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LET OUT YOUR RAGE ft Mokho ♥
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Re: LET OUT YOUR RAGE ft Mokho ♥ | Sam 1 Aoû - 19:31 Citer EditerSupprimer
Elle n’était même pas fâché après lui … Elle n’était pas en colère, juste triste et perdue. comme il pouvait l’être. elle ne comprenait pas ce qu’il faisait, pourquoi il faisait ça … elle craignait d’être ce monstre qu’il ne pouvait tolérer, pourtant lui se voyait plus bestiale encore … plus animal et monstrueux. Il pouvait très largement accepté ça d’elle … Mais qu’avait-elle fait de mal pour qu’il ne puisse pas être sincère avec elle ? C’était peut-être ça plus que son refus qui la touchait, parce que s’il avait besoin de temps elle était prête à lui en donner. Elle avait conscience de la folie qu’elle lui demandait et même pour eux, c’était quelques choses qui allaient loin, peut-être trop. elle n’a pas la force de peindre, pas s’il n’est pas assis à ses côtés. elle secoue faiblement sa bombe, la bille s’agite sans réellement faire de bruit. elle laisse son regard se perdre et tente de rejouer la scène dans sa tête, cherchant l’erreur, le faux pas. elle revoit son visage, sa vraie colère, celle qu’il ne jouait plus, celle qu’il libérait. elle ne savait pas ce qui l’avait autant contrarié quand il est arrivée, ce qui l’avait rendu si fou, mais quand il l’a fait jouir c’était de cette colère sincère et intense. qu’avait-elle fait …? elle entend ses pas et son coeur s’affole un peu plus. elle stress, la peur au ventre, appréhende, la gorge nouée. elle grimace au ton de sa voix tremblante, pleure-t-il ? Oui, de toute évidence. elle baisse le visage, tortionnaire qu’elle était. pourquoi était-elle partie ? Quelle menace silencieuse avait-elle proféré en le quittant ? Elle n’avait juste pas sû faire semblant, pas avec lui, et elle ne voulait pas lui imposer sa tristesse. Comment l’enfant qu’elle était, comme chaque fois qu’elle perdait le contrôle et qu’elle se sentait déboussolée Mok s’isolait, et ça Junho l’avait bien compris. elle se redresse en silence, s’approche de la porte et pose une main dessus, ose à peine la pousser. l’écoute, se demande pourquoi il dit ça et tout devient confus dans sa tête, et son coeur s’emballe. douloureusement. les rouages qu’elle avait su garder sage jusqu’ici s’emballe jusqu’à la faire grimacer. la même sensation qu’à leur retrouvaille. un coeur bloqué qui se remettait à fonctionner. Oh non pas ça … gémit-elle tout bas, en silence, dans une supplique qui l’achève … et pourtant … Elle rouvre doucement la porte qu’elle fait coulisser. assise sur ses talons, elle lui faisait face. ils faisaient presque la même taille à cet instant. elle voit sa détresse et sa crainte … Elle tend la main et essuie sa larme en soufflant la voix cassée “Comment veux-tu que je te laisse … j’ai autant besoin de toi que toi de moi …” elle se redresse et se laisse aller contre lui en enfouissant son visage dans le creux de son cou. Pour guérir, il avait besoin qu’elle ne voit que lui, ne pense qu’à lui … c’était égoïste sa part, cruel aussi, mais la jeune femme aurait tout abdiquer pour lui … parce qu’il n’y avait que lui qui comptait. Et ce maudit coeur qui ne cessait de battre, nourrissant quelques faux espoirs qu’elle s’empressait de faire taire. “Serre moi …” gémit-elle comme si ces quelques secondes de distances l’avait anéanti.
