pas rester uniquement dans ton coin. et puis si tu pouvais te changer les idées en t'occupant du problème de la jeune femme plutôt que de penser à ce que toi-même tu n'arrives pas à faire pour l'instant, toute tentative de distraction était la bienvenue. jetant un coup d'oeil à la brune, tu secoues la tête légèrement, tu courrais pas après l'argent, enfin du moins pas aujourd'hui ce n'était pas un dossier que tu avais pris pour gagner quelque chose. non ton motif était plus égoïste. tu voulais juste te changer les idées. « t'en fais pas, l'argent est le dernier de mes soucis là. va pour une boisson alors. » tu réponds doucement, tu voulais pas te perdre en explication. et puis bon si elle insistait qui étais-tu pour dire non ? tu hoches la tête quand elle se remet à parler, effectivement dans le monde dans lequel vous viviez actuellement, c'était un plus de s'y connaître en technologie. toi tu savais pas encore ce que tu allais pouvoir en faire, tu te voyais pas devenir professeur, c'était juste pas toi et puis t'occuper de jeunes ? quelle horreur. « oh, j'avoue que j'ai toujours trouvé cette matière fascinante même si je me vois pas dedans. » tu lui dis quand elle te dit quel type d'études elle fait. tu aimais observer les autres, mais de là à en faire ton domaine d'études, tu n'en étais pas à ce point. encore une fois tu fais un mouvement de la tête. « oui, mais on peut pas dire que je sois la plus sociable du lot. » tu n'étais pas étonnée qu'elle ne le sache pas, et ça ne te vexait pas. « c'est vrai, mais ça veut aussi dire qu'on accepte les autres tels qu'ils sont aussi, enfin je pense ? on ne se force pas à aller vers les autres si on en a pas envie. » tu ne sais pas si tu es clair dans tes propos. « je veux bien une tasse de chocolat chaud s'il te plaît. »

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Quelle chance. Oui, c’est ce qui me traverse l’esprit quand l’informaticienne en herbe me répond que l’argent ne lui pose pas de problème. Techniquement, à moi non plus. Il suffit de voir la maison rénovée de mes ‘parents’, le piano qui se trouve dans le salon et tout ce qu’ils paient à leurs enfants pour le comprendre. Seulement, j’ai décidé de me détacher de tout ça, de ne pas me reposer sur eux pour tout, car ils pourraient tout à fait me le reprocher un jour et me demander réparation. Cela ne m’étonnerait pas, surtout de la part de la vieille Wang. Cette femme n’a jamais été capable de raisonner logiquement, je crois. Enfin, ce n’est pas important, là, tout de suite.

« Ça l’est. J’aimerais devenir comportementaliste. » Étudier le comportement des gens, les raisons qui les poussent à agir de telle ou telle façon, et peut-être élucider des mystères encore irrésolus. Cela m’intéresserait bien ! La première chose dont je me chargerais, c’est de découvrir ce qui a abouti à la mort de mes parents. J’aimerais remonter toutes les pistes dont nous disposons, Jaehyun, Jaewon et moi, pour trouver les enfoirés qui ont fait ça.

« Ah, moi, c’est plutôt le contraire. » J’ai tendance à me mêler aux autres, mais rares sont ceux qui connaissent plus ou moins mon vrai visage. Loïs compte parmi eux. Et je crois que c’est le seul, actuellement. Même Nora n’a pas l’occasion de voir celle que je suis réellement. Du moins, pas tout le temps. J’aimerais bien être plus sincère, pouvoir parler de ce que j’aime sans passer pour la dernière des folles… Mais j’ai toujours l’impression que les gens s’en moqueront, alors je ne dis rien et je continue à agir comme je l’ai toujours fait : dans le sens du courant. « Ouais, peut-être. Enfin, je t’avoue que certains Pyo donnent pas trop envie de les approcher. » Je n’ai pas d’exemple, mais c’est une partie de mon personnage : la fille superficielle. Je devrais arrêter. Quand elle me donne finalement son choix, je lui souris. « Je te ramène ça ! » Et, sans attendre plus longtemps, je pars en quête de ladite boisson, revenant quelques instants plus tard, une tasse fumante entre les doigts. « Et voilà pour toi. »

