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Il fallait que ce soit toi... [Pv Ella]
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Re: Il fallait que ce soit toi... [Pv Ella] | Dim 20 Jan - 17:56 Citer EditerSupprimer
Je lui ai ouvert mon cœur, avoué les sentiments que je garde toujours cachés en moi par pudeur, par honte. Je ne sais pas pourquoi j’ai osé les lui dire, je n’avais pas envie qu’elle abandonne notre relation mais je ne savais pas non plus si en lui disant tout cela, ça fonctionnerait. Je la regarde à présent, ma main est toujours sur la porte parce que je ne veux pas la voir se fermer, parce que je ne sais pas si Ella est capable de la clore. Je ne veux pas lui en donner l’occasion, c’est trop con, ça ne peut pas s’arrêter là à cause d’une histoire pareille. Elle m’a blessée, je lui ai également fait du mal et nos comportements nous ont causé du tort.
Il y a des moments où lorsqu’on est soi-même, on fait du mal aux autres. C’est un fait qui me correspond un peu trop. Je suis alors souvent comparé à un homme sans cœur, juste capable de jurer et de détester le monde qui l’entoure. Il y a une partie indéniable de vrai dans ce que toutes ces personnes disent à mon sujet. J’ai un caractère fort, insensible, je me suis construit à l’opposé de mon frère et sans raison apparente, je suis devenu celui qu’aujourd’hui je suis. Je ne connais pas souvent le sentiment de calme, l’apaisement, poussé par une adrénaline qui continue de me rendre brut, vrai sans jamais l’être vraiment. L’amour, l’amitié, l’attendrissement, tous ces sentiments que je repousse constamment ne ressortent qu’en présence de certaines personnes. Il y a toujours des personnes qui font sortir le meilleur de moi. Ce ne sont pas les plus gentilles, ce ne sont pas les élites de la population. Ce sont celles qui, sans rien faire, parviennent à m’apaiser, à me rendre un sourire trop rare sur mes lèvres.
Je n’en compte pas beaucoup, peut-être pas assez, peut-être bien trop déjà ? Mon frère m’a longtemps suffi, me permettant de ne jamais chercher d’autres relations, d’autres personnes que je ne traiterais pas de sorte qu’elles me haïssent. Quand la musique a pris une place définitive dans ma vie, j’ai appris que je ne serais pas toujours en duo, main dans la main de mon jumeau. Je me retrouve alors entourer d’autres, de ceux qui ne me détesteront pas mais qui partageront ma passion : Zeus. Si je pensais il y a quelques semaines que je n’aurais droit qu’à ces deux bonheurs dans ma vie, j’ai rencontré Ella. Cette femme devant moi, cette femme qui en si peu de temps m’a ouvert à elle avant de me repousser et de me blesser, cette femme étrange qui a fait naître en moi des sentiments tout aussi étranges, je ne parviens pas à la laisser tomber. J’en ai laissé tomber pourtant, des femmes, elles n’étaient pas importantes, je n’étais pas non plus important pour elles. Pourquoi Ella l’est-elle ? Qui y a-t-il dans ses yeux bleus pour me perturber comme elle le fait ? Les mots grossiers disparaissent de mon vocabulaire et si je m’énerve sur elle, je sens dès que je la vois blessée que je n’ai pas bien agi et… Je regrette. Je lui ai alors tout dit. Pourquoi je l’ai embrassée, comment je voyais nos baisers, ce que j’ai osé espérer et je ne sais pas si ce que je lui ai dit va permettre de changer quelque chose, l’empêcher de fermer cette porte.
Ella tends alors ses bras et ses mains prennent les miennes. Je la regarde sans comprendre, je la laisse m’entraîner à l’intérieur des toilettes et la porte se referme dans un léger grincement derrière moi. Je ne devrais pas être dans cet endroit mais sur le moment, je n’y pense même pas une seconde. Elle vient contre moi, j’ancre mon regard dans le sien, mon front contre le sien et je n’ose pas anticiper ce qu’il va peut-être se passer. C’est entre elle et moi. C’est ce qu’elle annonce avant de joindre une nouvelle fois nos lèvres ensemble. J’aurais dû oser anticiper. Ma main se glisse dans le creux du dos de la jeune femme et je profite du baiser qu’elle m’offre et cette fois en pleine conscience de qui je suis. Je devrais être un peu réticent, peut-être que je devrais craindre que ce ne soit encore un jeu mais ce n’est pas le cas. Je sens quand ses lèvres frôlent les miennes qu’il y a une sincérité absente dans nos baisers passés et à nouveau, mon cœur se permet de penser que ce sentiment sera dans chacun des baisers que l’on échangera. Elle s’éloigne déjà mais je ne laisse pas son corps se détacher du mien, posant à nouveau mon front contre le sien. Je me mords la lèvre avant de sourire à l’entente de ses mots.
-Disons adieu à notre relation professionnelle alors ! Je veux qu’il n’y ait que toi et moi maintenant.
Je m’exclame ces quelques mots avant de glisser ma main sur sa joue puis dans ses longs cheveux. Mes doigts s’y perdent dans une caresse qui rapproche son visage du mien, mes lèvres réclamant encore les siennes. Je parcours à nouveau ses lèvres de baisers et ma main se permet de la rapprocher encore plus de moi. Est-ce de l’amour ? Je n’ai pas envie de me poser la question maintenant mais il est certain qu’il y a entre elle et moi quelque chose de parfaitement inhabituel. Je ne compte pas m’éloigner mais le sort en décide autrement puisque j’entends la voix familière de mes amis m’appeler sans savoir où je suis. Je m’éloigne alors de la jeune femme, laissant le goût sucré de ses lèvres sur les miennes et je la regarde avec un sourire léger.
-Je crois qu’on nous attend… Tu acceptes de faire ce MV avec moi ?
Il y a des moments où lorsqu’on est soi-même, on fait du mal aux autres. C’est un fait qui me correspond un peu trop. Je suis alors souvent comparé à un homme sans cœur, juste capable de jurer et de détester le monde qui l’entoure. Il y a une partie indéniable de vrai dans ce que toutes ces personnes disent à mon sujet. J’ai un caractère fort, insensible, je me suis construit à l’opposé de mon frère et sans raison apparente, je suis devenu celui qu’aujourd’hui je suis. Je ne connais pas souvent le sentiment de calme, l’apaisement, poussé par une adrénaline qui continue de me rendre brut, vrai sans jamais l’être vraiment. L’amour, l’amitié, l’attendrissement, tous ces sentiments que je repousse constamment ne ressortent qu’en présence de certaines personnes. Il y a toujours des personnes qui font sortir le meilleur de moi. Ce ne sont pas les plus gentilles, ce ne sont pas les élites de la population. Ce sont celles qui, sans rien faire, parviennent à m’apaiser, à me rendre un sourire trop rare sur mes lèvres.
Je n’en compte pas beaucoup, peut-être pas assez, peut-être bien trop déjà ? Mon frère m’a longtemps suffi, me permettant de ne jamais chercher d’autres relations, d’autres personnes que je ne traiterais pas de sorte qu’elles me haïssent. Quand la musique a pris une place définitive dans ma vie, j’ai appris que je ne serais pas toujours en duo, main dans la main de mon jumeau. Je me retrouve alors entourer d’autres, de ceux qui ne me détesteront pas mais qui partageront ma passion : Zeus. Si je pensais il y a quelques semaines que je n’aurais droit qu’à ces deux bonheurs dans ma vie, j’ai rencontré Ella. Cette femme devant moi, cette femme qui en si peu de temps m’a ouvert à elle avant de me repousser et de me blesser, cette femme étrange qui a fait naître en moi des sentiments tout aussi étranges, je ne parviens pas à la laisser tomber. J’en ai laissé tomber pourtant, des femmes, elles n’étaient pas importantes, je n’étais pas non plus important pour elles. Pourquoi Ella l’est-elle ? Qui y a-t-il dans ses yeux bleus pour me perturber comme elle le fait ? Les mots grossiers disparaissent de mon vocabulaire et si je m’énerve sur elle, je sens dès que je la vois blessée que je n’ai pas bien agi et… Je regrette. Je lui ai alors tout dit. Pourquoi je l’ai embrassée, comment je voyais nos baisers, ce que j’ai osé espérer et je ne sais pas si ce que je lui ai dit va permettre de changer quelque chose, l’empêcher de fermer cette porte.
Ella tends alors ses bras et ses mains prennent les miennes. Je la regarde sans comprendre, je la laisse m’entraîner à l’intérieur des toilettes et la porte se referme dans un léger grincement derrière moi. Je ne devrais pas être dans cet endroit mais sur le moment, je n’y pense même pas une seconde. Elle vient contre moi, j’ancre mon regard dans le sien, mon front contre le sien et je n’ose pas anticiper ce qu’il va peut-être se passer. C’est entre elle et moi. C’est ce qu’elle annonce avant de joindre une nouvelle fois nos lèvres ensemble. J’aurais dû oser anticiper. Ma main se glisse dans le creux du dos de la jeune femme et je profite du baiser qu’elle m’offre et cette fois en pleine conscience de qui je suis. Je devrais être un peu réticent, peut-être que je devrais craindre que ce ne soit encore un jeu mais ce n’est pas le cas. Je sens quand ses lèvres frôlent les miennes qu’il y a une sincérité absente dans nos baisers passés et à nouveau, mon cœur se permet de penser que ce sentiment sera dans chacun des baisers que l’on échangera. Elle s’éloigne déjà mais je ne laisse pas son corps se détacher du mien, posant à nouveau mon front contre le sien. Je me mords la lèvre avant de sourire à l’entente de ses mots.