Elle n’était même pas fâché après lui … Elle n’était pas en colère, juste triste et perdue. comme il pouvait l’être. elle ne comprenait pas ce qu’il faisait, pourquoi il faisait ça … elle craignait d’être ce monstre qu’il ne pouvait tolérer, pourtant lui se voyait plus bestiale encore … plus animal et monstrueux. Il pouvait très largement accepté ça d’elle … Mais qu’avait-elle fait de mal pour qu’il ne puisse pas être sincère avec elle ? C’était peut-être ça plus que son refus qui la touchait, parce que s’il avait besoin de temps elle était prête à lui en donner. Elle avait conscience de la folie qu’elle lui demandait et même pour eux, c’était quelques choses qui allaient loin, peut-être trop. elle n’a pas la force de peindre, pas s’il n’est pas assis à ses côtés. elle secoue faiblement sa bombe, la bille s’agite sans réellement faire de bruit. elle laisse son regard se perdre et tente de rejouer la scène dans sa tête, cherchant l’erreur, le faux pas. elle revoit son visage, sa vraie colère, celle qu’il ne jouait plus, celle qu’il libérait. elle ne savait pas ce qui l’avait autant contrarié quand il est arrivée, ce qui l’avait rendu si fou, mais quand il l’a fait jouir c’était de cette colère sincère et intense. qu’avait-elle fait …? elle entend ses pas et son coeur s’affole un peu plus. elle stress, la peur au ventre, appréhende, la gorge nouée. elle grimace au ton de sa voix tremblante, pleure-t-il ? Oui, de toute évidence. elle baisse le visage, tortionnaire qu’elle était. pourquoi était-elle partie ? Quelle menace silencieuse avait-elle proféré en le quittant ? Elle n’avait juste pas sû faire semblant, pas avec lui, et elle ne voulait pas lui imposer sa tristesse. Comment l’enfant qu’elle était, comme chaque fois qu’elle perdait le contrôle et qu’elle se sentait déboussolée Mok s’isolait, et ça Junho l’avait bien compris. elle se redresse en silence, s’approche de la porte et pose une main dessus, ose à peine la pousser. l’écoute, se demande pourquoi il dit ça et tout devient confus dans sa tête, et son coeur s’emballe. douloureusement. les rouages qu’elle avait su garder sage jusqu’ici s’emballe jusqu’à la faire grimacer. la même sensation qu’à leur retrouvaille. un coeur bloqué qui se remettait à fonctionner. Oh non pas ça … gémit-elle tout bas, en silence, dans une supplique qui l’achève … et pourtant … Elle rouvre doucement la porte qu’elle fait coulisser. assise sur ses talons, elle lui faisait face. ils faisaient presque la même taille à cet instant. elle voit sa détresse et sa crainte … Elle tend la main et essuie sa larme en soufflant la voix cassée “Comment veux-tu que je te laisse … j’ai autant besoin de toi que toi de moi …” elle se redresse et se laisse aller contre lui en enfouissant son visage dans le creux de son cou. Pour guérir, il avait besoin qu’elle ne voit que lui, ne pense qu’à lui … c’était égoïste sa part, cruel aussi, mais la jeune femme aurait tout abdiquer pour lui … parce qu’il n’y avait que lui qui comptait. Et ce maudit coeur qui ne cessait de battre, nourrissant quelques faux espoirs qu’elle s’empressait de faire taire. “Serre moi …” gémit-elle comme si ces quelques secondes de distances l’avait anéanti.
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Re: LET OUT YOUR RAGE ft Mokho ♥ | Sam 1 Aoû - 19:31 Citer EditerSupprimer
« Je pars Junho… » il restait silencieux, incapable de comprendre ce qui venait de s’abattre sur lui. « Quoi ?... mais tu vas où ? » lui demandait-il le cœur battant. Il voulait être adulte, il voulait être fort. Alors il se forçait à garder cette contenance, cet air presque renfermé. « J’ai été accepté dans l’université que je voulais… à New York. » la sentence était tombée, cruelle supplice de son cœur qui lui criait de rester. Incompréhension, alors qu’il paniquait. Affolé, il ne saisissait pas « Mais… pourquoi ? » elle lui jetait ce regard. Celui triste, celui qui voulait dire beaucoup. Cette lueur dans les yeux, elle n’osait pas l’affronter. Détournant aussi vite le visage pour ne pas le regarder. D’un geste il avait saisi son poignet « S’il te plait… ne fais pas ça… » Mais d’un revers de la main elle l’avait repoussé. « Ne rends pas les choses plus difficiles. Je dois penser à moi. » Mais c’était déjà ce qu’elle faisait à longueur de temps. Silence pesant… lui s’effondrait, incapable de rester là à la regarder. Finalement, elle était partie… il était seul… sans elle… il n’avait plus besoin d’elle n’est-ce pas ? Parce qu’il y avait Mok. Parce qu’elle était là pour lui. Egoïste l’enfant qui avait tout pardonné… il était prêt à se livrer. Se confier sur ses craintes, si c’était pour la garder. Il avait tout raté avec sa sœur. N’avait jamais su exprimer ce qu’il ressentait. Mais avec Mok… il ne ferait pas cette erreur. Il avait le cœur battant. Il se sentait triste, alors qu’elle venait le serrer contre elle. Enfouissant son visage… apeuré… et sans pouvoir le retenir, il y avait ce sanglot. Trop difficile à retenir. Il s’accrochait à elle, comme un enfant qui avait peur... « Je suis désolé… désolé… » Il s’en voulait, de lui en demander autant. De ne pas être capable d’accepter ce qu’il y avait dans cet esprit tourmenté. Tout était confus, la seule certitude qu’il avait c’était celle de vouloir la garder. Je suis rien sans toi… il se tuerait si elle disparaissait. Voilà une confession qu’il se faisait, mauvais travers qui revenaient… douce aliénation, un songe inavouable. Pensée sombres et obscures, qui noircissaient brusquement son cœur. Triste et délaissé… Junho ne pouvait imaginer continuer sans elle… il mentait…. À elle, à lui aussi. Sans pouvoir s’en rendre compte. Sans être assez lucide. Mais il resterait là dans ses bras… « Je suis fatigué… » lui confiait-il, sans pouvoir retenir un soupir, une lassitude certaines à son mal-être.
