Sous la douce torture que lui faisait subir Siyeon Orion se sentait petit à petit défaillir à nouveau, gémissant et soupirant d’aise à chacun de ses coups plus appuyés que les précédents. Très vite Orion n’était plus qu’une douce messe de gémissants rauques et bruyants, ponctuée par de doux soupires et quelques paroles par-ci par-là. Faible. Voilà à quoi Orion se comparait à l’instant même alors qu’il s’était laissé retomber sur le lit, sa tête basculant en arrière tant les gestes discrets du gumiho étaient entrain de le rendre fou. Fou de lui, de ce petit ange qui venait d’ouvrir habilement les boutons de son pantalon pour le faire glisser sur ses hanches, ainsi que son dessous. Mis à nouveau à nu face à Siyeon, l’américain ne peut s’empêcher de sourire murmurant « Toujours aussi pressé. » avant de fermer quelques instants les yeux et lorsqu’il ouvre de nouveau les yeux c’est pour l’apercevoir lui, juste devant lui les mains appuyées tout contre son torse alors que son regard lubrique s’ancre dans le sien. Attentif, Orion ne bouge pas l’écoutant simplement alors qu’un énième gémissement passe la barrière de ses lèvres. « Siyeon … tu … Tu parles slang. » murmure-t-il difficilement tandis que le renard vient se mouvoir à nouveau contre sa virilité vierge de barrière. « Et bon dieu que c’est excitant. » rajoute-t-il son regard ne quittant pas une seule seconde les jolis yeux de son amant. Rapidement, le membre du tueur à gage se gorge de sang, encore et encore à tel point qu’il a l’impression qu’il pourrait exploser à tout moment tant la torture en était délicieuse. « Siyeon je … Putain. Dépêches toi ! » souffle-t-il finalement, hors de lui, il n’en pouvait plus, il le voulait, il le voulait tellement. Alors lorsque les doigts du renard viennent s’enrouler autour de son membre l’américain pousse un soupire de soulagement comprenant que sa torture allait prendre fin très bientôt et effectivement c’est ce qu’il se passe lorsque Siyeon vient provoquer la pénétration, laissant le membre du plus vieux pénétrer à nouveau ses chairs. Sous ce geste le corps entier d’Orion vient se tendre, tandis qu’il observe Siyeon se cambrer, et gémir, sous cette scène il ne peut s’empêcher de venir effectuer un léger mouvement au sein du garçon, souriant à l’idée de lui arracher à nouveau l’un de ses magnifiques couinements. Mais lorsqu’il obtient enfin ce qu’il désire, Orion laisse ses doigts se glisser le long de la taille du jeune homme avant de se poser ses les hanches de celui-ci. « Bouges Siyeon. » ordonne-t-il alors qu’il incite le renard à se mouvoir au dessus de lui et à prendre entièrement les rênes

outfit +  C’est toi qui me rend impatient, dis-je alors que je pris un instant pour admirer le corps à nouveau mis à nu de mon amant. Si beau, si magnifique. Il me faisait complètement perdre les pédales. A mon tour de retirais mon dernier vêtement pour me mettre à califourchon sur lui, lui ordonnant de ne pas se laisser aller et de ne surtout pas jouir. J’étais si excité de le sentir contre mon intimité, mais je voulais m’amuser, je voulais le taquiner et lui faire découvrir…. autre chose. Alors doucement mais de manière appuyée je faisais glisser mon entrejambe contre la sienne, ainsi il pouvait profiter de toute mon humidité et de ce contact directement entre nous. Et je le sentais, je le sentais l’effet que je lui faisais. Je le sentais en train de grossir un peu plus contre mes lèvres, je dus me mordre la lèvre pour apprécier la frustration que j’étais en train de lui imposer. Je le regardais excité comme jamais de le sentir déjà prêt pour un second round. Je souris à ses paroles, oui, il était frustré, très frustré.  Pressé ? Taquinais-je avant de venir enrouler mes doigts autour de sa virilité pour le conduire jusqu’à mon entrée. Il glissa si facilement en moi alors que mon dos se cambra à cause de la sensation de le sentir en moi. Je poussais un petit couinement et se fut pire quand je sentais les mains d’Orion jouer avec ma poitrine, j’étais si sensible qu’il aurait suffise qu’il me mordiller les seins pour me provoquer un autre orgasme. Alors que j’entends ses mots je regardais mon aîné, mon regard toujours aussi désireux. Je me mordis la lèvre inférieure alors que doucement je commençai à bouger mon bassin, gardant mes main fermement appuyées sur son torse pour lui intimer de ne pas se relever. je souris avant de commencer le vrai jeu. Je me penchais doucement à l’oreille d’Orion pour lui glisser en me forçant à ne pas parler slang.  Tu as compris ? Pas le droit de venir Orion. Je me redressais simplement avant fixant mon amant. Je finis par détacher une main.  Regarde moi faire. Ma main se glissa une nouvelle fois sur mon intimité, je me masturbais rapidement, m'obligeant à me resserrer autour d’Orion. Dans ma bouche son nom uniquement son nom. Rapidement je me fis avoir un premier orgasme, la tête arrière les rein endoloris de se briser sous la cambrure mais je ne comptais pas m’arrêter là. Je finis par regarder mon amant en me léchant la lèvre inférieure. Retiens toi, j’en veux encore, couinais-je de le sentir si fort. J’accélérais doucement le rythme de mes hanches.  Putain Orion, encore.