-Disons adieu à notre relation professionnelle alors ! Je veux qu’il n’y ait que toi et moi maintenant.
Je m’exclame ces quelques mots avant de glisser ma main sur sa joue puis dans ses longs cheveux. Mes doigts s’y perdent dans une caresse qui rapproche son visage du mien, mes lèvres réclamant encore les siennes. Je parcours à nouveau ses lèvres de baisers et ma main se permet de la rapprocher encore plus de moi. Est-ce de l’amour ? Je n’ai pas envie de me poser la question maintenant mais il est certain qu’il y a entre elle et moi quelque chose de parfaitement inhabituel. Je ne compte pas m’éloigner mais le sort en décide autrement puisque j’entends la voix familière de mes amis m’appeler sans savoir où je suis. Je m’éloigne alors de la jeune femme, laissant le goût sucré de ses lèvres sur les miennes et je la regarde avec un sourire léger.
-Je crois qu’on nous attend… Tu acceptes de faire ce MV avec moi ?
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Re: Il fallait que ce soit toi... [Pv Ella] | Dim 20 Jan - 18:30 Citer EditerSupprimer
Il accepte mon baiser. Il accepte aussi de ne plus avoir de rendez-vous professionnels avec moi et j'en étais heureuse. Il me prouve même que le contact de nos corps et de nos lèvres lui plaît, car il me blottit contre lui avant de m'offrir plusieurs baisers qui me font vibrer. Chaque histoire d’amour commence par un baiser qui fait cogner le cœur et tourner la tête. Mon coeur cogne, actuellement. Ma tête tourne, aussi. Je n’oublierais jamais à quel point c’est bon, nos baisers… Et si on se mettait à jouer aux jeux les plus coquins en matière de bisous ? Car l'appel de son groupe ne m'interpelle pas. Je m'en moque, à vrai dire. Et lorsque je vois Kwang Min s'écarter de moi, je suis triste. Mon coeur arrive même à me faire mal. Alors je retourne contre lui. Je colle mon corps au sien en passant mes bras autour de son cou. Je l'embrasse du bout des lèvres. Je ne veux pas arrêter.
- Ils n'ont qu'à continuer à nous chercher, personne ne viendra regarder ici ! lui murmurais-je, à l'oreille.
Bien sûr que je sais à quel point un baiser est savoureux. Mais, quand on est en couple, on a tendance à le délaisser. On pose sur les lèvres de son homme un baiser tendre qui dit « tu vas me manquer », ou un baiser de complicité, léger comme une plume au creux du cou, mais pas assez long pour que naisse l'érotisme. Ce qui est bien avec mon partenaire actuel, c'est que nous ne sommes pas un couple. Et, quand on commence un vrai baiser, nos corps pressés nous poussent avec avidité à l'étape d'après. Or que se passe-t-il si on accorde au baiser plus de temps ? Un peu comme quand, adolescentes, on passait des heures, langues emmêlées, au milieu de la cour : on est submergées d'émotions fortes. C'est ce que je veux découvrir. Il y a une part de jeu dans le baiser : on s'y brûle sans aller plus loin, jusqu'à ce que notre corps succombe. Je veux qu'il succombe. Comme il m'a fait craquer.
Je plonge mes yeux dans les siens, j'approche doucement mes lèvres en souriant, je ferme les yeux, voulant qu'il le fasse aussi, et je promène mes lèvres sur les siennes. J'effleure, peau contre peau. Ça surprend et ajoute l'attente du vrai baiser rendant le moment très excitant. Je joue, je presse nos lèvres, je mordille, je tourne même nos langues entre elles, j'arrête, juste le temps de plonger mes yeux dans les siens, je reprends. Et je finis par sucer doucement la lèvre inférieure de celui qui, actuellement, se trouve être mon homme, puis je tire dessus en la pinçant légèrement. Et seulement suite à cela, je fais un pas en arrière pour, légèrement, m'écarter de lui.
- On peut les rejoindre, maintenant, si tu veux. Sauf si tu préfères que je continue ? dis-je en souriant en coin. Que l'on continue de s'embrasser.
- Ils n'ont qu'à continuer à nous chercher, personne ne viendra regarder ici ! lui murmurais-je, à l'oreille.
Bien sûr que je sais à quel point un baiser est savoureux. Mais, quand on est en couple, on a tendance à le délaisser. On pose sur les lèvres de son homme un baiser tendre qui dit « tu vas me manquer », ou un baiser de complicité, léger comme une plume au creux du cou, mais pas assez long pour que naisse l'érotisme. Ce qui est bien avec mon partenaire actuel, c'est que nous ne sommes pas un couple. Et, quand on commence un vrai baiser, nos corps pressés nous poussent avec avidité à l'étape d'après. Or que se passe-t-il si on accorde au baiser plus de temps ? Un peu comme quand, adolescentes, on passait des heures, langues emmêlées, au milieu de la cour : on est submergées d'émotions fortes. C'est ce que je veux découvrir. Il y a une part de jeu dans le baiser : on s'y brûle sans aller plus loin, jusqu'à ce que notre corps succombe. Je veux qu'il succombe. Comme il m'a fait craquer.
Je plonge mes yeux dans les siens, j'approche doucement mes lèvres en souriant, je ferme les yeux, voulant qu'il le fasse aussi, et je promène mes lèvres sur les siennes. J'effleure, peau contre peau. Ça surprend et ajoute l'attente du vrai baiser rendant le moment très excitant. Je joue, je presse nos lèvres, je mordille, je tourne même nos langues entre elles, j'arrête, juste le temps de plonger mes yeux dans les siens, je reprends. Et je finis par sucer doucement la lèvre inférieure de celui qui, actuellement, se trouve être mon homme, puis je tire dessus en la pinçant légèrement. Et seulement suite à cela, je fais un pas en arrière pour, légèrement, m'écarter de lui.
- On peut les rejoindre, maintenant, si tu veux. Sauf si tu préfères que je continue ? dis-je en souriant en coin. Que l'on continue de s'embrasser.
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Re: Il fallait que ce soit toi... [Pv Ella] | Dim 20 Jan - 22:53 Citer EditerSupprimer
Je me suis éloigné d’elle à contre-cœur en entendant l’appel des membres de mon groupe. Ils doivent se demander où nous avons disparu et ce ne serait certainement pas raisonnable de rester ici avec Ella. Mais la jeune femme s’approche à nouveau de moi et ses bras se passent autour de mon cou. Il suffit que ses lèvres frôlent les miennes alors que ses yeux bleus croisent les mieux et mon cœur oublie toute la raison qui tentait de le convaincre. Ses mots se glissent contre mes tympans et je souris en coin. J’envoie alors l’agence se faire foutre pour quelques minutes de plus dans les bras de la belle jeune femme. Nous les rejoindrons, mais pas maintenant, rien ne nous presse. Mes doigts se posent sur la taille d’Ella et je la rapproche de moi en me léchant les lèvres d’anticipation. De ses côtés, mes mains continuent leur chemin et se glisse dans son dos avec autant de force que de douceur. Je ne lâche pas ses yeux d’une seconde, il n’y a plus qu’elle et moi et je sais que dans quelques secondes, tout disparaîtra au profit de ses lèvres contre les miennes.
Elle ferme les yeux, je fais immédiatement de même alors que la rencontre se fait et que nos corps sont à nouveau épris de la flamme passionnée qui nous pousse à nous embrasser encore et encore. Mon pouls accélère déjà, je sens contre ma cage thoracique mon cœur prendre une allure folle et la sensation fait naître dans mon corps un bien-être qui ne doit surtout pas s’arrêter. Le baiser prend la forme d’un jeu avec lequel je veux continuer de m’amuser. Ella se fait plus entreprenante que je l’imaginais, ses dents me mordillent et sa langue se rajoute à la danse. Mes mains la rapprochent de moi, nos souffles s’entremêlent dans un rythme rapide qui ne fait qu’encourager cette valse entre nos langues d’accélérer encore. Elle s’arrête, nos regards se croisent immédiatement et je la dévore d’un seul coup d’œil avant que notre baiser ne reprenne. Elle suce ma lèvre inférieure et la sensation m’arrache un soupir qui prend rapidement fin comme elle s’éloigne à son tour de moi. Je la regarde en comprenant que sa proposition me donne deux choix sans vraiment me les donner, je sais déjà que la raison m’a abandonné, il n’y a plus que mon cœur qui guide chacun de mes gestes et de mes envies. Je la prends par la taille et, la faisant un peu pivoter, je la pousse contre un mur et presse mon corps contre le sien. Je caresse alors sa joue avant de venir frôler ses lèvres avec la frustration qu’elle a laissée en moi en s’éloignant.