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Re: LET OUT YOUR RAGE ft Mokho ♥ | Sam 1 Aoû - 19:32 Citer EditerSupprimer
L’aimait-il pour elle, ou pour ce qu’elle lui offrait ? Aimait-on une personne pour ce qu’elle était ou pour ce qu’on ressentait avec elle ? Mok se demandait parfois si Junho ne l’aimait pas simplement parce qu’elle le comprenait, parce qu’elle le soutenait dans ses folies, et ses moeurs totalement inapproprié. Mais elle, la simple Mok qu’elle était, pouvait-il l’aimer ? Elle ne semblait jamais suffire, ni à ce garçon ni à personne d’autres d’ailleurs. Comme s’il manquait toujours ce petit plus cruel, qui la ferait briller pour elle-même. Quand Mok voyait l’amour qu’avait Junho pour sa soeur, l’attention qu’il lui portait, ses efforts qu’il faisait et ses émotions dans lesquelles il se perdait, elle espérait qu’un jour quelqu’un puisse l’aimer ainsi. l’aimer de cette folie. elle avait depuis bien longtemps oublié l’idée d’être la reine dans la vie de Junho même si elle avait longtemps convoité cette place, même si ce soir son coeur s’était emballé plus qu’elle ne pourrait l’avouer … Mais pourrait-elle un jour être celle pour qui on sacrifie tout. saurait-elle vivre un tel amour comme dans les livres qu’elle avait tant aimé lire ? Etre l’héroïne de sa propre histoire mais s’anéantir pour l’attention d’un garçon … n’était-elle pas stupide ? Mok avait tellement besoin de Junho qu’elle savait un jour sombrer s’il la quittait à nouveau. elle avait été celle qui avait mis fin à leur histoire, pourtant elle se savait incapable de vivre sans lui … et finalement ce soir, l’amour qu’ils se portaient lui suffirait. elle ne voulait rien d’autre. rien de plus, rien de moins. parce que l’aimer plus la détruirait. l’aimer moins la détruirait aussi. elle avait besoin de lui au point de suffoquer, au point de souffrir de ces absences, au point d’avoir parfois, ce manque déchirant dans la poitrine en pleine journée quand elle apercevait sa silhouette. puis le jour reprenais rapidement ses droits et elle se cachait derrière la Mok du quotidien, celle qui souriait. elle s’accroche à lui autant qu’il se jette contre elle. comme un équilibre parfait, bancale mais qui tenait, qui tiendrait. ils feront tout pour. Mok voudrait faire taire son coeur et se convaincre qu’elle veut simplement garder sa flamme jumelle, qu’elle était là sa place unique et qu’importe que Sunan puisse exister dans la vie de Junho jusqu’à la fin de sa vie … Elle aussi le serait. Elle craque à son sanglot et le berce contre elle en caressant sa nuque “Shhh je suis là …” souffle-t-elle en raffermissant sa prise. elle le serre plus encore et lui offre tout ce qu’elle a de plus sincère et intense ce soir.
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Re: LET OUT YOUR RAGE ft Mokho ♥ | Sam 1 Aoû - 19:33 Citer EditerSupprimer
Il avait sombré, dans cette étreinte. Rassurant, berçante, apaisante… se laissant aller à cette douceur. Cette quiétude retrouvée, alors que son cœur s’affolait. Impossible pour un esprit comme le sien de voir toutes la sincérité de leurs émotions. Impossible pour lui d’en voir les nuances, les entre lignes qui restaient discrètes. Cachées, parmi ces émotions douloureuses… il s’était endormi, tout contre elle. Blottit, à ne plus vouloir s’en réveiller. Triste réalité qui prenait le dessus… mais pour à la lueur du jour ils n’avaient pas fui. Rentrant ensembles, dans ce silence salvateur et réconfortant… Les journées suivantes, le quotidien reprenait ses droits. Retrouvant un équilibre, dans ces ébats si étranges et audacieux. Mais Junho avait finit par s’y faire. La douleur, maigre compensation pour leurs cœurs meurtri et découragé. Mais d’une habitude, il en faisait une certitude. Transformant ces moments comme un remède délicieux. Une délivrance certaine, quand ils se retrouvaient ensembles. Junho avait apprit… désormais il savait… mais de cette soirée si particulière, le garçon s’était lancé. Vers l’audace d’un instant volé. Une nuit bien entamée, où il revenait une sensation étrange au creux du ventre. Epuisé surement, il frottait son visage, sans être capable de dire ce qu’il ressentait. Il se sentait lassé, vide surement, mais si apaisé. Son esprit dénué d’image, de souffrance et même de colère. Sourire aux lèvres, il avait gagné sa chambre. Restant de longues minutes sous la douche à se délasser. Il sentait fier presque, confiant comme jamais il ne l’avait été. Différence certaine, pour un garçon comme lui. Il n’avait pas honte… s’observant même dans un miroir alors qu’il savait cette dose d’adrénaline temporaire. Comme une douce drogue à laquelle il avait gouté ce soir. Avisant l’heure, il se rendit dans la cette chambre, cet atelier… persuadé de la trouver ici. Petit sourire au coin des lèvres, il était fatigué, mais il n’avait pas encore envie de dormir. Pas un mot, il se glissait juste derrière elle. La jeune femme occupée sur ses pinceaux. Elle aussi comme sur un nuage, alors que sa vision restait troublée. Tout avait l’air plus simple ce soir… encore plus que les autres nuits.