tu n'avais jamais eu à te soucier des problèmes d'argent, ton père dirigeait sa propre entreprise, ta mère était une héritière. tu savais que ton statut était bien plus privilégier que d'autres, pourtant l'argent ce n'était pas la priorité pour toi. en faisant tes contrats de piratage, tu étais payée bien sûr, mais tu pourrais tout autant le faire gratuitement, ça ne changerait rien. c'était pas ça qui te motivait, au fond tu voulais juste combler un vide, un vide que ton père avait créé de lui-même en t'ignorant comme il le faisait. tout ça, c'était pour attirer son attention, t'étais pas idiote, tu savais que tous tes soucis, ça venait principalement de ça. de cette peine qui t'habite depuis l'enfance. tu n'étais pas douée avec les autres, parce que ton père t'avait toujours fait ressentir que tu n'étais jamais assez bien. secouant la tête, tu te concentres à nouveau sur ta voisine, hochant le visage à ses paroles, tu trouvais ça intéressant comme choix de carrière, l'espace d'un instant même tu te demandes si elle n'est pas en train de t'étudier, les yeux se plissant légèrement. tu masques tes questions par un sourire. « c'est un choix particulier, mais ça a une certaine classe quand on y pense. » tu lui dis, après tout ne peut-on pas être fier de montrer aux autres à quel point ils sont faciles à analyser ? la conversation qui coule sur la fraternité dont vous faîtes parties toutes les deux, tu restes silencieuse quand la jeune femme prend la parole. « chacun à sa personnalité, on peut pas forcément s'entendre avec tout le monde. » tu murmures du bout des lèvres, un léger sourire sur le visage quand elle revient avec ta boisson. « merci. »tu lui dis avant de reprendre la parole. « je ne pense pas m'être présentée, je suis bo na. » ou peut-être que tu l'avais fait ? tu ne sais plus.

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Je déteste être cette fille. Une pauvre pétasse sans cervelle dont tout le monde se fout parce qu’oh mon dieu, qu’elle est conne. Mais si cela me permet de ne pas me sentir mise à l’écart par les autres et de ne pas être regardée de travers, j’imagine que c’est mieux que rien. Un petit rire me vient quand j’entends les propos de la demoiselle. Une certaine classe ? J’imagine, oui, ça doit l’être quelque part. « Informaticien, c’est plutôt cool aussi. » Et je le pense vraiment. L’informatique, les sciences… C’est tellement impressionnant. Mettre des mots sur ce que l’homme cherche à expliquer, aller chercher des informations à l’échelle de l’infiniment petit ou de l’infiniment grand. Cela me rappelle les premières questions que je posais à Madame Wang, sur le ciel à l’heure du couchant, sur la météo, sur les étoiles. Tellement de questions dont j’ai dû trouver les réponses seules, parce qu’elle ne s’y intéressait pas le moins du monde. Quand elle répond à mon commentaire sur la fraternité, je me retiens d’approuver. Elle a raison, je sais qu’elle a raison, mais je me suis placée dans le camp adverse, et revenir sur mon idée serait me contredire. Alors je fais semblant de rien. En plus, en toute honnêteté, je ne suis pas la plus sociable des membres de la fraternité. Être Naeun la petite fille superficielle et prétentieuse était bien plus facile quand je ne devais pas loger à longueur de journée avec les gens : depuis mon arrivée à l’université, les choses se sont compliquées de façon exponentielle. « Moi, Naeun. Enchantée. » Bona. Un prénom à ranger dans un coin de mon esprit, en espérant que je ne l’oublierai pas. Ma mémoire des prénoms n’est pas la plus performante, malheureusement. J’adresse un petit sourire à Bona avant de reposer les yeux sur l’écran. « Alors, comment ça se présente, maintenant ? » J’espère qu’elle n’a rien trouvé d’autre… J’aimerais beaucoup pouvoir terminer ce travail.

toi ça t'avait jamais branché comme ça la psychologie, t'aimais observé les autres plus que de parler avec eux, mais de là à en faire ton métier, t'étais pas suffisamment à l'aise en société pour te lancer là-dedans. déjà tu acceptais de sortir de ta chambre, de quitter tes écrans régulièrement, alors que si tu le souhaitais tu aurais pu vivre en ermite sans problèmes. tu souffles doucement, la jeune femme qui reprend la parole, ça te fait hausser les épaules, cool oui quand on aimait ça. au final pourtant tu savais pas ce que tu allais en faire, t'étais perdue. ton père ne souhaitait pas savoir ce que tu allais faire, et toi-même tu l'ignorais. comment allais-tu réussir dans le futur si tu ne sais même pas quelle voie prendre ? le sujet de conversation qui part sur celui des fraternités et plus précisément celle dont vous faisiez toutes deux parties, tu pensais pas vraiment finir par parler avec elle, en vrai il te semblait juste l'avoir croisé quelques fois, si ça se trouve elle était juste là pour voir des potes, mais c'était plutôt réconfortant de tomber sur une camarade. ton regard qui observe la jeune femme à plusieurs reprises, et finalement tu te présentes, ton nom qui glisse du bout de tes lèvres, tu souris un peu plus quand elle te répond. naeun, c'était un joli prénom. « tu es dans la fraternité depuis longtemps ? » cela faisait trois ans que tu étais sur le campus, si ça se trouve elle était là depuis longtemps également, ce serait étrange de se dire que vous avez passé autant de temps sans vous parler. naeun qui te reparle de son appareil, tu jettes un coup d'oeil à ce que t'affiches l'écran, un sourire satisfait qui vient éclaire ton visage. « encore quelques minutes et tout sera bon, tu vas pouvoir récupérer ton ordinateur. » tu lui dis, collant ton dossier à la chaise, prenant une gorgée de ta boisson.