-Je crois qu’ils peuvent attendre encore quelques minutes…
Je souffle ces quelques mots avant de m’abandonner à mes envies et je joins à nouveau nos lèvres. Cette fois, c’est moi qui guide la danse que nos lèvres font et ma main sur sa joue descend dans sa nuque pour attirer son visage contre le mien. Je caresse ses lèvres du bout des miennes pour en découvrir le goût dont je ne suis pas prêt de me lasser. Je n’ai aucune limite, nous n’avons aucune obligation, nous nous embrassons parce que nous aimons ça, parce que nous ne pouvons pas y résister et que nos lèvres se scellent malgré elles. Mon autre main se glisse sur sa hanche alors que mon corps la presse un peu plus contre le mur. Je mordille à mon tour sa lèvre inférieure, voulant découvrir les mille façons possibles de l’embrasser. Je ne sais pas ce que nous sommes, ni un couple, ni des amis, un entre-deux qui semble nous convenir pour le moment. Je rejoins nos langues, je caresse la sienne comme ma respiration brûlante se mêle à la sienne pour n’en faire qu’une seule, une harmonie faite de nos souffles. Je blottis mes lèvres contre les siennes tout en étant doux, je reste moi-même et ma force de caractère se ressent dans le baiser que je lui offre. Je ne m’éloigne qu’après de longues secondes et je reste à quelques centimètres de ses lèvres, comme pour promettre que ce n’est pas encore la fin de ce moment qui n’appartient qu’à nous.
-Je pourrais t’embrasser pendant des heures…
Elle ferme les yeux, je fais immédiatement de même alors que la rencontre se fait et que nos corps sont à nouveau épris de la flamme passionnée qui nous pousse à nous embrasser encore et encore. Mon pouls accélère déjà, je sens contre ma cage thoracique mon cœur prendre une allure folle et la sensation fait naître dans mon corps un bien-être qui ne doit surtout pas s’arrêter. Le baiser prend la forme d’un jeu avec lequel je veux continuer de m’amuser. Ella se fait plus entreprenante que je l’imaginais, ses dents me mordillent et sa langue se rajoute à la danse. Mes mains la rapprochent de moi, nos souffles s’entremêlent dans un rythme rapide qui ne fait qu’encourager cette valse entre nos langues d’accélérer encore. Elle s’arrête, nos regards se croisent immédiatement et je la dévore d’un seul coup d’œil avant que notre baiser ne reprenne. Elle suce ma lèvre inférieure et la sensation m’arrache un soupir qui prend rapidement fin comme elle s’éloigne à son tour de moi. Je la regarde en comprenant que sa proposition me donne deux choix sans vraiment me les donner, je sais déjà que la raison m’a abandonné, il n’y a plus que mon cœur qui guide chacun de mes gestes et de mes envies. Je la prends par la taille et, la faisant un peu pivoter, je la pousse contre un mur et presse mon corps contre le sien. Je caresse alors sa joue avant de venir frôler ses lèvres avec la frustration qu’elle a laissée en moi en s’éloignant.
-Je crois qu’ils peuvent attendre encore quelques minutes…
Je souffle ces quelques mots avant de m’abandonner à mes envies et je joins à nouveau nos lèvres. Cette fois, c’est moi qui guide la danse que nos lèvres font et ma main sur sa joue descend dans sa nuque pour attirer son visage contre le mien. Je caresse ses lèvres du bout des miennes pour en découvrir le goût dont je ne suis pas prêt de me lasser. Je n’ai aucune limite, nous n’avons aucune obligation, nous nous embrassons parce que nous aimons ça, parce que nous ne pouvons pas y résister et que nos lèvres se scellent malgré elles. Mon autre main se glisse sur sa hanche alors que mon corps la presse un peu plus contre le mur. Je mordille à mon tour sa lèvre inférieure, voulant découvrir les mille façons possibles de l’embrasser. Je ne sais pas ce que nous sommes, ni un couple, ni des amis, un entre-deux qui semble nous convenir pour le moment. Je rejoins nos langues, je caresse la sienne comme ma respiration brûlante se mêle à la sienne pour n’en faire qu’une seule, une harmonie faite de nos souffles. Je blottis mes lèvres contre les siennes tout en étant doux, je reste moi-même et ma force de caractère se ressent dans le baiser que je lui offre. Je ne m’éloigne qu’après de longues secondes et je reste à quelques centimètres de ses lèvres, comme pour promettre que ce n’est pas encore la fin de ce moment qui n’appartient qu’à nous.
-Je pourrais t’embrasser pendant des heures…
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Re: Il fallait que ce soit toi... [Pv Ella] | Dim 20 Jan - 23:56 Citer EditerSupprimer
Je suis comme devenue accro. Accro à sa présence, sa tendresse, son contact, ses baisers. Sa douceur, aussi. Pourtant, je ne le connais pas. Réellement, je connais plus Hermès que Kwang Min, cela va sans dire. Mais j'avais cette envie de le connaître davantage. Cette envie de rester auprès de lui. Cette envie qu'il reste auprès de moi. Je n'avais qu'une peur. Qu'il me repousse. Qu'il me quitte. Je refusais de penser à une telle déchirure. On ne s'était rencontré que trois fois mais quelque chose de fort nous unissait. Même s'il m'a fait pleurer, même s'il m'a fait mal, je veux qu'il sache qu'il est comme mon dernier amour. En quelque sorte. Car il ne l'est pas vraiment, bien entendu. Mais tout comme. Je ne sais pas trop ce que nous sommes. Comment pourrions-nous être quelque chose ? Nous ne sommes rien. Nous ne sommes que Kwang Min et Ella. Nous. Je ne sais pas ce qu'il attendait de moi, de notre histoire. Je m'en foutais, à vrai dire. Car quoi qu'il veuille, je serais d'accord. S'il souhaite que l'on s'embrasse toute la journée, je dirais oui. S'il souhaite qu'on reste amis, je dirais oui. S'il souhaite que l'on soit des sex friends, je dirais oui. S'il souhaite que l'on soit un couple, je dirais oui. J'accepterais tout de lui. Je sais que ce n'est pas raisonnable et que mes proches me le reprocheront sûrement. Le choix de vouloir rester avec lui va m'attirer des ennuis, j'en ai conscience. Mais je veux tenter la chose. Je veux tenter et espérer que la vie devienne un peu plus rose. Tant qu'il ne me repousse pas, tant qu'il ne me laisse pas, je serais heureuse. Je n'ai que lui, après tout. Enfin, c'est une façon de parler bien sûr. Car j'ai mes amis, mes proches, ma famille. Que vont-ils penser s'ils apprenaient mon comportement actuel ?
Je suis comme ailleurs. Perturbée par ce qu'il se passe. Mais je profite de l'instant présent car je ne voudrais être nul part ailleurs. Et j'ose espérer que lui non plus. Il m'a fait une déclaration tout à l'heure, non ? Je n'ai pas rêvé. C'était une déclaration. Je ne sais plus distinguer le bien du mal. Est-ce que mon comportement est correct ? Est-ce raisonnable de le vouloir rien que pour moi ? Je me dis juste que s'il m'aime, il ne partira pas. Il ne me quittera pas. Mais comment peut-il m'aimer ? Nous ne nous connaissons pas assez. Nous ne nous sommes fréquentés qu'à trois reprises. Et nos caractères, mis ensemble, sont si explosifs que nous avons failli briser notre relation. Et maintenant, nous voilà en train de nous prouver que nous nous attirons l'un l'autre. Mais peut-être est-ce la solution ? De le rendre amoureux de moi. Ainsi, il restera pour toujours à mes côtés. Il demeurera même près de moi, dès demain.
Quand je le tiens dans mes bras, mon coeur commence à battre des ailes. Mon coeur bouge et j'ai du mal à le suivre. Il est le seul à me faire ressentir de telles choses depuis la dernière fois. En seulement trois rencontres. C'est un record. Un signe. Et s'il finissait par me dire qu'il m'aimait ? Impossible. Mais j'essaierais de le rendre amoureux. Ainsi, il me le dira et mon coeur pourra s'emballer de nouveau. J'ai ce besoin de vouloir quelqu'un qui m'aime à mes côtés. Et je veux pouvoir aimer. Il est le parti idéal. Le seul qui m'en donne envie. Le seul et l'unique. Alors pourquoi ne pas tenter ? Je sais que mes proches me reprocheront un tel raisonnement. Mais tant pis. Je veux tenter. Réellement. Je veux croire en lui. Je ne peux pas continuer sans lui. Car je le veux. Je l'aime à ma manière. Je ne l'aime pas encore d'un amour sincère et éternel mais je ferais tout pour. Je veux tout de lui. Absolument tout. Et je veux m'offrir à lui. Tout lui donner afin qu'il soit véritablement mon dernier amour. Mais j'ai bien conscience que ce n'est pas si facile. Il n'y a que dans les films où les couples se forment si facilement. Mais nous réussirons si c'est ce qu'il désire, aussi. Je ne veux tout simplement pas qu'il m'oublie. Je veux marquer sa vie même si un jour nous venons à réellement nous quitter. Même si le temps passe et change, je le veux près de moi. Je n'irais nul part sans lui. Je ne l'oublierais pas, même pour une seconde. J'aurais presque l'envie de m'enfuir avec lui pour voir jusqu'où notre passion naissante nous mènera.