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Re: LET OUT YOUR RAGE ft Mokho ♥ | Sam 1 Aoû - 19:33 Citer EditerSupprimer
Elle avait passé une journée banale. Pas mauvaise, mais rien qui la sorte de son ordinaire. elle avait réussit à manger seule pour une fois, prétextant la révision d’un examen, elle s’était réfugiée dans la bibliothèque. se perdre entre les lignes de ses livres la rassurait, comme si ça au moins elle pourrait le contrôler, des mots couchés sur papier c’était exaltant, parce que rien ne pouvait s’altérer, ou changer. tout restait comme elle le connaissait et lui offrait les repères dont elle avait besoin. elle passe une main dans ses cheveux et se penche sur sa peinture en observant les traits qu’elle traçaient avec intérêt. Oh si, une chose intéressante s’était passée aujourd’hui, mais elle avait fui, n’étant pas encore prête pour s’ouvrir aux autres. San l’avait invité à aller à ce musée d’art éphémère, elle avait été surprise de le voir tout sourire, de ce sourire charmeur qui l’agaçait car elle voyait qu’il jouait, qu’il n’était pas sincère, alors elle avait refusé. baissant son regard sur ses livres elle l’avait ignoré jusqu’à ce qu’il se sente obligé de partir. elle avait zieuté vers lui, désolé d’agir ainsi mais c’était trop tôt pour elle … même si plus de deux ans avait passé maintenant … Fatiguée mais pas assez pour dormir elle se relève, abdiquant. Elle ne voulait plus se concentrer sur sa peinture. Elle s’approcha de son évier et commença à rincer ses pinceaux dans ce produit à l’odeur forte qui la faisait toujours grimacer mais qu’elle adorait sentir. Un peu à l’image des marqueurs. Elle ne fut pas réellement surprise de sentir ses bras s’enrouler autour d’elle. ce n’était jamais qu’une question de temps avant qu’il ne la rejoigne. il sentait bon, il sortait de la douche et les goutte de ses cheveux vinrent la chatouiller. elle laisse échapper un petit rire doux en se tournant vers lui “Bonsoir mon chéri.” murmure-t-elle en embrassant sa joue. était-elle soudain apaisée et heureuse parce qu’il était là ou parce qu’il lui communiquait sa bonne humeur. c’était rire de la voir ainsi, il fallait l’admettre. elle se tourna complètement vers lui en nouant ses bras autour de son cou et arquant un sourcil un brin moqueur. “Peut-on savoir ce qui vous mets d’aussi bonne humeur monsieur ?” curieuse et amusée de le voir ainsi elle ne pouvait retenir un sourire en caressant sa nuque dans un geste quasi habitué.