« O…Oui. » souffla alors difficilement l’américain, dont la frustration avait atteint son paroxysme lorsque Siyeon était venu initier ce contact brûlant entre leurs deux intimités. « Dépêches-toi… » murmure-t-il alors que sa voix s’était faite plus rauque sous le désir ardent qui était entrain de le consommer tout entier. Et son désir explosa lorsque Siyeon vient le faire glisser dans une facilité déconcertante en lui, un gémissement rauque s’extirpa alors des lèvres du jeune homme qui vient glisser ses mains sur la poitrine de Siyeon, jouant avec celle-ci quelques secondes avant de finalement les glisser sur les hanches de Siyeon l’incitant à se mouvoir sur lui. Le regard ardent il l’observa alors faire et tandis que son corps vient se tendre dans le but de renverser le gumiho sous lui, il se fit subitement interrompre. Les mains du renard viennent alors se glisser sur son torse le forçant à rester à sa place, un geste qui eut pour conséquence d’arracher un petit gémissement de frustration à Orion qui pourtant se laissa faire. Siyeon se pencha alors sur lui et pendant un instant le cœur d’Orion s’arrêta de battre, tandis qu’un petit sourire vient se dessiner sur ses lèvres. « J’aime quand tu me dis ça. C’est tellement excitant. » lui dit-il en venant embrasser rapidement les lèvres de Siyeon. « Je n’ai d’yeux que pour toi. » lui répondit alors le jeune homme tandis que son regard vient suivre la main du regard, cette même main qui se glissa sur son intimité et sous cet acte, le regard d’Orion s’agrandit. La scène était enivrante. Beaucoup trop enivrante pour lui. « Putain Siyeon … » souffle-alors Orion tandis que son regard ne quitte pas cette main effectuant un doux mouvement sur lui, se masturbant rien que pour lui. Rapidement il sentit Siyeon se resserrer autour de son sexe et il vient basculer sa tête en arrière, gémissant bruyamment et tentant difficilement de se retenir, plus encore lorsque le renard vient gémir son nom et se cambrer violemment sous l’orgasme qui venait de le terrasser. « Si … Siyeon. J’en peux plus. » murmure alors le garçon en venant enfoncer ses doigts dans la peau du renard lorsque celui-ci se mit à initier de longs mouvements de vas-et-viens. « Bordel. » vient alors jurer le plus vieux alors qu’il vient glisser ses mains dans le dos du renard, l’attirant un peu plus contre lui. « Putain Siyeon … T’es … T’es divin. » vient-il souffler entre deux gémissements tandis qu’il venait lui-même accompagner le plus jeune dans ses mouvements de hanches. « Laisses-moi prendre les rênes … S’il te plait. »