- Et j'aimerais que tu m'embrasses pendant des heures ! J'aimerais pouvoir être toute à toi pendant des heures ! lui soufflais-je à l'oreille. Mais il ne faut pas abuser des bonnes choses !
Je pose l'un de mes index sur ses lèvres et le fait s'écarter doucement de moi. Je lui souris en faisant cela. Pour le moment, nous avons à faire. Peut-être que nous pourrons nous retrouver, après le tournage, pour continuer ce doux moment. Je l'espérais du moins. J'aurais du m'en tenir à ce discours et le pousser à sortir de cette pièce mais au lieu de ça, j'ai encore une fois laissé ma franchise prendre le dessus.
- Si l'on ne s'arrête pas maintenant, ils nous attendront longtemps et j'aurais des idées peu catholiques en tête ! dis-je en riant doucement.
Mes joues se mettent alors à rougir lorsque je pris conscience de ce que je venais de dire. Je n'aurais pas du dire ça. Non, je n'aurais pas du. Pour quelle fille va-t-il me prendre, maintenant ? Je cachais mon visage en tournant la tête et en laissant mes cheveux le recouvrir. Quelle honte !
- On y va ? lâchai-je, avant de tousser.
Je suis comme ailleurs. Perturbée par ce qu'il se passe. Mais je profite de l'instant présent car je ne voudrais être nul part ailleurs. Et j'ose espérer que lui non plus. Il m'a fait une déclaration tout à l'heure, non ? Je n'ai pas rêvé. C'était une déclaration. Je ne sais plus distinguer le bien du mal. Est-ce que mon comportement est correct ? Est-ce raisonnable de le vouloir rien que pour moi ? Je me dis juste que s'il m'aime, il ne partira pas. Il ne me quittera pas. Mais comment peut-il m'aimer ? Nous ne nous connaissons pas assez. Nous ne nous sommes fréquentés qu'à trois reprises. Et nos caractères, mis ensemble, sont si explosifs que nous avons failli briser notre relation. Et maintenant, nous voilà en train de nous prouver que nous nous attirons l'un l'autre. Mais peut-être est-ce la solution ? De le rendre amoureux de moi. Ainsi, il restera pour toujours à mes côtés. Il demeurera même près de moi, dès demain.
Quand je le tiens dans mes bras, mon coeur commence à battre des ailes. Mon coeur bouge et j'ai du mal à le suivre. Il est le seul à me faire ressentir de telles choses depuis la dernière fois. En seulement trois rencontres. C'est un record. Un signe. Et s'il finissait par me dire qu'il m'aimait ? Impossible. Mais j'essaierais de le rendre amoureux. Ainsi, il me le dira et mon coeur pourra s'emballer de nouveau. J'ai ce besoin de vouloir quelqu'un qui m'aime à mes côtés. Et je veux pouvoir aimer. Il est le parti idéal. Le seul qui m'en donne envie. Le seul et l'unique. Alors pourquoi ne pas tenter ? Je sais que mes proches me reprocheront un tel raisonnement. Mais tant pis. Je veux tenter. Réellement. Je veux croire en lui. Je ne peux pas continuer sans lui. Car je le veux. Je l'aime à ma manière. Je ne l'aime pas encore d'un amour sincère et éternel mais je ferais tout pour. Je veux tout de lui. Absolument tout. Et je veux m'offrir à lui. Tout lui donner afin qu'il soit véritablement mon dernier amour. Mais j'ai bien conscience que ce n'est pas si facile. Il n'y a que dans les films où les couples se forment si facilement. Mais nous réussirons si c'est ce qu'il désire, aussi. Je ne veux tout simplement pas qu'il m'oublie. Je veux marquer sa vie même si un jour nous venons à réellement nous quitter. Même si le temps passe et change, je le veux près de moi. Je n'irais nul part sans lui. Je ne l'oublierais pas, même pour une seconde. J'aurais presque l'envie de m'enfuir avec lui pour voir jusqu'où notre passion naissante nous mènera.
- Et j'aimerais que tu m'embrasses pendant des heures ! J'aimerais pouvoir être toute à toi pendant des heures ! lui soufflais-je à l'oreille. Mais il ne faut pas abuser des bonnes choses !
Je pose l'un de mes index sur ses lèvres et le fait s'écarter doucement de moi. Je lui souris en faisant cela. Pour le moment, nous avons à faire. Peut-être que nous pourrons nous retrouver, après le tournage, pour continuer ce doux moment. Je l'espérais du moins. J'aurais du m'en tenir à ce discours et le pousser à sortir de cette pièce mais au lieu de ça, j'ai encore une fois laissé ma franchise prendre le dessus.
- Si l'on ne s'arrête pas maintenant, ils nous attendront longtemps et j'aurais des idées peu catholiques en tête ! dis-je en riant doucement.
Mes joues se mettent alors à rougir lorsque je pris conscience de ce que je venais de dire. Je n'aurais pas du dire ça. Non, je n'aurais pas du. Pour quelle fille va-t-il me prendre, maintenant ? Je cachais mon visage en tournant la tête et en laissant mes cheveux le recouvrir. Quelle honte !
- On y va ? lâchai-je, avant de tousser.
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Re: Il fallait que ce soit toi... [Pv Ella] | Lun 21 Jan - 0:40 Citer EditerSupprimer
C’est ce qu’elle veut aussi, elle veut que l’on s’embrasse pendant des heures, qu’elle m’appartienne pendant des heures. Je la veux pour moi, je veux qu’elle me le dise encore et qu’elle ne soit à plus personne d’autre, qu’elle ne puisse plus me confondre avec quelqu’un d’autre. Au contraire, je veux qu’elle me voie dans les autres garçons. Je veux obnubiler ses pensées constamment, qu’elle veuille être à mes côtés, dans mes bras, contre mes lèvres. Je ne veux pas qu’elle m’oublie, je ne veux plus jamais la blesser ni être blessé par elle. Un sentiment naît en moi, un sentiment que je n’avais jamais connu auparavant et pourtant, il devient ma drogue, une drogue qui ne fonctionne que lorsque mon regard plonge dans le doux bleu de la jeune femme. Elle m’a rendu accro à elle et nous ne nous sommes croisés que trois fois. J’ai cru que nous ne pourrons plus jamais nous voir mais c’est à présent bien loin puisque nous sommes l’un contre l’autre à nous embrasser comme si nous n’avions jamais pu vivre l’un sans l’autre.
Est-ce de l’amour ? Pourrais-je déjà lui dire que je l’aime déjà comme un fou ? Je n’oserais pas parce que j’aurais encore peur que ce ne soit pas réciproque. S’il y a cette passion entre nous, je ne sais pas encore si elle ressent que ça durera pour toujours. Je pourrais rester dans ces toilettes tant que je peux la garder dans mes bras, sentir ses lèvres sur les miennes. Abuser des bonnes choses ? C’est ce qu’elle me dit et je suis tout à fait contre ce qu’elle dit. Je voudrais abuser des bonnes choses et me noyer sous ses baisers sans m’en lasser. Son index se pose sur mes lèvres et je la regarde en fronçant les sourcils avant d’avoir une petite moue frustrée. Elle me sourit en m’éloignant et je trouve ça totalement injuste. Nous avons des responsabilités que j’avais complètement oubliées en découvrant la délicieuse saveur de ses lèvres mais elle me ramène sur Terre après m’avoir emmené au Paradis.
-Mais je n’ai pas envie qu’on arrête moi !
Je râle de façon presqu’immature avant d’être surpris par ce qu’elle me dit mais je souris rapidement en coin. Elle vient de m’avouer qu’en restant ici, elle risque d’avoir des idées peu catholiques en tête. Je penche la tête, je lèche mes lèvres, tic que j’ai lorsque j’ai envie d’embrasser les siennes et lui fais un clin d’œil mais elle tourne son visage. Je tends la main, attrape avec douceur son menton et le tourne vers moi. Mes lèvres viennent frôler les siennes dans un baiser beaucoup trop court et j’ancre un regard empli de désir dans le sien.
-Ça ne me dérange pas que tu aies des idées catholiques, tout ton corps m’en inspire des centaines !
J’avoue ces mots sans aucune honte et embrasse encore ses lèvres avant de les lécher de façon très provoquantes. Je m’éloigne, elle n’a pas à être gênée pour cela, je trouve sa franchise au contraire très plaisante. Je glisse ma main dans la sienne, reprenant l’habitude que ce froid entre nous nous avait fait perdre et j’avance vers la porte des toilettes des filles.
-Allons-y ma belle, je crois que nous sommes attendu !