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Re: LET OUT YOUR RAGE ft Mokho ♥ | Sam 1 Aoû - 19:39 Citer EditerSupprimer
Il avait ce sourire sur les lèvres, celui qu’il ne voyait pas lui-même. Quelque chose de changer, comme de nouveau libre. Effet éphémère, d’une soirée qui l’avait bouleversé. Mais il aimait se sentir euphorique. Douce drogue, addictive à laquelle il avait gouter… le sexe. Le vrai, comme on pourrait l’appeler. Ça n’avait rien à voir avec ce qu’il avait déjà fait. C’était plus violent, plus… chargé d’adrénaline. Oh oui c’était surtout cette dose qui l’avait transcendé. Plus que les gestes, plus que les sensations. C’était cette explosion en lui… ce souvenir d’un esprit si calme. Un homme… juste lui dans sa tête. Une image marquante et à la fois si précieuse. Mok avait ce sourire aussi. Communicatif peut-être, il ne s’en rendait pas compte. Se passant une main dans les cheveux, il lui souriait de cet air un peu joueur. « Hum… je sais pas si je te le dis. » il était taquin tout à coup. Parce-qu’il voulait jouer… ça n’avait rien d’un mensonge. Il avait juste l’air d’être un gosse qui voulait s’amuser. « Tu devineras jamais… » soufflait-il entre ses lèvres, avant de lorgner sur les siennes. Il n’était pas assez fou pour l’embrasser, juste trop ailleurs pour se concentrer. Il penchait la tête, mordillait sa bouche avant de se redresser. Se détâchant un peu d’elle, il regardait l’endroit. Observait ses dernières toiles. Aucune once de nostalgie… il avait l’air drogué peut-être bien. Jamais Mok n’avait dut le voir ainsi. Pourrait-elle être jalouse de cette euphorie qu’il avait prit pour lui ? Il pourrait le garder égoïstement. Mais il voulait partager, il porta son pouce à ses dents, mordillant la pulpe, un peu gêné mais à la fois si soulagé « J’ai… couché avec un mec… » il n’avait pas honte. Au contraire, il aurait envie de s’en vanter. Ça lui arrivait jamais. Mais il était assez confiant pour le faire. Juste ce soir, juste quelques heures. Demain il se réveillerait comme le Junho qu’il était. Etirant ses membres, il était encore endoloris de ses ébats. Sans s’en cacher vraiment, il en porterait quelques marques. Mais il s’en foutait… « J’en avais parlé avec un ami… comme une sorte de leurre tu vois. Un truc pour l’oublier… » il avait encore ce sourire, amusé et brusquement insolent « C’est plutôt efficace. » et il y avait cette lueur dans ses yeux. Celle qui le rendait différent… presque heureux finalement.
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Re: LET OUT YOUR RAGE ft Mokho ♥ | Sam 1 Aoû - 19:41 Citer EditerSupprimer
Ca lui plaisait de le voir ainsi, il avait une aura particulière ce soir, une qu’elle ne semblait n’avoir jamais vue jusque là. qu’est-ce qui pouvait bien lui être arrivé ce soir pour qu’il soit ainsi ? Curieuse et intriguée elle ne le quittait pas du regard, mordilla sa bouche quand il lorgna dessus. qu’espérait-elle l’enfant ? Rien qui ne saurait combler ses songes. Mok se brûlait depuis quelques jours, elle le savait. Son inconscient parlait pour elle, de ses pensées soudaines qui l'assaillaient et qu’elle ignorait tout aussi facilement. Son regard, sa bouche, elle savait que nourrissait pour certains traits de Junho une certaine obsession qu’elle préférait mettre sous le signe artistique. beaucoup de chose chez son meilleur l’attirait graphiquement, elle l’avait peint dans ses tableaux avec ses émotions mais il aurait été impossible de nier la symétrie du garçon. plus encore les proportions généreuses de son corps. de sa bouche à son torse finement musclé. Son regard traînait parfois sur lui plus longtemps qu’elle ne le voudrait et elle s’était surprise, plusieurs fois, à comparer l’allure de Wei à celle de Junho. il était évident que ce dernier était davantage son style mais Wei avait su lui faire sortir son ex petit ami de son esprit rien qu’un temps, avant qu’il ne débarque lourdement pour reprendre de droit cette place qui lui appartenait. et jusqu’à ce soir la gosse ne s’en était jamais plainte, car Junho au delà d’être un ex et un gamin insolent, restait avant tout ce gosse brisé qui la comprenait. Ce gosse brisé qu’elle comprenait. Elle agite ses pinceaux amusé en le voyant reculer, le trouvant beau avec ce sourire qu’il arborait. pourtant ce qu’il lui annonçait avant quelques choses d’acides en bouche. ses doigts se crispèrent sur ses pinceaux alors qu’elle afficha un visage surpris. Elle ne s’attendait pas à ça il fallait bien l’avouer, et la gosse mentirait si elle disait qu’elle n’était pas jalouse. affichant une petite moue adorable elle ne se serait jamais privée de le taquiner dessus. elle ne cachait pas ses émotions à Jun Ho. Pas celle là, pas vraiment. Même les plus discrètes il les voyait. Pourtant la jeune