outfit +  Je me sentais bien, je me sentais si bien. J’aimais sentir le corps nu de mon amant contre le mien. Sentir la chaleur de son corps contre la mienne. Je planais littéralement. J’étais complètement emporté par les vagues du plaisir et de la libido. Et j’en voulais. Putain j’en voulais plus. Et c’était bien pour ça que je me donnais complètement à lui. Je prenais les commandes, j’étais sur lui et c’était moi qui avait l’ascendant. C’était moi qui menait la danse et je me montrais autoritaire, un peu trop sous le coup de l’excitation, mais bon sang qu’est-ce que j’aimais pouvoir réveiller cette partie de moi. Je vins me lécher doucement la lèvre inférieure alors qu’il me dit qu’il n’avait d’yeux que pour moi. Profite du spectable alors, alors rapidement je me maturbais, sans bouger, uniquement pour être serré tout autour de lui. Et alors que j’atteins rapidement l’orgasme en venant couiner le prénom de mon amant, j’en voulais encore. Je gémis en sentants la griffure au niveau de mes hanche. N’écoutant même pas ses paroles, mon bassin bougeait plus rapidement. Je poussais des petits sons strident, j’étais si serré que le moindre mouvement me rendait encore plus fou, me plongeant un peu plus dans cet état de transe. Je me laissais attirer contre Orion. Je le sentais accompagner mes mouvements et aller encore plus profond en moi. OPh… m…. merde. Orion ! Orion ! Je me contractais une nouvelle fois autour de mon aîné, essoufflé, crevé mais pourtant dans un état que je n’arrivais plus à décrire. Je finis par venir capturer les lèvres de mon amant ralentissant les mouvements de bassin. Puis rompant le contact je soufflais tout bas. Domine moi Orion… souille-moi, j’attendais qu’il le fasse, qu’il me retourne et me torture un dernière fois, nos dernières forces, faire l’amour jusqu’à tomber de fatigue.

A cet instant même Orion se sentait pris pour la deuxième fois dans un cercle de désir infini, sur lui Siyeon n’avait eu de cesse de le rendre fou, un peu plus chaque seconde. Se masturbant devant lui, il avait alors senti le renard se contracter de secondes en secondes autour de son membre le faisant gémir délicieusement sous cette douce étreinte. Puis finalement Siyeon s’était cambré libérant son orgasme au grand damne d’Orion qui se sentait partir, plus encore lorsque le renard commence à se mouvoir sur lui, l’américain venant griffer ses hanches tant le plaisir était entrain de prendre possession de lui. Rapidement le tueur à gages commence à suivre son mouvement, l’accompagnant sur chacun de ses vas-et-viens, couinant en le sentant se contracter à nouveau et l’entendre gémir son nom. « Mon dieu, continu. » ordonne alors l’américain d’une voix rauque, tandis que Siyeon vient capturer ses lèvres, il vient par la suite ralentir son mouvement faisant gémir de frustration Orion qui vient répondre à son baiser le suppliant de le laisser prendre le contrôle. Et finalement, Siyeon vient rompre leur baiser et ses mots font s’écarquiller les yeux du garçon. Surpris et choqué il l’observe quelques instants avant de le repousser, se retirant de son antre pour le pousser sur le matelas et grimper sur lui, rapidement il attrape l’une de ses jambes la plaçant sur l’une de ses épaules tandis qu’il le force à écarter un peu plus ses cuisses pour de suite venir s’y loger à nouveau. Une fois de retour entre les chairs du garçon, Orion se remet à gémir, venant entrelacer sa main à celle de Siyeon tandis qu’il démarre un rapide mouvement de vas-et-viens en lui, se retirant quelques fois pour mieux le pénétrer par la suite. Il allait le souiller, le souiller comme jamais auparavant.