Est-ce de l’amour ? Pourrais-je déjà lui dire que je l’aime déjà comme un fou ? Je n’oserais pas parce que j’aurais encore peur que ce ne soit pas réciproque. S’il y a cette passion entre nous, je ne sais pas encore si elle ressent que ça durera pour toujours. Je pourrais rester dans ces toilettes tant que je peux la garder dans mes bras, sentir ses lèvres sur les miennes. Abuser des bonnes choses ? C’est ce qu’elle me dit et je suis tout à fait contre ce qu’elle dit. Je voudrais abuser des bonnes choses et me noyer sous ses baisers sans m’en lasser. Son index se pose sur mes lèvres et je la regarde en fronçant les sourcils avant d’avoir une petite moue frustrée. Elle me sourit en m’éloignant et je trouve ça totalement injuste. Nous avons des responsabilités que j’avais complètement oubliées en découvrant la délicieuse saveur de ses lèvres mais elle me ramène sur Terre après m’avoir emmené au Paradis.
-Mais je n’ai pas envie qu’on arrête moi !
Je râle de façon presqu’immature avant d’être surpris par ce qu’elle me dit mais je souris rapidement en coin. Elle vient de m’avouer qu’en restant ici, elle risque d’avoir des idées peu catholiques en tête. Je penche la tête, je lèche mes lèvres, tic que j’ai lorsque j’ai envie d’embrasser les siennes et lui fais un clin d’œil mais elle tourne son visage. Je tends la main, attrape avec douceur son menton et le tourne vers moi. Mes lèvres viennent frôler les siennes dans un baiser beaucoup trop court et j’ancre un regard empli de désir dans le sien.
-Ça ne me dérange pas que tu aies des idées catholiques, tout ton corps m’en inspire des centaines !
J’avoue ces mots sans aucune honte et embrasse encore ses lèvres avant de les lécher de façon très provoquantes. Je m’éloigne, elle n’a pas à être gênée pour cela, je trouve sa franchise au contraire très plaisante. Je glisse ma main dans la sienne, reprenant l’habitude que ce froid entre nous nous avait fait perdre et j’avance vers la porte des toilettes des filles.
-Allons-y ma belle, je crois que nous sommes attendu !
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Re: Il fallait que ce soit toi... [Pv Ella] | Lun 21 Jan - 23:21 Citer EditerSupprimer
Nous étions bien. Mais c'était sans compter ce qui allait arriver, ensuite. Je me doutais bien que vouloir fréquenter Kwang Min allait être compliqué mais je ne m'attendais pas à ce genre de barrières. Du moins, pas aussi vite. Car quand il accepta, enfin, que l'on parte rejoindre les autres, j'ai décidé de sortir en première afin de m'assurer qu'il n'y avait personne dans les environs. Il n'aurait pas été bon que l'on nous voit sortir ensemble des toilettes pour femmes. Qui sait quelles rumeurs auraient pu être créées. Et je voulais éviter cela. Mais je ne sais pas si c'était un choix judicieux que de sortir seule. Car je fis, alors, face au producteur des Zeus. Je ne savais plus où me mettre et j'étais, tout à coup, très mal à l'aise. Avait-il vu Kwang Min me rejoindre ? Se doutait-il de quelque chose ?
J'étais appuyée contre la porte des toilettes. Empêchant ainsi mon partenaire secret de sortir. C'était mieux ainsi. Nous montrer ensemble devant lui, n'était pas une bonne chose. J'en étais consciente. Et persuadée, également. Je tentai de sourire mais le stress m'envahit très rapidement. Que me voulait-il ? Avais-je fais quelque chose de mal ? J'attendais qu'il prenne la parole mais il mettait du temps à l'ouvrir. Malheureusement pour moi. Je fus alors plus rapide.
- Puis-je vous aider ?
Pourquoi ais-je poser une telle question ? J'aurais mieux fait de me taire. Je craignais la réponse qu'il allait m'apporter. Et j'eus raison de la craindre. Car mon coeur se brisa au fur et à mesure qu'il me répondait. J'ignorais si Kwang Min pouvait entendre notre conversation. Peut-être que oui. Peut-être que non. Qu'importe. Mon monde s'écroule. Il redevient noir. Sombre. Je perds l'espoir que je venais de retrouver et redescends de mon petit nuage. Il me remercie d'être venue et me fait comprendre à quel point ma présence va les aider à pousser la célibrité d'Hermès et du groupe au plus haut. Que cette chance et cette opportunité qu'ils m'offrent m'aideront aussi pour ma carrière personnelle. Tout n'est que travail. Comme j'aurais pu m'en douter. Depuis le début. Mais voilà, ce qui suivit fut pire à entendre.
- Je souhaiterai simplement être clair. Sûr qu'il n'y ait pas de malentendu. Les membres de Zeus sont défendus de se mettre en couple, pour le moment. Leur carrière doit passer avant tout le reste. C'est écrit dans leur contrat.
Il continuait mais je ne l'écoutais, déjà, plus. Il m'avait perdu. C'est bien ce que je craignais. La vie d'idole et d'homme normal ne correspondent, tout simplement, pas. Je ne suis pas vraiment surprise et comme une idiote, j'acquiesce et réponds que je comprends. Je dis même que mon intérêt n'est que purement professionnel et cela le rassure. Le soulage. Mais je n'en pense pas un mot, bien sûr. Bien au contraire. Mais je me dois de respecter les règles. Alors je décide de ne garder qu'un contact professionnel avec lui. Adieu notre semblant d'histoire. Elle n'aurait jamais du voir le jour. Lui qui est au courant de cette interdiction, ne s'est pas empêché de me perturber. J'ai honte d'avoir succombé aussi rapidement. Aussi facilement.
Il reste planté là. Et je comprends, alors, qu'il nous a vu ensemble. Il attend son idole et je me dois de quitter les lieux. Je m'incline, donc, légèrement avant de m'éloigner. Il vient de briser ce doux moment que l'on venait de partager. Mais une fois au bout du couloir, je m'arrête pour voir Kwang Min sortir et tomber nez à nez avec son producteur. Je soupire. La raison pour laquelle je me tiens au bout de ce couloir, sans dire un mot, est que je me doutais que ça n'irait nul part. Je deviens triste. Je ferme les yeux mais je la sens toujours. La raison pour laquelle je me suis détournée de son cœur et suis venue ici. Je ne pouvais pas dire un seul mot et j'avais, désormais, le dos tourné. Je ne voulais pas le quitter. Alors pourquoi, dès le début de notre histoire et de nos fréquentations, est-ce si difficile ? Je ne saurais dire ce que je ressens vraiment. Je me sens si petite. Si insignifiante. Encore une fois. Même si je retourne sur le lieu où ils se trouvent, rien ne changera entre nous. J'ai fermé les yeux mais je l'ai encore vu. Mais malheureusement, je ne pouvais plus rien faire. Je ne pense pas que je devrais le laisser partir comme ça. J'ai besoin de lui. J'ai besoin de toi ici, Kwang Min.
Mais il est temps de grandir. De se comporter en adulte et d'arrêter les caprices. Si une quelconque relation est interdite alors restons de simples collaborateurs et peut-être qu'un jour, nous pourrons devenir amis.
J'étais appuyée contre la porte des toilettes. Empêchant ainsi mon partenaire secret de sortir. C'était mieux ainsi. Nous montrer ensemble devant lui, n'était pas une bonne chose. J'en étais consciente. Et persuadée, également. Je tentai de sourire mais le stress m'envahit très rapidement. Que me voulait-il ? Avais-je fais quelque chose de mal ? J'attendais qu'il prenne la parole mais il mettait du temps à l'ouvrir. Malheureusement pour moi. Je fus alors plus rapide.
- Puis-je vous aider ?
Pourquoi ais-je poser une telle question ? J'aurais mieux fait de me taire. Je craignais la réponse qu'il allait m'apporter. Et j'eus raison de la craindre. Car mon coeur se brisa au fur et à mesure qu'il me répondait. J'ignorais si Kwang Min pouvait entendre notre conversation. Peut-être que oui. Peut-être que non. Qu'importe. Mon monde s'écroule. Il redevient noir. Sombre. Je perds l'espoir que je venais de retrouver et redescends de mon petit nuage. Il me remercie d'être venue et me fait comprendre à quel point ma présence va les aider à pousser la célibrité d'Hermès et du groupe au plus haut. Que cette chance et cette opportunité qu'ils m'offrent m'aideront aussi pour ma carrière personnelle. Tout n'est que travail. Comme j'aurais pu m'en douter. Depuis le début. Mais voilà, ce qui suivit fut pire à entendre.
- Je souhaiterai simplement être clair. Sûr qu'il n'y ait pas de malentendu. Les membres de Zeus sont défendus de se mettre en couple, pour le moment. Leur carrière doit passer avant tout le reste. C'est écrit dans leur contrat.
Il continuait mais je ne l'écoutais, déjà, plus. Il m'avait perdu. C'est bien ce que je craignais. La vie d'idole et d'homme normal ne correspondent, tout simplement, pas. Je ne suis pas vraiment surprise et comme une idiote, j'acquiesce et réponds que je comprends. Je dis même que mon intérêt n'est que purement professionnel et cela le rassure. Le soulage. Mais je n'en pense pas un mot, bien sûr. Bien au contraire. Mais je me dois de respecter les règles. Alors je décide de ne garder qu'un contact professionnel avec lui. Adieu notre semblant d'histoire. Elle n'aurait jamais du voir le jour. Lui qui est au courant de cette interdiction, ne s'est pas empêché de me perturber. J'ai honte d'avoir succombé aussi rapidement. Aussi facilement.