femme, qui aurait pu s'accommoder de cette nouvelle, se figea lorsqu’il continua de parler. une pointe dans la poitrine qui l’aurait fait ployé si elle n’avait pas un temps soit peu de retenu, lui broya le coeur. elle n’était pas certaine de comprendre. Il avait donc cherché dans les bras d’un homme à effacer le souvenir de Sunan, c’est plutôt efficace. Mok aurait voulu rire. d’amertume, de colère aussi peut-être ? Qu’est ce que je suis pour toi putain ? Un jouet ?! Un putain de jouet cassé qui ne t’aidait en rien ? Quelle violence soudainement dans l’esprit de l’enfant. Elle qui avait oublié comment s’énerver, elle qui pourtant était si sanguine fut un temps. Mais la Mok qu’elle avait pu être, était morte le jour de l’accident. Pour ne laisser place qu’à une jeune femme dénué de sentiments. Annihilée pour soulager son coeur, elle s’était laissé prendre aux pièges. un jeu quel perdait de toute évidence à cause de Junho. car il lui avait donné l’espoir de croire qu’elle valait quelque chose. qu’elle était la seule qui pouvait lui faire du bien. n’était-ce pas le cas ? il crèverait sans elle, il lui avait dit, pas avec les mots peut-être, mais elle l’avait compris. alors comment ? N’était-ce là que de la jalousie mal placée ? Non, quelques choses venaient d’être secoué en elle. comme l’évidence même qu’elle ne serait jamais assez bien. Elle le fixe, pour détailler cette aura qui l’éblouies soudainement. Alors c’est à ça que tu ressembles quand tu es heureux ? Quand tu as l’esprit libéré d’elle ? Elle déglutit avant de lâcher ses pinceaux, tout paraissait plus long, mais quelques secondes à peines étaient passées après sa révélation. Junho était encore euphorisé des drogues qu’il avait pu prendre, de l’alcool qu’il avait pu boire et de cette baise salvatrice. elle espérait que ces secondes qu’elle grapille il ne les remarque pas. “Putain raconte !” lâche-t-elle elle même convaincu de cette joie qu’elle mettait dans sa voix, alors qu’elle se baissait pour ramasser ses pinceaux. Une part n’avait jamais vécu que pour cet instant : le voir beau de joie. Elle l’aimait assez pour accepter qu’elle n’y était pour rien, cette fois-ci. elle se cache un instant derrière ses mèches et attrape la lame de son cutter qu’elle avait fait sauter en appuyant trop fort pour couper une de ses toiles. elle ne sait pas pourquoi elle fait, comme pour compenser ce qu’elle ressentait, sûrement. cet éclat soudain dans son coeur. Mok réalisait que trop tard qu’elle avait basculé en mode automatique. elle ne mentait pas, ne cachait pas ce qu’elle ressentait, bien au contraire. son poing se ferma brusquement dans la manche de son hoodie qu’elle portait comme toutes les nuits. un pull noir qui cacherait le sang. Quand elle sentit la lame s’enfoncer dans sa chaire fine et délicate, un rire de soulagement s’échappa d’entre ses lèvres. elle savait, à cet instant, qu’elle saurait gérer la situation. une vague de chaleur l'envahit et son poing se mit alors à irradier d’une douleur salvatrice. Et ce poids dans sa poitrine s’envola pour ne laisser place qu’à ce plaisir qu’elle avait de le vouloir heureux. Et plus ses doigts se renfermait sur sa peau et plus elle se sentait capable de lui faire face avec un sourire malicieux. Maintenant elle voulait tout savoir, savoir ce qu’il ressentait, s’oublier, littéralement. n’être que la Mok dévouée et qui donnerait jusqu’à sa vie pour lui. elle se laisse tomber dans le canapé, et attrape le coussin pour le serrer contre elle. “Qui c’est ?” Commencer soft pour qu’il ne réalise pas à quel point il venait de faire voler en éclat le peu d’estime qu’elle avait réussis à reconstruire. cet homme lui avait volé la seule chose unique qu’elle aurait pu lui donner. Elle se sentait vide mais poussé par une joie qui la faisait tenir debout. debout pour lui. à quoi bon ? lui susurra une voix lointaine à mesure que la lame découpait sa chaire.
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Re: LET OUT YOUR RAGE ft Mokho ♥ | Sam 1 Aoû - 19:41 Citer EditerSupprimer
Raconte… c’était aussi facile que ça. C’était ce que faisait les amis, des confidences… ils se livraient des secrets. Lui n’en avait plus pour elle, Mok savait tout de lui. De sa vie, même de celle qu’il essayait d’oublier. Alors il n’est pas offusqué face à cette demande. Encore perché, par cette euphorie. Ce doux songe dans lequel il baigne encore… il était beau ce soir Junho. Plus heureux que jamais, à croire que le sexe pouvait changer un homme. Il n’avait pas été aussi émotionné la première fois. Avec… elle… juste un rite de passage pour faire de lui un garçon normal. Les fois d’après, rien n’était mieux, il aimait bien mais il n’avait jamais été un accro. Puis le temps avait passé… l’expérience le changeait, et ce jeu