Je perdais tous mes moyens, tant l’instant était intense. J’avais arrêté de pensé, j’avais complètement arrêté de penser au reste du monde. A cet instant le monde avait complètement cessé de tourner et je n’entendais plus que les réactions de mon amant qui était torturé par hanches. Il n’y avait pas de mot pour décrire ce qu’il se passait, c’était juste… incroyable. Je n’étais porté que par ses mots, ses actes. Et rapidement le second orgasme arrive. J’étais complètement cassé. le dos endolori, les reins en feu, ma respiration qui s’était affolée, le corps recouvert de sueur. Nos lèvres se scellèrent encore une fois, étouffant nos gémissements, ralentissant mon bassin pour faire durer le plaisir. Je voulais que ça dure encore et encore et encore. Et cette fois je le laissais reprendre le contrôle. Plus que que je lui gémis de me dominer et de me souiller. Je le laissais prendre le contrôle, non sans couiner de frustration alors que je le sentis se retirer. Je finis rapidement dos contre le matelas, poupée de chiffons je le laissais manier mon corps, écartant ma jambe au maximum pour lui laisser faire ce qu’il voulait de moi. Et quand je le sens se glisser en moi, mon corps se cambra à nouveau. Je glissais mes doigt entre les siens, plongeant mon regard dans le sien, exprimant tout ce que je ressentais pour lui. Tout mon désir, toute ma tendresse, tous ces sentiments qui me faisaient vriller l’esprit. Ses coups de reins se font rapides, précis, je le sens sortir, me reprendre à nouveau. Et mon frêle corps subissait ça, secoué par la torture d’Orion. Je me sentais parfois à ça de jouir et la frustration apparaissait. Ma tête commençait à tourner, alors que doigts se resserraient autour de la main d’Orion alors que je me sentais encore atteindre un climax de plaisir, laissant place à des cris, la discrétion s’était fait la malle et je couinais le prénom de mon amant en boucle comme une prière. J’avais l’impression que mon corps allait se briser mais putain c’était…. Putain… Orion… c’est bon. Ma politesse c’était fait la malle depuis longtemps et il ne restait que les jurons. Mais putain c’était bon.

Rapidement les deux jeunes gens avaient perdu tout contrôle de leur être, se laissant bercer par une nouvelle vague de plaisir alors que très vite Siyeon vient jouir une première fois torturant involontairement le plus vieux ,qui se sentait épris d’un désir si ardent qu’il peinait à ne pas se laisser aller. Très vite Siyeon se penche vers lui, lui intimant de le souiller, de le dominer et l’américain ne se fait pas prier plus venant embrasser fougueusement le renard avant de le faire rouler sous lui. A cet instant précis Siyeon n’était plus qu’une poupée de chiffon entre les doigts du tueur à gages qui se plaisait à le voir se tordre de plaisir et de frustration, qui se plaisait à observer ses cuisses s’écarter un peu plus pour lui laisser l’accès, pour augmenter leurs nouveaux désirs. Sous lui, Siyeon se met à gémir à chaque vas-et-viens qu’exerce le plus vieux entre ses chairs au plus grand plaisir de celui-ci qui se plait à l’entendre t à voir son visage se déformer sous le plaisir et sous la terrible frustration dont Orion semblait divinement s’amuser. « ça c’est pour m’avoir empêché de jouir… » lui murmure-t-il alors au creux de l’oreille avant de serrer les dents sous ses mots « Fais attention à tes paroles Siyeon. » lui dit-il alors qu’il s’extirpe à nouveau de son antre pour venir le pénétrer violemment, sentant déjà son corps se cambrer sous son geste. « Je déteste les vilains garçons. » continu-t-il en venant à nouveau lui asséner un coup de rein puissant en guise de prévention.

outfit +  Orion était en train de me rendre fou, complètement fou. Non, le fait était que j’avais déjà sombré dans la folie la plus totale. alors que j’étais sur le dos, je ne pus m’empêcher d’écarter les cuisses pour le renard, lui montrer à quel point je pouvais le désirer à cet instant. Et je me laissais faire, j’adorais ça. cette fois-ci était beaucoup plus sauvage que dans la buanderie. Sous les coups de rein d’Orion je me tordais, je me cambrais, je me brisais les reins. Je sentais déjà que j’avais des vertiges à cause de ce que mon aîné m’infligeais. Mais je ne pouvais pas lui dire d’arrêter, je ne voulais pas. Je voulais qu’il me martyrise, encore et encore. Je voulais qu’il me fasse ça même tout la nuit s’il voulait. Je n’étais qu’un objet entre ces mains et bon sang j’adorais ça. Alors qu’il me reparle, il me punit de violent coups de reins. J’entendis nettement le bruit de ses hanches claquer contre les mienne, je poussais un petit cri, et un autre. Je me tordis sous cet acte et aux troisième coup de rein, je revins jouir autour de mon amant, poussant un cri que toute la fraternité avait dû entendre. Le dos brisé, je retombais lourdement sur le matelas essoufflé. Orion…. je... Je le regardais exténué, complètement rouge. J’en pe…. peux plus... Il allait me briser, mais à la fois je ne voulais pas. Je voulais voulais qu’il me prenne jusqu’à que je finisse par tomber de fatigue, que je m’assoupisse contre lui. Or...ORION ! J’étais dingue, dingue de cet homme que je connaissais à peine et à qui je me donnais pourtant et il était en train de me rendre accro à lui.