Il reste planté là. Et je comprends, alors, qu'il nous a vu ensemble. Il attend son idole et je me dois de quitter les lieux. Je m'incline, donc, légèrement avant de m'éloigner. Il vient de briser ce doux moment que l'on venait de partager. Mais une fois au bout du couloir, je m'arrête pour voir Kwang Min sortir et tomber nez à nez avec son producteur. Je soupire. La raison pour laquelle je me tiens au bout de ce couloir, sans dire un mot, est que je me doutais que ça n'irait nul part. Je deviens triste. Je ferme les yeux mais je la sens toujours. La raison pour laquelle je me suis détournée de son cœur et suis venue ici. Je ne pouvais pas dire un seul mot et j'avais, désormais, le dos tourné. Je ne voulais pas le quitter. Alors pourquoi, dès le début de notre histoire et de nos fréquentations, est-ce si difficile ? Je ne saurais dire ce que je ressens vraiment. Je me sens si petite. Si insignifiante. Encore une fois. Même si je retourne sur le lieu où ils se trouvent, rien ne changera entre nous. J'ai fermé les yeux mais je l'ai encore vu. Mais malheureusement, je ne pouvais plus rien faire. Je ne pense pas que je devrais le laisser partir comme ça. J'ai besoin de lui. J'ai besoin de toi ici, Kwang Min.
Mais il est temps de grandir. De se comporter en adulte et d'arrêter les caprices. Si une quelconque relation est interdite alors restons de simples collaborateurs et peut-être qu'un jour, nous pourrons devenir amis.
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Re: Il fallait que ce soit toi... [Pv Ella] | Mar 22 Jan - 3:03 Citer EditerSupprimer
Nous devons nous séparer pour ne pas que les doutes naissent sur la relation qui nous unit. La jeune femme va partir en première, j’ai dû mal à la laisser passer cette porte mais elle doit le faire. Nous avons abandonné cette relation professionnelle mais nous devons rester discrets. Je la regarde longuement, chacun des mouvements qu’elle fait m’hypnotisent et j’aimerais qu’elle reste contre moi pour me faire profiter de ces moindres gestes. Je m’appuie contre le mur et mes yeux la suivent alors qu’elle disparaît derrière la porte. Je m’approche de celle-ci et appuie mon front contre la paroi. Elle doit sûrement être en train de s’éloigner et lorsque je sortirais à mon tour, nous devrons faire comme s’il ne s’était rien passé mais je sais déjà que je ne pourrais pas retenir quelques regards en coin. Je m’apprête à ouvrir la porte quand j’entends la voix d’Ella de l’autre côté et mon geste se suspend. À qui parle-t-elle ? Je fronce les sourcils, quelque chose ne va pas… Je retiens mon souffle et mon oreille se presse contre la paroi pour me laisser comprendre qui est avec la jeune femme.
Je reconnais alors la voix de mon producteur et je retiens un long soupire. L’idylle semble prendre une fin prématurée et je pose ma main sur la porte, anticipant le discours de mon supérieur. Interdit d’être en couple… Ce sont les mots que je retiens de son discours. Bien sûr, je suis au courant, j’ai signé ce putain de contrat et je le regrette pour la première fois de ma vie. Je secoue la tête, encore et encore, s’il la prévient, elle va tout arrêter et ce sera fini alors que ça vient de commencer… Le silence se fait. Il est pesant, il m’étouffe et la douleur qui étreint mon cœur contraste complètement avec le sentiment qui m’envahissait quand j’embrassais la jeune femme. J’ouvre enfin la porte, je retrouve mon producteur seul, il m’attendait. Je tourne la tête, je regarde Ella et je sais que je n’ai pas envie qu’elle parte ou qu’elle abandonne ce qu’on vient juste de commencer. Je reporte mon attention sur mon producteur et écoute ses mots avec une attention qui pourtant brise tous les espoirs que j’avais fondé. Concentration sur le travail, professionnalisme, respect du contrat. Je sais que ces mots doivent rester ancrés dans mon esprit comme ils le sont sur ces feuilles de papier qui me lient à l’agence. Ce que nous avons fait dans ces toilettes est interdit, nous n’aurions jamais dû faire ça. Je me sens coupable et en même temps, je ne veux pas regretter. Je suis pris entre l’envie de rester auprès d’elle et celle de me ranger auprès de mes membres et rester responsable. Il me demande s’il a été clair et je m’incline alors en hochant la tête, droit et sûr de moi.
-Oui Monsieur. J’ai compris.
Il me fait signe de m’en aller et de rejoindre les autres et je hoche la tête docilement. Est-ce la fin ? Je dois alors arrêter de penser à Ella ? Est-ce que je dois faire le choix de laisser derrière nous ce qui n’a pas encore commencé ? Je reprends le chemin vers la salle où sont les membres et leurs compagnes, Ella est encore au bout du couloir et je m’avance vers elle. Je pose ma main dans son dos et l’invite à me suivre. Je ne la regarde pas dans un premier temps, je réfléchis à tout ce que nous venons d’entendre. Je ne sais pas quoi faire et je me demande ce qu’il y a dans l’esprit d’Ella suite à cette remise en place. Je m’arrête alors et attends de la jeune femme qu’elle fasse de même.
-Je sais pas… Je sais pas si je fais bien de te dire ça mais putain j’ai pas envie que ça s’arrête là entre toi et moi. J’aurais dû te dire que c’est interdit pour moi d’être en couple… Si je t’ai menti là-dessus, c’est parce que j’avais envie que ça arrive entre toi et moi malgré ce putain de contrat… Maintenant que t’es au courant, je comprendrais que tu veuilles que tout s’arrête là, je ne veux surtout pas que tu ais des emmerdes à cause de moi.
Je ne peux pas espérer d’elle qu’elle accepte de rester avec moi c’est trop utopique. Je sais déjà que je dois faire une croix sur l’explosion de sentiments que j’ai ressentis un peu plus tôt. C’est vrai, je voudrais encore croire qu’entre nous, il pourrait y avoir plus mais une barrière inattendue s’est dressée et je pense qu’avec toute la bonne volonté du monde, je ne pourrais pas la forcer à m’aimer encore. Je m’approche d’elle, je caresse sa joue du bout de mes doigts et je me penche pour venir frôler ses lèvres. La baiser a un goût de regret, d’envie que ça ne s’arrête pas là, mais il est court parce que le prolonger serait dangereux, ce serait trop tentant. Je m’éloigne et je la regarde avec une tendresse mélangée à une certaine tristesse, je sais ce que sera sa décision, je ne veux pas espérer qu’après avoir appris ça elle veuille continuer.
-Ça se finit trop vite…
Je reconnais alors la voix de mon producteur et je retiens un long soupire. L’idylle semble prendre une fin prématurée et je pose ma main sur la porte, anticipant le discours de mon supérieur. Interdit d’être en couple… Ce sont les mots que je retiens de son discours. Bien sûr, je suis au courant, j’ai signé ce putain de contrat et je le regrette pour la première fois de ma vie. Je secoue la tête, encore et encore, s’il la prévient, elle va tout arrêter et ce sera fini alors que ça vient de commencer… Le silence se fait. Il est pesant, il m’étouffe et la douleur qui étreint mon cœur contraste complètement avec le sentiment qui m’envahissait quand j’embrassais la jeune femme. J’ouvre enfin la porte, je retrouve mon producteur seul, il m’attendait. Je tourne la tête, je regarde Ella et je sais que je n’ai pas envie qu’elle parte ou qu’elle abandonne ce qu’on vient juste de commencer. Je reporte mon attention sur mon producteur et écoute ses mots avec une attention qui pourtant brise tous les espoirs que j’avais fondé. Concentration sur le travail, professionnalisme, respect du contrat. Je sais que ces mots doivent rester ancrés dans mon esprit comme ils le sont sur ces feuilles de papier qui me lient à l’agence. Ce que nous avons fait dans ces toilettes est interdit, nous n’aurions jamais dû faire ça. Je me sens coupable et en même temps, je ne veux pas regretter. Je suis pris entre l’envie de rester auprès d’elle et celle de me ranger auprès de mes membres et rester responsable. Il me demande s’il a été clair et je m’incline alors en hochant la tête, droit et sûr de moi.
-Oui Monsieur. J’ai compris.
Il me fait signe de m’en aller et de rejoindre les autres et je hoche la tête docilement. Est-ce la fin ? Je dois alors arrêter de penser à Ella ? Est-ce que je dois faire le choix de laisser derrière nous ce qui n’a pas encore commencé ? Je reprends le chemin vers la salle où sont les membres et leurs compagnes, Ella est encore au bout du couloir et je m’avance vers elle. Je pose ma main dans son dos et l’invite à me suivre. Je ne la regarde pas dans un premier temps, je réfléchis à tout ce que nous venons d’entendre. Je ne sais pas quoi faire et je me demande ce qu’il y a dans l’esprit d’Ella suite à cette remise en place. Je m’arrête alors et attends de la jeune femme qu’elle fasse de même.