malsain. Réveillait en lui des côtés sombres de sa personnalité. Était-il donc cet homme brusque ? celui qui aimait faire mal, prendre plaisir, punir les autres pour ses propres souffrances ? Avec les femmes surement… avec une seulement. Mais ce soir il s’était découvert autrement. Avait ressenti quelque chose de puissant. Un changement, une page qu’il pouvait tourner. Elle ne partirait pas, demain elle reviendrait. Avec le vent, un brusque souvenir qui le happerait. Mais il s’en foutait. Car il vivait l’instant, plus vivement que jamais. La peau encore sensible de ses ébats, il se mordait la lèvre, souriait un peu plus alors que Mok prenait place sur ce canapé. De quoi avaient-ils l’air tous les deux ? Il n’était pas gêné de lui en parler. Se sentait juste un peu confus par tout ça. Soupir de bien-être qui franchissait ses lèvres, il se laissait tomber à ses côtés. « Koo Sang Jae. Tu connais ? » il n’en doutait pas. Qui ne l’avait pas remarqué ? Il était beau son amant, il avait fière allure, cette aura dangereuse et grisante. Une homme, de ceux qu’on remarque. Qu’on devine à cette carrure agréable… il laissait échapper un rire. Un peu comme un gosse. Il ne voulait pas avoir l’image d’un type soumis face à elle. Mais il avait laissé le garçon le posséder. Le rendre esclave de ses propres désirs… « C’est ton genre ? » il ne sait pas pourquoi il lui posait cette question. Surement pour juger si il avait bon goût en matière d’homme. C’était stupide, il avait l’air d’un adolescent. « Je… c’était vraiment différent… elle n’était plus là Mok… y’avait plus rien dans ma tête. » est-ce qu’elle comprenait l’importance de cette phrase ? Avec elle, tout était trop vrai. Il se complaisait dans cette obsession. Il s’y enfonçait… Mok l’entrainait. Le forçait à assumer… Jae l’avait… transporter. Ailleurs. Et c’était cette folie qui l’avait rendu si addict… il ne se cacherait pas. Il avait aimé ça. Et de se sourire satisfait sur ses lèvres, il se rappelait… la douleur ne comptait pas. Il subissait tant de souffrances morales. S’enfonçant dans son siège, il observa la jeune femme, copiant le même sourire qu’elle avait. Était-elle heureuse pour lui ? Tous les amis l’étaient. Il n’avait pas la même humeur que d’ordinaire. Mais ça ne faisait pas de lui quelqu’un de différent. Juste de plus… apaisé. « C’est la première fois que je me sens comme ça… » et ça le rendait tout à coup plus émotif. Comme si il réalisait qu’il avait aussi le droit à ressentir des émotions saines. Puis il relevait les yeux vers elle avant de lui demander « Tu m’en veux ? » de ne pas t’en avoir parlé. De ne pas avoir évoqué l’idée avec elle. Mais par-dessous tout, lui en voulait-elle, de se sentir soulagé ? Il fit une petite moue, presque triste, alors qu’il avisait brusquement une tâche de sang sur le coussin. « Mok tu… tu saignes ? » il se redressa soudainement, tendant sa main pour venir attraper la sienne.
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Re: LET OUT YOUR RAGE ft Mokho ♥ | Ven 28 Aoû - 14:09 Citer EditerSupprimer
Elle voudrait qu’il se taise. Qu’il cesse de parler. Lui laisser une seconde de répit pour qu’elle puisse reprendre contenance. Dans sa tête sa voix hurler. Si fort. Elle voudrait qu’un braisier l’emporte. Qu’elle souffre. Qu’elle saigne jusqu’à ne plus rien ressentir. Junho la détruisait, de ces sourires, de ces confessions. Il venait de la précipiter dans le vide, et chaque fois qu’il prononçait était un obstacle contre lequel elle se heurtait. Honnêtement elle aurait préféré se faire tabasser. Elle aurait préféré qu’on la jette contre un mur et qu’on la malmène. Tais-toi, je t’en prie, tais-toi. Je t’en supplie. Cesse de parler … Tous les amis doivent être heureux, pas vrai ? Elle devrait être heureuse pour lui, réellement, elle devrait se sentir soulagée qu’il ait enfin trouver quelque chose qui lui fasse du bien et qui lui fasse oublier Sunan. Mais la vérité c’est que Sang Jae venait de lui voler la seule chose qui la faisait exister. Elle laisse échapper quelques rires, secoue la tête. On ne sait pas si elle voulait pleurer ou si l’émotion qu’elle ressentait faisait écho à celle de Junho. Pourquoi tu me fais Junho ? Avait-elle envie de lui demander. Pourquoi tu me détruis comme ça ? N’avait-il jamais conscience du mal qu’il lui faisait ? N’était-elle qu’une poupée entre ses bras qu’il pouvait malmener au rythme de ce qu’il ressentait. Mok était coupable, la seule responsable. Elle lui avait donné tous les droits sur elle. Leur relation ne se vivait qu’au rythme des émotions de Junho. Quand il était heureux, ils l’étaient, quand il était dévasté ils l’étaient. Elle l’avait laissé avoir les pleins pouvoir sur elle, car elle avait toujours cru que c’était ça qui le sauverait. Car elle était