Sous lui Siyeon n’est plus qu’une marionnette entre ses doigts, une douce poupée gémissant sans cesse à chacun de ses vas et viens, une douce mélodie qu’Orion apprend à apprécier de plus en plus. Tout est différent, tellement différent de la buanderie, mais bon dieu qu’il aimait ça le renard. Il aimait retrouver le contrôle de son corps mais aussi de celui du jeune homme, il aimait dominer, garder les rênes. Et à cet instant c’est ce qu’il fait, lui assénant de violents coup de reins pour le punir de son insolence mais aussi de la frustration auquel il l’avait mis à l’épreuve. Un premier, le jeune homme gémit. Un deuxième leurs hanches claquent les unes contre les autres. Un troisième. Un dernier. Et Siyeon se tord dans tous les sens, tente de s’échapper à cette torture qui rapidement le fait se resserrer et jouir autour de lui. Les mains d’Orion se glissent alors sur le corps de Siyeon, le caressant avec une tendresse contrastant fortement avec les coups qu’il n’avait de cesse de lui asséner, attendant lui-même son propre orgasme. « Tiens. Encore un peu. » lui ordonne-t-il alors qu’il ne cesse aucunement ses mouvements jusqu’à ce qu’il vienne littéralement jouir entre les chairs du garçon, dans un dernier gémissement de plaisir, alors que profondément essoufflé il se laisse retomber sur le corps du plus jeune murmurant « C’est dingue l’effet que tu peux me faire Siyeon. »

outfit +  Nos corps continuaient de s’entremêler érotiquement et putain comme c’était bon. J’avais adoré passer au dessus d’Orion pour mener la danse de mes hanches, mais là clairement la manière dont il me dominait me rendait complètement dingue. Je me faisais maltraiter de ses coups de reins. Le genre qui faisait claquer les hanches et allaient à coup de me laisser des marques sur la peau. Mais je m’en foutais, je planais, je planais doucement, je planais brutalement. Mon corps de tortillais sous les coups de reins de mon partenaire. Encore une fois je me sentis me contracter autour de mon amant, atteignant encore une fois un orgasme. S’il avait été hésité la première fois, Orion avait très vite remplacé ce doute par une assurance de tous les diables et bon sang j’adorais ça. Même si mon corps se faisait secouer d’orgasmes et bien frêle je sentais que j’étais à ça d’imploser, c’était trop pour moi, pour mon corps si frêle et fragile. Je n’en pouvais plus et pourtant j’en voulais encore. Comme une drogue dure je ne voulais pas que ça cesse je voulais crier son prénom toute la nuit. Mais je devais tenir, encore un peu. Oui encore. Il n’eut de cesse de martyriser et comme c’était bon d’être un martyr. La torture se poursuivit jusqu’à ce que je le sente venir en moi, souriant satisfait de ses gémissements. Alors qu’il se laissa retomber sur moi, je souris complètement essoufflé par ce moment aussi brutal qu'intense. Je… s...flatté. Je souris alors que mes bras vinrent naturellement se glisser dans le dos de mon amant, commençant à la caresser doucement, sentant sa sueur au bout de mes doigts. C’était… putain wow. Je n’avais pas les mots et je ne voulais pas vraiment en mettre. Naturellement mes jambes étaient venues se nouer autour de la taille du jeune gumiho, rapprochant son bassin du mien le forçant à rester tout contre moi. Tu me rends fou aussi Orion, il faisait un effet de dingue, il m’attirait, il m’excitait, c’était bien pour ça que j’avais fuit la première fois, alors qu’il m’avait dragué. Parce que j’avais eu peur, maintenant il savait. Il connaissait mon secret. je n’avais plus peur.