-Je sais pas… Je sais pas si je fais bien de te dire ça mais putain j’ai pas envie que ça s’arrête là entre toi et moi. J’aurais dû te dire que c’est interdit pour moi d’être en couple… Si je t’ai menti là-dessus, c’est parce que j’avais envie que ça arrive entre toi et moi malgré ce putain de contrat… Maintenant que t’es au courant, je comprendrais que tu veuilles que tout s’arrête là, je ne veux surtout pas que tu ais des emmerdes à cause de moi.
Je ne peux pas espérer d’elle qu’elle accepte de rester avec moi c’est trop utopique. Je sais déjà que je dois faire une croix sur l’explosion de sentiments que j’ai ressentis un peu plus tôt. C’est vrai, je voudrais encore croire qu’entre nous, il pourrait y avoir plus mais une barrière inattendue s’est dressée et je pense qu’avec toute la bonne volonté du monde, je ne pourrais pas la forcer à m’aimer encore. Je m’approche d’elle, je caresse sa joue du bout de mes doigts et je me penche pour venir frôler ses lèvres. La baiser a un goût de regret, d’envie que ça ne s’arrête pas là, mais il est court parce que le prolonger serait dangereux, ce serait trop tentant. Je m’éloigne et je la regarde avec une tendresse mélangée à une certaine tristesse, je sais ce que sera sa décision, je ne veux pas espérer qu’après avoir appris ça elle veuille continuer.
-Ça se finit trop vite…
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Re: Il fallait que ce soit toi... [Pv Ella] | Mar 22 Jan - 17:19 Citer EditerSupprimer
La dure réalité nous a percuté de plein fouet et nous avons du mal à nous en remettre. Alors que je pensais être seule, à nouveau, il vint jusqu'à moi et m'avoua ce qu'il ressentait. Il était comme moi. Seul. Il ne voulait pas que cela s'arrête et je partageais totalement son envie. Mais ce n'était pas raisonnable. Il doit bien le savoir, au fond de lui. Moi, je le savais. Nous devons faire ce que l'on attend de nous. Nous contenter de ça, pour l'instant. Je continuerais à penser comme ça. Pour le protéger. Lui, son groupe, sa carrière. Mais aussi pour protéger la mienne, de carrière. Je ne pense pas que nous devrions essayer malgré l'interdiction. Il n'y a rien d'aussi facile qu'un coeur. Les gens sont de plus en plus détestés. Il n'y a rien à faire pour changer cela. C'est déjà assez difficile maintenant. Le plus important est que nous ne nous détestions pas. Que l'on continue de bien s'entendre. Je n'ai rien à voir avec lui. Plus maintenant. Je voulais croiser son regard mais cela m'aurait fait craquer alors je restais, seule, dans ma bulle. Je n'avais pas réalisé cela quand j'étais enfant. Qu'être avec une célébrité pouvait être aussi compliqué. J'ai dis être. M'aurais-je vu devenir sa petite amie ? Peut-être. Mais autant que notre affection, l'un pour l'autre, est vite apparue, notre histoire s'est finie. Au fil du temps, de ces trois rencontres, tout est parti. J'aurais voulu continuer. Vraiment. Sincèrement. Je rêvais de tous mes rêves, avec lui. Mais nous ne devons pas essayer.
- Mais cela doit se finir, Kwang Min. Il n'y a pas que ta carrière en jeu. Maintenant que ton producteur sait, à moins que ce ne soit que des suppositions, ma carrière est aussi mise en jeu. On ne peut pas aller contre ton contrat. Contre ton statut d'idole. Peut-être que dans trois, quatre ans, nous pourrons réessayer...
Innocente et délicate. Voilà l'image que je dois continuer à transmettre. Et me mettre à dos le producteur des Zeus pourrait me coûter cher. J'en ai marre de faire semblant. J'aimerais pouvoir être celle que je suis. Avec les personnes que je veux. Mais pas ici. Pas en Corée. Pour être libre, faudrait que je puisse aller vivre dans un autre pays où être la mannequin et la pupille étrangère de la nation ne seraient pas pour moi. C'est tout inutile mais j'en ai besoin. Pas de romance. Pas de sincérité. À partir d'aujourd'hui. Utilisée pour être leur fille. Voilà ce que je suis. Maintenant, je suis habituée. Comment être assise sur mes sentiments. Même si je préférerais être assise sur mon trône. Je n'ai pas le temps pour les ennuis. Cette fois, je ne fais que me regarder, moi-même. Je peux le faire. Maintenant que nous serons seuls, lui et moi. Je lui chercherais un clone. Je suis simplement, destinée à cela. Peut-être que lorsque je serais destinée à la couronne, je pourrais être destinée à lui. Après une relation, une romance, une émotion, il y a la rupture, les larmes, le regret, le désir. J'aime être seule, d'habitude, parce que je devrais être fidèle à moi-même. Comme les étoiles au dessus des nuages. Je veux aller loin, je veux briller de mille feux. Et tant pis, si pour cela, je dois souffrir encore une fois.
- Un tournage nous attend, allons-y ! Tu veux bien ?
- Mais cela doit se finir, Kwang Min. Il n'y a pas que ta carrière en jeu. Maintenant que ton producteur sait, à moins que ce ne soit que des suppositions, ma carrière est aussi mise en jeu. On ne peut pas aller contre ton contrat. Contre ton statut d'idole. Peut-être que dans trois, quatre ans, nous pourrons réessayer...
Innocente et délicate. Voilà l'image que je dois continuer à transmettre. Et me mettre à dos le producteur des Zeus pourrait me coûter cher. J'en ai marre de faire semblant. J'aimerais pouvoir être celle que je suis. Avec les personnes que je veux. Mais pas ici. Pas en Corée. Pour être libre, faudrait que je puisse aller vivre dans un autre pays où être la mannequin et la pupille étrangère de la nation ne seraient pas pour moi. C'est tout inutile mais j'en ai besoin. Pas de romance. Pas de sincérité. À partir d'aujourd'hui. Utilisée pour être leur fille. Voilà ce que je suis. Maintenant, je suis habituée. Comment être assise sur mes sentiments. Même si je préférerais être assise sur mon trône. Je n'ai pas le temps pour les ennuis. Cette fois, je ne fais que me regarder, moi-même. Je peux le faire. Maintenant que nous serons seuls, lui et moi. Je lui chercherais un clone. Je suis simplement, destinée à cela. Peut-être que lorsque je serais destinée à la couronne, je pourrais être destinée à lui. Après une relation, une romance, une émotion, il y a la rupture, les larmes, le regret, le désir. J'aime être seule, d'habitude, parce que je devrais être fidèle à moi-même. Comme les étoiles au dessus des nuages. Je veux aller loin, je veux briller de mille feux. Et tant pis, si pour cela, je dois souffrir encore une fois.
- Un tournage nous attend, allons-y ! Tu veux bien ?
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Re: Il fallait que ce soit toi... [Pv Ella] | Mar 22 Jan - 22:40 Citer EditerSupprimer
J'aurais voulu qu'elle me sourit à nouveau, qu'elle accepte d'entrer dans un interdit pour moi mais ce n'est pas ce qu'elle choisi. Mon cœur se serre. Je fais un pas en arrière et je regarde Ella d'un air absent sans prononcer un peu, je n'y arrive pas. Elle ne veut pas aller contre ce contrat, elle veut conserver son métier, sa carrière. Je me rends compte qu'encore une fois, j'ai pris mes envies pour des réalités et j'ai vu Ella comme ma petite amie, une jeune femme qui irait contre tous les interdits juste pour moi. Mais le premier obstacle se dresse et elle regrette, elle prend peur et recule alors que je suis prêt à aller toujours plus loin. Les histoires ont parfois des points finaux et lorsque nous avons joint nos lèvres un peu plus tôt, j'ai cru que la nôtre n'en aurait jamais. Les responsabilités nous rattrapent et au lieu de courir, de les fuir main dans la main, elle lâche la mienne et se conforte dans ses responsabilités. Trois ou quatre ans... Se rend-elle compte de la distance qu'elle met entre nous? Me croit-elle assez stupide pour espérer, encore, qu'elle saura attendre quatre ans pour être mienne? J'avais cru que tout était derrière nous, que plus rien ne nous séparait mais la situation prend un nouveau tournant, un tournant à tête d'épingle qui nous fait prendre une route que je ne pensais plus existé. Elle choisit la carrière à l'amour. C'est ce que je lis sur ses traits, sur ses lèvres prononçant des mots qui atterrissent sourdement contre mon tympan.
-Je crois que je ne serais pas capable de t'attendre pendant quatre ans.
Froid, je prononce des mots que je ne pense même pas. Bien sur que jattendrais quatre ans pourtant, mon coeur aujourd'hui me dit qu'il ne cessera de la vouloir même s'il doit attendre bien plus que quatre ans. Mais elle m'a blessé et je vois que celle qui a fait flancher mon cœur change d'avis comment de chemise. Je pensais l'aimer, je pensais surtout qu'elle m'aimait mais tout n'était qu'illusion. La blessure récemment soignée s'ouvre à nouveau et je la panse en la couvrant encore de cette armure, je la cache sous un masque mettant de la distance entre elle et moi. Je l'ai plusieurs fois retiré pour elle mais cette fois, je me promets de ne plus l'enlever, elle m'a suffisamment blessé alors que nous ne nous sommes vu que trois fois. Je n'aurais jamais dû laisser ça arriver et comme elle l'a fait, je décide de reprendre mes responsabilités, faisant de mon rêve de devenir une idole la seule priorité qui m'importe. Je secoue la tête, déclinant sa proposition en la contournant.