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Je vous avoue que j’ai un peu peur que mon ordinateur soit irrécupérable. Je n’ai jamais été très douée pour ce genre de choses et je n’ai jamais pu m’en occuper correctement. Je sais bien que certains s’amusent à utiliser toutes sortes de programmes pour améliorer le bidule, mais si j’arrive à ouvrir un traitement de texte, je suis déjà très contente. Je connais le B.A.BA, si vous préférez. Du coup, ça me fascine un peu, la façon dont cette fille se débrouille. Vous me direz, ça lui ferait peut-être le même effet si on s’attaquait à mon domaine de spécialisation, mais je trouve qu’il y a quelque chose d’infiniment plus intéressant à regarder quelqu’un gérer un ordinateur qu’écouter une discussion chez un psy… Quoique, pour certains cas particuliers, cela doit être tout aussi impressionnant, vu de l’extérieur. Mais ce n’est pas la question. « Ca fera deux ans à la fin de l’année scolaire. » Deux ans que je suis rentrée à l’université. C’est parfois un peu dur à croire. Un petit sourire me vient aux lèvres à cette pensée : je ne suis pas peu fière d’avoir réussi à m’en tirer malgré tout ce que mes parents pouvaient penser de moi. Je suis toujours une petite idiote à leurs yeux, mais j’ai réussi à entrer à l’université, dans une bonne université qui plus est : comme quoi le travail porte toujours ses fruits. « Et toi ? » Si ça tombe, on se connaît depuis longtemps et on n’a jamais discuté. Ça serait drôle ! Son sourire m’en communique un également, et je m’intéresse de plus près à l’écran, bien qu’incapable de tout comprendre. Il doit y avoir une explication, une suite logique, mais bon… « Génial ! Merci… Et tu aurais des conseils pour que ça n’arrive plus ? Enfin, des trucs pas trop compliqués que je pourrais faire au cas où ça recommence ? »

c'était étrange, de se dire que vous étiez dans la même fraternité et pourtant tu ignorais jusqu'à son prénom. bon d'accord tu ne peux pas forcément connaître tout le monde intimement mais quand même, c'était bien parfois de se tenir au courant de ce qu'il se passait chez les panthères, qui arrive et qui part. en attendant tu hoches la tête silencieusement à la réponse de naeun, oui maintenant tu pouvais le dire avec plus de conviction, ne pas se parler pendant deux ans ne serait-ce qu'un bonjour ? c'était fort. ton problème de sociabilisation se montrait bien. naeun finit par te retourner la question alors que tes yeux sont fixés sur l'écran de son ordinateur, les codes de ton programme défilant devant toi. pour elle ça ne voulait peut-être rien dire, mais tu savais exactement où tu allais. « ça va faire presque trois ans pour moi. » tu réponds du bout des lèvres, trois ans déjà le temps filait à une vitesse. il t'arrive encore de te demander si tu as vraiment ta place parmi eux, pas qu'ils étaient horribles ou que tu avais un problème avec la fraternité, c'était juste toi... qui tu étais, tu n'es pas la plus sociable, et la compétition tu t'en moquais bien. devais-tu restée parmi eux alors que peut-être tu serais plus à ton aise ailleurs? tu chasses cette pensée de ton esprit, même si ce n'était pas la première fois que tu te posais la question. tu tournes ton visage vers naeun, réfléchissant quelques instants, pour toi ce serait facile comme bonjour de trouver une solution mais pour elle ? tu tentes de trouver quelque chose, comme elle l'a demandé, de pas compliqué. « je pourrais t'installer un petit bout de mon programme, simplifié où tu auras juste besoin de le lancer en l'ouvrant. » tu lui proposes, ce serait peut-être long de lui parler d'autres méthodes et tu risquais de la perdre en route.

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