la seule qui pouvait lui donner ça ! Parce qu’elle s’était convaincu qu’elle était la seule à pouvoir le maintenir en vie. Et c’était bien là son erreur … Parce que ce soir il venait de lui ouvrir les yeux. Elle ne l’aidait pas à vivre. Elle le faisait tout bonnement survivre … Mais Sang Jae lui … Il le rendait vivant. D’une façon qu’il serait jamais possible pour Mok de lui faire sentir. Et la jeune femme se revoit sur le toit de leur repère, lui confiant avec cette sincérité du cœur à quel point elle se sentait vivante avec lui … Quelle douloureuse constatation. Reconnaissez-vous le bruit d’un cœur brisé ? Mok oui. C’est ton genre ? Tais-toi. Elle hurle, voudrait qu’il parte. Oui, mon dieu, elle voudrait qu’il quitte la pièce. Qu’il la laisse à sa douleur. Comment faisait-il pour ne rien voir ? Junho était un gosse qu’on avait trop longtemps laissé de côté, qui avait pris l’habitude de taire ses sentiments et ce qu’il ressentait. Alors aujourd’hui que Mok l’encourageait à les dire, à les ressentir, il le faisait sans réaliser le mal qu’il faisait. Egoïste enfant qui cessait enfin de souffrir. Peut-être que finalement il y avait un prix à payer pour son bonheur ? Et qu’il devait sacrifier sa dame de cœur. Qu’il devait détruire Mok pour savourer ce qu’il ressentait. En avait-il conscience ? A la vue de son visage, non, très certainement pas. C’était vraiment différent… elle n’était plus là Mok… y’avait plus rien dans ma tête. Elles n’existaient plus. Ni Sunan, ni elle. Elle suffoquait intérieurement mais continuait d’afficher cet air complice et entendu. Elle serrait ce coussin contre elle mais souriait. Les amis doivent être content. N’était-elle qu’une amie alors ? Mok qui pensais-tu être ? S’en était presque risible … Trainant un jour sur Tik Tok, la jeune femme était tombée sur un POV qui l’avait profondément marqué : l’histoire d’un garçon qui portait comme malédiction le fait de n’être que le second choix … le second choix. De n’être jamais assez bien pour être choisie. Etait-ce là sa malédiction ? N’était-elle que le second choix ? Triste constatation. C’est la première fois que je me sens comme ça… TAIS TOI. Ne peut-il pas mesurer ses mots ? Réaliser l’horreur de ses propos ? Mais Mok était sa flemme jumelle. Elle était celle à qui il pouvait tout dire. Elle avait envie de prendre un bain, de plonger la tête sous l’eau, et d’hurler, de toute ses forces. Hurler sa douleur sans que personne ne puisse l’entendre. Elle souriait pourtant, bien qu’elle était incapable de parler. Elle hochait simplement de la tête pour lui faire comprendre qu’elle avait saisi. Qu’elle comprenait oui, ce qu’il ressentait. Tu n’as pas besoin de moi alors. Evidemment que si … Mais pas ce soir, pas si Sang Jae lui accorde son attention. La lame s’enfonçait plus encore dans ses chaires et Mok relâchait la pression pour mieux pouvoir revenir appuyer dessus. Revenir, repasser, encore et encore, dans sa plaie pour souffrir encore et encore. Quelle idiote. Pourquoi fait elle ça à sa main ? Elle ne va plus pouvoir peindre pendant des jours, ni même faire du violon … mais à cet instant elle n’y pense pas. Elle veut … Elle veut pourtant avoir mal pour oublier la douleur que lui cause son ami. Son inquiétude soudaine la prends de cours. NON ! Ne m’enlève pas ça … Pendant une seconde un éclat de panique illumine son regard. « C’n’est rien ! » couine-t-elle la voix cassée. Elle rit même, le repousse d’un air amusé. « Je me suis coupée tout à l’heure, faut juste attendre que ça cicatrise ! » et elle se dérobe du mieux qu’elle peut, appuie de toutes ses forces sur la lame comme pour le faire disparaitre. Peut-être que si elle rentrait dans sa paume, il ne verrait rien. Elle se recule à nouveau, s’éloigne de lui et quitte le canapé en lançant « Dis-moi plutôt ce que vous avez fait ! » rit-elle. Bon sang, même elle y croirait, à cette euphorie factice. « Non, je t’en veux pas ! » ment-elle avec un sourire doux. C’était bien la première fois, pas vrai ? Je te mens, alors qu’on s’était toujours promis de toujours se dire la vérité … Mais si elle était sincère ce soir, elle gâcherait tout pour lui … Et Mok … Mok se sacrifie toujours pour lui … « Si c’est lui qui te rend libre alors … c’est une bonne chose. » si c’est lui … La seule nuance qui échappe à la jeune femme et qui trahis ce qu’elle ressent, elle se détourne rapidement vers l’évier et retire discrètement la lame pour rincer sa main. Comprendrait-il ? Ou bien serait-il trop heureux sur son petit nuage pour saisir la nuance ? Qu’importe … tant qu’il est heureux. Se répétait-elle inlassablement alors qu’elle voyait son sang remplir l’évier d’un rouge vif dans lequel elle aurait voulu se noyer. Noie-moi …
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