-Ouais, j’y vais.
Je pars vers la salle, je n’ai pas envie d’y aller à ses côtés. Ce n’est pas pour la blesser, ce n’est pas parce que je la déteste. Je sais que ce n’est pas ce qu’elle va penser, je m’arrête alors et me retourne vers la jeune femme. Mon regard blessé et déçu se tourne vers elle et je pince les lèvres, hésitant à m’ouvrir une dernière fois à elle.
-Si à partir de maintenant je t’évite, sache que c’est parce que c’est trop dur de te regarder sans vouloir t’aimer. Je suis désolé.
Je me retourne et me dirige vers là où se trouvent les autres membres. C’est comme ça que ça devait finir je suppose. Je pensais que ça pourrait se passer différemment mais je me trompais encore. Je ne comprends pas comment je pourrais tenter d’être optimiste après ça. Je me promets de laisser définitivement cette vertu à mon frère et quant à l’amour, je l’aurais donné momentanément à Ella et espère qu’elle en gardera un souvenir parce que je ne compte plus l’offrir à quelqu’un d’aussi tôt. Cette femme a volé mon cœur et je n’arriverais jamais vraiment à le récupérer…
-Je crois que je ne serais pas capable de t'attendre pendant quatre ans.
Froid, je prononce des mots que je ne pense même pas. Bien sur que jattendrais quatre ans pourtant, mon coeur aujourd'hui me dit qu'il ne cessera de la vouloir même s'il doit attendre bien plus que quatre ans. Mais elle m'a blessé et je vois que celle qui a fait flancher mon cœur change d'avis comment de chemise. Je pensais l'aimer, je pensais surtout qu'elle m'aimait mais tout n'était qu'illusion. La blessure récemment soignée s'ouvre à nouveau et je la panse en la couvrant encore de cette armure, je la cache sous un masque mettant de la distance entre elle et moi. Je l'ai plusieurs fois retiré pour elle mais cette fois, je me promets de ne plus l'enlever, elle m'a suffisamment blessé alors que nous ne nous sommes vu que trois fois. Je n'aurais jamais dû laisser ça arriver et comme elle l'a fait, je décide de reprendre mes responsabilités, faisant de mon rêve de devenir une idole la seule priorité qui m'importe. Je secoue la tête, déclinant sa proposition en la contournant.
-Ouais, j’y vais.
Je pars vers la salle, je n’ai pas envie d’y aller à ses côtés. Ce n’est pas pour la blesser, ce n’est pas parce que je la déteste. Je sais que ce n’est pas ce qu’elle va penser, je m’arrête alors et me retourne vers la jeune femme. Mon regard blessé et déçu se tourne vers elle et je pince les lèvres, hésitant à m’ouvrir une dernière fois à elle.
-Si à partir de maintenant je t’évite, sache que c’est parce que c’est trop dur de te regarder sans vouloir t’aimer. Je suis désolé.
Je me retourne et me dirige vers là où se trouvent les autres membres. C’est comme ça que ça devait finir je suppose. Je pensais que ça pourrait se passer différemment mais je me trompais encore. Je ne comprends pas comment je pourrais tenter d’être optimiste après ça. Je me promets de laisser définitivement cette vertu à mon frère et quant à l’amour, je l’aurais donné momentanément à Ella et espère qu’elle en gardera un souvenir parce que je ne compte plus l’offrir à quelqu’un d’aussi tôt. Cette femme a volé mon cœur et je n’arriverais jamais vraiment à le récupérer…
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Re: Il fallait que ce soit toi... [Pv Ella] | Mar 22 Jan - 23:14 Citer EditerSupprimer
Ses mots et son comportement me font comprendre, qu'une fois de plus, je l'ai blessé. Je ne sais pas me comporter correctement avec lui, on dirait. Je suis perdue. Des tas d'envies contradictoires m'envahissent. J'ai envie de lui faire comprendre qu'il n'a pas à être froid avec moi mais s'il le veut, alors qu'il le fasse. Ainsi cela lui semblera plus facile à supporter, sans doute. Moi, je ne sais pas encore quoi faire pour supporter la détestable et mortelle vérité. La vie n'est pas belle, en ce moment, et j'en subis les conséquences. Mais je ne suis plus seule à les subir. Kwang Min est également une victime et cela me fait mal. Car il me tourne le dos alors qu'il aimerait me faire face et s'éloigne, seul. Je comprends, alors, que ses sentiments étaient sincères mais que son producteur et moi-même avons tout gâché. Cela me donne envie de pleurer mais je me retiens. Il le faut. Nous allons devoir nous rendre sur le lieu du tournage. Je ne peux rien me reprocher. Je lui ai proposé d'attendre quelques années, que son statut soit plus accessible, mais il a refusé. Je ne pouvais rien proposer d'autre. Il finira par me remercier si sa carrière le comble et s'il finit par rencontrer la femme de sa vie.
- Je t'aime aussi... murmurais-je pour moi-même, une fois qu'il est parti.
Je soupire et prends sur moi, une nouvelle fois. Ces mots ne sont pas sans sens. Je les pense et les ressens véritablement. Je l'aime, d'une certaine manière et je savais que lui aussi. Mais il était impossible pour nous d'en savoir plus et d'approfondir cet amour naissant. Même si j'aurais été prête de traverser les champs du monde entier, d'éviter les mines pour lui. J'aurais été prête à tout pour faire partie de son destin. Et pour conquérir son destin. Mais ma volonté d'être riche me rend mauvaise. Ma volonté d'être célèbre. Mais aussi ma volonté de le protéger de la femme que je suis. Car il mérite mieux, je pense. Je veux vivre la conscience en paix. Garder mes sourires et cacher mes peines mais le pourrais-je vraiment en m'éloignant de lui ? Non. Je pourrais traverser n'importe quel feu. S'il le faut, même celui des enfers. Juste pour lui. Ne plus remettre à demain ce que j'aurais du faire hier. Comme lui exprimer sincèrement ce qu'il me fait ressentir ? Non, je ne peux pas. On me l'a interdit. Je suis condamnée à prendre un aller sans retour. Sur un chemin qui me mène loin de celui qui a tant fait battre mon coeur depuis notre premier échange de regard.
Je vais, sans doute, devenir folle. Ne pas tenir jusqu'au bout de la promesse que j'ai accordée au producteur. Et pourtant, il le faut. Je rejoins, alors, tout le monde et reste discrète. La plus discrète possible. Je ne le cherche pas du regard. Au contraire, je le fuis. Je forge mon armure. Je m'entraîne au combat. Bâtir mon empire à la sueur de mon front, voilà mon rêve. Le construire à la force de mes mains. Même si les siennes auraient pu ajouter de la valeur, je me dois de faire ce travail sans lui. Je dois simplement me convaincre qu'une telle situation est la meilleure qui puisse exister pour lui.
- Je t'aime aussi... murmurais-je pour moi-même, une fois qu'il est parti.
Je soupire et prends sur moi, une nouvelle fois. Ces mots ne sont pas sans sens. Je les pense et les ressens véritablement. Je l'aime, d'une certaine manière et je savais que lui aussi. Mais il était impossible pour nous d'en savoir plus et d'approfondir cet amour naissant. Même si j'aurais été prête de traverser les champs du monde entier, d'éviter les mines pour lui. J'aurais été prête à tout pour faire partie de son destin. Et pour conquérir son destin. Mais ma volonté d'être riche me rend mauvaise. Ma volonté d'être célèbre. Mais aussi ma volonté de le protéger de la femme que je suis. Car il mérite mieux, je pense. Je veux vivre la conscience en paix. Garder mes sourires et cacher mes peines mais le pourrais-je vraiment en m'éloignant de lui ? Non. Je pourrais traverser n'importe quel feu. S'il le faut, même celui des enfers. Juste pour lui. Ne plus remettre à demain ce que j'aurais du faire hier. Comme lui exprimer sincèrement ce qu'il me fait ressentir ? Non, je ne peux pas. On me l'a interdit. Je suis condamnée à prendre un aller sans retour. Sur un chemin qui me mène loin de celui qui a tant fait battre mon coeur depuis notre premier échange de regard.
Je vais, sans doute, devenir folle. Ne pas tenir jusqu'au bout de la promesse que j'ai accordée au producteur. Et pourtant, il le faut. Je rejoins, alors, tout le monde et reste discrète. La plus discrète possible. Je ne le cherche pas du regard. Au contraire, je le fuis. Je forge mon armure. Je m'entraîne au combat. Bâtir mon empire à la sueur de mon front, voilà mon rêve. Le construire à la force de mes mains. Même si les siennes auraient pu ajouter de la valeur, je me dois de faire ce travail sans lui. Je dois simplement me convaincre qu'une telle situation est la meilleure qui puisse exister pour lui.
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